418 résultats pour "veux"
-
Le bonheur est-il dans la suppression ou dans la modération des désirs ?
L'exaltation de la volonté et l'erreur des Orientaux. Nous constatons aussi que ce n'est pas une extinction de la volonté individuelle qui mène au bonheur, commele pensent les bouddhistes, mais au contraire une apothéose de la volonté. Il nous faut avoir une grande forcede volonté pour ne vouloir que ce qui convient. Il ne faut pas tuer la volonté individuelle, comme un principede mal et de souffrance, il faut au contraire l'exalter, la renforcer, pour se dominer parfaitement. La maîtrisede soi...
-
- Approche, dit Kate.
elle n’avait jamaisdisparu –elle n’en avait paseubesoin. C’étaitsonissue, ignorée de tous. Kate secoua tristement latête enserappelant lapetite fille.Ellesedemanda pourquoi elle n’empruntait pluslecouloir secret.Celal’avait sauvée debien desdésastres. Comme la lumière étaitjolie, quifiltrait souslesfeuilles d’untrèfle. CathyetAlice marchaient en se tenant parlataille parmi lesherbes, grandes commedestours… lesmeilleures amies du monde. EtCathy n’avait jamaisétéforcée deboire toutle« Bois-moi »,...
-
HUGO
Victor Marie
(26 février 1802-22 mai 1885)
Poète
« Je veux être Chateaubriand ou rien.
Ecrivain, il est habile à dresser des personnages inoubliables, entraînés dans des intrigues mouvementées à l'exemple du Comte de Monte-Cristo et des Trois Mousquetaires . STENDHAL, Henri BEYLE (1783-1842) Ecrivain, il met en scène des héros sensibles et volontaires, en révolte contre l'ordre social et méprisant le règne de l'argent à l'exemple de Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir . VIGNY, Alfred, comte de (1797-1863) Ecrivain, il a recours dans son œ uvre poétique à des images, des symb...
-
Sam était hors de lui.
les bandits firent demi -tour et s’enfuirent sur la Route de Hobbit ebourg, mais, ce faisant, ils sonnèrent du cor. « Eh bien, il était grand temps de rentrer », dit Merry. « Grand temps. Peut -être est - il même trop tard, pour sauver Lothon en tout cas, dit Frodon. C’est un pauvre imbécile, mais je le plains. » « Sauver Lot hon ? Que veux -tu dire ? répliqua Pippin. Le détruire, dirais -je. » « Je crois que tu ne comprends pas tout à fait, Pippin, dit Frodon. Lothon n’a jamais...
-
Commentaire composé « Dans le Fourré », Rashômon et autres contes, Akutagawa.
bien compréhensible pour le lecteur sans doute.En outre, ce passage nous permet de constater à quel point la femme qui semblait totalement dépassée par les événementsapparait métamorphosée et change d'attitude. En effet, à l'annonce faite par le voleur d'épouser la femme, cette dernière se met à revivre comme si elle était en mal d'amouravec son mari. Le plus terrible, c'est que tout cela nous est traduit à travers le regard et la parole de l'homme qui a été trompé :« sur ces paroles, ma femme,...
-
BON1, BONNE2, adjectif, adverbe et substantif.
L'homme mal habill? inspire de la piti? ou de la r?pugnance... ALPHONSE KARR, Sous les tilleuls, 1832, pages 260-261. ? 3. Autant qu'un homme est lui-m?me, qu'il ne c?de point, qu'il n'imite point, je le vois beau. L'artiste va l? tout droit; par sa vertu d'?tre soi il met au jour la vertu de chaque ?tre. Une nature, autant qu'elle est forte, est bonne et juste. C'est pourquoi de ce qui pousse et grandit par sa propre loi, j'attends quelque bien. Je ne veux pas mutiler, je veux aider et d?liv...
- Citations avec aveuglement, nom masculin Mais je veux me punir de mes extravagances, de ma crédulité, de mon aveuglement, en quittant un objet aimé trop tendrement.
