886 résultats pour "aristote"
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Ethique à Nicomaque
« Dans le cas où l'homme exerce su r toutes choses un pouvoir absolu, son a u tor ité se transforme et devient oligarchique ; ce faisant, il agit sans t enir compte du mérite et ne se mo n tre pas supérieur.,. EXTRAITS Aris tote distingue les scienc es pratiques ( éthique et politique ) et les science s p oé tique s, comme la création littéraire. Pour faire comprendre que l'acti vité - la pra x is - n'a qu'un rôle d'outil pour parvenir à un b...
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4) Selon vous, le juge doit-il interpréter la loi ou bien l'appliquer à la lettre ?
SUJET26 Question 2 Dégagez les différentes étapes de l'argumentation. Remarque : Ce texte d'Aristote s'inscrit dans une réflexion sur la justice et l'équité. Nous distinguons en effet parfois l'équité de la justice, c'est-à-dire de la loi. Une telle distinction pose une «difficulté,, : où est le juste ? Sil se ramène à l'équitable, alors la justice n'est plus juste ; inversement. s'il se confond avec la justice légale, alors c'est l'équi...
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Kuhn la révolution scientifique
Cet ouvrage n’est paru pour la première fois (nous avons étudié la seconde et dernière édition) qu’à la fin de l’année 1962, mais l’auteur avait déjà, quinze ans auparavant, le conviction qu’un livre de ce type (concernant l’Histoire et le développement des sciences) devait être écrit : il était alors étudiant en doctorat et rédigeait sa thèse de physique. Peu de temps après, il quittait les sciences pour leur histoire en recevant une bourse de la Society of Fellows de l’université de Ha...
- Actes volontaires actes involontaires Aristote
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cours philo 2
conscient de sa force comme de sa faiblesse. Telle est sa grandeur tragique : la pensée. Cette expérience de la conscience de soi est en même temps l'expérience de la relation. Paradoxalement, la séparation d'avec le monde nous ouvre le chemin de la relation à autrui, c'est à dire du rapport au monde et aux autres. D'une conscience définie comme une intuition intime, nous sommes passés à une conscience réfléchie : le sujet conscient se prend lui-même comme objet de connaissance. Les au...
- Aristote devant un buste d'Homère de Rembrandt
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[De la généralité de la loi]
Né à Stagire (Macédoine) en 384 av. J.-C., mort à Chalcis (Eubée) en 322.Fils du médecin Nicomaque, il vint à Athènes et suivit l'enseignement de Platon, de 367 à 347. A la mort de sonmaître, et mal vu à Athènes en sa qualité de Macédonien, Aristote fonda une école à Axos, en Troade. La morttragique de son ami Hermias, livré aux Perses, l'obligea à se retirer à Lesbos. En 342, Philippe, roi de Macédoine, luiconfia l'éducation d'Alexandre. A l'avènement de celui-ci au trône, en 335, Aristote revi...
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éthique à nicomaque aristote (bonheur/amusement)
Ethique à Nicomaque en 349 avant Jésus-Christ est un des plus grands textes de l’histoire de la pensée, rédigé par Aristote. L'éthique peut être considérée comme la science des mœurs ou un ensemble des règles et de normes. Le nom Nicomaque, lui, est dédié soit au père soit au fils du philosophe, puisque les deux portent le même nom. L’œuvre se sépare en dix chapitres et découle de la philosophie d’Aristote, où il énonce notamment les concepts qui touchent à l’éthique, le bonheur, la vertu o...
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- MÉMENTO DES AUTEURS: Socrate, Platon, Aristote.
- « L'homme est par nature un animal politique. » Aristote, Les Politiques
- L'attitude philosophique selon Aristote et Nietzsche
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(Éthique à Nicomaque, liv. X) - ARISTOTE
II. LA CONTRADICTION ENTRE LES PAROLES ET LES ACTES - Le censeur des plaisirs peut être surpris en train d'en rechercher un (puisque, en ce qui le concerne, il sait qu'ils ne sont pas systématiquement mauvais). - Un tel spectacle sera automatiquement mal interprété puisque l'on n'y verra que la preuve de son hypocrisie. - De plus, «la foule>>, ignorant la distinction entre plaisirs positifs et négatifs, en déduira que «tout plaisir mérite d'être...
