1045 résultats pour "platon"
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Connaissance et maîtrise du désir ?
C. La fonction désirante Pour Platon, le désir définit une fonction de l'âme. Mais cette fonction n'est pas isolée, elle est en relation avecd'autres fonctions. C'est uniquement lorsqu'on a défini la nature de ces relations qu'on peut véritablement saisirl'essence du désir.Pour Platon, l'âme a une existence distincte de celle du corps : elle a existé avant d'être enfermée en lui, elle existeraaprès sa disparition. L'âme est immortelle. Elle est source et principe du mouvement, elle est ce qui a...
- grecque, philosophie
- Ficin, Marsile - philosophie.
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Lorsque je dis : « j'ai raison », mon interlocuteur n'a t-il plus qu'à se taire ?
II – Dire le vrai implique t-il la fin du dialogue ? Dans le cadre des dialogues platoniciens, à première vue, dire le vrai clôture l'interlocution : il n'y a plus qu'à setaire. Mais considérons à nouveau en quoi cela consiste. Nous avons dit qu'il fallait être capable de fournir la raisonde ce que l'on avançait. Fournir la raison dévoile la coïncidence parfaite entre ce que nous disons et l'ordre de lavérité. Pourtant demeure le problème de savoir comment on peut s'assurer qu'il s'agit d'une b...
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Annalyse allegorie de la caverne
confortable condition d'êtres inconsciemment soumis. Que représentent l'intérieur et l'extérieur de la caverne, ainsi que les prisonniers ? L'intérieur de la caverne et les prisonniers représentent le monde sensible où les hommes vivent et s'illusionnent en pensant que ce qu'ils voient et entendent est la réalité, en pensant savoir alors qu'il ne s'agit que de croyances et d'opinions. Une vie illusoire donc, une condition de vie à mettre en relation avec celle des hommes dans le film Matrix...
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comment reconnait-on un discours vrai ?
cherche, mais dans ce cas, pourquoi la chercher ; soit on ne sait pas en quoi consiste la dite vérité, et alorscomment la reconnaîtra-t-on ? Le paradoxe consiste à dire qu'on ne peut reconnaître que ce que l'on a déjà connu,or, dans le cas de la vérité, si on la connaît, on n'a pas besoin de la chercher. B. la solution de Platon : le mythe de la reconnaissance Platon, pour sortir de cette aporie expose le mythe de la réminiscence : connaître, c'est toujours se souvenir, caren fait nos âmes,...
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La justice ne relève-t-elle que de l'Etat ?
descendit et entre autres merveilles, que les mythes racontent, il vit un cheval de bronze, creux, avec desfenêtres par lesquelles il aperçut un cadavre d'une taille plus grande qu'un homme, qui ne portait sur lui qu'unebague d'or. Gygès s'en empara et remonta à la surface. Chaque mois les bergers tenaient une assemblée pourfaire un rapport au roi sur l'état de ses troupeaux. Gygès se rendit à cette réunion portant cette bague audoigt. S'étant assis au milieu des autres il lui arriva par hasard...
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Le désir n'est-il pas nécessairement passif ?
chose est bonne parce que nous faisons effort pour l'avoir, la voulons, tendons vers elle et la désirons. »(Éthique, III, P. 9, Sc.). Ainsi le désir, reconnu par toute la philosophie comme le dynamisme immanent à lanature, exprime directement l'essence de l'être fini, ou puissance finie. On peut aller plus loin. L'homme n'a-t-il pas généralement conscience de ses appétits ? Or l'« appétit avec laconscience de l'appétit » n'est pas autre chose que le désir. C'en est même une définiti...
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La justice est-elle une vertu ou une illusion ?
Et concernant ce qu'on a appelé « le sentiment » de justice ou d'injustice, ne peut-on pas estimer que sa sourceprovient en fait des valeurs sociales qui nous ont été transmises ? Le fondement moral de ce qui rend une action,une personne, une idée « juste » n'est peut-être lui-même qu'une illusion. On se demandera donc en quel sens la justice est vertueuse, tout en la soupçonnant de n'être peut-être qu'uneillusion. Première partie. La justice : une vertu. La justice est une vertu cardinale, comm...
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Fiche de cours en philo : LA VERITE .
Le vrai tournant est celui de la philosophie cartésienne. Avec Descartes, se produit une «subjectivation» de lavérité, devenue la marque même de l'esprit humain. La vérité cesse d'être relative à l'Être, cette réalité ultime,absolue et stable, (Parménide) ou à l'Idée (Platon), pour être liée désormais à la certitude de l'esprit pensant.La doctrine moderne de la vérité commence ici à se faire jour. Descartes, en poussant le doute jusqu'au bout,parvient à une certitude inébranlable. Il...