-
Moi, je ne veux pas comprendre. Jean Anouilh
connaissance de cause. Elle doit reconnaître alors que ce n'est ni pour les autres, ni pour son frère, qu'elle s'engageabsurdement dans son projet suicidaire. C'est pour elle seule. A Créon qui lui demande pour qui elle veut mourir, ellerépond : « Pour personne. Pour moi. »Refuser de comprendre, dire non à l'existence, c'est, pour Antigone, rester fidèle à elle-même, à ce qu'elle aime, ettout dénote, dans sa conduite, dès les premiers échanges avec sa nourrice, un attachement impétueux aux plais...
-
-
« Si tu veux la paix, prépare la guerre »
DISSERTATION CULTURE GENERALE « Si tu veux la paix, prépare la guerre » Tout le monde connaît la célèbre locution latine « Si vis pacem, para bellum ». Celle-ci n’est peut-être pas aussi juste qu’on le croit. Cette locution n’exclut pas, tout au moins, qu’on doive aussi préparer la paix, et même que cela soit plus utile que de préparer la guerre, désignant une lutte entre deux partis ayant recours à la force physique et aux armes pour régler un différend. Il s’agit donc d’une espèce du g...
-
d ons ce p oint, r épondit-il, n ous d étruirons t ous n os
a veux p récédents.
opposée à l'ignorance de ces mêmes objets? Il fit un nouveau signe de tête. L'ignorance de ces objets n'est-elle point la lâcheté? Il fit encore un signe, mais avec bien de la peine. La science des objets qui sont ou ne sont pas à craindre est donc le courage, puis qu'elle est opposée à l'ignorance de ces objets. Ici il ne voulut plus faire de signe, ni dire un seul mot. - Quoi donc, Protagoras, tu ne réponds ni oui ni...
- Citations avec soûl, adjectif Donne-leur le fouet : quand j'ai bien bu et bien mangé, je veux que tout le monde soit saoul dans ma maison.
-
«Aurait-elle la force de s'empoisonner un jour ?». Écrivez un monologue délibérant dans lequel Renée (texte 4) se demande si elle doit mourir ou vivre. Votre travail fera au moins deux pages.
Ill ... •Ill c:a 0 z Ill -a. 0 CJ " " le suje~ 1 'iR~emitiiDR femme» crieront-ils, plein de rancœur et de mépris pour moi. Non vraiment, j"ai si peur de cet au-delà inconnu quïl serait bête de s'y plonger avant l'heure. Mais, en même temps, mourir serait une délivrance. Imagine ma Renée, plus de remords, plus de pensées coupables ... Quelle paix! Cette paix à laquelle j'aspire et que je ne parviens plus à trouver aujourd'hui, peut-êtr...
- HUGO, Victor Marie (26 février 1802-22 mai 1885) Poète " Je veux être Chateaubriand ou rien.
- Citations avec saoul, adjectif Donne-leur le fouet : quand j'ai bien bu et bien mangé, je veux que tout le monde soit saoul dans ma maison.
-
Michelet commençait ainsi l'une de ses leçons au Collège de France : Le grand Siècle, Messieurs, je veux dire le XVIIIe. Vous expliquez-vous son admiration ? La partagez-vous ?
neste éducation» qui « chloroformise les âmes» -celle des Jésuites - s'enrôle dans la société catholique et royaliste des Bonnes Etudes. Eût-il, sans cela, été nommé, par M. Frayssinous, professeur à l'Ecole Normàle (1827)? Agrégé en 1821, professeur à Sainte-Barbe en 1822, il épouse, en 1824, Pauline Rousseau. Médiocre, superficielle, autoritaire, cette femme plus âgée que lui de sept ans, aigrie par l'abandon d'une mère légère- aristo...
- Que des martyrs prouvent quelque chose quant à la vérité d'une cause, cela est si peu vrai que je veux montrer qu'aucun martyr n'eut jamais le moindre rapport avec la vérité.
-
- SOCRATE - Regarde bien si ce que tu veux dire, quand tu parles de ces deux genres de vie, une vie d'ordre et une vie de dérèglement, ne ressemble pas à la situation suivante.
