Résultats pour "commenterez"
- Vous commenterez, sous la forme d'une dissertation, ce texte de Molière
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Après avoir résumé ce passage des Pensées de Pascal, vous le commenterez et l'apprécierez.
S'ils sont indifférents, ne s'informent pas s'il s'agit d'une superstition ou d'une vérité obscure mais fondée, ilsprovoquent la colère, l'incompréhension, la stupeur et l'épouvante. Position du problème Le plan est très logique et coïncide au fond avec le résumé. Le problème théorique n'est pas celui de savoir si l'âme est immortelle (Pascal le dit « obscur » et il dépasseraitvotre compétence en ce devoir), mais de montrer en quoi il est capital pour notre vie, comment on devr...
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Après avoir résumé ce passage des Pensées de Pascal, vous le commenterez et l'apprécierez.
86 TEXTES ABSTRAITS quoique obscures d'elles-mêmes, ont néanmoins un fondement trés solide et inébranlable, je les considère d'une manière toute différente. Cette négligence en une affaire où il s'agit d'eux-mêmes, de leur éternité, de leur tout, m'irrite plus qu'elle ne m'attendrit; elle m'étonne et m'épouvante : c'est un monstre pour moi. Après avoir résumé ce passage des Pensées de Pascal, vous le commenterez et lapprécierez. COMMENTAIRE...
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Vous ferez le résumé ou l'analyse du texte suivant, puis vous en dégagerez une idée que vous commenterez.
LES POINTS CHAUDS DU GLOBE
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Albert CAMUS, Le Mythe de Sisyphe: Vous expliquerez, commenterez, et, si vous le jugez nécessaire, discuterez ce texte de Camus.
CAMUS 117 connaîtrai jamais. Ai-je le temps de m'en indigner? Vous avez déjà changé de théorie. Ainsi cette science qui devait tout m'apprendre finit dans l'hypothèse, cette lucidité sombre dans la métaphore, cette incertitude se résout en œuvre d'art. Qu'avais-je besoin de tant d'efforts? Les lignes douces de ces collines, et la main du soir sur ce cœur agité m'en apprennent bien plus. Je suis revenu à son commencement. Je comprends que si je...
- L'humoriste américain Mark Twain a dit que « le secret du rire n'est pas la gaieté mais la tristesse». Vous commenterez cette boutade en étayant votre réflexion sur des exemples empruntés à vos lectures, mais aussi, si vous le jugez utile, à d'autres formes de l'expression artistique.
- A l'aide d'exemples tirés de vos lectures ou puisés dans d'autres domaines artistiques, vous commenterez et vous discuterez ces propos d'Alfred de Vigny, dans la préface de son roman Cinq-Mars...
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Vous commenterez le texte de René-Guy Cadou en vous intéressant d'abord à la façon dont le poète évoque la rencontre avec la femme aimée et la naissance du couple puis en étudiant comment le poète associe la femme aimée au monde.
Au XXème siècle, la poésie est plus libre. Les poètes préfèrent la prose aux vers et prêtent leur attention aux objets modernes ou industriels qui, normalement, serait considérés comme laids. Les poètes valorisent l’irrégulier en enfreignant donc les règles imposées par la Pléiade, leurs poèmes n’ont plus de formes classiques, ni de rimes particulières. René-Guy Cadou est un poète français qui aime Hélène, une femme à qui il dédie Quatr...
- La poésie, note Paul Valéry, « est l'essai de représenter ou de restituer, par les moyens du langage articulé, ces choses ou cette chose, que tentent obscurément d'exprimer les cris, les larmes, les caresses, les baisers, les soupirs, etc. et que semblent vouloir exprimer les objets, dans ce qu'ils ont d'apparence de vie (...) ». A l'aide d'exemples pris dans vos lectures personnelles, vous commenterez cette affirmation.
