1480 résultats pour "mota"
- Aux mots correspond-il des choses ?
-
langue et langage.
grandes différences entre elles sur le plan des systèmes phoniques comme sur celui des structures grammaticales. 5. 1 Classification par la forme Les langues peuvent être classées selon la forme de leur grammaire. Au début du XIX e siècle, les linguistes se sont efforcés de regrouper les langues selon quatre catégories morphologiques ou typologiques qui sont liées à la façon dont les mots sont formés. Il s'agit des catégories dites « isolantes », « agglutinantes », « flexionnelles » et « inco...
- Dans quelle mesure les mots ont-ils un sens ?
- Évolution Du sens des mots
-
Massane 08/01/2021
GROLEAU
Sujet : Expliquez et commentez le texte suivant :Jean-Paul SARTRE, Qu’est-ce que la littérature ?
« faut pas s’imaginer qu’ils visent à discerner le vrai ni à l’exposer.» veux faire comprendre que le poète veux être libre de ce qu’il va écrire , il va utiliser le langage mais pas pour y retranscrire ce qu’il voit ou ce qu’il fait mais tout simplement pour se l’approprier. Jean- Paul Sartre continue avec le fait que les poètes ne veulent pas décrire à la perfection le monde qui l’entoure car il laisse le fait que le monde sois dépourvue de signification pour se permettre de ne pas être...
-
FIGURES DE RHETORIQUE ET PROCEDES LITTERAIRES
II. LES FIGURES DE LA SUBSTITUTION La MÉTONYMIE (échange de noms): elle remplace un terme par un autre qui est lié au premier par un rapport logique. Les deux éléments appartiennent au même ensemble, sont liés par un rapport de contiguïté. . Elle peutsubstituer : -le contenant au contenu (ex. boire un verre), -l'effet à la cause (ex. Socrate a bu la mort = le poison qui l'a tué), -le symbole à la chose (ex. les lauriers = la gloire), -l'objet à l'utilisateur (ex. le premier violon = le premier...
-
Conseils de méthode - Brevet des collège
~\ ..._ Les questions de grammaire les plus fréquemment données portent sur : -les valeurs de temps verbaux (dans 12 sujets sur 13 en juin 2008), le plus souvent celles du présent de l'indicatif, celles du passé simple et de l'imparfait ; les modes et les temps verbaux (dans 11 sujets sur 13 en juin 2008). Vous devez plus particulièrement savoir différencier les temps du passé (imparfait, passé simple, passé composé, plu...
-
Hobbes et le nominalisme
l'approfondissement de la thèse.Durant le passage allant de « Etant donné […] » à « […] noms différents », Thomas Hobbes nous fait comprendreque les noms ont pour origine notre représentation des choses. En d'autres termes, les choses n'ont pas un nomnaturel, tout nom est une convention, une étiquette que nous posons artificiellement sur les choses. Hobbes semontre alors ici résolument nominaliste, et s'oppose ainsi aux réaliste comme Platon (Le Cratyle) pour qui les nomsrévèlent la réalité de l...
-
- Peut-on produire des événements avec les mots ?
-
Les Mots et les choses
EXTRAITS Le langage actuel n'est plus en totale adéquation avec les choses qu'il nomme Sous sa forme première, quand il fut donné aux hommes par Dieu lui-même, le langage était un signe des choses absolument certain et transparent, parce qu'il leur ressemblait . Les noms étaient déposés sur ce qu'ils désignaient , comme la force est écrite dans le corps du lion, la royauté dans le regard del' aigle, comme l'influence des planètes est marquée...
-
« Vous commenterez ces propos du poète contemporain Jean-Claude Renard : « La poésie ne donne qùe des mots. Mais les donnant avec l'origine et le mystère qui sont en eux, elle convie à posséder ce que disent les mots. »
de ses outils, de ses moyens du bord, pour reprendre une métaphore sartrienne, et gère cette mystérieuse transsubstantation de la chose en mot et vice versa. Il y a d'abord une question de définition, qui nous fait entrevoir l'originalité du projet poétique : le mot du poète n'est pas celui du " parleur » de la terminologie sartrienne dont le discours est en perpétuel sursis d'anéantissement à mesure que sa durée se déploie, révélant la signif...
