8493 résultats pour "pensera"
- Philosopher est-ce avoir une opinion ?
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Autrui me connaît-il mieux que moi-même ?
« Imaginons que j'en sois venu, parjalousie, par intérêt, à coller mon oreillecontre une porte, à regarder par le troud'une serrure. Je suis seul [...] Celasignifie d'abord qu'il n'y a pas de moi pourhabiter ma conscience. Rien donc, à quoije puisse rapporter mes actes pour lesqualifier. Ils ne sont nullement connus,mais je les suis et, de ce seul fait, ilsportent en eux-mêmes leur totalejustification. Je suis pure conscience deschoses [...]. Cela signifie que, d...
- La vie offre-t-elle une prise à la connaissance rationnelle ?
- Y a-t-il un bon usage de la contradiction ?
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La philosophie a-t-elle une patrie ?
Il y a, en Chine, une sagesse traditionnelle authentique, mais en même temps, dans le Tao, un refus marqué pour ladialectique, l'abstrait et le conceptuel. La métaphysique est reléguée. C'est dire qu'il existe des obstacles culturels,ici aussi.Cependant, au XIXe siècle, la culture occidentale s'est tournée vers l'Orient. Le cours d'histoire de la philosophie deVictor Cousin, en 1830, fait une immense place à la philosophie hindoue qu'il couvre d'éloges. Edgar Quinet parled'une «renaissance orie...
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La conscience de soi est-elle une connaissance?
principe formel : le sujet ou le support de toutes mes représentations, lequel donne son unité et sa continuité à ladiversité de mes représentations. Quant à savoir ce qu'est ce "je" qui pense, cela relève soit d'une hypothèsemétaphysique (l'existence de l'âme ne peut en elle-même faire l'objet d'une véritable connaissance) soit d'uneconnaissance empirique. Il s'agit alors plutôt d'une connaissance des différents états de la conscience,connaissance nécessairement progressive et i...
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La science a beaucoup d'ennemis déclarés (Freud)
- Les affirmations de la dernière phrase sont-elles démontrées par Freud ? Pouvez-vous le faire ? - Qu'en pensez-v ous? • Quel est l'enjeu de ce texte ? - Régler « leur compte » aux ennemis de la science ? - Contribuer à modifier le jugement qu'on porte sur la science en faisant apparaître « son extrême jeunesse »? - Autre chose ? Mais quoi? • A partir de là, dégager l'intérêt philosoph ique de ce texte.
- LE SUJET - TEXTE (philo)
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Douceur - Eugène GUILLEVIC
Curieusement, le poète n'est pas présent dans ces trois vers, du moins directement. Guillevic a posé dès le départ lapremière personne : « Je dis ». Ce procédé permet de ne pas privilégier le foyer par rapport aux autres « secteurs »de la vie ; la courte indépendante rythme chaque début de strophe. - Puis le domaine du malheur s'élargit au monde entier. De plus, le pronom « on » généralise ; il a pour fonctiond'assurer une certaine indétermination qui prouve que le malheur peut s'abattre n'impor...
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En quoi mes opinions sont elles miennes?
Spinoza: Les trois genre de connaissance Pour aboutir à la définition de la connaissance vraie, Spinoza distingue troisgenres de connaissances, ou trois modes hétérogènes de perception.Connaître est, en effet, une certaine manière de voir ou de percevoir unechose ou une idée. 1. La connaissance du premier genreConnaissance par oui-dire ou expérience vague, elle désigne la confiance faiteaux témoignages, lorsque je m'en remets à ce que m'a dit autrui : c'est ainsi,par exemple, que je sai...
- peut-on tout dire ?
- Peut On Tout Dire ,
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La science doit-elle renoncer à connaître les causes
intimes des phénomènes ?
II. — SCIENCE ET CAUSES : LA SAUVEGARDE D'UNE CAUSALITÉ UNIQUE. A. Sans doute, on peut envisager de façon distincte les deux points de vue de la causalité phénoménale et dela causalité métaphysique : dans le premier cas : lien constant de production entre deux faits; dans le second: action d'une nature produisant un phénomène, la science' se bornant à l'une et laissant l'autre à lamétaphysique.Cette distinction se légitime du point de vue de la division des problèmes et de la commodité s...
