57 résultats pour "superbes"
- Citations avec superbement, adverbe
- Tangara superbe.
- MALURE SUPERBE
- Tarquin le Superbe
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Joachim DU BELLAY, Les Regrets, « Ce n'est le fleuve tusque au superbe rivage ».
Rimes du type CCD, EED dans les tercets > sonnet italien ou marotique. NB : les rimes EE ne riment pas tout à fait. Alternance respectée entre les rimes féminines (qui se terminent par –e, -es, -ent) et les rimes masculines. I- Les regrets de Du Bellay A- Poète exilé en Italie • Poème qui commence par l’anaphore de « Ce n’est » description par la négation. Assonance en [a]. Cf. « rivage ; Latins ; Palatin ; Ronsard ; parler latin ; à ; naturel langage ». • Évocation de Rome (> Importance capit...
- Tarquin le Superbe - mythologie.
- TARQUIN LE SUPERBE, LUCIUS
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Blaise PASCAL: Cette superbe puissance, ennemie de la raison
métaphores et les exemples : il serait invraisemblable, en effet, de nous persuader de la toute-puissance del'imagination et de l'aborder rationnellement. Dans ses Méditations Métaphysique s, Descartes rappelait la conception classique de l'imagination et son caractère inférieur par rapport à la raison. A l'occasion de l'observationdu morceau de cire, il cherchait à savoir ce qui nous permettait de reconnaître la même cire malgré sesmodifications sensibles. Or, l'imagination se trouvait limité...
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- Maurice Blanchot affirme: » Rien de plus joyeux que Don Juan, rien aussi de plus sain; c'est vraiment un héros superbe. » Cette définition correspond-elle à votre vision du personnage de Molière? Vous répondrez à cette question en utilisant des exemples précis de la pièce.
- Ptilinope superbe: Un pigeon-perroquet frugivore.
- Ptilinope superbe.
- Turquoise: Ses ailes présentent un superbe éclat bleu-vert métallique.
- Ptilinope superbe
- Tarquin le Superbe
- Tarquin le Superbe.
- H. de TOULOUSE-LAUTREC: MARCELLE LENDER DANSANT LE BOLÉRO. Pour réaliser cette superbe
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- Citations avec arrogant, adjectif Voyez, ajouta-t-il, cet homme arrogant et superbe, qui paraît engraissé de sang.
- «J.-J. ROUSSEAU ? Il n'y a pas d'écrivain plus propre à rendre le pauvre superbe », a écrit Joubért. Que pensez-vous de cette interprétation de la pensée de Rousseau ?
- A un demi mille du côté opposé de la rivière qui coule près du Fort, nous rencontrâmes un attelage superbe. Charles R. Daoust, Cent-Vingt Jours de service actif
- Commenter ce jugement de Joubert : « Jean-Jacques Rousseau. — Il n'y a pas d'écrivain plus propre à rendre le pauvre superbe. » (Pensées, article VII, 41.)
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Iphigénie en Aulide
AGAMEMNON
Heureux qui satisfait de son humble fortune,
Libre du joug superbe où je suis attaché,
Vit dans l'état obscur où les Dieux l'ont caché !
Et juge s'il est temps, ami, que je repose. Tu te souviens du jour qu'en Aulide assemblés Nos vaisseaux par les vents semblaient être appelés. Nous partions. Et déjà par mille cris de joie, Nous menacions de loin les rivages de Troie. Un prodige étonnant fit taire ce transport. Le vent qui nous flattait nous laissa dans le port. Il fallut s'arrêter, et la rame inutile Fatigua vainement une mer immobile. Ce miracle inouï me fit tourner les yeux Vers la divinité qu'on adore en ces lieux....
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G rande Roue
Le siècle d u f er f inissant offre à s on successeur, p our la g rande Exposition Universelle
d e 1900, u ne superbe attraction f oraine: la
G rande Roue.
5064. :PARIS E. :M.
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Il y a des rêveurs politiques et sociaux qui dépensent du feu et de l'éloquence à réclamer un bouleversement de tous les ordres, avec l'illusion qu'aussitôt le plus superbe temple d'unP belle humanité s'élèverait, pour ainsi dire, de lui-même.
expériences historiques que tout bouleversement de ce genre ressuscite à nouveau les énergies les plus sauvages, les caractères les plus effroyables et les plus effrénés des âges reculés: que par conséquent un bouleversement peut bien être une source de force dans une humanité devenue inerte, mais jamais ordonnateur, architecte, artiste, perfecteur de la nature humaine. Introduction NIETZSCHE L'action historique révolutionnaire a-t-elle quelque cha...
