1230 résultats pour "veut"
- Si veut le Roi, si veut la Loi.
-
Pense-t-on ce qu'on veut ?
lorsque les lois positives l'interdisent, puisque le droit idéal est posé comme supérieur à celui des Etats. b) Il n'existe d'autre droit que celui définit par les lois positives Chacun est tenu de respecter le droitEn revanche, comme l'ont fait Epicure, Hobbes ou Spinoza, on peut refuser l'existence d'un tel droit idéal et ramenertout le droit au droit positif, en considérant qu'il n'existe aucun droit en dehors de ce droit, fondé sur le contratsocial. Certes, on parle parfois, comme nous l'a...
- Peut-on faire ce qu'on ne veut pas ?
-
La liberté est-elle le pouvoir de faire ce que l'on veut ?
beau, il sera entièrement heureux et se sentira complètement libre. En revanche, un esthète se retrouvant face àune vision déplaisante ne se sentira pas libre, car ce qu'il ne veut voir ne correspond pas à ce qu'il peut voir à cetinstant précis. On peut donc dire que la liberté est le pouvoir de faire ce que l'on veut lorsque que ce que l'on veutfaire est en accord avec le champ de nos libertés. Dès que nos désirs dépassent l'étendue de notre liberté, alorsl'homme se sens sous le joug de quelque...
-
Chacun a-t-il le droit de penser ce qu'il veut ?
décision et de courage " laissent leur entendement sous la direction de maîtres, de tuteurs. Ici, Kant rejoint Rousseau et sa scandaleuse affirmation au chapitre 2 du " Contrat social ": " Aristote avait raison, mais il prenait l'effet pour la cause. Tout homme né dans l'esclavage naît pour l'esclavage, rien n'est plus certain. Les esclavesperdent tout dans leurs fers, jusqu'au désir d'en sortir; ils aiment leur servitude comme les compagnons d'Ulysseaimaient leur abrutissement. S'il y...
-
Être libre, est-ce faire ce que l'on veut ?
Avez-vous compris l'essentiel ? 1 Quelle conception de la liberté Descartes défend-il ?2 L'indifférence est-elle la condition d'un véritable choix ?3 Pourquoi la liberté selon Descartes est-elle liée à la volonté ? Réponses: 1 - Celle du libre arbitre, c'est-à-dire de la liberté de choix.2 - L'indifférence est l'état où nous sommes quand aucune raison ne nous éclaire sur le choix à faire. En ce cas,nous sommes sans doute libres de dire oui ou non à ce qui nous est proposé, mais nous le restons a...
-
Est-il donné à l'homme de croire ce qu'il veut ?
Toutefois, ce refus de se prononcer ne vaut que théoriquement : dans la pratique, là où nous devons agir, il y a nécessité de croire que ce que l'on veut faire s'accomplira selon notre volonté . En effet, le doute mené à terme conduit à l'inaction. Il faut distinguer la croyance de la crédulité naïve : croire, pour un sceptique consiste à choisir entre deux positions contraires ; or c'est bien là ce que nous faisons tous les jours : nous agissons en empruntant telle voieplutôt que telle...
- Brejnev ne veut pas la guerre, il veut le monde.
-
-
Etre libre, est-ce faire ce que l'on veut ?
Un monde sans loi serait l'anarchie, et comme expliqué précédemment, l'anarchie ne peut exister puisqu'il existetoujours des hommes plus forts qui instaureront leurs règles, pour au final anéantir le concept même d'anarchie.L'Homme se doit de s'imposer des règles auxquelles il obéira, selon une certaine volonté morale, pour se garantir leplus de liberté possible. Dans cette conception de la liberté, les limites ne sont pas des limites contraignant la libertéde la volonté humaine ; ces limit...
-
Raisonne-t-on bien quand on veut avoir raison à tout prix ?
Problématique : La raison est la faculté humaine qui permet de construire des raisonnements, c'est-à-dire de mettre en forme uneargumentation logique destinée à prouver une affirmation, à démontrer une thèse. En ce sens, la raison s'identifie à unecapacité argumentative qui correspond à la façon dont l'homme analyse son monde, le comprend et cherche à en traduirela logique. Opposée aux passions, qui évaluent subjectivement et qui traduisent la façon dont un homme ressent sonmonde et le...
