174 résultats pour "pulsion"
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FREUD: Science, Bonheur et Désillusion
Freud dresse premièrement (lignes 1 à 5) le constat effectif du progrès de la civilisation humaine de son aubejusqu'à l'époque contemporaine de l'auteur. Il insiste ensuite (lignes 5 à 8) sur le fait que ce progrès n'a pas eu les effets escomptés. L'homme moderne nesemble pas plus heureux dans ces conditions. Enfin (lignes 8 à fin) l'auteur conclue sur la nature de l'illusion engendrée par le processus de civilisation enquête du bonheur. I. La culture comme réalisation des souhaits ancestraux...
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Les hommes ne désirent-ils que ce dont ils ont besoin ?
effet, si tous les hommes s'entend sur le mot, ils s'entendent fort peu sur la chose: tous appellent bonheur cequ'ils désirent mais tous ne désirent pas les mêmes choses.. Comment le pourraient-ils si le bonheur nedésigne que la chose manquante à leur désir. [Il faut distinguer le besoin du désir. Le premier est nécessaire, le second peut être superflu. On peut désirer des choses dont on n'a pas besoin. Désirer ce qui a une valeur aux yeux des autres n'est pas forcément désirer ce qui n...
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De quoi l'inconscient peut il être la cause ?
dans sa propre maison. » Freud, Essai de psychanalyse appliquée, « Une difficulté de lapsychanalyse ». Freud va être amené à concevoir que bon nombre de maladies, mais aussi d'actes quotidiens s'expliquent si l'on admet l'hypothèse de l'inconscient. Il yaurait en nous u « réservoir » de forces et de désirs (ou pulsions) dont nous n'aurions pas conscience, mais qui agiraient sur nous.. Pour le direbrutalement, en ce sens, l'homme n'agirait pas (ne choisirait pas ses actes etoute co...
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Faut-il revendiquer un droit a la passion ?
- La passion est un sentiment personnel / les lois ont pour but de régler les rapports entre les hommes : il droit vise une communauté et non seulement un individu - La passion ne saurait être considérée comme un droit ou une norme, elle se situe hors des problématiques de la communauté, tant qu'elle n'en entrave pas le fonctionnement - La passion fait agir selon un sentiment / la justice dit être aveugle -> l'allégorie de la justice- Selon Freud, la civilisation à pour but de corrig...
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Bibliographie: les passions
La passion de la passion. Il est possible de compléter cette lecture par celle des Lettres à Elisabeth. • Traité de la nature humaine, Hume (Garnier-Flammarion). Hume dégage dans cet ouvrage l'idée que passion et raison relèvent de deux ordres distincts, le second étant soumis au premier. • Anthropologie, Emmanuel Kant {Vrin). La pensée de Kant pose directement le problème de la passion, et l'envi sage notamment comme pathologie. Le...
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naturalisme - littérature.
Quand le personnage du roman naturaliste est coupé de cette nature, sa vie est étouffée (c'est le schéma développé dans des romans aux titres ironiques, comme Une vie, de Maupassant, Une belle journée, de Céard ou la Joie de vivre, de Zola). Quand il est dominé par la nature, le personnage devient un « rapace », avide d'argent, de pouvoir, de vice, profondément immoral (ce sont les affairistes du second Empire chez Zola, ou le personnage principal de Bel Ami, de Maupassant). Parfois, s...
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Dictionnaire en ligne:
-AL, -EL, suffixe.
fonctionnel - " relatif aux fonctions (en biologie, psychologie, chimie) " individuel - " qui concerne l'individu; qui concerne une seule personne " industriel - " qui se rapporte à l'industrie " insurrectionnel - " qui tient de l'insurrection " matriciel - " relatif aux matrices de l'administration " obédientiel - " relatif à l'obédience " présidentiel - " relatif au président, à la présidence " professionnel - " relatif à la profession, au métier " pulsionnel - " relatif aux pulsions " réactio...
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La Liberté selon Spinoza
2 même quand on prend conscience de sa puissance et de la dépendance qu'elle a occasionnée. L'alcoolique voudrait bien s'arrêter de boire tellement il souffre désormais de sa drogue, mais il en est incapable: la passion a pris le pas sur la raison et c'est le désir qui fait désormais autorité dans son âme en lui dictant ses actes. Il a ainsi perdu une des facultés qui font la dignité d'un homme, à savoir l'intelligence de sa raison qui don...
