1299 résultats pour "connaîtrai"
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L'homme est il condamné au malheur ?
nous connaître, pour comprendre ce qui est mauvais pour nous et ce qui ne l'est pas.- Ainsi, tel que le dit Spinoza, les plaisirs extérieurs ne contribuent au bonheur de l'homme que si les objets et lesprocédés contribuent à « l'accroissement de sa perfection et de sa puissance d'agir » sur le monde et sur soi. Etpour cela accomplir ce que dit l'oracle de Delphes "connais-toi toi-même". Les contraintes de la vie, le malheur sont des conditions même au bonheur - Il est donc peut-être vrai que le...
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Les mots nous éloignent-ils des choses ?
« La connaissance des mots conduit à la connaissance des choses. » Platon . · Selon Platon, la connaissance passe donc par celle des mots. Ceux-ci sont en effet ce qui définit, de manière générale. · Mais dans le même temps, les mots, dès qu'ils sont connus, font aussi connaître les choses. Le mot est alors la source,définitive, de la connaissance. On ne peut connaitre que par lesmots. · Ce principe est repris par les philosophes médiévaux, tels que Guillaume d...
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maire, des freemen et de la corporation au Parlement, apprendra par là ce qu'il aurait dû
connaître auparavant : à savoir, que Muggleton est un bourg ancien et loyal, unissant une
ferveur zélée pour les principes du christianisme à un attachement solide aux droits
commerciaux.
Jeu superbe, –noble occupation, –bel exercice, –charmant ! Tellesfurent lesparoles qui frappèrent lesoreilles deM. Pickwick enentrant danslatente, etlepremier objetquis’offrit à ses regards futson ami delavoiture deRochester. Ilétait entrain depérorer, àla grande satisfaction d’uncercle choisidesjoueurs élusparlaville deMuggleton. Soncostume s’était légèrement amélioré.Ilavait desbottes neuves, maisilétait impossible deleméconnaître. L’étranger reconnutimmédiatement sesamis. Avecsonimpétuosité o...
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Est-il juste d'affirmer que pour bien connaître autrui il faut tenter de se mettre à sa place ?
Référence : Heidegger, Être et temps ( §15 : L'être de l'étant qui fait encontre dans le monde ambiant. ) « Les Grecs avaient, pour parler des « choses », un terme approprié pragmata , c'est-à-dire ce à quoi l'on a affaire dans l'usage de la préoccupation ( praxiV ). Cependant, ils laissèrent justement dans l'obscurité le caractère ontologique spécifiquement « pragmatique » des pragmata et déterminèrent « d'abord » ceux-ci comme « simples choses ». L'étant qui faitencontre dan...
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Un critique contemporain, M. André Thérive, écrit : « La littérature dans son ensemble sert à faire mieux connaître l'homme. Au temps des classiques, la vérité générale, l'homme abstrait, suffisait encore. L'homme concret est une conquête de l'époque moderne ». Vous montrerez comment cette « conquête » a été préparée par les écrivains du XVIIIe siècle. ?
préparation des planches de l'Encyclopédie, et avec une ampleur grandiose dans les divagations du Rêve ded'Alembert : « Changez le tout, vous me changez nécessairement... »Ainsi, la recherche de l'homme concret est au centre de la philosophie du XVIIIe siècle. Comment, dès lors, ne seretrouverait-elle pas dans ses oeuvres proprement littéraires ? L'imagination créatrice pourra s'exercer sur ladiversité des civilisations, et ce sera la couleur locale ; sur la vie quotidienne, et ce s...
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Que peux-t-on savoir du moi ?
L'empiriste Hume s'oppose à l'idée selon laquelle il existerait véritablement un moi auquel nous aurions un accès direct, et qui serait le substrat de nos représentations et de nosaffects, stable et identique dans le temps. Selon lui, nous ne possédonsaucune impression d'un tel moi comme substance : lorsque nous pensonssaisir le moi, nous saisissons toujours telle ou telle de ses caractéristiques, deses sensations ou de ses souvenirs, mais non une entité qui envelopperait cesélé...
