161 résultats pour "causal"
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Est-il possible de préparer l'avenir ?
parle-t-on pas, encore aujourd'hui, des "prévisions" de l'horoscope, ou de "prédire" l'avenir en lisant les lignes de lamain. On s'aperçoit grâce à cette analyse qu'il n'y a pas à parler rigoureusement de connaissance scientifique de l'avenir,car connaître scientifiquement signifie déterminer entièrement, c'est-à-dire objectivement, un phénomène qui doitdonc, avant toute chose, être présent, c'est-à-dire être dans le présent. Le terme qui désigne une connaissance prétendument scientifique de l'a...
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Faisons-nous l'histoire ? Sommes-nous les acteurs de l'histoire ?
Nous n'avons pas la prétention de clore le débat: "histoire, science ou discipline?", néanmoins noustâcherons à notre échelle de voir dans quelle mesure on peut dire de l'histoire qu'elle est science et dès lors qu'ellene peut être faite que par l'homme, du moins par l'historien; autrement dit lançons-nous dans une épistémologie del'histoire! Lois, modèles, objet et principalement méthode pour reprendre le "bon mot" de Descartes représentent lesclés essentielles permettant de savoir si oui...
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Peut-on vraiment être agnostique ?
moyen de démontrer l'existence d'un objet, que ce soit un triangle ou Dieu, c'est d'en faire l'expérience sensible, cequi est précisément exclu pour Dieu.b) D'autre part, on peut également réfuter l'argument selon lequel Dieu pourrait être déduit de l'organisation dumonde. Comme l'avait déjà montré Straton de Lampsaque, cet argument ne respecte pas la loi logique dite du« rasoir d'Occam ». Cette loi s'énonce ainsi : « Les entités ne doivent pas être multipliées par delà ce qui estn...
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Est-on d'autant plus libre que l'on est conscient ?
l'uniformité de la continuité causale.L'augmentation de la conscience ou de la réflexion sur la constitution de la conscience elle-même dénonce ainsi lapossibilité d'une conscience qui soit au principe de la liberté : le sujet n'étant pas une unité substantielle, laconscience n'augmente pas la liberté mais désigne son inexistence – l'inconscience ou l'irréfléchi peuvent seulsencore donner l'illusion de la liberté. III. Dualité restituée (Kant) Mais en assurant la primauté de l'in...
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Est-ce par ma perception que je découvre le monde ?
distingue entre les « idées simples », cad inanalysables en éléments et immédiatement dérivées d'expériences sensibles élémentaires (telles les idées de « rouge », « chaud »...) et les « idées composées », qui, elles, sot des résultats d'une combinaisons d'idées simples. 3. La signification des mots . L'expérience comme contrôle. L'expérience n'est pas seulement une origine ; elle est aussi ce à quoi il faut retourner pour éprouver la valeur de nos pensées ou plus exacte...
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pour lui une importance si primordiale qu'il donne à son système le nom d'organicisme.
1 mologie, logique, psyclwlogie, morale, politique, esthétique, éducation, religion. De ses très nombreux écrits, on peut citer : Ethics ( 1908), en collaboration avec J. H. Tufts; How we think (1910); Democracy and Education (1916); Reconstruction in Philo sophy (1920); Human nature and Conduct (1922); Experience and Nature (1925 et 1929); The Quest for Certainty (1929); The sources of a Science of Education (1929); Art as Experience...
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Alain: Science et Technique
• Elle est liée à l'action (à l'activité): c'est l'action qui la déclenche, et qui constitue sa «méthode».• Elle procède en effet par essais et erreurs, par manipulations. Les tâtonnements successifs déterminent un savoirempirique: je deviens capable d'utiliser un objet (par exemple mon poste de télévision) sans en connaître lefonctionnement, mais cela suffit pour ma satisfaction.• Car l'empirisme n'est sensible qu'au « succès ». On vise un résultat et pourvu qu'il soit atteint, on ne se...
