5319 résultats pour "moralisme"
- Pourquoi Rousseau dénonce-t-il les fables de la Fontaine ?
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La notion d'inconscient introduit-elle la fatalité dans la vie de l'homme ?
Devoir de bac blanc : 14/20
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Qu'es-ce que la VERTU ?
82 CORRIGÉ DE DISSERTATIONS PHILOSOPHIQUES I. La vertu comme amour ou comme •acrifice. a) La vertu qualité de l'âme. b) La vertu comme amour. c) La vertu comme effort vers l'absolu. II. - La vertu comme rapport raisonnable entre les hommes. a) Vertu et réflexion. b) Vertu et sagesse. c) Vertu et pratique de la vertu. Conclusion. - La vertu n'a pas sa nature en elle-même. Elle a un objet qui permet une hiérarchie des vertus p...
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Pourquoi limite-t-on la liberté par des règles juridiques ?
A : Pour Kant, le droit c'est ce qui permet de faire concilier les arbitres de chacun selon une loi universelle de liberté, ( Métaphysique des mœurs, doctrine du droit intro ). Le droit constitue une législation externe dans la mesure où il limite des actions pour les faire coïncider avec celles des autres.Une action sera juste dans la mesure où elle fait coexister la liberté del'arbitre de chacun avec la liberté de tout autre, selon une loi universelle deliberté.Le droit chez Kant...
- Une critique des valeurs
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La faute et l'erreur ?
Si, d'une façon générale, la faute est regrettée parce qu'elle procède de l'erreur ou parce qu'elle y conduit, lerapport se trouve inversé d'un point de vue strictement moral. C'est la faute qui devient, alors, l'objet même de laréprobation, et l'erreur dont elle est issue, ou à laquelle elle aboutit, est moins importante que l'acte qui la révèle oul'annonce. La faute, en effet, n'est plus rapportée au défaut du savoir, mais à l'absence de volonté droite; onsuppose que toute faute ne...
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La philosophie est-elle utile ?
Face à la technique qui se manifeste comme étant un moyen pour satisfaire des besoins, et répondre à une utilité, la P, elle, reste indéterminée. Elle peut, en effet apparaître comme une barrière à la visée de l’utile. La P se caractérise par l’absence de réponses sûres. Certes, les Pes ont cherché a établir des certitudes mais la P n’apporte aucune certitude indubitable et n’offre pas une vérité à laquelle peuvent s’accrocher toutes les autres. La philosophie ne peut établir son j...
- Dissertation les 2 coqs
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Le Roseau pensant - Pascal
roseau, car au lieu de se laisser balloter et plier par le vent, il peut imprimer une direction pour sa vie, en se fixantdes objectifs. C'est aussi ça la dignité de l'homme.Le rôle de l'homme dans l'univers serait donc de découvrir pour chercher à comprendre, et ainsi, évoluer. C'est ce enquoi toute l'½uvre de Pascal repose.La morale de Pascal, c'est ce qui conduit l'homme, le mène à atteindre sa dignité. Il s'agit d'une remise en questionperpétuelle de lui-même et de ce qui l'entoure.Ce dont ne...
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Doit-on limiter le pouvoir de l'homme sur la vie ?
Poser des limites au pouvoir de l'homme sur la vie ne consiste pas à revenir en arrière au temps des épidémiesou des famines. Les progrès des sciences et des techniques ont conduit les hommes à des découvertes quipeuvent avoir de graves conséquences pour l'humanité. La biologie touche maintenant à une sorte de limiteau-delà de laquelle l'être humain comme sujet moral est en droit de s'inquiéter. La possibilité des manipulationsgénétiques visant à un eugénisme pur doit être soumise à un cont...
- Kant
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Autrui peut-il etre autre chose qu'un obstacle ou un moyen ?
d'entrevoir ses limites ou d'apercevoir sa raison d'être.Première thèse implicite : Le solipsisme pratiqueComposé du latin solus (seul) et ipse (moi-même), le solipsisme est la doctrine réputée sans partisan particulier decelui qui dit : « Il n'y a que moi ».Le solipsisme se fonde sur le fait que l'autre est le Moi qui n'est pas Moi pour considérer cette négation commeétant constitutive de l'être de l'Autre.Sa négation est corrélative de la séparation ontologique présumée entre autrui et moi-mêm...