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Corrigé
disponible
François Tristan L'HERMITE (1601-1655), La Lyre, « Le navire ».
Je fus, Plante superbe, en Vaisseau transformée.
Si...
Corrigé disponible François Tristan L'HERMITE (1601-1655), La Lyre, « Le navire ». Je fus, Plante superbe, en Vaisseau transformée. Si je crus sur un Mont, je cours dessus les eaux : Et porte de Soldats une nombreuse armée, Après avoir logé des Escadrons d'Oiseaux. En rames, mes rameaux se trouvent convertis ; Et mes feuillages verts, en orgueilleuses voiles : J'ornai jadis Cybèle, et j'honore Thétis Portant toujours le front jusqu'auprès des Étoiles. Mais l'aveugle Fortune a de bizarres lois :...
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François de MALHERBE (1555-1628) - Beaux et grands bâtiments...
1. Beaux et grands bâtiments d'éternelle structure,
2. Superbes de matière,...
François de MALHERBE (1555-1628) - Beaux et grands bâtiments... 1. Beaux et grands bâtiments d'éternelle structure, 2. Superbes de matière, et d'ouvrages divers, 3. Où le plus digne roi qui soit en l'univers 4. Aux miracles de l'art fait céder la nature. 5. Beau parc, et beaux jardins, qui dans votre clôture, 6. Avez toujours des fleurs, et des ombrages verts, 7. Non sans quelque démon qui défend aux hivers 8. D'en effacer jamais l'agréable peinture. 9. Lieux qui donnez aux coeurs tant d'aimabl...
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Association de symboles chez Baudelaire
nourriture de l'âme (c{. v. 18 s'abreuvent; v. 19 tettent). Parmi les adjectifs, chers (v. 4) a une valeur affective quisouligne la volupté du souvenir. Figures. L'antithèse est caractéristique, entre choses (palais neufs; vieux faubourgs), réalité et sens caché (termesconcrets et allégorie), aspects du souvenir (chers, et l'image : plus lourds que des rocs, reprise par m'opprime, v.5). Elle souligne à la fois le thème du symbole, et l'alliance douleur-volupté. Rythme. On notera les coupes et le...
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La statue m,afait signe
DoN JUAN (. .. )
Mais quel est le superbe édifice que je vois entre
ces...
La statue m,afait signe DoN JUAN (. .. ) Mais quel est le superbe édifice que je vois entre ces arbres? Vous ne le savez pas ? DoN JuAN : Non, vraiment. 5 SGANARELLE: Bon! c'est le tombeau que le Commandeur faisait faire lorsque vous le tuâtes. DoN JUAN : Ah ! tu as raison. je ne savais pas que c'était de ce côté-ci qu'il était. Tout le monde m'a dit des merveilk!s de cet ouvrage, aussi bien que de la statue du Commandeur, etj'ai envie de l'aller le voir. 10 SGANARELLE : Monsieur, n'allez poin...
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Lecture analytique d'une charogne
Une Charogne , Baudelaire Provenant du recueil intitulé Les Fleurs du mal, Une Charogne , est un texte descriptif et lyrique peignant la découverte d'un cadavre en décomposition, par deux personnages (l'énonciateur et sa compagne). Cette description, de l'ordre de l'horrible et du macabre, permet à l'énonciateur, à la fin du poème, de s'adresser à lafemme aimée pour la mettre en garde sur le temps qui passe et sur la tragique destinée de celle-ci. Il est intéressant de relever la métaphore d...
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LUCRECE
ou
Les pactes du hasard
par Annie Ibrahim
Natura libera... , dominis privata superbis, Ipsa sua per se sponte...
LUCRECE ou Les pactes du hasard par Annie Ibrahim Natura libera... , dominis privata superbis, Ipsa sua per se sponte omnia dis agere expers 1• De natura rerum, Il, v. /090-92. Une opposition réductrice L'histoire « classique » de la philosophie a rendu un singulier hommage à la tradition épicurienne, à Lucrèce, et à leurs modernes héritiers matérialistes : elle a inventé diverses stratégies d'oubli. Occultation pure et simple d'Epicure, dénigrement de Lucrèce - poète, certes, mais fou, et d...
