2276 résultats pour "scientifique"
- Cours: L'HISTOIRE - II
-
Une idée vraie n'est-elle qu'une idée convaincante ?
l'ébranler, je jugeais que je pouvais la recevoir, sans scrupule, pour le premier principe de la philosophie....Après cela je considérai en général ce qui est requis à une proposition pour être vraie et certaine, carpuisque je venais d'en trouver une que je savais être telle, je pensais que je devais aussi savoir en quoiconsiste cette certitude. Et ayant remarqué qu'il n'y a rien du tout en ceci : je pense donc je suis, quim'assure que je dis la vérité sinon que je vois très clairement que pour...
-
A quoi bon la philosophie s'il y a des sciences ?
qui l'instruit en effet, mais, de manière paradoxale, en augmentant son désarroi. Car la science se construit contreles mythes et les croyances, contre les présupposés anthropomorphiques grâce auxquels l'homme justifiait le mondeet se justifiait. Elle les détruit mais ne les remplace pas. Plus elle explique le monde, plus elle accroît la solitude del'homme, lui infligeant, pour chaque nouvelle illusion dissipée, une nouvelle blessure narcissique et l'abandonnant seuldans un univers déserté et mu...
-
Qu’est-ce que la « réflexion sur les sciences » ?
• Pourquoi la philosophie se passerait-elle d'une réflexion sur les sciences? La question s'adresse aussi bien aux philosophes «professionnels» · qu'aux élèves qui subissent souvent la partie du programme consa crée aux sciences comme particulièrement rébarbative : ne pour rait-on, après tout, s'en dispenser? Si l'on s'intéresse davantage à l'art, à l'anthropologie, à la morale, ne peut-on faire /'économie de la réflexion sur des dis...
-
Peut-il y avoir une science de l'inconscient ?
Réfutations de l'inconscient en tant que science Cependant, bien que la psychanalyse soit présentée par Freud comme étant une science, la théorie freudienne del'inconscient n'a jamais fait l'objet d'une démonstration clinique. Ainsi, sa scientificité est mise en doute par denombreux scientifiques et épistémologues. Critique épistémologiqueLa principale raison du rejet de la psychanalyse en tant que science vient du fait qu'elle ne respecterait pas lescritères de toute démarche scientifique....
-
L'histoire peut-elle se passer de récit ?
dimension sociale ? La psychanalyse ou la physique ne se confondent pas pour autant avec l'image populaire de lapsychanalyse ou avec les applications de la physique. 2)L'histoire est l'histoire des sociétés humaines. L'histoire humaine ne se présente pas comme le recueil des biographies de tous les hommes un par un, et pourquoil'histoire de la nature ne raconte pas des coups de foudre un à un. Voilà aussi d'où vient l'idée confuse que l'histoirehumaine n'est pas l'histoire des individus, mais...
-
Les sciences humaines nous disent-elles ce qu'est l'humanité ?
III - LES REFERENCES UTILES K. POPPER : La logique de la découverte scientifique.W. DILTHEY : Le monde de l'esprit.M. HEIDEGGER : Etre et temps. (introduction)J.P. SARTRE : L'existentialisme est un humanisme.IV - LES FAUSSES PISTES Il ne faut pas : * s'enfermer dans une énumération empirique des sciences humaines, sans réflexion conceptuelle sur la scientificité.* prendre "humanité" au sens de : ensemble des humains, et non au sens de : concept relatif au "genre homme". « Un système faisant pa...
-
Les faits ont-ils besoin d'être interprétés ?
plus récent, Gaston Bachelard a longuement souligné que l'attitude scientifique ne commence que par une ruptureavec l'objet immédiat, celui qui nous semblait "évident" et "parlant", ainsi qu'avec les pensées qui peuvent surgird'une observation première. Il s'agit de "démentir le premier contact avec l'objet" (Psychanalyse du feu). Ce n'estque par une critique de tout ce qui semblait "aller de soi", perception, sens commun, habitudes pratiques, que l'onpeut commencer à élaborer une véritable conn...
