1894 résultats pour "regardées"
- « Si le regard pouvait tuer, si le regard pouvait féconder, la rue serait pleine de cadavres et de femmes grosses. » Valéry, Quel Tel, 1941. Commentez cette citation.
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« Dans Madame Bovary, Flaubert porte un regard pessimiste sur le futur de la société française. ». Qu’en pensez-vous ?
Sujet : Selon le critique littéraire Hervé Tetiste : « Dans Madame Bovary, Flaubert porte un regard pessimiste sur le futur de la société française. ». Qu’en pensez-vous ? Madame Bovary est un roman écrit par Gustave Flaubert en 1854. Comme l’indique son sous-titre « Mœurs de province », ce roman propose une satire de la société française au XIXe siècle au travers de la vie d’Emma. A ce propos, Hervé Tetiste écrit « Dans Madame Bovary, Flaubert porte un regard pessimiste sur le futur de la...
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Mémoires d'Outre-Tombe : CHATEAUBRIAND, Le Port de Brest.
CHATEAUBRIAND 61 inconnus; mon imagination se jouait dans ces espaces. Souvent assis sur quelque mât qui gisait le long du quai de Recouvrance, je regardais les mouvements de la foule : constructeurs, matelots, militaires, douaniers, forçats passaient et repassaient devant moi. Des voyageurs débarquaient et s'embarquaient, des pilotes comman daient la manœuvre, des charpentiers équarrissaient des pièces de bois, des cordiers filaient des câbles; des m...
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APOLLINAIRE: La Chanson du Mal-aimé (Strophes 1 à 5) - LECTURE MÉTHODIQUE
identité ne peut faire de doute puisqu'elle est « l'amour unique » (v. 15). Mais elle n'apparaît pas directement dans l'épisode raconté. En revanche, les deux personnages rencontrés, le voyou et la femme saoule, l'évoquent par la ressemblance explicite : Un voyou qui ressemblait à Mon amour... (v. 2 -3). Une femme lui ressemblant (v. 20). Cette ressemblance est particulièrement forte lors de la première rencontre. En effet, le vers 3 : Mon amour vint à ma rencontr...
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La venus d'iile
OU Introduction I. Les rêveries d'Emma. A.) Sa vision de Paris. B.) La réalité, sa vie à elle. II. La critique du romantisme. A.) Emma à la recherche de l'amour. B.) Description ironique de l'amour, clichés. -------------------- I. Le rêve d'Emma Focalisation interne : le lecteur connaît les pensées d'Emma, observant les moindres détails, percevant son passé comme « évanoui ». Champ lexical de la vue, de la perception. Hypotypose (procédé qui vise à rendre vivant une description par un grand...
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Est-ce etre libre que de se soumettre au jugement d'autrui ?
« Imaginons que j'en sois venu, par jalousie, par intérêt, à coller mon oreille contre une porte, àregarder par le trou d'une serrure. Je suis seul [...] Cela signifie d'abord qu'il n'y a pas de moipour habiter ma conscience. Rien donc, à quoi je puisse rapporter mes actes pour les qualifier.Ils ne sont nullement connus, mais je les suis et, de ce seul fait, ils portent en eux-mêmes leurtotale justification. Je suis pure conscience des choses [...]. Cela signifie que, derrière cetteporte,...
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"La Chartreuse de Parme"
volait en petits fragments noirs lancés à trois ou quatre pieds de haut. Fabrice remarqua en passant cet effet singulier ; puis sa pens ée se remit à 30 songer à la gloire du mar échal. Il entendit un cri sec aupr ès de lui : c' étaient deux hussards qui tombaient atteints par des boulets ; et, lorsqu'il les regarda, ils étaient d éjà à vingt pas de l'escorte. Ce qui lui sembla horrible, ce fut un cheval tout sanglant qui se d ébattait sur la terre labour ée, en engageant ses ...