- LA PHILOSOPHIE ET LA SAGESSE D'APRÈS LA MÉTAPHYSIQUE D'ARISTOTE
- L'inné et l'acquis: ARISTOTE, SARTRE & UNAMUNO
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Un individu est-il un monstre en dehors de la société ?
C'est au second chapitre du premier livre de la « Politique » que l'on retrouve en substance la formule d'Aristote. On traduit souvent mal en disant : l'homme est un « animal social », se méprenant sur le sens du mot « politique », qui désigne l'appartenance de l'individu à la « polis », la cité, qui est une forme spécifique de la vie politique, particulière au monde grec. En disant de l'homme qu'il est l'animal politique au suprême degré, et en justifiant sa position,Aristote, à...
- « La nature ne fait rien en vain. » Aristote, Génération des animaux
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Kant : L’art est-il la représentation d’une belle chose ou la belle représentation d’une chose ?
2) Ainsi parce qu’imiter c’est aussi voir le monde avec recul, l’art agit comme un moyen de connaissance : Parlant de l’art Aristote déclare que « l‘on se plaît à regarder des images parce qu’en les regardant on peut apprendre et raisonner (…) ». En effet, l’habitude est génératrice d’indifférence, elle annule la distance qui existe en principe entre l’homme et le monde et rend ce dernier à la fois désirable et questionnable. Par co...
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L'homme est-il sociable par nature ou par discipline ?
« Mais l'homme qui est dans l'incapacité d'être membre d'une communauté, ou qui n'en éprouve nullement le besoin,parce qu'il se suffit à lui-même, ne fait en rien partie de la cité et par conséquent est ou une brute, ou un dieu »Ne pas appartenir à la « polis », lei d'humanité, c'est être soit infra-humain, soit supra-humain.L'exposé d'Aristote reprend la conception classique de la cité au sens grec. La cité n'est pas un Etat (forme barbarepour les Grecs), elle n'est pas liée à un territoire...
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La présence du temps
les unes passées, les autres futures; aucune n'existe, et le temps est pourtant une chose divisible "·Comment l'ins tant peut -il diviser le temps s'il existe sans exister? Cette question, et l'arrière -fond théorique qu i la soutient, sera développée explic itement dans les textes 2, 3 et 4. Après avoir posé ces apories. Aristote parvient tou t de même à une déf inition du temps. Il est clair que , dans la mes ure où il est à la...
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Le politique avant l'état ?
Plus étranges peuvent paraître les deux autres thèses, liées, d'Aristote, affirmant que la cité est une réaliténaturelle, et surtout, qu'elle est antérieure par nature à l'individu. Cela signifie que l'homme n'est pas autosuffisant :il n'est qu'une partie d'un tout : la cité, comme la mai est partie du corps. Pas plus que la main n'existe réellementsans le corps, l'individu humain n'existe sans la cité. C'est d'elle qu'il reçoit son humanité, son développement, sonstatut moral. « Mais l'h...
- Expliquer et discuter cette maxime d'Aristote : « La vertu est une habitude. »
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La métaphysique est-elle forcément une réflexion sur Dieu ?
La métaplzysique ne s'occupe pas seulement de Dieu •OM~• La métaphysique ne se situe pas après la physique. Elle n'est pas au-dessus des autres sciences, elle en est le prolongement. Le Dieu d'Aristote existe, mais il n'intervient pas dans notre monde. L'origine du mot «métaphysique» C ontrairement à ce que l'on pourrait croire, le mot «méta physique » (qui n'a ja mais été employé par Aristote) ne signifie pas «au-delà » ou «au-d...