-
-
Les historiens peuvent-ils éviter d'interpréter ?
Analyser le sujet La formulation du sujet laisse penser qu'il y a nécessité ou contrainte d'interprétation. Le présupposé est que leshistoriens interprètent.« Historiens » est une expression plus précise que « l'histoire » en tant que discipline générale. Ce sont des hommesparticuliers, vivant dans un contexte spécifique d'époque et de lieu, ayant même des faiblesses et des défaillancescomme tout être humain. Ils peuvent être sujets aux préjugés, victimes à leur insu ou non de l'idéologie de leu...
-
TPE : Aujourd'hui pourquoi et comment la vaccination atteint-elle ses limites ?
Le système immunitaire a pour fonction d’éliminer ces particules de manière aussi efficace que possible. Si ce système est affaibli et s’il ne fonctionne pasadéquatement, ces particules importunes ont tendance à s’accumuler ;Si le système immunitaire est fort, il nous protège contre les infections et les autres maladies.On appelle réponse immunitaire la réaction du système immunitaire aux antigènes que le corps reconnait comme étant étrangers. La réponse immunitaire peut être divisée en plu...
-
A quelles conditions peut-on dire que l'on connaît ?
parler l'objet s'il parle à travers l'esprit du savant ? Toutes les « vérités » scientifiques ont été, un jour ou l'autre,contestées, ce qui prouve qu'il n'existe aucune connaissance, ou vérité, absolue. Tout au plus peut-on serapprocher de la connaissance de la vérité peu à peu, mais sans jamais l'atteindre. Or, comment savoir si l'on serapproche de la vérité si on ne la connaît pas d'avance ? Peut-être ne pourrons-nous jamais connaître rien entotalité, la vérité ne nous sera jama...
-
Comment la philosophie se situe-t-elle par rapport à la science ?
réflexion philosophique. • Une réflexion utile aux sciences.Une réflexion philosophique est tout d'abord utile pour les sciences elles-mêmes qui ne se développent pas defaçon purement mécanique mais connaissent des périodes d'hésitation sur les domaines à explorer, sur lesprocédures à mettre en place, sur le rapport entre recherche fondamentale et applications industrielles ou surleur statut social. Certains chercheurs (Thomas Kuhn par exemple) entreprennent eux-mêmes une démarcheréflexive...
- ANALOGIE
-
Pourquoi faire des théories ?
le renouvellement des mêmes gestes, il a acquis la capacité de mener à bien son travail. Cependant, la part de connaissances acquises par l'expérience pratique reste assez restreinte. Par exemple, un menuisier sait parfaitement travailler le bois. Il connaît les difficultés qu'il peut rencontrer et sait les contourner par sa technique. Mais son savoir-faire est-il suffisant pour connaître l'action physique de l'outil, les diverses forces qui entrent en jeu...
-
TPE: En quoi la méthode de datation par le carbone 14 nous permet-elle de connaître l'âge des sarcophages égyptiens ?
II. L'utilisation du carbone 14 1) Définition du carbone 14 Le carbone 14 est un isotope du carbone, c'est à dire que cet élément radioactif a le même nombre de protons qu'un autre isotope du carbone tel que le carbone 12mais un nombre de neutrons différent. Le carbone 14 est un élément omniprésent, en effet on le retrouve dans tout élément carbonaté tel qu'un arbre ou bien mêmedes roches sédimentaires. Tous les atomes de radiocarbone se désintègrent spontanément, c'est-à-dire qu'il perd un nomb...
-
Faut-il rejeter la métaphysique ?
d'une idée de la raison à son existence comme chose en soi objective. La raison est à elle-même son propre remède: c'est la démarche critique.Il en va de même, enfin, concernant la théologie rationnelle qui entretient l'illusion de preuves de l'existence de Dieu,preuves que Kant démonte une à une, montrant leur valeur purement spéculative.Avant Kant, Hume avait déjà soumis ces trois idées, le moi, le monde, Dieu, à une critique définitive en en montrantla connaissance illusoire. Mais Hume, en sc...