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jean valjean
Corrigé de commentaire : Victor Hugo - Le dedans du désespoir Comme le libellé paraît assez clair, nous adoptons deux grilles de lecture, sans s’interdire bien sûr d’autres découvertes, d’autres interprétations. La 1ère partie n’est pas vraiment organisée, elle suit les mouvements de la conscience maladive. On peut bien sûr adopter un autre choix (le poids, la lumière ...) I/ Le dérèglement psychique du personnage (cf le dedans du désespoir) Dans cette partie nous ignorons pour l...
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Gustave Flaubert, L'Éducation sentimentale, 3, partie, chap. 1
produit une impression plus forte de réalité (ils s'y croyaient). 2. La deuxième séquence, contrairement à la première, est menée beaucoup plus en pointillé.a) D'abord, une cartographie des lieux, à partir de points de repère privilégiés (le ciel, la forêt, un village avec sonclocher au bout de la prairie, une maison au toit rouge près de la rivière).b) Arrivé là, Flaubert s'étend largement sur celle-ci :— les objets qui l'encombrent (joncs, engins de pêche, chaloupes);— le mouvement presque imp...
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Gabriel
ou en plaisirs de jeune homme, comme vous l'entendrez.
Allons! vieux Marc, éveille-toi. Notre captivité est déjà terminée. MARC, bas à Gabriel. Eh quoi! mon cher maître, vous allez sortir bras dessus bras dessous avec le seigneur Astolphe?... Que dira Son Altesse si on vient à lui redire.... GABRIEL. Son Altesse aura bien d'autres sujets de s'étonner. Je le lui ai promis: je me comporterai en homme! DEUXIÈME PARTIE. Dans la maison d'Astolphe. SCÈNE PREMIÈRE. ASTOLPHE, LA FAUSTINA. (Astolphe, en costume de fantaisie très-riche, achève sa toilette dev...
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Islam
Aujourd'hui, frapper à la porte remplace la demande de permission d'antan si la permission est entendue de l'extérieur. La personne qui a frappé trois fois ne doit ni entrer ni sans aller sans savoir qu'on l'a entendue et qu'on a eu connaissances de sa présence. Dans une boutique ou une maison dans laquelle se trouve un bien nous appartenant: nul mal à entrer sans permission mais il est préférable de dire: «Au nom d'ALLAH, à nous le salut ainsi qu'aux vertueux esclaves.», «Bismi-l-hâhi...
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ETUDE DE CAS : PSYCHOPATHOLOGIE DE L'ADOLESCENCE
1 Céline est adolescente de 18 ans. Elle est suivit à l’hôpital de Montpellier, dans l’unité de soin pour adolescent. On constate que Céline a une attitude enfantine. En effet, quand elle se confie à la caméra elle caresse un gros nounours « titi » du dessin animé « titi et gros minet. Cela s’accompagne d’une humeur dépressive. On constate également un ralentissement moteur à plusieurs niveaux. Sa voie est monotone et s’emble n’exprimer aucune émotion. D’ailleurs dans le reportage, cela fa...
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KANT: un acte volontaire
l'en blâmera pas moins parce qu'on partira du principe qu'il pouvait ne pas mentir, quelles que soient les causespsychologiques qui ont pu le pousser. « Prenons un acte volontaire, par exemple un mensonge pernicieux, par lequel un homme a introduit un certaindésordre dans la société, dont on recherche d'abord les raisons déterminantes qui lui ont donné naissance, pourjuger ensuite comment il peut lui être imputé avec toutes ses conséquences. Sous le premier point de vue, onpénètre le cara...
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Quatre-vingt-treize
Gauvain mit son épée sous son bras et alla à lui.
Le chirurgien-major de la colonne était accouru avec sa trousse. Le blessé était toujours sans connaissance. Le chirurgien l'examina et dit : \24 Une simple balafre. Ce n'est rien. Cela se recoud. Dans huit jours il sera sur pied. C'est un beau coup de sabre. Le blessé avait un manteau, une ceinture tricolore, des pistolets, un sabre. On le coucha sur une civière. On le déshabilla. On apporta un seau d'eau fraîche, le chirurgien lava la plaie, le visage commença à apparaître, Gauvain le...
