55 résultats pour "disons"
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ÉPICURE: «...Et c'est pourquoi nous disons que le plaisir est le principe et la fin de la vie bienheureuse.»
déclare : « Une théorie non erronée des désirs sait rapporter tout choix à la santé du corps et à la tranquillité de l'âme puisque c'est là la perfection même de la vie heureuse. Car tous nos actes visent à écarter la souffrance et lapeur. » Eprouver du plaisir, c'est d'abord combler un manque : boire quand on a soif, se rassurer quand on a peur. En soi, un plaisir est toujours bon, une souffrance, un désir non comblé, toujours mauvais. Ainsi Epicure nous incite à classer nos désirs, et à a...
- A la une / Culture Reflet culturel Parler la même langue ne signifie pas dire la même chose Ce n’est parce que nous parlons la même langue que nous disons tous forcément la même chose.
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Lettre à Ménécée
Epicure
Extrait 128-132 : sur le plaisir
Et c'est pourquoi nous disons que le plaisir est le commencement et la fin de la vie
heureuse.
L'habitude, par conséquent, de vivre d'une manière simple et peu coûteuse offre la meilleure garantie d'une bonne santé ; elle permet à l'homme d'accomplir aisément les obligations nécessaires de la vie, le rend capable, quand il se trouve de temps en temps devant une table somptueuse, d'en mieux jouir et le met en état de ne pas craindre les coups du sort. Quand donc nous disons que le plaisir est notre but ultime, nous n'entendons pas par là les plaisirs des débauchés ni ceux qui se rattachent...
- De quoi avons-nous conscience lorsque nous disons: le temps passe ?
- Disons-nous la vérité par respect pour la vérité ?
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Epicure: Nous disons que le plaisir est la fin de la vie
— D'éliminer toute quête des plaisirs vains et artificiels.Ces « règles » nous permettent d'accéder effectivement à une absence de douleur physique (Aponie) et uneabsence de trouble psychique (Ataraxie). Tout dans l'épicurisme est subordonné à la poursuite du bonheur, lathéorie comme la pratique la science et la morale, tout est au service d'un bonheur conçu comme « la paix del'âme».d) La leçon d'Epicure« Il n'y a rien à craindre des dieux Il n'y a rien à craindre de la mort...
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Armonía - Música.
un final abierto sobre una cadencia imperfecta, y la segunda con un final cerrado sobre una cadencia perfecta. Dentro de las frases, los puntos de cambio armónico suelen coincidir con los tiempos acentuados del compás. En otras palabras: la ubicación de los cambios armónicos esuno de los elementos que hacen que el oyente escuche la alternancia regular de tiempos fuertes y débiles en el compás. Las progresiones armónicas tonales producen en eloyente la expectativa de ciertos tipos de resoluciones...
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Que voulons-nous dire lorsque nous disons d'un artiste qu'il a du génie ?
donc qu'aux règles qu'il se donne à lui-même. Et puisque « le talent comme faculté productrice innée de l'artiste,appartient lui-même à la nature, on pourrait également s'exprimer ainsi: le génie est la disposition innée de l'esprit(ingenium) grâce à laquelle la nature donne des règles à l'art ».Sans doute doit-on trouver dans les produits de l'art « toute la ponctualité voulue dans l'accord avec les règles,d'après lesquelles seul le produit peut être ce qu'il doit être »; mais cela ne doit cepe...
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- Nous disons que le plaisir est le principe et la fin de la vie bienheureuse.
- Les Pensées Blaise Pascal Le pari (233) -- Examinons donc ce point, et disons : " Dieu est, ou il n'est pas.
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La Presse Clandestine dans la Belgique Occupee
Pour finir, disons que le fait d'avoir ete en prison n'est plus du tout regarde en Belgique comme infamant.
clandestines, deja citees (p. 8 et 20), s'occupent aussi des sevices allemands. Mais la plupart de ces recits ont ete repris par la presse etrangere et par les Rapports de la Commission d'enquete; il serait donc superflu de les reimprimer. 1. Quelques exemples d'inhumanite. Pour donner une idee du genre de relations qui ont paru en Belgique, nous copierons les trois premiers numeros des Pages du Livre des douleurs de la Belgique. Cette serie a paru d'abord dans La Soupe (n deg.. 276, 280, 315, 3...
