25 résultats pour "omme"
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d ans c ette m aison, l a p lus r iche e t l a p lus f lorissante
d e t oute l a ville, il s erait h onteux d e n e r ien d ire q ui
r éponde à c e q u'on a d roit p ar t outes c es r aisons
d 'attendre d e n ous, ( 337e) e t d e n ous q uereller
c omme l es d erniers d 'entre les h ommes.
quelqu'un juge de notre entretien et que, s'il nous était inférieur en mérite, il ne convenait pas qu'il fût l'arbitre de gens qui valaient mieux que lui; s'il était notre égal, cela ne convenait pas davantage, parce que, étant tel que nous, il ferait la même chose, ainsi un pareil choix serait superflu. (338c) -Mais vous choisirez un plus habile homme que vous. Pour vous dire ce que je pense, à la vérité 55 , il me pa...
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es u n s avant h omme ( 335c).
même, beaucoup plus que tu ne fais, à courir aussi vite qu'eux, mais que cela passe mes forces, et que, si tu veux me voir courir à côté de Crison dans la même carrière, tu dois le prier de ralentir, parce qu'il peut courir lentement, et que je ne saurais courir vite. Si donc tu souhaites m'entendre discuter avec Prota goras, engage-le à continuer de me répondre comme il a fait d'abord, en peu de mots et précisément....
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Anthologie poétique : Mélancolie
Pourquoi tu es mis en ceste destresse, A mon povoir voulentiers t'aideroye; Car ja pieça je mis ton cueur en voye De tout plaisir ; ne sçay qui l'en osta ; Or me desplait qu'a présent je te voye L'omme esgaré qui ne scet ou il va. " - " Hélas, dis-je, souveraine princesse, Mon fait sçavez ; pourquoy le vous diroye? C'est par la mort, qui fait a tous rudesse, Qui m'a tollu celle que tant amoye En qui estoit tout l'espoir...
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H ommes et femmes portent des bijoux depuis la nuit des temps.
bijouterie byzantine hérita de Rome et de l'Orient. Les Barbares, du IV e au VIII e siècle, introduisirent en Occident la technique du cloisonné : sur une plaque d'or ou de bronze, des cloisons verticales des mêmes métaux ménagent des alvéoles où s'enchâssent pierres précieuses, verres de couleur ou cabochons ; les boucles de leurs ceinturons en fer étaient damasquinées, c'est-à-dire incrustées de fils d'argent. Avec la diffusion du christianisme, les bijoux régressèrent. On les connaît peu...
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Malebranche (1638-1715)
L'ORDRE DIVIN
C
omme tous les philosophes chrétiens, Malebranche considère
qu'il n'y a aucu11e contradiction entre la raison...
Malebranche (1638-1715) L'ORDRE DIVIN C omme tous les philosophes chrétiens, Malebranche considère qu'il n'y a aucu11e contradiction entre la raison et la foi. Mais alors que...
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Leibniz (1646-1716)
LES PRINCIPES DE LA RAISON
C
1.
omme Descartes, Leibniz veut établir les principes de la
science, mais...
Leibniz (1646-1716) LES PRINCIPES DE LA RAISON C 1. omme Descartes, Leibniz veut établir les principes de la science, mais il se défie de l'intuition. La vérité par le calcul A. Critique de Descartes ■ Les préceptes cartésiens sont bons, mais vagues : ils ne nous don nent pas de critères sûrs pour reconnaître la clarté et la distinction d'une idée. Ils en laissent l'appréciation à la conscience. C'est dangereux car souvent les hommes trouvent évident ce qui est obscur. ■ Il nous faut donc de...
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�;PÉCIFICITÉ DU DROIT
SELON ARISTOTE
(omme son maître Platon, Aristote
(384-322 av. J.-c.J a exercé une
influence capitale sur la...
�;PÉCIFICITÉ DU DROIT SELON ARISTOTE (omme son maître Platon, Aristote (384-322 av. J.-c.J a exercé une influence capitale sur la philosophie occidentale en général et sur celle du droit en particulier. On a même pu dire que c'est Arist,ote qui " fut probablement le fondateur de la philosophie du droit, si l'on prend ce mot au sens strid " (M. Villey, Philosophie du droit). C'est en tous cas la dodrine aristotélicienne du droit qui domina, à travers ses interprètes scolastiques (surtout Thomas d...
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q u'on d it, s ubit p ar l a s uite l a p eine d e s on l arcin
( 322a), d ont É piméthée avait é té l a c ause.
qu'elles missent de l'ordre dans les villes, et resser rassent les liens de l'union sociale. Hermès demanda alors à Zeus de quelle manière il devait faire la dis tribution de la justice et de la vergogne : Les distri bueraije comme on a fait les arts? Or les arts ont été distribués à un seul pour l'usage de plusieurs qui n'en ont aucune connaissance, et de même par rap port aux autres artisans. Suivraije la même règle d...
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« je r econnus e ncore T antale 27 » ,puisque P rodicos d e
C éos (315d) é tait aussi arrivé à Athènes.
