8651 résultats pour "chose"
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Explication Descartes
organes, je peux les diviser ensuite en des cellules, puis en atomes. On peut dire que le corps peut se diviser parce qu'il est formé de matière et que la matière occupe de l'espace. L'espace peut se diviser (il y a une droite, une gauche, un haut et un bas) et donc notre corps peut être divisé. Le corps est donc divisible parce qu'il a des parties. L'esprit de sa part, se définit comme le principe immatériel de la pensée. L'esprit n'étant pas matériel, il n'occupe pas d'espace et ne pe...
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Faut-il accorder de l'importance aux mots?
Adam chassé de l'état innocent et bienheureux du Jardin d'Eden est condamné par Dieu à se procurer son pain « à lasueur de son front ». Par ailleurs, l'origine latine du terme « travail » évoque un instrument de torture.Mais opposer le travail au bonheur, cela reviendrait à ne trouver aucun bien-être durable dans la transformation de laNature, et de soi-même. L'homme, pour être heureux, doit-il se réduire à l'inaction et à la satisfaction de ses désirsimmédiats ? Les enjeux de la question rel...
- Cours: L'Irrationnel et le sens.
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Définition:
CAUSER2, verbe.
Cet homme a la Céphalalgie. MAURICE ROLLINAT, Les Névroses, 1883, page 300. — Causer à quelqu'un, en causer à quelqu'un. Tout en se causant, il [Durtal] avait arpenté une longue allée qui conduisait au bout de la clôture (GEORGES-CHARLES, DIT JORIS- KARL HUYSMANS, En route, tome 13, 1895, page 299 ). Je voulais en causer à leur maître d'hôtel (MARCEL PROUST, Le Côté de Guermantes 1, 1920, page 23 ). — Causer en + substantif désignant une langue, un dialecte, etc. Causer en français, en anglais,...
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Chercher la vérité, est-ce prendre un risque ?
la logique, de l'entendement – non pas en suivant les règles variables et doxiques des sociétés et des autreshommes, qui peuvent se tromper. Celui qui cherche la vérité risque de perdre ce qui le tient debout, il met en jeu unsol assuré, car la recherche de la vérité commence avec la mise en question des évidences, le questionnement dece qu'on croit le plus certain, l'ouverture intellectuelle sur le monde des possibles : ce qui semblait impossible tout àcoup devient concevables – pour...
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Locutions avec bon, adjectif.
les bonnes grâces de quelqu’un Dispositions favorables de quelqu’un. une bonne lame Un escrimeur habile. [Figuré] Une personne intelligente et vive. bonnes moeurs Respect et pratique de la morale. la bonne nouvelle L’Évangile. bonne nuit! Souhait adressé à une personne avant le sommeil. Bonne nuit, faites de beaux rêves! Souhaiter bonne nuit. bons offices Services. [Spécialement] Démarche entreprise par un État dans le but de concilier d’autres États. une bonne pâte Pers...
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Locutions avec bon, adjectif.
les bonnes grâces de quelqu’un Dispositions favorables de quelqu’un. une bonne lame Un escrimeur habile. [Figuré] Une personne intelligente et vive. bonnes moeurs Respect et pratique de la morale. la bonne nouvelle L’Évangile. bonne nuit! Souhait adressé à une personne avant le sommeil. Bonne nuit, faites de beaux rêves! Souhaiter bonne nuit. bons offices Services. [Spécialement] Démarche entreprise par un État dans le but de concilier d’autres États. une bonne pâte Per...
- qu'est ce que l'amour?
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Faut-il rompre avec le passé ?
impuissance. Si l'espace est réversible, le temps est changement irréversible. Tout changement possède uncaractère irréductible, définitif. Le temps nous fait découvrir ainsi notre impuissance : la temporalité échappe à nosprises. Je ne recommencerai pas ce qui fut. Le passé se donne à nous comme ordre qui s'impose et que nous nesaurions effacer. Comment n'en serions-nous pas prisonniers ? Si l'espace est marque de ma puissance, le temps estmarque de mon impuissance, disait Lagneau.Irrévers...