-
-
L’inconscient n’est-il qu’un mythe ?
(On peut se demander en effet si l'intérêt porté à la psycha nalyse par nombre de lycéennes et de lycéens ne viendrait pas de l'attrait dé discours appréhendés comme étranges, fasci- nants voire fabuleux). · \_ Contre la validité de la notion d'inconscient. • Si l'on définit le psychisme par là conscience, la notion cl 'un psychisme inconscient recèle un scandale logique intolérable. • Certains disent : l'inconscient - par définition - n...
-
Pour quelles raisons devrait-on respecter la nature
• L'esprit scientifique réduit en effet l'univers à un ensemble de forces indifférentes, une sorte de machinerie sansvaleur intrinsèque, dont on peut simplement connaître les lois et prévoir les mouvements. Pascal, témoin de l'essorde cette pensée, perçoit clairement ses conséquences sur l'idée qu'on se fait de la nature.b) Pascal : «Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie»• Pascal ne conçoit plus l'univers que les sciences donnent à penser commeune Nature où l'on pourrait habiter sa...
-
La recherche du vrai dans les sciences doit-elle se passer du concours de l'imagination ?
KANT a été un des premiers à remarquer que l'exercice de l'imagination reposait sur des règles. Par exemple, lorsquej'imagine un triangle, je mets en oeuvre une activité de schématisation par laquelle je construis une image (dansmon esprit ou sur le papier) conformément à une règle. Par là, je ne suis pas asservi à la représentation d'un triangle particulier : je me représente tous les trianglespossibles par application de la même règle. L'imagination apparaît donc comme un instrument da...
- L'unanimité est elle un critère de vérité ?
-
SCIENCE ET TECHNIQUE
SUJETS DE REFLEXION 11 Distinguer les deux types de savoir que l'auteur oppose dans ce texte. 2/ Analyser l'elargissement du savoir « technique » tel qu'il apparalt dans les exemples du premier paragraphe. Qu'est-ce qui en fait l'unite? Que vise-t-il ? 3 / Pourquoi l'astrologue est-il « devenu astronome bien malgre lui»? Expliquer : « curiosite pleine de passion ». 4 / Analyser, d'apris ce texte, les caracares de l'esprit scientifique. 5 / Est-ce vrai que « les métiers de chasseur, de pec...
-
Grand oral du bac : LA MÉTAPHYSIQUE
La métaphysique sophes voient dans l'impossibilité de penser sa propre mort la preuve de l'immortalité de l'âme. Si nous ne parvenons pas à imaginer la mort de notre âme, c'est qu'en réalité elle continue d'exister après notre mort physique. Les religions ne cessent d'élaborer des systèmes permettant d'apporter des réponses à ces questions. La rencontre entre la philosophie grecque et le christianisme va profondément bouleverser l'approche de la métaphysiq...
-
Comment passe-t-on du mythe (mythos) à la raison (logos) ?
cette éducation et tous les soins qu'ils croient savoir reçus de nous étaient autant de songes ; qu'en réalité ils ontpassé ce temps dans le sein de la terre à s'y former eux, [ 414e ] leurs armes et tous les objets à leur usage ; qu'après les avoir entièrement achevés, la terre leur mère les a mis au jour ; qu'ainsi ils doivent regarder la terrequ'ils habitent comme leur mère et leur nourrice, la défendre contre quiconque oserait l'attaquer, et, sortis tous dumême sein, se traiter tous comme...
-
L'expérience ordinaire peut-elle nous tromper ?
des opérations de notre âme sur les idées qu'elle a reçues par les sens opérations qui, devenant l'objet desréflexions de l'âme, produisent dans l'entendement une autre espèce d'idées, que les objets extérieurs n'auraient pului fournir : telles que sont les idées de ce qu'on appelle apercevoir, penser, douter, croire, raisonner, connaître,vouloir, et toutes les différentes actions de notre âme, de l'existence desquelles étant pleinement convaincus, parceque nous les trouvons en nous-même...
