831 résultats pour "contraint"
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Etre libre est ce faire ce que l'on doit ?
Boetie, sur la seule force militaire. Ce ne sont pas la milice et l'armée qui font la tyrannie. Le tyran imposeune domination de la force dans une hiérarchie de la domination par la contrainte. Entre lui et le peuple, il y ases comparses et toute une distribution de la domination. Il ne suffit pas à cet égard de dire que le tyrans'impose par la force à un peuple qui se soumet, comme si la responsabilité de la tyrannie ne concernait quela conscience d'un individu et pas la conscience collective d...
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La guerre russo-finlandaise
• l'offensive généra le des jours suiva nts contre la ligne de défense principale se solde par un échec. Les attaques partielles renouvelées jusqu'à la fin du mois restent aussi infructueuses. Il en est de même d'une oction novole entrep rise contre le port de Hanko , à l'entrée de golfe de Finlande . • Au nord du lac Ladoga, les unités soviétiques empruntent les axes routiers que les chars ne peuvent quitter en raison de la forêt environnante. En revan...
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Juste cause
inefficaces ; ou qu'il faille se ranger au réflexe unique qui veut que, dès lors que les Etats-Unis seraient mêlés à une opération,celle-ci s'en trouverait ipso facto polluée. Mais chacun voit bien qu'il eût été de beaucoup préférable de faire précéder lesbombardements par un large déploiement de troupes au sol, ne serait-ce que pour rendre crédible leur éventuelle intervention,plutôt que d'exclure maladroitement celle-ci a priori, comme le fit Hubert Védrine. Bien sûr, l'incertitude est une...
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Dissertation gratuite: Un être libre est-il un être imprévisible ?
soit pas déterminer causalement ? Ce qui nous ramène à notre problème qui était de savoir si l'on peut seulement définir la libertépar la spontanéité. Nous allons donc dans cette deuxième partie montrer qu'un être libre n'est pas absolument imprévisible. C'est donc dans ce second temps que nous allons voir qu'il est tout de même possible de prévoir les agissements d'un être libre.Si on prévoit les choses, c'est qu'elles obéissent à une certaine rationalité. L'être libre serait alors un fou, un c...
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Indonésie 1986-1987
Le poids de la contrainte extérieure
En 1986, année préélectorale, les militaires et les technocrates de l'Ordre
nouveau...
Indonésie 1986-1987 Le poids de la contrainte extérieure En 1986, année préélectorale, les militaires et les technocrates de l'Ordre nouveau ont passé le plus clair de leur temps à colmater les brèches d'une économie exsangue: entre une dévaluation spectaculaire et les chocs de la déréglementation, les préparatifs des élections d'avril 1987 sont pratiquement passés au second plan. Maintenir la confiance du monde des affaires international en honorant les échéances sans rééchelonner les dettes,...
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Travail : nécessité, contrainte et obligation ?
L'homme est démuni de déf enses naturelles et ignore ce qui est bon pour lui. ll doit donc apprendre ce qui lui est profitable et le prépar er; il appartient au monde du > quand l'animal relève du >. Les objets dont l'homme a besoin doivent être fabriqués; l'usage du feu lui est indispensable et ne concerne que son espèce. Jamais ne pousseront toutes seules les choses indispensables à l'hu manité . Le travail est donc et restera une nécessité. L'usage...
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L'éducation doit-elle éviter toute contrainte ?
Le châtiment n'a jamais eu de valeur pédagogiqueNietzsche, dans laGénéalogie de la morale, écrit: «Le châtiment endurcit et refroidit; il concentre; il aiguise lesentiment d'être étranger.» Plus un élève est contraint, plus il est puni, plus il a l'impression d'être victimed'une injustice, et plus il aura tendance à se révolter contre l'autorité pédagogique.Cette dernière, à son tour, multipliera les brimades, transformant le rapport maître-élève en un rapport deforces. La nature de l'homme n'...