-
LA LOGIQUE (cours de philo)
tive évidente est le *discours qui exprime notre pensée . Il se pourrait que notre pensée soit irrationnelle, et dans ce cas l'étude de la structure de notre discours ne relèverait pas de la logique . Mais nous avons appris en Connaissance que le seul moyen pour avoir une pensée qui accorde nous-même et la réalité extérieure, ou nos intentions et nos connaissances, ou ce qui doit être et ce qui est, ou les aspects subjectifs et objectif...
- Les mots mettent-ils de la distance entre nous et les choses ? ?
- Peut-on dire que la pire des violences est celle des mots ?
- Pourquoi peut-on dire que là où manque les mots manque la pensée ?
- mots en A
-
-
Dissertation: La parole au theatre
« soufflant bruyamment » et « il barrit de nouveau » et permettent de comprendre la métamorphose de Jean en rhinocéros, atteint par une épidémie fictive, la rhinocérite. Le théâtre de l’absurde est d’ailleurs particulièrement riche en didascalies avec, parfois, des pages entières de didascalies qui rendent compte du décor comme dans La Cantatrice Chauve de Ionesco par exemple. Bien que les dialogues décousus fassent la particulari...
-
Dans Observations et autres notes anciennes (pages 40-41), Philippe Jaccottet écrit : « […] la poésie n'est-elle pas un acheminement toujours recommencé vers l'intérieur de soi ? » Dans quelle mesure, selon vous, les recueils au programme répondent-ils à cette définition de la poésie ?
allusion à la période de deuil qu'a subie Jaccottet, mais derrière la souffrance transparaît l'espérance: «j'ai vu la mort au travail [...]/ Sur la douleur, on en aurait troplong à dire./ Mais quelque chose n'est pas entamé par ce couteau» (page 79). On ne peut donc que supposer que, avec le temps, la blessure cicatrise, ramenant peu àpeu le poète à la vie. Comme il le dit lui-même, la poésie «c'est porter un masque plus vrai que son visage» (page 50). Elle est donc inéluctablement affectée par...
-
HISTOIRE DE LA LANGUE FRANÇAISE
Au début du XVII• siècle, MALHERBE, «peigneur» L'Épo que Cla ssiq ue de mots et de syllabes, travaille à débarrasser la langue de ses impuretés : mots populaires, archaïsmes, néologismes injustifiés. Il proscrit les mots " sales " (tels que " barbier "), les latinismes (« larges pleurs "), les dérivés et mots composés dont la Pléiade avait enrichi, mais aussi souvent encombré le français. Pourtant, si les mots nouveaux lui paraissent dangereux, il réintr...
-
Le Comique : Convient-Il À L'Orateur De Vouloir L'Exciter ? Jusqu'À Quel Point Le Doit-Il ?
Si le rire est une arme très efficace de la persuasion dans la mesure où il capte facilement l'attention du public, nous venonsd'observer qu'il possède toutefois des limites pour conserver son pouvoir. Le rire est effectivement une rupture avec la logique etpeut donc pulvériser la cohérence de la rhétorique.Le comique peut aller très loin. Le grotesque est l'une des formes comiques les plus dévalorisantes pour l'objet du rire : ils'exprime lorsque l'homme n'est plus digne d'être un homme, lorsqu...
-
Lucrèce et le langage
Le langage n'a pas pu être créé par un seul homme - Si le langage n'est pas venu naturellement aux hommes, alors il faudrait admettre qu'une ou plusieurs personnesl'ont inventé. Mais ici se pose un problème : si quelques hommes ont créé le langage, les mots, comment ceux-ciont appris ces mots aux autres hommes ? En effet, la thèse de la création du langage doit affronter un paradoxe,les mots du langage doivent être acceptés par tous les hommes sur l'ordre de quelques uns. Lucrèce ici affirme q...