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......
En nommerai-je encor davantage ?
Bref, on n'eut rien vu que tout beau, tout éclatant, tout brave, tout superbe, que jamais la gloire de Niquée n'en approcha : car on voyait tout cela reluire dans une salle du bal, au Palais ou au Louvre, comme étoiles au ciel en temps serein. Ainsi leur Reine voulait et leur commandait toujours qu'elles comparussent en haut et superbe appareil 7, encor que, durant sa viduité 8, elle ne se para jamais de mondaines soies, sinon lugubres, mais tant bien proprement pourtant, et si bien accommodée...
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Glossaire des termes de grammaire, de rhétorique et de linguistique
s'agir d'un quasi-anonymat quand un nom est aussi répandu que «Dupont" (c'est le« nom" de l'astrologue, p. 148). L'anonymat peut être levé (ainsi quand au passant à mobylette est substitué à la fin du livre le couple Biroton/Riphinte sur un tandem à moteur, p. 273). Approximation : Rapprochement approximatif, ou reproduction douteuse d'un terme, d'une citation etc. Ex. 1 : Béda est une approximation pour bêta (p. 32) ; Ex. 2 : Bill...
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Rousseau et la découverte de PARIS (Les Confessions)
C'est l'imagination qui est d'emblée mise au centre de l'extrait par Rousseau : « l'idée que j'en avais » se heurte auxmurs gris de la réalité. « L'idée » qu'on se fait des choses produit dans l'esprit des images : ainsi fonctionnel'imagination, mais celle-ci a besoin d'un appui dans le réel pour s'épanouir vraiment. D'abord il y a l'expérience, cequ'on a déjà vu, qui joue ici un rôle essentiel (le verbe « voir » revient d'ailleurs dans le texte avec insistance. Lejeune adolescent a déj...
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STEVEN SPIELBERG
Steven Spielberg interprétation contribue au succès du film. Deux suites seront tournées à quelques années d'inter valle :Indiana Jones et le Temple maudit (1984) et Indiana Jones et la dernière croisade (1989). E.T. Mais avant de réaliser la suite des aventures d'Indiana Jones, Steven Spielberg remporte un véritable triomphe avec E. T l'extra- terrestre (1982), un des plus grands succès commerciaux de l'histoire du cinéma. E. T est une créature inno...
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L'Immortel
le pays délicieux, la duchesse aimable et pas gênante, l'ami Freydet qu'on avait découvert à Clos-Jallanges.
«Pas à première vue, hein? Il faut s'y faire, à ma sculpture, et j'ai bien peur que la princesse, quand elle va voir cet affreux bonhomme....» Paul Astier devait la lui amener dans quelques jours, une fois tout raboté, poli, prêt à partir pour la fonte; et cette visite l'inquiétait, car il connaissait le goût des femmes du monde, il entendait au salon, les jours à cent sous, ce jabotage en clichés qui court le long des Halles et s'ébat à la sculpture. Ce qu'elles mentent, ce qu'elles se forcent!...
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Oeuvres de Napoleon Bonaparte, Tome IV.
l'ennemi y avait laissés pour sa défense. Le général Claparède. dont ces bataillons faisaient l'avant-garde, les suivait; il déboucha à Ebersberg et trouva trente mille Autrichiens occupant une superbe position. Le maréchal duc d'Istrie passait le pont avec sa cavalerie pour soutenir la division, et le duc de Rivoli ordonnait d'appuyer son avant-garde par le corps d'armée. Ces restes du corps du prince Louis et du général Hitler étaient perdus sans ressource. Dans cet extrême danger l'ennemi mit...
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Tirade De Phèdre (Racine) Acte I, Scène 3
groupe nominal « mes yeux » s'oppose toujours au pronom personnel « je ». Phèdre n'assume pas l'amour coupable qu'ellenourrit pour Hippolyte. 2/ La jeune femme, faute d'être capable de dominer ses sentiments, tente de limiter sa responsabilité, ce qui conduit le spectateurà déceler parfois dans son discours un manque de sincérité. Elle se trahit d'ailleurs lorsqu'elle dit : « Je lui bâtis un temple, et prissoin de l'orner », le spectateur comprend que Phèdre désire implorer la déesse Vénus pour...