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L'IDÉE D'OBJET
« Disons donc que lorsque nous disons que nous voyons un plan, nous voulons dire que nous jugeons, d'aprèscertaines sensations visuelles, que notre toucher serait assujetti, si nous faisions certains mouvements, à unecertaine loi. » Je n'arrive pas à voir la chose que je touche : je ne vois que la chose que je touche : « Voir, c'est penser qu'on touchera, qu'on entendra, qu'on goûtera, et non autre chose : toucher, c'est penserqu'on verra, qu'on entendra, qu'on goûtera, etc... » D...
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La maladie de l'Homme peut-elle être comparée à la panne d'une machine?
est une longue et patiente correction d'erreurs. La vérité de la science consiste dans un véritable repentirintellectuel. Connaître, c'est connaître contre une connaissance antérieure. Nulle pensée scientifique ne démarred'un point zéro ou d'une table rase des connaissances antérieures. II. La maladie — En travaillant l'opposition pathologique-sain, on constate que l'organisme adopte des normes différentes selon sonétat : la santé implique la défense contre les agressions pathogènes (...
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- Giraudoux, Kleber Haedens ont écrit chacun une histoire de la littérature française, le président Pompidou fut l'auteur 6'une Anthologie de la Poésie française, l'actuel Président de la République paraît à la télévision pour parler de Maupassant... Ainsi chacun, spécialiste ou non, tient à nous faire connaître et partager ses goûts littéraires. Si une telle occasion vous était donnée, quelle œuvre ou quelles œuvres choisiriez-vous de présenter et de mettre en valeur? Justifiez votre ch
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Le poète breton contemporain Eugène Guillevic écrit à propos de son art : « Je crois que la poésie est un moyen de connaissance, un des moyens d'apprendre le monde. Il y a toutes sortes de moyens de connaissance. Pour important que soit le rôle de la science, ce n'est pas le seul. Nous ne devons nous priver d'aucun de ces moyens. Il n'y a pas que la connaissance purement intellectuelle qui est connaissance. Après tout, le meilleur moyen de connaître une pomme, c'est de la manger... » Q
lui reprochera également son manque d’accessibilité. En effet, la poésie présente un caractère ésotérique qui la rendpeu compréhensible, voire élitiste. Mais les poètes recourent également trop souvent à un langage hermétique etobscur qui les coupe de leurs lecteurs. Il n’est pas étonnant de s’apercevoir qu’aujourd’hui la poésie reste uneaffaire d’initiés. Aussi, le manque de rationalité des sujets abordés attire parfois le mépris, par exemple dans UneSaison en Enfer de Rimbaud, le jeune h...
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Peut-on se passer de principes ?
feindre de recourir aux principes objectifs. « Qui ramène la loi à son principe (l'usurpation) l'anéantit ».. En ce sensles principes inventés ne sont qu'une illusion nécessaire à l'obéissance aux lois. Ainsi il est réservé à la seule minoritéau pouvoir de connaître la vérité, de la masquer , et de pouvoir se passer de ses principes communément reçuslorsque les circonstances l'exigent. C'et ce que soutient Machiavel au chapitre XVIII du Prince : le prince doit « ne pas s'écarter du bien s'il l...
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Saint-Exupéry écrit dans Terre des hommes : « Etre homme, c'est précisément
être responsable. C'est connaître la honte en face...
Saint-Exupéry écrit dans Terre des hommes : « Etre homme, c'est précisément être responsable. C'est connaître la honte en face d'une misère qui ne semblait pas dépendre de soi. C'est être fier d'une victoire que les camarades ont remportée. C'est sentir, en posant sa pierre, que l'on contribue à bâtir le monde. » Vous étudierez avec soin cette définition de la responsabilité, en indiquant dans quelle mesure elle rejoint votre expérience personnelle. DISSERTATION REDIGEE L'idée de responsabilité...
- Être homme c'est précisément être responsable. C'est connaître la honte devant une misère qui ne semblait pas dépendre de soi. C'est être fier d'une victoire que les camarades ont remportée. C'est sentir en posant sa pierre que l'on contribue à bâtir le monde. Vous étudierez avec soin cette définition de la responsabilité en indiquant dans quelle mesure elle rejoint votre expérience personnelle. ?
