4320 résultats pour "conscience"
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Y a-t-il une vertu de l'oubli ?
pas le poids, mais les avertissements ; ce qui constitue précisément la difficulté de l'innocence dans un oublimaîtrisé du passé. III - L'usage adéquat de l'oubli et de la mémoire a) La dialectique entre la mémoire et l'oubli naît de la nature même de la conscience : « pont jeté entre le passé etle futur » (Bergson). b) La métamorphose du souvenir en vie créatrice : le souvenir tire sa valeur d'un usage qui le rénove et lui donneune nouvelle existence au lieu de figer dans le temps. E...
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Le thème de la fraternité et de la solitude parcourt toute l'oeuvre. Comment un homme aussi sensible et sociable que Clamence peut-il vivre ainsi seul dans une grande ville étrangère ?
P L A N S D É T U D E S PLAN 1 Le titre L'intérêt d'un titre est dans sa capacité à synthétiser les thèmes de l'œuvre tout en préservant le mystère. Il est donc, de préférence, polysémique. La Chute n'échappe pas à cette loi. 1 - La chute d'un homme L'homme des cimes : Clamence aime par-dessus tout les sommets et, si son déve loppement est surtout géographique, on traduit aisément qu'il s'agit plutôt un goût de la domination. Or, le...
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LEXIQUE PHILOSOPHIQUE (de NATURE à OBJECTIVATION)
L'expression "corrélation noétique-noématique" met l'accent sur cette caractéristique de la conscience et sur laliaison nécessaire qui existe entre noèse et noème. Noétique : . a rapport avec la noèse. Nombre : rapport entre une grandeur et une autre qui a statut d'unité. L'intuition du nombre est une notion fondamentale del'entendement humain. Loi des grands nombres : la probabilité mathématique rejoint l'expérience si l'on met en jeu unassez grand nombre de cas. Nominalisme : conception phi...
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Phénoménologie de l'esprit
Georg Hegel
Dialectique du maître et de l'esclave
D'abord, la
essentiel l'indépendance subsistante. Le résultat de la première expérience est la dissolution de cette unité simple ; par cette expérience sont posées, d'une part, une pure conscience de soi, et d'autre part, une conscience qui n'est pas purement pour soi, mais qui est pour une autre conscience, c'est-à-dire une conscience de l'élément de l'être ou dans la forme de la choséité. Ces deux moments sont essentiels ; mais puisque d'abord ils sont inégaux et opposés, puisque leur réflexion dans l'u...
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l'ignorant est-il libre ?
- la liberté politique : absence de contraintes politiques et sociales, par opposition à l'oppression. • Pour se libérer des contraintes, encore faut-il les connaître : en ce sens, l'ignorance s'oppose à la libertépuisqu'elle la freine. La méconnaissance des causes internes et externes qui déterminent nos actions et nos penséesentraîne la privation de notre liberté. C'est également cette méconnaissance qui permet à d'autres d'avoir prise surnous et de contrôler nos actions : à l'ignoran...
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Est-ce que l'homme est libre ?
2° La liberté est-elle une illusion ? Pour Descartes la liberté fait l'objet d'une expérience : elle s'éprouve dans l'acte même du choix. Mais le choix nepeut-il pas être produit par une cause que j'ignore ? La volonté n'est-elle pas une illusion ? L'homme se plaît à croirequ'il peut commencer absolument (être une cause libre). Mais rien ne prouve qu'il le peut, et surtout pas saconviction ni son sentiment. Ce n'est pas parce que nous sentons que nous choisissons librement, que c...
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enfance et dépassement de soi
2 Nous allons envisager dans cette première partie pourquoi nous devons d épasser (au sens de passer à un autre ordre, une autre dimension de l’homme) notre enfance. Pour cela nous reprenons la position (inadapt ée parce qu’excessive) de la tradition. Cela constitue la th èse qui sera red éfinie et fortement nuanc ée dans la 3 eme partie, en comprenant bien évidemment le terme « d épasser » autrement qu’ici. Il serait bon de comprendre pourquoi l'h...
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Agir selon sa conscience, est-ce agir selon ses valeurs égoïstes et subjectives ?
118 est acquise, notamment par l'éducation, alors l'avènement du « je »passera par le rejet, ou du moins par l'examen rationnel de ce qui est seulement reçu. L'auto nomie ou l'action libre consistera alors à créer ses propres valeurs. On peut penser à la psychanalyse, qui montre que la « censure», sorte de petite senti nelle montant la garde à la frontière de l'inconscient et de la conscience, est constituée de l'ensemble des valeurs m...