-
-
Bergson, l'énergie spirituelle: Peut-on savoir avec certitude qu'un être est conscient ?
inavouées de tout raisonnement. Cependant, si l'on prend en compte le fait que Bergson est un défendeur de l'intuition, on peut comprendre la fin dutexte d'une manière différente… En effet, dans quelle mesure le raisonnement par analogie qu'il finit par proposer neserait-il pas en fait la seule solution, bien que non certaine, qu'il donne à ce problème ? Réflexion philosophique/critique : Le problème que pose le texte est de savoir commenton peut prouver qu'un être est conscient alors que la con...
-
La science peut-elle fournir à l'homme des réponses définitives?
· Pourtant, nous recherchons sans cesse une certitude dans les sciences. Comment pouvons-nous penser encore trouver des certitudes alors même que nous ne pouvons nous assurer des réponsesproposées par les sciences ? L'histoire des sciences physiques est celle de leur révolution permanente. Les théories n'ont qu'une valeur provisoire. Des faits « polémiques » surgissent qui les contredisent, qui obligent à des révisions. Tout succèsscientifique ouvre plus de questions qu'il n'en...
-
La science peut-elle conduire à la sagesse ?
l'action. Platon, pourrait-on dire, confond l'action morale avec la spéculation abstraite propre aux sciencesthéoriques, dont la visée est de contempler la nature des choses. Or, à partir de cette spéculation on ne peutparvenir à une intervention efficace sur les choses.La morale n'est pas du même ressort que la science. Comme le résume Descartes dans la troisième partie duDiscours de la méthode : « Ma seconde maxime était d'être le plus résolu en mes actions que je pourrais, et n...
-
La structure de l'ADN
biochimiste Erwin Chargaff qui détermine le rôle complexe des bases:les bases puriques, au nombre de deux - la guanine et l'adénine - et les bases pyrimidiques également au nombre de deux - la cytosine et la thymine. Les chaînes d'ADN renferment des séquences qui se répètent. Watson et Crick publient leurs travaux sur la structure de l'ADN le 25 avril 1954 dans la revue "Nature". Ils sont immédiatement acceptés par la communauté scientifique. Et les experts vont jusqu'à déclarer que cette struct...
- La pensée et l'expérience
-
FREUD: les besoins sexuels de l'homme
Par ce deuxième essai, nous entrons dans un processus régressif. Les trois caractères dégagés par Freud (étayage,autoérotisme, zone érogène) viennent non seulement spécifier la sexualité infantile mais éclairent les perversionsadultes et marquent définitivement la sexualité humaine en exigeant un élargissement du champ de la sexualité.L'activité psychosexuelle de l'enfant passe donc par des étapes liées aux zones érogènes sollicitées. Ce sont lesstades qui se caractérisent par la domination de «...
-
Qu'est-ce qui distingue une science d'une croyance ?
science établira). Ainsi « on ne peut rien fonder sur l'opinion, il faut d'abord la détruire ; elle est le premier obstacleà surmonter. » Il apparaît ainsi que, de par sa définition et dans sa démarche même, la science ne se confond pas avec lacroyance, puisqu'elle n'est ni préjugé, ni superstition, ni opinion, mais elle est au contraire universelle, elle aboutit àun savoir compréhensible de tous et permet de rassembler les esprits qui, auparavant, pouvaient avoir descroyances div...
-
Science sans conscience est-elle ruine de l'âme?
présupposés anthropomorphiques grâce auxquels l'homme justifiait le monde et se justifiait. Elle les détruit mais neles remplace pas. Plus elle explique le monde, plus elle accroît la solitude de l'homme, lui infligeant, pour chaquenouvelle illusion dissipée, une nouvelle blessure narcissique et l'abandonnant seul dans un univers déserté et muet.Si bien que l'homme, après avoir placé en elle toute son espérance, finit par s'en défier et sombrer dans lescepticisme, voire par retomber dan...