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Analyse de texte - Aristote, Métaphysique: l'étonnement philosophique
Aristote, Métaphysique – Analyse de texte. L'homme est une espèce qui, par nature, veut toujours connaître l'inconnu, qui cherche une explication au monde dans lequel il vit. Alors, qu’est, selon Aristote, la connaissance et le savoir ? Pour Aristote, la connaissance est l’étonnement. Dans la première partie, nous verrons qu'Aristote définit l’étonnement comme l'origine de la connaissance, puis il définit la philosophie comme un art désintéressé et entièrement libre. Dans la première phras...
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LES ECHANGES.
ou utiles entre des groupes d'individus spécialisés. et détenteurs de « savoir-faire » appropriés, complémentaires les uns des autres. La vie sociale est donc liée au besoin; les échanges de tous ordres qu'elle a pour fonction d'organiser lui donnent à la fois sa raison d'être et sa nature (cf. Platon, République, Livre Ill 369 b.sq. et Aristote. Politi que, Livre 1. 3). • Ce que requiert l'échange qui sous-tend toute vie sociale...
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Peut-on affirmer que tout est politique ?
viser le bonheur, d'entretenir avec les autres hommes des liens libres, libérés de tout enjeu vital.Plus étranges peuvent paraître les deux autres thèses, liées, d'Aristote, affirmant que la cité est une réaliténaturelle, et surtout, qu'elle est antérieure par nature à l'individu. Cela signifie que l'homme n'est pasautosuffisant : il n'est qu'une partie d'un tout : la cité, comme la mai est partie du corps. Pas plus que la mainn'existe réellement sans le corps, l'individu humain n'existe s...
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La liberté et le bonheur sont-ils toujours compatibles?
- Toutefois, cette interprétation apparaît un peu légère, car peut-on vraiment considérer qu'il y a bonheur et liberté si cet homme est plus proche de la bête que de l'animal rationnel ? - Si l'on considère que non, l'on est contraint de chercher quelles seraient alors les conditions d'un bonheur et d'une liberté véritables. 2. Le bonheur et la liberté véritable reposent dans l'exercice de la vertu : - D'après A...
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A-t-on besoin d'amis?
seulement tant qu’il y a de l’ut ilité et du plaisir impliqués dans la relation, alors que la vraie amitié ne se dissout pas et ne dépend pas nécessairement de ces conjonctures. Dans son ouvrage Éthique à Nicomaque , Aristote affirme que l ’amitié est en effet une vertu et qu’elle est ce qu ’il y a de plus nécessaire pour vivre car « sans amis, personne ne choisirait de vivre, eût-il tous les autres biens ». Mais, rappelle-t-il, les divergences...
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COMMENTAIRES SUR ARISTOTE, Thomas d’Aquin (saint) (résumé)
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)COMMENTAIRE SUR ARISTOTE. Ouvrage de saint Thomas d'Aquin (1225-1274) composé en partie à Paris et en partie en Italie de 1265 à 1273 ; nous y trouvons exposées les raisons invoquées par le « docteur .angélique " pour faire admettre à la chrétienté la pensée d'Aristote. Le mérite essentiel de-saint Thomas fut de pénétrer l'essence des grandes théories de Platon et d'Aristote en les corroborant par l'apport des dogmes...
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Art et Mimésis : Aristote
l'homme. Il consiste à déployer l'intelligence telle qu'elle soi au service de ses fins ext. Il ne s'agit pas dans l'art de copier la nature. L'imitation dans l'art porte sur laprocédure de réalisation d'une fin. Procédure inconscient spontanée et instinctive, délibérée dans le cas de la production humaine. Pour Hegel, Aristote considèrequ'elle doit être évaluée à l'aune de la perfection naturelle. La délibération par les moyens u l'élaboration de la technique peut être complètement fausse. L'ha...
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sensation (philosophie) - philosophie.
un —. Comme chez Aristote, le sens commun est l’origine et l’expression de l’unité sensorielle. L’unité du sentir dans la multiplicité des sens est soulignée dans la justification augustinienne du nombre des sens : nous percevons le monde sensible grâce à la lumière corporelle (lux corporalis) qui se divise en cinq selon le nombre de nos sens : pure, elle est perçue par la vue ; mélangée à l’air, on la perçoit par l’ouïe ; mêlée à des vapeurs (mélange d’air, d’eau, de feu), c’est l’odorat ; à...
