145 résultats pour "honnête"
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SOO. Gratis paenitet probum esse
On regrette d'être honnête sans en être recompensé
Cette expression est empruntée à un p~sage...
SOO. Gratis paenitet probum esse On regrette d'être honnête sans en être recompensé Cette expression est empruntée à un p~sage des Epistu/ae ex Ponto d'Ovide (2 .. 3.. 13 sq.). où le poète affi111,~ que le sentiment d•avoir bien agi ne suffit pas toujours et que la reconnaissance d'une bonne action est souvent nécessaire (lpse decor recte.facti. si praemia desint / non movet et gratis paenitet esse probum). Pa11ï1i les diverses reprises de cet adage, citons une épigramme en néo-latin (/n Faunium...
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Thaïlande (2003-2004): Un redressement encore fragile
Depuis qu’il a pris la suite, en 2001, d’un Premier ministre réputé honnête mais...
Thaïlande (2003-2004): Un redressement encore fragile Depuis qu’il a pris la suite, en 2001, d’un Premier ministre réputé honnête mais terne (Chuan Leekpai), Thaksin Shinawatra a adopté un style flamboyant et résolument populiste. Pour 2004, il avait promis «une année en or pour tous les Thaïlandais» et, d’ici 2009, l’élimination de la pauvreté dans le pays. Son émission du samedi matin à la radio est très suivie. Elle traduit aussi une réelle méfiance vis-à-vis de la presse écrite, que les hom...
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256. Senatores boni viri senatus mala bestia
Les sénateurs sont des hommes honnêtes, mais le sénat est un
méchant animal...
256. Senatores boni viri senatus mala bestia Les sénateurs sont des hommes honnêtes, mais le sénat est un méchant animal Cet adage latin est extrêmement célèbre (y compris sous ses variantes senat11.\· az,tem bestia et senatus bestia) : il vaut toujours mieux avoir à faire à des personnes, prises chacune isolément, qu'à une assemblée composée de ces mêmes personnes. Son origine n'est pas classique, "' m�me si on l'a parfois attribué à tort à Cicéron (cf. par exemple, Giuseppe Rovani, Cento ann...
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Etudier et lire, a dit Descartes, c'est vivre dans le commerce des plus honnêtes gens des siècles passés - Comment comprenez-vous cette opinion ?
-7:1- b) Dans ce contact av·ec « les plus honnêtes gens des siècles passés >>, nous pouvons a-cquérir des idées plus hautes, comprendre des sentiments plus nobles. Le commerce avec de grands es·prits nous charme, nous élève. Nous sommes. plus heur.eux et nous valons mieux. CONCLUSION. -Aimons lire 1es œuvres de valeur du passé. Com prenons la supériorité de -celles que 1 'admiration des siècl-es a consacrées. Ne lisons pas seulement pou...
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La lecture de tous bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés qui en ont été les auteurs, et même une conversation étudiée, en laquelle ils ne nous découvrent que les meilleures de leurs pensées. [ Discours de la méthode ] Descartes, René. Commentez cette citation.
La lecture de tous bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés qui en ont été les auteurs, et même une conversation étudiée, en laquelle ils ne nous découvrent que les meilleures de leurs pensées. Discours de la méthode Descartes, René. Commentez cette citation. Selon Descartes « Le bon sens 1est la chose du monde la mieux partagée : car chacun pense en être si bien pourvu que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose...
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En 1883, Jules Ferry, adressant une lettre aux instituteurs, écrit :
«Que vous demande-t-on ? Des discours ? Des dissertations savantes ? De brillants exposés, un docte enseignement ? Non ! La famille et la société vous demandent de les aider à bien élever leurs enfants, à en faire des honnêtes gens.»
est un enseignant) ; elle doit surtout jouer un rôle civique et moral. Son rôle civique est de pallier les insuffisances des parents. Il y a aussi de la générosité dans ce programme :soustraire l'enfant à ses parents, ce n'est pas seulement le soustraire à des idées périmées, c'est surtout lesoustraire au travail manuel obligatoire et harassant, l'ouvrir à la connaissance minimale, l'arracher parfois à un milieuqui risque de le détruire (à l'alcoolisme par exemple qui fait des ravage...
