7106 résultats pour "natura"
-
Explication de texte L'Avenir d'une illusion
de vivre plus aisément en communauté puisqu'elle présente des règles que les individus sont censés respecter afin d'améliorer leurs rapports entre eux. Par exemple, en France et dans la majorité des pays le blasphème est interdit, cette règle contribue au repect mutuel de l'individu. La culture serait donc nécessaire à l'être humain, grâce à elle, nous avons institué des lois, une certaine conduite nécessaire à la structuration de la société et la création des forces de l'ordre, de loi...
-
ROUSSEAU: Tant que les hommes se contentèrent de leurs cabanes rustiques
pourrait retrouver des propos assez voisins dans des réflexions contemporaines (Cf: Marcuse, par exemple). e) Inégalité et travail Lorsque l'état social aboutit à diviser les tâches pour mieux assurer des besoins en expansion, il donne naissance autravail : « le travail devint nécessaire et les vastes forêts se changèrent en des campagnes riantes qu'il fallut arroser de la sueur des hommes ». Avant la mise en valeur de la nature par l'agriculture, l'homme tirait directement et individuellem...
-
Le politique avant l'état ?
Plus étranges peuvent paraître les deux autres thèses, liées, d'Aristote, affirmant que la cité est une réaliténaturelle, et surtout, qu'elle est antérieure par nature à l'individu. Cela signifie que l'homme n'est pas autosuffisant :il n'est qu'une partie d'un tout : la cité, comme la mai est partie du corps. Pas plus que la main n'existe réellementsans le corps, l'individu humain n'existe sans la cité. C'est d'elle qu'il reçoit son humanité, son développement, sonstatut moral. « Mais l'h...
- La politique
- dormeur du val
-
Suffit-il de voir le meilleur pour le suivre ?
Problématique L'ambiguïté de ce sujet tient à la définition que l'on peut donner du meilleur. Le meilleur est-il ce qu'un individu conçoitcomme bon par lui-même, ou de ce que les règles morales ou politiques lui imposent comme bon ? La question poséeinterroge la rationalité de l'individu, en tant que le fait de posséder une raison individuelle permettrait de devenirraisonnable en un sens collectif. En ce sens, ce sujet suppose d'abord implicitement qu'un individu a les capacités àdis...
- Droit
-
Le légal est-il toujours juste ?
Le positivisme ne manque donc pas d'arguments. La principale objection à lui adresser est celle-ci : en assimilantlégal et légitime, on se prive du moyen de critiquer le droit positif, lorsqu'il incite à des comportementsmanifestement inacceptables, face auxquels le positivisme laisse désarmé (cas d'une législation raciste, parexemple). D) Des droits universels et immuables. Si le droit est toujours plus ou moins lié à des rapports de forces et si la loi consacre le pouvoir du plus...
-
-
Le conflit est-il une dimension originaire vis-à-vis d'autrui ?
des trois ans, l'enfant identifie l'autre dans son altérité de sujet avant de s'identifier lui-même comme autre de cetautre que lui-même, affirmant et construisant sa personnalité individuelle CONTRE tout ce qui pétend lui dicter saloi. L'adolescent ne procède pas autrement lorsqu'il passe par la crise de croissance de sa personnalité adulte,appelée "crise d'originalité juvénile" par Debesse. On peut ainsi considérer, avec Johan Fichte (1762-1814), que "lemoi se pose en s'OPPOSANT au non-moi"....
-
Les faits ont-ils besoin d'être interprétés ?
plus récent, Gaston Bachelard a longuement souligné que l'attitude scientifique ne commence que par une ruptureavec l'objet immédiat, celui qui nous semblait "évident" et "parlant", ainsi qu'avec les pensées qui peuvent surgird'une observation première. Il s'agit de "démentir le premier contact avec l'objet" (Psychanalyse du feu). Ce n'estque par une critique de tout ce qui semblait "aller de soi", perception, sens commun, habitudes pratiques, que l'onpeut commencer à élaborer une véritable conn...
- Origine de la superstition chez Spinoza
-
Qu'est ce que la vie en société apporte à l'homme ?
autres hommes des liens libres, libérés de tout enjeu vital.Plus étranges peuvent paraître les deux autres thèses, liées, d'Aristote, affirmant que la cité est une réalité naturelle, et surtout, qu'elle estantérieure par nature à l'individu. Cela signifie que l'homme n'est pas autosuffisant : il n'est qu'une partie d'un tout : la cité, comme la mai est partiedu corps. Pas plus que la main n'existe réellement sans le corps, l'individu humain n'existe sans la cité. C'est d'elle qu'il reçoit s...