- Si tu veux bien réfléchir, Socrate, à l'effet visé par la punition du coupable, la réalité elle-même te montrera que les hommes considèrent la vertu comme une chose qui s'acquiert.
-
« Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature, et cet homme ce sera moi. » Malgré la déclaration d'intention de l'auteur, est-ce que la tentation du romanesque est perceptible dans Les Confessions ?
p. 1 Dans le préambule primitif des Confessions , Rousseau se targue d ’avoir fait un ouvrage « unique et utile » par sa véracité : « Oui, moi, moi seul, car je ne connais jusqu ’ici nul autre homme qui ait osé faire ce que je me propose. »1 La question de la vérité est donc au cœur de son entreprise, comme l’indique sa devise, « Vitam impendere v ero »2. Pourtant, Les Confessions constituent un ou vrage très littéraire, qu...
- l'espèce de bonheur qu'il me faut, ce n'est pas tant de faire ce que je veux que de ne pas faire ce que je ne veux pas. Correspondance, à M. de Malesherbes Rousseau, Jean-Jacques. Commentez cette citation.
-
Je puis vouloir une éclipse, ou simplement un beau soleil qui sèche le grain, au lieu de cette tempête grondeuse et pleureuse, je puis, à force de vouloir, espérer et croire enfin que les choses iront comme je veux ; mais elles vont leur train.
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)"Je puis vouloir une éclipse, ou simplement un beau soleil qui sèche le grain... Il fautdonner d'abord." Alain Trop souvent, le réalisme invoqué par ceux qui, se satisfaisant de ce qui est, refusent tout effort pour rendrepossible l'avènement de ce qui pourrait être, sert à disqualifier l'idéal. Trop souvent, une confusion entredéterminisme naturel et règles d'action humaines a pour effet de justifier ce qui est et de démobiliser toute volontéde progr...
-
Andromaque
Peins-toi dans ces horreurs Andromaque éperdue :
Voilà comme Pyrrhus vint s'offrir à ma vue ;
Voilà par quels exploits il sut se couronner ;
Enfin voilà l'époux que tu me veux donner.
Dis-lui que de mon fils l'amour est assez fort... Crois-tu que dans son coeur il ait juré sa mort ? L'amour peut-il si loin pousser sa barbarie ? CÉPHISE. Madame, il va bientôt revenir en furie. ANDROMAQUE. Hé bien ! Va l'assurer... CÉPHISE. De quoi ? de votre foi ? ANDROMAQUE. Hélas ! Pour la promettre est-elle encore à moi ? O cendres d'un époux ! O Troyens ! O mon père ! O mon fils, que tes jours coûtent cher à ta mère ! Allons. CÉPHISE. Où donc, Madame ? et que résolvez-vous ?...
-
Mais afin qu'on puisse voir en quelle sorte j'y traitais cette matière, je veux mettre ici l'explication du mouvement du coeur et des artères, qui étant le premier et le plus général qu'on observe dans les animaux, on jugera facilement de lui ce qu'on doit penser de tous les autres.
146 Discours de la méthode qu'elle n'est autre chose qu'une veine, laquelle vient des poumons, où elle est divisée en plu sieurs branches, entrelacées avec celles de la veine artérieuse, et celles de ce conduit qu'on nomme le sifflet * par où entre l'air de la respiration; et la grande artère **, qui, sor tant du cœur, envoie ses branches par tout le corps. Je voudrais aussi qu'on leur montrât . soigneusement les onze...
-
désemparé et enragé, et elle disait, Eccchhh, je n'arrive pas à penser à ce que je veux dire, vous
savez ce que c'est, et parfois je le savais, et parfois je ne le savais pas, mais dans un cas comme
dans l'autre, je disais, Tout va bien, madame Begley, ce n'est pas important.