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Sommes nous libres ou déterminés ?
liberté — ici « l'aliéner » c'est-à-dire la donner ou la vendre — sans s'exclure de l'humanité, c'est-à-dire vivreet être considéré comme « une bête ». C'est en ce sens que la liberté est un droit inaliénable. C'est dans le « Contrat social » que l'on trouve l'une des affirmations les plus radicales de Rousseau concernant la liberté comme bien inaliénable, définissant l'homme en propre. L'idée que la liberté est un bien inaliénable, et que nul ne peut consentir à yrenoncer pour apparteni...
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Être libre, est-ce adhérer à la nécessité ?
parfaite indépendance, et jamais nous ne serons déçus. Quoi qu'il arrive, je conserve ma liberté de jugement, je suishors d'atteinte. Je considère froidement mes passions*, qui, tout comme mon corps, ne sont que choses extérieuresà moi-même, indignes d'attachement. Le but du sage est d'atteindre l'« apathie ». l'absence de passion. par le refusde consentir à tous les entraînements de son corps. Je ne suis pas mon corps, celui qui le torture ne m'atteint pas— d'où son acharnement, et la déception...
- TES-L-S-philosophie
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langage est le signe de la pensée, Descartes
Ce texte affirme que "les bêtes sont dénuées de pensée". Mais il est consacré à l'argument qui peut nous en persuader. L'argument prin cipal qui montre avec certitude l'absence de pensée chez les animaux, c'est leur incapacité à "user d'un véritable langage". Cette idée peut susciter des objections car elle consacre une différence fondamentale entre l'homme et l'animal. C'est pourquoi Descartes, en un premier temps, prend e...
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L'éducation nest t-elle faite que d'interdits ?
A. Kant, dans son Traité de pédagogie résume la fin de l'éducation en ces quelques mots : « un des plusgrands problèmes de l'éducation est de concilier sous une contraintelégitime la faculté de se servir de sa liberté. Car la contrainte estnécessaire! Mais comment cultiver la liberté par la contrainte? ». C'estdonc là que réside tout le paradoxe de l'éducation. Mais on peut d'oreset déjà remarquer que Kant parle de « contrainte légitime », c'est-à-dire qu'il ne suffit en aucun cas d...
- Dictionnaire de citations
- L'oeuvre d'art la perception
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Est-il vrai qu'il n'y a rien d'absolu ?
pour vouloir les recevoir. [...] La thèse et les étapes de l'argumentation: Énoncée dès les premières phrases, la thèse de Pascal réaffirme la possibilité d'une connaissance et enénonce les deux facteurs constitutifs: le coeur, comme saisie immédiate des principes fondamentaux; laraison, comme faculté de connaissance discursive, se déploient à partir de ces principes.L'énoncé de la thèse débouche sur la critique du point de vue sceptique. Cette critique, présentéeexplicitem...
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KANT: LE FAIRE ET L'AGIR
retraite pendant onze ans ; puis, commença la publication de ses grands livres, les trois Critiques. La Révolutionfrançaise l'enthousiasma, et l'on raconte qu'il ne se détournait de sa promenade, minutieusement réglée, que pouren aller apprendre les nouvelles. Il fut, en 1793, réprimandé par Frédéric-Guillaume II pour deux ouvrages sur lapolitique et la religion. A la mort du Roi, il reprit sa plume et dévoila l'affaire. Kant mourut le 12 février 1804, aprèsune très longue agonie. — A ses débu...
- L'homme peut-il orienter volontairement l'histoire ?
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KANT et la religion morale
est incapable de connaître les intentions de la divinité à son égard. Sa vision est restreinte aux limites de la simpleraison. Il sait que la moralité contribue à son salut, mais ignore dans quelle mesure. Discussion Vous pouvez tout d'abord critiquer la simplification qu'opère Kant dans ce texte. Toute religion est-ellenécessairement soit « cultuelle », soit « morale »? Toute religion ne participe-t-elle pas inéluctablement etindissolublement de ces deux catégories? De plus,...
