4388 résultats pour "connaissante"
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Les sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ?
connaissance objectives mais de m'importe quel contenu de pensée que nous prenons sans apparence pour uneconnaissance, bien sûr que les sens nous fournissent autre chose que des connaissances mais d'abord et surtoutdes représentations subjectives, affectives ou imprégnées d'affectivité, qui correspondent, du point de vue de laconnaissance, à des connaissances incertaines et peu objectives voire de complètes illusions. Les sens produisenten nous plein d'états affectifs, de représentations subje...
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Quelle connaissance la science nous donne-t-elle de la réalité ?
mathématicien est la seule qui satisfasse pleinement la raison. Aussi voit-on que le savant cherche toujours àconsidérer son objet sous un aspect mathématique, c'est-à-dire à substituer des déterminations quantitatives à desdonnées qualitatives. C'est ainsi qu'à des notions vagues et subjectives comme sont les notions de froid, de tièdeou de chaud on substitue des degrés mesurables, c'est-à-dire des notions précises et objectives. Les sensationsque nous éprouvons sont vagues et subjectives...
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Y a-t-il des limites à une connaissance de l'homme par les sciences ?
distingue différents obstacles aux sciences humaines, telles que la faculté de jouer un rôle, par honteou pour préserver sa vie privée ; le fait que je ne peux pas être pour moi-même sujet et objet enmême temps ; que les cultures dans lesquelles vivent les hommes sont variées dans l'espace etvarient également suivent le temps. Chaque société est alors singulière. Il y a donc une singularité etune spiritualité de l'homme qui en font un être irréductible à la science. § La liberté humain...
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Le regard d'autrui peut-il faire obstacle à la connaissance de soi ?
dire de se laisser réduire à son corps ? Le moi se révolte et cherche à échapper à ce "huis-clos" infernal. S'affirmantirréductible à toute connaissance figée qui ne serait que prise de pouvoir, emprise aliénante, le moi révèle par lahonte son intériorité et son identité mystérieuse de sujet. [3°/ La parole permet un accès intérieur à l'autre comme sujet, et par là une connaissance du soi] En définitive la parole ne permet-elle pas de sortir de la tyrannie d'un regard qui ne vise qu'un corps-obj...
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La connaissance que nous avons du monde extérieur n'est-elle possible que par l'intermédiaire des sciences ?
a) Comme le note Hume dans l' Enquête sur l'entendement humain , la plupart des hommes ne rencontrent aucune difficulté pour rendre compte des opérations de la nature les plus courantes et les plus familières « comme la chutedes corps graves, la naissance des plantes, la génération des animaux, ou la nutrition des corps par les aliments.Seulement, ils supposent que, dans tous ces cas, ils perçoivent la force même ou énergie même de la cause, parlaquelle elle est connectée à son effet, et ils s...
- CONNAISSANCE DE SOI
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Le sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances?
l’esprit passent par les sens. Qu'elle soit assimilé par immersion, par "ouï-dire" ou par enseignement les données passeront obligatoirement par les canaux sensoriels, autrement dit par les sens. Selon cette théorie, il ne peut y avoir de connaissances sans les sens. On peut toutefois se demander si les sens amènent des savoirs vrais et objectif, autrement dit des vérités générales. Tout d'abord, les connaissances assimilées par contact avec autrui (autrement dit par immersion dans une soci...
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Les sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ?
même son procédé pour s'efforcer d'atteindre l'objectivité de l'objet) ce qui procède cas par cas (c'est comme celaqu'elle évite la généralisation hâtive) : elle ne généralise que progressivement, en répétant l'expérience. Mais on abeau répéter l'expérience autant de fois que l'on veut, on n'obtiendra que du général et pas de l'universel. Laprudence méthodologique de l'expérimentaliste le revendique : la généralisation du résultat de l'expérience ne vautque pour ce qui a été précisément...
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La science est-elle la seule à fournir des connaissances vraies ?
Introduction • Nous sommes ici interrogés sur la connaissance scientifique, que nous définirons comme saisie d'un objet depensée et représentation rationnelle, élaborées à partir de l'observation, du raisonnement ou de l'expérimentation.On remarquera d'ailleurs que le terme employé n'est pas celui de science : en mettant l'accent sur la connaissance,on souligne, à l'évidence, la compréhension exacte et complète des objets que désigne la connaissance. En d'autrestermes, l'idée d'exactitud...
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Quelle connaissance la science nous donne-t-elle de la réalité ?
