1088 résultats pour "albert"
-
1923
Au bagne o Albert Londres
1923
Le Fleuve de feu.
1924 Toi q ui p â lis a u n o m d e V anco uve r • M arc e l T hir y 1924 Ana ba se • S ain t-J o hn P ers e 1924 Les F rè re s D ura nd eau • P hilip pe S oupa ult 1924 L’A n p ro cha in à J é ru sa le m • J é rô m e e t J e an T ha ra ud 1924 Pré cis d e p hysiq ue d ’a prè s le s t h é orie s m odern e s A . Bouta ric 1924 Le L anga ge e t la P ensé e • H enri D ela cro ix 1924-1 925 Nouve au D ic tio nna ir e d e S cie nce s e t d e le urs applic a tio ns • P aul...
- Exposé sur l'Etranger d'Albert CAMUS : Quelle vision du monde donne l'Etranger ?
-
BOIS SEC BOIS VERT Charles-Albert Cingria - résumé de l'œuvre
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)BOIS SEC BOIS VERT. Recueil de textes de Charles-Albert CJngria (1883-1954). Le volume, publié en 1948, comprend : c Recensement •. • Lou Bordel •, c Hippolyte Hippocampe •. c Bois sec Bois vert •, • Le Camp de César •. c Le Petit Laby rinthe harmonique •. • Vair et Foudres •. c Xénia et le Diamant •. • La Couleuvre •. c Le Comte dœ Formes • . n est à peu près impossible de réSllmer ce livre, dont la fréquentation i...
-
Herman Melville
par Albert Camus
Prix Nobel 1957
Au temps où les baleiniers de Nantucket restaient plusieurs années le jeune
Melville (vingt-deux ans) s'embarque sur l'un d'eux, puis sur un navire de
guerre, et court les océans.
par Albert Camus Prix Nobel 1957
-
Christoph Willibald Gluck
par Albert Paychère
Professeur d'Histoire de la Musique au Conservatoire de Genève
La carrière de Gluck, comme celle de Lully, porte la marque d'une
providence exceptionnelle.
par Albert Paychère Professeur d'Histoire de la Musique au Conservatoire de Genève
-
Marguerite d'Angoulême
par Albert-Marie Schmidt
Professeur à la Faculté des Lettres et Sciences humaines, Lille
Son front, chargé de pensées, de soucis et de projets, se bombe légèrement.
par Albert-Marie Schmidt Professeur à la Faculté des Lettres et Sciences humaines, Lille
- Alberti (Leon Battista) Architecte, humaniste et théoricien d'art italien (Gênes, 1406 - Rome, 1472).
-
Sadi Carnot
par Georges-Albert Boutry
Professeur au Conservatoire national des Arts et Métiers, Paris
Lazare Carnot était, en 1796, au sommet de sa carrière.
par Georges-Albert Boutry Professeur au Conservatoire national des Arts et Métiers, Paris
-
-
La littérature baroque
par Albert-Marie Schmidt
Professeur à la Faculté des Lettres de Lille
Ce n'est pas sans quelque inquiétude que nous entreprenons ici la tache
d'entretenir les honnêtes gens de ce que les experts nomment : La
Littérature Baroque.
par Albert-Marie Schmidt Professeur à la Faculté des Lettres de Lille
-
Henri V
par Albert Mirot
Conservateur en chef aux Archives nationales, Paris
Le 30 mars 1413, Henri V était devenu roi sans opposition ; car, du vivant
de son père, la transmission de la couronne royale avait été minutieusement
préparée.
par Albert Mirot Conservateur en chef aux Archives nationales, Paris
-
Henry Cavendish
par Georges-Albert Boutry
Professeur au Conservatoire National des Arts et Métiers
Depuis près de trois siècles, une part des membres de la " Royal Society "
forme un club qui se réunit en un dîner hebdomadaire.
par Georges-Albert Boutry Professeur au Conservatoire National des Arts et Métiers
- Edmonton 1 PRÉSENTATION Edmonton, ville du Canada, capitale de la province d'Alberta, à l'est des montagnes Rocheuses, sur la North Saskatchewan.