- CORRIGÉ DE COMMENTAIRE DE TEXTE PHILOSOPHIQUE
- Le lion, le loup et le renard. Commentaire.
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La Révolution sexuelle de Wilhelm Reich
Cette masturbation, qui concerne la presque totalité des adolescents, provient, selon Reich, d'une excitationsexuelle accrue par l'augmentation d'activité de l'appareil génital. L'auteur, en cela, s'oppose à certaines donnéespsychanalytiques qui interprètent l'onanisme comme des fantasmes d'inceste, c'est-à-dire de représentationsd'actes sexuels avec le parent le plus proche (père, mère, frère, soeur...). Mais comment la famille, et par conséquent la société, vont-elles faire face à ces...
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KANT : le devoir comme impératif catégorique
considérer la moralité comme un fait. Nous retrouvons, en conclusion du système kantien, comme postulats, lescroyances dont Kant a ruiné la valeur dogmatique. Lui-même a défini son entreprise ainsi : « J'ai remplacé le savoirpar la foi. » — Le monde sensible est seul donné à notre expérience et à notre connaissance : ce sont les faits, lesdonnées de la sensation. Le monde intelligible est une« illusion théorique». Le pouvoir de la raison pure est illusoire.Les principes de l'entendement pur ne...
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Suffit-il d'etre conscient pour etre libre ?
les hommes se vantent d'avoir et qui consiste en cela seul que les hommes sont conscients de leurs désirs, etignorants des causes qui les déterminent." Spinoza, dénonçant l'absurdité du dualisme cartésien (corps / esprit), pose la question du rapport entredétermination et la liberté à partir d'une conception unitaire de l'homme. La conscience se définit comme unepropriété physique de l'idée qui toujours se réfléchit : la conscience est donc dérivée de l'idée. Elle n'a ainsi aucunpouvoir propre m...
- L'animal, hors de la loi par J.Y.Goffi (Philosophie Magazine n°2)
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L'ETHIQUE DE SPINOZA (Analyse et critique)
L'Éthique « Nous ne désirons pas une chose parce qu'elle est bonne, mais au contraire, c'est parce que nous la désirons que nous la disons bonne. » Une morale géométrique Rédigé entre 1661 et 1675, cet ouvrage majeur est construit comme un système mathématique, ordine geometrico, c'est-à-dire calqué sur les Éléments d'Euclide dans sa disposition et sa subdivision : définitions (et éventuellement explications), axiomes, postulats, propositions démontrées parfois suivies de corolla...
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Pourquoi donc vivre si l'on doit mourir ?
II – Dépasser la mort : le trans-générationnel a) On ne peut pas réduire même du point de vue biologique la vie à la résistance à la mort même si elle est unecomposante essentielle. Avec Monod dans Le Hasard et la Nécessité on peut voir que les êtres vivants se distinguent de toutes les autres structures par leur dessein et leur projet. Quel est ce projet ? Conserver l'intégritéet la totalité de leur structure et la reproduire. On parle alors de Téléonomie : activité cohérente, orientée et...
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Est-il vrai que nul n'est méchant volontairement ?
Dans la morale traditionnelle, Bien et Mal se définissent comme ce qui est conforme ou contraire, à la loi morale. LeBien, c'est le devoir. Dans cette perspective, il est trop clair que l'on peut faire le mal volontairement, c'est-à-direagir sciemment à l'encontre de la loi. Mais, chez PLATON, ces termes sont pris au sens absolu. Le Bien, ce n'est passeulement ce qui est légitime : c'est le Souverain Bien et l'unique réalité, à la fois vérité, splendeur, justice. Et leMal, ce n'est pas seulement...