-
HEGEL. PHILOSOPHIE DE L ESPRIT
La communication est le lien entre subjectivit et objectivit . Le é́ é́ langage est subjectif car le sujet l’utilise à sa propre manière. L'idée est formée par le sujet, et est communiquée aux autres. Selon Hegel, le mot ou le langage représente une activité interne la plus haute. De plus "vouloir penser sans les mots, c'est une tentative insensée" ; vouloir penser sans utiliser les mots peut conduire à la folie, comme Mesmer. Autrement dit, on ne pense pas en dehors du langage. Dans l...
-
Lucrèce: Quant aux divers sons du langage…
Le langage n'a pas pu être créé par un seul homme - Si le langage n'est pas venu naturellement aux hommes, alors il faudrait admettre qu'une ou plusieurs personnesl'ont inventé. Mais ici se pose un problème : si quelques hommes ont créé le langage, les mots, comment ceux-ciont appris ces mots aux autres hommes ? En effet, la thèse de la création du langage doit affronter un paradoxe,les mots du langage doivent être acceptés par tous les hommes sur l'ordre de quelques uns. Lucrèce ici affirme q...
- Avec les femmes, c'est toujours la même chose; d'abord au bras, puis dans les bras, puis sur les bras. Avec elles, on va à chaque fois des petits mots aux grands mots et enfin, aux gros mots. Valéry, Paul. Commentez cette citation.
-
-
LA POÉSIE ROMANTIQUE
à nouveau pour la transmission du sentiment et de la sensation. V. Hugo n'a pas tort, quand il donne tant d'importance à la révo lution qui jetait à bas l'" ancien régime" de la langue 1 • Toutes les conventions mondaines, d'abord, disparurent. Plus de mots bas, ignobles : tous les.mots sont égaux, à la disposition de l'écri•ain. Partant plus de périphrases, plus de figures, qui cachent ou fardent la pensée. Plus de termes généraux, où elle...
-
Qu'est-ce qu'une valeur ? La valeur est-elle objective ou subjective ?
• La littérature a pour but d'exprimer une perception des choses de telle manière que le lecteur la comprenne mais lapoésie est particulière en ce sens que le poète crée parfois sa propre langue pour jouer plus librement avec elle.• Beaucoup de poètes, Baudelaire, Rimbaud, après s'être exprimés en vers ont utilisé la prose. Mais la réductionsyntaxique peut être telle qu'on finit pas ne plus rien comprendre.• Au XXe siècle, les poètes ont tenté de réduire l'arbitraire du signe.=> La poésie utilis...
-
Dictionnaire en ligne:
DICTIONNAIRE, substantif masculin.
qu'il lui plaît de chercher, selon ses besoins ou son état! ÉMILE ERCKMANN ET ALEXANDRE CHATRIAN, DITS ERCKMANN- CHATRIAN, Histoire d'un paysan, tome 1, 1870, page 208. 2. [L'information est de type spécialisé] a) [En référence à certains aspects d'une langue commune] — [La perspective est diachronique] Un « dictionnaire étymologique de la langue française » [accompagné] « d'une grammaire et d'un dictionnaire du XVIe. siècle » (STÉPHANE MALLARMÉ, La Dernière mode, 1874, page 828 ). — [La persp...
-
La Parole
conscient du pouvoir des mots dans la tromperie et la manipulation, il croit à l'image qui lui est proposée et n'y est pas indifférent. Finalement, ce qui touche dans le mot, c'est l'intention qu'il porte. B) La parole déforme le monde car elle passe par notre pensée. C'est parce qu'il y a une intention de son auteur que le mot est important et c'est dans un contexte de compréhension mutuelle entre les locuteurs que les mots se dévoilent totalement. La parole déforme le monde dans son obj...