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La science rend-elle la philosophie inutile ?
que celui de la science, c'est son obstination à penser (puisqu'elle ne peut les connaître) les noumènes.Lorsqu'à partir du XIX siècle, l'homme commence à se considérer comme un objet de science possible, on constateque les disciplines scientifiques qui entreprennent de le cerner — les sciences humaines — entendent bien sedétacher de toute emprise philosophique, ne serait-ce qu'en adoptant des méthodes qui autorisent une approche «objective » de l'être humain (tests et recherche de labor...
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En quel sens la connaissance scientifique peut-elle être considérée comme un désenchantement du monde ?
« idoles » imaginées par l'esprit humain pour rendre compte des phénomènes naturels, et qui, non seulement sontdépourvues de toute réalité, mais en outre paralysent l'essor de la science ( Novum Organum , 1620), c'est-à-dire de la connaissance objective. b) La science, en effet, désenchante le monde en instaurant une rupture méthodique, entre la Nature et l'espritconnaissant. Si l'on en trouve très tôt des expressions chez Platon (la conversion à l'Intelligible dans La République , Ve siècle av...
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BIBLIOGRAPHIE DE KANT
GOYARD-FABRE S., 1996: La Philosophie du droit de Kant, Paris, Vrin, 292 p. GUILLERMIT L., 1986: L'Éiucidation du jugement de goût, Paris, CNRS, 321 p. PHILONENKO A., 1976 : Théorie et praxis dans la pensée morale et politique de Kant et Fichte, Paris, Vrin, 228 p.; 1986: La Théorie kantienne de l'histoire, Paris, Vrin. RENAUT A., 1997: Kant aujourd'hui, Paris, Aubier, 512 p. RIVELAYGUE J., 1992: Leçons de métaphysique allemande, t. II...
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de toutes les énergies motrices du corps, à communiquer aux
105 Téléologie et théologie raison, a seulement pour fonction de nous faire penser le monde sensible, par référence au monde intelligible. 53. Téléologie et théologie. Toute science forme un système en soi; il ne suffit pas d'y construire suivant des principes, donc de procéder techniquement, il faut aussi procéder de façon architectonique comme par un édifice existant pour lui-même, la traiter non comme une annexe ou une partie d'un autre édifice...
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Y a-t-il lieu de distinguer des vérités d'expérience et des vérités de raison ? Les vérités de raison ne sont-elles elles-mêmes que d'anciennes acquisitions de l'expérience? Ou bien faut-il penser qu'elles sont déjà nécessaires à l'homme pour comprendre les enseignements de l'expérience ?
des vérités de raison.Mais d'où sais-je que tout ce qui commence ou change a une cause; que la même chose ne peut pas à la fois êtreet n'être pas ? C'est le problème de l'origine des vérités de raison ou des principes directeurs de la connaissance quidivise les philosophes. * * * On pourrait d'abord répondre que les vérités appelées de raison ne sont, en réalité, que d'anciennes acquisitions del'expérience et se réduisent à des habitudes de pensée résultant d'observations répétées : c'est...
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Fiche cours historiographie
Annales Maximi → affaires publiques → Catalogue d’événements détruites par un incendie Annales privés → Les familles racontent des faits prestigieux a . Les historiens de la République · Cicéron ( 106-43 ), De Oratore, De re publica Acteur politiqu e d e pr emier plan Talent d’orat e ur et s a str at égie politiqu e R éfléchit s ur le s origine s d e la R é publiqu e Deux g e nr e s historiqu e s → Le s monum e nt al (ann ale s Maximi, archive s publiqu e s)...
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Dissertation gratuite: Un être libre est-il un être imprévisible ?
soit pas déterminer causalement ? Ce qui nous ramène à notre problème qui était de savoir si l'on peut seulement définir la libertépar la spontanéité. Nous allons donc dans cette deuxième partie montrer qu'un être libre n'est pas absolument imprévisible. C'est donc dans ce second temps que nous allons voir qu'il est tout de même possible de prévoir les agissements d'un être libre.Si on prévoit les choses, c'est qu'elles obéissent à une certaine rationalité. L'être libre serait alors un fou, un c...