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Est-ce qu'il faut craindre le regard des autres ?
le regard de l'autre sur moi, instaure une relation de méfiance de soi à soi. Car c'est bien encore lacrainte d'être jugé, d'être étiqueté et catalogué qui est ici mise à la question à travers le problèmede la légitimité d'une telle crainte.® Il s'agit alors d'étudier à la fois les rapports de soi à autrui, mais aussi, et peut-être plusprofondément et plus fondamentalement, les rapports de soi à soi en tant qu'il est médiatisé par lerapport de l'autre – et plus précisément ici par son regard. P...
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Feuerbach et la religion
LA RELIGION • 281 « L'incroyance a remplacé la foi, la raison la Bible, la politique la .religion et l'Eglise, la terre a remplacé le ciel, le travail la prière, la misère matérielle l'enfer, l'homme a remplacé le chrétien. » Dans la pratique, l'homme a remplacé le chrétien. Il faut alors que, dans la théorie, l'être humain remplace l'être divin. Ce qui signifie que la philosophie doit cesser d'être « théologie » pour devenir « anthropologie »....
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Mon identité est-elle indépendante de mon expérience ?
« Pour moi, quand je pénètre le plus intimement dans ce que j'appelle moi-même , je tombe toujours sur une perception particulière ou sur une autre, de chaleur ou de froid, de lumière ou d'ombre, d'amour ou de haine,de douleur ou de plaisir. Je ne parviens jamais, à aucun moment, à me saisirmoi-même sans une perception et je ne peux jamais rien observer d'autre que la perception. » HUME, Traité de la nature humaine, S 6. Selon Hume il ne peut y avoir d'idée sans impression préa...
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N'exprime-t-on que ce dont on a conscience ?
COUP DE POUCE
■ Analyse du sujet
- La relation suppos...
N'exprime-t-on que ce dont on a conscience ? COUP DE POUCE ■ Analyse du sujet - La relation supposée entre « conscience » et « expression » impli querait que toute expression soit intégralement contrôlée. - Il s'agit en conséquence de s'interroger sur l'existence d'éléments qui peuvent échapper à notre contrôle lorsque nous nous exprimons outre ce qui peut être dû à l'existence de l'inconscient, on devra tenir compte de ce qui, dans nos moyens d'expression (le vocabulaire notam ment), peut d...
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LA PERSONNE (cours de philo complet)
En dehors de cet élément historique, seul f ondement lég itime d'un Droi t inte rnational garantissant la d i gnité de la Personne humaine, i l est à noter que la notion de Personne a été au centre de nomb re u ses conceptions philosophiques, la plus récente étant • le personnalisme • d'Emmanuel 11-founier. 1- Per sonn e et individu , per s onnag e , p e rson nalité. Pou r exp lorer la signi11cation de la notion de Personne, nous ferons un d...
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La pensée de la mort est-elle nécessaire à l'existence de l'homme ?
- Si l'on ne tient pas compte d'une éventuelle immortalité de l'âme, la mort ne signifie pas pour autant la privation detoute orientation pour l'existence, ni la disparition de toute signification.- Dans l'Antiquité, le matérialisme absolu des épicuriens ne supprime pas le sens de l'existence : celle-ci demeure aucontraire orientée par ce qu'indique la nature (le plaisir, l'ataraxie).- Le matérialisme moderne (Marx par exemple) ne nie pas davantage la possibilité du sens de l'existence....
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Quelle interprétation donnez-vous, en psychologie et en morale, de ce mot d'un philosophe : « Conscience signifie choix » ?
104 PSYCHOLOGIE est figurée par un œil au fond duquel un miroir enregistre tout ce qui se passe devant lui. Mais ce n'est là qu'une image, et si la conscience présen 1 e quelque analogie avec le miroir, elle en diffère aussi essentiellement : tandis que le miroir reflète fidèlement ce qui lui est présenté, la conscience opère des sélections; « conscience signifie choix », a dit un philosophe. Comment comprendre cette formule, et l...