II. LA SCIENCE ET LE RÉEL — A — La critique nominaliste de la science. On peut se demander en effet si les caractères, les principes et les tendances de la science, tels que nous venons de les définir, ne lacondamnent pas à laisser échapper toujours quelque aspect essentiel de la réalité. Le réel, tel qu'il nous est donné dans l'expériencesensible, est contingence, diversité, multiplicité. La réduction du multiple à l'un ne peut se faire qu'en négligeant certains aspects de laréalité donnée...
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Les sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ?
2. LES DIFFICULTÉS DE L'EMPIRISME A - Les cadres de notre expérience sont-ils fondés dans l'expérience ? D'où viennent ces catégories ? Ont-elles une valeur objective. Sont-elles le reflet de notre nature ou des hasardsde l'éducation ? Un homme n'a jamais vu de chiens ni de chats. Il voit des chats noirs et des chats blancs, deschiens blancs et des chiens noirs pour la première fois : les classera-t-il en « les blancs » et « les noirs », négligeantla différence chien/chat, ou y a-t-il une néce...
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La vision constitue-t-elle le modèle de toute connaissance ?
Tout d'abord, comment définir un modèle? Il est avant tout celui qu'on imite, celui qui a valeur d'horizon dans notrepratique. Ainsi, il est celui qui donne la mesure ( modus en latin), celui à partir duquel on évalue, celui qui se signale par l'absence des fioritures qui font encore défaut à notre pratique. En effet, le modèle pose une typologiecaractéristique, en lui se déploie l'essentiel, ce qui doit nécessairement être. Ainsi, il établit les grandes lignesnécessaires à sui...
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Le pouvoir que nous avons sur la nature repose-t-il sur la connaissance de ce qu'elle est ?
Toutes séries saufF11, F11'et STI Arts appliqués, avril 2003 SUJET 1 et sur le« ce que c'est »(l'essence). La fin de l'intitulé privilégie la dernière hypo thèse. On se demandera alors si ce type de connaissance fonde davantage de pouvoir que les deux premiers. • ce qu'elle est : son essence, le« ti esti », ou le « ce que c'est que la chose », comme disait Platon. RECHERCHE DES IDÉES Le sujet renvoie à la question de la maîtrise de la...
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La connaissance de soi peut-elle être sincère ?
[C'est ne pas être sincère que de prétendre que l'on peutsincèrement se connaître soi-même. Pour cela, il faudraitpouvoir sortir de soi. Or, même lorsqu'on se met à distance de soi-même, on demeure toujours soi.] Pour Auguste Comte (1798-1857), la connaissance de soi-même ne peut en aucun cas être sincère puisqu'elleest impossible. En effet, dit livrer.» Comte, l'étude d'un être, d'une passion ne peut se faire que du dehors. Ily a incompatibilité entre le fait d'observer et le fait de pens...
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Qu'est-ce qui garantit la vérité de la connaissance scientifique ?
La raison peut atteindre, dans le réel, ce à quoi elle donne elle–mêmesa forme. «Nous ne connaissons a priori des choses que ce que nous y mettons nous-mêmes.» Kant, Critique de la raison pure (1789). • La «révolution copernicienne» opérée par Kant est la suivante: le réelconnaissable n'est pas indépendant de l'esprit, c'est l'esprit qui lui donne saforme. Nous ne sommes pas passifs face au monde: c'est nous qui lui donnonsles formes sous lesquelles nous le connaissons. Dans la Critique d...
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PLATON: Connaissance de soi et sagesse (Alcibiade)
regard, comme à un homme, que l'inscription s'adressât en lui donnant ce conseil : « Regarde-toi toi-même » ;comment comprendrions-nous le sens de cet avis ? Ne serait-ce pas destiner l'œil à porter son regard sur un objetdans lequel il se verrait lui-même ? ALCIBIADE : C'est clair. SOCRATE : Demandons donc quel est, parmi les objets,celui sur lequel il faut diriger notre regard pour voir en même temps cet objet et nous-mêmes ? ALCIBIADE : Àl'évidence, Socrate, un miroir ou un objet du même...
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La certitude intellectuelle suffit-elle à nous garantir la véracité de nos connaissances ?
que les mensonges ».Or, selon Platon, la connaissance vraie, la vérité est assimilée à la science. La véracité de nos connaissancesdépend donc d'un esprit capable de connaître, c'est-à-dire d'avoir une véritable intelligence des choses, sansêtre emprisonné par ses sens ou une certitude empirique. 3- Le doute pour atteindre « une certitude parfaite » :La certitude intellectuelle qui découle de nos opinions ou de nos convictions, la certitude qui s'appuie sur notreexpérience ou sur notre hérita...