- « La vérité psychologique est le propre de l'observateur et du penseur: la vérité conventionnelle celui de l'homme de théâtre. Le théâtre est un art essentiellement de convention: il obéit à des lois particulières, toutes différentes de celles des autres genres littéraires. » A l'aide d'exemples précis choisis dans les pièces que vous connaissez, vous commenterez et discuterez au besoin ce jugement rapporté par Henry de Montherlant dans Notes sur mon théâtre.
- Un critique contemporain écrit : « Le plaisir poétique n'est pas un plaisir facile », et, plus loin : « La soif de merveilleux et d'évasion qu'éprouvent les adolescents, et la place réduite qui est faite dans leur vie et dans leur culture à la poésie, expliquent peut-être en partie le développement prodigieux, dans notre société, de la chanson. » Vous commenterez et discuterez ces deux assertions, en précisant et comparant les plaisirs que vous apportent respectivement la poésie et la chanson.
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«J'aime lire comme lit une concierge : m'identifier à l'auteur et au livre. Toute autre attitude me fait penser au dépeceur de cadavres, écrit Cioran dans De l'inconvénient d'être né (1988). Vous commenterez cette réflexion en vous appuyant sur des exemples tirés de votre propre expérience de la lecture.
Lecture et culture/ 155 ..._. Lorsque, dans un sujet, on vous demande à la fois de commenter une citation et de faire part de votre expé rience personnelle, vous pouvez légitimement conce voir un plan en deux grandes parties : 1. commentaire développé de la citation; 2. réflexion sur votre expérience personnelle. Pour chaque partie, vous élaborerez un plan précis et vous veillerez à bien structurer l'ensemble de la dissertation. CORRIGÉ SE...
- « On oppose souvent le roman, au sens moderne du mot, c'est-à-dire tel qu'il apparaît en Occident en gros avec Cervantès, à l'épopée, en disant que celle-ci raconte les aventures d'un groupe, celui-là d'un individu; mais, depuis Balzac au moins, il est clair que le roman dans ses formes les plus hautes prétend dépasser cette opposition, et raconter par l'intermédiaire d'aventures individuelles le mouvement de toute une société... » A la lumière des œuvres romanesques que vous connaissez, vous commenterez et discuterez cette opinion de Michel Butor.
- Jean-Marie Le Clezio. Vous commenterez ce texte en un devoir composé. Vous pourrez notamment y étudier comment l'auteur, dans cette vision qu'il nous donne d'un grand magasin, fait surgir le monde moderne tout en dépassant le simple réalisme, et ce que devient pour lui, dans ce monde, la condition de l'homme.
- Dans ses notes rédigées au cours des années 1942-1972 et intitulées Le territoire de l'Homme, Elias Canetti écrit : « Tout ce qu'on prend en note, tout ce qu'on met par écrit contient encore un petit grain d'espoir, quand bien même il ne serait venu que du seul désespoir ». A l'aide d'exemples et d'analyses précis, puisés dans le roman, la poésie, le théâtre, vous expliquerez et commenterez cette phrase, en vous demandant comment l'écriture peut à la fois rendre compte du désespoir et en constituer la négation.
- En préface à un recueil de textes de critique littéraire, Tout feu, tout flamme, Jean-Louis Bory écrit: « Curieux métier que le métier de professeur. Le public le plus vivant qui soit (le plus égocentrique aussi), nous devons l'intéresser coûte que coûte au commerce des morts. Par chance, ces morts-là sont bien plus vivants que bien des vivants. Il ne s'agit plus que d'en persuader les jeunes vivants qui nous écoutent. » Vous commenterez et, au besoin, discuterez ce propos, en vous fondant sur des exemples précis tirés de vos lectures et de votre expérience d'élève.
