42 résultats pour "encor"
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En nommerai-je encor davantage ?
Bref, on n'eut rien vu que tout beau, tout éclatant, tout brave, tout superbe, que jamais la gloire de Niquée n'en approcha : car on voyait tout cela reluire dans une salle du bal, au Palais ou au Louvre, comme étoiles au ciel en temps serein. Ainsi leur Reine voulait et leur commandait toujours qu'elles comparussent en haut et superbe appareil 7, encor que, durant sa viduité 8, elle ne se para jamais de mondaines soies, sinon lugubres, mais tant bien proprement pourtant, et si bien accommodée...
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Joachim DU BELLAY, Les Antiquités de Rome, « Que n'ai-je encor la harpe thracienne ».
B- Antiquité gréco-latine • Cependant Du Bellay ne parle pas que de Rome => Dépassement / Elargissement des antiquités de Rome aux antiquités Gréco-romaine du monde entier. Ex : « Cf. « l'enfer ; la harpe » > mythe d’Orphée. • + cf. tous les néologismes de Du Bellay formés à partir de références de la mythologique antique. - « Ausonienne » > TLFI : Qui appartient à l'Ausonie, une des plus anciennes régions de l'Italie méridionale, renommée pour ses sites. Par extension, langage poétique : Nom d...
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Joachim DU BELLAY, Les Antiquités de Rome, « Que n'ai-je encor la harpe
thracienne ».
1. Que n'ai-je encor la...
Joachim DU BELLAY, Les Antiquités de Rome, « Que n'ai-je encor la harpe thracienne ». 1. Que n'ai-je encor la harpe thracienne, 2. Pour réveiller de l'enfer paresseux 3. Ces vieux Césars, et les ombres de ceux 4. Qui ont bâti cette ville ancienne ? 5. Ou que je n'ai celle amphionienne, 6. Pour animer d'un accord plus heureux 7. De ces vieux murs les ossements pierreux, 8. Et restaurer la gloire ausonienne ? 9. Pussé-je au moins d'un pinceau plus agile 10. Sur le patron de quelque grand Virgile...
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En nommerai-je encor davantage ? Non ; car ma mémoire
Bref, on n'eut rien vu que tout beau, tout éclatant, tout brave, tout superbe, que jamais la gloire de Niquée n'en approcha : car on voyait tout cela reluire dans une salle du bal, au Palais ou au Louvre, comme étoiles au ciel en temps serein. Ainsi leur Reine voulait et leur commandait toujours qu'elles comparussent en haut et superbe appareil 7, encor que, durant sa viduité 8, elle ne se para jamais de mondaines soies, sinon lugubres, mais tant bien proprement pourtant, et si bien accommodée...
- PODCAST: Baise m'encor, rebaise-moi et baise de Louise LABÉ
- Louise Labé: Baise m'encor, rebaise-moi et baise (mp3)
- Louise Labé Baise m'encor, rebaise-moi et baise : Donne-m'en un de tes plus savoureux, Donne-m'en un de tes plus amoureux : Je t'en rendrai quatre plus chauds que braise.
- Louise Labé Baise m'encor, rebaise-moi et baise : Donne-m'en un de tes plus savoureux, Donne-m'en un de tes plus amoureux : Je t'en rendrai quatre plus chauds que braise.
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RACINE: Andromaque, acte IV, scène 5 (commentaire)
1) Vers 1356-1369 — Les preuves qu'Hermione a données de son amour dans le passé et dans le présent immédiat. 2) Vers 1369-1375 — Acceptation factice d'un mariage qui, cependant, la désespère, suivie d'une demande deremise. 3) L'explosion de fureur et la malédiction. Explication littérale : « Je ne t'ai point aimé, cruel? — Qu'ai-je donc fait? » Ces paroles sont un cri d'indignation et de détresse jailli du cœur devant un aussi soutenable mensonge. L'épithète «cruel » met l'accent sur l'att...
