4320 résultats pour "conscience"
- Kant, Anthropologie du point de vue pragmatique, I, 1.
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Conscient, Inconscient, sujet
pour rendre plus clair mais a un effet pervers qui déforme toujours un peu l’idée d’origine (Hume dit ensuite qu’on ne doit pas prendre la comparaison trop au sérieux et qu’elle a des limites) ; les acteurs seraient l’équivalent des perceptions dans leur comportement (‘’passent, repassent, glissent sans arrêt’’) : histoire qui évolue sans arrêt, action ininterrompue par plusieurs actions successives, changement permanent ; ‘’infinité...
- Introduction à la phénoménologie de la perception - La naissance d'un savoir ?
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Que reproche-t-on à celui que l'on traite d'inconscient?
concept. L’inconscient serait quelque chose de temporairement absent, une réalit é v écue qui va refuser, à la suite d’une histoire individuelle, de se d évoiler, et qu’on soit dans l’hypoth èse philosophique ou psychologique, c’est le syst ème de la psychanalyse qui lui donne un sens. Quels sont les reproches faits à celui que l’on traite d’inconscient ? Sommesnous toujours ma îtres de nos actes ? Y aurait...
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Les théories de la personnalité
comme pouvant, sous ce1·taines conditions, former une somme ou une collection affectée des caractères définissant le moi personnel. A. Arguments phénoménistes. Ces arguments sont de trois sortes. Les uns sont 'purement négatifs et tendent à prouver que l'hypothèse d'un sujet subs tantiel est inintelligible. D'autres contestent la valeur expéri mentale de la notion de personnalité. Les autres essayent de rendre compte sans aucun sujet des c...
- Peut on être pleinement un homme sans penser à la mort ?
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Peut-on concevoir la vie sans penser à la mort ?
je suis en vie. La mort, inaccessible à l'entendement, est un concept dont la raison n'a pas à se préoccuper.] Il faut vivre pour penser et penser pour vivreC'est parce que je suis en vie que je peux penser la vie. C'est toujours parce que je suis en vie que jem'interroge sur le sens de mon existence et de mes actes. Ainsi que le dit Wittgenstein, «la mort n'est pas unévénement de la vie» (Tractatus logico-phihsophicus). Si l'on considère que l'éternité n'est pas une duréeinfinie, mai...
- Peut-on ne pas être soi même ?
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La notion d'inconscience introduit-elle la fatalité dans la vie de l'homme ?
une force surnaturelle, elle ne peut introduire la fatalité dans la vie de l'homme.De plus, la théorie freudienne de l'inconscient ne vise pas à réduire le rôle de la conscience mais plutôt à élargir sonchamp afin de mieux la comprendre dans toute son intégralité. Or pour enrichir le domaine de la conscience, il fautpréalablement en connaître les limites, c'est-à-dire ses lacunes et ses déficiences. Certains phénomènes comme lesactes manqués, les lapsus, les symptômes sont en effet présents...
- sujet de citations
- La liberté a-t-elle une histoire ?
- ALIÉNATION (Alienation)
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Oublier, est-ce la condition de la vie humaine ?
lire le sujet La « condition » de quelque chose, c'est à la fois son état, sa manière d'être, et l'état, la situation nécessaire à l'existence de cette chose. Quand on demande si oublier est la condition de la vie humaine, il s'agitdonc de savoir en quoi l'oubli fait partie de l'existence humaine, et surtout en quoi il conditionne cette existence,voire en quoi il constitue la possibilité même de la vie humaine; en d'autres termes de savoir quel rôle l'oubli jouedans la vie de l'homme, s'il lui...
- MILL. L'utilitarisme
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Peut-on attribuer à l'animal une valeur identique a celle de l'homme ?
paix & de tranquillité se répand dans toute la Machine; l'Ame se sent mollement s'appésantir avec les paupières &s'affaisser avec les fibres du cerveau: elle devient ainsi peu à peu comme paralitique, avec tous les muscles ducorps […] Enfin, comme la seule cessation des fonctions de l'Ame procure le Sommeil […] Le corps humain est uneMachine qui monte elle-même ses ressorts; vivante image du mouvement perpetuel […] Des Animaux à l'Homme, latransition n'est pas violente […] l'Ame n'est qu'un p...
- La mémoire doit elle être considérée comme un outil ou la fin des apprentissages scolaires?
