604 résultats pour "ouï"
-
tableau
Unité = 1 élève Q18/1 Q18/2 Q19 Q20 Q21 Q22 Q23 Q24 Q25 -10 10à12 12à14 14à16 16 -10 10à12 12à14 14à16 16 Oui Non Oui Non Oui Non Oui Non Oui Non Oui Non Oui Non Q3 Sec 30 G 10 0 3 3 3 1 0 4 4 1 1 6 4 0 10 0 10 0 10 3 7 3 7 5 5 F 20 2 4 7 7 0 7 10 2 1 0 3 17 6 14 2 18 5 15 12 8 4 16 7 13 Total 2 7 10 10 1 7 14 6 2 1 9 21 6 24 2 28 5 25 15 15 7 23 12 18 Prem 29 G 10 1 3 4 1 1 1 5 2 2 0 1 9 2 8 1 9 0 10 7 3 2 8 3 7 F 19 0 2 5 8 4 1 4 5 7 2 2 17 1 18 1 18 2 17 17 2 1 18 6 13 Total 1 5 9 9 5 2 9 7...
-
Quatre-vingt-treize
Halmalo enfla ses joues, se tourna du côté de la mer, et l'on entendit le hou-hou de la chouette.
\24 C'est-à-dire qu'elle rapetisse l'ennemi et raccourcit le chemin. Bon engin. \24 Une fois, avec ma ferte, j'ai tenu tête à trois gabeloux qui avaient des sabres. \24 Quand ça? \24 Il y a dix ans. \24 Sous le roi? \24 Mais oui. \24 Tu t'es donc battu sous le roi? \24 Mais oui. \24 Contre qui? \24 Ma foi, je ne sais pas. J'étais faux-saulnier. \24 C'est bien. \24 On appelait cela se battre contre les gabelles. Les gabelles, est-ce que c'est la même chose que le roi? \24 Oui. Non....
-
Penser, est-ce dire "non" ?
l'expérience de la négation est ici décisive. Penser, c'est dire non, mettre à distance les évidences trompeuses,dépasser l'immédiat, échapper aux vertiges de l'immédiateté, se dégager des divers dogmatismes et donc manifesterainsi l'activité de penser, dégager l'authentique jugement dans son initiative spirituelle. Quel exemple donner ? Ledoute cartésien consiste bien à « dire non », à mettre à distance les illusions, et, en cette mise à distance, àinstaurer la réflexion et la pensée. Le do...
-
TEXTE : Giraudoux situe l'action de La Guerre de Troie n'aura pas lieu,
44 LE THÉATRE nous sacrifions pour fabriquer une heure qui soit à nous, vous êtes là à feuilleter vos gravures prêtes de toute éternité! ... Qu'avez vous? A laquelle vous arrêtez-vous avec ces yeux aveugles? A celle sans doute où vous êtes sur ce même rempart, contemplant la bataille ? Vous la voyez, la bataille ? HÉLÈNE. - Oui. HECTOR. - Et la ville s'effondre ou brûle, n'est-ce pas? HÉLÈNE. - Oui. C'est rouge vif HECTOR. - Et Pâris ? V...
-
A. DE L'IGNORANCE AU SAVOIR
1. SAVOIR, SCIENCE ET SAGESSE
[SOCRATE-THÉÉTÈTE]
— S.
150 PlATON PAR LUI-MÊME 2. CRITÈRES ET OBJETS DU SA VOIR ET DE L'IGNORANCE [SOCRATE-ALCIBIADE] - S. Ne sais-tu pas que ceux qui se disposent à enseigner quoi que ce soit doivent commencer par le savoir eux-mêmes?- A. Bien sûr. -S. N'est-il pas vrai que ceux qui savent doivent s'accorder entre eux et ne pas différer? - A. Si. -S. Là où ils diffèrent, diras-tu qu'ils savent? - A. Non certes. -S. Dès lors comment pourraient-ils...
- 1961 : " Oui " pour l'autodétermination en Algérie.
-
Molière, le Malade imaginaire (extrait).