-
Définition:
CÉR(É)-, CÉR(I)-, CÉR(O)-, (CÉR-, CÉRÉ-, CÉRI-, CÉRO-2 ) préfixe.
cire d'abeille " (Dictionnaire de la chimie et de ses applications (CLÉMENT DUVAL, RAYMONDE DUVAL, ROGER DOLIQUE), 1959) 2. GÉOLOGIE : céréolit(h)e, (céréolite, céréolithe), substantif féminin. " Nom donné, à cause de sa couleur, à une variété de stéatite qui est jaune verdâtre " (Grand dictionnaire universel du XIXe. siècle (Pierre Larousse)) 3. TECHNOLOGIE : cération, substantif féminin. " Opération qui rend une matière propre à se dissoudre ou à se fondre, afin qu'elle puisse pénétrer plus fa...
-
Hegel_langues_pensées_devoirdephilo
forme définitive dans le mot. Ce serait m ême uniquement par le mot que les pens ées parviendraient à une existence d étermin ée, qui est leur existence «la plus haute»; et cette existence serait en outre la plus vraie. Voil à en peu de lignes beaucoup de notions qui demandent à être élucid ées. En effet, comment estil possible de ne pas «avoir conscience» de nos pens ées? Par ailleurs, de quelle nature est donc le ...
-
LE LIVRE DANS LA SOCIÉTÉ ACTUELLE
Vous choisirez ensuite dans le texte un thème qui offre une réelle consistance et auquel vous attachez un intérêtparticulier. Vous en préciserez soigneusement les données, et vous exposerez, en les justifiant, vos propres vuessur la question. 1. Analyse ou résumé ? Choisir le résumé est possible. Ce texte qui développe ses idées logiquement,progressivement... s'y prête. Cependant nous choisirons l'analyse : La première partie qui présente le livre actuelcomme un objet de consommation es...
-
Sommes-nous maîtres de nos paroles ?
volonté, en plus de dire ce que nous pensons et du repère qu'elle constitue pour nous. · Pour faire cela, il est clair qu'il faut parfaitement maîtriser les mots, le langage en particulier. La parole est l'expression, par le langage de la pensée. Si un manque de maîtrise pouvait se faire jour,peut-être est-ce au niveau du langage, ou des mots, que cela pourrait se ressentir. 2. Cependant, nous utilisons un langage déjà crée. En maitrisons nous toutes les significations ? ·...
-
-
NIETZSCHE: Qu'est-ce en fin de compte que l'on appelle « commun » ?
2ème partie : C'est l'expérience du commun qui fonde le langage. - Pourtant, Nietzsche ne conclut pas à l'échec du langage dans sa prétention à édifier le « commun ». En fait, pourl'auteur, le commun doit être préalable au langage, car c'est parce que nous avons des expériences communes quenous expérimentons le langage comme commun.- Le langage, pour être commun, ne se déploie pas seulement dans l'utilisation de mêmes mots entre les individus,mais d'abord dans une expérience commune. C'est p...
-
Familles amérindiennes
Familles et emprunts
Famille eskimo-aléoute
l'inuktitut
anorak, iglou, Inuit, kayak, etc.
Famille maya le mayacaoutchouc Famille uto-aztèque l’aztèqueaxolotl (« larve d’amblystome ») , totonaque (« langue ») le nahuatlcopal (« résine ») , ocelot (« félin ») , peyotl (« cactus ») , etc. le hopikatchina (« esprit surnaturel ») Famille araucane l’araucancoypou (« ragondin ») Famille quéchua le quéchuacuy (« gros cochon d’Inde ») , hévéa (« arbre à caoutchouc ») , mita (« travail obligatoire ») , quipou (« cordelettes symboliques ») , etc. Famille tupi-guaraniananas, a...
-
Le silence est-il créateur ?
Car ce n'est pas la même chose que d'exiger le silence et de ne rien entendre. Ici, lesilence n'est pas l'absence de bruit mais l'absence de communication. Le silence estdonc en quelque sorte ce refus d'entrer dans la sphère de la communication, et donc onvoit difficilement, en ce sens, comme un tel silence pourrait être créateur de lien, decommunication, de projet, etc. Il ne peut pas être autre chose, dans cette perspectiveque le refus de tout processus de création (de sens, de communication...
