4320 résultats pour "conscience"
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PREMIER ROMANTISME, CONSCIENCE MODERNE ET SOCIETE MARCHANDE
comme fixé la figure du marchand, figure de proue d'un monde désormais libéré, aussi bien des parti cularismes que des saccageurs de province et autres héros. Alors que les courtisans savent à quelle heure le roi se lève, le marchand travaille au bonheur et à l'unification du genre humain. Plus tard, Beau marchais (Les Deux Amis), Sedaine (Le Philosophe sans le savoir), avaient, à leur tour, exalté le cheva lier des temps...
- Peut-on être libre sans en avoir conscience ?
- Science sans conscience
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LA FONCTION IMAGEANTE SELON SARTRE
En réalité que j'imagine cette chaise de paille sur laquelle je suis assis, elle demeure toujours hors de la conscience... Que je perçoive ou que j'imagine cette chaise l'objet de ma per ception et celui de mon image sont identiques... Simplement la conscience se rapporte à cette même chaise de deux manières différentes ... Le mot d'image ne saurait donc désigner ... qu'une certaine façon qu'a la conscience de se donner un objet....
- CAS DE CONSCIENCE
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C
courageux peut s'avérer n'être qu'un lâche, etc. ; mais la pure conscience d'être, elle, est nécessairement vraie. Ainsi, Descartes, au terme de la démarche du doute méthodique, découvre le caractère absolument certain de l'existence du sujet pensant : « je pense, donc je suis ». Quand bien même tout ce en quoi je crois n'aurait pas plus de vérité que le contenu de mes songes, une certitude demeure, celle que j'existe, et aucun doute, aussi exagéré soit-il, ne peut la remettre en cause. &bull...
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Changer est-ce devenir qqn d'autre?
courageux peut s'avérer n'être qu'un lâche, etc. ; mais la pure conscience d'être, elle, est nécessairement vraie. Ainsi, Descartes, au terme de la démarche du doute méthodique, découvre le caractère absolument certain de l'existence du sujet pensant : « je pense, donc je suis ». Quand bien même tout ce en quoi je crois n'aurait pas plus de vérité que le contenu de mes songes, une certitude demeure, celle que j'existe, et aucun doute, aussi exagéré soit-il, ne peut la remettre en cause. &bull...
- EXAMEN DE CONSCIENCE D’UN HOMME DE LETTRES de Renato Serra (résumé)
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Situation du texte dans L'Etre et le Néant - 1re partie, chapitre II - Sartre (commentaire)
La conscience existe en s'opposant au ~onde des choses De quoi est faite cette conscience ? Quelle est sa compo sition, sa substance ? Sartre.pense avec Husserl (le fon dateur de la phénoménologie) que la conscience précisé ment n'est pas une substance, c'est-à-dire une chose ayant sa consistance et sa permanence données dans l'espace et dans le temps. Une chose, en effet, est fermée sur elle-même, munie à tout instant d'u...
- Peut-on, avec les psychologues du siècle dernier, définir la psychologie « la science des faits de conscience » En d'autres termes, quelle est la caractéristique du fait psychique ?
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La communication des consciences.
O~JET ET MÉTHODE par les philosophies classiques. (Cf. MouNIER, Introduction aux existentia lismes, le chapitre intitulé : Le thème de l'autre). II. li convient de distinguer deux questions : 1° Cornpénétration psycho logique; 2° Communion des sujets. La première question reste dans le domaine proprement psychologique : Pouvons-nous pénétrer dans le monde d'idées, de sentiments, de convic tions ... qui se passent à l'intérieur d'une con...
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Bergson: Qu'arrive-t-il quand une de nos actions cesse d'etre spontanee pour devenir automatique ?
actions habituelles ? Bergson va alors distinguer parmi les actions habituelles, celle qui sont assimilées et celles qui ne lesont pas encore de telle sorte que les actions habituelles ont bien d'abord été adoptées etconsenties par un choix de la conscience. Comment alors expliquer les variations de conscience ( tantôt effacée et tantôt aigu ё )? Bergson montre ensuite à travers la situation de choix que les variations de la conscience ne sontpas de nature ( la nature de la conscience...
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Suis-je mon corps?
[On doit donc dire: «J'ai un corps». Avant de sentir le corps, la conscience se saisit elle-même. Elle estdonc distincte du corps. Ce qui, en moi, dit «je suis» ne se confond pas avec mon corps. On doit donc dire «j'ai un corps».] Je ne suis pas mon corpsPour Descartes, la conscience, bien qu'étroitement unie au corps, est radicalement distincte de lui. «Je nesuis pas seulement logé dans mon corps, ainsi qu'un pilote en son navire, mais, outre cela, (...) je suisconjoint très étroit...