TOINETTE : Ignorant. ARGAN : De la volaille. TOINETTE : Ignorant. ARGAN : Du veau. TOINETTE : Ignorant. ARGAN : Des bouillons. TOINETTE : Ignorant. ARGAN : Des œufs frais. TOINETTE : Ignorant. ARGAN : Et le soir de petits pruneaux pour lâcher le ventre. TOINETTE : Ignorant. ARGAN : Et surtout de boire mon vin fort trempé. TOINETTE : Ignorantus, ignoranta, ignorantum. Il faut boire votre vin pur ; et pour épaissir votre sang qui est trop subtil, il faut manger de bon gro...
-
Marivaux, la Vie de Marianne (extrait).
jour il vous laisserait dans une indigence, dans une misère dont vous auriez plus de peine à sortir que jamais : je dis une misère, parce qu’il s’agit de vous éclairer, et non pas d’adoucir les termes ; et c’est à tout cela que j’ai songé depuis que je vous ai quittée : voilà ce qui m’a fait sortir de si bonne heure de la maison où j’ai dîné ; car j’ai bien des choses à vous dire, Marianne ; je suis dans de bons sentiments pour vous ; vous vous en êtes sans doute aperçue ? — Oui, Monsieur, lui r...
-
-
avec elle ; nous verrons, mais, sur mon honneur, vous êtes trop indulgent.
CHAPITRE XVII LE MÉNAGE BONACIEUXC’était laseconde foisque lecardinal revenaitsurcepoint desferrets dediamants avecleroi. Louis XIII fut donc frappé decette insistance, etpensa quecette recommandation cachaitunmystère. Plus d’une foisleroi avait étéhumilié quelecardinal, dontlapolice, sansavoir atteint encore laperfection de la police moderne, étaitexcellente, fûtmieux instruit quelui-même decequi sepassait danssonpropre ménage. Il espéra donc,dansuneconversation avecAnne d’Autriche, tirerquelqu...
-
Larry Imagine
- Harry je... - Tire-toi. La voix du bouclé était très faible, mais Louis l'entendit tout de même. Il passa lentement la main dans les cheveux de son à présent ex-petit ami, s'agenouilla pour déposer tendrement un baiser sur le crâne de ce dernier. Puis il se releva, et se dirigea vers la porte. Ses yeux ne purent s'empêcher de se poser sur chacun des objets que la pièce contenait. C'était leur pièce, leur petit nid douillet. Ils avaient tout vécu ici tous les deux. Tous les objets que...
-
Fiche De Lecture sur l'Hippias de Platon
Hippias : Il faut te dire la vérité, que le beau c'est une belle jeune fille. (287 e) Hippias, comme un sophiste, n'aimant pas être contredit, argumente en 288 a que tout le monde de toute manièrepense pareil donc que c'était forcément vrai. Mais Socrate l'interroge en utilisant l' « interlocuteur imaginaire » luidisant : Socrate : … « Socrate, réponds-moi : toutes les choses que tu appelles belles, ne sont-elles pas belles, parce qu'ily a quelque chose de beau par soi-même ? » Socrate l'amène...
-
l'histoire qui montrera ce qui était vrai ou faux.
logique qu’une description delaréalité soitcontradictoire. Tiens,parexemple :on raconte quelecélèbre chercheur en physique atomique, Niels Bohr, avait unfer àcheval au-dessus dupas desaporte. — Cela porte bonheur. — Mais c’estdelapure superstition etNiels Bohrétaittoutsauf superstitieux. Unami vint luirendre visiteunjour et rapporta la 312 conversation suivante:« Tu necrois toutdemême pasàce genre dechoses ?» dit-il. «Non, répondit NielsBohr, mais jen’ai pasentendu direqueçane marche pas.» — Ça...
-
- Mon fils, dit Catherine, vous recevez des gens suspects.
– Mon fils,ditCatherine enserrant lamain deCharles IX,jene leméprise pas,jelecrains. – Eh bien, vousaveztort,mamère. Henriot estmon ami,et,comme ill’a dit, s’ileût conspiré contremoi,il n’eût euqu’à laisser fairelesanglier. – Oui, ditCatherine, pourqueM. le ducd’Anjou, sonennemi personnel, fûtleroi deFrance ? – Ma mère, n’importe lemotif pourlequel Henriot m’asauvé lavie ; mais ilya un fait, c’est qu’ilmel’a sauvée, et,mort detous lesdiables !je ne veux pasqu’on luifasse delapeine. Quant àM. de ...
- La réforme, oui, la chienlit, non !
-
XV
Je devenais trop grand pour occuper plus longtemps la chambre de la grand-tante de M.