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La conscience est-elle un privilège ?
les animaux comme des moyens c'est aussi parce qu'ils ne sont des êtres ayant une valeur en soi notamment parcequ'ils n'ont pas conscience de leur existence. Mais plus simplement, sans même faire référence à une conscienceréfléchie, il possible de voir avec Rousseau dans la Profession de foi du Vicaire Savoyard que cette conscience morale, pour lui, vient du cœur. La conscience un principe inné de justice et de vertu. Pour lui donc, la consciencen'est que morale : la conscience c'est ce qui...
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Peut-on concevoir le droit sans devoirs ?
sa capacité à me respecter. Accorder des droits aux hommes c'est donc tenir compte de leur aptitude à serespecter mutuellement dans un devoir de respect. Le droit nous parle ainsi: tu as le droit d'être respecté,parce que toi-même tu peux t'imposer de respecter autrui. c. Mais un tel devoir demeure fragile: Il apparaît cependant que ce droit appuyé par le devoir n'est peut-être que l'expression de la capacité de l'homme à être bon. Dans ce cas, le droit est-il encore nécessaire s'il supp...
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Y a-t-il un devoir d'être heureux ?
§ 3. Bonheur et moralité chez Kant. C'est avec le christianisme qu'est apparue la distinction, voire l'opposition,entre la vertu et le bonheur, du moins le bonheur terrestre. Certes, ditPascal. malgré les misères de la vie humaine, l'homme « veut être heureux, etne veut i qu'être heureux, et ne peut ne vouloir pas l'être », mais c'est illusionde croire qu'il peut «être réjoui par le divertissement», car le bonheur «vientd'ailleurs î et de dehors, et, ainsi, il est dépendant, et, partant...
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Qu'est-ce que le courage ?
Le cou rage . [Introduction "générique de film". Simple sensibilisation au sujet. On n'annonce ni on ne problématise rien.] Lestalons sont dans le vide. Seule la pointe de la botte repose sur le bord de la fenêtre, qui donne sur une hauteurmortelle. Devant ses amis dont il relève le défi, le jeune officier, dos à l'extérieur, doit à présent boire une bouteillede champagne au goulot et d'un trait. Un millimètre d'écart du centre de gravité et c'est la mort, ce que tous lesassistants savent, et...
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Tour de la France par deux ENFANTS (le)
Le Tour de la France par deu x enfants Augustine Tuillerie, devenue madame Alfred Fouillée (1833-1923) , a publié sous le pseudonyme de G. Bruno divers ouvrages d 'éducation. On peut mentionner , outre L e T our de la Fran ce par deux enfant s, Devo ir et patrie (1877), Francin et (1870). L e Tour d e la France a été réédité de nombreu se s fois avec d'importantes variations au fur et à mesure de la laïcisation de l'enseignement...
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Obéir , est ce renoncer à sa liberté ?
volontairement notre liberté, mais en plus, nous nous laissons mener par des apparences car devenus incapables deréfléchir par nous même. Transition : malgré certaines formes d'obéissance aliénantes, l'homme libre est souvent un homme qui suit une oudes lois. Sont-elles nécessaires à la liberté ? La liberté ne se trouverait t-elle au contraire dans le choix moral de laloi auquel on veut obéir ? II) Obéir est nécessaire pour être fondamentalement libre La définition Sophistique de la liberté (pou...
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Que nous conseille l'opinion quant à la conduite à tenir vis-à-vis du désir ?
est la même chose que la satisfaction des désirs ; c'est l'état béat de contentement de celui qui a enfin pu obtenir ce qu'il cherchait,l'objet de ses désirs. L'homme heureux est celui qui après une lutte âpre pour parvenir à la satisfaction, gagne ce sommet où,entouré de tous les attributs du luxe, il peut enfin s'effondrer sur un canapé et dire ouf ! J'ai enfin réalisé tous mes désirs ! Queserions-nous en effet sans la poursuite incessante des désirs? Rousseau dit en ce sens : " l'homme qui n'...
- Dissertation: La conscience n'est-elle tournée que vers elle-même ?
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Le devoir est-il est un obstacle à la liberté ?