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Expliquez et, s'il y a lieu, discutez à l'aide d'exemples tirés de vos lectures et notamment des comédies de Molière, cette célèbre maxime de La Rochefoucauld : « Ce que le monde nomme vertu n'est d'ordinaire qu'un fantôme formé par nos passions, à qui on donne un nom honnête pour faire impunément ce qu'on veut.» (Maxime retranchée par l'auteur.)
Ils comptent les défauts pour des perfectionsEt savent y donner de favorables noms... (v. 715-716). Il n'y a donc aucune vertu pure : « Les vertus se perdent dans l'intérêt, comme les fleuves se perdent dans la mer.» II. PORTÉE DE CETTE MAXIME a) La vertu existe-t-elle?Il y a donc une prétendue vertu qui est hypocrisie consciente, une autre qui est hypocrisie inconsciente. Existe-t-ilune vertu pure, désintéressée? La Rochefoucauld écrit dans les deux premières rédactions : « L'honnêteté de...
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Vous expliquerez et vous commenterez cette définition que La Bruyère nous donne de la politesse : « La politesse, écrit-il, c'e&t la manière d'agir, de parler civile et honnête, acquise par l'usage du monde. La politesse n'inspire pas toujours la bonté, l'équité, la complaisance, la gratitude; elle en donne du moins les apparences. Elle fait paraître l'homme au dehors comme il devrait être intérieurement. Il faut très peu de fond pour la politesse dans les manières; il en faut beaucoup
oreille, s'insinuant dans l'âme et la fouillant dans ses plus secrets replis, est venu toucher cette fibre cachée qui nepeut résonner sans que toutes les puissances de l'être s'ébranlent avec elle et vibrent à l'unisson? Ne serait-ce paslà la politesse la plus haute, celle que nous avons appelée une vertu? C'est la charité s'exerçant dans la région desamours-propres, là où il est plus difficile parfois de connaître le mal que de le vouloir guérir. Une grande bonténaturelle en est le fond. » 2...
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Diderot écrit : « Rendre la vertu aimable, le vice odieux, le ridicule saillant, voilà le projet de tout honnête homme qui prend la plume, le pinceau ou le ciseau. » Mais il déclare d'autre part : « Presque toujours, ce qui nuit à la beauté morale redouble la beauté poétique. On ne fait guère que des tableaux tranquilles et froids avec la vertu; c'est la passion et le vice qui animent les compositions du peintre, du poète et du musicien. » Commenter et discuter ces deux affirmations ap
civilisé, poli, moins ses moeurs sont poétiques ».L'art qui ne ferait place qu'à la vertu serait d'ailleurs froid et conventionnel, car il trahirait la vérité; un être parfaitest bien exceptionnel. L'oeuvre qui ignorerait le mal ne donnerait pas une image exacte de la réalité; tette absencede vérité ne pourrait tromper qu'un lecteur naïf et serait non seulement contraire au plaisir esthétique, mais d'unprofit discutable. Enfin le style même de ces oeuvres tombe souvent dans l'emphase du s...
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racina
siecle.Le 18e siecle est caracterise par la grandeur : a la literature, a la structure, par rapport aux guerres e.t.c. Racine: tragedie Moliere: comedie LE MODELE DE LA TRAGEDIE 1)l' exposition 2)le noeud, les intriques 3)le denouement, “catharsis” La tragedie est un poeme en vers et en cinq actes. Ils respectent l'unite: a) du temps(une journee, du matin au soir). b) de l' espace (a un endroit, surtout le palais) c) de l' action (une seule histoire) LA...
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Honoré de Balzac, La Maison Nucingen
l'affaire d'un moment ; elle fut acquise au sommet du Père-Lachaise 1 , le jour où il conduisait un pauvre honnête homme, le père de sa Delphine, mort la dupe de notre société, des sentiments les plus vrais et abandonné par ses filles et par ses gendres. Il résolut de jouer tout ce monde, et de s'y tenir en grand costume de vertu, de probité 2 , de belles manières. L'Egoïsme arma de pied en cape ce jeune noble. Quand le gars trouve Nucingen revêtu de la même armure, il l'estima comme au Moy...