- Cours: LE DESIR (2 de 4)
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Une connaissance métaphysique est-elle possible ?
Au lieu de chercher à découvrir des causes dans l'Univers, il invente une cause de l'Univers. Si chez Kant l'espace et le temps, cadres subjectifs de toute perception,nous masquent à jamais le fond des choses, d'après Marx c'est encore latemporalité, le devenir qui ruine toute possibilité de métaphysique. En effetalors que les systèmes métaphysiques prétendent exprimer des réalitéséternelles, ils ne reflètent à leur insu, et d'une manière déguisée, que lesconditions de la v...
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LES ECHANGES.
ou utiles entre des groupes d'individus spécialisés. et détenteurs de « savoir-faire » appropriés, complémentaires les uns des autres. La vie sociale est donc liée au besoin; les échanges de tous ordres qu'elle a pour fonction d'organiser lui donnent à la fois sa raison d'être et sa nature (cf. Platon, République, Livre Ill 369 b.sq. et Aristote. Politi que, Livre 1. 3). • Ce que requiert l'échange qui sous-tend toute vie sociale...
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Peut-on parler de travail intellectuel ?
L'étonnement, pour les Grecs, est donc l'origine véritable de la recherche philosophique. L'étonnementconsiste en l'arrêt admiratif devant une chose que l'on ne comprend pas. Le mot n'est pas à comprendre ausens moderne cad la stupéfaction devant quelque chose d'inhabituel.Le sens commun, la plupart des hommes ne s'étonnent que devant un phénomène extraordinaire, qui échappeà la routine, et dont il est clair qu'on ne le comprend pas, qu'on ne peut le classer dans les rubriqueshab...
- Aristote (384-322 av. J.-C.): Sa vie
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Faut-il aimer la vérité plus que tout ?
3) UN AMOUR ABSOLU NÉCESSAIRE - Nul doute qu'à mentir en permanence toute vérité disparaît. Mais est-ce souhaitable ? A moins de renoncer àtoute existence sociale, toute convention linguistique avec autrui exige une permanence de la vérité. Pour cela ilconvient, à l'instar de l'allégorie de la caverne de Platon, de distinguer l'apparence de l'être.D'une part afin de ne plus subir les effets rhétoriques des faiseurs et de retrouver ainsi un jugement critique(arrachement et conversion du...
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L'opposition réalité/apparence: l'hypothèse des idées
Les Idées comme réalités. 3. Les Idées sont plus que les définitions de Socrate, ce ne sont pas seulement des éléments de discours, ce sont desréalités en soi. Elles répondent à une question métaphysique : comment la connaissance est-elle possible? Elles sontdonc des réalités en soi qui fondent la possibilité de la connaissance. Les Idées platoniciennes ne sont pas des idéesau sens moderne de représentations mentales, ce sont des réalités au delà de l'expérience mais qui fondentl'expérien...
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Peut-on reprocher à un art de ne rien nous apprendre ?
de sorte qu'il serait logiquement impossible de reprocher à un art de ne rien nous apprendre (l'art étant par essence porteur d'un enseignement) ? 2- TOUT ART ÉTANT INSTRUCTIF , IL EST IMPOSSIBLE DE REPROCHER À UN ART DE NE RIEN NOUS APPRENDRE Aristote admet que l'art est mimétique. Cependant, il refuse la transcendance des idées et du même coup, la soumission de l'art à des normes extérieures établies par le censeur philosophe. Ce qui l'amène à légitimer que l'onreprésente des choses...
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Peut-on justifier que l'homme voit mieux s'il est amoureux ?
Diotime : « Celui qu'on aura guidé jusqu'ici sur le chemin de l'amour, après avoircontemplé les belles choses dans une gradation régulière, arrivant au terme suprême,verra soudain une beauté d'une nature merveilleuse, beauté éternelle, qui ne connaît nila naissance ni la mort, qui ne souffre ni accroissement ni diminution, beauté qui n'estpoint belle par un côté, laide par un autre, belle en un temps, laide en un autre, bellesous un rapport, laide sous un autre, belle en tel lieu, laide...