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La liberté commence-t-elle là ou finit la connaissance ?
donc un premier déterminisme social.Il y en a d'autres. L'homme recherche toujours une gratification, c'est-à-dire qu'il faut q'il soit reconnu, qu'ilréussisse… Or, à partir du moment ou notre action n'est pas désintéressée, on peut dire que l'on est déterminé parle but de notre action. Cette recherche du sentiment de plaisir fourni par les circuits de la récompense est donc unautre déterminisme. On doit cela à Henri Laborit, Chapitre VI de La liberté : « L'acte gratifiant n'est pas lib...
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Peut-on dire de la connaissance scientifique qu'elle est désintéressée ?
moyens de s'étendre partout. Il n'a pas toujours été vrai que les questions spécifiquement humaines se voientbannies du domaine de la science et que la relation intrinsèque qu'elles entretiennent avec toutes les sciences, ycompris celles dans lesquelles ce n'est pas l'homme qui fournit le thème (par exemple les sciences de la nature), aitété placée en dehors de toute considération. Tant que les choses ne se passèrent pas ainsi, la science putrevendiquer une signification pour ce...
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l'expérience est-elle la seule source de nos connaissances ?
À fonder la connaissance seulement et uniquement sur l'expérience, ne tombe-t-on pas dans le scepticisme ? Ainsile sceptique Hume, pour qui non seulement toute connaissance commence avec l'expérience, mais aussi en dérivetout entière, en arrive-t-il à mettre en lumière les paradoxes de l'induction, passage du particulier au général àtravers les faits. La raison et l'esprit humains sont les seules origines de la connaissance.Face au scepticisme empiriste, ne faut-il pas réhabiliter le rôle de...
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LA CONNAISSANCE EST-CE LE PRIVILEGE DE LA SCIENCE ?
[Nous ne pouvons pas connaître les choses en soi. Nous ne pouvons connaître que les phénomènes dans la mesure où ils sont mesurables. Or, la mesure, c'est la science.] Seule la science permet d'accéder au savoirOn ne doit reconnaître comme vrai que ce que l'on connaît évidemment être tel, nous dit Descartes. Le jugement vrai se reconnaît à ses caractères intrinsèques : il se révèle vrai par lui-même, il se révèlevrai par lui-même, il se manifeste par son évidence. C'est le point de vue de Spi...
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Ressource gratuite : La connaissance scientifique progresse-t-elle par l'accumulation des faits ?
c'est ainsi que la cathédrale de la science s'édifie. De là apparaît une représentation du savoir scientifique pleine descertitudes accumulées par des générations de savants. Il nous faut revenir sur la notion de progrès, qui signifie plusqu'un simple changement. Car un changement est une modification neutre, tandis qu'un progrès est une modificationqui constitue par rapport à l'état précédent un véritable « plus », un « mieux », une amélioration. Il ne suffit pasqu'une tendance soit continue po...
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La connaissance ne dépend-elle que de l'entendement ?
[ne pouvons connaître que par l'entremise de nos sens. La sensation est le fondement la connaissance.] La connaissance dépend de l'expérience des sensations L'empirisme affirme qu'il n'y a rien dans l'entendement qui n'ait été auparavant dans les sens, cad quel'expérience est la source de toutes nos connaissances. Toutes nos idées ne sont jamais, comme dit Hume , que des « copies de nos impressions sensibles ». Non seulement l'expérience est la source de nos idées mais encore elle...
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Y a-t-il des limites à la connaissance scientifique du réel ?
à la connaissance humaine. Le réel serait inconnaissable nous n'aurions accès qu'à phénomènes (Kant) ou descopies (Platon). La distinction kantienne entre phénomènes et noumènes (ou choses en soi) est particulièrementutile en tant qu'elle limite le pouvoir de notre entendement, les concepts qui en sont issus ne devant pas êtreutilisés au-delà de l'expérience sensible. « Ainsi notre déduction critique n'exclut-elle en aucune façon de telsêtres ; bien plutôt elle limite les princ...
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N'est-il pas contradictoire de dire d'une connaissance scientifique qu'elle est à la fois vraie et provisoire ?