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Corneille - Le Cid – Commentaire composé : Acte I, scène 1 : « Et dans ce grand bonheur je crains un grand revers »
ACTE PREMIER SCÈNE PREMIÈRE-CHIMÈNE, ELVIRE CHIMÈNE Elvire, m'as-tu fait un rapport bien sincère ? Ne déguises-tu rien de ce qu'a dit mon père ? ELVIRE Tous mes sens à moi-même en sont encor charmés : Il estime Rodrigue autant que vous l'aimez, Et si je ne m'abuse à lire dans son âme, Il vous commandera de répondre à sa flamme . CHIMÈNE Dis-moi donc, je te prie, une seconde fois Ce qui te fait juger qu'il approuve mon...
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Corneille - Le Cid – Commentaire composé : Acte I, scène 1 : « Et dans ce grand bonheur je crains un grand revers »
ACTE PREMIER ------------ SCÈNE PREMIÈRE - CHIMÈNE, ELVIRE CHIMÈNE Elvire, m'as -tu fait un rapport bien sincère ? Ne déguises -tu rien de ce qu'a dit mon père ? ELVIRE Tous mes sens à moi -même en sont encor charmés : Il estime Rodrigue autant que vous l'aimez, Et si je ne m'abuse à lire dans son âme, Il vous commandera de répondre à sa flamme. CHIMÈNE Dis -moi donc, je te prie, une seconde fois Ce qui te fait juger qu'il approuve mon...
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Alfred de VIGNY: Le cor (Podcast)
L'armée applaudissait. Le luth du troubadourS'accordait pour chanter les saules de l'Adour ;Le vin français coulait dans la coupe étrangère ;Le soldat, en riant, parlait à la bergère. Roland gardait les monts ; tous passaient sans effroi.Assis nonchalamment sur un noir palefroiQui marchait revêtu de housses violettes,Turpin disait, tenant les saintes amulettes : "Sire, on voit dans le ciel des nuages de feu ;"Suspendez votre marche; il ne faut tenter Dieu."Par monsieur saint Denis, certes ce son...
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Anthologie poétique: Vin
On m'a défendu l'eau, du moins en beuverie, De peur que je ne tombe en une hydropisie; Je me perds, si j'en bois. En l'eau n'y a saveur; prendrai-je pour breuvage Ce qui n'a point de goût? mon voisin, qui est sage, Ne le fait, que je crois. Qui aime bien le vin est de bonne nature. Les morts ne boivent plus dedans la sépulture. Hé 1 qui sait s'il vivra Peut-être encor demain? chassons mélancolie. Je vais boire d'autant...
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Iphigénie en Aulide
IPHIGÉNIE
Que tardez-vous, Madame, à le faire avertir ?
ÉRIPHILE Vous me donnez des noms qui doivent me surprendre, Madame. On ne m'a pas instruite à les entendre, Et les Dieux contre moi dès longtemps indignés A mon oreille encor les avaient épargnés. Mais il faut des amants excuser l'injustice. Et de quoi vouliez-vous que je vous avertisse ? Avez-vous pu penser qu'au sang d'Agamemnon Achille préférât une fille sans nom, Qui de tout son destin ce qu'elle a pu comprendre C'est qu'elle sort d'un sang qu'il brûle de répandre ? IPHIGÉNIE Vous...
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L'aveu direct de Phèdre (Acte Il, SC. 5, V. 670-698) - Commentaire
Objet infortuné des vengeances célestes, Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes. Les Dieux m'en sont témoins, ces Dieux qui dans mon flanc 680 Ont allumé le feu fatal à tout mon sang ; Ces Dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé. C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé. 685 J'ai voulu te paraître odieuse, inhumaine;...
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Iphigénie en Aulide
CLYTEMNESTRE
Vous ne démentez point une race funeste ;
Oui, vous êtes le sang d'Atrée et de Thyeste.
Est-ce donc être père ? Ah ! toute ma raison Cède à la cruauté de cette trahison. Un prêtre, environné d'une foule cruelle, Portera sur ma fille une main criminelle ? Déchirera son sein ? Et d'un oeil curieux Dans son coeur palpitant consultera les Dieux ? Et moi, qui l'amenai triomphante, adorée, Je m'en retournerai, seule, et désespérée ? Je verrai les chemins encor tout parfumés Des fleurs dont sous ses pas on les avait semés ? Non, je ne l'aurai point amenée au supplice, Ou vous f...