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Selon André Breton, un poème doit être « une débâcle de l'intellect ». Paul Valéry affirme au contraire : « J'aimerais infiniment mieux écrire en toute conscience, et dans une entière lucidité quelque chose de faible, que d'enfanter à la faveur d'une transe et hors de moi-même un chef-d'oeuvre d'entre les plus beaux. » Faut-il donc condamner totalement le surréalisme ?
xxe SIÈCLE : LA POÉSIE 221 théories esthétiques étaient plus déconcertantes. Ainsi, loin d'accepter avec André Breton que le poème fût une «débâcle de l'intellect», Paul Valéry proclamait : «J'aimerais infiniment mieux écrire en toute conscience, et dans une entière lucidité, quelque chose de faible, que d'enfanter à la faveur d'une transe et hors de moi-même un chef-d'œuvre d'entre les plus beaux». Les Surréalistes se flattaient d'avoir trouvé...
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Suis-je le mieux placé pour me connaître ?
Les autres me connaissent superficiellementLes autres ne voient de moi qu'une façade, le moi social. Leur point de vue sur moi est toujours celui d'une extériorité. Chacun àconscience de lui-même, la connaissance d'autrui nous échappe comme le montre le solipsisme. Le solipsisme Du latin solus, "seul", ipse, "moi-même", le solipsisme est le point limite de l'idéalisme métaphysique : il définit une attitude du sujet pour lequel rien n'existe en dehors de sa conscience. Tout...
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Suis-je ce que ma culture a fait de moi ?
Cependant, Spinoza nomme sage celui qui a, « par une certaine nécessité éternelle, conscience de lui-même, de Dieu et des choses» (V, 42, sc.), qui comprend la parfaite nécessité du Tout, qui, en ce sens, a conscience de ce qu\'il est sans être prisonnier de l\'illusion dont est porteuse la conscience ordinaire. On a pu dire que Nietzsche rejoignait Spinoza « dans la critique qu\'il développe contre la notion d\'une volonté, faculté de l\'âme ». Cependant, « l\'...
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La liberté n'est elle qu une illusion au regard de l'existence de l'inconscient?
librement alors qu'elle ignorerait les rapports de force qui déterminent son mouvement. III : L'idée d'inconscient n'exclut pas l'idée de liberté, il demande de la penser autrement. 1) Peut être ne faut il pas penser la liberté comme la capacité à prendre des décisions à l'écart du monde, dans la retraite spirituelle de sa conscience, mais plutôt de la liberté comme d'un accord du moi (conscientet inconscient) et du monde. Bergson dit : « Nous sommes libres quand nos actes ém...
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« On sait bien Qu'on est le même, mais on serait fort en peine de le démontrer. Le «moi» n'est peut-être Qu'une notation commode» (Valéry).
II. DISCUSSION : POINT DE VUE KANTIEN — A — Le je et le moi.« Je suis deux » : unité assurée par le sujet. « Le « je pense » doit pouvoir accompagner toutes mesreprésentations » (Kant). Le jugement constitutif du sujet en même temps que de l'objet. La conscience n'est pas un objet, mais elle rend possible la saisie des objets. Pour qu'une expérience soit possible, ilfaut une unité du « je pense ». Par exemple, je suis dans un demi-sommeil et une horloge sonne plusieurs coups,indiquan...
- Epsitemologie (cours de philosophie)
- Analyse philosophique du film Brothers
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La connaissance de soi peut-elle être sincère ?
Se connaître soi-même, c'est pouvoir se représenterPour Kant, la connaissance de soi revient à «posséder le "Je" dans sareprésentation» (Anthropologie du point de vue pragmatique). Je peuxdonc me représenter en conscience, comme si j'étais moi-même unpersonnage que je vois sur une scène. Je me tiens à distance de ceque je suis. C'est ce processus qui me permet de me connaître. A partirde cet instant, libre à moi de me juger avec sincérité, du moinsd'affirmer que c'est en toute sincéri...
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- Puis-je devenir étranger à moi-même ?
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LE SUJET
l'État, qu'ils reconnaissent comme légitime et qui déploie son autorité par l'intermédiaire des lois, sans avoir besoin pour cela d'opprimer ses sujets : un tel État correspond à ce qu'on désigne comme un « État de droit » - entendre par là un État où le droit intervient à la fois comme ce qui délimite le pouvoir de l'État et comme ce par quoi ce pouvoir s'exerce. Mais l'assujettissement politique, qui constitue les personnes comme des sujets, peut aussi prendre la forme d'une soumission...
- TEXTES DE REFERENCE: L'inconscient existe-t-il ?
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L’étude du vivant donne-t-elle un sens à la vie ?