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Le romancier doit-il necessairement faire de ses personnages des êtres extraordinaires ?
père amaigri, touchait et fla irait mes longues tresses pour s'as sura que 1 0 j'avais brossé mes cheveux ... Une fois qu'elle dénouait un cordon d'o r s ifflant, elle s'aperçut qu'au géranium prisonn ier contre la vitre d'une des fenêtres, sous le rideau de tulle, un rameau pendait, rompu. vivant encore. La ficelle d'or à pe ine déroulée s'enroula vingt fois autour du rameau rebouté5 , étayé d'une petite éclisse6 de carton ... Je frissonnai, et 1s c...
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Chapitre VIII de la deuxième partie de Madame Bovary
Au monde socialement parfait de Lieuvain correspond « cette conjuration du monde » contre « les sympathies lesplus pures » que condamne Rodolphe. L'un emprunte au canon de la bourgeoisie triomphante, l'autre aux poncifsaffadis du romantisme. L'un et l'autre sont également ridicules, car incapables de penser par eux-mêmes et victimesconsentantes de deux idéologies qui s'affrontent et sont également vulgairesOn sait que le bourgeois Flaubert fit de la haine de la bourgeoisie une sorte de religion...
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Sartre, Huis clos (extrait).
Garcin, la foule, l’entends-tu ? (Murmurant.) Lâche ! Lâche ! Lâche ! Lâche ! En vain tu me fuis, je ne te lâcherai pas. Que vas-tu chercher sur ses lèvres ? L’oubli ? Mais je ne t’oublierai pas, moi. C’est moi qu’il faut convaincre. Moi. Viens, viens ! Je t’attends. Tu vois, Estelle, il desserre son étreinte, il est docile comme un chien… Tu ne l’auras pas ! INÈS . — Eh bien, qu’attends-tu ? Fais ce qu’on te dit, Garcin le lâche tient dans ses bras Estelle l’infanticide. Les paris sont ouver...
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Les conduites de mauvaise foi dans L'Etre et le Néant - 1re partie, chapitre II - Sartre (commentaire)
1) Pourquoi la conscience se refuse-t-elle à l'évidence; à savoir qu'elle est sur la défensive ? C'est que devoir se défendre, c'est s'avouer qu'on est en danger dans le monde, objet perpétuellement vulné rable par les autres consciences. Être en danger, c'est être pour autrui un objet que l'on ne connaît ni ne maîtrise: autrui a l'initiative, sa liberté devance toujours la mienne, puisque c'est devant un regard toujours déjà...
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S'affirmer soi-même revient-t-il nécessairement a dénigrer l'autre ?
renaît, marquant toujours davantage ma dépendance à l'égard de l'objet, de cet Autre que j'avais annihilé : « La conscience de soi ne peut donc pas supprimer l'objet par son rapport négatif à lui ; par là elle le reproduit plutôtcomme elle reproduit le désir. » Dans ce cercle infini et infernal du désir, c'est-à-dire de « ce retour alterné et monotone du désir et de sa satisfaction par laquelle le sujet retombe sans cesse en lui-même et sans supprimer la contradiction », la conscience décou...
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Mais Malefoy avait déjà enfourché son balai et décolla aussitôt.
Cette fois, ce fut son cœur qui sembla plonger dans sa poitrine à \ la même vitesse que le balai. Le professeur McGonagall courait vers lui. Harry se releva, les jambes t\ remblantes. —Jamais depuis que je suis à Poudlard... Elle étant dans un tel état de choc qu'elle n'arrivait presque plu\ s à parler et ses lunettes lançaient des éclairs furieux. —Comment avez-vous pu oser... ? Vous auriez pu vous rompre le cou... \ —Ce n'est pas sa faute, professeur, intervint Ron, c'est Malefoy qui.\ ....