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Edmond ROSTAND, Cyrano de Bergerac, acte IV, scène 4
L'adresse a réussi, cependant! (Même attente suspendant les jeux et les pipes.) CYRANO: C'est possible. Mais on n'abdique pas l'honneur d'être une cible. (Cartes, dés, fumées, s'abattent, tombent, s'envolent avec une satisfaction croissante): Si j'eusse été présent quand l'écharpe coula --Nos courages, monsieur, diffèrent en cela-- Je l'aurais ramassée et me la serais mise. DE GUICHE: Oui, vantardise, encor, de gascon! CYRANO: Vantardise?. . . Prêtez-la-moi. Je m'offre à monter,...
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La Legende des Siecles
--Le brodequin!
On avait des fourneaux pour le soufre et la poix, On pouvait mordre avec ses dents le roc farouche, Se défendre, hurler, lutter, s'emplir la bouche De feu, de plomb fondu, d'huile, et les leur cracher A la figure avec les éclats du rocher! Non! on a dit: Entrez, et, par la porte ouverte, Ils sont entrés! la vie à la mort s'est offerte! On a livré la place, on n'a point combattu! Voilà la chose; elle est toute simple; ils n'ont eu Affaire qu'à ce vieux misérable imbécile! Égor...
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CHAPITRE XIII : AURÉLIE
Chimère 1 : « La treizième revient...
c'est encor la première»
De retour à Paris, le...
CHAPITRE XIII : AURÉLIE Chimère 1 : « La treizième revient... c'est encor la première» De retour à Paris, le héros se retrouve, le soir, au théâtre afin d'y revoir son actrice adulée. li lui fait parvenir un bou quet, avec une lettre signée: « Un inconnu.» Le lendemain, il part pour l'Allemagne afin d'y retrouver la paix de l'âme. Il juge que l'histoire, romancée, de son double amour appa raîtrait invraisemblable. Dans les mois qui suivent, il conçoit un drame sur les amours du peintre Colonn...
- ENCORE, adv.
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Je suis maître de moi comme de l’univers Pierre Corneille - Cinna
152 / HÉROÏSME (et générosité) • 20 par l'exemple d'Emilie ainsi que par de nobles raisons d'ordre politique: Le complot une fois éventé, celui qui passait pour un tyran devient un monarque respecté, du fait de sa « géné rosité», le pardon venant conclure une douloureuse lutte intime et mobilisant un effort de volonté sans précédent chez Auguste. C'est bien dans la mesure où Auguste a consenti, en toute indépendance d'esprit, à pardonner, que...
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Iphigénie en Aulide
IPHIGÉNIE
Seigneur, rassurez-vous.
Moi-même dans Argos je l'aurais devancée. Cependant on me fuit. Quel crime ai-je commis ? Mais je ne vois partout que des yeux ennemis. Que dis-je ? En ce moment Calchas, Nestor, Ulysse, De leur vaine éloquence employant l'artifice, Combattaient mon amour et semblaient m'annoncer Que si j'en crois ma gloire, il y faut renoncer. Quelle entreprise ici pourrait être formée ? Suis-je sans le savoir la fable de l'armée ? Entrons. C'est un secret qu'il leur faut arracher. SCÈNE VIII\24ÉRIPHI...
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Le colonel chabert
‘’ j’ai une petite surprise pour toi ma puce ‘’ dit-il gaiment . ‘’ a Merci papa c’est super ‘’ une autre surprise , il m’avait déjà acheter un ordinateure portable il y a 3 heures , il a soit disant eu envie de me faire un cadeau . ‘’ mais tu ne l’a meme pas vu ‘’ s’exclama t-il . Il n’avait sans doute pas compris que cela m’importait peu et que je voulais juste aller m’enferemer dans ma chambre et pleurer . ‘’ oui excuse moi papa , je suis un peu chambouler tu comprends ..’’ ‘’ biensur ma...
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Andromaque
ANDROMAQUE.
Ce fils même, ce fils, l'objet de tant de soins, Si je l'avais sauvé, vous l'en aimeriez moins. La haine, le mépris, contre moi tout s'assemble ; Vous me haïssez plus que tous les Grecs ensemble. Jouissez à loisir d'un si noble courroux. Allons, Phoenix. ANDROMAQUE, Allons rejoindre mon époux. CÉPHISE. Madame... ANDROMAQUE, (à Céphise.) Et que veux-tu que je lui dise encore ? Auteur de tous mes maux, crois-tu qu'il les ignore ? (A Pyrrhus.) Seigneur, voyez l'état où vous me réduise...