était drôle, ilétait tellement drôle ! Cela s'était passéunquart desiècle plustôt.Maintenant lemoment étaitvenu d'enterrer Mme Begley quim'avait donnéuneseconde chancedeconnaître quelqu'un delaculture etde l'époque demon grand-père, deposer lesquestions quejene savais pascomment poserquand j'avais vingtans.Leservice apris finetlapièce s'estlentement vidée.J'ysuis resté après que tout lemonde futsorti, même lavieille copine quiavait étéautrefois unejeune épouse au visage fraisdans uneville lointa...
-
- Tu ne veux pas changer le monde, tu veux le faire sauter. Les Mains sales, V, 3 Sartre, Jean-Paul. Commentez cette citation.
-
Rapport de stage à la Société d’exploitation de la Tour Eiffel
2 Sommaire I. Avant le stage A. Mes recherches 1. Le début de ma recherche 2. Comment j’ai trouvé ce stage 3. Pourquoi ce stage B. Mes attentes 1. Ce que je veux apprendre sur le monde du travail 2. Ce que je veux apprendre sur la tour Eiffel II. L’entreprise A. Présentation 1. Quoi ? 2. Qui ? 3. Où ? 4. Pourquoi ? 5. Comment ? B. L’activité observée 1. Nature du travail 2. Conditions de travail 3. Formation et qualités requises 4. Horaires et rémunérations C. Mes activités...
- n'essaie pas que ce qui arrive arrive comme tu veux, mais veux ce qui arrive comme il arrive, et tu couleras des jours heureux. Manuel, VIII Epictète. Commentez cette citation.
- N'essaie pas que ce qui arrive arrive comme tu veux, mais veux ce qui arrive comme il arrive, et tu couleras des jours heureux. [ Manuel, VIII ] Epictète. Commentez cette citation.
-
L01 liberté
L'essentiel du cours
« Être libre, c'est faire ce que je veux» : telle est notre définition courante...
L01 liberté L'essentiel du cours « Être libre, c'est faire ce que je veux» : telle est notre définition courante de la liberté. Je ne serais pas libre si on contraint ma volonté par des règles, des ordres et des lois. Être libre serait la condition naturelle de Phomme, et la société la marque de son esclavage. Est-ce tenable ? La liberté, affranchissement de la nature • Le comportement d'un animal est dicté par son fnsting:; il vit dans une totale servitude à la nature qui l'empêche d'agir autr...
-
Les Bijoux Indiscrets
réduite ici ?
ces gens-là. Ne voir qu'eux, n'aimer qu'eux, ne rêver qu'eux ; n'avoir de l'esprit, de l'enjouement, des charmes que pour eux ; cela ne vous convient certainement pas. Il ferait beau voir que vous vous enfournassiez dans une belle passion, et que vous allassiez vous donner tous les travers d'une petite bourgeoise ! " Mais il me semble, Amisadar, que tu as raison. Je crois qu'en effet il ne nous siérait pas de filer des amours. Changeons donc, puisqu'il faut changer. Aussi bien, je ne vois pas...
-
CHEREA
Je savais qu'elle était en ta possession.
CHEREA Je necrois pasque tuaies besoin depreuves pourfaire mourir unhomme. CALIGULA Il est vrai. Mais pourunefois, jeveux mecontredire. Celanegêne personne. Etc'est sibon dese contredire detemps entemps. Celarepose. J'aibesoin derepos, Cherea. CHEREA Je necomprends pasetjen'ai pasdegoût pour cescomplications. CALIGULA Bien sûr,Cherea. Tuesun homme sain,toi.Tunedésires riend'extraordinaire ! ( Éclatant derire.) Tu veux vivre etêtre heureux. Seulement cela ! CHEREA Je crois qu'...
-
— S. Conviendrais-tu qu'il arrive souvent à l'homme qui ne voit
28 PLATON PAR LUI-MÊME noms? É. Je voudrais savoir si tous s'accordent entre eux, ou bien aucun ; si les uns se prêtent à l'accord, les autres pas. - T. La dernière hypothèse est évidente : les uns s'y prêtent, les autres non. - É. Peut-être veux-tu dire ceci : les uns, énoncés d'affilée et manifestant quelque chose, s'accordent; les autres, dont l'enchaînement ne signifie rien, ne s'accordent pas. - T. Que veux-tu dire par l...