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LE DESIR EST-IL UNE CONTRAINTE OU UNE CONDITION DE LA LIBERTE ?
déterminant de sa volonté ne doit pas être la matière de la loi, mais sa forme, qui est donnée par la raison –universelle et a priori. Agir librement, c'est donc agir conformément à la raison, et donc agir selon les lois morales.Les désirs sont dans ce cadre des contraintes de la liberté, elles l'empêchent de s'épanouir. II/ Le désir fait partie de la nature, de l'homme, il faut s'en accommoder : Cette manière de procéder revient à nier toute notre partie sensible. Même si...
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Le pouvoir politique peut-il s’exercer sans violence ?
accord de tous. Rousseau définit le contrat de la façon suivante : « chacun de nous met en commun sa personne ettoute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale » Contrat Social, I, 6. L'autorité légitime parmiles hommes, l'autorité légitime des lois sont en effet fondées sur le libre accord de chacun donné au contrat socialinitial, fondateur de l'état civil, qui consiste à choisir de privilégier l'intérêt général ( distinct de l'intérêt particulier),le bien commun, et qui tou...
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Agir avec plaisir est-ce agir avec liberté ?
2. Être libre, est-ce plaisant? _________ _ Le fardeau de la liberté • Penser qu'être libre, c'est faire ce qui plaît, conduit à passer sous silence la volonté, souvent inavouée, de renoncer à l'exercice d'une liberté difficile. Dostoïevski fait dire au Grand Inquisiteur que «L'éternelle inquiétude de l'humanité- individus et collectivité- [est de] savoir: "Devant qui s'incliner" car il n'y a pas pour l'homme, demeuré libre, de...
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Qu'est-ce que vivre en homme libre ?
est le plus bas degré de la liberté ». Certes, nous sentons que nous sommes libres parce que nous savons que, parle libre arbitre, nous pouvons choisir contre ce que la raison nous montre clairement être le meilleur parti. Mais il y alà, plus que de la liberté, de l'ignorance. L'homme libre est alors celui qui choisit en accord avec lui-même (avec saraison), c'est-à-dire en connaissant les motifs de ses choix. La liberté suppose alors connaissance, activité de laraison, et accord de la volonté a...
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Les lois ne sont-elles que l'expression d'un rapport de force ?
1. Sil y a pacte d'association, s'il y a contrat, c'est que les hommes ont accepté de contracter. Pourquoi? Parcequ'ils ont reconnu la nécessité de constituer une société, une communauté. C 'est parce que les hommes nepourraient vivre à l'état de nature, parce qu'ils voulaient se conserver c'est à dire na pas risquer la mort qu'ils ontacceptés les lois et qu'ils ont chargé quelqu'un ou quelques-uns de les appliquer dit HOBBES. Le pouvoirs de l'Etat,est donc un pouvoir reconnu. Les lois s...
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Comment concevez-vous, en fait et en droit, les rapports de l'autorité et de la liberté ?
III. — A quelles conditions l'autorité sauve la liberté. Essentiellement tutélaire, il arrive trop souvent que l'autorité soit oppressive. Elle ne respecte, en effet, et nesauvegarde les libertés que sous certaines conditions. a) Elle doit être motivée, au jugement de ceux qui lui sont soumis. Nul ne doit décider, diriger, commander sans destitres reconnus. Le personnel qui compose l'État est, en démocratie, investi du pouvoir par le suffrage populaire. Lehaut fonctionnaire, l'officier doiv...
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Le temps libre est-il le temps de notre liberté ?
Sociologie du loisir • Les Romains définissait l'otium "le loisir" comme le temps de travail personnel non contraint (l'otium ne signifie pas laparesse), par opposition au nec-otium "le négoce", "les affaires". • Avec la naissance de la société industrielle, la question des loisirs (temps libéré du travail) s'est posée. Pour Marx, comme pour tous les autres penseurs sociaux du XIXe siècle (Proudhon, Comte...), ce temps libéré du travail, résultat del'appropriation collective de la machine, hum...