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Scène première – Chimène, Elvire - Acte IV - Le Cid (Corneille)
Cette courte scène grandit encore à nos yeux cette fille héroïque. Devant sa chère confidente elle ne dissimule rien.Comme les questions se pressent sur ses lèvres ! Elle voudrait tout savoir du grand événement qui l'émerveille. Quelorgueil d'amante dans ce vers : Et la main de Rodrigue a fait tous ces miracles ? Et quel aveu dans ce cri si tendre : Mais n'est-il point blessé ? et dans cette pâleur qui trahit brusquement son inquiétude : Vous changez de couleur ! Mais comme d'ordinaire, plus son...
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Andromaque
SCENE VIIPYRRHUS, ANDROMAQUE, CÉPHISE.
CÉPHISE. Je vous l'avais prédit, qu'en dépit de la Grèce, De votre sort encor vous seriez la maîtresse. ANDROMAQUE. Hélas ! De quel effet tes discours sont suivis ! Il ne me restait plus qu'à condamner mon fils. CÉPHISE. Madame, à votre époux c'est être assez fidèle : Trop de vertu pourrait vous rendre criminelle. Lui-même il porterait votre âme à la douceur. ANDROMAQUE. Quoi ! Je lui donnerais Pyrrhus pour successeur ? CÉPHISE. Ainsi le veut son fils, que les Grecs vous ravissent....
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Britannicus. ACTE IV. SCENE II. Racine
Des malheurs qui dès lors me furent annoncés:J'ai fait ce que j'ai pu: vous régnez, c'est assez.Avec ma liberté, que vous m'avez ravie,Si vous le souhaitez, prenez encor ma vie,Pourvu que par ma mort tout le peuple irritéNe vous ravisse pas ce qui m'a tant coûté. L'ensemble. — Dans Britannicus, Racine a voulu réaliser la pièce politique et romaine que ses adversaires le déclaraient incapable de faire. Il s'est surtout appliqué à composer des caractères ambitieux et terribles. C'estpourquoi Agrip...
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Andromaque
SCENE PREMIERE.
ANDROMAQUE. O ma chère Céphise, Ce n'est point avec toi que mon coeur se déguise. Ta foi, dans mon malheur, s'est montrée à mes yeux ; Mais j'ai cru qu'à mon tour tu me connaissais mieux. Quoi donc ? as-tu pensé qu'Andromaque infidèle Pût trahir un époux qui croit revivre en elle ; Et que, de tant de morts réveillant la douleur Le soin de mon repos me fît troubler le leur ? Est-ce là cette ardeur tant promise à sa cendre ? Mais son fils périssait : il l'a fallu défendre. Pyrrhus en m'...
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Corneille, l'Illusion comique (extrait).
Je vous vois aussi beau que vous êtes terrible, Et ne crois point d’objet si ferme en sa rigueur Qui puisse constamment vous refuser son cœur. MATAMORE Je te le dis encor, ne sois plus en alarme. Quand je veux j’épouvante, et quand je veux je charme, Et selon qu’il me plaît je remplis tour à tour Les hommes de terreur et les femmes d’amour, Du temps que ma beauté m’était inséparable Leurs persécutions me rendaient misérable, Je ne pouvais sortir sans les faire pâmer, Mille mouraient par jour à f...
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La Legende des Siecles
BOOZ ENDORMI
Booz s'était couché de fatigue accablé;
Il avait tout le jour travaillé dans son aire,
Puis avait fait son lit à sa place ordinaire;
Booz dormait auprès des boisseaux pleins de blé.
Et Booz murmurait avec la voix de l'âme 'Comment se pourrait-il que de moi ceci vînt? Le chiffre de mes ans a passé quatre vingt, Et je n'ai pas de fils, et je n'ai plus de femme. 'Voilà longtemps que celle avec qui j'ai dormi, O Seigneur! a quitté ma couche pour la vôtre; Et nous sommes encor tout mêlés l'un à l'autre, Elle à demi vivante et moi mort à demi. 'Une race naîtrait de moi! Comment le croire? Comment se pourrait-il que j'eusse des enfants? Quand on est jeune, on a...