- L'expérience nous présente un flux de phénomènes : si telle ou telle affirmation relative à l'un d'eux nous permet de maîtriser ceux qui le suivront ou même simplement de les prévoir, nous disons de cette affirmation qu'elle est vraie.
- De Trinitate Saint Augustin Extrait traitant de la certitude Tout d'abord, ce savoir à partir duquel se forme notre pensée vraie, quand nous disons ce que nous savons, quel est-il et dans quelle mesure peut-il être donné à l'homme, si habile et si savant soit-il ?
- Tant que nous aurons le corps associé à la raison dans notre recherche et que notre âme sera contaminée par un tel mal, nous n'atteindrons jamais complètement ce que nous désirons et nous disons que l'objet de nos désirs, c'est la vérité.
- Le développement individuel nous apparaît comme un produit de l'interférence entre deux aspirations, l'aspiration au bonheur, que nous appelons habituellement « égoïste », et l'aspiration à l'union avec les autres en une communauté, que nous disons altruiste.
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ce dont nous sommes tombés d'accord : puisque chaque faculté a par nature son objet, qu'il y a deux facultés, l'opinion et la science, qu'elles diffèrent l'une de l'autre à ce que nous disons, il s'ensuit qu'il n'est pas possible que le connaissable et l'opinable soient identiques.
lA CONCEPTION DU SAVOIR 189 que comme des doubles?- G. Si.- S. Et les choses grandes ou petites, légères ou lourdes méritent-elles plutôt ces qualifications que nous leur donnons éven tuellement que les qualifications contraires? - G. Non, car toujours chacune tiendra des deux. -S. Chacune de ces multiples choses est-elle plutôt qu'elle n'est pas ce que l'on dit qu'elle est? - G. Elle res semble à ces propos à double sens qu'o...
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- Nous disons bonnes les vertus d'un homme, non pas à cause des résultats qu'elles peuvent avoir pour lui, mais à cause des résultats qu'elles peuvent avoir pour nous et pour la société : dans l'éloge de la vertu on n'a jamais été bien « désintéressé », on n'a jamais été bien « altruiste » !
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L'homme Qui Rit
l'homme de police, à ce glas de la prison où il avait été conduit, venait s'ajouter, disons mieux, s'ajuster cette
chose tragique, un cercueil porté en terre.
C'était un gentleman gras, au visage couleur cire, en perruque mondaine et en cape de voyage. Maître Nicless avait grand'peur du premier de ces personnages, le justicier-quorum. Si maître Nicless eût été de la cour, il eût eu plus peur encore du second, car c'était Barkilphedro. Un des hommes du groupe cogna une seconde fois la porte, violemment. Le tavernier, avec une grosse sueur d'anxiété au front, ouvrit. Le justicier-quorum, du ton d'un homme qui a charge de police et qui est très au fait d...
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Le sens de ce que l'on dit se réduit-il à ce que l'on veut dire ?
Cependant, le véritable problème est de savoir si, dans nos paroles elles-mêmes, s'expriment plus de choses que ceque nous voulons dire – cela indépendamment de problèmes « techniques » de langage, ou de problèmes de«traduction» de l'interlocuteur. Il y a tout d'abord des informations « générales » que nous donnons sur nous-mêmesà chaque fois que nous parlons. Notre façon de parler et le type même de langage que nous utilisons, par exemple,révèlent souvent notre nationalité, et même no...
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Dégagez l'intérêt philosophique du. texte suivant à l'aide de son'
étude ordonnée :
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« Nous disons...
. . Dégagez l'intérêt philosophique du. texte suivant à l'aide de son' étude ordonnée : _ · « Nous disons que le plaisir est la fin de la vie,. nous ne parlons·• pas des plaisirs des hommes débauchés ni de ceux qui consistent dans la jouis!!Snce, comme l'imaginent certaines gens,. mais nous· entendons le plaisir comme l'absenèe de douleur pour-le corps;' l'absence de trouble pour l'âme. Car ce ne sont ni dès beuveries, et des festins· à n'en plus finir, ni la jouissance de jeunes garçons ou de...
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Sciences formelles
Abstrait (entités abstraites)
Voir aussi« Concept0 », p. 67.
« Quand nous disons que les hommes sont nombreux,...