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KANT: Faute, morale et punition
que la conscience manque, c'est dire que l'homme ne cherche pas à juger de ses actes, à se demander sanscesse si telle ou telle action est bien conforme à la loi morale. Ainsi l'homme se laisse entraîner par tous sesdésirs subjectifs, ne cherche pas, par la raison, à dominer toutes ses pulsions et ne peut pas comprendre,par conséquent, « les reproches intérieurs qui font le tourment des honnêtes gens ».Pour Kant, le principe essentiel de l'action morale est l'autonomie de la raison pratique. C'e...
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Vous rappellerez très rapidement le sujet du Misanthrope et vous montrerez comment cette pièce est à la fois une comédie de moeurs et une comédie de caractère. ?
prennent pas au sérieux, mais ils meublent un salon. Il est vrai qu'ils sont interchangeables, et l'espèce n'est pasprès de finir. « Le marquis, dit un personnage de Molière, c'est le bon de la comédie ». Molière savait que le publicattendait ce personnage, comme le Sganarelle de la comédie italienne, sûr de n'être pas déçu, et de fait, sur lethème du marquis, Molière a brodé dans plusieurs de ses pièces les plus brillantes variations. C'est un de ses croquisd'époque les plus réussis.Trois carac...
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Acte I, scène 1 - Le début de Dom Juan: éloge du tabac par Sganarelle - Molière
Tout d'abord, il fait un éloge du tabac, lequel a un rapport à la tabatière qu'il tient à la main, mais n'en a aucunavec les renseignements que Gusman attend de lui. Cette partie s'étend jusqu'à la phrase par laquelle il faitsemblant de prendre conscience de l'impatience rentrée de Gusman : «Mais c'est assez de cette matière. Reprenons un peu notre discours.» Il paraphrase alors le discours que Gusman vient de lui tenir, ce qui est, pour l'auteur, une manière habiled'informer le spectate...
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La Rochefoucauld.
Rochefoucauld est sans doute le meilleur représentant de l'esthétique classique du Grand Siècle : jamais l'honnête homme ou le noble ne doivent exhiber le moindre travail, ni le moindre attachement à soi-même. L'examen des autres conduit en définitive à se traiter soi-même comme un autre, la maîtrise de soi devenant par conséquent la maîtrise des autres. Complétez votre recherche en consultant : Les médias La Rochefoucauld - citations Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats...
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Malebranche: bonheur et sagesse
D Les clés du sujet PRÉSENTATION DU TEXTE ET ANALYSE DE SES ENJEUX .,. Du point de vue thématique, ce texte porte sur la sagesse, terme qui ne fait pas explicitement partie des notions du programme mais qui se trouve à l'intersection de beaucoup d'entre elles (nature, vérité, raison). On peut formuler ainsi la question que pose le texte: quelle est fa nature de l'homme 7 Autrement dit, pour quoi l'homme est-if fait 7 Pour s'ins truire...
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Diderot Commentaire
Philinte Vous voulez un grand mal à la nature humaine. Alceste Oui, j’ai conçu pour elle une effroyable haine. Philinte Tous les pauvres mortels, sans nulle exception, Seront enveloppés dans cette aversion ? Encore en est-il bien, dans le siècle où nous sommes… Alceste Non, elle est générale, et je hais tous les hommes : Les uns, parce qu’ils sont méchants et malfaisants, Et les autres, pour être aux méchants complaisants, Et n’avoir pas pour eux ces haines vigoureuses Que doit donner le vice au...
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Voltaire – Le Mondain Commentaire composé
LE MONDAIN Regrettera qui veut le bon vieux temps, Et l’âge d’or, et le règne d’Astrée, Et les beaux jours de Saturne et de Rhée, Et le jardin de nos premiers parents; Moi, je rends grâce à la nature sage Qui, pour mon bien, m’a fait naître en cet âge Tant décrié par nos tristes frondeurs : Ce temps profane est tout fait pour mes mœurs. H’aime le luxe, et même la mollesse, Tou s les plaisirs, les arts de toute espèce, La propreté, le goût, les orneme...