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Comment puis-je savoir qui je suis ?
nous sommes réellement. Es-ce que cette conscience me donne un vrai reflet de moi-même ? Le présupposé nie tous les phénomènes inconscients. Or toute personne a déjà vécu des phénomènes inconscients. Nous serions donc en réalité différents de ce que nous pensons être. Donc s'il y a des phénomènes inconscients alors il y a une partie de mon esprit que je ne maîtrise pas. Dans ce cas-là, le concept de sujet disparaît complètement. Je ne me connais pas donc je peux choisir librement et ne peut me...
- « La conscience de devoir mourir peut-elle susciter chez l'homme d'autres sentiments que la peur ? »
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L'appareil psychique
La conscience directe est simplement conscience de quelque chose et s'efface sans laisser de souvenir. Laconscience réfléchie est consciente d'elle-même et peut nous faire percevoir la nouveauté d'une sensation. Elle estdonc aussi capable de reconnaître dans une impression présente le souvenir d'une impression passée.Ainsi, pour Descartes, il y a identité entre le psychisme & le conscient. Il n'y a pas d'interruption de l'activitéconsciente. C'est l'inscription d'une trace cérébral...
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Sujet : L'homme est-il ce qu’il a conscience d’être ?
Conclusion partielle De ce qui précède, l’on peut retenir que l’homme a la possibilité de se conna ître et cela, grâce à la conscience qu’il possède. Car en réalité, la conscience est non seulement une faculté de connaissance, mais également ce par quoi celui - ci arrive à porter un jugement sur le monde, les choses et son être. Transition Si la conscience permet à l’homme de se connaître, comment peut - o comprendre que celui -...
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La connaissance de soi est-elle sincère ?
La sincérité est en effet une avarice spirituelle : elle un impetus, jamais un élan. L'homme sincère a des vertus, voireune science des biens et des maux. Mais sa sincérité ne s'adresse à personne. Elle est une harangue, jamais uneallocution. Elle est le fait du devenir de la self conscience. Vouloir et pouvoir mais sans valoir, telles sont sesprérogatives, celle de sa fausse modestie, de sa vanité, de son orgueil, jamais humiliée devant les valeurs maisoffensée devant ce qui autre. C'...
- Explication de texte : Le Rire, Bergson: « mes sens et ma conscience ne me livrent donc de la réalité qu’une simplification pratique »
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Est-on d'autant plus conscient que l'on est seul ?
reconnaît pas de suite comme une unité (défaillance du critère d'unité). Il ne se reconnaît pas non plus commeautre.Un autre exemple est très fréquent chez les animaux, (bien que les animaux et les hommes ne soient pascomparables), doutés d'une conscience immédiate mais pas d'une conscience de soi : l'expérience consiste à collerun confetti sur le front d'un animal sans qu'il s'en aperçoive, et quand celui-ci se regarde dans le miroir, il voit leconfetti dans le miroir et essaye de...
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explication de texte bergson
conscience impacte également le futur. Nous sommes conscients que le présent qui devient aussi tôt le passé est trop éphémère pour pouvoir y porter trop attention, alors notre esprit, notre conscience se reporte sur le futur, sur notre avenir. Le fait d’être conscient de notre avenir nous permet en réalité de pouvoir agir sur celui-ci et de pouvoir contrôler nos actes ; ou du moins c’est ce que nous pensons. La conscience nous rend prévoyants car grâce a elle nous savons, nous avons consc...
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Est-on d'autant plus libre que l'on est conscient ?
La liberté croît alors relativement au développement de la conscience comme savoir des causes et caractères del'affect. La conscience, qui n'est pas chez Spinoza une propriété morale du sujet, est conscience de ladétermination. La conscience de la détermination permet l'intensification physique l'essence du mode humain : saliberté consiste en la conscience de l'illusion que constitue la liberté (au sens de l'absolument non-déterminé). II. Conscience contre conscience : les illusions (empi...