-
-
Aristophane, les Oiseaux (extrait).
LE CORYPHÉE Allons ! Quel nom aurons-nous pour notre ville ? PISTHÉTAIROS Voulez-vous que ce soit de ce grand nom de Lacédémone et que nous la nommions Sparte ? EVELPIDÈS Ô Héraclès ! moi introduire du sparte dans ma ville ? Je n’en voudrais même pas pour mon châlit, n’eussé-je qu’une sangle ! PISTHÉTAIROS Quel nom lui donnerons-nous alors ? EVELPIDÈS Un nom tiré d’ici, des Nues, des hautes sphères, un nom tout à fait pompeux. PISTHÉTAIROS Veux-tu Coucou-Ville-les-Nuées ? LE CORYPHÉE Ah ! le b...
-
Notre Dame de Paris
nous suivre.
Un homme qui n'avait ni le vêtement ni la mine des soldats sortit de leurs rangs. Il portait un costume mi-parti gris et brun, les cheveux plats, des manches de cuir, et un paquet de cordes à sa grosse main. Cet homme accompagnait toujours Tristan, qui accompagnait toujours Louis XI. \24 L'ami, dit Tristan l'Hermite, je présume que voilà la sorcière que nous cherchions. Tu vas me pendre cela. As-tu ton échelle? \24 Il y en a une là sous le hangar de la Maison-aux-Piliers, répondit l'homm...
-
L'ORGUEIL de Jean Giono, Les terrasses de l’Île d'Elbe. Commentaire
pr og rès un palier , un arrêt (qui ser ait par exemple le bonheur ), au delà du quel il ser ait inutile ou impossible de progr esser. Jamais le mot hu mani té n'a été aussi vide de sens qu'au moment même où nous proclamons notre intent ion d'unifier la planè te. Nous sommes divisés en mille partis antagonistes, et le goût du racisme passe du blanc au noir avec une rapid ité sans égale. C'est à qui sera la race ou le par ti él u; per sonne ne songe à...
-
Texte de Hobbes philo
Corrigé Introduction Dans ce texte, Hobbes entend expliquer pourquoi les hommes ont choisi de vivre en société, plutôt que de demeurer « hors de la société civile » comme ils l'étaient à l'état de nature. Car enfin, pourquoi accepter d'être gouvernés, le gouvernement fût-il « bien établi » ? Vivre dans une société dotée de lois, c'est en effet voir être limitée sa liberté naturelle, celle de faire « tout ce que bon nous semble ». Pourquoi accepterions-nous que des commandements impératifs nous d...
-
ACTE
m, scène 1
[Don Juan et Sganarelle face à la religionJ
SGANARELLE / Je veux savoir un peu vos...
ACTE m, scène 1 [Don Juan et Sganarelle face à la religionJ SGANARELLE / Je veux savoir un peu vos pensées à fond. Est-il possible que vous ne croyiez point du tout au Ciel? DON JUAN / Laissons cela. SGANA RELLE / C'est-à-dire que non. Et à l'enfer? DON 5 JUAN / Eh I SGANARELLE / Tout de même. Et au diable, s'il vous plaît? DON JUAN / Oui, oui. SGA NARELLE / Aussi peu. Ne croyez-vous point l'autre vie? DON JUAN / Ah I ah I ah I SGANARELLE / Voilà un homme que faurai bien de la peine à conver...
-
Eugenie Grandet
pas?
Tu t'es bien suffisamment montre mon neveu; mais assez de devouement comme ca. L'envie d'avoir la fille t'aveugle. Diable! il n'y faut pas aller comme une corneille qui abat des noix. Laisse-moi maintenant conduire la barque, aide seulement a la manoeuvre. Est-ce bien ton role de compromettre ta dignite de magistrat dans une pareille ... Il n'acheva pas; il entendait monsieur des Grassins disant au vieux tonnelier en lui tendant la main: Grandet nous avons appris l'affreux malheur arrive dans...
-
Le Ventre de Paris
en les compromettant, par mechancete.