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Freud, Sigmund - médecine.
mondiale, avec le départ de Rank en 1924 puis de Ferenczi en 1929. Entre 1910 et 1920, Freud poursuit la recherche théorique au travers de sa pratique ; il fait paraître les Cinq Leçons sur la psychanalyse (1909), un texte connu sous le titre « le Président Schreber » (1911), Totem et Tabou (1912), dans lequel Freud tente une recherche anthropologique sur les origines de l’humanité, l’ Introduction à la psychanalyse (1916-1917) et Deuil et Mélancolie (1917). C’est au cours de cette périod...
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Freud, Sigmund - savants et scientifiques.
Dès 1906, Freud constitue un petit groupe de dix-sept élèves et disciples, qui se réunissent chaque mercredi pour former la « Société psychologique du mercredi ». Parmi eux se trouvent les psychiatres autrichiens William Stekel et Alfred Adler, le psychologue autrichien Otto Rank, et les psychiatres suisses Eugen Bleuler et Carl Gustav Jung. Au nombre des autres associés qui se joignent au cercle en 1908 figurent le psychiatre hongrois Sándor Ferenczi et le psychiatre britannique Ernest Jones. 4...
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La conscience limite t elle notre liberté?
nous apprenons à ne désirer que ce que nous avons la certitude d’acquérir, alors plus rien ne pourra nous manquer. Nous aurons un sentiment de plénitude plus développé que celui qui, possédant toutes les richesses, ne sait pas mettre fin à sa conquête. Après avoir exposé la règle de morale :« Faire de nécessité vertu » Descartes s'engage maintenant sur une nouvelle conduite à tenir. Enfin cela se traduit à la fin de l'extrait, des lignes 102 à 104, Descartes utilise des figures d...
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«Sur les transpositions des pulsions plus particulièrement dans l’érotisme anal » de Freud in La vie Sexuelle
l’esprit de l’enfant, mais que aussi (de façon inconsciente) dans celui de l’adulte. Le destin des pulsions qui ont pour origine l’érotisme anal est de seconvertir en désir d’enfant, en désir d’homme, mais aussi en intérêt pour l’argent (en tant que possession propre et en tant que cadeau) ou en traits decaractères tels que l’avarice ou l’obstination chez les névrosés obsessionnels.
- Peut on aimer faire le mal ?
- étayage
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«Sur les transpositions des pulsions plus particulièrement dans l'érotisme anal » De Freud in La vie Sexuelle, fiche de lecture
l'organisation génitale que tous les fantasmes originairement conçus sur le mode génital se convertissent en fantasme de nature anale (le pénis est remplacé par laverge d'excrément et l'intestin se substitue au vagin). Exemple : « L'homme aux rats » p207.Dans le développement de l'organisation génitale normale l'intérêt pour l'excrément régresse et se transfère sur le pénis. Ainsi, Freud dans ce texte fait l'analogie entre le pénis, l'enfant et l'excrément et arrive à la conclusion que ces trois...
- objet.
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- Le sadisme en psychanalyse
- conflit psychique
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Le sentiment amoureux n'est-il que l'expression de ma nature biologique
n'est pas mon bien qui s'y trouve en jeu, c'est la volonté de l'espèce qui se joue de moi pour m'imposer des butsillusoires. En effet, comme il le note : « Un insecte recherche un fleur […] soin analogue à celui avec lequel l'hommechoisit pour la satisfaction de l'instinct sexuel une femme d'une nature déterminée adaptée à la sienne, et qu'ilrecherche si ardemment que souvent pour atteindre son but, et au mépris de tout bon sens, il sacrifie le bonheur desa vie par un mariage insensé, par des...
- Objet
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Le concept d'attachement en psychanalyse
Janet, chez Henri Wallon et son disciple René Zazzo, brisant avec la théorie de l'homme seul et renouant avec la notion marxiste de l'homme social, se trouverait ainsi réactualisé. Mais, selon René Zazzo, il n'y a pas engen drement de la société par les liens interpersonnels d'atta chement. L'intégration sociale relève d'un autre plan de réalité et le processus de socialisation est autre chose que le mécanisme biologique d'attachement. Cependant, les...
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Doit-on désirer le Bien ?
Plan I- Accord du fait et du droit : le désir ne vise que le bien · Dans le Ménon, Socrate fait admettre à son interlocuteur qu'il est impossible que nous désirions des choses que nous jugerionsmauvaises. C'est bien que de droit nous ne devons désirer que lebien puisque de fait il en va déjà ainsi. · En effet, désirer quelque chose, c'est désirer qu'elle advienne. Or, nous ne voulons pas subir le mal, sous quelque aspect que cesoit. En con...