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[PHILOSOPHIE-POLITIQUE] ARISTOTE
conçu par Aristote sur le type biologique, lui semble être un effort d'adaptation, de réalisation d'un équilibre idéal,épanouissement de l'individu. Nous disons encore aujourd'hui « la forme », au sens sportif de « la bonne forme » ou« la pleine forme » par exemple, pour signifier la complète actualisation de toutes nos puissances. L' « acte » prenddonc un sens plus précis : l'individu, par son effort pour être en pleine forme, cherche à réaliser son optimum destabilité, d'efficacité et d'être,...
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Besoin et désir, est-ce la même chose chez l'homme ?
cible, incapables de la définir et de l'atteindre. Epicure commence par expliquer que nous n'avons rien à redouter des dieux, vivants bienheureux qui ne se soucient pas des hommes, et que la mort n'est rien pour nous. Débarrassés du souci du jugement divin et de lasurvie de l'âme, nous sommes alors aptes à bien vivre notre vie présente. Bien vivre notre existence veut direparvenir au bonheur ici-bas, et cela n'est possible que par un bon usage des plaisirs et des désirs. L'homme est un...
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Sommes-nous justes uniquement par contrainte ?
ordre de subordination est perverti (lorsque les passions par exemple commandent aux autres parties), l'anarchie quis'empare de l'âme entraîne sa véritable maladie, que nous appelons « vice », car elle devient sujette aux désirs sansfrein, à la démesure et aux excès. L'âme ainsi pervertie souffre de ce désordre quand elle se laisse tenter par lecrime et qu'elle désobéit aux lois qui incarnent, au niveau de la Cité, la raison humaine.La réponse de Socrate à Glaucon ne porte donc pas sur le résult...
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fiche de lecture gorgias
Gorgias discute sur sa thèse, selon laquelle la rh étorique, proc édé propre au discours, traiterait de sujets importants, concernant l'humanit é, et capable d'apporter du bien à l'homme ; ex : page 452 (‘ ce dont je veux parler c’est du pouvoir de persuader gr âce aux discours, aussi bien les juges au Tribunal que les conseillers au Conseil, et l’ensemble des citoyens à l’assembl ée , du pouvoir de persuader dans n’importe quelle r éunion qui soit une r éunion de citoyens...
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l'opinion se justifie-t-elle ?
Transition. Toutefois, si l'opinion désigne un état intermédiaire, ne peut-elle mériter aussi, sous un angle, le nom deconnaissance ? A-t-elle toujours nécessairement tort ? Doit-on penser qu'il faille détruire l'opinion ignorant toutepensée véritable ? B. L'opinion, faculté située entre deux extrêmes, n'est pas totalement inadéquate. Liée à la connaissance empirique, à la puissance du sensible, des sens et de la tradition, l'opinion est-elle, dans tousles cas et toujours, de manière né...
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- La naissance de la philosophie
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Dissertation: Ne suis-je qu'un corps ?
toutes les possibilités, pour nous expliquer que l'Homme est principalement une âme et que le corps occupe donc une place inférieure aussi appelé « corps-tombeau ». Nous pouvons de cette façon comprendre que le corps a une position qui handicape le sujet car il le réduit à l'esclavage. Par exemple, nous avons besoin de nous alimenter pour survivre. Ainsi, notre corps peut réduire l'âme à assouvir ce désir, c'est à dire manger. L'âme peut donc commettre des...
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LA NOUVELLE IMAGE DU MONDE : DE NICOLAS DE CUES A GIORDANO BRUNO
cinquante ans, l'image du monde se modifie totalement et cela grâce aux seules armes d'une réflexion théorique sur le cosmos. Copernic excepté, la Renaissance s'essaie sur des idées et des hypothèses : c'est sa grandeur et sa faiblesse. Paradoxalement, le renouveau commence par un retour au passé, par une reprise de !'Antiquité qui conduit à l'éclatement et au dépassement d'wie scolastique épuisée par de trop subtiles analyses...
- LE mythe de la caverne
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L'énigme de Socrate - Qui était Socrate ?
Comment Socrate peut-il se défendre ? Il ne peut nier l'accusation qui porte sur le culte particulier, ni celle quil'accuse de corruption par incivisme. D'après l'Apologie de Platon, les accusateurs ont tenté un compromis, d'autantque Socrate compte parmi eux autant de partisans que d'adversaires. Donc, la première condamnation fut acquise àune faible majorité.Le compromis consiste à demander à Socrate de s'engager à abandonner son enseignement. Il refuse : il a déjà étéinterdit par Critias et...
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Le désir est-il une misère pour l'homme ?