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Ma bohème (Rimbaud)
II. Les rapprochements entre le voyage et la poésie Nous pouvons noter dés le début du poème, une série d'opposition entre le bonheur, la jubilation du jeune homme :(vers 4) « Oh ! Oh là là !... » et sa situation matérielle, une série s'opposition : « je m'en aller… les poches crevés »,les « … » exprime la détermination, les poches crevées, la pauvreté (expression prosaïque opposée à « idéale », demême que « paletot » est opposé à « idéal »). Son manteau est tellement usé qu'...
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Le travail est-il un droit ?
• Éclaircissements : Le travail est une nécessité, une contrainte naturelle que la satisfaction des besoins impose aux hommes (quelles que soient les conditions d'existence, il faut travailler pour vivre). Comment une telle contrainte pourrait-elle être un droit, c'est-à-dire un «devoir-être», une aspiration humaine reconnue juridiquement et que nous pourrions légitimement revendiquer si nous en étions privés ? Comment présenter com...
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« Je ne crois point, au sens philosophique du terme, à la liberté de l’homme.
Ensuite nous pouvons donc poursuivre en étudiant la liberté d’action qui définit la possibilité d’agir selon nos désirs. L’homme agit juste parce qu’il le décide. Ses actes sont l’expression de son libre arbitre c’est-à-dire de ce qu’il est réellement, sa personnalité, selon Bergson. En effet, cette interprétation s’ajoute bien à la suite de notre étude de la liberté de pensée qui nous pousse à agir pour accomplir nos désirs car pour les stoïciens, la liberté est intrinsèquement liée au bo...
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Le theatre lieu d'imagination
Le théâtre de l'absurde cherche à aller au-delà de l'esthétique littéraire : il s'incarne dans les situations qu'il met en scène mais également dans la déstructuration du langage (En attendant Goddot, Becket). Le théâtre expérimental possède également une dimension imaginative importante : il abandonne le texte au profit de la performance et y ajoutetoutes les formes pour provoquer le public (Les Cenci, Artaud). Les nombreuses réécritures du XXe siècle sont aussi une preuve de la liberté...
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Le Personnel du roman, Par Philippe HAMON (compte rendu de lecture)
Dans cet ouvrage, Philippe Hamon souligne la difficulté d’étudier les personnages . Un constat qu’il développera qu’il tentera de démontrer en 2 parties . Ainsi, dans la première, il montrera com ment le personnage est conditionné par un pacte de lecture et un cahier de charges, qu'il est fonctionnaire et personnel plutôt que personne. La seconde s’attache à démonter la qualité de l’énoncé et la fictionnalité du personnage dans l’œuvre de Zola. Pa rtie I: Contraintes du projet réaliste...
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Aimons-nous vraiment la liberté ?
liberté. o La liberté va de paire avec la responsabilité juridique et pénale. Etre libre consiste aussi à assumer ses choix, éventuellement à payer en les prix, or nous préférons souvent nous défausser de nos responsabilités, nous trouver des excuses de mauvaise foi. 3) Problème Il semble évident que nous aimons la liberté, puisqu’elle consiste à agir sans entrave, ce qui semble être la condition de bonheur, mais la liberté none suppose-t-elle pas aussi des efforts et des responsabilités...
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La liberté est-elle gênée par la loi, ou est-ce au contraire par la loi que l'on devient libre ? La loi s' oppose-t-elle dans son essence même à la liberté, ou la liberté a-t-elle besoin du droit pour être vraiment libre?
• Organisation du plan 1. Ce qui limite la liberté est-il un obstacle ? 2. Non, la véritable liberté nécessite des lois politiques. La loi est même la condition de la liberté civile. 3. Pourtant, la liberté, valeur morale suprême, prime parfois sur la loi qui l'empêche de s'exprimer. CORRIGÉ [Dissertation rédigée] [Introduction] La liberté est l'essence même de l'homme : parmi les droits de l'homme énoncés par la Déclaration de 1789, la liberté figu...