Protagoras : Protagoras, lui disje, Hippocrate et moi sommes venus ici pour te voir. -Voulez-vous me par ler en particulier, nous dit-il, ou devant tout ce monde? -Peu nous importe. Quand je t'aurai dit ce qui nous amène, tu verras toi-même ce qui convient le mieux. -Qu'est-ce donc qui vous amène? -Hippocrate, lui aije répondu, est l'un de mes com patriotes, fils d'Apollodore, issu de l'une des plus grandes et des plus r...
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D ieu s eul u n p areil a vantage.
autour des mollets, on s'exerce sans cesse dans les gymnases, on porte des vêtements fort courts, comme si c'était par là que les Lacédémoniens sur passent les autres Grecs. Mais les Lacédémoniens, lorsqu'ils veulent converser tout à leur aise avec leurs sophistes, et qu'ils s'ennuient de ne les voir qu'en cachette, chassent de chez eux tous ces étrangers qui se trouvent dans leur ville; après quoi ils s' entretien nent avec...
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m ains e t d e l 'esprit, f açonné s ans n ul r eproche, q ui
e st difficile v éritablement.
peut renverser et mettre par terre celui qui est debout; de même, un malheur sans ressource peut abattre l'homme (344d) qui a des ressources en lui même, mais non celui qui n'en a aucune. Une grande tempête qui survient peut laisser le pilote sans ressource; une saison fâcheuse laissera aussi sans ressource le laboureur; il en est de même du médecin : parce que le bon peut devenir mauvais, comme le témoigne un autre po...
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u n a thlète v igoureux, j e fus d 'abord a veuglé e t
é tourdi d u d iscours d e P rotagoras, e t d es a pplaudissements d es assistants.
raison. - Et il condamne Pittacos qui ne dit pas, comme le pense Protagoras, la même chose que lui, mais une autre. Car Pittacos n'a pas dit comme Simonide qu'il est difficile de devenir homme de bien, mais d'être homme de bien. Or, Protagoras, être et devenir ne sont pas la même chose; c'est Pro dicos qui l'assure: et si être n'est pas la même chose que devenir, Simonide ne se contredit point. Peut être que Prodico...
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a ctions faites avec raison, le savoir?
ment, la déraison. Il en est tombé d'accord. -Si ces choses se font d'une manière contraire, elles sont donc faites par des principes contraires. -Oui. - Mais l'une est faite par le savoir, et l'autre par la déraison. - Oui. - D'une manière contraire. - Sans doute. -Donc par des contraires. -Oui. -Te souviens-tu que nous sommes convenus plus haut que la dérai son est le con traire de la sagesse? -Je m'en souviens. -Et que...
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c hez H ippocrate d e Cos, q ui p orte le m ême n om q ue
toi e t q ui d escend d 'Esculape 9 , e t q ue t u l ui offrisses
d e l 'argent, si q uelqu'un te d emandait, H ippocrate
( 3llc), à q uel t itre v eux-tu l ui d onner c et a rgent?
sophiste, Socrate. -Bon, lui aije dit, nous allons donner notre argent à un sophiste. - Précisément. -Et si le même homme te demandait encore ce que tu veux que Protagoras fasse de toi? À ces mots (312a), Hippocrate rougissant (car le jour était déjà assez grand pour me faire voir ce qui se passait sur son visage) me répondit: Si nous voulons être conséquents, il est évident que c'est pour devenir un sophiste. - Comment, par...
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ils s 'imaginent a u c ontraire q ue s
qu'on se laisse vaincre par le plaisir, par la douleur, ou par quelqu'une des autres passions dont je parlais tout à l'heure. - Vraiment, Socrate, il y a bien d'autres choses sur lesquelles les hommes n'ont pas des idées justes. -Essaie donc avec moi, Protagoras, de les détromper, et de leur apprendre en quoi consiste ce phénomène qui se passe en eux, et qu'ils appellent être vaincu par le plaisir (353a), et par conséquen...
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n ommer q uelque a utre m esure q ue l e plaisir e t l a
d ouleur ( 354c), q ue vous ayez e n vue 69 , p our a ssurer
q ue ces c hoses s ont b onnes?
temps, et la tournez-vous en tant de manières? Par donnez-le-moi, vous dirais-je : car, premièrement, il n'est pas aisé d'expliquer en quoi consiste ce que vous appelez être vaincu par le plaisir; en second lieu, de ce point dépend tout ce que je veux démon trer. Au reste, il vous est encore libre de revenir sur vos pas, (355a) au cas où vous appeliez «bien» quelque chose d'autre que le plaisir, et «mal» quelque autre...
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h ardis n e sont-ils pas c ourageux?
dais d'abord (350e) si les gens vigoureux sont forts, je dirais que oui; ensuite, si ceux qui savent lutter sont plus forts que ceux qui ne le savent pas, et depuis qu'ils ont appris, plus qu'ils ne l'étaient aupa ravant;j'en conviendrais encore. Ces choses une fois accordées, il te serait libre de te servir des mêmes arguments, pour conclure que de mon aveu la sagesse est la même chose que la vigueur. Pour moi, je n'acc...