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L'EXISTENCE DU DEVOIR
!.- 254 MORALE THÉORIQUE rité ou déméri·té, que nous sommes dignes d'une récompense, ou passibles d'une punition. 2° Un élément affectif fait de sentiments morau,x, qui ac compagnent les jugements : Avant l'action, un sentiment supérieur d'attrai-t pour le bien, de répulsion pour le mal, un sentiment de respect aussi pour la loi du devoir. · Après l'action, un sentiment de satisfaction morale, si nous avons bien agi ; des se...
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Hegel: La phénoménologie de l'esprit
HEGEL Phénoménologie de l'Esprit cc Ce qui compte et qui doit justement être justifié par 1a présentation du système lui-même, ce n~est pas d~appréhen4er et d'exprimer le vrai comme substunce; mais tout autant a:imme sujet. • (Préface) >Repères Méditation systématique de l'ébranlement de civilisation qui a marqué la Révolution française, la Phénoménologie de l'Esprit est la première œuvre de maturité de Hegel (1770-1831) . Le monde mod...
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Peut-on dire que l'essentiel de la vie psychique c'est la vie de l'inconscient ?
son action, là où il ne fait que se plier à une exigence qui lui vient de l'extérieur. Une somme incroyable de facteurs détermine mon fonctionnement psychique à chaque instant. Là où bien souventje crois qu'il s'agit de mon libre arbitre qui est en jeu, il s'agit en vérité de véritable habitus , c'est-à-dire d'habitude contractée inconsciemment au sein d'un groupe, d'une quelconque entité collective, qui pèse sur chacun de mescontenus mentaux. Je vis dans une société, je vis dans une civilisat...
- « La conscience n'est dans le chaos du monde qu'une petite lumière précieuse mais fragile. » L.-F. Céline, La vie et l'oeuvre de Philippe-Ignace Semmelweis. Commentez cette citation.
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N'y a-t-il de moralité qu'intéressée ?
s'oppose à l'intérêt, parce que ce dernier flatte les tendances de l'individu à suivre ses simples penchants, alors que la loi, par savigueur strictement formelle, oblige l'homme à se détourner de lui-même pour se convertir à un bien qui concerne l'humanitécomme unité possible. L'intérêt est du côté de la satisfaction sensible, la loi est du côté de la raison : il n'y a donc pas deconciliation possible entre les deux, et il est clair qu'il appartient à l'homme de faire triompher la raison...
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L'oubli, la guerre, la paix
meurtrie dans ses propres chairs. Elle n'a plus la force de penser ce qui est juste ou injuste, de séparer le bien du mal, la véracitéde ce qu'on lui reproche, des restes de la propagande nazie. Survivre dans un monde de ruines, d'affamés, où la dignité necompte plus guère, où l'on s'aperçoit, écrit Gudrun Pausewang, qu' " un viol, aussi terrible que cela puisse être, n'a rien à voiravec la perte de l'honneur ", survivre dans ces conditions empêche de penser plus loin. C'est la loi su silence....
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La thèse de HUME sur l'identité personnelle et sur le problème de la conscience ?
existence de chose pensante en se distinguant précisément dans l'expérience du doute radical de tout ce à quoi ilpeut bien penser, de tout ce qu'il peut bien percevoir. A ceux là, Hume n'a qu'à opposer la certitude opposée de sapropre expérience : si certains parviennent à se saisir indépendamment de ce qu'ils perçoivent, lui n'y parvient pas.« Il n'y a pas en l'esprit à proprement parler de simplicité à un moment donné, ni d'identité à différents moments,quelque tendance naturelle que nous puis...
- Explication et étude de Texte de Hegel sur la conscience et le maintient du corps de l'homme
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Spinoza: Le désir comme conatus, source de création et de valeurs
dans son être. Tout désir est au fond désir de soi, de se réaliser. Cet obscur objet du désir, c'est moi-même. Aussi l'objet du désir est-il secondaire par rapport au désir lui-même . - Dès lors, aucune chose n'est bonne ni mauvaise en soi. Le désir qui nous porte vers elle nous la fait trouverbonne. Nous ne désirons pas les choses parce qu'elles sont bonnes; elles nous semblent bonnes parce que nous les désirons . C'est le sujet lui-même comme désir qui est à la source de la défin...