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Le territoire russe : mise en valeur et
mutations ?
faiblement desservies et le maillage des réseaux est très lâche. Plus on se rapproche du cercle polaire, moins lesréseaux terrestres existent. Ces régions sont alors uniquement desservies par l'avion, dans des conditions de grandeprécarité.Les transports sont lents, insuffisants en quantité et de mauvaise qualité. Ils constituent un goulet d'étranglement,empêchant l'acheminement des productions agricoles sur les lieux de consommation, privant les usines de piècesdétachées ou de matières premiè...
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Hobbes
nous existons comme conscience libre. Nous sommes « condamnés à être libre », condamnés à choisir. Une personne libre qui abandonnerait réellement sa liberté est tout à fait impensable et contradictoire. Cet individu affirmerait sa liberté à travers l'acte même par le quelle il voudrait s'en débarrasser. L'obéissance ou la désobéissance les décisions de la conscience. Celle-ci ne peut pas ne pas distinguer et découvre, dans l'inquiétude, qu'elle n'a pas la droit de fuir sa liberté. Le problèm...
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peut on être libre sans les autres?
Qu'est-ce que la liberté? Pour beaucoup, être libre c'est faire ce que l'on veut. C'est ce que l'on peut appeler le sens commun dumot. A partir de cette définition, il s'avère que la seule situation dans laquelle l'homme trouve la liberté est la solitude. Cependantcertains philosophes se sont livrés à une critique sévère de cette conception de la liberté et ont défini un nouveau concept de liberté quisemble faire à peu près l'unanimité des philosophes. C'est ainsi que Rousseau a défini la libert...
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Le travail fait-il perdre ou gagner sa vie ?
l'initiative ». Les hommes paraissent alors capables d'entreprendre des activités, de réussir, et d'avoir une image très méliorative de leur propre personne, ce qui auraitalors une répercussion sur leur vie privée et sociale et éventuellement, peut-être que cela les avancerait dans leur poursuite du bonheur. De nombreux talents peuventdonc être exaltés grâce au travail, qui peut constituer un moyen d'expression de soi-même et aide l'homme à développer ses qualités physiques ou intellectuelles.Le...
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RESUME DE COURS: La liberté ?
La morale La liberté « Être libre, c'est faire ce que je veux » : telle est notre définition courante de la liberté. Je ne serais donc pas libre lorsqu'on contraint ma volonté par des règles, des ordres et des lois. Être libre serait alors la condition natu relle de l'homme, et la société la marque de son esclavage. Pourtant, cette opinion ne semble pas tenable. 1. Peut-on dire que l'animal est libre ? Si la liberté est l'absence d...
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Peut-on affranchir le travailleur de toute servitude ?
continue à voir dans le travail une des valeurs fondatrices de la société moderne. Le travail n'est-il que servitude ? 2/ Le travail comme libérateur Le travail n'est pas que servitude, voyons dans quelle perspective il peut, tout au contraire,s'avérer être un plein élan vers la liberté. "A la vérité, le règne de la liberté commence seulement à partir du moment où cesse letravail dicté par la nécessité... La réduction de la journée de travail est la conditionfondamentale de cette libération...
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Lorenzaccio --> pièce de théâtre d'Alfred de Musset: comment se traduit cette spécificité éditoriale, propre à ce drame, d’être une pièce non destinée à la représentation ?
II -Une inégalable liberté de composition 1. Lorenzaccio, pièce multiforme et sans contraintes a) Malgré ses motivations négat ives (le dépit ressenti après ce fiasco initi al), ce choix délibéré de ne plus écrire en vue de la représentation explique la première caractéristique de Lorenzaccio : il s'agi t d'une pièce multiforme et sans contraintes. b) Lib éré de toutes les préoccupations matérielle s prop res à tout dramaturge écrivan t...
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Le droit nous impose-t-il des limites ?
111. Persistance de la force ? • On peut alors souligner le lien entre la violence et le droit : dans une société sans conflits, où chacun prendrait en compte le point devue d'autrui avant d'agir, la vertu remplacerait la règle de droit et l'institution judiciaire deviendrait inutile. « Portez à un degré suffisantla bienveillance des hommes ou la générosité de la nature, et vous rendez la justice inutile » (Hume, Traité de la nature humaine, III,partie II, 2). "On remarque aisément qu'une affec...