- Explication de texte: l'homme est un animale politique d'Aristote
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Que reprocher à la technocratie ?
inhumaine, il reste bien l'affaire de certains hommes, avec leurs intérêts et leurs défauts, ce qui doit pousser àdénoncer l'illusion d'une forme de pouvoir qui serait ni plus ni moins que la raison incarnée.On pourra trouver ici l'occasion de repenser la célèbre idée d'Aristote, selon qui la prudence est par excellence lavertu politique. Il ne faut pas entendre par « prudence » la peur du danger ou de mal faire, mais l'aptitude à bienagir en raisonnant sans pouvoir atteindre de vérité néc...
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- Note sur le livre I Ethique à Nicomaque d'Aristote
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Régimes politiques chez Aristote
Textes commentés 51 Avec III, 6, Aristote aborde la question des régimes. Il vient d'apparenter l'autorité politique aux autorités ou compétences s'exerçant pour le bien de quelqu'un d'autre (celles du père, de l'artisan), et accidentellement seulement pour le bien de ceux qui les exercent, par opposition à l'autorité du maître (despotès) sur ses esclaves, qui est surtout dans l'intérêt du maître. L'essentiel est en (c) : la forme d'un régime est corre...
- Aristote, De l'interprétation, Ix, trad. J. Tricot, Vrin.
- Onassis Aristote Socrate Homère Armateur grec
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Descartes et le désir
2 notre faiblesse à n e point faire la différence, le distinguo entre les désirs des choses qui correspondent à nos capacités et les désirs des choses qui n’y correspondent pas. Et d’une part pour fonder et j ustifier sa conviction sur l’effectivité, la réalité voire l’évidence de cette erreur et d’autre part pour nous détourner des choses vaines, l’auteur évoque et recourt à l’argumentation selon laquelle la bonté des choses qui dépendent de nous c...
- Rhétorique et dialectique dans le livre Ie la Rhétorique d'Aristote
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L'éthique ou la prudence d'Aristote
et dont l'effectivité témoigne d'un caractère digne de louanges. En ce sens, Aristote distingue les vertus intellectuelles (dianoètikaï ) qui s'acquièrent par la pensée (science – sophia – et sagesse pratique ou prudence – phronèsis ), des vertus morales, proprement éthiques ( éthikaï ) qui résultent de la pratique et de l'habitude ( éthos ). Les unes sont des dispositions du caractère relatives aux bonnes moeurs (modération, équité, justice, etc.) et les autres sont des dispositions de l...
- Aristote: La vertu est une disposition à agir d'une façon délibérée
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De la génération et de la corruption - Aristote
Textes commentés 45 Le traité physique dont ce passage est extrait s'interroge sur les causes de la venue à l'être et de la destruction des entités naturelles. Question de principe, s'il en est, à propos de laquelle Aristote considère que ses prédécesseurs ont abusé des facilités de l'abstraction théorique, et que ceci les a finalement conduits à de multiples apories lorsqu'ils ont entrepris d'expliquer les phénomènes physiques eux-mêmes. Ce qu'il...
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la constitution la meilleure - Aristote
Textes commentés 49 Selon Aristote, l'objet du savoir politique (savoir qui est, rappelons-le, celui des hommes politiques eux-mêmes) ne saurait être confondu avec la réalité matérielle des habitants de la cité, ni avec celle de son territoire. L'existence politique ne se réduit pas, en effet, à ses causes matérielles, car elle est tout premièrement déterminée par une causalité formelle, celle qu'exerce la« constitution» (politeia). À vrai dire, la p...