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Faire ce que l'on veut, est-ce faire ce qui plaît ?
l'individu. Dans cette tyrannie du supérieur par l'inférieur, l'homme devient esclave des désirs sans frein ; c'estpourquoi il est nécessairement malheureux. Il devient incapable de jugement, d'honneur, et, au lieu d'êtremaître de soi, il est soumis à ce qu'il y a de plus bestial en lui. Céder aux passions, au désir, rêver d'être tyran est donc en fait rêver d'être impuissant, confondre ce qui estagréable avec ce qui est bon. Nul ne peut être véritablement maître des autres sans être d'abord...
- Quel philosophe allemand, fondateur de la phénoménologie, a dit que « toute conscience est conscience de quelque chose » ?
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oui
Ainsi, puisque la conscience de soi est partiellement dépendante du langage, on peut la considérer comme une connaissance mais peut-on
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Philosophie & Religion ?
superstition et de la folie du fanatisme » Toutefois, étant donné la faiblesse humaine , la pure foi religieuse ne suffit pas à donner une Eglise. Les hommesn'arrivent pas à se persuader qu'il faut agir par devoir et que cela seul constitue l'obéissance à Dieu ; ils veulentservir Dieu comme on sert un grand seigneur dans le monde. Si bien qu'une « religion culturelle » s'ajoute à la religion purement morale. Cependant les croyances de l'Eglise statutaire précèdent ordinairement la vraie...
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Sommes-nous tels que nous paraissons aux yeux des autres ?
Introduction : Il faut bien remarquer que le sujet s'oriente sur un couple de notion, orienté par le regard de l'autre, entreêtre et paraître. Et nous pose en creux la question : Etre, est-ce la même chose que paraître ? Or si l'aphorismepopulaire veut que « l'habit ne fait pas le moine » n'est pas là proférer une sentence problématique. Parler de parlerc'est évoquer une scission du sujet entre son être et sa phénoménalisation, sa représentation offert au regardscrutateur d'au...
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Autrui, médiateur entre moi et moi-même ?
L'affirmation de Sartre selon laquelle « autrui est le médiateur indispensableentre moi et moi-même » semble être sinon aisément, du moins d'une façonglobale, compréhensible. En effet nous savons bien que l'homme isolé, au sensstrict du terme, n'existe pas. Autrui est au fond toujours présent, directementou indirectement. Autrui peut être présent à travers un récepteur de radio,mais aussi à travers le moindre objet du monde culturel. Mais est-ce bien à ceniveau qu'il faut situer la phrase de...
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Le travail permet-il de prendre
conscience de soi ?
■ Définir les termes du_ sujet
Le travail
Dans son sens...
Le travail permet-il de prendre conscience de soi ? ■ Définir les termes du_ sujet Le travail Dans son sens courant, le travail désigne une activité qui tout, en transformant la nature, la rend utile à l'homme. Cette activité, qui implique un effort, désigne autant le processus de production que le résultat lui-même, le produit. La conscience Le terme vient du latin cum scienta qui signifie « avec savoir », et désigne une forme de connaissance qui accompagne nos représentations. Prendre cons...
- La « science des moeurs » épuise-t-elle l'ensemble des problèmes moraux qui se posent à la conscience ?
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Philosophie fiche de revision
Spinoza : la croyance du libre arbitre n'est que le produit de l'ignorance des causes réelles qui ns déterminent, le sujet subis ds causes ext. Conditionement : contraine integré dont on a conscience Etat agéntique : le sujet se met en mode automatiq (ne reflechit pas) face a une situtat° très forte ou difficile, il se contente d'obéier aveuglement à ds autorités ext. FREUD : Inconscience ± Inconscient perte +ou- durable Partie de notre psychisme qui de...
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De la notion du moi ; — caractères distinctifs de cette notion ; — son importance en psychologie et en morale.
d'identité, cette propriété est à son tour la base, la condition de la mémoire, qui est impossible sans elle, quisuppose un lien entre le moi du passé et le moi de l'heure présente; je ne pourrais pas me souvenir de ce qu'unautre aurait senti, pensé ou voulu. Quand je me rappelle tel fait dont j'ai été autrefois le témoin, quand je compteles mois et les années qui se sont écoulés depuis cette époque éloignée , j'ai la conscience d'être le même hommequi ai vu jadis et qui me souviens aujou...
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Pourquoi chercher à se connaitre soi même?
Pourquoi chercher à se connaître soi -même ? Nous connaissons la formule emprunté par Socrate au temple de Delphes : « Connais -toi toimême ! ». Cette injonction, extraite de son contexte religieux originel est devenu une sorte de mot d’ordre pour la philosophie, la connaissance de soi même y étant présentée comme un passage obligé pour celui qui souhaite cheminer vers l’amitié avec lui -même, les autres, et finalement vers la sagesse. Par ailleurs, notre monde contemporain...