-
Que nous apprennent les sens ?
2. L'OBSTACLE DES SENS A - La chose, par opposition à ses apparences sensibles Le conflit des apparences (comme par exemple entre deux visions différentes d'une même chose) montre que lessens, loin d'être un médium neutre donnant la chose en elle-même, agissent plutôt comme un voile par rapport auréel. Chacun semble en fait enfermé dans la connaissance sensible qu'il a des choses. Il apparaît qu'il faudrait alors redéfinir la connaissance, non pas à partir d'un contact sensible avec la chose,...
-
Commentaire de texte sur un extrait du chapitre 3 du livre III des Misérables, de Victor Hugo : Le jardin de la rue Plumet. Il s'agira de voir quelle signification revêt ce jardin dans l'économie du roman et dans l'esthétique romanesque hugolienne.
B/ La solitude et l'abandon* L'absence de l'homme est frappant dans la description. Toute trace de l'homme est également bannie : les statuessont « moisies », les treillages « décloués », « du reste plus d'allées ni de gazon ». Une phrase résume cettedésertion : « Le jardinage était parti, et la nature était revenue ». C'est ici un hymne à la nature sauvage paropposition à la nature civilisée (jardin à la françaises) qui est développé à travers la description.* Une opposition parcourt l...
-
Aristote et la justice
II - LES ETAPES DE L'ARGUMENTATION Aristote procède en deux temps. Tout d'abord, il montre les limites de la loi. Elle ne peut pas tout régler, car elle est par définition générale, et les cas sont particuliers et changeants. Il fait àce propos une comparaison avec l'architecture : la règle des maçons peut mesurer les courbes. Elle sert d'illustrationpour montrer ce qu'est un décret. Celui-ci particularise la généralité de la loi, qui est donc comparée à une règledroite. L'équitable permet ainsi...
- Le Préjugé Dans La Nouvelle Héloïse
-
-
Le droit peut-il être naturel ?
On retrouve un point de vue comparable dans des conceptions plus récentes : lorsque Georges Bataille considèreque la nature est synonyme d'un déchaînement de violence, c'est pour lui opposer la façon dont le mondeproprement humain, dont fait partie le droit, s'efforce de nier cette violence première en élaborant des règlesculturelles. [II - Portée polémique] [A. L'indépendance « naturelle »]Il n'en reste pas moins que Hobbes a souligné l'existence, dans l'homme, d'un « droit nat...
-
Les Pensées (commentaire) de BLAISE PASCAL : Imagination, maîtresse d'erreur et de fausseté.
PASCAL 169 s'arrêter à CéS laines circonstances qui ne blessent que l'imagi- nation des faibles Voyez-le entrer dans un sermon où il apporte in zèle tout déco!, renforçant la solidité de sa raison par l'ardeur de sa charité. Le voilà prêt à l'ouïr arec un respect exemplaire. Que le prédicateur vienne à paraître, que la nature lui ait donné une voix enrouée et un tour de visage bizarre, que son barbier l'ait ruai rasé, si le hasard l'a encorebarbouillé de surcroît, quelque gran...
-
L'Amant de Lady Chatterley de David Herbert Lawrence (Résumé & Analyse)
246 • Lady Chatterley Constance s'ennuie dans cette atmosphère sans passion où argent et célébrité sont les seuls centres d'intérêt. Par désœu vrement et curiosité, elle cède aux avances de Michaelis, un ami de son mari; mais cette relation ne lui apporte qu'une déception à la fois physique et sentimentale. Graduellement, Lady Chatterley sent s'éveiller en elle le désir d'avoir un enfant. C'est alors qu'elle fait la connaissance d'Olivier Mello...
-
Ne sommes-nous justes que par intérêt ?
Cet ordre et cette autorité souveraine sont des structures quasi a priori, rationnelles, et ne sont donc pasréductibles à l'intérêt. L'État:Disons donc un mot de l'État : il représente l'ensemble des organes juridiques, administratifs et, aussi, répressifs,d'une société. C'est une autorité souveraine détenue par la société. Cette forme particulière de pouvoir qu'incarnel'État permet de comprendre clairement l'essence politique de l'animal humain. En assurant l'ordre par les lois, l'Éta...