- Vérité, Science et Démonstration
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PONGE (Francis)
cation des rapports entre mots et mots, mots et choses, les démultiplications de sens provoquées par les métaphores, le recours à l'étymologie. les anagrammes, la forme des lettres. débouchent sur l'objoie, bonheur de l'écriture, «mo ment où les mots et les idées sont dans une espèce d'état d'indifférence » ; tout devient symbole dans la > d'un type particulier, cette nia que (écriture phonétique du mot « gno que >> forgé par Ponge à partir du mot...
- Etude de La Vanité dans les Pensées de PASCAL
- "LA LIBERTE ECLAIREE PAR LE DETERMINISME", SARTRE
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Peut-on philosopher sans tenir compte de l'histoire ?
en fait, les principes absolument premiers, ces éléments qu'ils cherchaient étaient nécessairement aussi les éléments de l'Etre en tant qu'être, et non l'être par accident. C'est pourquoi nous devons, nous aussi, appréhender les causes premières de l'Etre en tant qu'être ». La métaphysique, Tome I. Aristote nous montre bien dans ce texte que l'être en tant qu'être désigne la réalité fondamentale, ce qui appartient à tous les êtres et fait qu'ils sont. La philosophie est donc la science supr...
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Beckett, scène d'exposition Fin de partie
Le titre de l'œuvre – Fin de partie symbolise la fin du jeu d'échecs, symbole de la mort. La fin du jeu est quelque chose que l'on ne peut pas éviter on voit ici un parallèle avec la fin de partie de la vie dont le dernier pas que l'on ne peut pas éviter est lamort. Clov dit même dans la première ligne de sa tirade « Fini, c'est fini, ça va finir, ça va peut-être finir » On a l'impression d'une fin imminente, qui est soit déjà arrivéeou qui va arriver dans un futur proche La répétition des ac...
- ENCLORE, verbe transitif.
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ROBBE-GRILLET et l'autobiographie
154 /Moi• 29 Je n'ai jamais parlé d'autre chose que de moi. Alain Robbe-Grillet ► La formule pourrait sembler banale. Par elle, un écrivain confesserait que, tel Montaigne, il est .à lui même la matière de son livre. Elle constitua en fait pour son auteur un véritable geste de provocation par lequel il semblait tout à coup ailer comme à rebours de tout ce que son œuvre antérieure avait proclamé. On la trouve en tête d'un texte publié p...
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Le langage peut-il nous trahir ?
l'intelligence pour redonner au langage une certaine positivité. « Quelle est la fonction primitive du langage? C'est d'établir une communicationen vue d'une coopération. Le langage transmet des ordres ou desavertissements. Il prescrit ou il décrit. Dans le premier cas, c'est l'appel àl'action immédiate; dans le second, c'est le signalement de la chose ou dequelqu'une de ses propriétés, en vue de l'action future. Mais, dans un cascomme dans l'autre, la fonction est indust...
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Pascal: L'imagination est-elle incompatible avec la raison ?
donc mieux faire droit au pouvoir de l'imagination, faire la paix avec elle, même si elle se trouve par làinjustement avantagée. Si on prend garde à cette remarque, on n'interprétera pas le texte qui suit comme unepure et simple condamnation de l'imagination. Sans doute « l'appareil » (le terme s'entend comme dérivé de «apparaître » et comme désignant l'apparat) par lequel les magistrats, les médecins, les savants (les « docteurs») en imposent est-il mensonger puisqu'il masque l'absen...
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Définition et Usage du mot:
APPELÉ, -ÉE, participe passé, adjectif et substantif.
? 4. Toute l'arm?e se trouvait, en effet, ?prouv?e et affaiblie par les cons?quences du service ? court terme et par la p?nurie de soldats de carri?re; partout, les effectifs ?taient insuffisants; la lib?ration de la classe ne laissait dans les rangs qu'un seul contingent d'appel?s instruits, de sorte que, pendant la p?riode d'hiver, notre couverture se trouvait dans une situation pr?caire. MAR?CHAL JOSEPH JOFFRE, M?moires, tome 1, 1931, page 86. D.? TH?OLOGIE (doctrine de la pr?destination)....