Sciences formelles Abstrait (entités abstraites) Voir aussi« Concept0 », p. 67. « Quand nous disons que les hommes sont nombreux, nous ne voulons pas dire que chaque homme est nombreux, ni non plus que quelques hommes sont nombreux. Ce qui est doué de la propriété d'être nombreux, c'est une certaine entité abstraite, la classe des hommes. Quand nous disons que l'homme est une espèce zoologique, nous voulons dire que cette entité abstraite, la classe des hommes, est une espèce zoologique. Quan...
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ÉTHIQUE DE NICOMAQUE - Livre II, chapitre I
2 l’art hippique lui-même et toute action se rapportant à la guerre tombent à leur tour sous l’art stratégique, c’est de la même façon que d’autres arts sont subordonnés à d’autres), dans tous ces cas, disons-nous, les fins des arts architectoniques doivent être préférées à toutes celles des arts subordonnés, puisque c’est en vue des premières fins qu’on pour- suit les autres. Peu importe, au surplus que les activités elles-mêmes soient les fins des actions, ou...
- « Je nie que nous ayons le libre pouvoir de suspendre notre jugement. Car, lorsque nous disons qu'on suspend son jugement, nous ne disons rien d'autre sinon qu'on voit qu'on ne perçoit pas une chose de façon adéquate. » Spinoza, Éthique, 1677 (posth.). Commentez cette citation.
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Le sens de ce que l'on dit se réduit-il à ce que l'on veut dire ?
l'entendront. Le sens admis par l'interlocuteur fera donc partie du sens de ce que nous disons, en plus de ce quenous voulons dire. Cependant, le véritable problème est de savoir si, dans nos paroles elles-mêmes, s'expriment plus de choses que ceque nous voulons dire – cela indépendamment de problèmes « techniques » de langage, ou de problèmes de«traduction» de l'interlocuteur. Il y a tout d'abord des informations « générales » que nous donnons sur nous-mêmesà chaque fois que nous parlo...
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Dieu peut-il être prouvé ?
« Ontologique » signifie relatif à l'ontologie, à l'être en tant qu'être. L'ontologie - en grec « discours sur l'être »-équivaut parfois à la métaphysique (ainsi, chez Aristote ). La preuve ontologique conclut l'existence à partir de l'es sence puisque Dieu est l'Être parfait, il existe de toutenéces sité en tant que parfait. On peut également évoquer la preuve que Descartes énonce dans ses Méditations métaphysiques , elle est connue sous le nom de « preuve par l'idée de parfait » :...
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Peut-on douter de tout ?
Mais la pensée sceptique est-elle indiscutable? Certainement pas, elle a une faille, une faiblesse majeure et se détruit elle-même. Cette pensée se pose en effet comme une connaissance vraie, pose comme vérité que la vérité est inaccessible. Jepeux donc douter de tout sauf du fait même qu'il faut douter de tout, donc je ne peux pas douter de tout!En considération de cet aspect, la pensée sceptique ne saurait donc être recevable et il convient d'en trouver les limites.Qu'est-ce qu'une idée vraie...
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Alain: L'homme réel est né d'une femme
par l'échange, thèse qui sera développée plus avant dans le texte. Ne demandez donc point comment un homme forme ses premières idées. Il les reçoit avec les signes ; et lepremier éveil de sa pensée est certainement, sans aucun doute, pour comprendre un signe. Quel est donc l'enfantà qui on n'a pas montré les choses, et d'abord les hommes ? Où est-il celui qui a appris seul la droite et la gauche,la semaine, les mois, l'année ? [...] Sans aucun doute tout homme a connu des signes avant de con...
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Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, La Vie de Marianne (1742). commentaire
20 Passons maintenant à l'histoire. C'est une femme qui raconte sa vie ; nous ne savons qui elle était. C'est la Vie de Ma rianne ; c'est ainsi qu'elle se nomme elle-même au commencement de son histoire ; elle prend ensuite le titre de comtesse ; elle parle à une de ses amies dont le nom est en blanc, et puis c'est tout. 2 5 Quand je2 vous ai fait le récit de quelques accidents de ma vie, je ne m'attendais pas, ma chère amie, que vous me prier...
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former d'autres, conformes à son bon état ; jugements que d'aucuns, par ignorance, qualifient de vrais, alors que, pour ma part, je prétends que les uns sont meilleurs que les autres, mais nullement plus vrais.