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Abelard, Tome I
substance.
eidos; to ti aen einai]. (Met., VII, 4.) On pourrait multiplier les citations.] Nous comprenons tous ces mots. Mais à mesure que nous descendons les degrés métaphysiques, nous voyons l'être se transformer par l'addition de nouveaux modes. A chaque degré supérieur est une essence plus ou moins commune qui se particularise au degré inférieur. Au premier degré est quelque chose d'universel qu'une addition divise et rend différent de soi-même. Aussi cette essence susceptible d'être ainsi différencié...
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ARISTOTE: la Métaphysique
"'-"'Y~== :.t----------. •fl .•. IE!!es modernes (xvn-xoConcepts • être par soi/être par accident : cette distinction permet de faire la part, au sein d'un même individu, entre ce qui est immuable (par exemple, pour un homme, avoir la faculté du langage) et ce qui, étant sujet au changement, est variable (être triste ou gai, grand ou petit ... ). Ce qui est «par soi», c'est donc ce qui appartient au noyau essentiel d'un être, sa...
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« Qui peut le plus peut le moins » ARISTOTE
Cette formule est l’une des plus importantes de l’histoire de la philosophie. Sous sa grande simplicité, elle exprime des points essentiels de la pensée aristotélicienne: le primat du degré, de la continuité sur la discontinuité et les distinctions tranchées. Elle apparaît chez Aristote dans un contexte précis, celui du De Caelo («Du ciel», I, 11), où il définit le possible et l’impossible. L’impossible désigne ce qui ne peut être ou devenir autrement. Le possible, au contraire, est ce qui peut...
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ARISTOTE: Nautre et Physique
principe de leur mouvement et de leur repos, c'est déclarer que la nature comme puissance n'est pas séparée de lanature comme ensemble des choses naturelles, mais que la première est immanente à la seconde. La nature commepuissance est immédiatement présente au sein de toutes les choses naturelles qui composent la nature au sensplat, superficiel du terme. Ce qui en retour permet de préciser ce qu'il faut entendre par puissance d'engendrement :elle est puissance d'engendrement du mouvement et du...
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LA CATHARSIS - Aristote
§J . La catharsis I 32 I sonnement » un langage «qui comporte rythme, mélodie et chant». Par «espèces utilisées séparément», il veut indi quer que certaines parties sont seulement déclamées en vers alors que d'autres bénéficient de l'aide du chant. Nous utilisons la traduction de Michel Magnien qui propose en Livre de poche une nouvelle traduction de la Poétique en l'accompagnant d'un très riche appareil documentaire. Avant d'évoquer les dif...
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l'homme est-il un animal métaphysique ?
Les exemples que donne Aristote sont éclairants ; les premières recherches se concentrèrent sur les objets à notreportée, puis les phases lunaires, puis le cours du Soleil, puis la formation de l'Univers. Deux points sont remarquables: D'une part, la philosophie n'est pas ici séparée de la science ; les exemples de recherches philosophiques sontdes exemples qu'on qualifierait aujourd'hui d'astronomiques. En fait la séparation de la science d'avec la philosophieest très tardive. Elle date du XVI...
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l'Homme est-il un animal métaphysique ?
Les exemples que donne Aristote sont éclairants ; les premières recherches se concentrèrent sur les objets à notreportée, puis les phases lunaires, puis le cours du Soleil, puis la formation de l'Univers. Deux points sont remarquables: D'une part, la philosophie n'est pas ici séparée de la science ; les exemples de recherches philosophiques sontdes exemples qu'on qualifierait aujourd'hui d'astronomiques. En fait la séparation de la science d'avec la philosophieest très tardive. Elle date du XVI...
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Platon et Aristote
faut rappeler qu'il vécut à une époq ue marquée par des révolutions success ives qui précipitent le déclin de la grandeur athén ienne. Après le désastre de Sicile en 413, la démocr a tie s'es t effondrée, mais il espère un moment que les Trente Tyrans arrivés alors au pouvoir , peut-€tre parce qu 'il comp te parmi eux deux proches parents , vont redresser la situation. Or les Tyrans règnent par la t erre ur. Le nouveau code de Justi...