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Définition et usage du mot:
BÉANT, -ANTE, adjectif.
312646 béerBÉER, verbe intransitif.A.— [Le sujet désigne une chose] Être largement ouvert. Un tonneau dont labonde vide bée dans l'ombre (GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, L'Artmod, 1883, page 165 ).B.— [Le sujet désigne une personne]1. Absolument. Regarder avec étonnement. J'ai trouvé la rue encombrée depeuple; les voisins béaient aux fenêtres (FRANÇOIS-RENÉ DE CHATEAUBRIAND,Mémoires d'Outre-Tombe, tome 4, 1848, page 426 ).2. Béer de + substantif. Demeurer, bouche ouverte, sous l'effet...
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Définition:
ATTENDRI, -IE, participe passé, adjectif et substantif.
ANDR? GIDE, Carnets d'?gypte, 1939, page 1055. B.? Domaine de l'affectivit?. 1. [S'applique ? une personne] Qui ?prouve des sentiments de tendresse, de compassion, de piti?. Synonymes?: ?mu, touch?: ? 4. On sentait chez eux ? la fois l'habitude d'?tre ha?s, trait?s en ennemis par ces peuples envahis, ? et aussi une invincible jeunesse d'?me qui reparaissait au premier t?moignage de confiance et d'amiti?, qui les faisait s'?pancher et se confier presque trop vite. Un mot aimable, une paro...
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M
à la perspective le "sfumato", procédé qui consiste à faire décroître l'intensité chromatique des corps pour suggérer la distance. Vinci est celui qui peint l'air. >, écrit-il dans ses Carnets. Un effort véritable est consacré alors à domestiquer l'oeil: les expériences de Brunelleschi, les grilles d'Alberti, la découverte de Viator, les perspectographes de Durër, la camera oscura de Giambattista della Porta, le savant emploi de l'ombre et du clair du...
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ne fut pas davantage étonné de voir que Percy les faisait passer par des portes cachées
derrière des tapisseries ou des panneaux coulissants.
Harry voulut répondre, mais il tomba endormi. Peut-être était-c\ e à cause de son trop copieux repas qu'il fit un rêve étrange. Il portait le turban du professeu\ r Quirrell et le turban ne cessait de lui répéter qu'il ferait mieux de se faire transfére\ r à Serpentard, car telle était sa destinée. Harry répondait qu'il ne voulait pas aller à Serpenta\ rd. Le turban devenait alors de plus en plus lourd. Harry essayait de l'enlever mais il lui serrait doul\ oureusement la tête et il voyait M...
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Les Index Noires
lorsque Harry crut entendre un souffle puissant qui déplaçait les couches d'air dans les profondeurs du puits.
XV. Nell au cottage Deux heures après, Harry, qui n'avait pas aussitôt recouvré ses sens, et l'enfant, dont la faiblesse était extrême, arrivaient au cottage avec l'aide de Jack Ryan et de ses compagnons. Là, le récit de ces événements fut fait au vieil overman, et Madge prodigua ses soins à la pauvre créature, que son fils venait de sauver. Harry avait cru retirer un enfant de l'abîme... C'était une jeune fille de quinze à seize ans, au plus. Son regard vague et plein d'étonnement, sa figure ma...
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Guy de MAUPASSANT: « Farce normande » (Contes de la bécasse)
en entrait toujours » (l. 26). La description des participants se fait par masses : « toutes les femmes » (l. 10) sansdistinction ; « les hommes » au second paragraphe sont répartis en trois groupes, sans pour autant que l'on puissedistinguer les individus. Maupassant ajoute au cortège bon nombre « de gamins et de pauvres » (l. 27-28) surgisdes fossés.L'importance de la fête est notée par le repas d'abord, signe symbolique de la noce de campagne ; tous convergentd'ailleurs vers ce lieu qui embau...