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Situations de Sartre: New-York
York. Mais au contraire, si comme Sartre l'explique, on éduque son regard, on observe un changement progressif de l'usage despronoms personnels.« J'aime New York. J'ai appris à l'aimer. Je me suis habitué à ses ensembles massifs, à ses grandes perspectives. » (Premierparagraphe)« J'ai appris à aimer son ciel. » (Deuxième paragraphe)« J'ai appris à aimer les avenues de Manhattan. » (Troisième paragraphe)Cependant, très vite dans le premier paragraphe, Sartre abandonne son « je » et utilise le « o...
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MICHELET Jules : sa vie et son oeuvre
times de l'Histoire, donc du peuple. Ni providentialisme ni déterminisme, mais la mise en scène d'un acteur col lectif, et la volonté de prendre «!"Histoire en bas»: l'historien, bien plus qu'un chroniqueur ou un récitant, participe par sympathie à 1 'ascension du peuple, à son accession à la conscience de son pouvoir invincible. Comme un romancier, Michelet nous donne accès à la conscience des personnages, multiplie les épisodes symboliques. Comme un ju...
- FRÉGATE SUPERBE
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ACTE III, scène 5
[La visite au tombeau du Commandeur]
(Le tombeau s'ouvre, où l'on voit un superbe mau
solée...
ACTE III, scène 5 [La visite au tombeau du Commandeur] (Le tombeau s'ouvre, où l'on voit un superbe mau solée et la statue du Commandeur.) SGANA RELLE / Ah! que cela est beau! Les belles statues! le beau marbre! les beaux piliers! Ah! que cela 5 est beau! Qu'en dites-vous, Monsieur? DON JUAN / Qu'on ne peut voir aller plus loin l'ambition d'un homme mort ; et ce que je trouve admirable, c'est qu'un homme qui s'est passé, durant sa vie, d'une assez simple demeure, en veuille avoir 1 0 une si m...
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ACTE III, scène 5
[La visite au tombeau du Commandeur]
(Le tombeau s'ouwe, où l'on voit un superbe mau
solée...
ACTE III, scène 5 [La visite au tombeau du Commandeur] (Le tombeau s'ouwe, où l'on voit un superbe mau solée et la statue du Commandeur.) SGANA RELLE/ Ah! que cela est beau! Les belles statues! le beau marbre! les beaux piliers! Ah! que cela 5 est beau! Qu'en dites-vous, Monsieur? DON JUAN/ Qu'on ne peut voir aller plus loin l'ambition d'un homme mort ; et ce que je trouve admirable, c'est qu'un homme qui s'est passé, durant sa vie, d'une assez simple demeure, en veuille avoir 1 0 une si magn...
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196. Parcere subiectis et debellare superbos
Epargner les soumis, désarmer les superbes
C'est ainsi qu'Anchise, au sixième livre de I...
196. Parcere subiectis et debellare superbos Epargner les soumis, désarmer les superbes C'est ainsi qu'Anchise, au sixième livre de I 'Enéide ( v. 853) résumait le comportement des Romains lorsqu'ils étaient au pouvoir. Ce ve1s de\·cnu proverbial est encore utilisé de nos jours pour décrire les devoirs des hommes d'Etat et il était déjà fréquemment cité par les t � curs médiévaux, notamment pa11ni les sentences répertoriées par alther - d'autres fonnules lui étant voisines...
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Charles Baudelaire : Le Cygne
Auprès d'un tombeau vide en extase courbéeVeuve d'Hector, hélas! et femme d'Hélénus! Je pense à la négresse, amaigrie et phtisiquePiétinant dans la boue, et cherchant, l'oeil hagard,Les cocotiers absents de la superbe AfriqueDerrière la muraille immense du brouillard; A quiconque a perdu ce qui ne se retrouveJamais, jamais! à ceux qui s'abreuvent de pleursEt tètent la Douleur comme une bonne louve!Aux maigres orphelins séchant comme des fleurs! Ainsi dans la forêt où mon esprit s'exileUn vieux S...
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ARROGANT, -ANTE, adjectif et substantif.
SYNTAXE?: Une audace, une fiert? arrogante, un silence arrogant; l'arrogante humilit? de quelqu'un. ? PARADIGMES. Synonymes?: d?daigneux, hautain, insolent, suffisant, superbe. b) [Dans une attitude concr?te, dans le comportement] Un regard arrogant?: ? 4. Enfin, apr?s lui, entr?rent deux jeunes gens de haute taille, le teint br?l? par le soleil, les joues enterr?es sous d'?pais favoris, l'oeil fier, arrogant, montrant une impertinente curiosit?. Orso avait eu le temps d'oublier les physiono...