- Nietzsche, qui fut grand lecteur des moralistes français, aimait, disait-il, leur loyauté. On évoque ainsi Montaigne, Pascal, La Rochefoucauld, La Bruyère, Vauvenargues, Joubert... A travers la diversité de leurs génies et de leurs tempéraments, on peut de fait connaître chez de tels écrivains des voies, et, pour ainsi dire, des méthodes qui les associent. Il y a chez tous un soin de pénétration, de définition à l'endroit des hommes et des mœurs. Sans pour autant méconnaître les élémen
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Dans la vie, suffit-il de multiplier les expériences pour mieux comprendre les êtres humains ?
les Méditations métaphysiques . Dans ce texte en effet, Descartes met en exergue la primauté du « je pense » du cogito qui est cette certitude première qui résiste au doute. L'identité est donc première, source de toute métaphysique et donc source de toute autre connaissance. Je suis, j'existe, c'est ceque je sais immédiatement. Dès lors, le je en tant que je seul et en tant que certitude premièresemble revêtir une importance toute particulière, et ce notamment vis-à-vis de toute forme d'...
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L'apparence est-elle mensonge ?
donc pas une erreur, mais une imitation lointaine du vrai. Il existe un arrière-monde véridique et consistant donttoutes nos illusions tirent leur semblant d'être. Ce monde est celui des Idées, immuables et universelles dont toutesles choses existantes sont des imitations grossières et approximatives. Pour saisir la vérité, il faut se détourner dusensible et penser. Ce monde vrai tire son être propre d'une seule et unique réalité qui est le Bien (le soleil, raisonpour laquelle on présente la vér...
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JUSQU'À QUEL POINT CONNAÎTRE IMPLIQUE-T-IL DE DOUTER ?
Selon l'analyse classique de C. Bernard, l'esprit scientifique doit être en permanence prêt à douter de ce qu'il sait,pour être réceptif aux faits nouveaux et se rendre capable de les observer convenablement. Ces faits polémiques,qui doivent susciter des explications nouvelles, sont d'abord pris en charge par des hypothèses. Mais ces dernièresne peuvent être admises qu'après leur vérification expérimentale — ce qui signifie bien que, tant que cettevérification n'est pas faite, l'hypothè...
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Les sciences de l'homme suffisent-elles à connaître l'homme ?
[III. Caractère empirique, caractère rationnel de l'être humain] a. Kant a d'avance marqué les limites d'une approche scientifique de l'homme.Dans ses réflexions sur ce que peut être une anthropologie, il distingue entrele caractère empirique (soumis à diverses causalités) et le caractère rationnel(qui définit les lois de la conduite humaine) de l'homme. Pour le premier, lascience est possible, mais pas pour le second. Les sciences humainescorrespondent ainsi à ce que Kant nommait «...
- Parlant du métier de romancier, François Mauriac écrit : « Les personnages fictifs et irréels nous aident à nous mieux connaître et à prendre conscience de nous-mêmes... Et c'est sans doute notre raison d'être, c'est ce qui légitime notre absurde et étrange métier que cette création d'un monde irréel grâce auquel les hommes vivants voient plus clair dans leur propre cœur et peuvent se témoigner les uns aux autres plus de compréhension et de pitié. » Expliquez, commentez et, si vous le
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Kant: connaître, la Critique de la Raison Pure
L'universalité et la nécessité relient entre elles une multitude de connaissances empiriques isolées ; elles fontd'un simple agrégat de connaissances empiriques un système. Toute science est donc système. C'est une idéede cette science qui en fait l'unité d'ensemble, et la distingue des autres. L'idée qui préside à ce système détermine le schéma d'ensemble d'une science ; on peut ainsi en devancer lesprogrès sans les réaliser, en marquant de blancs la place de découvertes à venir, comme autant...
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Gottfried Wilhelm Leibniz
par Yvon Belaval
Faculté de Lille
La vie d'un philosophe constamment engagé dans l'activité sociale
importerait plus à connaître que celle du philosophe enfermé seul dans un
poêle : nous devons pourtant nous borner à situer la vie de Gottfried
Wilhelm Leibniz.
par Yvon Belaval Faculté de Lille
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Faut-il opposer être et paraître ?
poser, par contraste avec l'être sensible (c'est-à-dire en réalité l'apparence) un mode d'être absolu. Il faut pour celadénoncer le sensible comme étant seulement l'apparence de la réalité, celle qui est véritablement. Cela suppose unrenversement de nos habitudes de pensée. Etre, c'est être invisible ; c'est-à-dire précisément l'être s'oppose au paraîtreparce qu'il ne saurait apparaître justement.Les Idées de Platon sont souvent comprises comme des entités plus ou moins nébuleuses. Mais c...