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Sagesse et bonheur ?
heureux », recommande Épictète dans ses Entretiens. La source de tout bien et de tout mal que nous pouvons éprouver résidestrictement dans notre propre volonté. Nul autre que soi n'est maître de cequi nous importe réellement, et nous n'avons pas à nous soucier des chosessur lesquelles nous n'avons aucune prise et où d'autres sont les maîtres. Lesobstacles ou les contraintes que nous rencontrons sont hors de nous, tandisqu'en nous résident certaines choses, qui nous sont absolument p...
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L'inconscient peut il dédouaner l'homme de toute responsabilité?
milieu social ou il a grandit et son inconscient. Cette affirmation est problématique, Elle prend en compte deux facteurs qui semblent difficilement mettre en cause laresponsabilité de l'individu. Personne ne peut choisir son milieu social ni son inconscient. Cependant dire qu'un individu n'est pas responsable de ce qu'il est serait unpeu excessif. En effet, même si la conscience est construite par notre inconscient, il reste chez l'homme deux particularités qui semblent neutres de toute influen...
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L'Ame et le Corps dans la vie et l'oeuvre de Bergson
Pourtant, Bergson lui-même parlera de la pensée qui était alors la sienne comme d'une" pseudo-philosophie,[. .. ] c'est- . à-dire des notions générales emmagasinées dans le langage 5 )), Au psychologue américain William James, qui lui demandait des renseignements biographiques avant de lui consacrer une conférence en 1908, Bergson signalera le
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Réfréner ses désirs est-ce renoncer au bonheur ?
plein en lui-même et en ses tonneaux, n'a plus aucun plaisir, il a exactement le type d'existencedont je parlais tout à l'heure : il vit comme une pierre. S'il a fait le plein, il n'éprouve plus ni joie nipeine. Au contraire, la vie de plaisirs est celle où on verse et reverse autant qu'on peut dans sontonneau ! » Platon , « Gorgias ». L'éphémère et le durable Notre représentation immédiate du bonheur le définit comme une succession de moments de jouissance. Mais, aulieu de viser un mom...
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Diviniser la vérité, n'est-ce pas pécher contre l'esprit
Diviniser la vérité, n'est-ce pas pêcher contre l'esprit? Diviniser : attribuer l'essence, la nature divine, défier, mettre au rang des dieux. Revêtir d'un caractère sacré,suprême, sanctifier Vérité : vérité conçue comme réalité, le vrai dans son ensemble et personnifié, illuminant l'homme. Pêcher : contrevenir aux volontés divines, aux lois religieuses ; connotation religieuse. Esprit : principe de la pensée et de l'activité réfléchie de l'homme (acceptation religieuse) Sacraliser et attr...
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Analyse sur la liberté individuelle
ce cas, nous n'avions pas le choix d'obéir aux ordres à moins d'une punition. Ensuite, le discours perspectif. Ce concept est présent à la période de l'adolescence. Il se définit comme une recommandation. On a le choix de prendre le conseil ou d'argumenter. Prenant encore l'exemple parental; quand un père dit à son enfant de ne pas revenir tard le soir, il lui fait une recommandation. En effet, le père pense qu'il est dangereux de tarder la nuit. Dans ce cas, on a le choix d'argumenter; de mettr...
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Toute science est-elle acquise par démonstration ?
maîtresse: dans la religion chrétienne : « pour donner la certitude entière des matières les plus incompréhensibles àla raison, il suffit de les faire voir dans les livres sacrés. » Les science expérimentales sont hypothétiques et non démonstratives Il est des sciences qui avancent non par démonstration mais par hypothèses, et qui ne sauraient conquérir leurvalidité autrement. D'ailleurs Duhem considère que l'expérience ne nous dit jamais où est l'erreur : “ le physicien ne peut jamais soumettr...
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1984 DE GOERGE ORWELL
On apprend enfin que le « Livre » de Goldstein est en vérité une création du Parti Intérieur, qui sont les véritables dirigeants de l'Océania, et qu'Emmanuel Goldsteinest une figure allégorique au même titre que Big Brother, ce qui y est écrit n'en reste pas moins vrai d'après les paroles d'O'Brien, donnant une dimension terrifiante àce monde.Relâché, Winston n'est plus qu'une épave vide de sentiments et de dignité, passant sa vie au bistrot. Par hasard il revoit Julia, qui elle aussi l'a renié...