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l'idée de liberté est-elle compatible avec le concept de l' inconscient ?
3) La négativité de la conscience ne serait que son aveuglement sur elle même, comme un oeil qui ne se voitpas. Leibniz dit que celui qui se croit libre est comme l'aiguille d'une boussole qui croirait qu'elle se meutlibrement alors qu'elle ignorerait les rapports de force qui déterminent son mouvement. III : L'idée d'inconscient n'exclut pas l'idée de liberté, il demande de la penser autrement. 1) Peut être ne faut il pas penser la liberté comme la capacité à prendre des déci...
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Peut-On Regretter Que Le Temps Passe ?
termes, lors d’un retard ou d’un oubli, l’expression courante « Je n’ai pas eu le temps » revient très souvent ; ce qui présuppose que le temps nous fuit et qu'on ne peut pas tout effectuer comme on le voudrait. C'est un paradoxe car l'Homme souhaite captiver le temps alors qu'en même temps il prend l'excuse du temps pour inventer un arrangement avec son entourage. Dans ce cas, l'Homme est privé de la maîtrise du temps et cela crée un mépris chez lui, alors que cependant, il utilise le...
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OBJET DE LA PSYCHOLOGIE. - NÉCESSITÉ DE COMMENCER LA PHILOSOPHIE PAR LA PSYCHOLOGIE. - DE LA CONSCIENCE ET DE LA CERTITUDE QUI LUI EST PROPRE.
6. La théodicée : car, pour étudier la nature divine et en conclure les rapports qui nous lient à elle, il faut connaîtrenotre propre raison, l'idée de l'infini, qui est en nous, et les attributs par lesquels nous concevons les attributs infinisde Dieu.7. L'histoire de la philosophie: car, pour comprendre les systèmes philosophiques et prononcer sur leur valeur, il fautavant tout avoir la connaissance des objets de ces systèmes, c'est-à-dire de l'âme et de Dieu.8. En un mot, toutes les partie...
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Sagesse et passion peuvent-elles à votre avis s'accorder ?
soumis au jugement, mourant dans la douleur de la négativité », pour ressusciter comme « Esprit éternel,mais vivant et présent dans le monde », de même l'Absolu doit se vouer à la finitude et à l'éphémère pourse réaliser dans sa vérité et dans sa certitude. Dès lors, ce n'est pas en vain que les individus et les peuples sont sacrifiés. On comprend aussi que lespassions sont, sans le savoir, au service de ce qui les dépasse, de la fin dernière de l'histoire: laréalisation de l'Esprit ou d...
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Prise de conscience => être touché. Comment argumenter ?
Comment convaincre ? Quels sont les outils littéraires, les genres que...
Prise de conscience => être touché. Comment argumenter ? Comment convaincre ? Quels sont les outils littéraires, les genres que l'auteur peut utiliser afin d'être le plus persuasif possible ? I- Les genres dédiés à l'argumentation Traditionnellement, l'argumentation trouve son lieu d'expression dans les genres « sérieux » : A- Le dialogue Dialoguer, c'est tenter de convaincre, de persuader son interlocuteur (cf. le dialogue chez Socrate) : cela est reproduit à l'écrit par l'auteur => lecteur am...
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- "L'inquiétude, c'est la vie même de la conscience" (jean Onimus). Comment l'étude de la littérature peut-elle préparer à cela ?
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AUTRUI
LA RELATION À AUTRUI
Les philosophes classiques ne s'intéressent pas prioritairement à la
communication des consciences. La découverte de...
AUTRUI LA RELATION À AUTRUI Les philosophes classiques ne s'intéressent pas prioritairement à la communication des consciences. La découverte de Descartes s'effectue dans la solitude de la conscience du sujet, les autres n'étant perçus que comme des objets dans l'espace de la perception. Il faut attendre des conceptions plus récentes qui ne considèrent plus le sujet comme une donnée entièrement constituée au départ, mais comme un être en devenir, pour voir émerger le problème de la relation à a...