- Cours: LA RAISON, LE JUGEMENT ET L'IDEE (1/2)
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La conscience d'être libre peut-elle être illusoire ?
de désirs, le sujet les trouverait, s'il en avait conscience, tellement monstrueux, qu'ils ne peuvent parvenir à laconscience que sous une forme voilée, déformée, indirecte : le lapsus, le rêve, ou le symptôme maladif. Le symptôme est donc un compromis entre le désir inconscient et inavouable que je subis, et les normesconscientes et morales que j'accepte. « Le moi n'est pas maître dans sa propre maison » signifie que je n'ai pas conscience et que je ne maîtrise pas, ne contrôle...
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PEUT-ON VOULOIR CE QUE L'ON NE DÉSIRE PAS ?
absolue et indubitable, Descartes décide de remettre au moins temporairement en cause la totalité de ses opinions. Pour parvenir « à la connaissance vraie de tout ce qui est utile à la vie », il se voit obligé de rejeter la totalité de ce qu'il avait cru. Dans les « Méditations », il décrit ainsi son attitude : « Je suppose que toutes les choses que je vois sont fausses ; je me persuade que rien n'a jamais été de tout ce que ma mémoire remplie de songes me représente ; j...
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Quand nous percevons,comment savons-nous que nous ne rêvons pas?
sont peut-être toujours que des images de ces objets que nous percevons, et jamais les objets eux-même. Peut-être alors qu'au simple niveau de la perception, je ne peux pas savoir si je rêve ou pas. b) le doute est permis En constatant que les perceptions lors des rêves sont du même ordre que les perceptions en état de veille,puisqu'en effet on peut effectivement croire qu'on est éveillé alors qu'on dort, peut-on réellement « savoir », quandon perçoit, qu'on ne dort pas ? Il est po...
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Mais Peggotty, au lieu de partager mes transports, cherchait à les calmer (bien que très tendrement) et elle avait l'air
tout embarrassé et mal à son aise.
Je lui tendis lamain. Après unmoment desuspens, j’allaiembrasser mamère : ellem’embrassa aussi,posa doucement lamain surmon épaule, puisseremit àtravailler. Jene pouvais regarder nielle nilui, mais jesavais bien qu’il nous regardait tousdeux ; jem’approchai delafenêtre etjecontemplai longtempsquelquesarbustesqueles frimas faisaient ployersousleurpoids. Dès que jepus m’échapper, jemontai l’escalier. Monancienne chambrequej’aimais tantétait toute changée, etje devais habiter bienloindelà.Jeredesce...
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Corrigé : doit-on se résigner au matérialisme ?
la vie à de la matière, c'est en effet lui enlever une grande part de son mystère et de son côté sacré. Cela conduit par ailleurs à s'interroger sur la possibilité demanipulations sur le vivant, ce qui pose des problèmes éthiques. D'autre part, montrer que l'esprit pourrait se réduire à un organe, le cerveau, c'est aller contre l'idéed'une âme immortelle et d'une possible existence au-delà de celle de notre corps. C'est donc affirmer notre finitude, notre caractère mortel, mais aussi remettre e...
- Le mot "influence" dans l'oeuvre de René DESCARTES
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La beauté est-elle un symbole de moralité ?
externe) et il accomplit bien sa fonction parce que ses membres sont bien agencés (finalitéinterne). « Partout, mesure et proportion ont pour résultat de produire la beauté et quelqueexcellence » ( Philèbe , 64 e). Il y a dans cette citation une équation entre beau et excellence, l'excellence étant la vertu pour Platon. Ce qui est beau est aussi bon, la beauté reflétant lamoralité et devenant ainsi son symbole. Le beau, ainsi défini par Platon, nous procure le sentimentde plé...