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Être libre, est-ce adhérer à la nécessité ?
parfaite indépendance, et jamais nous ne serons déçus. Quoi qu'il arrive, je conserve ma liberté de jugement, je suishors d'atteinte. Je considère froidement mes passions*, qui, tout comme mon corps, ne sont que choses extérieuresà moi-même, indignes d'attachement. Le but du sage est d'atteindre l'« apathie ». l'absence de passion. par le refusde consentir à tous les entraînements de son corps. Je ne suis pas mon corps, celui qui le torture ne m'atteint pas— d'où son acharnement, et la déception...
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Les hommes ne vivent-ils en société que par intérêt ?
que ce dernier ne disparaisse et pour réparer l'étourderie d'Epiméthée, Prométhée dérobe le feu à Héphaïstos et laconnaissance des arts à Athéna pour en faire présent à l'homme. Mais les Dieux en sont irrités et punissentProméthée pour sa forfaiture. Les leçons de ce mythe sont très nombreuses. D'abord, on peut remarquer que sansles arts et le feu (c'est-à-dire sans la technique), l'homme est dans un état de dénuement total. Comparativementaux animaux, il ne dispose en effet d'aucun "out...
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La liberté s'oppose-t-elle à la nécessité ?
Si les phénomènes s'enchaînent nécessairement, l'homme qui acquiesce à ces liaisons semble courbé, dira-t-on,sous un aveugle destin. 0r cette vision paraît naïve et unilatérale. Elle confond le fatalisme, qui enchaîne l'homme, et le déterminisme qui, au contraire,la libère. Par le travail et la technique l'homme peut, précisément, sans supprimer lalégalité de la nature, sans tenter de lever la contrainte de ses lois, se libérer parl'obéissance elle-même. Hegel a fort bien analysé ceprocessu...
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L'architecture d'Auguste Perret
Cette discipline volontaire a eu le mérite d'éviter les excès de l'imagination que les possibilités offertes par lesmatériaux auraient d'ailleurs tempérés. Mais cette discipline ne représente que des méthodes d'application et ilconvient de chercher la véritable source, le critère qui, au cours des âges, a permis l'éclosion des oeuvres les plusvalables. Ce critère, ce n'est pas un alphabet, ce ne sont pas des formules, c'est la base même des traditions lesplus hautes, c'est le res...
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LE TRAVAIL : Mais pourquoi faut-il donc travailler ?
1- Le travail relève du corps et est organisé socialement Travail = tripalium en latin. C'est un instrument de torture avec trois pâles. Les Grecs n'ont pas de terme pour définir ce qu'est le travail. Ceux qui ne travaillent pas sont considérés comme libres, lesautres sont les non-libres (esclaves). Les Grecs comparent le travail au tripalium. C'est-à-dire qu'il correspond à des efforts (dépenses d'énergies physique,intellectuelle, nerveuse…), que l'on doit fournir jour après jours. Le se...
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Contraindre est-ce oppresser ?
L'oppression peut être technique, juridique, morale : le développement de la technologie qui pénètre dans toutes les sphères sociales -privée, publique -menace notre liberté. • Ce sujet pose donc la question des relations ambiguës du droit et de la liberté : le droit qui permet de réguler la violence, de sortir du chaos ou de la solitude, s'instaure-t-il et se perpétue-t-il au prix d'une oppression, d'une répression de l'individu ? • Organisation du p...
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La morale s'apprend-elle ?
commun, les hommes sont déterminé par le principe de jouissance qui exige la satisfaction de tous les désirs Lasatisfaction de toutes les pulsions est l'idéal de l'individu encore asocial : l'individu cherche en effet à jouir sansaucunes limites. Or il est porté par ses pulsions à s'en prendre à ses semblables pour satisfaire ses désirs,notamment dans le désir sadique qui consiste en un plaisir pris à l'agression d'autrui. Ainsi si chaque individu chercheà satisfaire tous désirs, il ri...