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Oceano Nox (VICTOR HUGO. Les Rayons et les Ombres)
fassent bien attention : il y a toujours un plan, très méthodique, dans une pièce de Victor Hugo; non seulement lesparties s'enchaînent et se suivent logiquement, mais encore elles s'équilibrent. Si Hugo se plaît à supprimer lestransitions, à varier brusquement l'allure du style, c'est pour soutenir ou pour réveiller l'attention, c'est poursurprendre, pour étonner; mais il ne sacrifie jamais la solidité de la structure aux déliquescences de la poésie, et parlà, nous le répétons, il...
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Clément Marot – Au Roi, « Pour avoir été dérobé »
La povre teste, et ne veult terminer, Ains me contrainct d’apprendre à cheminer Tant affoibly m’a d’estrange manière; Et si m’a faict la cuysse heronniere, L’estomac sec, le ventre plat et vague: Quand tout est dit, aussi mauvaise bague Ou peu s’en fault que femme de Paris, Saulve l’honneur d’elles et leurs maris. Que diray plus au misérable corps Dont je vous parle il n’est demouré fors Le povre esprit, qui lamente et souspire, Et en pleurant tasche à vous fai...
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entrainement Bac français
Ce meurtre n'amenda nullement leur marché. Notre couple, au contraire, à peine était couché, Que la vieille, craignant de laisser passer l'heure, Courait comme un lutin par toute sa demeure. C'est ainsi que, le plus souvent, Quand on pense sortir d'une mauvaise affaire, On s'enfonce encor plus avant : Témoin ce couple et son salaire. La vieille, au lieu du coq, les fit tomber par là De Charybde en Scylla. Candide La première journée de nos deux voyageurs fut assez agréable. Il...
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Jean de La Fontaine: Le Pouvoir des Fables (Livre VIII, 4)
« A ce reproche l'assemblée,Par l'apologue réveillée,Se donne entière à l'orateur: » Après ces quelques procédés rapides et efficaces, la moralité peut être exprimée : « Si Peau d'Âne m'était conté,J'y prendrais un plaisir extrême.Le monde est vieux, dit-on: je le crois; cependantIl le faut amuser encor comme un enfant. » B. Le divertissement L'efficacité n'est cependant pas due qu'à la construction argumentative. Elle vient aussi du fait que la fable opère comme un jeu qui fait appel à l'imagin...
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Acte III - Scène IV (4) – Don Rodrigue, Chimène, Elvire (Le Cid de Corneille) - Analyse
J'avais part à l'affront, j'en ai cherché l'auteur :Je l'ai vu, j'ai vengé mon honneur et mon père ;Je le ferais encor, si j'avais à le faire.Ce n'est pas qu'en effet, contre mon père et moi,Ma flamme assez longtemps n'ait combattu pour toi :Juge de son pouvoir : dans une telle offenseJ'ai pu délibérer si j'en prendrais vengeance.Réduit à te déplaire, ou souffrir un affront,J'ai pensé qu'à son tour mon bras était trop prompt,Je me suis accusé de trop de violence ;Et ta beauté, sans doute, emport...
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Lusignan retrouve ses enfants (Zaïre).
Je revois... je succombe à mon saisissement.ZAÏREQu'entends-je? et quel soupçon m'agite en ce moment? Ah, seigneur!LUSIGNANDans l'espoir dont j'entrevois les charmesNe m'abandonnez pas, Dieu qui voyez mes larmes!Dieu mort sur cette croix, et qui revis pour nous,Parle, achève, ô mon Dieu! ce sont là de tes coups.Quoi! madame, en vos mains elle était demeurée?Quoi! tous les deux captifs, et pris dans Césarée!ZAÏREOui, seigneur.NÉRESTANSe peut-il?LUSIGNANLeur parole, leurs traits,De leur mère en ef...
- Nano
- phèdre
- HERNANI DE VICTOR HUGO (TEXTE)
- Cyrano de Bergerac
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- victor hugo
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Texte du bac francais (EAF)
ADM Communication Baccalauréat de français Page 2 sur 174 Étude de quarante sonnets.............................................................................................................51 Vers dorés..................................................................................................................................51 Bataille navale...........................................................................................................................52 Midi............