II) Le devoir n’est pas toujours un obstacle à la liberté : A) Remise en cause des définitions communes de la liberté : la liberté n’est pas l’indépendance. Ma liberté absolue est un mythe car elle est destinée à rencontrer celle des autres. De plus, la liberté comme recherche de la satisfaction de ses désirs peut être considérée comme une forme de dépendance au désir : il y a donc une contradiction. La liberté véritable est l’autonomie, le pouvoir d’agir selon sa volonté propre. Elle est donc n...
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LA NATURE DE L'HOMME DANS LES PENSEES DE PASCAL
qu'il passe et infiniment estimable en tant qu'il aboutit à l'éternité ». Cette même dualité de l'homme est sans cesse répétée par les poètes. Je sens deux hommes en moi, chantera un jour Racine, et Louis XIV dira qu'il connaît bien ces deux hommes. Or, pour Racine ou pour Bossuet ou pour tous les moralistes ce sont deux états qui se succèdent, en s'excluant.Méprisable, l'homme n'est que méprisable ; grand, il n'est que grand. S'il s'abaisse, il est tout avili ; s'il se relève, ilest tout ennobl...
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Une société sans religion est-elle possible ?
texte suivant de Marx : « La détresse religieuse est, pour une part, l'expression de la détresse réelle et, pour uneautre, la protestation contre la détresse réelle. La religion est le soupir de la créature opprimée, l'âme d'un mondesans coeur, comme elle est l'esprit de conditions sociales d'où l'esprit est exclu. Elle est l'opium du peuple.L'abolition de la religion en tant que bonheur illusoire du peuple est l'exigence que formule son bonheur réel. Exigerqu'il renonce aux illusions sur sa sit...
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- Suis-Je Responsable De Ce Dont Je N'ai Pas Conscience?
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Au nom de quoi condamne-t-on le plaisir ?
froidement et sans parti pris : « Nous les faibles nous sommes décidément faibles ;nous ferons donc bien de nerien faire de ce pour quoi nous ne sommes pas assez forts » Mais cette condamnation amère […] a pris les dehors pompeux de la vertu […] comme si la faiblesse était un acte de mérite » (ibid). Deux remarques : 1- la faiblesse condamne le plaisir parce qu'elle n'a pas assez de force ou de vigueur pour en prendre (le plaisir devient donc mauvais et l'abstinence bonne) : on a donc un ren...
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Les religions rassemblent-elles ou eloignent-elles les hommes ?
d'expression. Comme le remarque alors Spinoza dans le Traité théologico-politique , cette liberté d'expression ne doit jamais être remise en cause par le politique bien que l'entente deshommes suppose une contrainte des actions. On le voit : les hommes nepeuvent s'entendre, c'est-à-dire se comprendre, s'écouter, qu'au seind'un espace politique neutre à l'égard de la religiosité et des croyances. – Transition : mais la question est alors celle de la possibilité concrète decette sépara...
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Ne respectons-nous autrui qu'afin qu'il nous respecte ?
I) La contradiction : un respect « intéressé » L'idée d'un respect dû à autrui n'est certes pas étranger à l'opinion commune. Qu'ils soient religieux, moraux,sociaux, les fondements (divers) d'une telle idée ne manquent pas. Six des dix commandements prescrivent, en effet, un respect « négatif » d'autrui (son « prochain ») en formulantles interdictions de nuire à celui-ci (« Tu ne tueras point ; tu ne convoiteras pas le bien de ton prochain », etc.).Les interdits du Décalogue donnent e...
- Commentaire du Dépositaire Infidèle de Jean de la Fontaine
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Et comme il faut assumer nécessairement pour changer, le refus romantique de la maladie par le malade est totalement inefficace.
elle est incomplète car il ne faut /'assumer que pour la changer. Il ne s'agit pas d'adopter sa maladie, de s'y installer mais de la vivre selon les normes pour demeurer homme. Ainsi ma liberté est condamnation parce que je ne suis pas libre d'être ou de n'être pas malade et la maladie me vient du dehors: elle n'est pas de moi, elle ne me concerne pas, elle n'est pas ma faute. Mais comme je suis libre, je suis contraint par...