- ESSAI SUR LES DONNÉES IMMÉDIATES DE LA CONSCIENCE Henri Bergson (résumé & analyse)
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Jean-Paul SARTRE: Connaitre, c'est "s'eclater vers"
Ce texte, aride au premier abord et très écrit, tiré de Situation I de Sartre, rend compte de la conceptionsartrienne de la conscience directement héritière de la pensée du père de la phénoménologie, Husserl. Si le début dutexte tend à saisir le rapport entre la conscience et le monde (jusqu'à « vos estomacs sombres, et que laconnaissance ne pouvait pas, sans malhonnêteté, se comparer à la possession »), la seconde partie du texte (de« Du même coup, la conscience s'est purifiée, elle est...
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Doit-on dire "je suis un corps" ou "j'ai un corps" ?
Le corps humain, comme le corps de l'animal, est une machineperfectionnée créée par Dieu. Bien qu'infiniment plus complexe que nosmachines, son fonctionnement se laisse expliquer de la même manière.Les corps sont composés de nerfs et de muscles, comparables à despetits tuyaux, dans lesquels circule une matière subtile : les espritsanimaux. Lorsque nous touchons un objet par exemple, nous en prenonsune conscience tactile par l'effet de ces esprits animaux qui remontentjusqu'au cerveau...
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Commentaire nietzsche
cette conscience sous prétexte qu'elle ne serait que la partie la plus superficielle de notre esprit ? Et en ce sens, quelle importance accorder à l'inconscient ? Nous étudierons la pensée de Nietzsche en nous penchant sur la définition qu'il donne de la conscience (lignes 1 à 3) puis nous verrons en quoi elle résulte d'un besoin de l'homme (lignes 3 à 9) pour enfin aborder le problème de l'importance de la conscience par rapport à l'in...
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Ne désire-t-on que ce qui a du prix pour autrui ?
La faculté de se perfectionner, à l'aide des circonstances,développe successivement toutes les autres, et réside parminous tant dans l'espèce que dans l'individu, au lieu qu'un animalest au bout de quelques mois ce qu'il sera toute sa vie, et sonespèce au bout de mille ans ce qu'elle était la première année deces mille ans. Pourquoi l'homme seul est-il sujet de devenirimbécile ? N'est-ce point qu'il retourne ainsi dans son étatprimitif, et que, tandis que la bête, qui n'a rien ac...
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Sommes-nous maître de nous-mêmes ?
Mais la conscience de soi à ses limites et par association la maîtrise de soi en a aussi. Ainsi une personne élevée dans une f amille de catholique très croyante n’aura pas les mêmes opinions et préjugés qu’une personne élevée par une famille de hippies. On peut donc en déduire que d’une certaine façon nos pensées sont influencées par notre entourage. Il en va de même pour des personnes vivant dans des pays différents où les coutumes, le mode de vie, les habitudes alimentaires différent....
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autrui
déterminée par la présence, même seulement imaginée, de ces mondes possibles. 3: La communication des consciences Il peut nous arriver, au contraire, dâavoir lâimpression, avec certains autres, quâest possible une communication directe, intuitive, une compréhension qui se passe même de mots. III - LE CONFLIT DES CONSCIENCES 1: Le regard Sartre écrit, dans LâÃtre et le Néant, que lorsque nous sommes regardés, nous sommes exposés, en quelque sorte sans défense: nous pouvon...
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Théorie du sujet
III les problèmes de l’inconscient psychique. - FREUD, cinq leçons de psychanalyse , 1910 Métapsychologie , 1915 Au-delà du principe de plaisir , 1920 - LACAN, Ecrits , 1966 - SARTRE, l’Etre et le Néant , 1943 - DELENZO, l’anti Œdipe , 1972 I la réflexion et l’immédiat Sujet 1983 : peut-on dire que la conscience ou dans le temps et le temps est dans la conscience ? Sujet de 1992 : est-ce que que l’attention est la caractéristique essentiel de la conscience...
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Est-on d'autant plus libre que l'on est conscient ?
l'uniformité de la continuité causale.L'augmentation de la conscience ou de la réflexion sur la constitution de la conscience elle-même dénonce ainsi lapossibilité d'une conscience qui soit au principe de la liberté : le sujet n'étant pas une unité substantielle, laconscience n'augmente pas la liberté mais désigne son inexistence – l'inconscience ou l'irréfléchi peuvent seulsencore donner l'illusion de la liberté. III. Dualité restituée (Kant) Mais en assurant la primauté de l'in...
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Comment sait-on qu'un autre être est conscient ?
cette conscience s'exprime et se fait reconnaître. II. La capacité à dire ‘Je pense' et les signes de reconnaissance de la conscience La question des critères de reconnaissance d'un objet peut être résolue par une méthode de détermination dessignes par lesquels cet objet se laisse appréhender. Cette deuxième partie pourra s'intéresser à cette question dessignes caractéristiques émis par un être qui possède une conscience. La capacité à dire ‘Je pense' apparaît commele premier de ces signes....