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t ement q uel p arti il p rendrait.
communiquer, et avec lequel il la vérifie. C'est pour cette raison que je m'entretiens volontiers avec toi plutôt qu'avec tout autre, persuadé comme je suis que tu as parfaitement étudié toutes les matières qu'il convient (348e) au savant d'approfondir, et en particulier celle de la vertu. Et quel autre consulte rais-je préférablement à toi? Toi qui te piques d'être homme de bien, non pas à la manière de quelques uns, qui...
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d ons ce p oint, r épondit-il, n ous d étruirons t ous n os
a veux p récédents.
opposée à l'ignorance de ces mêmes objets? Il fit un nouveau signe de tête. L'ignorance de ces objets n'est-elle point la lâcheté? Il fit encore un signe, mais avec bien de la peine. La science des objets qui sont ou ne sont pas à craindre est donc le courage, puis qu'elle est opposée à l'ignorance de ces objets. Ici il ne voulut plus faire de signe, ni dire un seul mot. - Quoi donc, Protagoras, tu ne réponds ni oui ni...
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l 'étude.
la vertu comme pouvant être enseignée et acquise. Voilà qui est, ce me semble, suffisamment démontré. (324d) Il reste encore une difficulté à éclaircir, et qui a pour objet les hommes vertueux. Tu me demandes pourquoi ils font apprendre à leurs enfants tout ce qui dépend des maîtres, et les rendent habiles en toutes ces choses, tandis qu'ils ne sauraient les rendre meilleurs que le dernier des citoyens dans la vertu où...
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m on cher, q uelque n om q u'il t e plaise d'employer, soit
agréable, soit joyeux, soit délectable, r éponds à c e q ue
j e t e d emande.
d'accord de chacun de ces points. Qu'appelez-vous donc du nom de terreur et de crainte? Entendez-vous par là la même chose que moi? Pour moi, je dis que c'est l'attente d'un mal, soit que (ceci s'adresse à toi, Prodicos) vous l'appeliez crainte ou terreur. Protago ras et Hippias jugèrent que la crainte et la terreur n'étaient autre chose que cela. Prodicos l'accorda de la crainte (358e), et le nia de la terreur. - Peu m'i...
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é prouvent d e p areils traitements, o nt l
tique; et« toute action où il n'entre rien de honteux est honnête». Il ne faut pas prendre ces derniers mots comme s'il disait (346d) : «Toute couleur où il n'y a point de mélange de noir est blanche» ; ce serait un sens ridicule de plus d'une manière; mais il parle ainsi, parce que, entre l'honnête et le honteux, il admet un certain milieu, qu'il ne condamne pas. Je ne cherche point, dit-il, un homme tout à fait sans...
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J e c rois ê tre d e ce n ombre, e t j e m e flatte d 'avoir
é té p lus loin q u'aucun a utre d ans l a d écouverte d e
c e q ui r end v ertueux; e t c ela v aut b ien l e p rix q ue
j 'exige p our l 'enseigner, e t m ême davantage, a u j ugement d e m es p ropres élèves.
continuais à le regarder, croyant qu'il dirait encore quelque chose, plein du désir de l'entendre. Cepen dant, m'étant aperçu qu'il avait réellement cessé de parler, je rassemblai avec peine mes esprits et, me tour nant vers Hippocrate, je lui dis : Fils d'Apollodore, que je te suis reconnaissant de m'avoir engagé à venir ici! (328e) Je n'aurais manqué sous aucun pré texte ce que je viens d'entendre de Protagoras. Jus qu'à...
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S OCRATE
D 'Abdère 4 o
L 'AMI D E S OCRATE
E t c et é tranger t 'a s emblé si b eau q ue t u l e trouves
plus b eau q ue le fils d e C linias?
SOCRATE (310a) Nous avons eu une conversation fort longue. L'AMI DE SOCRATE Et pourquoi ne pas nous raconter cette conversa tion, si tu n'es pas pressé. Assieds-toi ici, et fais lever cet esclave. SOCRATE Avec plaisir! Je vous remercie de m'accorder cette attention. L'AMI DE SOCRATE Tout le plaisir est pour nous, c'est nous qui te remercions bien plutôt! SOCRATE En ce cas, puisque le plaisir est partagé, vous n'avez do...
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C'ÉTAIT DEMAIN
Nicholas MEYER (1979)
Karl A LEXANDER,
S teve H AYES
Paul L
LE CAVALIER ÉLECTRIQUE Réalisation Scénario .............. . D'après une idée originale de Directeur de la photographie Musique ......... . Sydney POLLACK (1979) Robert GARLAND Shelly BURTON Owen ROIZMAN, A.S.C. (Technicolor) David GRUSIN Production .............................. . Ray STARK Distribution ................................ . C.I.C. Durée ................... . 120 minutes INTERPRÉTATION Sonny Steele Hallie Martin Charlotta . ....