J'ai un sou, dit-il. La vue du sou calma Pauline. Il tenait le sou du bout des doigts, devant elle, si bien qu'elle descendit sur la chaussee, sans y prendre garde, pour suivre le sou. Decidement, le petit Muche etait en bonne fortune. Qu'est-ce que tu aimes? demanda-t-il. Elle ne repondit pas tout de suite; elle ne savait pas, elle aimait trop de choses. Lui, nomma une foule de friandises: de la reglisse, de la melasse, des boules de gomme, du sucre en poudre. Le sucre en poudre fit beaucoup...
-
terre pour pouvoir le piquer.
58 Quand jelavis, jecompris queTess avait peur. Elleavait l’intention d’allerdroitaubut. Dès mon arrivée, elle m’entraîna danslejardin, leplus loinpossible delamaison. J’ignorais cequi latracassait, maisje présumais quec’étaient lesretombées denotre conversation delaveille ausoir, etjeme disque ladiscussion ne serait pasune partie deplaisir. Mais ellemesurprit : — J’ai appelé lepsy. Jim.JimStephenson. Ce n’était pasceque jecroyais. — Celui chezqui,selon toi,Michelle aemmené Alex? — Oui. Mais iln...
-
-
Définition / Vocabulaire:
AMUSER, verbe transitif.
? 5. Ah! oui, j'en ai m?moire, Et je vous veux, Lucr?ce, amuser de l'histoire. Peu s'en faut qu'? nous tous Brute n'ait fait la loi. Si sa m?re e?t v?cu, Brute aurait ?t? Roi. FRAN?OIS PONSARD, Lucr?ce, 1843, I, 4, page 26. ? 6. Eh bien! oui, la prison, le d?sert, le tombeau, tout cela est vrai; je me sens prise..., Valerio, il faut que je m'en aille d'ici! J'ai tout regard?, j'ai tout vu, j'ai ?t? amus?e, charm?e, ravie, je ne le nie pas! mais, soudain, je viens de m'apercevoir que nous somm...
-
Le mot "vouloir" de l'oeuvre de DESCARTES
MEDITATIONS METAPHYSIQUES, Méditation Sixième. Et les facultés de vouloir, de sentir, de concevoir, etc. car c'est le même esprit qui s'emploie tout entier à vouloir, et tout entier à sentir et à concevoir, etc. MEDITATIONS METAPHYSIQUES, TROISIÈMES OBJECTIONS, OBJECTION SECONDE, REPONSE. En après, il y a d'autres actes que nous appelons intellectuels, comme entendre, vouloir, imaginer, sentir, etc. MEDITATIONS METAPHYSIQUES, TROISIÈMES OBJECTIONS, OBJECTION Vème, REPONSE. en sort...
-
Clair de femme, Romain Gary
Romain Gary serait plus ou moins d'accord avec la philosophie d'Albert Camus. Car pour Camus la vie est absurde et on a deuxchoix : soit on se suicide, soit on arrive à tendre à la « tendre indifférence du monde ». Pour Gary, la vie est absurde quand il n'y apas l'amour d'une femme, quand on n'a pas trouvé notre âme soeur.Aussi, la vie devient absurde lorsqu'on perd la personneaimée et la solution pour se relever d'un tel événement serait de retrouver quelqu'un à aimer pour qu'on ait de nouveau...
-
L'amour et l'argent («Mon cher père... Sainte-Pélagie», pp. 299-307) - Le père Goriot de Balzac
sait rien de ce qui est commercial. Non, ne venez pas demain. Je ne veux pas me tourner le sang. Le bal de madamede Beauséant a lieu après-demain, je veux me soigner pour y être belle et reposée, et faire honneur à mon cherEugène ! Allons donc voir sa chambre. En ce moment une voiture s'arrêta dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, etl'on entendit dans l'escalier la voix de madame de Restaud, qui disait à Sylvie : - Mon père y est-il ? Cette circonstance sauva heureusement Eugène, qui méditait déjà...