- ALBERT EINSTEIN : COMMENT JE VOIS LE MONDE (Résumé & Analyse)
-
ALBERT CAMUS: L'ETRANGER (Résumé & Analyse)
soir, Marie m'a demandé si je voulais l'épouser. J'ai dit que cela m'était égal, qu'on pouvait se marier si elle le voulait,même si sans doute, je ne l'aimais pas. Moi, je me contenterais de dire oui. Plus tard, je me suis retrouvé seul chezmoi, n'ayant rien à faire, n'ayant pas sommeil, avec Salamano pleurant son chien disparu. C'est à la mort de sa femmequ'il avait demandé un chien. Ensemble, ils avaient des prises de bec, mais il l'aimait. C'est la vieillesse qui les a tousles deux touchés. L...
-
Henri IV
par Albert Mirot
Conservateur en chef aux Archives nationales, Paris
Le 13 octobre 1399, un nouveau roi était couronné à Westminster ; la
dynastie des Plantegenêt venait de s'effondrer avec Richard II, celle des
Lancastre entrait dans l'Histoire avec Henri IV.
par Albert Mirot Conservateur en chef aux Archives nationales, Paris
-
Corpus Thérèse Raquin Emile Zola, La Condition Humaine André Malraux, L’étranger Albert Camus
nature : «En face, se dressait le grand massif» l.2 puis par la suite une personnification de celle-ci : «Les rayons pâlissent dans l'air frissonnant, les arbres vieillis jettent leurs feuilles.» l.6. La condition humaine ne parle en termes de nature que de la lumière, une lumière artificielle puisqu'elle provient d'un building : «La seule lumière venait du building» l.6. Cette lumière est en opposition avec les lumières présentes dans les textes autres textes de Zola et Camus qui sont des lumiè...
-
- 1955 Albert Einstein (Photographie)
-
Les Fleurs bleues de Raymond Queneau : Une critique du Nouveau Roman
manque même pas le système duel des Fleurs bleues puisque, dans le roman de Robbe-Grillet, un second Dupont (Daniel} succède comme victime au premier Dupont (Albert). Le second Dupont est le professeur Daniel Dupont, sans doute le père du détective, Wallas, qui est venu enquêter dans une petite ville du Nord : il est abattu par son fils, comme le roi de Thèbes, Laios, était, dans la tragédie antique, tué par son fils Œdipe...
- Enjeu De L'Affrontement Dans « Les Justes » D'Albert Camus; « Antigone » De Jean Anouilh; Jean-Paul Sartre : « Les Mains Sales ».
-
Citations
La connaissance s'acquiert par l'expérience, tout le reste n'est que de l'information. Albert Einstein La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi ! Albert Einstein Le problème aujourd'hui n'est pas l'énergie atomique, mais le coeur des hommes. Albert Einstein Le progrès technique est comme une hach...
-
O vous frères humains - fiche de lecture
angoisse de la mort. Le 4 octobre 1981, Albert Cohen se casse une côte. Or la blessure se complique et dégénèreen une anémie doublée d'une broncho-pneumonie. Le 17 octobre 1981, Albert Cohen meurt et est enterré près deGenève, au cimetière israélite de Veyrier. Collection : Folio Editeur : Gallimard, 1972 3) Résumé Marseille, 16 août 1905. Albert Cohen fête ses dix ans, trois francs en poche, cadeau de sa mère. Albert Cohen, cematin-là, est un enfant heureux, heureux de vivre dans cette...
- En vous appuyant sur votre lecture du roman de Maupassant : bel ami, vous commenterez cette situation d’Albert Camus, l’homme révolté (1951) « L’art romanesque ne peut ni consentir totalement au réel ni s’en écarter absolument, la vraie création romanesque utilise le réel et n’utilise que lui avec sa chaleur et son sang, ses passions et ses cris. Simplement elle y ajoute quelque chose qui la transfigure » Quel est la place du réel dans l’art romanesque ? Le roman peut-il se contenter
- Albert, Alexandre MartinF263B Blanc, LouisF263A Huber, AloysiusF263C
- Gotthelf (Albert Bitzius.