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La matière et l'esprit ne sont-ils qu'une seule et même chose ?
déterminer tous les deux. Mais que l'un et l'autre nous sont connus et existent au sein de cette unité qu'ils créenten s'associant pour produire l'homme. Ainsi nous éprouvons au quotidien l'alliance, l'union de l'âme et du corps ausein des passions, des sensations que nous avons. Et « concevoir l'union qui est entre deux choses, c'est lesconcevoir comme une seule. ». Ainsi nous comprenons bien que ce qui fait que l'esprit et la matière ne font qu'unc'est le fait que, les éprouvant au quotid...
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Quelle valeur accorder au doute ?
INTRODUCTION Tout individu est confronté au doute au moins une fois dans sa vie, n'étant pas entièrement convaincu des faitsqu'il affirme, mais hésitant plutôt quant à ce qu'il pense. Faut il donner une valeur au doute ? Car si j'accorde une valeur au doute, j'admets que le fait de douter soit utile à mes yeux, et qu'il me permette, soitde trouver la vérité, soit de ne pas tomber dans l'illusion. Le doute me permettrait donc de distinguer lesconnaissances certaines de celles qui sont vr...
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Est-il exact de considérer l'attention comme un « état anormal, en contradiction avec la condition fondamentale de la vie psychologique ?
une « adaptation mentale » ; c'est l'effort de la pensée pour connaître ce que d'abord elle ne connaît pas. Or elle nepeut arriver à cette connaissance qu'en projetant sur l'inconnu les connaissances qu'elle a déjà en sa possession,en éclairant l'obscur par les lumières dont elle dispose au préalable. Ainsi qu'on l'a montré, elle commence parsupposer ce que la chose peut être, par émettre diverses hypothèses sur sa nature et ses qualités ; elle construitun schème et, lançant un appel à...
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la conscience que j'ai de moi me permet-elle de me connaitre moi même?
La conscience que j’ai de moi me permetelle de me connaitre moimême ? d'être capable d'avoir la notion de lui-même, du Je » ici, Kant met en exergue la capacité unique de l’homme, celle qui le différencie, qui est de dire Je, de prendre du recul par rapport à lui-même afin de se créer une conscience de soi. Contrairement à l’animal, l’homme est un sujet qui est capable de dire Je, et qui garde donc une forme de dignité propre à l’humanité. Mais...
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Bonheur: plaisirs et moralité ?
Liberté réelle et liberté pensée Si notre pensée résiste à l'idée du déterminisme comme explication de tout ce qui est, c'est sans doute parce qu'ilexclut le possible. L'homme ne pense pas ce qui est nécessaire mais encore ce qui est possible. C'est pourquoi l'idéed'une liberté purement contingente lui semble une définition plus juste de sa liberté. L'homme se fait ainsi la sourceabsolue de ses décisions et de ses actions. Sa liberté est pouvoir absolu de négation de tous les déterminismes.Recon...
- Ai-Je Un Corps Ou Suis-Je Un Corps ?
- THÉORIE GÉNÉRALE DE L’ESPRIT COMME ACTE PUR, Giovanni Gentile (résumé & analyse)
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Citation
rendes compte que tu as fait une bêtise, qu'on a fait une bêtise, afin qu'on se remette ensemble, mais il n'y a rien qui bouge, rien qui nous rapproche, rien. . . Pourtant même s'il y a rien, je continue de m'accrocher, d'espérer car je suis convaincu qu'un jour toi et moi on sera de nouveau ensemble. . . Et j'ai vraiment hâte que ce jours arrive car tu me manques énormément, et que je t'aime tellement . . . Je t'en supplie dit moi, dit moi que toi aussi tu souffres, dit moi que toi aussi tu m'a...