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Y a-t-il une différence entre l'inconscient et l'inconscience ?
La conscience peut être définie comme « présence » au monde qui nous entoure et à nous-mêmes (c'est laconscience « de soi ») : je suis présent, conscient, cela veut dire que je perçois, j'aperçois, je réagis à ce qui sepasse autour de moi et en moi ; je suis actif. A l'inverse, les termes d' « inconscient » et d' « inconscience »semblent désigner, comme l'indique le préfixe négatif in-, la négation de la conscience, c'est-à-dire l'abolition(provisoire ou définitive) ou la perte de cette présence...
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qu'est ce que rester soi même
Première partie : Pouvoir être le même grâce à la conscience. a) L'homme change et ne change pas. On peut s'accorder sur deux constats évidents, mais contradictoires : d'un côté on change, d'un autre on nechange pas. Le constat de ce qui change est évident à observer. Il rend problématique la tâche consistant à saisirce qui demeure sous ce qui change. Il est périlleux de sacrifier l'un des deux constats. Il faut parvenir à les concilier. Descartes montre en quel sens lefait d...
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Nietzche exlication le gai savoir
sans être assuré pour autant de son appui. Ils ont établis des liens entre eux et ont formé un réseau structuré: la société. Cela ne veut pas dire un groupe d’égaux, mais un qui commande et les autres qui obéissent. Or comment peut-on donner des ordres et comment peut-on espérer les voir appliquer, si l’on se contente de grognements et de hurlements ? Il y faut des sons plus clairs et plus distincts, dans ce cas, celui que l'homme a choisis, c'est-à-dire, vivre en société, il ne peut se co...
- EXPLICATION DE TEXTE_ Extrait de "Essai sur les données immédiates de la conscience" de Bergson
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Comment comprendre la notion de vie intérieure ?
également ceux qui sont condamnées à ne pouvoir prendre de distance avec elle. Peut on envisager de pouvoirsortir de nous même pour nous comprendre? Comment l'esprit peut accéder à la conscience de soi. En contemplant ses oeuvres en lesquelles sont inscrits lesprocédés, les méthodes et les lois auxquels il s'est soumis sans en avoir d'abord conscience. Comte, Auguste René DescartesAinsi, à cause que nos sens nous trompent quelquefois, je voulus supposerqu'il n'y avait aucune chose qui fût...
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ROUSSEAU: Jetez les yeux sur toutes les nations du monde
l'homme aux dieux, pour autant que les actes de ces derniers soient jugés mauvais.· L'auteur distingue ainsi une autorité divine et une aptitude naturelle. Nous noterons, d'ailleurs, qu'il ne parle pasd'autorité naturelle .Seuls les dieux commandes. Et les anciens les écoutaient, dans la mesure où cela ne rentraitpas en contradiction avec un instinct, finalement plus fort, mais aussi moins autoritaire, en eux.· Il existe donc, selon Rousseau, une voix naturelle en nous, qui peut aller jusqu'à s'...
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Refus d'obéir aux lois ?
LA C,;UN:SC,;IENC,;t: • « au nom de ma conscience »:c'est-à-dire en vertu du pouvoir que me confère ma conscience morale : nous comprenons ici que la conscience morale possède un pouvoir. Lequel? Celui de distinguer le bien du mal. • « refuser de me soumettre aux lois » : cette capacité de distinguer le bien du mal me donne-t-elle le pouvoir, ou du moins la possibilité, de ne pas obéir aux lois, c'est-à-dire aux institutions de mon...
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commentaire de texte bergson
de façon volontaire, sans crainte extérieure. Ainsi, le philosophe se demande ici ce qu’il se passe lorsque une action cesse d’être guidée par la conscience de façon volontaire et qu’elle devient familière. Par la phrase brève qui suit, « La conscience s’en retire. » (ligne 2), il répond à la question énoncée précédemment mais nous invite surtout à établir une rétrospection sur notre propre expérience afin de constater par nous même ce qu’il...
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Peut-on ne pas savoir ce que l'on fait ?
2 2 « Par le mot de penser, j’entends tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l’apercevons immédiatement par nous -mêmes ; c’est pourquoi non seulement entendre, vouloir, imaginer, mais aussi sentir, est l a même chose ici que penser. » Cet acte de se penser soi -même est la réflexion. C’est le fait de savoir que l’on est, et de savoir qui l’on est. En ce sens, toute consci ence est acc...