-
Peut-on penser ce que l'on veut ?
b) Il n'existe d'autre droit que celui définit par les lois positives Chacun est tenu de respecter le droitEn revanche, comme l'ont fait Epicure, Hobbes ou Spinoza, on peut refuser l'existence d'un tel droit idéal et ramenertout le droit au droit positif, en considérant qu'il n'existe aucun droit en dehors de ce droit, fondé sur le contratsocial. Certes, on parle parfois, comme nous l'avons fait plus haut à propos du droit de penser, d'un «droit naturel» ;mais dans l'état de nature chaque indi...
-
« Notre philosophe, écrit Diderot, ne se croit pas en exil dans ce monde; il ne croit point être en pays ennemi; il veut jouir en sage . économe des biens que la nature lui offre; il veut trouver du plaisir avec les autres; et pour en trouver il en faut faire; ainsi il cherche à convenir à ceux avec qui le hasard ou son choix le font vivre; et il trouve en même temps ce qui lui convient : c'est un honnête homme qui veut plaire et se rendre utile. » Estimez-vous que cette définition pui
de domaines beaucoup plus vastes que les vingt arpents du bon vieillard, il s'entend à les mettre en valeur. II. - UN HONNETE HOMME QUI VEUT PLAIRE ET ETRE UTILE La sagesse du philosophe n'est pas celle d'un homme qui ne vivrait que pour lui-même, mais celle d'un être sociable.Montesquieu et Rousseau lui-même savent que l'homme est fait pour vivre en société, bien que le caractère deJean-Jacques ne s'accommode pas de la vie des salons, auxquels il préfère « la société plus choisie que nombreuse...
-
Faire ce qu'on veut, est-ce faire ce qui plaît ?
c'est faire régner l'ordre. L'injustice consiste au contraire dans la subversion de cet ordre, dans laprédominance que l'on accorde à l'âme concupiscible. C'est une maladie, une perversion, qui remet encause la totalité de l'individu. Dans cette tyrannie du supérieur par l'inférieur, l'homme devient esclavedes désirs sans frein ; c'est pourquoi il est nécessairement malheureux. Il devient incapable de jugement,d'honneur, et, au lieu d'être maître de soi, il est soumis à ce qu'il y a de pl...
-
Le sens de ce que l'on dit se réduit-il à ce que l'on veut dire ?
l'entendront. Le sens admis par l'interlocuteur fera donc partie du sens de ce que nous disons, en plus de ce quenous voulons dire. Cependant, le véritable problème est de savoir si, dans nos paroles elles-mêmes, s'expriment plus de choses que ceque nous voulons dire – cela indépendamment de problèmes « techniques » de langage, ou de problèmes de«traduction» de l'interlocuteur. Il y a tout d'abord des informations « générales » que nous donnons sur nous-mêmesà chaque fois que nous parlo...
-
Si l'on veut penser par soi-même, faut-il craindre toutes influences ?
est liée à la non conscience des différences culturelles et du coup la non remise en cause des enseignements en lienavec notre contexte de vie.Ensuite, il faut noter que lorsque l'on ne s'interroge pas sur le contenu des informations des interlocuteurs(professeurs, amis, famille), «il est fort à craindre que peut-être certains germes d'erreurs, contractés à partir d'unelecture trop assidue de leurs ouvrages (les ouvrages des Anciens), ne s'accrochent à nous» (Descartes, Règles pourla direc...
-
Est-ce que faire ce que l'on veut c'est faire ce qui nous plait ?
caractéristiques d'être multiples, tyranniques, de ne rien respecter ( Platon anticipe dans certaines descriptions sur tous les cas cliniques décrits par Freud ). Or, la justice consiste d'abord dans le respect de la hiérarchie naturelle des trois instances, qui doivents'ordonner sous la conduite de la raison. Se dominer, être maître de soi, tenir en bride le « cheval noir », c'est faire régner l'ordre. L'injustice consiste au contraire dans la subversion de cet ordre, dans lap...