Le désir, selon Locke, est d'abord inquiétude ressentie à l'égard d'une chose « qui si elle était présente nouscauserait du plaisir ». Le désir se distingue de l'aversion et en cela, il n'est pas simple réceptivité du manque, purepassivité : l'inquiétude nous met en mouvement, nous fait tendre vers cet objet qui nous manque. On quitte alors le plan statique du simple constat de l'absence pour passer au plan dynamique de l'attraction (et en ce qui concerne lapeine) de la répulsion. b)...
- Grand cours: L'ART (VII de X)
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Puis-je savoir si j'aime ?
Corrigé 1. L'amour est une évidence et une certitude Cette partie constituerait une réponse à la question : lorsque j'aime quelqu'un, puis-je vraiment le savoir ? L'amourcomme sentiment ne peut tromper. Sa véritable nature est immédiate et s'impose comme telle. Le sentimentamoureux à la même évidence que le cogito cartésien. La référence à Épicure, pour qui le critère de la science est lasensation, constituerait un bon point d'appui. En effet, pour lui, les sensations que nous avons de no...
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- Cours: ART ET VERITE
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Physis et Ontologie
Les présocratiques : une vraie « pensée philosophique » Physiologues ou Philosophes ? Les Présocratiques se consacrent, pour la plupart, à l'étude de la Phusis, ce qui fait qu'Aristote les désigne par le nomd'anciens « physiologues », et qu'on les appelle parfois les anciens « physiciens », plutôt que « philosophes ». Mais est-cevéritablement leur rendre justice ?La Phusis (ϕ́υσις) est un des concepts fondamentaux de la philosophie grecque. LesRomains l'ont t...
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L'homme esclave de ses passions selon Spinoza
Les sujets • L'homme se reconnait-il dans ses passions ou dans leur maitrise ? 1. Les passions révèlent de quoi un homme est capable (elles donnent la mesure d'une personnalité). (Rousseau) Il. Mais le passionné agit comme s'il n'était plus lui-même (la passion comme aliénation ; voir p. 51 ). (stoïcisme) Ill. L'homme se reconnaît par sa capacité de dominer ses passions et de les mettre à son service . (Nietzsche) • Les pa...
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LE DÉSIR EST-IL LA MARQUE DE LA MISERE DE L'HOMME ?
étaient ronds de forme, disposaient de quatre jambes, quatre bras, de flancs circulaires, de deux visagesopposés l'un à l'autre sur une même tête ronde, et jouissaient dune force extraordinaire ; leur orgueilimmense les poussaient à provoquer les dieux auxquels ils en étaient venus à se comparer. Zeus décidade mettre un terme à leur indiscipline en les affaiblissant. Pour ce faire, il les coupa en deux dans le sensde la longueur et chargea Apollon de ramener leur peau sur le ventre (le point de...
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Une oeuvre d'art se contente-t-elle d'imiter ?
est celui qui est capable de représenter dans un espace à deux dimensions un objet qui, lui, occupe un espace àtrois dimensions. Plus l'image produite par le peintre semble vraie, plus elle est en fait infidèle à son modèle tel qu'ilest. L'exactitude de l'art repose sur la déformation du réel sensible (cf. les règles de 1a perspective). 2) Parce que l'art n'est qu'imitation . L'imitation de quoi ? Des apparences sensibles, de la réalité telle qu'elle se manifeste à nous par l'intermédiaire de...
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La justice ne relève-t-elle que de l'Etat ?
« ... Gygès le Lydien était un berger au service du prince qui régnait jadis en Lydie. Un jour, à la suite d'unviolent orage, la terre se fendit et un gouffre se creusa sur les lieux de son pacage. Stupéfait, Gygès ydescendit et entre autres merveilles, que les mythes racontent, il vit un cheval de bronze, creux, avec desfenêtres par lesquelles il aperçut un cadavre d'une taille plus grande qu'un homme, qui ne portait sur lui qu'unebague d'or. Gygès s'en empara et remonta à la surface. Cha...
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Les inégalités sont-elles toujours injustes ?
" [...] il est aisé de voir qu'entre les différences qui distinguent leshommes, plusieurs passent pour naturelles qui sont uniquementl'ouvrage de l'habitude et des divers genres de vie que les hommesadoptent dans la société.Ainsi un tempérament robuste ou délicat, la force ou la faiblesse qui endépend, viennent souvent plus de la manière dure ou efféminée dont ona été élevé, que de la constitution primitive des corps. Il en est demême des forces de l'esprit, et non seulemen...