198 PLATON PAR LUI-MÊME -S. Mais alors, Protagoras, nous aussi, nous disons ce qui semble vrai à un homme, ou plutôt à tous les hommes, quand nous disons qu'il n'en est aucun qui ne s'estime en certains domaines plus savant que les autres, en d'autres domaines moins savant que d'autres; pas un, tout au moins dans les périls extrêmes, quand ils se déchaînent dans les guerres, les maladies, ou sur mer, qui ne considère...
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ses-tu pas comme moi que c'est malgré eux que les gens sont privés des bonnes choses, de leur plein gré des mauvaises ?
186 PLATON PAR LUI-MÊME tu préfères que nous l'interrogions, en l'assurant que s'il connaît quelque chose, loin d'en être jaloux, nous nous réjouirions de voir quelqu'un qui sait quelque chose. Dis-nous : celui qui connaît, connaît-il quelque chose ou rien ? Toi, Glaucon, fais-moi les réponses à sa place. - G. Je répondrai qu'il connaît quelque chose.- S. Quelque chose qui est ou quelque chose qui n'est pas?- G. Quelque chose...
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Que doivent etre les rapports entre science et technique (La science et la technique) ?
c) Désormais, on entre dans la « techno science ».Il y a ici rencontre de la science et de l'activité technique, mais la première n'a pas forcément eu pour finalité lestechniques auxquelles elle va donner lieu.Et pourtant, plus nous nous rapprochons du XXème siècle, plus la concomitance de la science et de la technique vas'accentuer. On pourrait faire le récit de la machine à vapeur, qui commence avec la « machine à poudre » deHuygens (XVIIe siècle), pour aboutir à James Watt (1769).Mais surto...
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La IIe République (Travaux Personnels Encadrés – HISTOIRE & CIVILISATION - Enseignements Pratiques Interdisciplinaires)
L'ABOunON DE L'ESCLAVAGE Le décret du 27 avril 1848 abolissant l'esclavage est l'œuvre du sous secrétaire d'État à la Marine, député de la Martinique et de la Guadeloupe, VidDI' Sdœlder. Dans l'esprit de ce grand humaniste, la République ne pouvait à la fois instaurer le suffrage universel en métropole et tolérer l'esclavage dans les colonies. Une première fois aboli par la Convention en 1794, l'esclavage avait été rétabli par Napoléon en 1802. Né...
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apportait aussi quelque défi, car c'était peu après l'intervention de Suzanne.
des amis, lesaccréditaient danslafonction ducouple quiestderayonner. Parfois,lasuite dégénérait, maisil avait euletemps desedire : « Ilya plus malheureux quenous. » — Certes, repritQuentin, lesfemmes sontbien capables detrouver dusentiment dansunragoût demouton pour peuqu’elles aimentunhomme. — Quand ellescessent d’entrouver, oud’en mettre, est-cequecela indique qu’ellesnel’aiment plus ? demanda Fouquetensetournant versSuzanne. — Cela veutsurtout direqu’elles attendent autrechose. — C’est bienc...
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Commentaire de texte Espoir, Malraux - L'Espoir, André Malraux, Deuxième partie : Le Manzanares, II. « Sang de gauche », chapitre X
les démocraties n'aident pas les démocraties.« Nous, démocrates, nous croyons à tout, sauf à nous-mêmes. Si un état fasciste ou communiste disposait de laforce des États-Unis, de l'Angleterre et de la France réunis, nous en serions terrifiés. Mais comme c'est notre force,nous n'y croyons pas.« Sachons ce que nous voulons. Ou bien disons aux fascistes : hors d'ici, sinon vous allez nous y rencontrer! - et lamême phrase le lendemain aux communistes, si besoin est.« Ou bien disons, une bonne fois :...
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EPICURE
« Quand donc nous disons que le plaisir est le but de la vie, nous ne
parlons pas...
� EPICURE « Quand donc nous disons que le plaisir est le but de la vie, nous ne parlons pas des plaisirs de l'homme déréglé, ni de ceux qui consistent dans les jouissances matérielles, ainsi que l'écrivent des gens qui ignorent notre doctrine, ou qui la combattent et la prennent dans un mauvais sens. Le plaisir dont nous parlons est celui qui consiste, pour le corps, à ne pas souffrir et, pour l'âme, à être sans trouble. Car ce n'est pas une suite ininterrompue de jours passés à boire et à...
