4020 résultats pour "scènes"

• Pensez Vous Que Le Théatre Est Le Lieu De La Plus Grande Liberté De L'Imagination La Plus Folle ?

• LE BOURGEOIS GENTILHOMME

• La Naissance de l'opéra

  seconde moitié du XVII siècle, les grandes villes d'Italie et d'Europe se dotent de salles sem­ blables: Rome, aples, Londr es, Paris. Venise est dominée par la personnalité musicale d'un él ève de Monteverdi, Pi er Francesco Cava lli ( 1602- 1676 ), auteur d 'un Ercole amante (Hercule amou­ reux) joué en IG62 à raris en l'honneur du maria­ ge de Louis XIV, mais aussj par cell e de Pietro Antonio Cesti (1623- 1669). A Naples apparaî...

• La tombe d'Ouserhat

  de toilette et le singe sous la chaise de l'épouse du défunt, ou les colliers de lotus qui renvoient à Hathor, déesse de l'amour . L'ancêtre mort était en effet garant de la fertilité de sa descendance ; il fal lait donc entretenir par ces ima­ ges son désir sexue l qui, de surcroît, était le symbole de vie par excellence. Les scènes de chasse figurées sur l a paroi est de la seconde chambre rel èvent d'un état d'esp...

• Meursault, un antihéros tragique ?

  B) • Fatalité → destin funeste implaccable (le soleil oblige Meursault à tirer) , malédiction • Scène d'une grande intensité (scène clé du roman : correspond à un basculement brutal) → forces exceptionnelles qui 'dépassent' le héros (soleil = force divine en action : dimension épique de l'extrait (cf. mythe d'Oedipe : crime maudit, aveuglement, référence à la mère)) C) • Un 'dénouement' tragique → dimension dramatique de la scène (dans les 2 sens du terme 'scène...

• Relation maitre-valet. Dom Juan & Sganarelle

• Titanic, le film

• l'exécution publique d'une innocente

• Fiche de lecture: Huis Clos de Jean Paul Sartre

  SOMMAIRE ■ Fiche Profil: Huis clos.................................................. 4 ■ 1. Jean-Paul Sartre et son temps......................... 6 UNE JEUNESSE AU MILIEU DES LIVRES............................... 6 UNE PASSION POUR LA PHILOSOPHIE................................. 7 PROFESSEUR DE PHILOSOPHIE............................................ 7 DURANT LES ANNÉES DE GUERRE....................................... 8 UNE ACTIVITÉ DÉPLOYÉE SUR TOUS LES FRONTS .....

• Fiche de lecture : Huis Clos de Jean Paul Sartre

• Don Juan Resume Et Analyse

• Dissertation théâtre

• Commentaire Phèdre de Racine (résumé et analyse)

  spectateur ressent de la terreur, de la compassion et de la pitié vis-à-vis de Phèdre. Cette purgation des passions est l'unique but de la tragédie classique, et pour cela,l'auteur se doit de respecter nombre de règles. Cette scène clos l'exposition de l'acte I par le biais de nombre d'aveux et de confessions en présence des héros tragiqueset de leurs confidents, ce qui accentue la vraisemblance de l'intrigue. Ces aveux font alors place aux passions qui font immerger le thème de la fatalité. C'e...

• DANSE: Sergueï Diaghilev

  Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)\HDLN0000100102 \LINK0037200378PE_0765T \LINK0039000397PE_0720T \LINK0046800477PE_0052T \LINK0057300579PE_0649T \LINK0059900605PE_0783T \LINK0067800687PE_0920T \LINK0069800702PE_0820T \LINK0071200718PE_0253T \LINK0072600730PE_0868T \LINK0074100747PE_0919T \LINK0076200770PE_0807T Diaghilev (Serge de) Mécène et organisateur de spectacles russe * 31.3.1872, Perm + 19.8.1929, Venise Avec des membres du ballet de la cour de Saint-Pétersbourg (Léningrad) et de Moscou, i...

