1186 résultats pour "individuation"
-
Y a-t-il un critère de liberté ?
infinie. Le sujet expérimente en lui le libre-arbitre, le pouvoir de faire ou de ne pas faire, sans qu'il ressente decontrainte extérieure qui l'en empêcherait (cf. Méditations métaphysiques , IV). b. L'homme a une conscience morale, or la morale n'a de sens que s'il y a la liberté. Selon Sartre , parce qu'on est des consciences (des « cogito »), on est toujours responsables. En effet,l'homme juge généralement qu'il est responsable que lorsqu'il agitconsciemment et librement. C'e...
-
La société est-elle ce qui fait les hommes ?
II) La société ne fait pas de l'Homme un homme. En effet, l'Homme a toujours vécu en société et cela ne fait de luiqu'une espèce en plus qui utilise cette façon de survivre dans la nature.Soit un organe collégial tel que le parlement qui peut avoir plusieurs fonctions. On suppose que ce parlementcontrôle l'action du gouvernement dans un pays et à le « pouvoir » de faire et de défaire les lois, il est ainsi ledétenteur du pouvoir législatif. Si, un jeune courtier par exemple, travaillant...
-
Faut-il lorsqu'on se veut scientifique décider de ne plus croire ?
commencer par douter de tout, prétendant ainsi rejeter tout ce qu'il tenait pour vrai en dehors de la sphère de laphilosophie avant un examen préalable. Comme l'écrit Descartes : « Comme nous avons été enfants avant que d'être hommes et que nous avons jugé tantôt bien et tantôt mal deschoses qui se sont présentées à nos sens lorsque nous n'avions pas encore l'usage entier de notre raison, plusieursjugements ainsi précipités nous empêchent de parvenir à la connaissance de la vérité, et nous prévi...
-
Commentaire "Qu'est qu'un inconscient?" Alain, Vigiles de l'Esprit
Dans une première partie, nous verrons comment l'absence de questionnement fait d'un homme un inconscient. En effet, de la première phrase aux propositions affirmatives entre guillemets, “je sais ce que je sais ; je sais ce que je désire ; ce sait ce que je veux”, Alain définit ce qu'est un inconscient. Cette définition est introduite d'emblée à l'aide d'une interrogation dont déroule l'explication. Pour ce dernier, le rejet du doute est caractéristique de l'inconscient : celui-ci “ne se po...
-
L'État est-il un mal nécessaire ?
l'individu sans la société, et qu'est-ce que la société sans Etat ? Cette double question n'est-elle pas mise à l'écartpar les anarchistes et un peu trop rapidement résolue par les tenants du libéralisme? On prend souvent l'exemple dessociétés « primitives », ou plus justement des « sociétés traditionnelles »(expression qui permet de limiter la visionethnocentrique d'un « progrès » unique fondé sur une conception occidentale de l'évolution des sociétés), pourmontrer qu'il existe des sociétés...
-
Faut-il etre de son temps ?
qu'être social, nous rendre apte à « vivre avec ». Il faut donc « vivre avec son temps » dans cette mesure extrêmeoù le refus de son temps impliquerait l'exclusion, voire la mort sociale de l'individu.En réalité, la contrainte exercée par la conscience collective ne semble pas nous donner le libre choix d'accepter ounon de vivre avec son temps. En effet, l'ultime caractéristique du fait social qui est la matière de toute consciencecollective, est d'être « susceptible d'exercer sur l'individu une...
- La notion de rapport de force induit-elle automatiquement celle de droit ?
- qu'est ce que la santé?
-
-
Que reproche-t-on à celui qu'on traite d'inconscient ?
Dans la trente et unième des « Nouvelles conférences d'introduction à la psychanalyse » (1932), intitulé « La décomposition de la personnalité psychique », Freud décrit le but du traitement psychanalytique par cette formule : « Là où « çà » était, « je » dois devenir », où le « ça » représente l'inconscient. Il est remarquable que la traduction de la phrase allemande ait prêté à controverses. Pour comprendre l'enjeu de cette phrase, il faut garder à l'esprit que la psychanalyse, av...
-
Doit-on toujours obéir au légal ?
Le problème du fondement de la loi fut notamment abordé par Kant. Cedernier conçoit la loi à partir du fondement moral : « Deux choses me remplissent le coeur d'une admiration et d'une vénération,toujours nouvelles et toujours croissantes, à mesure que la réflexion s'yattache et s'y applique : le ciel étoilé au-dessus de moi et la loi morale enmoi. » (cf. Critique de la raison pratique , V). La véritable loi est, selon Kant, appuyée sur le sentiment moral. Ce dernierdoit, en outr...
-
la liberté individuelle
QUESTION 1 Freud s'interroge, dans cet extrait de Malaise dans la civilisation , sur la nature et l'origine de la liberté individuelle. Il montre qu'elle est antérieure à toute forme de civilisation et que l'homme doit y renoncer, au moins partiellement, pour vivre avec les autres. Mais elle ne disparaît pas, et menace toujours de resurgir contre la civilisation, de la même façon qu'une pensée inconsciente parvient à f...