-
BACON : La Nouvelle Atlantide; Essais; Du progrès et de la promotion des savoirs
BACON 83 traductions françaises des œuvres de Bacon, tandis que le vieux Sully se fera dédier un volume composé de traductions de divers textes du même auteur. Au moment de la succession de 1603, quand il se croit écarté des charges politiques, puis en 1621, quand il se sait définitivement dessaisi de toute fonc tion, la réaction de Bacon, dont des traces écrites nous sont parvenues, montre bien qu'il reconnaissait ces charges...
-
A-t-on le devoir d'aimer autrui ?
• Il se distingue aussi par sa portée. En effet, traiter les autres «comme une fin» ne signifie pasnécessairement les «aimer». C'est à la fois moins exigeant, car il s'agit «seulement» de les respecter, enreconnaissant en eux la dignité humaine. Mais c'est aussi plus exigeant, car il faut maintenir le respect mêmequand on n'aime pas! C'est là que le «devoir» est ressenti comme tel. LA MORALE DE KANT Kant, comme tous les grands penseurs du «siècle des lumières », est un human...
-
Le confiteor de l'artiste de Baudelaire
Lecture analytique Introduction : *** Troisième pièce du recueil, « Le Confiteor de l’artiste » exprime la difficulté de la créationpoétique confrontée au défi que lui impose la nature « rivale ». En analysant ses effets rythmiques et sonores et endégageant son unité, nous montrerons que ce texte est caractéristique du genre du poème en prose. Après avoir vucomment le texte sous la forme d’une confession, livre une réflexion douloureuse sur la création poétique, exigencede beauté, nous étu...
-
L' impressionnisme chez Maupassant et Renoir dans Une partie de Campagne (Maupassant et Renoir)
Les thèmes privi légiés des peintres impres sio nnis tes Fas ciné s par une natur e qui se métamorp hose sous l' effet de la lum ière chan geante, ils sont d'ab ord attir és par to us les élémen ts ondoya nts, chatoya nts, mobi les, mani festat ions de l'éphém ère et de l'ins table. Car, dans la pen sée scienti fique 1 co mme dans l'art, le XIX 8 siècle fin issa nt su bst itue aux concepts de fixité et de solidi té ceux de mouvement et de fugacité. D'où...
-
-
Peut-on expliquer une croyance religieuse sans la détruire?
a) Descartes dans les Méditations métaphysiques croit pouvoir affirmer, avoirdéduit l'existence de Dieu. Pour cela, il part de l'existence de l'idée d'infinitudeque j'ai en moi et qui ne peut avoir été placée que par un être infini.Néanmoins, cette démonstration, si elle se veut une preuve, rationnelle desurcroît, ne répond pas aux critères reconnus de l'explication scientifique. «J'ai en quelque façon premièrement en moi la notion de l'infini que du fini,c'est-à-dire de Dieu que de...
-
Notes de cours: LA MÉTAPHYSIQUE. ?
En effet, les réalités que pose le métaphysique ne peuvent tomber sous aucune intuition. Il en était de même enscience lorsque la pensée voulait affirmer des "réalités" : ainsi l'énergie, n'étant en elle-même ni chaleur, ni mouvement, ne pouvait être pensée. Quand elle veut être métaphysique, c'est-à-dire penser l'être en lui-même, la pensée semble donc se trouver en face du néant, et ne plus avoir d'objet. La raison semble donc purement formelle. Elle doit avoir une matière, un donné; a...
- Etre sans culture, est-ce être humain ?
-
Qu'est-ce que la matière ?
Notre rapport au sensible est indépassable. La terre constitue le second versant du corps de l'homme. Alors que les civilisations traditionnelles ont cherché un sentiment d'alliance avec la nature, célébrant ses sublimes beautés, comme par exemple dans la peinture chinoise de paysages, le monde moderne cherche l'èx ploitation sans frein, aveugle et totale de la terre, fasciné par les forces que recè lent la matière. Le sentiment romantique d'union avec la te...
- Kant, étude de Métaphysique des moeurs
-
Le travail est-il spécifiquement humain ?
En quoi le travail humain se distingue-t-il de l'activité animale ? Quelle est la différence entre technique et activitéinstinctive ? Explication Intelligence et instinct Il y a entre le travail et l'activité animale une différence de nature : le travailleur suit son intelligence, l'animal suitson instinct. Les réalisations des insectes peuvent nous surprendre par leur complexité, les réalisations de la naturesont souvent supérieures à celles des hommes. Mais à travers l'animal, c'est l'espèce q...