• Les femmes savantes

• Dom Juan résumé détaillé

• Rire Fait-Il Penser ?

• en attendant godot

  contre lui (p. 46) et finissent par se moquer de lui (p. 48). C'est un prélude au deuxième acte, où Pozzo aura perdu la vue, la notion du temps, et toute forme de perspective ; où il n'aura même plus le contrôle de son corps dont il est si fier ici (il ne peut se relever, ne maîtrise pas ses sphincters), et où il est totalement dépendant. Conclusion ; Dans cette scéne nous apprenons beaucoup de chose sur Pozzo,...

• L'Être Humain Est Peint Sans Ménagements Dans Ses Défauts, Ses Carences.

• On ne badine pas avec l'amour (Musset): acte3, scène3

  le but de la double énonciations : plus il fait l’éloge de Rosette plus il fait la critique de Camille. On a (l.26) « toi seul » la répétition de toi seul est bien insistant pour montrer qu’il s’adresse a Camille car il n’y a que Rosette sur scène. Ce qu’il apprécie chez Rosette c’est qu’elle se souvient du passé « beau jours passé » : périphrase et hyperbole, elle se souvient « de la vie qui n’est plus »(l.26) encore périphrase. Il a déjà fait cette reproche a Camille a la scene1 act3, donc cet...

• ILES DES EXCLAVES

• En attendant godot resumé

• Sujet : En vous appuyant sur votre expérience de lecteur et de spectateur, vous vous demanderez dans quelle mesure le genre théâtral peut être défini comme une d'"Illusion comique".

• Coelio Est-Il Un Heros Romantique ?

• L'Ile des Esclaves de Marivaux

• ACTE II du CID de CORNEILLE (analyse)

  Scène II LE COMTE, DON RODRIGUE don rodrigue. A moi, Comte, deux mots. le comte. Parle. don rodrigue. Ote-moi d'un doute. Connais-tu bien don Diôgue ? le comte. Oui. don rodrigue. Parlons bas ; écoute. Sais-tu que ce vieillard fut la même vertu, La vaillance et l'honneur de son temps ? le sais-tu? le comte. Peut-être. don rodrigue. Cette ardeur que dans les yeux je porte, Sais-tu que c'est son sang ? Le sais-tu ? le comte. Que m'importe ? don rodrigue. A quatre pas d'ici je te le fais savoir. le...

• liberté et imagination

• l'Ecole des femmes

• acte 2 phedre

   L’expression « feu fatal » Axe d’étude : effectivement, Racine semble reprendre les caractéristiques de la tragédie fixées par Aristote. Mais il adapte le genre de la tragédie aux mentalités de son siècle dominé par le mouvement Classique 1. Racine reprend l’idée de la catharsis. En regardant Phèdre, sa passion entraînant la folie, son amour contre nature, le spectateur peut ressentir de la crainte et même davantage. Phèdre, devient l’incarnation des pensées les plus inavouée...

• le bourgeois gentilhomme

• Comment le théâtre du XVII attire t-il les personnes ?

• Commentaire littéraire la Princesse de Clève : la rencontre

  B- le rôle de la cour   -Rencontre inévitable, placée sous le signe du destin, la cour favorise cette rencontre, il s'agit d'un jeu, noter le mouvement dans lequel s'inscrit la rencontre, Mme de Clèves est en train de danser, le duc d'entrer dans la salle de bal, le roi est le médiateur "le roi lui cria de prendre celui qui arrivait", le romanesque se poursuit dans les réflexions que soulève cette danse imprévue "le roi et les reines se souvinrent qu'ils ne s'étaient jamais vus, et trouvèrent de...

• L'ÉCOLE DES FEMMES Molière LIRE L'OEUVRE

• Antigone: le Prologue, de Jean Anouilh

• Pourquoi et comment le comique fait-il penser ?

• George Dandin N'Est Elle Qu'Une Comédie ?

•       LE JEUNE SCIPION   Ce que j'ai de meilleur en moi, c'est ma haine.