-
-
Dissertation Albert Camus
les avoir pour des choses qu’on n’a pas risqué à faire, en plus toutes les réalisations qu’on fait pendant notre vie créent des expériences et des connaissances qui nous serviront pour la postérité. Une autre réflexion que la phrase m’éveille est le préjugé, on a l’habitude de préjuger les personnes, sans penser qu’on peut les connaître petit à petit, changer ce préjugé c’est-à dire, il y a lieu tous les jours pour découvrir. Pour finir, je...
- Albert MARQUET: MARSEILLE.
- Albert Camus (Dates)
-
Albert CAMUS : Les Justes
« Plus jamais nous ne serons des e nfant s, Boria . Au premier meurtre , l'e nfance s'enfuit. Je lance la b ombe et, en une se conde, vo is-tu, toute une vie s'écoul e. Oui, nous pouvons mou rir désormais. Nous avo ns fait le to ur de l'homme. » Ces mot s de Dora, l'une des terro rist es, donn en t le ton de ce dra m e dans le qu el s'oppo sent deux co ncep tions du te rr o risme, la première qui s'inspire d'tm es prit d e venge...
-
Dictionnaire des personnages littéraires
127 8 / ADOLPHE Adolphe Adolphe, CONSTANT Adorno Hop Signor !, GHE LDERODE Adraste Illusion comique (l'), P. CORNEILLE Roman de Thèbes (le) Adrian Véritable Saint Genest (le), ROTROU Adrien Deume Belle du Seigneur, COHEN Adrienne Filles du Feu (les), NERVAL A élis Guillaume d'Orange (cycle de) Aëllo Bacchante (la), M. DE GUÉRIN Agamanor Me liador , FROISSART Agathe Électre, GIRAUDOUX Enf ants terribles (les), COCTEAU Francion, SOREL Pay san parven...
- Alberti, Leon Battista
-
Albert Camu - L'étranger
« demain » L2. Camus à donc joué le jeu de l’incipi t mais crée le malaise avec un brouillage total. 2) Le récit se fait à la première personne et donc en focalisation in terne. On s’attend à avoir une expansion de sentiments d’autant plus que le texte commence par « maman » L1. Néanmoins, il n’y a aucune référence aux sentiments, même si l’on peut se demander si ce récit n’est pas un journal in t i me. Les seules paroles sur la mort sont « affaire c...
- Caligula de Albert Camus
-
-
Dissertation Albert Camus
personnages sont condamnés à la fin du roman, leur vision du monde est rejetée. Toutefois, le lecteur, sans les prendre pour modèles ne peut s'empêcher d'éprouver une certaine fascination à leur égard et à celle de leur conception de la société. Dans L'Homme qui voulait être heureux, de Laurant Gournelle, le héros rencontre, durant ses vacances à Bali, un vieux guérisseur, sans raison particulières, juste pour sa grande réputation. Son diagnostic est formel, c'est un homme en bonne santé, mais c...
-
Albert Camus L'étranger
« Que m’importaient la mort des autres, l’amour d’une mère … puisqu’un seul destin devait m’élire moi-même » · Meursault est traversé d’interrogations. L’anaphore avec « Qu’importait…? » montre qu’une seule réalité a un sens pour lui : sa condamnation mais les autres hommes, eux aussi, sont condamnés à mourir. Nous venons de voir la révolte de Meursault qui tout en s’affirmant, rejette les faux semblants et se confronte violemment à l’absurdité de la vie mais une fois seul cet...
-
AUTEUR: CAMUS Albert
dans un labyrinthe administratif, dans une société de cauchemar, cherchant, mais en vain, un interlocuteur à qui ilpuisse demander raison de l'accusation mystérieuse qui pèse sur lui, et à qui il puisse présenter ses justifications.Mais toutes les portes sont closes; il ne rencontre que silence et incompréhension, jusqu'au jour où, pour une fautedont il ignore la nature et sans connaître ni son juge ni son dossier, il est exécuté. Cette puissante allégorie de lavie humaine semble développer un...