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Voltaire – Le Mondain Commentaire composé
LE MONDAIN Regrettera qui veut le bon vieux temps, Et l’âge d’or, et le règne d’Astrée, Et les beaux jours de Saturne et de Rhée, Et le jardin de nos premiers parents; Moi, je rends grâce à la nature sage Qui, pour mon bien, m’a fait naître en cet âge Tant décrié par nos tristes frondeurs : Ce temps profane est tout fait pour mes mœurs. H’aime le luxe, et même la mollesse, Tous les plaisirs, les arts de toute espèc e, La propreté, le goût, les ornemen...
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« Le bord de la mer », livre III, XV, Victor Hugo
LES OISEAUXIl a retiré l'air des cieux et nous fuyons. LA LIBERTÉJe m'enfuis avec eux - ô terre sans rayons,Grèce, adieu ! UN VOLEURCe tyran, nous l'aimons. Car ce maîtreQue respecte le juge et qu'admire le prêtre,Qu'on accueille partout de cris encourageants,Est plus pareil à nous qu'à vous, honnêtes gens. LE SERMENTDieux puissants ! à jamais, fermez toutes les bouches !La confiance est morte au fond des cœurs farouches.Homme, tu mens ! Soleil, tu mens ! Cieux, vous mentez !Soufflez, vents de l...
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Illusion Comique Acte 2 Scène 2
comme un personnage égocentrique et‭ ‬mégalomane. -‭ ‬Conformément à la tradition,‭ ‬Clindor est un‭ ‬valet qui se joue de son maître. 2°‭ ‬Le renouvellement du personnage de Matamore par Corneille -Un personnage qui vit dans un rêve et dans‭ ‬une illusion. -Il fait aussi de Matamore un Illusion comique‭ ‬:‭ ‬commentaire de la scène d'exposition Introduction C'est un texte tiré de l'Illusion Comique d...
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« L'Abbaye de Thélème », Gargantua, François Rabelais
jeunes aristocrates éduqués. Rabelais estime que la vertu est dépendante du degré d’éducation. Cette dernièregarantit l’harmonie collective. Il faut également ajouter à ces facteurs les bonnes fréquentations // souvenir deRabelais de ses années à Fontenay-le-comte où il fréquentait un groupes de juristes humanistes parmi lesquelsfigurait André Tiraqueau. - Autre explication : l’absence de règles : « car nous entreprenons toujours ce qui nous est défendu etconvoitons ce qu’on no...
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DIDEROT ROMANCIER : Le neveu de Rameau (commentaire)
Importance philosophique. Le neveu du musicien Rameau est un original. C'est un des plus bizarres personnages... Mais ne croyons pas Diderot,quand il ajoute : Je n'estime pas ces originaux-là. Car si Diderot, en conversation avec son héros — c'est unprocédé qui est cher à l'auteur — discute et même rejette en partie les critiques et les attaques de son partenaire,c'est moins pour défendre sincèrement son point de vue que pour esquisser sans conviction, en une sorte de débat,une réponse, a...
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Le Misanthrope, Acte I, Scène 2 : « la scène du sonnet », vers 305 à 373 - commentaire
r r h h é é t t o o r r i i q q u u e e . . Explications du passage des vers 305 à 314. E xplic atio ns du pa ssa ge de sve rs 305 à314. 1 1 ) ) I I l l e e s s t t d d ’ ’ u u s s a a g g e e à à l l ’ ’ é é p p o o q q u u e e d d e e l l i i r r e e s s e e s s c c o o m m p p o o s s i i t t i i o o n n s s à à s s e e s s p p r r o o c c h h e e s s . . L L e e s s o o n n n n e e t t e e s s t...
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Est-il déraisonnable de croire en Dieu ?
delà de la faculté conceptuelle du grand nombre pour que l'on puisse prétendre que la nouvelle en soit déjàparvenue, bien moins encore, que d'aucuns se rendent compte de ce qui s'est réellement passé, comme de tout cequi doit désormais s'effondrer, une fois ruinée cette croyance, pour avoir été fondée sur elle, et pour ainsi direenchevêtrée en elle : par exemple notre morale européenne dans sa totalité. Cette longue et féconde succession de ruptures, de destructions, de déclins, de bo...