« Joe, dis-je, nepenses-tu pasque jedoive unevisite àmiss Havisham ? – Et pourquoi, monpetit Pip ? ditJoe après réflexion. – Pourquoi, Joe ?...Pourquoi rend-ondesvisites ? – Certainement, monpetit Pip,ilya des visites peut-être qui...ditJoe sans terminer saphrase. Maispourcequi est de rendre visiteàmiss Havisham, ellepourrait croirequetuas besoin dequelque chose,ouque tuattends quelque chose d’elle. – Mais, nepourrais-je luidire quejen’ai besoin derien... quejen’attends riend’elle. – Tu lepourra...
-
Puisque nous sentons que nous voyons et entendons: Aristote
Textes commentés 57 Le regard ne se réduit pas à une fonction instrumentale de réception de qualités sensibles, car, si l' œil « pâtit » sous l'action du visible, cette passion est aussi « un progrès vers lui-même et vers son entéléchie » (Il, 5, 417 b 6-7). L'œil s'actualise, il accomplit ses possibilités d'être dans la vision : pour autant qu'il est un organe vivant, la vision constitue sa praxis propre, l'exercice fini de son acuité. Ce...
-
-
à l'école et pourquoi ils les rendent savants, alors que dans le domaine de la vertu qui fait leur propre valeur, ils ne les rendent supérieurs à personne.
100 PLATON PAR LUI-MÊME 5. RHÉTORIQUE ET JUSTICE [SOC RA TE-GORGIAS] -S. Tu prétends, Gorgias, être capable de rendre orateur quiconque veut bien s'instruire auprès de toi? - G. Oui.- S. Au point de convaincre une assem blée sur n'importe quel sujet non pas en l'instruisant, mais en la persuadant?- G. Parfaitement.- S. Tu as même dit qu'en matière de santé l'orateur est plus persuasif que le médecin. - G. Devant une asse...
-
entendez-vous bien ?
vérité. –Monseigneur, ditdeMouy, jevous jure… – Ne jurez pas,monsieur ; lareligion reformée défenddefaire desserments, etsurtout defaux serments. de Mouy fronça lesourcil. – Je vous disque jesais tout, reprit leduc. deMouy continua desetaire. – Vous endoutez ? repritleprince avecuneaffectueuse insistance.Ehbien, moncherdeMouy, ilfaut vous convaincre. Voyons,vousallezjuger sije me trompe. Avez-vous ounon proposé àmon beau-frère Henri,là,tout à l’heure (leduc étendit lamain dansladirection delacha...
-
Nous possédons en nous-mêmes la vérité de PLATON
SOCRATE. -Maintenant fais attention quelle solution va se produire: s'il va se ressouvenir ou apprendre de moi. MÉNON. -J'y ferai attention. S. Dis-moi, mon garçon, sais-tu que le carré est une figure comme celle-ci ? L'ESCLAVE. -Oui. S. -Alors, dans un carré, toutes ces lignes, il y en a quatre, sont égales ? E. -Certainement. . (Socrate demande alors de considérer un carré A de deux pieds de long de côté. Sa swface es...
-
Et Dieu, qui comptera les maux que j'ai soufferts.
CHAPITRE LIV TROISIÈME JOURNÉEDECAPTIVITÉFelton étaitvenu ; maisilyavait encore unpas àfaire : ilfallait leretenir, ouplutôt ilfallait qu’ilrestât tout seul ; etMilady nevoyait encore qu’obscurément lemoyen quidevait laconduire àce résultat. Il fallait plusencore : ilfallait lefaire parler, afindelui parler aussi : car,Milady lesavait bien,saplus grande séduction étaitdans savoix, quiparcourait sihabilement toutelagamme destons, depuis laparole humaine jusqu’au langagecéleste. Et cependant, malg...
-
- Ah !
trouvait soussadirection immédiate. Ilya une jambe debois aun°6 ; deux paires de demi- bottes danslasalle ducommerce. Ilya ces bottes àrevers ici,aurez-de-chaussée, etcinq autres pairesdanslecafé. – Pas davantage ? ditlepetit homme. – Attendez unbrin, reprit Sam,encherchant àse rappeler ; oui,ilya une paire debottes àla Wellington, pasmal usées, etdes souliers dedame, aun°5. – Quelle sortedesouliers ? demanda avecempressement M. Wardle,qui,ainsi que M. Pickwick, s’étaitperdudanscesingulier catal...