-
Expliquez le texte suivant : HEGEL, « Esthétique »
1 'JtlïïJ.i tllt 94 J ' . t . .. .. .. � .... .. L ... ... [ ... .. .. � .. ... . L •••••• tt� t $ •1�=ljltttri •••• tt r: •l•t · . · :� .--l� � ;��-- -L. J. ?.ae1� - .t � L .. � -.J ... � .. - �ïta®f.i. .) ·� : . � :.r·· a : .. ?.d�Ql�I .: ""I. dP � · J� T. · i� .-.. ·.- � :.� I;. :J� :::..- � : ::-. [kf�QLitm itLM�±titit!lmlf±r . -�� Y\t�� QJ .T.d: . Te2Qii T: � I ·.Il� i �L·: :[ I�V.r.i T.. � .�L ... tJi·�� · tt. � �� 1 ... � ... � -r JJ� .. d� ... r�r...
-
Nietzsche: L'art doit avant tout embellir la vie
Cette affirmation en étend ainsi considérablement la notion car Nietzsche ne sous-entend pas ici que, parquelque vertu « décoratrice », les oeuvres viendraient embellir notre environnement et nos espacesd'existence. Le sens est tout autre : il s'agit d'affirmer que l'art est un embellissement de toute la vie, carl'art est dans la vie, il est la vie même.Ce terme en vient donc à désigner ici l'effort d'« esthétisation » de toute notre existence, dans tous sesaspects et toutes ses conduite...
-
-
La pensée politique de Saint Augustin et de Saint Thomas d'Aquin
PLAN : I – Biographie de Saint Augustin II- La pensée politique de Saint Augustin 1-Les Deux Cités 2 - La nature des deux cités 3- L’autorité dans la cité 4- Les fonctions de l’autorité 5- Les deux formes de l’autorité III- Biographie de Saint Thomas D’Aquin IV-La pensée politique de Saint Thomas D’Aquin 1- Le Régime mixte 2- La doctrine du tyrannicide 3- Les motivations des gouvernants 4- L'essence du gouvernement
-
A quoi servent les lois?
Introduction : Par loi, on entend soit une loi de la nature comme la chute des corps soit une règle du droit, un règlement.La loi suppose une soumission au législateur et un respect de celle-ci. Or ici c'est bien le problème de la légitimité del'existence de la loi qui est en question. Nous insisterons notamment sur l'aspect politique de la question bien quenous traiterons aussi du rapport aux lois de la nature. Nous avons l'habitude de vivre dans une société régie par deslois or q...
-
Les personnages de PAUL ET VIRGINIE
Bernardin de Saint-Pierre est né au Havre en 1737, dans une famille de bonne bourgeoisie. A douze ans, il fait encompagnie de son oncle un voyage à la Martinique, dont il reviendra déçu par les paysages qu'il aura découverts. Ilrêve déjà d'îles paradisiaques...Après des études à Caen et à Rouen, Bernardin de Saint-Pierre devient ingénieur militaire en 1759. Il mène alors unevie chaotique, voyageant à Malte, en Hollande, en Russie, en Pologne, en Autriche... Il se peut qu'il se soit livré àl'espi...
-
VIOLON de PICASSO
- .' - ~ ' VIOLON 1912 Peintre espagnol Anal yse ~ Picasso exécuta Violon à l'automne 1912 . Ce « papier collé » comme d'autre s œuvres de la même période , par exemple Violon et papi er à musique , est une composition très claire que viennent juste orner quelques éléments et quel ques lignes. C'est là une des œuvres minimali stes de Picasso qui ressortit à la période du « cubisme synthétique ». L'artiste tente une reconstitution de l'ob...
- l,homme est-il un etre natuel ?
-
L'obéissance à la règle sociale est-elle la condition de la liberté humaine? Peut-on concevoir autrement cette liberté ?
Plan 1. La liberté du bon plaisir · Affirmer sa propre nature tout homme recherche le bonheur dans sa vie. La liberté de faire ce qui lui plaît, c'est le pouvoir d'imposer la réalisation de son bonheur contre tout, contre tous, carcelui qui triomphe de tous les obstacles, c'est celui qui n'a pas d'autre loi que celle qu'il s'est lui-même donnée. · C'est aussi la force de suivre son plaisir : semblable, dit Platon dans le Gorgias, au tonneau percé qu'on veut rem...
-
Bibliographie :
- Les Rêveries du promeneur solitaire, de Rousseau (Garnier-Flammarion).