-
-
La dérives des continents
· Les arguments paléontologiques : On retrouve de part et d’autre de l’Atlantique, la présence des mêmes fossiles de plantes et d’animaux terrestres, datant de 240 à 260 millions d’années. Ce qui incite à penser que ces deux continents ne pouvaient pas être séparés par un océan. Car ces organismes n’avaient pas la capacité de pouvoir un océan infranchissable. Cela porte à croire que les continents étaient donc bien soudées et n’en formaient qu’un seul : la Pangée. 2-) Une déma...
- positivisme - philosophie.
- Synthèse de cours : LE VIVANT
-
Est-il légitime d'opposer la science à la philosophie ?
distinguent, dans leur langue, par différents termes, l' « éros », l' « agapé » et la « philia ». Ces trois termes setraduisent en langue française par un seul et même verbe, ce qui montre bien que la linguistique ne permet pastoujours d'apprécier la subtilité d'un concept philosophique, et cela met en exergue le fait que la philosophie dépend,en quelque sorte, de cette science humaine que l'on appelle la linguistique. Au XVIIe siècle la science abandonnal'idéal de connaissance pure ou désintére...
-
La conscience et l’inconscient - Sigmund Freud, Métapsychologie.
Freud, Métapsychologie ..... paradoxal que cela puisse paraître, aux exigences mêmes de ..... la conscience. 1. DE LA L'idée d'un « psychique inconscient » suscite de nom- NÉCESSITÉ DE ..... breuses objections qui viennent d'horizons intellectuels diffé- L1HYPOTHÈSE ..... rents. Mais« de tous côtés,, ce qui est contesté, ce n'est pas DE L'INCONSCIENT ..... seulement un aspect particulier de l'inconscient, mais l'exis- a. Les résistan...
-
Existe-t-il des vérités éternelles ?
changeant. Plus précisément, selon la physique d'Aristote, c'est le monde sublunaire qui est changeant et qui relèvede la contingence. Or Aristote va justement tenter de fonder une logique du langage qu'il expose dans Les catégories qui soit en accord avec l'ontologie des choses : ainsi il existe des futurs contingents qui doivent être respectés (De l'interprétation , 9). C'est le langage et la pensée qui doivent se plier à la réalité, et non l'inverse. B. Dire qu'il n'y a pas...
-
A quelles conditions peut-on dire que l'on connaît ?
parler l'objet s'il parle à travers l'esprit du savant ? Toutes les « vérités » scientifiques ont été, un jour ou l'autre,contestées, ce qui prouve qu'il n'existe aucune connaissance, ou vérité, absolue. Tout au plus peut-on serapprocher de la connaissance de la vérité peu à peu, mais sans jamais l'atteindre. Or, comment savoir si l'on serapproche de la vérité si on ne la connaît pas d'avance ? Peut-être ne pourrons-nous jamais connaître rien entotalité, la vérité ne nous sera jama...
-
LA SCIENCE A-T-ELLE BESOIN DE METAPHYSIQUE ?
cadre avec un quadrillage parfait, dans lequel il existerait un réseau extrêmement bien réglé. Donc si l'on prend lascience à part, ne tolérant pas l'intrusion de la métaphysique dans son raisonnement, on en arrive à quelque chosede fermé, où tout est connu et cerné, mais dans lequel plus rien ne peut changer, puisqu'on ne peut plus rajouterde signes, puisqu'on ne peut plus rien découvrir d'autre. Un système parfait, mais défini, dans lequel on ne peut plusrien apporter. Au contraire, si la scie...
-
-
Galilée (savant) - science.
ouvrant de nouvelles perspectives en astronomie, ont eu une influence beaucoup plus large. Le combat mené tout au long de sa vie par Galilée pour libérer la recherche scientifique des interférences restrictives de la philosophie et de la théologie dépasse le cadre de la science. Depuis la publication intégrale des documents du procès de Galilée dans les années 1870, l’entière responsabilité de la condamnation de Galilée est généralement attribuée à l’Église catholique romaine. Cela occulte le...