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Usage du terme:
BAI, BAIE5, adjectif et substantif.
(1832-1833) ou Note d'un voyageur, tome 2, 1835, page 229. B.? Rare et litt?raire. [S'applique ? une chose] Qui est de cette couleur. Cab, go?mon bai?: ? 5. ? la mar?e basse, les rivages fleurissaient de go?mon; les assises de couleurs, marqu?es comme dans un arc-en-ciel ou sur le flanc d'une barque, se d?tachaient, r?guli?res encore, galets d'un gris sec, laisse de mer bai brun ou noir sombre, galets mouill?s jaune p?le, gris avec des reflets, sable terne, rochers jaune velours, vert brun,...
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Le Petit Parisien
Dimanche 24 mai 1885
MORT DE VICTOR HUGO
La fatale nouvelle - à laquelle hélas !
Mme Victor Hugo a écrit qu'elle entendit plusieurs fois la mère du poète raconter sa venue au monde : Elle disait qu'il n'était pas plus long qu'un couteau. Lorsqu'on l'eut emmallioté, on le mit dans un fauteuil, où il tenait si peu de place qu'on eût pu en mettre une demi-douzaine comme lui. On appela ses frères pour le voir : il était si mal venu, déclarait la mère, et ressemblait si peu à un être humain que le gros Eugène, son frère, qui n'avait que dix-huit mois et qui parlait à peine, s'écr...
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Usage du terme:
BAI, BAIE5, adjectif et substantif.
(1832-1833) ou Note d'un voyageur, tome 2, 1835, page 229. B.? Rare et litt?raire. [S'applique ? une chose] Qui est de cette couleur. Cab, go?mon bai?: ? 5. ? la mar?e basse, les rivages fleurissaient de go?mon; les assises de couleurs, marqu?es comme dans un arc-en-ciel ou sur le flanc d'une barque, se d?tachaient, r?guli?res encore, galets d'un gris sec, laisse de mer bai brun ou noir sombre, galets mouill?s jaune p?le, gris avec des reflets, sable terne, rochers jaune velours, vert brun,...
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La Conquete De Plassans
--Ah!
C'est propre, n'est-ce pas?... Elle devrait au moins ne pas lui donner des rendez-vous ici, puisqu'ils ont toute la journée chez eux. Seul, M. de Condamin se mit à rire. Les autres personnes prirent un air froid. Madame Paloque, comprenant qu'elle venait de se faire du tort, essaya de tourner la chose en plaisanterie. Cependant, dans les coins, on causait de l'abbé Fenil. La grande curiosité était de savoir s'il allait venir. M. de Bourdeu, un des amis du grand vicaire, raconta doctement qu'il...
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Le nabab, tome II
cuisinière du second, mademoiselle Séraphine, dont j'accepte en retour quelques petites provisions que je
conserve dans le coffre-fort, revenu à l'emploi de garde-manger.
Non. Je savais ses intentions à ce sujet, depuis longtemps... Je l'ai laissé s'en aller discrètement, à l'anglaise, comme il voulait. C'est égal! il aurait bien dû me donner un morceau de pain avant de partir, moi qui l'ai servi pendant vingt ans. Et tout à coup, frappant de son poing sur la table, avec rage: Quand je pense que, si j'avais voulu, j'aurais pu, au lieu d'aller chez Monpavon, entrer chez Mora, avoir la place de Louis... Est-il veinard, celui-là! En a-t-il rousti des rouleaux de m...
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Le Ventre de Paris
avait laissees le matin, lui parurent un vaste ossuaire, un lieu de mort ou ne trainait que le cadavre des etres,
un charnier de puanteur et de decomposition.
Pour sur, dit-il, Cain etait un Gras et Abel un Maigre. Depuis le premier meurtre, ce sont toujours les grosses faims qui ont suce le sang des petits mangeurs... C'est une continuelle ripaille, du plus faible au plus fort, chacun avalant son voisin et se trouvant avale a son tour... Voyez-vous, mon brave, defiez-vous des Gras. Il se tut un instant, suivant toujours des yeux leurs deux ombres que le soleil couchant allongeait davantage. Et il murmura: Nous sommes des Maigres, nous autres, vous...