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Le mot "horloge" chez René DESCARTES
Correspondance, année 1638, RÉPONSE DE Monsieur DESCARTES A Monsieur MORIN, 13 juillet 1638. Enfermez des pommes ou des balles dans un rets, et les y presser en telle sorte que, se tenant jointes les unes aux autres, ellessemblent composer un corps dur, puis versez sur ce corps du sable fort menu, tel que celui dont on fait des horloges, et vousverrez qu'en quelque façon qu'on le mette, ce sable passera toujours au travers, sans rien rencontrer qui l'en empêche. Correspondance, année 1...
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Monsieur Parent
--Pauvre fille!
Il reprit: Est-ce que Jeanne de Limours vit encore? Son oeil s'était fixé sur le mien, plein d'une angoisse frémissante. Je souris:Parbleu... et plus jolie que jamais. Vous la connaissez? Oui. Il hésitait:Tout à fait...? Non. Il me prit la main:Parlez-moi d'elle. Mais je n'ai rien à en dire; c'est une des femmes, ou plutôt une des filles les plus charmantes et les plus cotées de Paris. Elle mène une existence agréable et princière, voilà tout. Il murmura: «Je l'aime» comme s'il eût dit:...
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Mille et un jours en prison a Berlin
en pleine lumière.
protestait, disant que l'Allemagne n'avait ni voulu ni commencé la guerre. Alors Dumont, anti-boche enragé, et violent dans la manière de s'exprimer, se mit à crier:Vous avez raison, vous avez mille fois raison, ce n'est pas l'Allemagne qui a commencé, c'est la Belgique!!! Éclat de rire général! Le sous-officier, confus et confondu, tourne les talons et quitte la cellule. Chapitre XXVI. QUESTION D'ÉCHANGE Le 19 avril 1918 restera pour moi une date mémorable. Je venais d'être prié de me rendre à...
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l'offrande source de bonheur
Nous so mmes devenus enfants de Dieu par la foi en Jésus -Christ que Dieu a donné par amour pour nous. Maintenant, par amour pour Dieu et pour le prochain, la Bible nous exhorte à OFFRIR, à DONNER. L’OFFRANDE BIBLIQUE n’a rien à voir avec les cotisations à des soc iétés de bienfaisance, ni avec les collectes pour les œuvres humaines charitables en dehors de la foi chrétienne. L’OFFRANDE BIBLIQUE se donne à DIEU. Elle lui est consacr...
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La Main Gauche
Il entra dans Rouen alors que dix heures
Alors il aperçut un petit garçon de quatre ou cinq ans, qui jouait avec un chat, assis par terre devant un fourneau d'où montait une fumée de plats tenus au chaud. Asseyez-vous, disait-elle. Il s'assit.... Elle demanda: Eh bien? Il n'osait plus parler, les yeux fixés sur la table dressée au milieu de l'appartement, et portant trois couverts, dont un d'enfant. Il regardait la chaise tournée dos au feu, l'assiette, la serviette, les verres, la bouteille de vin ronge entamée et la bouteille de vi...
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pour de bon se faisait plus forte en moi.
20 — T’es où?aboya Walker dansletéléphone. — Dans leBarrio, répondit RickyTorres, dit«Scrape 1 ». C’est lamerde, mec.Jesuis blessé… Walker perçutlatension etledésarroi imprégnant lavoix deson frère motard. — Quoi ?!Qu’est-ce quis’est passé ? — Cet enculé estsorti denulle partetnous esttombé dessus. Onlevoit entrer dansl’entrepôt, etune minute aprèsilbraque soncalibre danslatronche deBooster 2 … Quand j’aivoulu prendre monfeu,ilm’en acollé unedans l’épaule. Jesaigne comme unporc… — EtBooster ? —...