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On parle de sciences de l'homme: pourquoi l'homme est-il l'objet de plusieurs sciences ?
disant : la prétention nouvelle du savoir est la prétention mathématique » (Heidegger, Qu'est-ce qu'une chose?, p. 80). C'est ainsi que pour la physique moderne la nature sera dans son fondmathématique. Mais comment peut-on caractériser succinctement unescience ? Nous dirons qu'une science se définit non seulement par le langage(ou le code) qu'elle utilise, mais aussi et surtout par la combinaison d'un objetd'investigation qui lui soit propre et d'une élaboration de la théorie de cetobjet...
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Puis-je ne pas me connaître totalement ?
n'affirme en soi aucune connaissance. « Je pense : tel est donc le texte unique de la psychologie rationnelle, à partir duquel elle doit développer toute sa science ». ( Critique de la raison pure , « les paralogismes de la raison pure »).Kant est d'accord avec Descartes pour dire que le Je pense accompagne toutes nos représentations mais il refuse d'accorder l'existence de ce sujet. La conscience de soi n'est possible que par conscience des choses extérieures.Le fait que je connaisse le moi...
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Est-on d'autant plus conscient que l'on est seul ?
reconnaît pas de suite comme une unité (défaillance du critère d'unité). Il ne se reconnaît pas non plus commeautre.Un autre exemple est très fréquent chez les animaux, (bien que les animaux et les hommes ne soient pascomparables), doutés d'une conscience immédiate mais pas d'une conscience de soi : l'expérience consiste à collerun confetti sur le front d'un animal sans qu'il s'en aperçoive, et quand celui-ci se regarde dans le miroir, il voit leconfetti dans le miroir et essaye de...
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Changer est-ce devenir quelqu'un d'autre?
Le < changement > désigne donc un mode d'existence qui succède à un autre mode d' existence d' un sujet / suppôt supposé toutefois identique à soi. D'où le paradoxe du changement : tout ce qui change doit néanmoins demeurer d'une certaine manière permanent. Et il n' y a que le permanent qui change, le changeant n'éprouvant pas le changement, mais une variation puisque certaines déterminations cessent et que d'autres commencent ( selon Kant, Critique de la raison pure ). Quant à...
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Le : 21/10/09
Peut-on ne pas être soi même ?
philosophe français du XX ème siècle, « conscience : c'est le savoir du revenant sur lui-même et prenant pour centre la personne humaine elle-même q ui se met en demeure de décider et de se juger ». Peut-on finalement par une sorte de mauvai s foies toujours s'éviter soi-même et par conséquent demeurer toujours irresponsable. La cons cience déploie outre la connaissance certaine faculté. Notre identité avant même que nou s ayons eu une existence concrète nous échappe, et est le résu...
- Corpus de texte
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Etre juste est-ce répondre à la loi ?
sont injustes soit en raison de leur fin, par exemple quand un chef impose à ses subordonnés des loisonéreuses qui profitent à sa cupidité ou à sa gloire plus qu'au bien commun ; Il y a ensuite les lois quisont injustes parce que contraires au bien divin, comme les lois des tyrans qui imposent l'idolâtrie etd'autres actes contraires à la loi divine. Il ne faut en aucune manière observer de telles lois, c'est en cesens qu'il est dit dans les Actes des Apôtres : « Il vaut mieux obéir à Dieu qu'...
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Y a-t-il un intermédiaire entre savoir et ignorer ?
2. Sensible et intelligible Pour Platon, est sensible ce que l'on peut saisir par les sens, intelligible ce que l'on saisit par l'esprit ou l'intelligence,ce que l'on comprend. Ainsi, la croyance est déterminée par des objets sensibles, alors que la science a pourprincipe des réalités intelligibles.La réalité sensible est celle des objets qui nous entourent. Soumise aux contradictions, celle du temps notamment,dans lequel chaque chose devient une autre, elle s'oppose à la réalité des essences, o...
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La validité d'un raisonnement suffit-elle à garantir la vérité de ce qu'il démontre ?
vérité par évidence. La preuve est un « raisonnement » ; la prouver, c'est raisonner. Or la pensée qui formule lespropositions premières ne raisonne pas, elle est donc irrationnelle, ou pour le moins illogique. » pp. 70 et 71. § 1. Aristote et l'idée de la logique formelle Personne ne conteste qu'Aristote est le fondateur de la logique formelle.L'idée de base en est qu'il y a une forme qui s'impose à toute penséerigoureuse dans ses opérations, quelle qu'en soit la matière. Qu'il s...