-
2006 CENTRES ÉTRANGERS SÉRIE L
coups de gourdin qui ne valent pas ceux-là, et le gourdin est dans la chaloupe. IPHICRATE. Eh ! ne sais-tu pas que je t'aime ? ARLEQUIN. Oui, mais les marques de votre amitié tom bent toujours sur mes épaules, et cela est mal placé. Ainsi tenez, pour ce qui est de nos gens, qu e le ciel les bénisse ; s'ils sont morts, en voilà pour longtemps ; s'ils sont en vie, cela se passera, et je m'en goberge 4. IPHICRATE, un peu ému. Mais j'ai besoin d'eux, moi. ARLEQUIN, indifféremment. Oh ! c...
-
Le Japon, une grande puissance incomplète.
La pu iss an c e du Japon, des États-Unis et de l'Allemagne États-Unis membre du G7 oui PNB (rang mondial) , .. nombre de grandes entreprises (rang mondial) 1« investissement direct à l'étranger (rang mondial) ,,, membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU oui Allemagne oui 3• 3• 4• non D'après Gérard Dorel, • La puissance des États •. La Documenrarion photographique, la Documentation française, n' 8006, 1998. l,j.Œ'j,j!!!fl L e Japon, pui...
-
- Trouvé qui ?
Chapitre 24 Dans lequel M.Peter Magnus devientjaloux,etladame d’un certain âge,craintive ;ce qui jette lespickwickiens dansles griffes delajustice. Quand M. Pickwick descenditdanslachambre oùilavait passé lasoirée précédente avec M. Peter Magnus,ille trouva entrain desepromener dansunétat nerveux d’agitation et d’attente, etremarqua quecegentleman avaitdisposé, auplus grand avantage possibledesa personne, lamajeure partieducontenu desdeux sacs,ducarton àchapeau, etdu paquet papier gris. « Bonjou...
-
-
le spectateur est mal placé, mais qui, pour un regard capable d'en embrasser toute l'ampleur n'aurait pas l'apparence de ce à quoi il prétend ressembler, quel nom lui donnerons-nous ?
lA CONCEPTION DU SAVOIR 165 multiplicité des lits et des tables. - G. D'accord. -S. Quant aux Formes de ces meubles il y en a deux, n'est-ce pas, celle du lit, celle de la table. - G. Oui. -S. Nous avons également coutume de dire, n'est-il pas vrai, que l'artisan qui fabrique chacun de ces meubles le fait en dirigeant son regard vers l'Idée ; ainsi l'un fait les lits, l'autre les tables dont nous nous servons, et ainsi de sui...
-
Le Conscrit ou Le Retour de Crimee
De boire ensemble
A table!
ROBERT. Oui, mes amis, noire Julien mérite le bonheur, et à plus d'un titre; j'en sais quelque chose, moi! JULIEN. Allons, allons, Robert, je t'en prie, tais-toi. ROBERT (souriant). Tais-toi donc toi-même, monsieur le modeste... Écoutez, mes amis, ce petit épisode de notre carrière militaire!... C'était presque sous les murs de Sébastopol; j'étais avec mes camarades, placé en éclaireur pendant la nuit... Le poste, croyez-le bien, n'était pas très agréable; mais le devoir avant tout, le soldat ne...
-
Giraudoux, La guerre de Troie n'aura pas lieu (extrait).
CASSANDRE . — Cette femme d’Hector va avoir un enfant ? ANDROMAQUE . — Oui, je vais avoir un enfant. CASSANDRE . — Ce ne sont pas des affirmations, tout cela ? ANDROMAQUE . — Ne me fais pas peur, Cassandre. UNE JEUNE SERVANTE , qui passe avec du linge. — Quel beau jour, maîtresse ! CASSANDRE . — Ah ! oui ? Tu trouves ? LA JEUNE SERVANTE , qui sort. — Troie touche aujourd’hui son plus beau jour de printemps. CASSANDRE . — Jusqu’au lavoir qui affirme ! ANDROMAQUE . — Oh ! justement, Cass...
-
Notre Dame de Paris
manufactures.