1. Contradiction : distinguez bien contraire et contradictoire. Des contraires s'opposent, comme grand et petit, parexemple. Mais ils ne deviennent contradictoires que si l'un implique la négation, l'exclusion de l'autre. Par exemple :Pierre est grand par rapport à Jean, mais petit par rapport à Paul. Ce sont des contraires. Mais si nous disons :Pierre est grand et petit par rapport à Jean, alors c'est contradictoire, car l'un exclut l'autre. Ainsi la contrariétén'est pas la contradiction. Cela...
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Faut-il renoncer a s'interroger sur ce qui est hors de portée de la connaissance scientifique ?
On peut chercher des connaissances ailleurs, la science n'est pas le seul moyen de connaître. Le sujet semble dire que si l'on ne peut établir une connaissance scientifique de quelque chose, il est alors vain depenser pouvoir en avoir une connaissance. Or, même si elle ne pourront pas aussi sûrement prétendre à l'universalitéscientifique, elles peuvent nous aider à penser, à faire des choix, à trouver des vérités. un exemple, l'art. L'art semble nous donner accès à une vérité immédiate, qui ne p...
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Bachelard: L'opinion constitue-t-elle un obstacle à la connaissance ?
objectivité. Bachelard veut s'opposer à cette « philosophie facile qui s'appuie sur un sensualisme plus ou moinsfranc, plus ou moins romancé, et qui prétend recevoir directement ses leçons d'un donné clair » (ch. II, p.24). Au contraire, «l'esprit scientifique doit se former contre la nature (...), contre le fait coloré et divers » (p.24). De plus : « en multipliant les occasions de la curiosité, loin de favoriser la culture scientifique, on l'entrave». Quels sont lesarguments qui susci...
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La connaissance scientifique a-t-elle des limites ?
voltmètre n'est que la réalisation mécanique des théories classiques de l'électromagnétisme : on mesure avec lui desphénomènes liés à ces théories.Toutes les théories acceptent quelques principes fondamentaux qui les séparent complètement de la connaissancecommune, comme le principe du déterminisme ou la conception du hasard. 2. Les limites de la méthode scientifique. Ce sont celles de la mesure (marge d'erreur inévitable) et du déterminisme (tout n'est pas prévisible). Le déterminisme — Du...
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L'expérience est-elle la seule source de nos connaissances ?
être n'existait pas alors il contredirait son concept, ce qui est impossible. Par conséquent Dieu doit exister afin dene pas contredire son concept. Nous reproduisons ici le raisonnement qui permet la preuve ontologique, c'est à direla preuve de l'existence de Dieu que Descartes, par exemple, développe dans les Méditations métaphysiques. Cettepreuve vise à prouver que Dieu existe même si nous ne faisons pas l'expérience de son existence. Par conséquent, la preuve ontologique, et plus générale...
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Toute connaissance autre que scientifique doit-elle être considérée comme une illusion ?
destinée à servir de transition. Dans l'état théologique, l'esprit humain, dirigeant essentiellement ses recherches versla nature intime des êtres, les causes premières et finales de tous les effets qui le frappent, en un mot, vers lesconnaissances absolues, se représente les phénomènes comme produits par l'action directe et continue d'agentssurnaturels plus ou moins nombreux, dont l'intervention arbitraire explique toutes les anomalies apparentes del'univers. Dans l'état métaphysique, qui...
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Une connaissance scientifique du vivant est-elle possible ?
B. Les deux sens du mot « vivant » La biologie prétend connaître le vivant, mais en réalité elle l'ignore et n'a affaire qu'à l'inerte. Un problème se pose alors : si la prétendue connaissance scientifique du vivant n'est qu'une connaissance de l'inerte, le vivant est-il par nature inconnaissable ? Toute connaissance scientifique n'est-elle qu'une connaissance de l'inerte ?Pour répondre à ces questions, il nous faut préciser davantage ce que l'on entend par « vivant ». Nous avonsjusqu'à p...
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KANT: La métaphysique est une connaissance rationnelle spéculative
retraite pendant onze ans ; puis, commença la publication de ses grands livres, les trois Critiques. La Révolutionfrançaise l'enthousiasma, et l'on raconte qu'il ne se détournait de sa promenade, minutieusement réglée, que pouren aller apprendre les nouvelles. Il fut, en 1793, réprimandé par Frédéric-Guillaume II pour deux ouvrages sur lapolitique et la religion. A la mort du Roi, il reprit sa plume et dévoila l'affaire. Kant mourut le 12 février 1804, aprèsune très longue agonie. — A ses débu...