-
Constitution, mais quant aux modifications à apporter aux bases premières, sanctionnées par vos suffrages,
lles ne peuvent devenir définitives qu'après avoir reçu votre ratification.
dernier, avecunelégitimité bienténue etfrôlant labâtardise, fortexposé às'affaiblir àtrop vouloir leur ressembler. Louis Napoléon paraîtsiconscient deces risques qu'aumoment defranchir lepas ils'emploiera àles atténuer et àcorriger l'impression fâcheusequepouvait produire sonintrusion dansunmonde différent. D'autant que,selon touteapparence, iln'était pasmoins convaincu desinconvénients durétablissement de l'Empire surleplan delapolitique intérieure. La signification unpeu équivoque duvocable de...
-
grande brute aux yeux louches qui ressemblait à un énorme orque. Puis il retira ses forces, enfermant le dernier reste des Hommes dans un grand cercle d’archers.
empestait, des ordures traînaient et le désordre régnait partout, l’endroit semblait inhabité depuis quelque temps déjà. « Où se cache ce misérable Lothon ? » dit Merry. Ils avaient fouillé toutes les pièces sans trouver d’autres créatures vivantes que des rats et d es souris. « Allons - nous nous tourner vers les autres pour fouiller les baraques ? » « C’est pire que le Mordor ! dit Sam. Bien pis, en un sens. Ça vous touche au vif, parce que c’est chez nous et qu’on s’en...
-
ACTE III, scène 1
[Don Juan et Sganarelle face à la religion]
SGANARELLE / Je veux savoir un peu vos...
ACTE III, scène 1 [Don Juan et Sganarelle face à la religion] SGANARELLE / Je veux savoir un peu vos pensées à fond. Est-il possible que vous ne croyiez point du tout au Ciel? DON JUAN / Laissons cela. SGANA RELLE / C'est-à-dire que non. Et à l'enfer? DON 5 JUAN / Eh! SGANARELLE / Tout de même. Et au diable, s'il V()US plaît? DON JUAN / Oui, oui. SGA NARELLE / Aussi peu. Ne croyez-vous point l'autre vie? DON JUAN / Ah! ah I ah! SGANARELLE / Voilà un homme que famai bien de la peine à convertir...
-
Etre libre, est-ce faire ce que je veux ?
l'imagination, ni de l'entendement, mais de la volonté seule. Mais : ne faut-il pas soumettre la volonté à la raison, seule capable d'émettre des impératifs acceptables par tous. 2. Être libre, c'est consentir librement à quelque chose de nécessaire. Cette seconde thèse reconnaît l'existenced'un certain nombre de nécessités et de limites : je ne fais pas toujours ce que je veux parce que je suisnaturellement ou physiquement limité : c'est la liberté négative. pinoza: J'appelle li...
-
-
O'Neill, Le deuil sied à Électre (extrait).
de… ce qui t’est arrivé dans les Îles. C’est quelque chose qui s’est passé là-bas… quelque chose qui a à voir avec cet indigène… ? LAVINIA se sent d’abord instinctivement vexée et insultée. — Peter ! Comment oses-tu… ? (Puis, soudain, elle saisit l’occasion. Avec une grossièreté délibérée :) Bon ! Très bien ! Oui, puisqu’il faut que tu le saches ! Je ne veux plus mentir ! Orin me soupçonnait de m’être donnée à cet homme ! Et c’était vrai ! PETER recule, consterné, et parle par saccades. —...
-
eu de marques.
Et ilreferma labouche. Adam nedemanda pasàCathy sielle voulait prendre sonrepas danslacuisine. Il apporta deuxassiettes danslachambre ets’assit àcôté d’elle. « Nous allonspartir, dit-il. – C’est àmoi departir. Jet’en prie, laisse-moi partir.Jene veux pasque tutebrouilles avec tonfrère àcause demoi. Pourquoi medéteste-t-il ? – Je crois qu’ilestjaloux. » Elle plissa lesyeux. « Jaloux ? – C’est ceque jepense entout cas.Mais net’inquiète pas.Nous partons. Nousallons en Californie. » Elle répondit ca...