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Dissertation gratuite: Dans quelle mesure la science doit-elle prendre en compte le probable ?
l'incertitude, sortir de l'indétermination. Mais nous constatons en même temps que les probabilités qui rendentpossible l'avancée scientifique sont-elles mêmes problématiques du point de vue la connaissance. En effet, si l'onadmet la probabilité comme valeur suffisante d'une théorie scientifique, n'est-ce pas par là-même faire de la scienceune simple croyance, et ne reconnaître ainsi à toute théorie qu'une valeur subjective ? Il nous faut donc chercher lavaleur de vérité des probabilités...
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sciences, philosophie des - philosophie.
On peut également s’interroger, non pas sur une éventuelle définition de la science, mais sur ce qui en constituerait l’objectif ultime. Ici encore, l’héritage antique pèse de tout son poids. Selon certains penseurs grecs, la science cherche ce qui est à l’origine des phénomènes naturels. Le mot grec pour cette origine est aitia, une racine que l’on retrouve aujourd’hui dans le terme « étiologie », une terminologie employée surtout en médecine pour désigner ce qui déclenche une maladie. Il exi...
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Seconde période du x1x• siècle
Volonté : chose en soi
Objectivation
l
Idées
Prin!pe d'individuation
lespace ; temps;
causalité)
l...
Seconde période du x1x• siècle Volonté : chose en soi Objectivation l Idées Prin!pe d'individuation lespace ; temps; causalité) l Objecti• valions de la volonté Représentations !soumises au principe de raison) A Le monde comme volonté et comme représentation Pur égoïsme I La volonté unique en tous Identification avec la vie et la souffrance des autres \ , ' t � � pmé ,,,m,,.I Pure méchanceté B La pitié comme fondement de l'éthique � S0REN Kierkegaard (1813-1855) est à clas...
- Faut-il avec Kant rejeter la liberté dans le monde nouménal, alors que le déterminisme régnerait dans le monde phénoménal ?
- CAUSE
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KANT
à nouveau conditionné ; et c'est pourquoi aussi, dans la dialectique de la raison pure théorique, les deux moyens opposés de trouver pour elles l'inconditionné et la totalité des conditions étaient également faux. Les catégories de la seconde classe (celles de la causalité et de la nécessité d'une chose) n'exigeaient aucunement cette homogénéité (du conditionné et de la condition dans la synthèse) car il ne s'agissait pas ici de représenter l'intuition se formant par une composition en elle du d...
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La notion de cause
contenue dans la notion du changement arec la notion corrélatire d'effet. L'intelligence, placée devant quelque chose de nouveau, que ce soit en nous ou dans le monde extérieur, ne peut éviter de former ce jugement : cette réalité nouvelle, substance ou accident, a une cause. Aussi doi~-on considérer le principe de causalité, énonçant que
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Commentaire de l'arrêt du 9 juillet 2009 par la 1ère chambre civile de la Cour de cassation.
comme la présentation doit faire état des effets néfastes éventuels, ce qui n'était pas le cas lors de l'injection, laCour de cassation a conclu que la Cour d'appel avait fondé sa décision. En effet, les juges de fond ont bien purelever que le produit n'offrait pas « la sécurité à laquelle on pouvait s'attendre ». Ainsi le raisonnement des juges du fond, validé par la Cour de cassation, invalide le premier moyen. Mais cet arrêt, s'oppose à la jurisprudence antérieure et suscite la réaction d'...
- En quoi consiste, selon vous, l'explication d'un fait historique ?
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Le peuple est-il responsable de l'histoire ?
peuple est responsable, c'est-à-dire, qu'il a à répondre devant ces lois ? Celles-ci ne sont-elles pas au contrairearbitraires et illégitimes, attendu qu'aucune « raison du peuple » ne vient les lui édicter ?Ce problème de la légitimité des lois, légitimité qui seule peut fonder la responsabilité, est celui auquel les théoriesdu contrat répondent : en effet, ce n'est, comme dans le cas de l'individu face à la loi morale kantienne, quelibrement qu'il peut se soumettre aux lois positives (c'e...