-
Le language
C) Difficultés de traduction 1) Certains mots ou concepts n’existent pas dans une des deux langues (Théorie Sapir- Whorf) 2) Certaines expressions sont intraduisibles 3) La traduction inverse ne donne que rarement les mêmes résultats 4) Un mot se définit par son emploi dans une phrase. Pour traduire, il faut donc comprendre la phrase entière. →On perd de l’authenticité et de la compréhensibilité dans les traductions Les libellés (définition du spécifique par un terme général permet d’économi...
-
Parler, est-ce le contraire d'agir ?
café. Par exemple : « Je promets de dire toute la vérité ». Je ne décris rien mais j'accomplis une action : je fais un serment ni vrai ni faux. Que j'y sois fidèle on non ne change rien à mon action. Austin distingue donc deux sortes d 'énoncés : constatif qui décrit un phénomène. « Le ciel est bleu », « Je suis heureux », « 2 et 2 font 4 ». Performatif dont l'énonciation énonce une action du locuteur en même temps qu'elle l'accomplit. « Je jure que... », « J'exige que... », « Je pari...
-
LANGUE FRANÇAISE ET LITTÉRATURE (Histoire de la littérature)
difficulté d'un tel programme, peut-être même naïf et irréalisable. S'il est déjà malaisé d'évaluer le disponible, le virtuel d'une maitrise individuelle de la langue chez Balzac ou Flaubert, on imagine l'impossibilité d'une telle opéra tion, quand il s'agit des créateurs -poètes, narrateurs, musiciens oraux des chansons de geste ou poètes scrip teurs savants des romans courtois. Le seul investissement progressif de la « littérature» par l'écriture consti...
-
pragmatique
types de références : l’implication sémantique (entailment), la présupposition et l’implicature. Ensuite, après avoir pu interpréter l’intention du locuteur et saisi les résultats provoqués par les inférences, nous nous intéressons à analyser l’énoncé du locuteur au trois niveau : locution (les mots et les phrases que le locuteur utilise), illocution (l’intention et la motivation du locuteur) et prélocution (les effets des énoncés sur l’allocutaire). C...
-
langage de ceux que les
C’est seulement au Pays de Dun que les Hommes de cette race avaient conservé leur ancien parler et leu rs coutumes d’autrefois : une peuplade mystérieuse, furtive, hostile aux Dúnedain et haïssant les Rohirrim. Dans ce livre, leur langue n’est point mentionnée, sauf pour le nom, Forgoil , dont ils désignaient les Rohirrim (et qui signifie, dit -on, Têtes -de -P aille). Les Rohirrim, eux, les appelaient gens du Pays de Dun , ou Ceux du Pays de Dun parce qu’ils avaient le teint basané...
-
-
Peut-on tout exprimer?
et sa fonction, qui est ici mis à la question.Les mots nous permettent-ils de tout exprimer de nos pensées ou bien existe-t-il des pensées en dehors d'eux etimpossibles à verbaliser ? L'impossibilité de verbaliser l'ensemble de nos pensées, impossibilité dont nous faisonsl'expérience lorsque nous ne trouvons pas nos mots, lorsque nous avons des pensées indicibles, est-elle absolue dufait de la pauvreté ou de l'inadéquation essentielle des ressources offertes par la langue que nous parlons ou...
-
Le langage trahit-il la pensée?
n'être finalement plus qu'un « réflexe », et cependant il n'en a pas toujours été ainsi. En effet, le langage dans son état originel était capable de renvoyer aux choses sans les voiler ou les étiqueter. « Le langage même [...] est fait pour désigner des choses et rien que des choses : c'est seulement parce que le mot est mobile, parce qu'il chemined'une chose à une autre, que l'intelligence devait tôt ou tard le prendre en chemin ». Le langage est à l'origine fait pour les choses, ce qui v...