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ENCYCLOPEDIE: Le Prince
2. DES PRINCIPAUTÉS NOUVELLES A. Les principautés mixtes (théorie de l'annexion) t La tâche est autrement plus rude en ce qui concerne les principautés nouvelles. Il y a principauté nouvelle mixte quand un État déjà existant est annexé par une principauté elle aussi déjà existante. Le problème est ici le suivant: d'une part les hommes, dans l'espoir d'une meilleure situation, se révoltent contre le régime existant et un prince étranger peut p...
- doit-on toujours raison garder?
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- L'apolgue
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La technique est-elle créatrice de valeur ?
donc n'est pas réellement apte à choisir un bon gouvernant. C'est donc le principe même de la démocratie qui estremis en cause par la technocratie, qui pense qu'un personnel administratif compétent doit être mis à la tête del'Etat (les hautes écoles administratives comme l'ENA dispensent des formations de plus en plus techniques). Bref, ils'agit d'affirmer qu'en matière de politique, un technicien averti serait plus efficace qu'un peuple qui ignore tout de lascience du gouvernement. 4) La tech...
- Ressource gratuite : La conscience est-elle le privilège de l'homme ?
- « Être libre, c'est obéir à la loi que je me suis moi-même prescrite »
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SCIENCE, HISTOIRE, MÉMOIRES AU XIXe Siècle
1. SCIENCE ET PHILOSOPHIE. Taine, dont j'ai parlé, Renan, dont je parlerai, l'Anglais Darwin t, qui ne m'appartient pas, voilà !es !rois grands modificateurs des esprits contemporains : c'est d'eux, de l'un plus, de l'autre moins, assez souvent de tous les trois tant bien que mal amalgamés et fondus, c'est d'eux que nous tenons la plupart de nos idées géné rales. Darwin surtout - plus mal compris à mesure qu'il était moins direc...
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Que peut révéler un portrait ?
donnant une portée sociale, morale ou psychologique. Précis ou à peine esquissés, les traits physiques et moraux dupersonnage décrit sont solidaires des visions du monde qui caractérisent un moment d'une société, d'une civilisation,d'une culture, et qui sont le plus souvent exclusives les unes des autres 1) portée sociale Le ou les personnages décrits peuvent incarner des types sociaux que leurs portraits font ressortir ; En effet, le portrait doit mentionner la vie et les activités soc...
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Toute forme de vie est-elle respectable ?
Ensuite, le caractère unique de la vie implique de ne pas la supprimer.Respecter la vie c'est aussi respecter SA propre vie, c'est pourquoi le suicide est, selon la religion chrétienne, interdit. En effet, cette doctrine considère que se suiciderest comme trahir l'amour de Dieu, c'est donc un crime. Il ne faut pas supprimer une vie, celle d'autrui ou la sienne. Plusieurs philosophes ont défendu le suicide,autrefois considéré comme noble, mais ce n'est pas le propos de Kant pour qui « conserver s...
- droit civil
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L'art est-il subversif ?
II – L'art moral et le beau a) En effet, comme Kant le note à la fin de la Critique de la faculté de juger , le beau a une valeur morale. Plus exactement aux paragraphes 80-91 le beau est symbole de la morale et ceux parce que la morale procède d'unereconnaissance d'un être supérieur et le beau suivant un jugement réfléchissant peut nous conduire à la preuvemorale de l'existence de Dieu. La beauté nous révèle par un principe téléologique l'existence d'un monde ordonné. Etd'une certaine mani...
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J'ai un amant - Madame Bovary de Flaubert
l'ironie (L16-19), des métaphores (L12), la substitution du vocabulaire du corps, des sensations et de la pensé à celui des sentiments. Tout cela montre le point de vu critique, d'ailleurs explicité dans la dernière phrase qui montre toute l'immoralité d'Emma, dans lequel le discours du narrateur est celui d'un moraliste qui met à nu les mécanismes du Bovarisme. 2) Analyste du Bovarisme : Chez Emma, l'amour n'est pas spontané mais d'abord rencontré (en la personne d'un séducteur cynique)...