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Le devoir et la morale (cours)
• Le devoir ne repose donc sur aucun sentiment du bien, sur aucun instinct, sur aucun mouvement naturel. C'est même parce qu'il va à l'encontre du c mouvement naturel •qu ' il est un impératif. ~ EXPLIC~TIOfi SOCIOL041QUE 1>U 'DE~Ollt •Selon Durkheim et son école, le devoir n'est que l'intériorisation dans la conscience individuelle de la conscience collective , c'est-à-dire de l'ensemble des valeurs et des croyances communes à une société....
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ROUSSEAU: On le forcera à être libre.
En désobéissant à la loi, je désobéis à moi-même, à une partie de ma volonté commune. Cela n'est possible queparce qu'il y a une différence entre « homme » et « citoyen » : « En effet chaque individu peut avoir une volontéparticulière contraire ou dissemblable à la volonté générale qu'il a comme citoyen. » Contrevenir aux lois, c'est faireprédominer sa « volonté particulière », son intérêt propre sur l' »intérêt général » qu'on continue d'avoir comme«citoyen ».Par exemple, il y a fort à parier...
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Gargantua, Rabelais - Description de l'Abbaye de Thélème (Commentaire, étude, analyse)
» => dieu disparaît dans cette deviseLa devise de St augustin était : » aime Dieu et fais ce que tu veux »OR ici on ne prit plus dieu. = absence de règle religieuse sauf le mariage de la fin. Cette liberté s'exprime dans la vie quotidienne : Imparfait d'habitude au premier paragraphe La règle n'est qu'une contrainte : Champ lexical = « obligeait » (l.4) ; « imitait » (l.5) ; « asservis » ; « sujétion » ; « contrainte » (l.11) ; « joug de la servitude » (l.13) Champ lexical de la règle = « lo...
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Définition: AGGRAVATION, substantif féminin.
— DROIT CANON. Synonyme : aggrave* : 11. Il était aussi réglé que tous les seigneurs du sang royal, les gens d'église, les nobles et les gens des bonnes villes se soumettraient, et jureraient aussi bienveillance, union et concorde, tous sous la contrainte et éversion de notre mère Sainte église, de notre Saint-Père le pape, de ses commis etdéputés par lesquels les parties contractantes et assermentées voulaient et consentaient à être contraintes par voie d' excommunication et d' anathème, agg...
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Qu'est-ce qui fonde véritablement mes règles morales ?
La moralité ne saurait être fondée sur la rationalité en général, ou plutôt surl'usage théorique de cette rationalité : en effet, le domaine propre de cedernier, c'est celui de l'entendement, c'est-à-dire celui du déterminismeuniversel. Or, la moralité se caractérise essentiellement par sa liberté, grâce àlaquelle la faculté désirante de l'homme peut se déprendre de toutedétermination extérieure et sensible. Ainsi, c'est la raison pratique qui doitfonder la morale, mais seuleme...
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La technique est-elle libératrice ?
direct avec l'idée de travail, compris comme une activité tournée vers la satisfaction de nos besoins. Puisque la nature nepourvoit pas spontanément et immédiatement à tous nos besoins, l'homme travaille. Cela signifie que l'homme vit dans lanature avec la contrainte de travailler. C'est là que la technique peut se comprendre comme une libération.L'homme est contraint de travailler parce qu'il est asservit aux besoins vitaux. Donc, si la technique peut alléger la charge,voire même prendre toute...
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Peut-on concevoir une morale sans jugement ni obligation ?
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org) Thèmes : Nous allons d'emblée procéder à l'analyse de deux thèmes autour desquels s'articule l'énoncé : l'obligation et le jugement. (i) L'obligation : L'obligation, dans le cadre d'une réflexion sur le domaine de la morale, se caractérise par son action sur le sujet. Face à l'obligation, le sujet est réduit à unétat de passivité contrainte. En tant que sujet, et qui plus est sujet de la morale en question, il subit de l'extérieur (d'où la dimension d...