\24 Parlez tout haut! Le " compère Coictier " demeurait muet de surprise. \24 Donc, reprit le roi, - parlez, monsieur, - il y a une émotion de manants dans notre bonne ville de Paris? \24 Oui, sire. \24 Et qui se dirige, dites-vous, contre monsieur le bailli du Palais de Justice? \24 Il y a apparence, répondit le compère, qui balbutiait, encore tout étourdi du brusque et inexplicable changement qui venait de s'opérer dans les pensées du roi. Louis XI reprit: \24 Où le guet a-t-il renco...
-
DEUXIÈME PARTIE
I - Fraternité
En sauvant la vie de Charles, Henri avait fait plus que sauver la vie d'un homme : il avait empêché trois
royaumes de changer de souverains.
I – Fraternité En sauvant lavie deCharles, Henriavaitfaitplus quesauver lavie d’un homme : ilavait empêché trois royaumes dechanger desouverains. En effet, Charles IXtué, leduc d’Anjou devenait roideFrance, etleduc d’Alençon, selontouteprobabilité, devenait roidePologne. Quantàla Navarre, commeM. leducd’Anjou étaitl’amant demadame deCondé, sa couronne eûtprobablement payéaumari lacomplaisance desafemme. Or, dans toutcegrand bouleversement iln’arrivait riendebon pour Henri. Ilchangeait demaître...
-
fixa longtemps les montagnes et les arbres, et même les visages, comme s'il voulait se les
rappeler pour l'éternité.
« Ne ressentez-vous pasquelque honteàlaisser cetteterre enfriche ? – Je n’aiaucune raisondelacultiver, répondit Adam.Nousenavons déjàparlé. Vous croyiez quejechangerais ? Jen’ai paschangé. – Prenez-vous plaisiràsouffrir ? demanda Samuel.Vouscroyez-vous grandet tragique ? – Je nesais pas. – Pensez-y. Peut-êtrejouez-vous unrôle surune grande scènedevant unesalle vide. » Un léger agacement perçadanslavoix d’Adam : « Pourquoi venez-vousmesermonner ? Jesuis content devous voir,mais pourquoi essayez-v...
-
D'ailleurs, on le sait, la correspondance ne se faisait qu'en langage chiffré, et par une méthode
qui, si elle exigeait le secret, donnait du moins une sécurité absolue.
« Votre voyage, Mathias ?… demanda-t-il avecl’empressement d’unhomme quiveut être rassuré toutd’abord. – Il aréussi, Zathmar, réponditlecomte Sandorf. Jene pouvais douterdessentiments demes amis delaTransylvanie, etnous sommes assurésdeleur concours. – Tu leurascommuniqué cettedépêche quinous estarrivée dePesth, ilya trois jours ? reprit Étienne Bathory, dontl’intimité aveclecomte Sandorf allaitjusqu’au tutoiement. – Oui, Étienne, répondit MathiasSandorf, oui,ilssont prévenus. Euxaussi sontprêts...
-
LES PRONOMS
Grammaire B. Emplois de on Le pronom on est tantôt classé avec les pronoms personnels, tantôt avec les pronoms indéfinis. Pour désigner des êtres humains, il est toujours sujet et peut désigner : 1° N'importe qui, tout le monde : Comme on est vulnérable ! 2° Quelqu'un d'indéfini : On prétend que ... 3° Tu, nous, vous : On est content, on reviendra. Remarque. r: emploi de on et de nous dans une même proposition est considéré comme un tour fam...
-
-
V
Je suis exilé de la maison paternelle
Nous n'avions pas fait plus d'un demi-mille, et mon mouchoir de poche était tout trempé, quand le voiturier
s'arrêta brusquement.
carriole, unbras placé surchacun deses genoux. – C’est dePeggotty quevous voulez parler, monsieur ? – Ah ! ditM. Barkis. Elle-même. – Oui, c’estellequifait tous lesgâteaux cheznous, d’ailleurs ellefaittoute lacuisine. – Vraiment ? » ditM. Barkis. Il arrondit seslèvres comme poursiffler, maisilne siffla pas.Ilse pencha pourcontempler lesoreilles deson cheval, comme s’ilydécouvrait quelquechosedenouveau, etresta danslamême position pasmal detemps, enfinil me dit : « Pas d’amourettes, jesuppose ? –...