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A la fin du xixe siècle, Oscar Wilde écrivait dans la préface au Portrait de Dorian Gray : « L'appellation de livre moral ou immoral ne répond à rien. Un livre est bien écrit ou mal écrit. Et c'est tout. [...] L'artiste peut tout exprimer. » le Portrait de Dorian Gray, traduction Jaloux-Frapereau, Stock, 1925, p. 10. A l'aide d'exemples précis, et sans vous limiter forcément à la littérature, vous commenterez et discuterez cette opinion. ?
hautes valeurs éthiques.Pour G. Sand, dans la préface de La Mare au Diable, l'art a « une mission de sentiment et d'amour », « le romand'aujourd'hui devrait remplacer la parabole et l'apologue des temps naïfs ». Elle se plaint que la peinture de truands,fréquente dans les romans d'Eugène Sue, dresse les riches contre les pauvres, en instaurant la peur. Il faut aucontraire faire aimer les miséreux : La Mare au Diable raconte comment un riche laboureur ému par une sauvageonnefinit par l'épouser....
- « La plupart des lecteurs attribuent à ce qu'ils appellent le fond une importance supérieure, et même infiniment supérieure, à celle de ce qu'ils nomment la forme. Quelques-uns, toutefois, sont d'un sentiment tout contraire. Ils estiment audacieusement que la structure de l'expression a une sorte de réalité tandis que le sens ou l'idée n'est qu'une ombre (...) Pour les amants de la forme, une forme, quoique toujours exigée ou provoquée par quelque pensée, a plus de prix, et même de sens, que toute pensée. » Vous commenterez à l'aide d'exemples cette phrase de Paul Valéry (Variété — Sur Bossuet). Vous direz si dans une œuvre littéraire vous attachez plus de prix au fond ou à la forme, aux choses dites ou à la façon dont elles sont dites.
- Roger Martin du Gard, répondant à un de ses admirateurs qui lui demandait de le guider dans ses lectures, écrit : « Les lectures, comme les voyages, les promenades et les repas, ne prennent leur valeur que par le besoin qu'on en a. Tel livre que j'ai rejeté il y a un an sans pouvoir le finir, me bouleverse aujourd'hui... Lisez le livre qui vous sollicite, et n'hésitez pas à le rejeter si vous ne l'assimilez pas sans effort. Le moins de contrainte possible en ces matières ! » (Correspondance générale, Tome II, 1980.) Que pensez-vous de cette réponse ? Correspond-elle à votre propre expérience? Dans quelle mesure un enseignement de la littérature est-il compatible avec ce point de vue? En un développement composé, vous commenterez et discuterez ce texte en vous fondant sur des exemples précis.
- Évoquant le romancier qui par son art soumet l'esprit et l'imagination de son lecteur, Marcel Proust écrivait : « Par lui nous sommes le véritable Protée qui revêt successivement toutes les formes de la vie. A les échanger ainsi les unes contre les autres, nous sentons que pour notre être, devenu si agile et si fort, elles ne sont qu'un jeu, un masque lamentable ou plaisant, mais qui n'a rien de bien réel. Notre infortune ou notre fortune cesse pour un instant de nous tyranniser, nous jouons avec elle et avec celle des autres. C'est pourquoi en fermant un beau roman triste, nous nous sentons si heureux. » Marcel Proust, Nouveaux Mélanges. En faisant appel à votre expérience personnelle et en vous appuyant sur des exemples précis, vous commenterez et apprécierez ces réflexions.
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« La rêverie est le dimanche de la pensée. La flânerie n'est pas seulement délicieuse, elle est utile. C'est un bain de santé qui rend la vigueur et la souplesse à tout l'être, à l'esprit comme au corps, c'est le signe et la fête de la liberté, c'est un banquet joyeux et salutaire, le banquet du papillon qui lutine et butine sur les côteaux et dans les prés. Or, l'âme est aussi papillon. » (Amiel, Fragments d'un journal intime.) En faisant appel à vos souvenirs littéraires et à votre expérience personnelle, vous commenterez ce passage en vous demandant à quelles conditions la rêverie peut être féconde. ?
affaires. Aussi leurs heures libres et leurs vacances sont, elles remplies de distractions organisées comme uneentreprise : ils ne se promènent pas, mais font des excursions ou même prospectent méthodiquement un massifmontagneux; ils ne courent pas à l'aventure des rencontres, mais suivent un programme établi d'avances deréceptions et de visites. Qu'il y ait un trou dans ce programme et qu'ils en soient réduits à flâner durant quelquesheures, les voilà de mauvaise humeur pour le re...