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Pensez-vous qu'il soit nécessaire de connaître la vie d'un écrivain pour comprendre et apprécier
son oeuvre ?
Pensez-vous qu'il soit...
Pensez-vous qu'il soit nécessaire de connaître la vie d'un écrivain pour comprendre et apprécier son oeuvre ? Pensez-vous qu'il soit nécessaire de connaître la vie d'un écrivain pour comprendre et apprécier son oeuvre ? => rapport entre l'oeuvre et son auteur. En quoi l'oeuvre révèle-t-elle quelque chose de la personnalité de l'auteur ? L'oeuvre est-elle le reflet du narrateur ? I- L'auteur et le narrateur : débats Proust : « L'homme qui fait des vers et qui cause dans un salon n'est pas la m...
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Est-il nécessaire de connaître la biographie d'un auteur pour comprendre et
aimer son oeuvre?
Analyse :
• Ce sujet invite...
Est-il nécessaire de connaître la biographie d'un auteur pour comprendre et aimer son oeuvre? Analyse : • Ce sujet invite à distinguer la création et le créateur, éventuellement pour montrer le lien qui unit la première au second. L'auteur en effet est celui qui produit l'oeuvre, mais celle-ci n'a-t-elle pas une autonomie vis-à-vis de son créateur ? • Se pose alors une autre question : faut-il juger une oeuvre en fonction de son auteur ? La vie de celui-ci apporte-t-elle une caution à l'oeuvre...
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Les mots cachent-ils les choses ?
cette pensée, ce qui en fait une connaissance ferme et assurée. « La connaissance des mots conduit à la connaissance des choses. » Platon . · Selon Platon, la connaissance passe donc par celle des mots. Ceux-ci sont en effet ce qui définit, de manière générale. · Mais dans le même temps, les mots, dès qu'ils sont connus, font aussi connaître les choses. Le mot est alors la source, définitive, de la connaissance. On ne peut connaître que par les mots. · Ce principe es...
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Percevoir, est-ce déjà connaitre?
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0éfinir les termes du sujet
Percevoir
Ce verbe désigne un acte par lequel un sujet...
Percevoir, est-ce déjà connaitre? ■ 0éfinir les termes du sujet Percevoir Ce verbe désigne un acte par lequel un sujet organise une multiplicité de sensations présentes afin d'appréhender un objet de la réalité. Le pro blème soulevé est de savoir comme s'organisent ces sensations: est-ce de manière spontanée par les sens eux-mêmes, ou par l'intennédiaire d'un acte de l'entendement ? Connaître Ce verbe permet d'avoir présent à l'esprit un objet dont on se fait une représentation fidèle. La c...
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La perception est-elle toujours subjective ?
[Il est vrai que l'image perceptive que nous avonsdes choses n'est pas une réplique exacte de ces choses.Mais l'expérience nous apprend à corriger nos sens et à connaître le monde tel qu'il est.] Nous savons reconnaître les illusionsJe sais faire la différence entre l'aspect d'une chose, et la chose elle-même. Cf. Descartes et le morceau de cire. Dans la deuxième Méditation, Descartes observe un morceau de cire "qui vient d'être tiré de laruche, il n'a pas encore perdu la douceur du miel q...
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SARTRE: le cogito et autrui
n'est jaloux ou méchant que parce qu'il y a d'autre hommes qui en sont les objets).C'est ainsi que « l'homme ne peut rien être sauf si les autres le reconnaissent comme tel », car on ne sauraitprétendre qu'on est gentils si tous les autres nous qualifient de méchant. C'est donc l'approbation d'autrui, lejugement que les autres portent sur moi, qui me détermine ultimement aux yeux de tous. L'homme en définitive n'estque ce qu'en disent les autres. Il ne se constitue qu'à travers le re...