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La connaissance scientifique est-elle un désenchantement du monde ?
produisent en vertu d'autres phénomènes qui en sont les causes, et non en vue d'une fin.Autre refus, lié au premier : celui d'une conception « magique » de la nature. Pour un « savant » du xve ou du xviesiècle, tout dans l'univers était possible, admissible, y compris les transformations les plus extravagantes, lesphénomènes prodigieux. Le XVIIe siècle impose au contraire l'idée, propre à la conscience scientifique moderne, d'undéterminisme naturel. Il existe des lois dans la nature qui...
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La connaissance doit-elle obéir à la raison ?
Deuxième partie : La connaissance convoque-t-elle, selon ses objets, une faculté particulière, qui n'est pas nécessairement la raison ? La perspective étudiée dans cette deuxième partie prend pour point de départ les objets de la connaissance. Il s'agit de tester l'hypothèse selon laquelle la nature des objets détermine la faculté la plus adaptée pour accéder àleur connaissance. Les sources de cette hypothèse sont la limitation du pouvoir de la raison rendue nécessaire parsa prétention à vouloi...
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La connaissance peut-elle reposer sur une base aussi instable que la sensation ?
connaissance religieuse ? Ce qui ne sent pas, ne se voit pas, est-il propice à être une connaissance. Pourtantcomment qualifier le dogme si ce n'est l'idée d'une connaissance ? Jésus , Mahomet doivent-ils être des êtressensibles pour pouvoir leur attribuer une existence digne de fonder une connaissance ? Réfléchir sur la révélation, lafoi, les mystères et les miracles. -3 La connaissance historique .Le témoignage des sens semble important, pensez aux fouilles archéologiques, pourtant il s'...
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La connaissance scientifique est-elle le reflet de la réalité ?
Certes, la science, contrairement à l'art par exemple, ou à la religion permet d'établir un consensus (ou au moins unaccord généralisé) car elle instaure une méthode qui permet à chacun de reproduire les expérimentations et doncd'acquérir la certitude de la validité de telle ou telle connaissance. Pourtant, la connaissance scientifique sembledépendre du contexte dans laquelle elle est produite. En effet, la science est tributaire de la technologie et reposesur des paradigmes. Les avancées techno...
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La technique n'est-elle qu'une application des connaissances scientifiques ?
En principe, connaissance scientifique et activité technique se distinguent comme la théorie et la pratique. Ensemblede procédés par lesquels une civilisation utilise un outillage pour produire un résultat, la technique, au service desdésirs, cherche à réaliser ce qui n'est pas encore et vise l'utile. Entreprise d'explication de ce qui est, la science, enrevanche, vise au vrai, récusant tout désir comme source d'illusion. Pensée et action ne sont néanmoins pas sansrapport. La vie humaine est fai...
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SUJET : LES SENS SONT ILS SUFFISANTS POUR NOUS FOURNIR TOUTES NOS CONNAISSANCES ?
cependant les sens pourraient être utiles du fait qu’ils nous rassurent par l’expérience, mais quelle expérience nous pourront fairepour déterminer l’existence de dieu par exemple ? C’est notamment ce qui expose Leibniz dans Nouveaux essais , ou il exprime, que « les mathématiques sont une science dont l’existence montre qu’il y a des connaissances qui ne sont pas tirées de l’expériencesensible », ce qui nous fait penser, à l’existence d’un autre élément capable de nous faire acquérir des conn...
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Pour bien observer, faut-il une grande étendue de connaissance ?
hauteur du pont, son nombre de piliers, sa largeur, sa situation géographique, etc. Si l'on peut essayer de faire uneobservation neutre en faisant abstraction de son état émotionnel, de son intention, est-il possible de faire la mêmechose vis-à-vis de nos connaissances, de celles que nous avons apprises consciemment mais aussi de celles quenous avons apprises sans nous en rendre compte, uniquement parce que nous sommes nés à telle époque dusavoir ? Ainsi par exemple les premiers chimi...
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L'exigence rationnelle et la production des connaissances
nale, et sans mise en situation de leurs propres démarches. Elles ne peuvent, par définition, statuer sur leur propre valeur ou leur propre sens. Et la Raison, qui a part à leur activité, ne s'épuise pas en elle, puisqu'elle détient des fins qui lui sont propres, c'est-à-dire qui ne lui sont pas transcendantes. La spécificité de la philosophie consiste à faire prendre à l'exigence rationnelle toute sa portée dans la conquête d'un jugement ma...
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La raison n’a-t-elle pour fin que la connaissance du réel ?