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POEMES ROMANTIQUES
Laisse-Moi ! Non, laisse-moi, je t'en supplie ; En vain, si jeune et si jolie, Tu voudrais ranimer mon coeur : Ne vois-tu pas, à ma tristesse, Que mon front pâle et sans jeunesse Ne doit plus sourire au bonheur ? Quand l'hiver aux froides haleines Des fleurs qui brillent dans nos plaines Glace le sein épanoui, Qui peut rendre à la feuille morte Ses parfums que la brise emporte Et son éclat évanoui ! Oh ! si je t'avais rencontrée Alors que mon âme enivrée Palpitait de vie et d'amours, Avec...
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Monologue du Mendiant Acte I, scène 13, Livre de poche (Grasset), pp. 72-74 - Electre de Giraudoux
LE MYTHE ANTIQUE DANS ÉLECTRE DE GIRAUDOUX regarder, nous autres humains, manger ou bricoler, c'est qu'il sait que c'est 35 nous son frère l'homme et son frère la femme. J'en ai pris ainsi à la main, des petits canards, je n'ai plus eu qu'à leur tordre le cou, parce qu'ils s'ap prochaient avec leur fraternité, parce qu'ils essayaient de comprendre ce que je faisais, moi leur frère, à couper ma croûte de fromage en y rajo...
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Le General Dourakine
Le general, se retournant vers ses domestiques, donna des ordres pour qu'on allat plus vite avec une charrette a
la recherche de ce pauvre garcon.
commenca sa toilette. On ne lui avait pas interdit de faire enrager ses femmes de chambre: les deux qui etaient presentes ne recurent que sottises et menaces en recompense de leurs efforts pour bien faire; mais, a leur grande surprise et satisfaction, elles ne recurent ni soufflets ni egratignures. V. PREMIER DEMELE Les petits Papofski regardaient avec surprise Jacques et Paul: ni l'un ni l'autre ne leur baisaient les mains, ne leur faisaient de saluts jusqu'a terre; ils se tenaient droits et de...
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30/10/10
DEMONDION
Anatomie
Anatomie générale
Etudes médicales : l'anatomie ça s'enseigne comme ça : Un maitre entouré de ses
élèves qui montre, qui explique.
30/10/10 Anatomie DEMONDION 2 Les axes : Les axes des membres sont décrits de façon particulière : important pour définir les mouvements. → l’axe de la main : passe par le 3ème doigt. (Important car mouvements décrits par rapport à cet axe) → l’axe du pied : passe par le 2ème doigt. Terminologie anatomique : Langage propre : plus de 50 000 termes anatomiques pour désigner 5000 structures fondamentales du corps humain. L’absence de concordance entre les termes anatomiques a conduit la co...
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30/10/10
DEMONDION
Anatomie
Anatomie générale
Etudes médicales : l'anatomie ça s'enseigne comme ça : Un maitre entouré de ses
élèves qui montre, qui explique.
Les axes : Les axes des membres sont décrits de façon particulière : important pour définir les mouvements. → l’axe de la main : passe par le 3 ème doigt. (Important car mouvements décrits par rapport à cet axe) → l’axe du pied : passe par le 2 ème doigt. Terminologie anatomique : Langage propre : plus de 50 000 termes anatomiques pour désigner 5000 structures fondamentales du corps humain. L’absence de concordance entre les termes anatomiques a conduit la commission...
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La dame de Monsoreau v.
Cette lettre, monsieur! s'ecria le roi en frappant du pied, ou je vous la fais arracher par quatre Suisses! Le duc bondit hors de son lit, en tenant la lettre froissee dans ses mains, et avec l'intention manifeste de gagner la cheminee, afin de la jeter dans le feu. Vous feriez cela, dit-il, a votre frere? Henri devina son intention et se placa entre lui et la cheminee. Non pas a mon frere, dit-il, mais a mon plus mortel ennemi! Non pas a mon frere, mais au duc d'Anjou, qui a couru toute la s...