-
Peut on tout dire
correctement que l'on veut exprimer.Or, tout ne semble pas réductible au langage. Il semble qu'il existe de l'indicible qui ait un sens. N'y at-il pas un ineffable qui nous entraîne vers le silence, la contemplation ou l'intuition plutôt que vers une parole qui peut apparaître comme inadéquate à l'expression et vers un bavardage qui peut nous paraître futile? A La pensée hors du langage. Si je définis la pensée seulement comme raisonnement, jugement ou capacité de posséder des concepts, il...
-
Le langage nous éloigne-t-il de la réalité?
hisser à la réalité par le truchement des mots, seuls outils du philosophe ? N'est-ce pas le péril encouru par toute critique philosophique du langage ? Bergson, par exemple, va incriminer la nature du langage, notammentdans le domaine métaphysique : ‘ Nous ne voyons pas les choses en elles-mêmes, nous nous bornons le plus souvent à coller des étiquettes sur elles [... ]Car les mots désignent tous des genres. ' (Le Rire) Le langage masquerait la vraie nature des choses qui est...
-
Un philosophe contemporain a écrit : qui n'a pas réfléchi sur le langage n'a jamais vraiment philosophé. — Pourquoi le langage présente-t-il une telle importance philosophique ?
Il s'agit donc pour le philos ophe, comme le note V aléry, de « raffermir dans le langage même les pos itions de (la) pensée » et justement en vue de «s'assurer contre le danger de paraître poursuivre un but purement verbal ». C e n'est pas dire, pour autant, que la langue du philosophe est formée d'unesuite de néologismes, de signes techniques qui n'auraient de sens que pour lui. Les mots philosophiques sont aussi les mots communs; certains termes,pour avoir été employés par les philosophe...
-
En quoi peut on parler du pouvoir des mots ?
En quoi peut on parler du pouvoir des mots ? Introduction Sigmund Freud est le père de la psychanalyse. Il soigne les patients ayant des troubles psychiques en les écoutant et en leur parlant. En 1917, il publie « Introduction à la psychanalyse ». Dans cet extrait, il nous convainc de la « magie » des mots. En quoi peut on parler d’un pouvoir des mots ? Dans un premier temps, nous verrons le pouvoir des mots pendant une consultation médicale, ensuite nous le verrons pendant la vie quotidi...
-
séquence poésie 6ème
SEANCE N°1: Dominante orale Objectif: réactiver de bonnes habitudes dans la pratique de la lecture et aborder la notion de champ lexical Support: les élèves devront recopier la poésie de leur choix sans oublier le titre et le nom de l'auteur. (texte étudié en primaire, texte extrait de leur ouvrage de 6ème ou du CDI.) Lecture en demi classe et explication de texte Ne pas donner le titre de la séquence. Lecture à haute voix: chaque élève lit son texte et en donne la provenance. Qu'est-c...
- Le langage équivoque peut-il se révéler contraignant pour le sens des mots ?
-
-
dissertation litteraire
2 1. Observer les références de la citation Il faut d’abord interrog er les références de la citation (son auteur, sa source, sa date) afin de la situer : qui est l’auteur de la citation ? est -ce un écrivain, un critique, un auteur qui fait de la critique ? de quelle époque date la citation ? à quel courant de pensée se rat tache -t-elle ? 2. Analyser la forme de la citation On procède à une véritable explication de texte portant sur...
-
Pourrait-on penser sans l'aide du langage ?
Il n'est donc guère étonnant que ce soit à l'occasion d'une critique del'ineffable que Hegel ait écrit : « C'est dans les mots que nous pensons ». Dire que nous pensons en mots, comme on paye en francs ou en dollars, c'estdéfinir le mot comme l'unité de la pensée. Loin d'être deux mondesradicalement extérieurs, « incommensurables » comme le disait Bergson , le langage et la pensée apparaissent ici comme absolument consubstantiels. Que reproche Hegel à l'ineffable ? Il lui...