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L'art Est Il Un Travail ?
citation nous énonce le regard qu’on les autres personnes sur nous. L’auteur hésite sur continuer de persévérer pour se connaitre, si s’infliger toutes ses souffrances est nécessaire pour se connaitre. Nietzche a alors trouver solution qui est de regarder à l’extérieur de soi au lieu d’intérieur de soi. En revanche l’auteur pense qu’il est important de douter de soi, de se poser des questions, que le questionnement de soi-même est le clé...
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Préférons-nous toujours savoir la vérité ?
satisfaisante. Citons par exemple les malades qui ne veulent pas admettre leur mal ou les hommes qui ne veulentpas envisager leur situation d'être mortel. ● Ainsi, dans certains cas, nous semblons préférer l'illusion à la vérité que nous évitons. C'est ce que montre Marx dans l'introduction des Etudes philosophiques. Critique de la philosophie du droit de Hegel. En effet, selon lui, la religion est à la fois un moyen d'éviter aux hommes leur condition d'êtres mortels, mais aussi une m...
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Les autres nous empêchent-ils d'etre nous-mêmes ?
même temps » (p. 313). C'est que pour Sartre, la source de tout sens, c'est la conscience (le pour-soi). Dès lors, «je dois poser le problème d'autrui à partir de mon être » (p. 300). Dans de telles conditions il n'est pas étonnant quela pluralité des consciences apparaisse comme un véritable scandale. C'est l'analyse du regard qui nous révèle sansdoute le mieux ce.rapport conflictuel de moi à autrui. Le regard de l'autre, lorsqu'il se pose sur moi, tend à me niercomme conscience, à m'objectiver...
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Le réel est-il construit ?
Connaître la rlalitl, c'est savoir la voir •U·H• La réalité- 'h' est rien d'autre que la façon dont les choses nous apparaissent. Connaître la réalité, c'est donc être capable de la décrire et d'expliquer pourquoi les choses sont ainsi et pas autrement. Connaître, Pour connaître vés valent mieux que c'est découvrir la réalité, il suffit toutes les hypothèses comme le fait remar - de l'observer du monde » (L eço ns sur qu er Henri Berg -...
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La question : « Qui suis-je ? » admet-elle une réponse exacte ?
général. Transition : les sciences me disent « ce que je suis », mais échouent à me dire « qui je suis ». Elles m'envisagent comme un objet, rendent l'existence abstraite en en faisant un secteur objectif.Or, le sujet humain n'est jamais un objet. S'il faut alors abandonner l'espoir de l'exactitude en cequi concerne notre singularité propre, cela signifie-t-il qu'une réponse au problème de l'identitéest définitivement introuvable ? III- D'UNE «CONNAISSANCE» DE SOI INTROUVABLE A UNE...
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La philosophie de KANT et sa critique
b) Éléments a priori de la raison. De même qu'il faut les formes d'espace et de temps pour coordonner lesimpressions de la sensibilité, les catégories pour coordonner les intuitions, de même il faut certaines idées pourcoordonner la masse de nos jugements et arriver à la science. Ces idées sont : le moi, le monde et Dieu. c) Valeur de la raison. Il en est des idées du moi, du monde et de Dieu,comme des catégories de l'entendement : cesont des synthèses à priori de notre raison; ell...
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La raison n’a-t-elle pour fin que la connaissance du réel ?
étendre son domaine d’investigation à ce qui échappe pourtant aux lois scientifiques et même à ce qui ne peut ni être mesuré ni prouvé, comme c’est le cas dans lessciences humaines ou en métaphysique. Ainsi la raison semble être à l’origine des3 La raison et le réeltentatives faites pour « connaître » des événements historiques, lesquels pourtant ne peuvent pas être « expérimentés », ou encore des notions telles que Dieu oul’âme, sur lesquelles toute loi générale et nécessaire semble impossible...
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La diversité des opinions conduit elle nécessairement au scepticisme?
(b) La régression à l'infini. Une vérité ne peut pas être acceptée sans preuves comme telle car il n'existe pas un signe du vrai « comparable à la marque imprimée sur le corps des esclaves et qui permet de les reconnaître quand ils sont en fuite. » Mais si je propose une preuve pour une affirmation, le sceptique me dira « Prouve ta preuve ». ainsi la preuve qu'on apportepour garantir l'affirmation a besoin d'une autre preuve et celle-ci d'une autre à l'infini. Pour connaître la moindre chos...