-
CHAPITRE QUATRE LE SIÈGE DE GONDOR
de Lorien, mais non à le porter en service. Il avait à présent sans le savoir l’aspect parfait de l’Ernil i Pheriannath , le Prince des Semi- Hommes, comme on l’avait appelé, mais il ne se sentait pas du tout à l’aise. Et l’obscuri té commençait à lui peser. Il fit sombre et terne toute la journée. De l’aube sans soleil jusqu’au soir, la lourde ombre s’était épaissie et tous les cœurs dans la Cité étaient oppressés. Loin en dessus, un grand nuage porté par un vent de guerre flottait le...
-
Penser, c'est dire non ?
Pour Hegel, la pensée - qu'il appelle esprit - suit une démarchedialectique qui procède par une unification et un dépassement descontraires. Une réalité est d'abord niée, puis cette négation est niée àson tour, pour aboutir à une synthèse qui réconcilie les deux réalitésopposées tout en les dépassant. Au terme de ce processus, la penséeaccède au savoir absolu. Peut-être la dialectique hégélienne pourra-t-elle nous permettre ici de répondre synthétiquement à la question :dans...
-
Penser est-ce dire non?
Pour Hegel, la pensée - qu'il appelle esprit - suit une démarchedialectique qui procède par une unification et un dépassement descontraires. Une réalité est d'abord niée, puis cette négation est niée àson tour, pour aboutir à une synthèse qui réconcilie les deux réalitésopposées tout en les dépassant. Au terme de ce processus, la penséeaccède au savoir absolu. Peut-être la dialectique hégélienne pourra-t-elle nous permettre ici de répondre synthétiquement à la question :dans...
-
Penser est-ce dire non?
Pour Hegel, la pensée - qu'il appelle esprit - suit une démarchedialectique qui procède par une unification et un dépassement descontraires. Une réalité est d'abord niée, puis cette négation est niée àson tour, pour aboutir à une synthèse qui réconcilie les deux réalitésopposées tout en les dépassant. Au terme de ce processus, la penséeaccède au savoir absolu. Peut-être la dialectique hégélienne pourra-t-elle nous permettre ici de répondre synthétiquement à la question :dans...
- 20 septembre 1992 : Oui à l'Europe, de justesse.
-
PENSER EST CE DIRE NON?
Pour Hegel, la pensée - qu'il appelle esprit - suit une démarchedialectique qui procède par une unification et un dépassement descontraires. Une réalité est d'abord niée, puis cette négation est niée àson tour, pour aboutir à une synthèse qui réconcilie les deux réalitésopposées tout en les dépassant. Au terme de ce processus, la penséeaccède au savoir absolu. Peut-être la dialectique hégélienne pourra-t-elle nous permettre ici de répondre synthétiquement à la question :dans...
-
c'est à l'espèce de l'être visible.
LA CONCEPTION DU SAVOIR 207 l'aigu et le grave? Je pense que tu dirais par les yeux et par les oreilles. - T. C'est vrai. - S. La facilité à user des mots et des expressions n'a, en général, rien de roturier, c'est plutôt le contraire qui est indigne d'un homme libre, mais c'est parfois néces saire, ainsi, par exemple, il faut reprendre ce que ta réponse a de défectueux. Réfléchis, en effet : quelle est la réponse la plus correcte ? dir...
-
-
Pensée, est-ce dire non ?
Pour Hegel, la pensée - qu'il appelle esprit - suit une démarchedialectique qui procède par une unification et un dépassement descontraires. Une réalité est d'abord niée, puis cette négation est niée àson tour, pour aboutir à une synthèse qui réconcilie les deux réalitésopposées tout en les dépassant. Au terme de ce processus, la penséeaccède au savoir absolu. Peut-être la dialectique hégélienne pourra-t-elle nous permettre ici de répondre synthétiquement à la question :dans...
- ?? Or, Messieurs, vous avez ouï un commencement de l'histoire horrifique
-
a ctions faites avec raison, le savoir?
ment, la déraison. Il en est tombé d'accord. -Si ces choses se font d'une manière contraire, elles sont donc faites par des principes contraires. -Oui. - Mais l'une est faite par le savoir, et l'autre par la déraison. - Oui. - D'une manière contraire. - Sans doute. -Donc par des contraires. -Oui. -Te souviens-tu que nous sommes convenus plus haut que la dérai son est le con traire de la sagesse? -Je m'en souviens. -Et que...