L'étude du vivant ne permet pas de donner un sens à la vie - •~M~• Une cellule vit, mais ne pense pas .. Il n'y a aucun rapport entre la réalité humaine, la réalité de l'esprit et ce qui pousse l'animal à vivre. Le sens de l'existence dépend d'une réflexion sur l'homme. Il n'y a aucun rapport entre code génétique et pensée U ne des grandes con quêtes de la biolo gie moléculaire a été la découverte de l'alphabet génétique....
- Henri Bergson : Extraits
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La connaissance de l'homme est-elle objective ?
suffisante de la réalité du monde, puisque ce sentiment est tout aussi fort durant mes rêves. Par suite je dois,si je cherche la vérité : « feindre que toutes les choses qui m'étaient jamais entrées en l'esprit n'étaient nonplus vraies que l'illusion des songes ».Mais le doute de Descartes va bien plus loin dans la mesure où il rejette aussi les évidences intellectuelles, lesvérités mathématiques. « Je rejetai comme fausses toutes les raisons que j'avais prises auparavant pourdémonstration...
- DICTIONNAIRE: EN SOI.
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Hume et le sentiment du moi
Lorsque Hume s'exerce à l'introspection il nous dit qu'aussitôt il « bute sur une perception particulière ». il s'agit de faire ici un détour par la deuxième des Méditations Métaphysiques de Descartes. Lorsque ce dernier énonce: « il faut donc conclure et tenir pour certain que cette proposition: je suis,j'existe, est nécessairement vraie chaque fois que je la prononce ou que je laconçois en mon esprit », il illustre par là sa stratégie susbtantialiste: il veut faire de la conscien...
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Biographie de JANKELEVITCH (Vladimir).
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)Biographie de l'auteur : Vladimir Jankélévitch est né le 31 Août 1903 à Bourges dans une famille d'origine russe. Son père, un intellectuel, a traduit en français des œuvres de Freud, Hegel et bien d'autres. Peu après sa naissance, les Jankélévitch s'installèrent en France où Vladimir fit ses études. Il fréquenta notamment les lycées Montaigne et Louis Le Grand à Paris où il décrouvit son intérêt pour la philosophie. En 1922, il entre à l'école normale supér...
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Ne désire-t-on que ce qui a du prix pour autrui ?
acceptent d’être soumis à des règles, lois et donc, qu’il existe un désir de vivre ensemble, motivé par un sentiment de ressemblance ou d’identification. Si autrui ne partage pas ce désir, alors vivre en société n’est plus faisable. Former une société revient à désirer un désir entre plusieurs personnes ( : donc je m’intéresse au désir d’autrui mais dans l’idée de vivre en communauté). Le désir s’impose à la conscience comme une volonté incomprise par notre être (= poursuite de la vie). Si...
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Que puis-je connaître de l'inconscient ?
La formulation de la réponse de Freud est très ordonnée et commande les deux partie du texte : d'une part l'hypothèse est nécessaire ; d'autre part, elle est légitime. En même temps, la volonté d'une démarche scientifique est nettement affirmée : emploi de la notion d'inconscientcomme hypothèse, recours à l'observation de faits (actes manqués...), capacité d'aller au-delà de l'expérienceimmédiate, constitution d'une théorie (« gain de sens, cohérence »), vérification expérime...
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Sait-on seulement ce qu'on désire ?
consistant principalement en des désirs primaires qui peuvent être contradictoires les uns lesautres, mais qui subsistent tant qu'ils ne sont pas parvenus à leurs buts. C'est pourquoi lespulsions qui ne peuvent s'exprimer directement auront tendance à ressortir tôt ou tard par le biaisde l'acte manqué, du lapsus ou du symptôme névrotique. - Ainsi, l'inconscient est bien porteur de désirs qui lui sont propres et que ne s'avoue pas forcément la conscience. Ces désirs sont...
- Le sujet se confond-il avec la subjectivité ?
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«c’est plus fort que moi»
je suis libre de ne pas céder à la pass ion .�, ·��· C' est le lâche qui dit: ccc' est plus fort que moi». En fait aucune force ne peut me contr aindre contre ma volonté. Les mobi les n' ont sur moi que l'influence que je veux bien leur reco nnaître. Ma liberté ne peut être atténuée par des pulsions incontrôlables S ''il y a des forces capables de me faire agir malgré moi, alors il n'y a pas de liber té. Mais je suis libre, «Une affection qui e...
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L'obligation morale ?
L'obligation morale chez KANT Le devoir Peut-on faire dépendre la morale d'un savoir ? Non, répond Kant : tout un chacun sait bien quel est son devoir,même s'il ne l'accomplit pas. Faut-il alors admettre un sentiment moral primitif ? Pas davantage, dit Kant : lamoralité ne peut se fonder sur des inclinations ; elle consiste dans la conscience d'une obligation. La moralité reposedonc sur le devoir. Kant distingue l'action authentiquement morale, accomplie par devoir, de celle seule...