-
-
Chacun a-t-il le droit de penser ce qu'il veut ?
b) Il n'existe d'autre droit que celui définit par les lois positives Chacun est tenu de respecter le droitEn revanche, comme l'ont fait Epicure, Hobbes ou Spinoza, on peut refuser l'existence d'un tel droit idéal et ramenertout le droit au droit positif, en considérant qu'il n'existe aucun droit en dehors de ce droit, fondé sur le contratsocial. Certes, on parle parfois, comme nous l'avons fait plus haut à propos du droit de penser, d'un «droit naturel» ;mais dans l'état de nature chaque indi...
-
La liberté de penser consiste-t-elle à penser ce que l'on veut ?
[III. La liberté de penser est pourtant nécessaire] Condamner une mauvaise pensée, garantir la sécurité de tous, c'est important. Mais l'homme ne doit pas sous-estimer la faculté de donner libre cours à une pensée, quand bien même celle-ci serait condamnable puisqu'elle peuts'avérer être libératrice et finalement curative. La psychanalyse nous offre l'exemple d'une guérison par la parole quipasse nécessairement par une pensée à ce point libre qu'elle doit pouvoir échapper à tout cont...
- Faire ce que l’on veut, est-ce faire ce qui plaît?
-
"Qui veut faire l'ange fait la bête" ?
LA VIOLENCE ET LA CIVILISATION "La question du sort de l'espèce humaine me semble se poser ainsi : leprogrès de la civilisation saura-t-il, et dans quelle mesure, dominer lesperturbations apportées à la vie en commun par les pulsions humainesd'agression et d'autodestruction ?" Freud, Malaise dans la civilisation, 1929. Aucune civilisation ne peut accepter l'expression ouverte de l'agressivitéhumaine. Elle doit s'efforcer de s'en protéger. Seulement l'être humain vitd...
-
Être libre, est-ce faire ce que l'on veut ?
2 L'indifférence est-elle la condition d'un véritable choix ?3 Pourquoi la liberté selon Descartes est-elle liée à la volonté ? Réponses: 1 - Celle du libre arbitre, c'est-à-dire de la liberté de choix.2 - L'indifférence est l'état où nous sommes quand aucune raison ne nous éclaire sur le choix à faire. En ce cas,nous sommes sans doute libres de dire oui ou non à ce qui nous est proposé, mais nous le restons aussi quand nousne sommes pas indifférents, et par conséquent cet état n'est nullement n...
-
Être libre, est-ce faire ce que l'on veut ?
I / Avant tout, d'un point de vue juridique, être libre est-ce faire ce que l'on veut ? - La société nous institue nos libertés sous forme de droits : liberté de pensée, liberté de mouvement, liberté de la presse, liberté d'expression, droit de se réunir, liberté de religion, droit à la vie privée… - Or si ces droits sont institués, c'est pour montrer que tout ce qui n'est pas considéré comme un droit par la société, nous ne sommes pas libres de le faire. Pourquoi ne pouvons-nous...
-
Que penser de l'expression "chacun pense ce qu'il veut" ?
b) Il n'existe d'autre droit que celui définit par les lois positives Chacun est tenu de respecter le droitEn revanche, comme l'ont fait Epicure, Hobbes ou Spinoza, on peut refuser l'existence d'un tel droit idéal et ramenertout le droit au droit positif, en considérant qu'il n'existe aucun droit en dehors de ce droit, fondé sur le contratsocial. Certes, on parle parfois, comme nous l'avons fait plus haut à propos du droit de penser, d'un «droit naturel» ;mais dans l'état de nature chaque indi...
- Il est vrai que, dans les démocraties, le peuple paraît faire ce qu'il veut : mais la liberté politique ne consiste point à faire ce que l'on veut.
-
- Il veut me sodomiser
-
Afin d'être heureux ne faut-il faire que ce que l'on veut ?
II- Y a-t-il hétérogénéité entre volonté et bonheur ? Faire ce que l'on veut est la condition d'un certain type de bonheur : le bonheur personnel. Cela suppose que nos actions ne soient pas empêchées par celles d'autrui. La réalisation de cette condition ne coïncide pas avec lebonheur de la communauté, celui-ci supposant que chacun limite sa liberté pour permettre l'expression de toutes leslibertés. « Les maximes de la vertu et celles du bonheur personnel sont, quant à leur principe pratique su...