    CAESONIA   Pense maintenant àCaligula.   LEJEUNE SCIPION,avec toutl'accent delahaine . Oui.   CAESONIA   Écoute maintenant : essaiedelecomprendre.   Ellesort, laissant lejeune Scipion désemparé. EntreHélicon.       SCÈNE XIII   HÉLICON   Caligula revient : sivous alliez manger, poète ?

• LA CARTE D'IDENTITE DU TEXTE

• Lecture analytique de « Le bourreau m'accompagne » - Jean Genet

• le mariage de figaro

• PLACE D' « ANDROMAQUE » ET DE RACINE DANS L'ÉVOLUTION DU THÉÂTRE.

  où se tient d'ordinaire Hermione (acte V) où Oreste la vient voir (v. 478, 1143, 1493), où Andromaque la cherche (v.860), et craint de la retrouver (v. 1129); celle aussi où Phœnix conduit son maître pour qu'il la puisse rencontrer (v.891), où il la rencontre enfin (v. 1276). Ces indications sont contradictoires. L'unité de temps est celle qui a gêné le plus les prédécesseurs du poète. RACINE S'EN JOUE dès «La Thébaïde», quia même atteint la solution idéale, puisque la durée de l'action supposée...

• Fiche de lecture tartuffe moliere

• Fin de Brouillard au pont de Tolbiac depuis : "A l'entrée du pont de Tolbiac, la rue du Chevaleret passe sous la rue de Tolbiac et il y a là un parapet, juste devant l'arrêt de l'autobus 62." jusqu'à la fin : "Je restai immobile."

  Il est visiblement perturbé par cette apparition empreint de sensualité et d’une beauté qui le charme et l’émeut : « le doux frémissement sous l’harmonieux balancement des hanches », « la même émouvante poitrine altière et prometteuse ». Voilà des termes bien élogieux sur les formes féminines de cette jeune femme qui laissent à penser que le désir est réel pour Monsie ur Burma. La démarche de Bélita est très sensuelle « démarche élastique et souple de danseuse ». On voit la femme av...

• Les sarcophages, demeures d'éternité dans l’Egypte ancienne

  abritait le corps du roi, était en or massif. Quand on sait que Toutânkhamon régna très peu de temps , on imagi­ ne ce que pouvait contenir la sépulture d'un Ramsès Il, par exemple! Troisième Péri ode intermédiaire et Basse Époque A vec la Troisième Pério­ de intermédiaire (1069-672 avant J.-C}, les sarcophages en bois ou en cartonnage à fond jaune se développent . De styles très variés, ils sont toujours momiformes, avec un...

• Commentaire Phèdre - Acte I,

• La vision du de Metropolis

  sants et par les jeux d'ombre et de lumière. Lang met en scène de façon impressionnante les mouve­ ments d'énormes masses humaines et le travail des machines. Le film comporte en outre de nombreuses astuces techniques. Rétrospectivement, on a pu voir dans le film de Lang une allusion au national-socialisme en raison de la soumission aveugle des masses à leur dirigeant. Dès ses débuts, avec Halbblut (1919), Lang influence durablement le cinéma alle...

• Olivier (sir Laurence Kerr, dit Laurence)

• Olivier (sir Laurence Kerr, dit Laurence)

• Commentez ce jugement de Victor Hugo sur le théâtre : "Le théâtre n'est pas le pays du réel: il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai : il y a des coeurs humains dans la coulisse, des coeurs humains dans la salle."

• Antonin Artaud Et Le Théâtre Et Son Double

  pas d’habitude. L’incantation apparaît au point terminal de cet acte. L’incantation est un emploi de la parole qui permet d’agir avec force, par l’émotion. L’incantation ne s’adresse pas à l’esprit, mais à la sensibilité. La voix, elle, ne quitte jamais celui qui parle à la différence du théâtreécrit qui existe en dehors de la scène. La nature des éléments du langage balinais se résume en deux définitions ; en premier lieu comme la matérialisation visuelle et plastique de laparole, et en second...