étendre son domaine d’investigation à ce qui échappe pourtant aux lois scientifiques et même à ce qui ne peut ni être mesuré ni prouvé, comme c’est le cas dans lessciences humaines ou en métaphysique. Ainsi la raison semble être à l’origine des3 La raison et le réeltentatives faites pour « connaître » des événements historiques, lesquels pourtant ne peuvent pas être « expérimentés », ou encore des notions telles que Dieu oul’âme, sur lesquelles toute loi générale et nécessaire semble impossible...
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Faut-il renoncer à s'interroger sur ce qui est hors de portée de la connaissance scientifique ?
le définir en faisant une liste des choses qui ont la propriété d'être belles.) « Une grande philosophie n'est pas celle qui installe une vérité définitive, c'est celle qui introduit une inquiétude. »(PÉGUY.) Aux philosophes et aux amis de la connaissance : « Il y a plus de vérité dans n'importe quel petit pointd'interrogation placé après vos formules préférées et vos théories favorites [...] que dans toutes vos attitudes etvos déclarations pompeuses devant procureurs et tribunaux. »...
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De la raison ou de l'expérience qu'est-ce qui contribue le plus à la connaissance ?
Exemple d'utilisation Une fois de plus [voir Pascal, Spinoza], Locke est un auteur qui permet de critiquer Descartes, ici sur la question del'origine de nos connaissances. Là où Descartes pose comme un fait l'existence en nous de certaines idées, Lockemontre qu'il y a des processus de formation des idées.Cela a aussi des conséquences politiques: car, puisque la diversité des cultures nous montre bien, d'après Locke,que les opinions ne sont pas universelles et qu'elles varient lorsque l'expérienc...
- CONNAISSANCE DE SOI
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LA GENÈSE D'UNE CONNAISSANCE DE L'HOMME ET SES OBSTACLES
-Qu'entends-tu par cette utilisation rationnelle? 20 - Tu connais certainement, Noûs, !'Apologie de Socrate de Platon. Souviens-toi de Socrate, déambulant dans les rues d'Athènes à la recherche d'un homme plus sage que lui! Il fut bien déçu! Car la seule chose dont il s'aperçut, c'est qu'il était le plus sage, parce que 25 lui au moins savait une chose, c'est qu'il ne savait rien. Et c'est peut-être cette connaissance qui est une des plus bell...
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Le langage usuel (commun) est-il un obstacle à la connaissance ?
Maintenant on va nuancer ces affirmations en disant que, le langage peut constituer un obstacle pour laconnaissance. Tout d'abord, pour pouvoir connaitre un objet ou un concept il est nécessaire de connaitre tous lesaspects de celui-ci. Or par fois le langage commun, ou, disons la langue, n'est pas capable d'exprimer tous lesaspects de l'objet ou la notion. Prenons par exemple la notion de l'amour, le mot en soi exprime la notion tropgénéralement, mais le sentiment, particulier a c...
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Peut-on atteindre le salut par la connaissance ?
On ne peut pas atteindre le salut par la co nnaissance L'homme ne peut être sauvé que si Dieu lui accorde la grâce. Mais, évidemment, dans une perspective non chrétienne, la question du salut ne se pose pas . Le salut est question de foi P ou r les premiers Pères de l'Église, Je gnosticisme est une doc trine hér étique, c'est-à dire non conforme au dogme catho liqu e tel qu'il a été fixé par saint P aul et ses succe...
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L'avenir peut-il être objet de connaissance ?
mots que la science a repris à la tradition, tradition dans laquelle ils avaient une forte connotation magique. Neparle-t-on pas, encore aujourd'hui, des "prévisions" de l'horoscope, ou de "prédire" l'avenir en lisant les lignes de lamain. On s'aperçoit grâce à cette analyse qu'il n'y a pas à parler rigoureusement de connaissance scientifique de l'avenir,car connaître scientifiquement signifie déterminer entièrement, c'est-à-dire objectivement, un phénomène qui doitdonc, avant toute chose, être...
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La connaissance se limite-t-elle aux apparences ?
[Même si cela constitue une énigme fondamentale pour l'entendement humain, il faut bien admettre que la raison peut plus qu'elle ne sait. Le phénoménisme semble vouloir nier cette évidence.] Il existe un au-delà des phénomènes, un monde intelligibleDans La République, Platon nous dit qu'il existe «dans la région du connaissable, tout aubout, la nature du Bien, qu'on a de la peine à voir, mais qui, une fois vue, apparaît auraisonnement comme étant en définitive la cause universelle de toute r...
- DISSERTATION : « La connaissance de soi est-elle plus difficile que la connaissance des choses ? »