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« Qu'est-ce donc que le temps? Si personne ne me le demande, je le sais; mais si on me le demande et que je veuille l'expliquer, je ne le sais plus. » Saint Augustin, Les Confessions, vers 400. Commentez cette citation.
LE TEMPS • 133 Et au livre XI, chap. XIV (trad. Pierre de Labriolle, Les Belles Lettres), on peut lire : « Qu'est-ce donc que le temps? Quand personne ne me le demande, je le sais; dès qu'il s'agit de l'expliquer, je ne le sais plus. » Quoi de plus familier, en effet, que le temps ? N'est-il pas intimement lié à toute notre expérience? Ne revient-il pas souvent dans nos conversations ? Quand nous en parlons, ne comprenons-nous pas ce que...
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Sait-on toujours ce que l'on dit ?
4 L'argument de la connaissance du mensonge . On sait lorsqu'on ment . Pensez à l'utilisation dissimulatrice de la parole du Prince chez Machiavel La parole du Prince. Le point est de bien jouer son rôle, et de savoir à propos feindre et dissimuler. Et les hommes sont si simples et si faibles que celui qui veut tromper trouve aisémentdes dupes. Il n'est donc pas nécessaire à un prince d'avoir toutes les bonnes qualités ; mais il lui est indispensablede paraître les avoir, on pourrait même dir...
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Peut-on apprendre à juger de la beauté ?
très bien ne pas donner son approbation en affirmant à l'inverse que l'oeuvre est ratée ou laide. Or ce n'est pas cequi se passe. Au contraire, le critique va susciter une discussion en faisant référence à un ensemble de critèresobjectifs de l'oeuvre qui lui permettrons de fonder son jugement. Il dira par exemple que telle peinture est belleparce que les proportions des corps y sont respectées à la perfection, parce que la palette de couleur participe àmerveille de l'ambiance générale de la scè...
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Sommes-nous maîtres de nos paroles ?
volonté, en plus de dire ce que nous pensons et du repère qu'elle constitue pour nous. · Pour faire cela, il est clair qu'il faut parfaitement maîtriser les mots, le langage en particulier. La parole est l'expression, par le langage de la pensée. Si un manque de maîtrise pouvait se faire jour,peut-être est-ce au niveau du langage, ou des mots, que cela pourrait se ressentir. 2. Cependant, nous utilisons un langage déjà crée. En maitrisons nous toutes les significations ? ·...
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Parler ses pensées de M. MERLEAU-PONTY
suffisant. Il n'est pas davantage de pensée qui soit complète ment pensée et qui ne demande à des mots le moyen d'être présente à elle-même. Pensée et parole s'escomptent l'une l'autre. Elles se substituent continuellement l'une à l'autre. Elles sont relais, stimulus l'une pour l'autre. Toute pensée vient des paroles et y retourne, toute parole est née dans les pensées et finit en elles. Il y a entre les hommes et en chacun une...
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Définition:
C'EST-À-DIRE (C'EST-À-DIRE QUE), locution adverbiale ou conjonctivale.
ÉDOUARD ESTAUNIÉ, L'Ascension de Monsieur Baslèvre, 1919, page 13. B.— [Information rectificative ou restrictive] Synonymes : seulement, simplement, disons plutôt que. La Môle. — ... on m'a parlé d'un accident... Coconnas. — C'est-à-dire que j'ai failli être assommé (ALEXANDRE DUMAS PÈRE, La Reine Margot, tome 5, 1845, X, page 4 ). — En particulier, familier. [Pour introduit une objection équivalant à un refus poli] Synonymes : malheureusement, seulement. « Vous venez avec nous dimanche? — C'es...
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Le jugement esthétique et téléologique chez Kant
88 FICHES POUR L'ÉTUDE DE KANT jugement scientifique applique rigoureusement les concepts de l'Entendement au Divers de la Sensibilité; d'autre part le jugement moral libère 1 'homme aussi bien de la nécessité du concept de la science que de la sensibilité. D'une part, le phénomène, 1' apparence auquel s'arrête la 1re Critique, d'autre part le noumène, la chose en soi. On voit nettement la dualité, on voit davantage la difficul...
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Sait-on toujours ce que l'on dit ?