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FREUD: Religion & Exigences de la raison
3. Limite et objectionCe qui est valable pour un particulier ne l'est pas en général. Or, la vérité est présentée comme générale, voireuniverselle. Transition : Comment justifier alors que la foi puisse être appliquée à tous ? II. La supériorité légitime de la raison 1. PrincipeSans l'utilisation de la raison, la diffusion d'une « vérité » ne peut prendre la forme que d'une contrainte arbitraire.2. Argument logiqueIl n'y a pas de valeur de vérité générale si l'on se fonde seulement sur quelque...
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Dissertation de Philosophie
Sujet: Nos désirs nous rendent-t-ils aveugles?
Dissertation de Philosophie Sujet: Nos désirs nous rendent-t-ils aveugles? Nos désirs nous rendent-t-ils aveugles? Une telle question suppose de définir l'objet de l'aveuglement auquel on fait référence. En effet, de nombreux éléments entrent en jeu lorsque nous désirons: sommes-nous aveugles aux contraintes de l'assouvissement d'un désir, à ses conséquences, ou encore à certains devoirs moraux qui nous empêchent d'accéder à l'objet convoité? De plus, il nous faut dé...
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Suis-je libre de penser ce que je veux ?
Donner une définition simple et univoque de la liberté n'est possible qu'au prix d'une simplification inacceptable duconcept de liberté. En effet, pour définir la liberté, il faut nécessairement faire référence à un terme qui s'oppose àelle. Ainsi on peut définir la liberté par opposition à l'esclavage : alors elle est la condition d'une personne qui n'estpas sous la dépendance d'une autre. Elle s'oppose également à la contrainte, puisqu'elle est le pouvoir de faire ceque l'on veut ; mais elle s...
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Kierkegaard, Ou bien, ou bien : Le devoir
de notre propre et de notre liberté. Il ne coupe pas l’individu que nous sommes du champ social. Il existe assurément des cir constances dans lesquelles tout homme se doit d’obéir à des consignes extérieures contraigna ntes. Mais à bien y ré fléchir, cette obéissance invol ontaire n’est pas de l’ordre du devoi r. Imposé de l’extérieure dans u ne situation d’urgence, cédant , je n’accomplis pas réellement un devoir, je ne fais que de me sou mettre à la f orce des faits. Car le devoir pour êtr...
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Sur quoi est fondée la morale ?
III. La morale doit être certes fondée sur la raison, mais seulementdans son usage pratique (Kant). La moralité ne saurait être fondée sur la rationalité en général, ou plutôt surl'usage théorique de cette rationalité : en effet, le domaine propre de cedernier, c'est celui de l'entendement, c'est-à-dire celui du déterminismeuniversel. Or, la moralité se caractérise essentiellement par sa liberté, grâce àlaquelle la faculté désirante de l'homme peut se déprendre de toutedétermination...
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Avoir tous les droits, est-ce etre libre ?
s'inscrit donc nécessairement dans un cadre de droits et de devoirs, et, si liberté il y a, elle ne peut s'appliquer qu'aux deux. - Descartes affirme une position claire dans ses Méditations Métaphysiques (la quatrième plus précisément). Selon lui, la liberté n'est pas celle de tous les droits. Elle représente la volonté (infinie en l'homme) mise à l'épreuve de laréalité. Pour le philosophe français, elle doit d'abord signifier l'acte accompli en toute connaissance de cause etassumé. La...
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Le temps de loisir est-il toujours du temps libre ?
par les impé-ratifs du travail: délais à respecter, clients à satisfaire, profits à réaliser. Ce n'est que lorsque je quittele bureau, le soir, que je suis libre: je peux rentrer tout de suite ou flâner en ville, regarder la télévision ou aller voirdes amis. Le travail est une contrainteMême si l'on aime son travail, il est rare qu'on puisse l'exercer avec une totale liberté. L'architecte doit se plier auxdésirs de son commanditaire, le boulanger doit être au four tôt le matin, le cadre doit re...