-
Faut-il lorsqu'on se veut scientifique décider de ne plus croire ?
commencer par douter de tout, prétendant ainsi rejeter tout ce qu'il tenait pour vrai en dehors de la sphère de laphilosophie avant un examen préalable. Comme l'écrit Descartes : « Comme nous avons été enfants avant que d'être hommes et que nous avons jugé tantôt bien et tantôt mal deschoses qui se sont présentées à nos sens lorsque nous n'avions pas encore l'usage entier de notre raison, plusieursjugements ainsi précipités nous empêchent de parvenir à la connaissance de la vérité, et nous prévi...
-
Providence et Réforme
« Tu n'auras pas d'autre Dieu » : cela veut dire que tu me tiendras, moi seul, pour ton Dieu.
celui-l? est dans le doute et la crainte, comme s'il ne connaissait aucun Dieu. Car on sera bien en peine d'en trouver quelques-uns qui sont de bonne humeur, ne s'attristent pas et ne se lamentent pas, lorsqu'ils ne poss?dent pas le Mammon. Ces sentiments nous collent ? la peau jusque dans la tombe. Ainsi donc, celui qui se confie et se vante de ce qu'il poss?de de grands talents, de l'intelligence, du pouvoir, les faveurs et l'amiti? d'autrui, et l'honneur, celui-l? a aussi un Dieu, mais ce n'e...
-
Rabelais, Tiers Livre: "Cependant, n'est pas débiteur qui veut; ne se fait pas de créanciers qui le veut... cette truandaille de monde qui ne prête rien. Par ma foi, je les hais bien !".
incontestable. Rabelais se moque de cette pratique, qu'il systématise afin d'en montrer les insuffisances. Question 4: Quel est le principal moyen rhétorique exploité par le personnage ? Le principal moyen rhétorique utilisé par Panurge est l'analogie. Le personnage commence par changer leshypothèses et imagine un monde sans dette : «Pour comprendre qu'il en est bien ainsi, représentez-vous avec unesprit serein le modèle idéal et l'image d'un monde dans lequel il n'y ait nul débiteur ou...
-
Etre libre, est-ce faire ce que l'on veut ?
coup de la spontanéité qui est bien souvent mauvaise conseill ère ; en effet, on ne r éfléchit pas avant d’agir et une fois l’acte r éalis é et le d ésir satisfait, l’individu regrette d’avoir agi si spontan ément, ce qui fait de l’absence de contraintes un danger r éel sur le bonheur à long terme que sont cens és offrir la libert é et l’absence de contraintes. De plus, cela nous am ène à affirmer qu' être libre, c'est n' écouter que soi. Pour Callicl ès (personnage de Platon d...
-
L'artiste fait-il ce qu'il veut ?
Problématisation : L'artiste fait-il ce qu'il veut ? Se poser cette question, c'est quasiment rapprocher l'artiste d'unenfant capricieux qui ne cesse de dire : « moi je fais ce que veux ». L'artiste serait donc celui quis'abandonne à la possibilité de la liberté licence. Cependant assimiler l'artiste à un joueur épris de libertén'est-ce pas un peu réducteur ? On peut ainsi penser au travail, et aux contraintes inhérentes à la vied'artiste : la contrainte du solfège pour...
-
Les lois nous empêchent-elles de faire ce qu'on veut ?
politiques ont tentés de retracer la genèse de l'Etat, par exemple Hobbes dans le Leviathan . Au chapitre 13 de cet ouvrage, Hobbes décrit un état fictif ( « l'état de nature ») dans lequel les hommes vivraient sans aucune lois nimorales ni politiques. Il n'existe alors aucune idée du juste et de l'injuste et les hommes sont absolument libre defaire ce qu'ils désirent. Cependant, cet état n'est pas viable: les libertés entrent en contradiction et il en résulte unétat de « guerre de tous contre...
-
- Antoine LOISEL : Si veut le Roi, si veut la Loi.
-
Etre libre : Est-ce faire ce que l'on veut ?
production d'une action personnelle à un sujet. C'est une liberté absolue qui peut choisir aussi bien le mal du bien. Cependant, cette idée d'allier désir et liberté pour Descartes ne s'arrête pas seulement au libre arbitre, en effet, il évoque aussi la « liberté d'indifférence » qui prouve qu'un individu peut délibérément vouloir le mal « Lorsqu'une raison très évidente nous porte d'un côté, bien que, moralement parlant, nous ne puissions guère choisir le parti contraire, absolument parlant, n...