Rousseau et les Rêveries du promeneur solitaire — Introduction On donne l’autorisation à Rousseau de rentrer à Paris, sous une condition : qu’il n’écrive pas et qu’il ne communique pas les Confessions , ni qu’il en fasse des lectures publiques. Dans un premier temps, il vit rue Plâtrière, au cinquième étage. Pour gagner sa vie, il joue de la musique, comme il l’a toujours fait. Il a la réputation d’avoir la plus belle main de Paris. C’est à pa...
- L'idée de droit naturel
-
- Que gagne t-on en travaillant ?
-
La mémoire
de nous fermer à tout jamais la porte du bonheur. Et cela quelque que soit leur nature. Qu'elles soient graves comme un viol ou un abandon ou, à priori, moindres comme des moqueries à l'école ou des humiliations, elles ont toutes la même portée à nos yeux. La charge émotionnelle à l'évocation de ces souvenirs reste toujours la même. Rien ne peut y faire, ni la raison ni le temps qui passe. La mémoire est dans certains cas plus fort que tout, plus for...
-
L'EXTASE de VICTOR HUGO
Une transfiguration graduelle Hanté par les préoccupations métaphysiques que lui suggèrent le paysage nocturne qu'il contemple, Hugotransfère graduellement ses propres pensées sur le décor qui l'entoure. La nature, dont la présence gigantesquefait naître les questions du poète, devient alors l'interprète, la messagère de ces questions. Il s'agit là d'un effet detransfiguration, effet familier à Hugo. Le mouvement général du texte traduit bien ce mouvement psychologique. Le premier mot du...
- SCENE DE LA FORET de Robert Schumann
-
Le bonheur est-il la fin de la vie humaine ?
valeur dans la quête du bonheur, car ils permettent la satisfaction des besoins et des goûts de l'homme, un plusgrand développement de ses talents et de sa personnalité, ils n'impliquent pas le bonheur. On peut se demander,dès lors, si le bonheur n'est pas, pour chacun de nous, un idéal de l'imagination irréalisable et s'il constitue lavéritable destination de l'humanité. Discussion : Aristote, La Politique : "Tous les hommes aspirent à la vie heureuse et au bonheur, c'est là une chose ma...
-
Dissertation: l'efficacité de la PUV
de conclure avec d’autres personnes pendant le temps de la promesse. C’est un outil de protection du promettant. C’est le cas par exemple dans une vente immobilière Au niveau de la jurisprudence , la Cour de Cassation considère qu’une indemnité d’immobilisation d’un montant trop élevé limite le droit d’option du bénéficiaire et transforme la promesse unilatérale de vente en promesse synallagmatique. Si l’option et l’indemnité d...
- Le Supplément au voyage de Bougainville, Diderot (1772)
-
La sagesse est-elle la condition du bonheur ?
Problématique La sagesse suffit-elle à nous rendre heureux ? Le bonheur s'atteint-il pleinement et essentiellement dans la simple sagesse, toujours par ailleurs rechercher et jamais atteinte ? Il fat par là soulever ce paradoxe que si lasagesse est la condition du bonheur, l'homme ne peut jamais atteindre le bonheur puisqu'il ne peut jamaistotalement atteindre la sagesse. Le bonheur, ordonné à la sagesse, n'est-il donc un idéal de la raison, jamaisinaccessible effectivement ? La...
-
-
LA VIOLENCE - Hobbes
LA PRATIQUE ET LES FINS - Ne pas confondre propriété et appropriation momentanée (cf. la fin du texte). - Attention au cas de l'homme solitaire, presque paradoxal puisqu'il ne peut, par définition, être en guerre avec qui que ce soit. CORRIGÉ [Introduction] De nombreux théoriciens ont admis l'existence d'un «droit naturel», ou celle de droits déjà inscrits dans la nature initiale de l'homme. Hobbes les contredit ici, puisqu'...
-
La puissance de l'Etat est-elle condition de l'harmonie ?
si le peuple détient toujours la puissance, alors c'est le peuple qui a l'autorité Souveraine, et le roi n'en est que leministre, pour mettre cette Souveraineté en exécution. [...] Or il est à croire que quand quelqu'un reçoit quelquechose de l'autorité du peuple, il ne le reçoit pas du peuple comme de ses sujets, mais du peuple comme de sonSouverain. Davantage, quoi qu'en l'élection d'un roi le peuple lui mette entre les mains l'administration de l'autoritépublique, néanmoins le peuple la peut...
}})