-
Strindberg, Père (extrait).
LAURA : Que veux-tu dire par là ? LE CAPITAINE : Je veux dire que dans le combat qui nous oppose, l’un de nous doit succomber. LAURA : Lequel ? LE CAPITAINE : Le plus faible, naturellement. LAURA : Et le plus fort aurait raison ? LE CAPITAINE : Évidemment, puisqu’il a la force pour lui. LAURA : Alors, j’ai raison. LE CAPITAINE : As-tu donc déjà tous les pouvoirs ? LAURA : Oui, et même les pouvoirs légaux, puisque demain je peux te mettre sous tutelle. LE CAPITAINE : Sous tutel...
-
Penser, est-ce dire non ?
[S'il est vrai que penser implique dans un premier temps la négation, cela ne suffit pas. La phase de négation doit être suivie d'une phase positive de création et d'élaboration de concepts.] Pour penser, il faut également affirmer, créer. Spinoza, dans son Éthique, commence par poser un certainnombre d'axiomes (affirmations indémontrables mais évidentes). Quant au doute méthodique de Descartes, cen'est pas une fin en soi. C'est une manière de «déblayer le terrain» avant de poser la premièr...
-
champ l'effet d'une explosion.
dessein decaptiver lanièce d’unange… Maisnon ! ilest mon amietjene veux pasdévoiler ses vices. MissWardle, adieu ! » En terminant cediscours, leplus suivi qu’on luieût jamais entendu proférer, M. Jingleappliqua sur ses yeux lereste dumouchoir dontnous avons déjàparlé, etse dirigea verslaporte. « Arrêtez, monsieurJingle,ditavec force latante demoiselle. Vousavezfaitune allusion à M. Tupman ; expliquez-la. – Jamais ! s’écriaM. Jingle d’unairthéâtral, jamais ! » Et, pour montrer qu’ilnevoulait pasê...
-
« C'est toi, Joe.
Chapitre LI C’est en1903 queHorace Quinnfutélu shérif àla place deMr. R.Keef. Ilétait depuis assez longtemps premieradjoint.Laplupart desélecteurs pensèrent avecraison quesi Quinn faisaittoutletravail, ildevait jouirdesavantages attachésàce poste. Ille garda jusqu’en 1919.Pournous, quiavions grandi danslaprovince deMonterey, « shérif »et « Quinn » étaientsynonymes. Nousnepouvions pasimaginer qu’ilserait remplacé un jour. Mais l’âgeétaitlà.Ilboitait àla suite d’une ancienne blessure.Noussavions...
-
un jour de rêve
Chapitre 1 : La rencontre Cette histoire commence par un 4 septembre 2012.Ce jour là c'est la rentrée des classes pour les secondes,au lycée. C'était la première fois pour ces 7 jeunes filles qu'elles se retrouvaient dans un lieu aussi immense,mais aussi la première fois qu'elles allaient rencontrer de nouvelles personnes qu'elles connaissaient pas. Nous retrouvons ces jeunes filles devant les listes. «C'est pas possible je ne nous trouve pas !dit Anaïs inquiète -Si ,attend on est sur...
-
-
LES PENSÉES (Extraits) -PASCAL
Oui ; mais il faut parier. Cela n'est pas volontaire, vous êtes embarqué. Lequel prendrez-vous donc ? Voyons.Puisqu'il faut choisir, voyons ce qui vous intéresse le moins. Vous avez deux choses à perdre : le vrai et le bien, etdeux choses à engager : votre raison et votre volonté, votre connaissance et votre béatitude ; et votre nature adeux choses à fuir : l'erreur et la misère. Votre raison n'est pas plus blessée en choisissant l'un que l'autre, puisqu'ilfaut nécessairement choisir. Voilà...
-
Les Mille et Une Nuits (extrait).
— Ma sœur, retiens bien les conseils que je vais te donner. Lorsque je serai chez le roi, il te fera demander. Tu viendras le trouver aussitôt, et lorsque tu constateras que nos ébats auront pris fin, tu me diras : « Ô ma sœur, si tu ne dors pas, raconte-moi une petite histoire. » Alors je commencerai un récit... dont l’issue coïncidera avec ma délivrance et avec elle celle de toute la communauté ! Oui, entends-tu, c’est ainsi que je compte faire oublier au roi ses habitudes sinistres... Dounyaz...