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Commentaire d'arrêt : Ass. Plén., 17 novembre 2000 (droit)
B- La réparation du préjudice de l'enfant né handicapé affirmée par l'Assemblée plénière La Cour de cassation, dans son arrêt rendu le 17 novembre 2000 accepte, contrairement à la Cour d'appel de D, la demande de réparation du préjudice résultant duhandicap qui affecte l'enfant de Madame X, suite à la contraction de la rubéole de cette dernière. Selon la Cour de cassation, « dès lors que les fautes commises par le médecin et le laboratoire dans l'exécution des contrats formés avec Madame X avaie...
- Kant
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Fatalisme et déterminisme d'ALAIN
Seulement l'idée fataliste s'y mêle, on voit bien pourquoi, à cause des actions et des passions qui sont toujours mêlées aux. événements que l'on remarque. On conclut que cet homme devait mourir là, et que c'est sa destinée, ramenant ainsi en scène cette opinion de sauvage que les précautions ne servent pas contre le dieu, ni contre le mauvais sort. Cette confusion est cause que les hommes peu instruits acceptent volontiers...
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Essai sur le libre arbitre de Schopenhauer (résumé)
n faut distinguer liberté et conscience de la liberté ·~[·]~· Ma conscience ne suffit pas à m'indiquer que je suis libre. L'introspection est toujours incomplète: le fait que nous percevions une cause ultime ne prouve pas que cette cause soit première. L'évidence interne nous trompe D ans les Essais de théodicée, L e ibn iz réfute la possibilité de fonder le libre arbitre sur une évidence interne. Pour lui, la co nsci en ce es t...
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L'expérience peut-elle se passer de présupposés théoriques ?
L'expérience dépend de l'instrument qui la rend possible. «Les instruments ne sont que des théories matérialisées. » Bachelard, LeNouvel Esprit scientifique (1938). • Pour donner leur place à la théorie et à l'expérience dans la constitution dela connaissance, il faut relever que la connaissance du monde passe aussi parla connaissance du sujet connaissant lui-même. C'est ce que dit Kant, quivise notamment à sortir de l'antithèse entre Locke et Descartes.• Dans l'épistémologie moderne de...
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Peut-on prouver la liberté ?
On ne peut pas prouver que l'homme est libre mais on peut le penser. 1. D'après Kant, nous ne pouvons nous présenter les phénomènes que sous les formes de l'espace et du temps; etles phénomènes ainsi représentés sont enchaînés les uns aux autres par un déterminisme inflexible. Comment alorsadmettre la liberté ? Le seul moyen, c'est de mettre en question la valeur de la science, de montrer qu'elle n'est pasla représentation exacte du réel, et que, par suite, la liberté est possible en réalité. O...
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Ce qui est vrai le restera-t-il toujours ?
est englobée dans la théorie de la relativité généralisée de Einstein. On peut même conjecturer que, sans êtrevraies, les théories nouvelles sont plus proches du vrai que celles qu'elles ont dépassées. Autrement dit, lesrapports polémiques entre les constructions théoriques et les faits nouveaux sont à la source d'une plusgrande rationalisation du réel et de progrès de la raison elle-même. [L'usage de la raison ne suffit pas à nous prémunir contre l'erreur. L'homme est mû plus par les pas...
- Solution Au Paradoxe De l'Écrivain En Littérature : Le Temps Figé
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ANALYSE ET CRITIQUE DES "PROLÉGOMÈNES à toute métaphysique future qui pourra se présenter comme science". ?
confine science, fonder ses prétentions non plus sur une croyance trompeuse, mais sur l'intelligence des choses, etla certitude réelle, il faut qu'une critique de la raison elle-même détaille, dans un système complet, l'ensemble desconcepts à priori, leur division, d'après leur source différente (sensibilité, entendement et raison) ; il faut qu'elle endresse une table complète, qu'elle analyse ses concepts et tout ce qui en peut sortir; qu'enfin et surtout, elleexplique par la déduction la po...