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la scene de jalousie
de madame de Clèves va faire plonger la jeune fille dans les tourments de la jalousie, de l’envie et même de l’in dignité : une lettre tombée et une chute de cheval vont précipiter le roman dans la tragédie et remettre en question le pouvoir de l’analyse. La princesse de Clèves peut -elle se soustraire aux regards de ceux qui l’aiment ? La jalousie provoque -t-elle touj ours les mêmes réactions ? Le récit de ses conséquences tragiques suffit -il à nous mettre en garde contre les pass...
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Le nabab, tome II
Il y eut un instant de silence.
avancer, on louvoie. J'ai louvoyé... Accusez mes débuts misérables, une entrée manquée dans l'existence, et convenez du moins qu'une chose en moi n'a jamais menti: ma passion!... Rien n'a pu la rebuter, ni vos dédains, ni vos injures, ni tout ce que je lis dans vos yeux qui, depuis tant d'années, ne m'ont pas souri une fois... C'est encore ma passion qui me donne la force, même après ce que je viens d'entendre, de vous dire pourquoi je suis ici... Écoutez. Vous m'avez déclaré un jour qu'il vous...
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La rotisserie de la Reine Pedauque
"Nous en étions à cet article de notre conférence, quand, par malheur, le vieillard Mosaïde nous surprit, et,
sans entendre nos propos, il en devina l'esprit.
beauté. Oh! ne parlez point ainsi, monsieur, répliqua mon bon maître en souriant; vous l'obligerez à cacher son esprit pour ne pas nuire au bon renom de sa mère. Mais, si vous la connaissiez mieux, vous penseriez comme moi qu'elle n'a point eu de commerce avec un Sylphe; c'est une bonne chrétienne qui n'a jamais accompli l'oeuvre de chair qu'avec son mari et qui porte sa vertu sur son visage, bien différente en cela de cette autre rôtisseuse, madame Quonian, dont on fit grand bruit à Paris et d...
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Le jeu de l'amour et du hasard, Acte II, scène 12 - Marivaux
Le thème de l'aveu et de la parole 1 L'importance de la parole Le moteur de l'action dans cette scène est la parole. Toutefois, la parole dans cette scène est plus que cela, elleest en effet un thème explicitement évoqué et commenté par les personnages eux-mêmes. Ceci nomment avecemphase (procédé de soulignement) et de façon récurrente l'acte de parole. Réplique 4 « J'ai à te parler », réplique6 « Ecoute moi, je vais te dire », réplique 14 « Ce n'est plus Bourguignon qui te parle », réplique...
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Boule de suif
officiers de bonne famille envoyés à Rouen en garnison.
Aussitôt qu'elle fut reconnue, des chuchotements coururent parmi les femmes honnêtes, et les mots de "prostituée", de "honte publique" furent chuchotés si haut qu'elle leva la tête. Alors elle promena sur ses voisins un regard tellement provocant et hardi qu'un grand silence aussitôt régna, et tout le monde baissa les yeux à l'exception de Loiseau, qui la guettait d'un air émoustillé. Mais bientôt la conversation reprit entre les trois dames, que la présence de cette fille avait rendues s...
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L'APOLOGUE (sujets corrigés)
Amérique du Nord, juin 2004 -Cela serait à merveille, dit le pèlerin, si vous n'étiez pas à cheval; mais je retarderais trop votre marche ; ou vous presseriez trop la mienne. -Vous avez raison, dit Roger, il faut que tout soit égal entre nous, puisque 25 nous courons même forrune. »Sur ce propos il descend de cheval, et le voilà côte à côte avec le pèlerin. « Devineriez-vous avec qui vous êtes ? dit-il à son compagnon. -À peu...
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LA PRÉCIOSITÉ (Histoire de la littérature)
citadin, et même parisien : la capitale concentre la plu part des ruelles que citent les témoignages de l'époque. Ce modèle se répandit en province, et l'on trouve men tion de cercles précieux dans les principales villes, avec des foyers particulièrement actifs à Aix, à Lyon et à Grenoble. Ce ne fut jamais un phénomène de grande ampleur. Même au temps de sa plus grande expansion, il ne concerne que quelques centaines d'authentiques pré cieux : Som...