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L'homme Qui Rit
Le taille-mer, long, courbe et aigu sous le beaupré, sortait de l'avant comme une corne de croissant.
hommes, pas un adieu de ces hommes à l'enfant. Il y avait des deux parts une acceptation muette de l'intervalle grandissant. C'était comme une séparation de mânes au bord d'un styx. L'enfant, comme clou sur la roche que la marée haute commençait à baigner, regarda la barque s'éloigner. On eût dit qu'il comprenait. Quoi? que comprenait-il? l'ombre. Un moment après, l'ourque atteignit le détroit de sortie de la crique et s'y engagea. On aperçut la pointe du mât sur le ciel clair au-dessus des bloc...
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Un bon petit diable
clef!
«C'est singulier que Charles ne rentre pas, dit Marianne en réservant la part de poulet qui lui revenait. Pourvu qu'il n'ait pas été faire quelque sottise! Oh non! répondit vivement Juliette. Au contraire! Marianne:Comment, au contraire? Tu sais donc où il est? Juliette:Oui, il me l'a dit. Marianne:Où est-il? Pourquoi ne le dis-tu pas? Juliette:Parce qu'il m'a demandé de ne le dire que lorsque Betty aurait fini son dîner, pour qu'elle pût manger tranquillement et à sa faim. Betty:Tiens! po...
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Le Speronare
part du roi Charles pour empoisonner l'empereur de Constantinople,
Le vaisseau qui emmenait Jean de Procida le deposa a Malte, d'ou il prit une barque et gagna la Sicile.
Croyez donc, magnifique, illustre et puissant seigneur roi, a notre devouement et a notre reconnaissance, et, pour tout ce qui n'est point porte en cette lettre, rapportez-vous-en a ce que vous dira messire Jean de Procida. Puis ils signerent cette lettre, et, l'ayant scellee de leurs sceaux, ils la remirent a messire Jean de Procida, qui la joignit a celle qu'il avait deja recue de Michel Paleologue, et qui, se remettant en voyage, partit aussitot pour Rome. Nicolas III de la maison des Ursin...
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Méthodologie de l'analyse de film
MTU Arts du spectacle 1. HPI1U01 « Analyse : primitivement, ana-lyse, de ana + luein : résoudre, en remontant à l'envers. […] L'analyse consiste bien alors à remonter, mais non sous la forme d'une "démonstration" (au sens où celle-ci est la vérification de certains enchaînements de conséquences logiques) ; il s'agit plutôt, partant de la solution que me donne l'image, de constituer le problème. […] Quel problème puis-je poser à partir des […] images ? Quel...
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Keraban Le Tetu, Vol.
Le seigneur Yanar et sa soeur, s'etant redresses au meme moment, le suivaient dans toutes ses allees et venues. Si vous voulez, reprit Saraboul de ce ton doucereux qui ne permet pas la moindre contradiction, si vous le voulez, nous ne passerons que quelques heures a Scutari? Si je le veux?.... N'etes-vous pas mon maitre, seigneur Van Mitten? ajouta l'insinuante personne. Oui! murmura Bruno, il est son maitre ... comme on est le maitre d'un dogue qui peut, a chaque instant, vous sauter a la...
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Anatomie
15/01
Mise en place des différents os :
On voit La racine du coeur , la racine du membre sup , le bras , lavant bras et la main.
Anatomie 15/01 La clavicule : Vue antérieure Son extrémité médiale est plus volumineuse que l'extrémité latérale, on ne voit pas le cartilage mais l'articulation regarde vers le bas. L'orientation de la surface vers le manubrium sternal regarde vers le bas. Le bord antérieur correspond à l'insertion du muscle grand pectoral. Latéralement on trouve l'insertion du muscle deltoïde. Médialement au bord supérieur on trouve l'inserton du muscle sterno-cleïdo-mastoïdien. On ne peut pas voir les in...