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La science rend-elle la philosophie inutile ?
nouménale, et la loi concerne le premier, même si elle n'apparaît pas directement dans les phénomènes eux-mêmes,tandis que l'univers nouménal (le fond du « réel ») nous reste inconnu. Ce qui fait de la philosophie un discours autreque celui de la science, c'est son obstination à penser (puisqu'elle ne peut les connaître) les noumènes.Lorsqu'à partir du XIX siècle, l'homme commence à se considérer comme un objet de science possible, on constateque les disciplines scientifiques qui entreprennent...
- resume des quatre premier chapitre des Modeles de la decouverte
- ACAUSAL, -ALE, -AUX, adjectif.
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Platon par Victor Goldschmidt
Pour Socrate H048 , la philosophie n'est pas une spéculation désintéressée : elle est un service civique. Les accusateurs de 399 mettent un terme à son activité, mais ne la mettent pas en question et, aux yeux de Socrate H048 , en confirment au contraire l'opportunité et l'urgence. Pour Platon (et à partir de lui), la mort de Socrate H048M1 prend valeur de symbole. Elle n'est pas simplement le résultat de circonstances malheureuses et d'un malentendu regrettable. Elle marque l'échec définiti...
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Un objet est-il pensé ou senti ?
facettes, que si ma main parcourt ces plans successifs, elle reviendra, sans avoir été avertie d'unesolution de continuité, à son point de départ, que tout cet ensemble est froid, lisse, relativement pesant;une seule de ces impressions suffit à me faire attendre les autres et à me signaler le vase qui répond àleur ensemble.Mais si en cela encore se traduit plutôt le groupement des données, le montage de nos réactions, l'objetest pourtant, et en même temps, quelque chose de plus : l'Idée...
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La saisie du beau est-elle immédiate ?
a. Cependant, nous ne pouvons nous en tenir à une telle thèse. En effet, il semble bien que nous ne pouvons affirmerque la saisie du beau est immédiate dans un sens temporel, car il se peut fort bien que le public d'une œuvre d'artsoit incapable de reconnaitre la beauté d'une œuvre, alors qu'une époque postérieure en sera pour sa part capable.C'est ce que montre Balzac dans Le chef d'œuvre inconnu , récit qui montre comment un peintre produit une œuvre que ses contemporains regardent comme un...
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Peut-on dire que la perception est une connaissance ?
demain. Or, rien ne certifie que cela aura lieu. J'ai déduit cette conséquence à partir de l'habitude, non d'uneconnaissance. Ce que l'on appelle connaissance n'est donc qu'un assemblage d'idées reçues, posées comme véritésà partir de mon expérience sensible perceptive. La seule réalité est dans les phénomènes, l'esprit n'étant rien d'autrequ'une « tabula rasa » sur laquelle s'impriment les données perceptives. 3.La connaissance naît de l'expérience, mais ne dérive pas toute de l'expér...
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Une responsabilité élargie H. JONAS
ce ne soient plus ceux d'un sujet individuel) qui ont une portée causale incomparable en direction de l'avenir et qui s'accompagnent d'un savoir prévisionnel qui, peu importe son caractère incomplet, déborde lui aussi tout ce qu'on a connu autrefois. Il faut y ajouter le simple ordre de grandeur des actions à long terme et très souvent également leur irréversibilité. Tout cela place la responsabilité au centre de l'éthique, y co...
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La responsabilité pour faute
2010 : la naissance d’un enfant, après échec d’une IVG ne peut constituer pour la mère un préjudice juridiquement réparable. Est-ce qu’on a là une atteinte à un intérêt légitime protégé par le droit ? non. La question se pose quant à la naissance d’un enfant handicapé : l’enfant nait handicapé, ou une chirurgie médicale cause un handicap. Quand l’handicap est là dès la naissance ? affaire Perruche : un médecin n’avait pas diagnostiqué chez la femme enceinte la rubéole. La mère n’ayant pas consci...