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Un auteur contemporain affirme que le but suprême du romancier est de nous
faire connaître et aimer l'âme humaine dans...
Un auteur contemporain affirme que le but suprême du romancier est de nous faire connaître et aimer l'âme humaine dans sa grandeur comme dans sa misère, dans ses victoires comme dans ses défaites. Et il conclut : « Admiration et pitié, telle est la devise du roman ». Qu'en pensez-vous ? Vous vous appuierez sur La Bête humaines de Zola, Noeud de vipère de Mauriac, Un roi sans divertissement de Giono. Un auteur contemporain affirme que le but suprême du romancier est de nous faire connaître et ai...
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Y a-t-il des questions sans réponse ?
II Il convient ainsi de contester le pouvoir de la raison : elle n'est qu'humaine et le demeure. 1) Le premier problème de la raison provient de sa méthode, notamment pour ce qui est de la résolution de problèmepar la métaphysique, donc en dépassant le réel qui est. En effet, dans une telle situation, la raison ne peut plus sefonder sur l'expérience, fondement du réel, pour synthétiser et connaître, mais sur les principes que lui accorde lebon sens. Kant dénonce justement la pertinence de ces pr...
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Nous sommes responsables de l'erreur de R. DESCARTES
En suite de quoi, me regardant de plus près, et considérant quelles sont mes erreurs (lesquelles seules témoignent en moi qu'il y a de l'imperfection), je trouve qu'elles dépendent du concours de deux causes, à savoir de la puissance de connaître qui est en moi, et de la puissance d'élire, ou bien de mon libre arbitre: c'est-à-dire de mon entendement, et ensemble de ma volonté. Car par l'entendement seul je n'assure ni ne nie...
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Expliquez et appréciez cette pensée de Marcel Proust : « Une personne est une ombre où nous ne pouvons jamais pénétrer, pour laquelle il n'existe pas de connaissance directe, au sujet de quoi nous nous faisons des croyances nombreuses à l'aide de paroles et d'actions, lesquelles les unes et les autres ne nous donnent que des renseignements insuffisants et d'ailleurs contradictoires ».
II. DISCUSSION On peut élever contre la thèse de Proust trois sortes d'objections : d'une part certains auteurs prétendent qu'uneconnaissance directe des personnes est possible dans certaines conditions ; d'autre part la psychologie expérimentalemoderne croit qu'une étude scientifique des paroles et des actions peut conduire non à de vagues « croyances », mais àune connaissance précise ; d'autres enfin soutiennent que l'on n'a aucun effort, intuitif ou discursif, à faire pour connaîtreaut...
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Le vrai se réduit-il au vérifié ?
Il y a des vérités non vérifiables U(•HI Ce qu'on dit «vrai)) est une construction élaborée par l'intelligence à partir de la perception. La vérification scientifique n'est pas la seule source de vérité. L'«homme d'expérience)) en fait la preuve. La science n'est pas toute la vérité 1 1 faut opérer une dis tinction entre vérité et science. Dans une cul ture où règne le discours mythique, il peut y avoir des connais sances...
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Pourquoi la connaissance du réel n'est-elle jamais immédiate et pleine?
requiert des médiations ? Une connaissance parfaitement pleine de l'ensemble du réel, dans lequel nous sommes pris,est-elle possible ? II./ Toute connaissance, même intuitive, passe par des médiations et ne peut saisir le réel pleinement. A./ Pourquoi l'intuition sensible est-elle incapable de nous livrer une connaissance de l'objet adéquate ? Spinoza, àla proposition 16 du livre II de l' Ethique , en fournit une explication : « les idées des corps extérieurs que nous avons indiquent plutôt l'é...
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Dictionnaire en ligne:
DÉNONCER, verbe transitif.
la faire condamner par l'opinion. Dénoncer des abus, le danger, une erreur, un mensonge. Dénoncer les contradictions du radicalisme bourgeois (JEAN JAURÈS, Études socialistes, 1901, page LIV) : Ø 3. Le curé de Claquebue montait en chaire, et dénonçait l'inconstance perverse de la mode, le danger qu'il y avait pour ses ouailles à taquiner le démon là où il se dissimulait : la curiosité et le plaisir nuisaient au travail, à la richesse. MARCEL AYMÉ, La Jument verte, 1933, page 210. Ø 4. On énum...