- Cours: LE DROIT ET LA MORALE
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Que nous apporte l'illusion ?
-Freud est moins optimiste que Spinoza. Il partage son analyse en disant que la conscience est trompeuse, car lemoi se pose comme libre en ignorant ses déterminations inconscientes ( Le ça et le moi ). Mais pour Freud, cette ignorance est constitutive du psychisme humain : la conscience se posant naturellement comme libre est uneinstance de régulation du psychisme, issue du conflit entre le ça (pulsions) et le surmoi (normes morales de lasociété). L'illusion s'impose donc comme la forme constitu...
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Quelle attitude adopter devant une affirmation ?
de nous en notre présence comme il en parle en notre absence." Pascal, Pensées, 1669. " Le fait d'autrui est incontestable et m'atteint en plein coeur, je le réalise par le malaise; par lui je suisperpétuellement en danger.”SARTRE, L'Être et le Néant. b. Autrui se présente ainsi à nous de façon paradoxale, puisqu'il est à la fois cet autre et ce semblable, "cemoi qui n'est pas moi” (Sartre). Cette communauté, qui rend la présence d'autrui si problématique, serévèle dans le langage et,...
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Les hommes sont-ils conscients de la totalité de ce qu'ils font ?
distance de moi-même, je ne peux coïncider avec moi-même et c'est pourquoi je suis libre. Par logique, cette mauvaise foi, fait de l'homme qu'il à bel et bien un conscience. On retrouve comme acte deconscience, l'exemple tout simple d'un fumeur ; il sait que la cigarette est nocive pour lui. Mais, après tout, lefumeur sait ce qu'il risque : la nicotine le rend dépendant, les goudrons provoquent des cancers, etc. ... Lesfumeurs sont donc tout à fais conscient que la cigarette a d...
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Suis-je le mieux placé pour savoir qui je suis ?
moi-même à tout moment de mon existence. Je connais mes pensées et mes sentiments intimes, mes qualitéset mes défauts, j'ai en mémoire la totalité de mes actes et de ma vie. Ce qui fait l'originalité du rapport de laconscience à elle-même, c'est l'immédiateté. Nul intermédiaire, nulle médiation, la conscience se donneimmédiatement. Pour Descartes, la vérité se saisit dans le présent et plus précisément dans l'instant. En effet,c'est au moment où je prononce « je suis, j'existe » que cette p...
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Quel sens est-il possible de donner à la notion d'inconscient ?
la conscience), mais au contraire, il faut chercher dans la conscience les manifestations de l'inconscient. Cesmanifestations sont autant de preuves que « le moi n'est pas maître dans sa propre demeure » (Freud, « Unedifficulté de la psychanalyse »,in Essais de Psychanalyse appliquée).Il se produit en nous des phénomènes psychiques dont nous n'avons pas conscience, mais qui déterminent pourtantcertains de nos actes conscients : pourquoi ne pouvons-nous pas supporter la vue de tel o...
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Sartre, Jean-Paul.
Saint Genet, comédien et martyr (1952), ainsi qu’une étude sur Flaubert (l’Idiot de la famille, 1971-1972), véritable « psychanalyse existentielle » dont le projet avait été annoncé dans l’Être et le Néant. Or, à travers la volonté de créer « une anthropologie nouvelle qui rende compte de l’homme — d’un homme — dans sa totalité », en l’occurence des fantasmes et de la névrose de Flaubert, Sartre se projette lui-même en tant qu’écrivain, cessant, pour la première fois peut-être, d’être en p...
- Hegel, Phénoménologie de l'esprit (extrait) - anthologie.
- Kant : ''Supposons que quelqu'un affirme, en parlant de son penchant au plaisir, qu'il lui est tout à fait impossible d'y résister quand se présente l'objet aimé et l'occasion?..''
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KANT: Posséder le Je dans sa représentation
simple moyen, l'homme constitue une fin en soi.Dans "Fondements de la métaphysique des moeurs", Kant avait déjà clairement explicité cette opposition entrechose et personne: "Les êtres dont l'existence dépend de la nature n'ont, quand ce sont des êtres dépourvus deraison, qu'une valeur relative, celle de moyens, voilà pourquoi on les nomme des choses; au contraire les êtresraisonnables sont appelées des personnes parce que leur nature les désigne comme des fins en soi." on notera quel'a...
- HUSSERL (Edmund)