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Le mot "France" dans l'oeuvre de DESCARTES
il était défendu d'exceller, vu qu'au contraire on y gratifie non seulement ceux qui excellent, au rang desquels je n'ose aspirer, maismême ceux qui font quelque effort pour bien faire, encore que ce soit par des voies extraordinaires, qui est une chose de laquelleje confesse qu'on aurait eu droit de m'accuser, si j'eusse vécu parmi les Éphésiens. Correspondance, année 1638, A MONSIEUR ***, 25 Août 1638. et parce que toutes les muses de France auront part à la faveur que vous m'avez faite, d...
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LE MOUVEMENT LITTERAIRE ET CULTUREL : LES LUMIERES
l'adjectif possessif "tes" (1.7 et 25) traduisent une forte implication de l'adversaire dans le discours. Ces marques quipeuvent s'accompagner d'un geste accusateur (par exemple, le doigt pointé sur Bougainville), constituent une façonde le mettre nettement en accusation. - La citation de ses propos : "dis-nous à tous, comme tu me l'as dit à moi,ce qu'ils ont écrit sur cette lame de métal : Ce pays est à nous." (1.11-12) 2° Les modalités exclamative etinterrogative : La modalité exclam...
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Candide, Voltaire - Chapitre 19
maître devenu son ami intime ; mais le plaisir de lui être utile l'emporta sur la douleur de le quitter. Ils s'embrassèrent en versantdes larmes : Candide lui recommanda de ne point oublier la bonne vieille. Cacambo partit dès le jour même : c'était un très bonhomme que ce Cacambo. Candide resta encore quelque temps à Surinam, et attendit qu'un autre patron voulût le mener en Italie lui et les deux moutons quilui restaient. Il prit des domestiques, et acheta tout ce qui lui était nécessaire pou...
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Le mot "honneur" chez René DESCARTES
LES PASSIONS DE L'AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 164. et ainsi on n'a pas seulement une très profonde humilité au regard de Dieu, mais aussi on rend sans répugnance tout l'honneur et lerespect qui est dû aux hommes, à chacun selon le rang et l'autorité qu'il a dans le monde et on ne méprise rien que les vices. LES PASSIONS DE L'AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 168. et une honnête femme n'est pas blâmée d'être jalouse de son honneur c'est-à-dire de ne se garder pas seulement de mal faire ;...
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Le portrait de Ménippe - Les caractères, La Bruyère
être » joue le rôle d'une cheville grammaticale permettant cette identification : « Ménippe est l'oiseau paré de diversplumages qui ne sont pas à lui ». On notera au passage la construction du verbe auxiliaire à la tournure affirmative,puis négative dans la proposition subordonnée relative (« qui ne sont pas à lui »). Au terme de cette première phrase Ménippe apparaît déjà tout entier pour ce qu'il est : un personnage vain etboursoufflé qui se porte d'autant plus vers les apparences qu'il n'a a...
- victor hugo napoléon le petit
- la cousine bete
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Texte du bac francais (EAF)
ADM Communication Baccalauréat de français Page 2 sur 174 Étude de quarante sonnets.............................................................................................................51 Vers dorés..................................................................................................................................51 Bataille navale...........................................................................................................................52 Midi............
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- Émile Zola LA CURÉE (1872)
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I
Au retour, dans l'encombrement des voitures qui rentraient par le bord du lac, la calèche dut marcher au pas.
mondaines envoiture découverte, menaçaitdeseterminer parune soirée d’unefraîcheur aiguë. Un moment, lajeune femme restapelotonnée, retrouvantlachaleur deson coin, s’abandonnant aubercement voluptueux de toutes cesroues quitournaient devantelle.Puis, levant latête vers Maxime, dontlesregards déshabillaient tranquillement lesfemmes étaléesdanslescoupés etdans leslandaus voisins : – Vrai, demanda-t-elle, est-cequetulatrouves jolie,cette Laure d’Aurigny ? Vousenfaisiez unéloge, l’autre jour,lorsqu’o...
- candide ou l'optimisme
- 861 SUJETS-TEXTES DE L’ÉPREUVE DE PHILOSOPHIE AU BACCALAURÉAT
- Pierre et Jean