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Hume: Raison et réel
Peut-on même parler d'objet concernant une succession d'événements? Au niveau de la pure observation, il n'estmême pas sûr que l'on puisse avoir une représentation stable d'objets. A fortiori, on ne saurait découvrir dans le phénomène de la succession d'événements la relation de causalité qui peutêtre tenue pour sa structure. Plus généralement, l'observation ne nous fait rien connaître de plus que la successionphénoménale. L'argument de Hume est que nos sens ne nous font pas connaître les pou...
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Est-il vrai que l'ignorance de notre histoire nous condamne à la revivre ?
été conservés oralement grâce à des procédés mnémotechniques comme la versification. Il semblaitalors que retenir le passé, le conserver et le connaître, c'était, en somme, se préserver de commettreles mêmes erreurs, sans jamais en tirer de leçons. · Mais dès qu'elle se multiplie, « la parole s'envole et les écrits restent » selon le proverbe. Support dusouvenir, l'histoire est une enquête (cf. étymologie) qui consigne le passé par écrit. Elle devientmémoire durable sous la forme d'ann...
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l'amour n'est-il qu'une illusion ?
irrationnelle et incontrôlée. Nos sens y sont vraiment pour beaucoup : ils fonctionnent tellement fort qu'on estdépassé, mais on garde une confiance aveugle en eux, et on n'écoute plus notre raison. On rend inconsciemmentnotre raison incapable, pour vivre notre rêve éveillé de l'amour. Mais que se passe-t-il si nous arrivons à contrôler notre raison ? Serait-il possible de vivre l'amour ? Sil'on ne fait pas confiance à nos sens, et que l'on suit quoi qu'il se passe notre ra...
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En quel sens ai-je besoin d'autrui pour être conscient de moi-même ? (Pistes de
réflexion seulement)
« connais-toi toi-même ! ».La question est de savoir si, pour cela, j'ai besoin ou non d'autrui. Autrui, c'est l'autre, celui qui justement n'estpas moi : ce qui le caractérise, c'est la distance irréductible qu'il y a entre lui et moi. Mais autrui est en même temps mon semblable. Autrui est donc pour moi à la fois l'autre et le même . Problématisation Pour savoir si j'ai besoin ou non d'autrui pour me connaître, il faut déterminer le rôle qu'il peut tenir dans le processus de...
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Aide Philo " sujet "
La devise delphique laisse entendre que nous ne nous connaissons pas réellement, que la connaissance de soi n'est pas une donnée immédiate de la conscience. Elle nous invite donc à entreprendre une recherche, une descente dans les profondeurs de notre intériorité pour trouver l'essence de notre être. Or, cette recherche passe d'abord par la découverte et l'affirmation de notre moi. Cette affirmation est le fondement de la philosophie cartésienne en même temps que celui de toute entrepr...
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Est-il vrai que l'ignorance de notre histoire nous condamne à la revivre ?
été conservés oralement grâce à des procédés mnémotechniques comme la versification. Il semblaitalors que retenir le passé, le conserver et le connaître, c'était, en somme, se préserver de commettreles mêmes erreurs, sans jamais en tirer de leçons. · Mais dès qu'elle se multiplie, « la parole s'envole et les écrits restent » selon le proverbe. Support dusouvenir, l'histoire est une enquête (cf. étymologie) qui consigne le passé par écrit. Elle devientmémoire durable sous la forme d'ann...
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QUESTIONS
Quelles sont les conditions qui font qu'un élève peut se produire à la sortie de l'école
d'une façon convenable ?
Lenfant au centre = lenfant sujet Le vécu que lenfant a, à la fois dans sa famille e t à lécole. => on est dans le domaine de la pédagogie. Lélève au centre se situe dans le savoir, tandis que lenfant au centre se situe dans le rapport au savoir. Le rapport au savoir : - rapport sociologique (Bernard Charlot) : selon les milieux sociaux, les rapports au savoir sont différents exemple : milieu défavorisé = il faut travailler pour av...