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Bergson: la connaissance d'autrui par analogie
(fonctionnement du cerveau : matière) du mental (force spirituelle et psychique, incluant la conscience : esprit).Les spiritualistes affirment l'existence en l'intérieur de l'homme de la pensée, de la conscience, indépendamment dela matière. La conscience ne serait donc pas une conséquence directe de l'activité cérébrale, mais plutôt unefaculté de l'esprit, à laquelle on peut attribuer une indépendance par rapport au cerveau.Chez Bergson, la conscience effectue un travail de synthèse entr...
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Avons-nous naturellement la notion du bien et du mal?
+ Rousseau prétend que l'homme a un sentiment inné du bien Rousseau: "Conscience ! Conscience ! Juge infaillible du bien et du mal" Cette formule de Rousseau, que l'on peut lire dans l'Emile, aborde la question de la conscience dans sa dimensionmorale. En effet, si comme nous l'avons montré dans l'analyse de la citation de Pascal, la conscience signifie ausens premier « accompagné de savoir », elle prend également un sens moral, et les expressions que nous venonsd'évoquer montrent qu'elle appara...
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cours de philo
Philosophie Lundi Cours L’apologie de Socrate Mardi Cours/méthode 😊 😉 Jeudi Lecture ☹ Le sujet désigne l’individu singulier vivant qui peut dire je c’est-à-dire qu’il peut rapporter à lui c’est sensation, c’est sentiment, c’est acte et c’est pensé. Le sujet c’est a priori un être qui sen, éprouve, agis, pense, etc… il doit donc être distinguer de l’objet. Est dit subjectif ce qui se rapporte aux sujet, « objectif » ce qui se rapporte à l’objet. Pour être un sujet pour...
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Comment savoir qui je suis ?
réellement critique sur le " soi " que l'on était auparavant - mais elle ne peut permettre d'éviter les ennuis ayantrésulté d'une mauvaise action passée de notre part, elle permet tout au plus de prendre conscience de nos erreurspassées.Il apparaît donc clair que l'introspection ne peut suffire au philosophe recherchant son identité réelle. Il lui estindispensable de prendre en compte les réactions de l'Autre devant les manifestations dans le monde extérieur de sapensée, de ses sentiment...
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Sommes-nous conscients de ce qui nous déterminent ?
II. La nécessité de la prise de conscience dans la reconnaissance et le dépassement de ce qui nous déterminent En tant que sujet de conscience je suis ce que ma vie affective et intellectuelle a pu rencontrer, assimiler,digérer du monde extérieur, et que du monde extérieur, tel qu'il m'apparaît maintenant, je ne peux connaître,éprouver que le reflet de ce que je suis déjà. Comme le dit Bergson, dans un raccourci saisissant, « il n'y a pasde perception qui ne soit imprégnée de s...
- « Une conscience qui se ré-fléchit est déjà une mauvaise conscience; la conscience ne peut se saisir que dans ses déchirements. » (PRADINES, Traité de psychologie.). Commentez cette citation.
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Qu'est-ce que la reconnaissance d'autrui ?
satisfaction par laquelle le sujet retombe sans cesse en lui-même et sans supprimer la contradiction », la conscience découvre qu'elle ne peut se ressaisir que dans une autre conscience de soi. La dialectique même du désir le conduità son propre dépassement : de la pure consommation de l'objet à l'intersubjectivité. Le désir n'est plus seulementrapport égoïste de soi à soi, mais position de l'autre comme être indépendant et libre. Je ne peux me reconnaîtreque si je reconnais l'autre et réciproq...
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Sommes-nous conscients ou avons-nous à nous rendre conscients ?
qui nous permet d'être présent au monde. Ainsi, je ne puis avoir mal sans savoir, ou avoir conscience que j'ai mal. Etce sans même avoir à réfléchir sur ma douleur ! L'onomatopée "aïe" exprime bien cette idée : je ne réfléchis pasquand je dis "aïe", l'expression est énoncée spontanément, or elle exprime ma conscience d'avoir mal.Sans doute existe-t-il plusieurs degrés de conscience : le fait d'être dans le coma et celui de rédiger cettedissertation ne renvoient certainement pas au même...
- Expliquez cette remarque d'un philosophe : « On a les souvenirs dont on est capable; et c'est pourquoi la mémoire est tellement liée à la conscience morale. » ?