-1 Le caractère de convention du langage fait que lorsque nous parlons, ce n'est pas nous qui parlons maisla société qui parle en nou s, pensez à l'opinion commune le « on » de Heidegger , les préjugès , l'héritage social qui parlent en nous. Toutes ces formes de déterminismes sont des obstacles à la véritable prise de conscience, de savoir de ce que nous disons. Mais pensez à l'hypocrisie des relation sociales, notamment à ladescription du théatre de Molière qui est un...
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Aristote, De l'âme (427b-428a), Éd. Les belles Lettres, Trad. Barbotin.
Textes commentés 39 Aristote discute ici les conceptions platoniciennes. Dans le Théétète Platon distingue trois définitions de la science -qui sont aussi bien des caractérisations de degré dans la connaissance : la science est (1) sensation, (2) opinion vraie, (3) opinion vraie exprimée dans un discours. La seconde définition met en jeu un état intermédiaire entre la sensation et la connaissance rationnelle (qui prend forme dans le discours)...
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Les hommes sont-ils faits pour vivre seuls ?
Comment pourrons-nous définir l'homme ? Nous devons nous poser cette question aux propylées de ce travail, dansla mesure où toute définition de l'homme implique une réponse implicite à la question que l'on nous poseprécisément. Si nous répondons qu'il est « un animal politique » comme le fait Aristote, c'est donc qu'il ne peut sesuffire à lui-même, qu'il est naturellement porté à rencontrer ses semblables, sans quoi il ne peut vivre. Si nousdisons qu'il est un être vivant capable de s...
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La vérité dépend-elle de nous?
connaissance soit général ou singulier. A chacun sa vérité entend-on nous souvent, mais on veut plutôt dire « à chacun son opinion » ! Nous exprimons ordinairement des opinons a tout propos. L'opinion est une sorte de jugement subjectif qui s'accommode de l'ignorance et des préjugés. Elle a un caractère très subjectif, très marquer pour cela nous utilisons des termes comme « je suis persuadée », « je suis convaincu »...mais alors comment expliquer des opinions contraires ? Il faut donc accepte...
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Si la vie était belle y aurait-il de l'art ?
la faculté que nous procure maintenant la science de comprendre l'universel esprit de non-vérité et de mensonge,de comprendre le délire et l'erreur en tant que conditions de l'existence connaissante et sensible. La probité auraitpour conséquence le dégoût et le suicide ; or, il se trouve que notre probité dispose d'un puissant recours pouréluder pareille conséquence : l'art, en tant que consentement à l'apparence. Nous n'interdisons pas toujours à notreregard d'arrondir, de finir ce que nous ima...
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de déshonorer votre famille, de vous rendre vous-même misérable !
aucun moyen d’accommoder cetteaffaire ? Venezparici,monsieur, danscette embrasure de croisée, oùnous serons entête-à-tête. Là,monsieur, là !Asseyez-vous s’ilvous plaît, monsieur. Maintenant, monchermonsieur, entrevousetmoi, nous savons très-bien, monchermonsieur, que vous avezenlevé cettedame pourl’amour deson argent. Nefroncez paslesourcil, monsieur, c’estinutile : jevous dis,entre vousetmoi, que nous savons cela.Nous sommes tous lesdeux deshommes dumonde, et nous savons très-bien quenosamis ic...
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TEXTE : LETTRE A MÉNÉCÉE D'EPICURE
d'une nourriture simple et non somptueuse porte à la plénitude de la santé, elle fait l'homme intrépide dans sesoccupations, elle renforce grâce à l'intermittence de frugalité et de magnificence, elle apaise devant les coups de lafortune.Partant, quand nous disons que le plaisir est le but de la vie, il ne s'agit pas des plaisirs déréglés ni des jouissancesluxurieuses ainsi que le prétendent ceux qui ne nous connaissent pas, nous comprennent mal ou s'opposent à nous.Par plaisir, c'est bien l'a...
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Le meurtre des enfants innocents est un problème célèbre, soulevé dans le texte de parashat
Noach.
choses :à mesure queleseaux montent, l'océanengouffre laterre ferme, etles montagnes et tous lestraits distinctifs dupaysage disparaissent ;lorsqu'ils finissentparréapparaître — comme ilsétaient apparus audébut de parashat Bereishit, lorsque Dieuavait séparé l'eaudela terre -nous sommes censésleressentir certainement commeuneseconde Création. Celien entre le crime etlechâtiment, autreinstance dusouci, dans Noach, concernant lafaçon dontles opposés coïncident secrètement peut-être,estrendu éviden...