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Le désir est-il l'expression de la liberté humaine et du bonheur ou bien source d'esclavage et de malheur ?
choix : un homme peut désirer manger telle ou telle chose, inventer des objets à ses désirs comme par exemple une fusée pour aller dans l’espace. Le désir anime l’essentiel d’une vie humaine : désirs amoureux, de conquête, de gloire… Sans désirs, nous perdons le gout de vivre, nous sommes condamnés à l’ennui ou à la mort. Lors d’un projet médical, Freud abouti à une description de l’esprit humain, il propose ainsi la compréhension du fonctionnement psychologique. Il conclu que tous les hommes su...
- affect
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- Peut on être esclave de soi même ?
- Grand cours: CONSCIENCE & INCONSCIENT (h de j)
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Trois essais sur la théorie sexuelle de Sigmund Freud (analyse et résumé)
Le terme de libido, aujourd'hui encore, reste quelque chose de délicat à interpréter. En effet, Freud lui-même n'en a pas donné une définition précise. Tantôt, la libido nous apparaît comme l'instinct sexuel — aussi bien dans sesmanifestations psychologiques que physiques ; tantôt Freud la qualifie, dans un passage ajouté en 1925, de « force» par laquelle s'exprime l'instinct sexuel. Freud met volontiers en parallèle deux instincts de survie : celui de la nutrition et celui de la sexualit...
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Kardiner, psychanalyste des sociétés
La personnalité de base est donc propre à chaque culture. S’il y a une pluralité des sociétés, il y a une pluralité des cultures, et donc une pluralité despersonnalités de base. Pour l’histoire, la principale critique que Kardiner fait à Freud, c'est de ne pas avoir vu cette pluralité des cultures. Ainsi il affirmeque rien ne dit qu'il y a effectivement un complexe d'œdipe dans toutes les sociétés. 2 Différentes cultures étudiées par Kardiner Dans ce texte l'auteur met en avant les différentes p...
- Inconscience
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Au delà du principe du plaisir : Les instincts de vie et de mort (Freud)
n'y adhère pas plus que je ne cherche à obtenir pour elles l'adhésion, la croyance des autres. Ou, plus exactement :que je ne saurais dire moi-même dans quelle mesure j'y crois ". »Mais bien qu'hésitant d'abord, Freud finit par être convaincu de la valeur de cette idée en tant qu'hypothèse detravail, et donc de sa vérité clinique. Freud modifia le concept de masochisme, qui cessa de n'être que l'opposé desaspects dominateurs du sadisme au sein de la sexualité primitive, pour devenir lui-même un...
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"Qui veut faire l'ange fait la bête" ?
LA VIOLENCE ET LA CIVILISATION "La question du sort de l'espèce humaine me semble se poser ainsi : leprogrès de la civilisation saura-t-il, et dans quelle mesure, dominer lesperturbations apportées à la vie en commun par les pulsions humainesd'agression et d'autodestruction ?" Freud, Malaise dans la civilisation, 1929. Aucune civilisation ne peut accepter l'expression ouverte de l'agressivitéhumaine. Elle doit s'efforcer de s'en protéger. Seulement l'être humain vitd...
- la complexité psychique et social de l'être humain
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Les concepts de travail de la psychologie clinique : La métapsychologie freudienne
a) Le « ça » Il est définit comme le pôle pulsionnel de la personnalité. C'est le réservoir des pulsions. Elles sont inhérentes à l'individu, comme les pulsions d'autoconservation parexemple. (Manger pour vivre…). D'autres pulsions vont apparaitre au cours de l'évolution comme les pulsions sexuelles. Ces pulsions vont concerner plusieurs typesde plaisir, chacun référant d'une zone érogène du corps. (Pulsion sexuel orale, anale..). Le « ça » est un fond commun et règne en maitre dès la naissance...
- ambivalence
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Irénisme (analyse et critique de la doctrine)
La paix n'est pas l'état naturel de la société •:[•1:• Les premières sociétés humaines étaient belliqueuses. Il est dans la nature de l'homme d'être agressif , donc de vou· loir la guerre. La guerre est le moteur de l'histoire et a contribué aux progrès de l'humanité. L'état de nature est un état de guerre P aléontologues et anthropologues ont •En faveur de la guerre: elle introduit la barbarie ( ••. ), et rapproche ainsi de la...
- L'hypothèse de l'inconscient ruine-t-elle l'idée de responsabilité?
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Autrui me connait il mieux que je ne me connais moi-même ?
« Tu crois savoir tout ce qui se passe dans ton âme, dès que c'estsuffisamment important, parce que ta conscience te l'apprendrait alors. Etquand tu restes sans nouvelles d'une chose qui est dans ton âme, tu admets,avec une parfaite assurance, que cela ne s'y trouve pas. Tu vas mêmejusqu'à tenir « psychique » pour identique à « conscient », c'est-à-dire connude toi, et cela malgré les preuves les plus évidentes qu'il doit sans cesse sepasser dans ta vie psychique bien plus de cho...