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L'homme est-il condamné à l'illusion ?
description des processus de la vision montre qu'il n'en est rien, car nous éprouvons à tout instantl'incommunicabilité des idées visuelles et des idées tactiles. L'illusion selon laquelle il y aurait une idéecommune à la vue et au toucher, une idée abstraite d'étendue vient de l'emploi de mots. Le langage nous faitcroire, à tort, à l'existence d'entités abstraites, mais il n'y a pas de réalité en dehors de la perception. Maisalors, si la matière comme substrat, comme réalité in...
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Toutes les inégalités sont-elles injustes ?
Rousseau, qui pourtant défend l'égalité parmi les hommes comme principepolitique absolu, ne nie pas qu'il existe des inégalités naturelles: la différenced'âge, la santé, la force du corps, les capacités intellectuelles... Cesinégalités ne sont injustes que dans la mesure où elles concernent l'homme.L'ordre naturel, quant à lui, n'est ni juste ni injuste. Dire qu'il est injuste quemon voisin soit plus grand que moi est une ineptie. " [...] il est aisé de voir qu'entre les différences qui...
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COMMENTAIRE SUR ARISTOTE. (résumé & analyse) de saint Thomas d’Aquin
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)COMMENTAIRES SUR ARISTOTE, ode 1265 à 1273. THOMAS n'AQUIN (saint), vers 1225-1274. Ces textes n'ont pas d'autre ambition que d'expose r, le plus fidèlement possible, la doctrine du Stagirite. Ainsi, Thomas en commente les principaux thèmes: la «Logique» qui traite du raisonnement, de l'affirmation et de la négation; la «Phy sique» à laquelle il s'oppose: pour lui Dieu procède de lui-même et est aussi à l'origine de la cr...
- Cours: LE POUVOIR (1 de 3)
- Philosophie : Synthèse
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Kant : le mal radical
Les sujets • Peut-on être sûr de bien agir ? 1. L'action n'échappe à l'arbitraire qu'en se laissant guider par une maxime qu'on peut élever en loi universelle. (Kant) Il. Mais toute adion suppose un risque dans la mesure où l'on ne peut prévoir la totalité de ses conséquences. (Hegel) Ill. Ce risque est néanmoins mesuré par la prudence, la faculté d'agir de façon appropr iée à la situation en se gardant des extrêmes. (Aristo...
- Socrate et la méthode socratique
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Vie et oeuvre de PLOTIN ?
1 — L'Un. Hypostase suprême est le Tout, la source de l'Univers, l'Unité de l'Univers, son Etre dernier et premier. Premier, Un etc... ne doivent cependant pas être pris pour des attributs de cette hypostase, car cela ladéterminerait, ce ne sont que des manières d'en parler. Aucun mot ne lui convient en propre car elle n'a rien decommun avec les choses d'ici-bas. On ne peut lui prêter ni la Bonté, ni la Sagesse, ni la Liberté car ce seraitl'humaniser et la rabaisser. Pas même la...
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Le désir peut-il être désintéressé ?
compréhension ne surgit que si l'on a d'abord exploré toutes les directions et fait appel à toutes les méthodes(Lettre VII ). Ce mouvement est celui, décrit dans Le Banquet , des morts et des renaissances d'Éros, tantôt manquant de l'essentiel, et tantôt plein de ressources. L'illumination n'a pourtant pas le dernier mot, elle doit êtremise à l'épreuve, de même que le travail de la définition n'est jamais purement logique dans la mesure où il esttoujours orienté par le désir de sav...
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L'art est-il le dévoilement d'une vérité?
connaître les choses. L'art que critique Platon plaît en abolissant toute distance, il séduit, il enchaîne au lieu de libérer. L'art ne peut que tenter d'atteindre la beauté, tentative souventraté. 2) L'art vise l'effet et non la vérité. L'art sera toujours suspect s'il consiste dans l'imitation de l'effet de la vérité. En déliant l'imitation et la vérité, onlibère aussi l'art de la tutelle de la philosophie. L'imitation sera indifférente à la vérité chez Aristote, ce qui comptec'est la cons...
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Le beau conduit-il au bien ?
que l'être extérieur de la maison, si on fait abstraction des pierres, n'est que l'idée intérieure, manifestantdans la multiplicité son être indivisible ». La beauté c'est la présence de l'Idée. L'influence de Platon est iciéclatante. Les questions que se pose Plotin au début de son traité (« Qu'est-ce qui fait que la vue sereprésente la beauté dans le corps ? ... Pourquoi tout ce qui se rattache immédiatement à l'âme est-il beau ?Est-ce d'une seule et même beauté que toutes les ch...