-
PESTE (la), d'Albert Camus
IntroductionLes épidémies constituent des menaces récurrentes et terrifiantes pour les humains durant des millénaires. Elles sont considérées pendant très longtemps comme des punitions divines.D’ailleurs, l’écrivain et historien français Pierre Miquel compare les paniques créées par les grandes épidémies du passé à celle qui affecte, avec le sida, la société contemporaine. Ainsi,la lèpre est-elle la terreur du XIIe siècle et la réapparition périodique des pestes pendant de longs siècles entretie...
- PADMAVATI d’Albert Roussel
- NOCES d'Albert Camus
- BASOCHE (La) d’Albert Carré
-
Albert Camus, La Peste
Objectif : Quelle lecture symbolique peut on faire de ce passage ? La scène se d éroule en novembre, alors que la peste s’est déclarée en Avril. Les deux personnages sont chez le vieil asthmatique, sur sa terrasse. Ils sont donc dans un endroit isolé, ils prennent une certaine distance par rapport au fléau. Le moment est donc celui des confessions. L’extrait proposé se trouve dans la 6ème section de la 4ème partie, à la fin d’un « monologue autobiographique » que Tarrou prononce sur l...
-
-
Antigone de Albert SAMAIN
trois le soir? ) - « C'est l'homme, repliqua aussitot CEdipe : dans son en- fance it se traine sur les pieds et sur les mains; dans son age mar, it marche sur deux pieds; dans sa vieillesse, it s'appuie sur un baton. ) De rage, le monstre alla se jeter dans les flots. Alors s'accomplit sur Edipe l'antique malediction, déjà connue de Ca- dmus, fondateur de Thebes et trisaieul du nouveau roi... Pour se punir, it s'est creve les yeux. Banni, it quitte son royaume ou ses deux fils - freres ennemis q...
- L'étranger - Albert Camus
-
Connaissez-vous Albert CAMUS ?
ailleurs, l'absurde a ici de plus graves conséquences car le héros est un empereur et non un homme moyen et,puisqu'il dispose d'une force illimitée, son désespoir métaphysique répandra la mort sur le monde entier. Caligula estune allégorie de Hitler. Nous trouvons dans cette pièce ce qui manquait au roman de L'Étranger : une réfutationintérieure à l'oeuvre. Les personnages de Chéréa et de Scipion, tout en comprenant l'intuition première de Caligula,désavouent les conséquences que celui-ci en ti...
- Luthuli, Albert John
- JUSTES (les) d'Albert Camus
- ÉTRANGER (L'), d'Albert Camus
- Albert Camus Biographie
-
Le Malentendu - Albert Camus
vivant, tentant maladroitement d'apporter ce bonheur dans l'auberge triste et morne. la puissance divine, en effet à l'extrême fin de la pièce, Maria qui appelle Dieu et est interrompue par le domestique qui entre dans la pièce, elle lui demande de l'aide et il répond : « Non ! ». Ainsi le domestique est assimilé à la puissance divine et la fin montre qu'il n'aide pas. On pourrait rapprocher cela de l'existentialisme qu'approuvait Jean-Paul Sartre. Cependant, Camus a dit lui même qu'il ne l'...
-
-
Albert CAMUS, Carnets
son ciel.» Curieuse approche de la ville en effet que celle qui entreprend de la définir d'abord par la présence de sonciel «nu et démesuré», alors que le regard habituel nous fait plutôt découvrir des gratte-ciel gigantesques quiobstruent le ciel. Curieuse ville en outre que celle-ci, qui ne semble exister que par ce ciel au-dessus de sa tête, quilui donne sa véritable dimension. L'amour de Camus pour la ville transparaît aussi très rapidement, à la fin même dela deuxième phrase lorsque...
- Albert Camus - Biography.