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Condamné à être libre de J.-P. SARTRE
d'être, il tente aussi de se masquer sa liberté. Le sens profond du déterminisme, c'est d'établir en nous une continuité sans faille d'existence en soi. Le mobile, conçu comme fait psychique, c'est à-dire comme réalité pleine et donnée, s'articule, dans la vision déterministe, sans solution de continuité, à la décision et à l'acte, qui sont conçus également comme données psychiques. L'en-soi s'est emparé de tous ces «data», l...
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Y a-t-il des actes impardonnables ?
ARISTOTE Ethique à Nicomaque,(IV, 7-8) « La magnanimité a rapport à de grandes choses, comme semble encorel'indiquer son nom. Mais de quelles grandes choses s'agit-il? C'est là ce quenous devons tout d'abord saisir. Peu importe d'ailleurs que nous examinions ladisposition en elle-même ou l'homme qui répond à cette disposition. « On pense d'ordinaire qu'est magnanime celui qui se juge lui-même digne degrandes choses, et qui en est réellement digne; car celui qui, sans en êtredigne, agit d...
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Le travail n'est-il pour l'homme qu'un moyen de subvenir à ses besoins ?
la réalité qui nous impose de différer la satisfaction de nos désirs• Ce qui va faire que le désir projeté va s'accorder avec la réalité est le travail. Par le travail on va agir sur la nature pour la modeler vers la fin recherché. Ce quin'était qu'un concept intellectuel se réalise par le travail.• Le travail fait donc partie intégrante de la satisfaction de nos désirs (temps 1)• Mais on a vu que le désir était d'abord mimétique (cf. Girard, Mensonge Romantique, Vérité Romanesque). En effet le...
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?"Quand suis-je le sujet de mes pensées ?"
le corps et l’âme que je n’y fais pas attention. Il faut dissocier la pensée qui est guidé par le corps et la conscience guidée par l’âme. Et c’est cette distinction qui me permet de passer outre ces petites perceptions. Je ne réalise pas toujours ce qu’il se passe autour de moi pourtant si on me questionne sur un bruit ou un évènement je vais être capable de m’en souvenir même si au moment précis je n’y...
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L'inconscient et le psychisme
à faible intensité ;– la condensation, par laquelle une représentation unique recouvre à elle seule plusieurs chaînes associatives àl'intersection desquelles elle se trouve. L'énergie propre au système inconscient et le retour du refoulé L'énergie, fournie par les pulsions, est dite libre. Elle circule, sans entrave, d'une représentation à une autre, suivantles mécanismes du déplacement et de la condensation, niant ainsi toute relation logique (aussi bien celle de la non-contradiction que ce...
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1 LA cONSCŒNCE. L'INCoNScrnNT
N° 1 Le moi s'identifie-t-il à la conscience?
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(Groupement interacadémique IV. B)
La difficulté du...
1 LA cONSCŒNCE. L'INCoNScrnNT N° 1 Le moi s'identifie-t-il à la conscience? l (Groupement interacadémique IV. B) La difficulté du sujet réside dans la définiti0n du "moi,,. On distinguera donc : 1. Le moi «classique» - On peut se référer au cogilq cartésien, en abandonnant sa dimension métaphysique, pour repérer Je moi comme conscience d'un sujet qui se découvre et s'affirme comme tel. - On soulignerait ensuite que ce moi est consistant dans la durée. c'est-à-dire grâce à la mémoire (cf Bergs...
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Quelle conception de l'homme l'hypothèse de l'inconscient remet-elle en cause ?
a) "Ainsi une représentation inconsciente est une représentation que nous nepercevons pas mais dont nous sommes prêts à admettre l'existence à partird'autres preuves ou d'autres signes." (Freud dans Métapsychologie) b) "Il existe deux variétés d'inconscient: les faits psychiques latents, maissusceptibles de devenir conscients, et les faits psychiques refoulés qui,comme tels et livrés à eux-mêmes, sont incapables d'arriver à la conscience.Les faits psychiques latents ... sont des faits préconscie...
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Peut-on connaître l'inconscient ?
L'inconscient est le siège des pulsions affectives qui sont refoulées par la censure morale qui, elle, est régie par leprincipe de réalité ou principe de convenance. Freud cite l'exemple d'un jeune homme qui ouvre une séance à la chambre desdéputés et commence en déclarant la séance close. Il y a là substitution d'unmot qui répond au principe de plaisir/déplaisir (désir de clore cette séancevécue comme angoissante) à un mot qui répond au principe de réalité(nécessité d'ouvrir cette séa...