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KHALIL GIBRAN, L'HÉRÉTIQUE
près de vingt-cinq ans (je voulais être tout à fait sûr que chaque mot fût vraiment le meilleur que j'eusse à offrir), s'adresse en Prophète aux autres hommes; non pas pour leur crier l'éternel " repentez-vous ., de ses prédécesseurs, mais pour leur parler de vie, d'espoir et de paix : •• Peuple d'Orphalese la beauté est la vie lorsque la vie dévoile son saint visage ''··· •• Mais vous êtes la vie et vous êtes le voile. ., De poétique, le ton...
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Etudier les rapports qui existent entre le coeur et l'esprit.
166 PSYCTIO!.OGIE l'esprit, principe de la pensée, et le principe du Si'nliment qu'on appellt> souvent le oœur. 1. L'action du cœur sur l'esprit. - Le cœur communde l'activité dt> l'esprit et, selon que son rythme est normal ou affolé, il collabore à la vie de la pensée ou, au contraire, la trouble et la suspend. A. L'émotion et la passion, qui constituent comme une explosion dll P,œur, un débordement de l'affectivité, sont néfastes à l...
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Peut-on prétendre se connaître soi-même ?
pensant. La certitude de moi-même comme être pensant étant posée, ma conscience peuts'affirmer comme conscience de soi, car le moi fait retour sur soi et se connaît ainsi. - Nous pourrions ainsi considérer avec Descartes que, s'il est tant d'opinions sur nous-mêmes dont nous pouvons douter, nous pouvons cependant être sûrs d'une chose : nous pouvons êtrecertains que nous sommes des « choses qui pensent », c'est-à-dire des êtres doués de raison.Comme cette raison est réflexive et q...
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maoïsme (politique & socièté).
critiques et d’autocritiques au cours desquelles sont rejetées les « vieilles idées » se conjuguent pour créer une répression collective implacable organisée par les pairs,différente en nature de celle pratiquée par le communisme soviétique. Une collectivisation beaucoup trop rapide des petites propriétés paysannes, l’initiative du Grand Bond en avant, ainsi que la Révolution culturelle prolétarienne ont eu poureffet de paralyser la Chine, du milieu des années soixante au début des années soixan...
- Jean-François Lyotard : la fin d'un «métarécit»
- LA VERITE
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Prendre conscience de soi, est-ce un mouvement sans fin ?
Ainsi, c'est de ma confrontation avec toutes les autres consciences que surgit une certaine image de moi. En effet, si je commets un actehonteux, dit Jean-Paul Sartre ( L'Être et le Néant ), je ne suis honteux que sous le regard (physique ou mental) d'autrui. Si je mange du chocolat àoutrance, je ne me blâme ni me juge en le faisant ; toutefois, j'en conçois desremords sitôt que je songe à autrui. Pour prendre conscience de moi, je dois donc passer par autrui. Celui- ci n'est p...
- HEGEL: La double existence de l'homme
- Grand cours: CONSCIENCE & INCONSCIENT (c de j)
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Grand oral du bac :Philosophies et spiritualités orientales
• Le Ramayana (
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L'opposition réalité/apparence: l'hypothèse des idées
Les Idées comme réalités. 3. Les Idées sont plus que les définitions de Socrate, ce ne sont pas seulement des éléments de discours, ce sont desréalités en soi. Elles répondent à une question métaphysique : comment la connaissance est-elle possible? Elles sontdonc des réalités en soi qui fondent la possibilité de la connaissance. Les Idées platoniciennes ne sont pas des idéesau sens moderne de représentations mentales, ce sont des réalités au delà de l'expérience mais qui fondentl'expérien...
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Les mythes ont-ils cessé d'avoir cours ?
c'est-à-dire d'histoire sans importance car sans attache avec le réel. Il se peut que le mythe ne contienne pasd'éléments historiques, mais cela n'altère en rien sa fonction. Remarquons pour l'instant que le mythe peut se définir comme un récit tenu pour vrai au sein d'un système de croyances déterminées. Il apparaît également comme l'expression d'une pensée symbolique, en relation avec latotalité du psychisme humain, l'histoire et les préoccupations communes des hommes. C'est en ce sens que Ga...