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« Solitude » de Saint-Amant
Du point de vue du rythme, le mouvement marque la progression du vers q\ ui s’enchaînent sur des enjambements, dans un esprits de continuité, le mouvement marque l’ampleur du ve\ rs : v.3, 4 – v. 5, 6 – v 7, 8 – v. 13, 14 –> Dans la strophe 4, l’idée de mouvement représentée pa\ r l’image de l’eau, ce qui caractérise aussi l’esthétique\ baroque. 2) Le chante d’une sensibilité à nue : Le poète dit « je « v.1 et 25 et les déterminants possessif\ s v. 3 et 4. A travers le regard du poè...
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La Terre
Il resta debout et muet devant le poele, a se chauffer les reins, pendant que le jeune Victor, derriere les
joueurs, s'absorbait dans la vue de leur jeu.
Je te jure que si! Nous avions mange ensemble une salade de harengs sales. Et alors il m'a dit: Pas un mot, je suis l'empereur... Je l'ai bien reconnu, a cause de son portrait sur les pieces de cent sous. Possible! Une canaille tout de meme, qui bat sa femme et qui n'a jamais aime sa mere! Tais-toi, nom de Dieu! ou je te casse la gueule! Il fallut enlever des mains de Becu le litre qu'il brandissait, tandis que Jesus-Christ, les yeux mouilles, attendait le coup, dans une resignation souriante...
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Pot-bouille
--Pas possible!
Octave resta muet. Le fiacre roulait toujours, empli d'obscurite, traverse par moments d'un rayon de gaz. Comme ils arrivaient, Duveyrier, torture d'angoisses, posa une nouvelle question. N'est-ce pas? ce que j'ai de mieux a faire est encore de me remettre avec ma femme, en attendant? Ce serait peut-etre raisonnable, dit le jeune homme, force de repondre. Alors, Duveyrier sentit la necessite de regretter son beau-pere. C'etait un homme bien intelligent, une puissance de travail incroyable. D'a...
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Définition / Vocabulaire:
AMUSÉ, -ÉE, participe passé, adjectif et substantif.
JEAN ANOUILH, La R?p?tition ou l'Amour puni, 1950, I, page 36. ? Sp?cialement. [En parlant d'un ?crivain] Qui ?crit dans un style agr?able et plaisant Confer plume amus?e (Charles-Am?d?e de Sainte-Beuve, Port-Royal, tome 1, 1840, page 350)?: ? 6.... puisque j'en suis aux distinguo, j'y distingue encore, et plus qu'ailleurs, l'?crivain que j'appelle simplement amus?, lequel, se sentant en bonne et chaude veine, ne s'arr?te plus, mais redouble et se laisse mener en tous sens par les figures...
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Mais pourquoi te raconter tout cela, ce fanatisme furieux se déchaînant contre moi-même, ce fanatisme si
ragiquement désespéré d'une enfant abandonnée ?
avec unecuriosité intéressée, jecompris aussitôtquetune m’avais pasreconnue. Tu neme reconnus pas,nialors, nijamais : jamaistune m’as reconnue. Commentpourrais-je, ômon bien- aimé, tedécrire ladésillusion decette seconde ? Cefut alors lapremière foisque jesubis cettefatalité dene pas être reconnue partoi,cette fatalité quim’a suivie pendant toutemavieetavec laquelle jemeurs : rester inconnue, resterencore toujours inconnue detoi. Comment pourrais-je teladécrire, cettedésillusion ? Carvois- tu, p...
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Le Docteur Pascal
Il s'etait assis de nouveau devant sa table, il ecrivit simplement: "Je t'attends, pars ce soir.
un cerveau autrefois si solide, l'avait averti d'un danger sourd et imminent. --Ne vouliez-vous pas envoyer cette depeche tout de suite? --Oui, oui! allez vite, mon bon Ramond, et je vous attends apres-demain. Elle sera ici, je veux que vous accouriez nous embrasser. La journee fut longue. Et, cette nuit-la, vers quatre heures, comme Pascal venait enfin de s'endormir, apres une insomnie heureuse d'espoirs et de reves, il fut reveille brutalement par une crise effroyable. Il lui sembla qu'un poid...