-
La biologie (Sciences & Techniques)
C'est l'Allemand Treviranus qui, en 1802, emploie le premier le terme de "biologie" (science du vivant) dans son ouvrage Biologieou philosophie de la nature vivante. Pour Treviranus, la biologie doit étudier "les différents phénomènes et formes de la vie, lesconditions et les lois qui régissent son existence et les causes qui déterminent son activité". Le Français Lamarck formule le même néologisme dans son livre Hydrogéologie où il expose que la biologie doit être la théoriedes corps vivants. L...
-
l'objectivité de la science suppose t elle un déterminisme universel ?
concret à l'abstrait. L'objectivité scientifique, comme Bachelard l'a montré en des analyses devenues classiques, n'est jamais adhésion immédiate à un objet concret, mais, bien au contraire,mise à distance des pensées naissant de la première observation. Mesure etmathématisation permettent de construire un objet hautement scientifique etces démarches sont aux antipodes de l'adhésion première à l'objet(empirique). Dès lors toute objectivité scientifique dément le premier contactavec l'objet....
-
Déterminisme, finalité et hasard
V. Kant disait que le principe de déterminisme était seul constitutif, le principede finalité étant seulement régulateur. Autrement dit, le principe dudéterminisme est inévitable pour constituer l'objectivité de l'expérience. Leprincipe de finalité est facultatif. Il réfléchit après coup une expérience que ledéterminisme suffit à constituer. Si vous croyez à la finalité, vous êtes bienobligé de croire quand même au déterminisme, car la finalité implique ledéterminisme. Mais si vou...
-
À quoi reconnaît-on qu'une science est une science ?
Des fontainiers, à Florence, sont surpris par un fait auquel leur pratique les rend sensibles : l'eau ne franchit pasune certaine hauteur-limite, dans une pompe aspirante. C'est un fait étrange, pittoresque, etc., pas encore un faitscientifique. Il le devient lorsque Torricelli (puis Pascal) font l'hypothèse théorique que la hauteur du liquide est enparticulier proportionnelle à la pression de l'atmosphère, et qu'ils cherchent alors des faits susceptibles de contrôler,vérifier ou infirmer, cette...
- Lecture Analytique : Chapitre 12 de Zadig
-
L'opinion fait-elle obstacle à la science ?
b. précédant, couler de source que les bateaux. Ne seront jamais construits en fer (pour un Grec antique,par ex). il faut une véritable rupture dans la pensée pour simplement penser que le corps de l'hommeflotte (cf. Archimède) connaître l'obstacle pour mieux le contourner. C'est pourquoi, Bachelard demande que l'on fasse subir à lascience une véritable psychanalyse : il faut apprendre son histoire et comprendre pourquoi elle a dit tantd'erreurs. c. La science ne pourrait-elle pas être l...
-
L'expérience est-elle la seule source de nos connaissances ?
être n'existait pas alors il contredirait son concept, ce qui est impossible. Par conséquent Dieu doit exister afin dene pas contredire son concept. Nous reproduisons ici le raisonnement qui permet la preuve ontologique, c'est à direla preuve de l'existence de Dieu que Descartes, par exemple, développe dans les Méditations métaphysiques. Cettepreuve vise à prouver que Dieu existe même si nous ne faisons pas l'expérience de son existence. Par conséquent, la preuve ontologique, et plus générale...
-
- Cours: THEORIE ET EXPERIENCE (6 de 7)
-
« La contribution de Montesquieu à la constitution de la science sociale »
principes d'une nouvelle science en étudiant les lois, la science sociale. Pour Durkheim, Montesquieu est alors le premier à étudier les faits sociaux scientifiquement. On peut aussi remarquer que ce n'est pas par hasard qu’Émile Durkheim s'est intéressé au philosophe des lumières. En effet, tout au long de sa thèse, Durkheim montre qu'il partage et est d'accord avec la pensée de Durkheim. On peut retrouver dans la thèse de Montesquieu deux éléments importants qui constituent la pensée Dur...