-
Sujet : Etre libre, est-ce faire ce que l’on veut ?
qu’il fait, sans faire appel à une déresponsabilisation qui prendrait la forme de la mauvaise foi. Prendre conscience du caractère néfaste d’un acte commis librement et accepter la punition qui en découle rationnellement seraient donc une forme de liberté innée chez l’être humain « libre ». Dans ce sens « vouloir » être responsable rationnellement peut constituer une forme de liberté chez l’être humai...
-
Ce qu'on veut et ce qui est ?
III. — APPROFONDISSEMENT DE LA MAXIME STOÏCIENNE : a) Transition. Ces critiques sévères soulèvent pourtant quelques objections. Comment parler d'inertie contemplative à propos de Marc-Aurèle l'empereur stoïcien qui passa sa vie à gouverner et à combattre ? Etcomment reprocher son insensibilité à la philanthropie stoïcienne qui la première se dit citoyenne de l'univers ethumanisa le droit romain ? N'est-il pas surprenant, par ailleurs, que Descartes joigne à la consigne de domina...
-
Un penseur contemporain a écrit : « l'Histoire justifie ce que l'on veut. Elfe n'enseigne rigoureusement rien, car elle contient tout et elle donne des exemples de tout. » (Paul Valéry, « Regards sur le monde actuel »). Ce scepticisme touchant la portée de l'histoire vous paraît-il justifié ?
A. Sans doute, à l'époque préscientifique et plus ou moins encore dans la suite, la majorité des livres d'histoireétaient moralisateurs. Mais la question est de savoir si, dans la mesure même où ils exercent une certaineinfluence moralisatrice, ils ne s'écartent pas de l'histoire vraie, tombant dans la biographie romancée, dans lerécit édifiant ou dans la légende. L'histoire vraie « contient tout et nous donne des exemples de tout ».L'historien qui fait un choix parmi les faits, dans le...
-
Peut-on véritablement penser ce que l'on veut ?
mais dans l'état de nature chaque individu a tous les droits, il peut faire tout ce qu'il veut, ce qui revient à dire qu'iln'en a aucun, puisque nul n'est alors tenu de respecter les droits d'autrui, et chacun vivant ainsi dans la crainte del'autre en un état de guerre de tous contre tous . Dans l'état de nature, il n'y a donc pas véritablement de droit.Celui-ci apparaît avec le contrat social, par lequel les hommes, afin de vivre dans la sécurité, abandonnent leurs«droits naturels» de faire t...
-
Chacun a-t-il le droit de penser ce qu'il veut ?
mais dans l'état de nature chaque individu a tous les droits, il peut faire tout ce qu'il veut, ce qui revient à dire qu'iln'en a aucun, puisque nul n'est alors tenu de respecter les droits d'autrui, et chacun vivant ainsi dans la crainte del'autre en un état de guerre de tous contre tous . Dans l'état de nature, il n'y a donc pas véritablement de droit.Celui-ci apparaît avec le contrat social, par lequel les hommes, afin de vivre dans la sécurité, abandonnent leurs«droits naturels» de faire t...
-
MACHIAVEL: «...Aussi est-il nécessaire à un prince, s'il veut se maintenir, d'apprendre à pouvoir n'être pas bon, et d'en user et n'user pas selon la nécessité.». Commentez cette citation.
POUVOIR POLITIQUE, ÉTAT•· 339 Machiavel s'inscrit en faux contre cette thèse. Le souci premier du Prince doit être de conserver son pouvoir et même de l'accroître à l'occasion. Si les hommes étaient bons, il pourrait le faire sans jamais s'écarter des grands principes moraux universellement admis. ·Mais les hommes sont pour la plupart méchants. quand on ne les force pas à être bons. En conséquence, le Prince sera vertueux, au sens courant...
-
-
Pour un individu, être libre est ce faire tout ce qu'il veut ?
un individu gourmant peut en avoir assez de manger, mais pour lui, être rassasié est une contrainte, donc même notre corps à des limites. Nous pouvons également citer les limites physiques, par exemple une personne sur un fauteuil roulant, n’est pas libre de se lever, jusqu'à qu’il n’en puisse plus. Mais un individu non handicapé n’en est pas libre pour autant car son corps lui aussi a des limites, certes différentes de la personne handicapé mais ses limites atteintes, celui- ci finira par être...