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L'expression "c'est plus fort que moi" a-t-elle un sens ?
quelqu'un dans la rue parce que je suis de mauvaise humeur, les pulsions de l'âme, inconsciemment, me guide àeffectuer ce geste alors que ma conscience me prouve le contraire. Il semble alors clair que ce pouvoir du corps,cette « intelligence » comme l'évoque Spinoza, inhibe ma liberté de choisir mes actes. Car la liberté induit toujoursun choix délibéré de la personne consciente. Si notre corps est orienté dans ses actions, il devient alors évident quenotre liberté d'agir est remise en question...
- Le stade en psychanalyse
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FREUD: Une violente répression d'instincts puissants
Demande d'échange de corrigé de Mroué Raja ( [email protected] ). Sujet déposé : FREUD: Une violente répression d'instincts puissants Une violente répression d'instincts puissants exercée de l'extérieur n'apporte jamais pour résultat l'extinction ou ladomination de ceux-ci, mais occasionne un refoulement qui installe la propension à entrer ultérieurement, dans lanévrose. La psychanalyse a souvent eu l'occasion d'apprendre à quel point la sévérité indubitablement sansdiscernement de...
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ne desire-t-on que ce qui a du prix pour autrui
man i fester comp lètement, voi r même de se réa l iser. Au t r u i, c’est u n contact avec l’extér ieu r qu i peut nous fa i re p rend re conscience de l a vér i tab le va leu r de ce monde, not re subject iv i té et nos émot ions ne nous permettan t pas de réel lement le voi r tel qu’i l est. Au t r u i est donc u ne source de renseignements af i n de voi r le monde p l us object ivement. Au t r u i a également des dési rs, et ses dési rs peuvent i n f l ue r su r nos cho...
- Tout ce qu'il faut savoir sur l'inconscient
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La sublimation au travail est-elle possible ?
Quid juris de la question si le travail est avant tout aliénation ? I. 1. Présentation de l'aliénation MARX « En quoi consiste l'aliénation du travail ? D'abord, dans le fait que le travail est extérieur à l'ouvrier, c'est-à-dire qu'iln'appartient pas à son essence, que donc, dans son travail, celui-ci ne s'affirme pas, mais se nie, ne se sent pas à l'aise,mais malheureux ; il n'y déploie pas une libre activité physique et intellectuelle, mais mortifie son corps et ruine son esprit.En conséqu...
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Puis-je savoir qui je suis ?
nous donne de nous-mêmes, si elle a le mérite d'être différente de la nôtre, n'est pas purement objective : sonjugement peut être déformé par l'amitié ou l'antipathie qu'il éprouve pour nous. En outre, sa critique estnécessairement incomplète, puisqu'elle ne peut s'appliquer que sur les traits de notre caractère que nous laissonstransparaître, consciemment ou non, au-dehors. L'Autre ne peut voir que mon masque social, le " persona " deslatins. De plus, l'Autre n'a pas forcément connai...
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Est-on d'autant plus libre qu'on a des raisons d'agir comme on le fait ?
l'homme à ses pulsions du désir, à la spontanéité de l'existence naturelle qui est la plus libre qu'il soit, parce qu'elle satisfait une tendance naturelle. Or il est impossible de s'épanouir, de faire son bon plaisir, quand on est sous la contrainte. La spontanéité ne peut pas être raisonnable ni calculée sans quoi elle n'est plus. Être libre, c'est vivre en improvisant, c'est ne pas se donner de plan, ne pas se contrôler soi-même. « carpe diem » : « Profite du jour ! » dit la morale hédoniste...
- FREUD (Sigmund)
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L'inconscient est-il l'expression de l'aliénation de l'homme ?
mesure où il est nécessaire de situer sa découverte de l'inconscient dans les manifestationsconcrètes de celui-ci. § C'est dans sa pratique de l' hypnose puis de l' association libre (parler de tout ce qui passe dans la tête sans effectuer de censure) que Freud découvre qu'il existe des mécanismes inconscients dont le sujetne peut prendre connaissance. Ces mécanisme sont alors purement scientifiques et sontconnaissables en tant que tels. Mais comment le médecin ou psychanal...
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Critique et réhabilité de la théorie de l'inconscient
La démarche de la psychanalyse a pour but de rendre au sujet malade la pleine possession de lui-même. Accouchement de la liberté.
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- Cours: LA VIOLENCE (b de g)
- Le refoulement en psychanalyse