- Vous commenterez ces réflexions d'André Malraux (Les voix du silence). « Ce que voient en l'art ceux qui lui sont étrangers, c'est un moyen de fixer les instants émouvants de la vie ou de les imaginer. Ils sont ainsi conduits à confondre fiction et roman, représentation et peinture... Et il est vrai que les plus grands arts font naître une émotion très haute: ce qui n'est pas vrai, c'est qu'ils le fassent nécessairement en représentant ce qui le suscite dans la vie. L'émotion éprouvée devant la mise à mort du taureau n'a rien de commun avec celle que suscite une tauromachie, fût-elle de Goya. S'il advient que l'artiste fixe un instant privilégié, il ne le fixe pas parce qu'il le reproduit, mais parce qu'il le métamorphose. Un coucher de soleil admirable, en peinture n'est pas un beau coucher de soleil, mais le coucher de soleil d'un grand peintre — comme un beau portrait n'est pas d'abord le portrait d'un beau visage... »
- « Pour moi, la réalité est sans aucun intérêt. Je l'utilise dans ma vie quotidienne, mais pour mon écriture, j'ai besoin d'autre chose. J'ai besoin d'inventer absolument tout. [...] C'est une adaptation, c'est une transformation des choses vues par l'artiste. Voilà un champ de blé. Ce champ de blé existe pour son propriétaire, il existe pour le bourgeois qui promène sa famille autour du champ de blé le dimanche après-midi, il existe pour l'économiste distingué qui, lui, comptera ce champ de blé dans l'étiage de la récolte de la France. Et il existe enfin le champ de blé de Van Gogh. Le champ de blé de Van Gogh n'a aucun rapport avec le champ de blé de tous les autres. (...) Van Gogh a pris le champ de blé, il s'y est ajouté et puis il a transformé le tout en une espèce d'autre chose qui est devenue le champ de blé de Van Gogh. » Jean Giono, Entretiens avec Jean Carrière, 1965. Vous commenterez ces propos de Jean Giono en les illustrant d'exemples précis d'œuvres d'art et en particulier d'œuvres littéraires.
- «Pour douer notre littérature d'une action efficace, il fallait trouver le secret de l'action sur les esprits : ce secret est la clarté. Comprenons ce mot : il faut évidemment le soustraire à des interprétations grossièrement faciles. Paul Valéry a insisté souvent sur le fait que de nombreuses gens la confondent avec leur propre paresse d'esprit. Il ne s'agit pas d'être compris par les distraits. La clarté de Racine n'est qu'une apparence ; je défie un lecteur moyen d'expliquer tout ce que dissimule un discours de Mithridate ou d'Athalie derrière des mots simples et bien choisis, mais chargés d'allusions, de subtilités ; de mensonges, de pièges, de dessous psychologiques. La clarté française n'est pas l'évidence ; elle est le résultat d'une forme d'esprit qui demande à chaque expression de représenter un objet défini : je veux dire d'éluder toute équivoque [...]. En France, pas de halo autour des mots, pas d'ai/ra qui influence mystiquement le lecteur. S'il y a mystère, il est fait de la contexture même de la phrase et de l'impression diffusée par le choix des termes, le rythme du discours, non du prolongement vague des substantifs et des épithètes. Cela n'a empêché ni Maynard, ni Chateaubriand, ni Lautréamont, ni Verlaine, ni Loti de répandre un mystère aussi grand que celui des plus illustres maîtres du mystère à l'étranger.» Edmond Jaloux, Introduction à l'histoire de la littérature française (Préface.) Vous commenterez et, éventuellement, vous discuterez ces réflexions. (Il va de soi que vous pourrez utiliser d'autres exemples que ceux qui sont invoqués par l'auteur.)