- SUFFIT-IL DE FAIRE CE QUE L'ON VEUT POUR ETRE LIBRE ?
-
Chacun a-t-il le droit de penser ce qu'il veut
Chacun est tenu de respecter le droitEn revanche, comme l'ont fait Epicure, Hobbes ou Spinoza, on peut refuser l'existence d'un tel droit idéal et ramenertout le droit au droit positif, en considérant qu'il n'existe aucun droit en dehors de ce droit, fondé sur le contratsocial. Certes, on parle parfois, comme nous l'avons fait plus haut à propos du droit de penser, d'un «droit naturel» ;mais dans l'état de nature chaque individu a tous les droits, il peut faire tout ce qu'il veut, ce qui revient...
-
ACTE I Scène 1 : Hyppolyte veut fuir Aricie, celle qu’il aime malgré l’interdiction de son père, le roi Thésée.
maitresse. Elles discutent de la mort de Thésée, qui lui rendrait sa liberté. Aricie avoue à Ismène ses sentiments pour Hippolyte. Scène 2 : Hyppolyte offre à Aricie la succession de l'Attique, et lui avoue son amour. Scène 3 : Aricie avoue son amour à Hyppolyte. Théramène annonce à Hyppolyte que Phèdre veut lui parler. Scène 4 : Hyppolyte confirme son départ en quatre vers. Phèdre se dirige vers lui. Scène 5 : Phèdre commence par recommander son fils à Hyppolyte, mais, entraînée malgré...
-
Peut-on exprimer plus que ce que l'on veut dire?
tion qui implique le moins de situations équivoques, de 25 difficultés de compréhension, car il semble -et il est certainement -le plus précis. L'expression « se réduit-il », dans le sujet proposé, n'a pas le sens «péjoratif» qu'elle a dans certains cas. Au contraire, le sens commun admet souvent comme Jo « idéal », « parfait », un langage qui ne dirait que ce que l'individu veut dire, le plus exactement possible, sans enlever ou ajouter...
-
C. CE QUE VEUT DIRE LA QUESTION :
« QU'EST-CE QUE...
120 PLATON PAR LUI-MÊME tendent ces questions?- S.
-
Si l'on veut penser par soi-même, faut-il craindre toute influence ?
Penser à la première personne, c'est en passer par l'épreuve du doute.Descartes, dans le Discours de la méthode, prend le parti de rejeter tout cequ'on lui avait enseigné, ainsi que tout ce qui pouvait faire l'objet de la pluspetite incertitude. Il faut d'abord prendre la mesure des erreurs du passé, deserreurs enracinées en soi-même. En clair, il faut remettre en cause le pseudosavoir dont on a hérité et commencer par le doute :« Je déracinais cependant de mon esprit toutes les erreurs qui avai...
- « On ne veut pas la personnalité, on veut à partir de la personnalité » (Karl Jaspers). Peut-on vouloir la personnalité ?
-
-
Peut-on ne pas savoir ce que l'on veut ?
II. Si je prends le verre qui est posé face à moi sur cette table, tout près demon ordinateur, je peux dire, avec Sartre, que son être est en soi . Qu'est-ce que cela signifie? Tout simplement qu'il a été décidé, à une certain moment,dans un bureau d'étude, quelle serait sa forme, sa fonction, son être ensomme. Il sera toujours et seulement un verre: il demeure enfermé dans cemode d'être, il colle à son être pourrions nous dire en ce sens que sans cesseil correspond à ce mode d'être déterminé,...
-
Qu'est-ce que parler veut dire ?
part, sa fin : être employée de concert avec d'autres. ● Nous avons esquissé quelques figures du parler, et ce qui frappe est la forte division du phénomène : du prisonnier que le bourreau tente de faire parler aux deux amis désoeuvrés qui parlent pour passer le temps, ilsemble y avoir deux phénomènes et deux charges de sens opposés. Faut-il donc renoncer à penser le parlerdans son indivision ? Ceci ne nous amènerait qu'à une description extérieure du parler : exprimer du sens,communiq...