- Grand cours: EXISTENCE & MORT (b de g)
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- Cours: AUTRUI (4 de 4)
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Puis-je attendre d'autrui qu'il m'apporte une vérité sur moi-même ?
l'homme est un être qui se construit par l'intersubjectivité, c'est-à-dire dans sa relation à l'autre ? C'est ce quesoutient Hegel : la conscience immédiate de moi-même n'est pas une conscience de moi comme homme, maisseulement la conscience immédiate d'être une chose en vie. C'est ma relation avec autrui qui m'apporte la véritéque j'existe comme être humain. Cette relation se caractérise par une lutte avec autrui, où chacun veut êtrereconnu par l'autre comme conscience. Hegel no...
- David Hume, Enquête sur l’entendement humain (1748)
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De quoi pouvons-nous être certains ?
cette certitude, complétée par celle de l'existence d'un Dieu vérace, que pourront se fonder toutes les autresconnaissances. Cette phrase apparaît au début de la quatrième partie du « Discours de la méthode », qui présente rapidement la métaphysique de Descartes . On a donc tort de dire « Cogito ergo sum », puisque ce texte est le premier ouvrage philosophique important écrit en français. Pour bien comprendre cette citation, il est nécessaire de restituer le contexteda...
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Définition: AFFINITÉ, substantif féminin.
religieuse (JULES MAROUZEAU) 1951). 4. LITTÉRATURE : 9. Mais tout n'est pas hasard, car il y a entre les mots bien d'autres affinités que de son; il y a les filiations, les métaphores cachées, les liaisons confirmées déjà par les auteurs ou par le commun usage. ÉMILE-AUGUSTE CHARTIER, DIT ALAIN, Propos, 1935, page 1289.
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Les échanges ne sont ils qu'économiques ?
- Adam Smith: « L'homme a presque continuellement besoin du secours de ses semblables, et c'est en vain qu'il l'attendrait de leur seule bienveillance. » - Marx: « Elle (la bourgeoisie) a fait de la dignité personnelle une simple valeur d'échange. » - Lévi Strauss: « Il y a bien plus, dans l'échange, que les choses échangées. » Aristote, « La monnaie, jouant le rôle de mesure, rend les choses commensurables entre elles et les amène ainsi à égalité; car il ne saurait y avoir communauté sans échan...
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Être, est-ce être perçu ?
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)Mais alors, si la matière comme substrat est une pure illusion, qu'est-ce qui fait que les objets qui tombent sous nos sens demeurent là, même quand nous fermons les yeux, même quand nous ne sommes plus là ? Berkeley va alors faire appel à l'exis tence de Dieu c'est-à-dire un esprit qui soutient le tout et qui permet de penser l'unité du monde.
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Le travail est-il une perte de temps ?
plutôt comme une étape nécessaire et constructive vers la vérité. Le texte étudié ici s'enracine dans cetteconception de la négation « formatrice », et illustre sa théorie en donnant un exemple pratique, celui du travailhumain. La thèse formulée par l'auteur dans ce passage est celle d'un travail libérateur de la conscience humaine,qui serait cause d'un retour de la conscience sur elle-même, d'une prise de la conscience humaine sur elle-même, etainsi d'une autonomie de l'esprit qui é...
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Sans discipline, peut-on être libre ?
§ Et en effet la liberté n'est-elle pas fondamentalement une absence de toute contrainte, de toute loi, d'ordre ? C'est cette image que nous renvoie l'hommesauvage du Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes de Rousseau. En effet, La peinture que Rousseau fait de l'homme sauvage est celled'un homme seul, soumis à aucune contrainte, ne cherchantqu'à se conserver lui-même et vivant dans unenvironnement paisible et sans limites. La liberté naturel...
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Si le droit est relatif au temps et au lieu, faut-il renoncer à l'idée d'une justice universelle ?
Dans cette mesure, il est difficile de reconnaître la pertinence del'idée de justice universelle : une telle justice n'apparaît nulle part,et la multiplicité des règles de droit semble leur interdire touteuniversalité. " Plaisante justice qu'une rivière borne ! Vérité audeçà des Pyrénées, erreur au-delà ” dit encore Pascal. Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au delà. (Pensées) Pascal s'en prend ici au caractère relatif,conventionnel de la justice humaine. Les loisvarient d'un...