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Karl Popper, Misère de l’historicisme - Explication de texte
Les clés pour réussir Bien comprendre Je texte Plan du texte • !.:év olution de la socié té est un « processus historique unique ». • Il peut manifester dans son développeme nt toutes les lois partielles (de la physi que, de la biologie, etc.). mai s ne relève pas d'une loi unique en raison de sa singular ité. • Pa r défi nition, toute loi, pour être scientifique, doit concerner des cas ou des phéno mènes répéta bles : le processus histor ique, unique,...
- Liberté kantienne
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DAVID HUME : Enquête sur l'entendement humain - Traité de la nature humaine. Essai pour introduire la méthode expérimentale dans les sujets moraux
Habitude : accoutumance par laquelle nous attendons ce qui est lié à un phé- nomène. Idée: image et écho affaiblis de l'impression. Impression: perception ferme et vive, s'imposant à l'esprit avec force. Moi: collection de perceptions mobiles. Perception: événement constituant la vie de l'esprit, modalité de notre maté riel intellectuel en général. Raisonnement: comparaison et découverte des rapports, constants ou non, qu'ont entre...
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Le destin, arbitraire divin ou nécessité aveugle ?
Le monde pourrait se passer de Dieu le règne des lois, fussent-elles divines, supprime lavolonté comme seule cause des évènements. b) Denis Diderot écrit :"Il n'y a pas de mouvement sans cause ; s'il en est ainsi, tout arrive par les causes qui donnent l'impulsion ; s'il en est ainsi, tout arrive par le destin." Rien dansle monde n'est soustrait à la chaîne des causes et des effets. c) Le déterminisme qu'on pourrait qualifier de scientifique ne peut répondre à la question du pour...
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ÊTRE LIBRE EST-CE NE PAS CONNAÎTRE CE QUI NOUS DÉTERMINÉ ?
"En contemplant une chute d'eau, nous croyons voir dans les innombrablesondulations, serpentements, brisements des vagues, liberté de la volonté etcaprice ; mais tout est nécessité, chaque mouvement peut se calculermathématiquement.Il en est de même pour les actions humaines ; on devrait pouvoir calculerd'avance chaque action, si l'on était omniscient, et de même chaque progrèsde la connaissance, chaque erreur, chaque méchanceté.L'homme agissant lui-même est, il est vrai, dans l'illusion...
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Les enseignements de la psychanalyse
un sens à des états morbides qui cependant ne détruisent pas en totalité le sujet qui les subit. Là où la médecinene voulait voir que des lésions et causes organiques, des altérations du système nerveux qu'en droit la sciencedevrait parvenir à expliquer objectivement, positivement, Freud, après de longs tatônnements, des résistances etincertitudes, émet la double hypothèse qui fonde la psychanalyse: les symptômes morbides ont un sens que le sujetméconnaît, ils sont l'expression symbolique d'un...
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INTERACTIONS FONDAMENTALES
2 La physique d'Aristote distingue l'étude des objets naturels de celle des objets fabriqués par la ruse de l'homme, les machines. Les phénomènes naturels comme la chute d'une pierre sont soumis à des causes tandis que les machines, comme l'homme, transmettent des forces. Or le geste qui consiste à jeter une pierre ou à lancer une flèche est considéré comme mettant en jeu une force, au même titre que la machine. Puisque toutes les forces agissent par contact, on se demande alors pourquoi la flè...
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INTERACTIONS FONDAMENTALES
2 La physique d'Aristote distingue l'étude des objets naturels de celle des objets fabriqués par la ruse de l'homme, les machines. Les phénomènes naturels comme la chute d'une pierre sont soumis à des causes tandis que les machines, comme l'homme, transmettent des forces. Or le geste qui consiste à jeter une pierre ou à lancer une flèche est considéré comme mettant en jeu une force, au même titre que la machine. Puisque toutes les forc...