-
Etre libre, est-ce agir spontanément ?
la vieille maxime selon laquelle « la superstition est le plus sûr moyen auquel on puisse avoir recours pour gouvernerla masse. »Par la connaissance, de passif, l'homme devient actif mais cette plénitude d'être qui lui fait trouver la liberté, le faitaussi accéder à la réalité de la substance unique puisque « rien n'arrive sinon par la force de la cause qui créétoutes choses, cad Dieu qui par son concours prolonge à chaque instant l'existence de toutes choses » et que donc« puisque rien n'arrive...
-
Agir spontanément est-ce agir librement ?
Pour Spinoza est libre « la chose qui existe d'après la seule nécessité de sanature et qui est déterminée par soi seule à agir. » L'être humain est donccelui qui est lui-même, qui a pris possession de soi, cad d'abord celui qui n'estplus aveuglé par la passion qui le livre enchaîné et impuissant à l'objet qu'ilcroyait posséder. Pour Spinoza, la servitude de l'esprit c'est la privation deconnaissance. Plus l'homme connaît, plus il est libre. Seule la connaissancepeut tirer les hommes de leurs...
- habitus.
-
Trop de communication tue-t-elle la communication ?
Troisième partie Face à la nouveauté, l'esprit humain a toujours eu tendance à réagir par la peur, le refus. On se souvient avecamusement aujourd'hui des cris d'horreur que firent pousser les premiers chemins de fer. Il est vrai que l'extensionrapide à l'échelle du globe des nouvelles techniques de communication donne une ampleur, nouvelle elle aussi, à noscraintes. Mais il conviendrait de se demander enfin comment en éviter les dangers et en exploiter les avantages.Certes tous les moyens de tr...
-
État & liberté (Spinoza)
- le gouvernement : un ense mble de personnes auxquelles la société civile a délégué directement ou indirectement le pouvoir de diriger l'É tat. • état de nature : situation fictive ou hypothétique de l'homme avant toute organisation sociale. • droit naturel : ensemble de règles qui résultent de la nature de l' homme, de son essence, indépendamment de tout droit positif. • droit positif : ensemble des règles écrites, promulguées et garanties, qu'o...
-
-
Les penseurs et philosophes à l'origine du libéralisme
pourtant ils sont pris. »En 1721, il publie anonymement un roman nommé « Lettres persanes » ou il ridiculise la société française vue pardes Persans exotiques. C'est en 1734 qu'il publie sa prochaine oeuvre populaire, intitulée « Considérations sur lescauses de la grandeur des Romain et de leur décadence », puis en 1748, « De l'esprit des lois ». Dans cette dernièrepublication, qui connut un succès monstre, Montesquieu explique les principes fondamentaux et la logique desinstitutions pol...
-
l'homme a-t-il une place privilégiée dans la nature ?
L'homme est libreUn autre privilège de l'homme par rapport à la nature, c'est sa liberté. En effet, les animaux n'obéissent qu'àleur instinct. Ils ne décident pas de ce que sera leur existence. Seul l'homme possède la liberté de faire deschoix et de se déterminer lui-même. "La faculté de se perfectionner, à l'aide des circonstances, développe successivement toutes les autres, etréside parmi nous tant dans l'espèce que dans l'individu, au lieu qu'un animal est au bout de quelques mois cequ'il ser...
-
L'éducation a-t-elle pour fin principale l'apprentissage d'un métier ?
spontanées et particulières. En effet, de telles préférences reflètent souvent les influences subies et les donnéesd'un entourage, autant que les goûts personnels et natifs de chacun. D'où la nécessité de ne pas se régler sur eux,voire de cultiver systématiquement d'autres dispositions, afin de promouvoir en chaque individu toute la richesse deses accomplissements possibles. Une telle action sera entreprise d'emblée, et poursuivie de façon durable, car laforce des orientations particulières qu'e...
-
Le droit n'est-il que l'expression de rapports de forces ?
[II. Le droit doit composer avec la force.] [1. La société est constituée de rapports de force. ]Si le droit instaure d'autres relations entre les individus que celles fondées sur la force, celles-ci ne sont pas pourautant supprimées. Dès lors, deux types de lois se disputent le gouvernement de la société : le droit qui prescrit cequi doit être, et les lois qui décrivent la manière dont, dans les faits, la société fonctionne. C'est à ce second pointde vue qu'il est question de rapports de fo...
-
Citations
2) L A PERCEPTION "La perception, par exemple , pose son objet comme existant " : Jean -Paul Sartre "La perception dispose de l’espace dans l’exacte proporti on où l’action dispose du temps " : Henri Bergson « C'est la perception des rapports qui a donné l ieu à l'invention du terme beau » : Diderot "Toute conscience pose son objet, mais chacune à sa manière. La perception, par exemple , pose son objet comme existant " : Sartre "Autrui joue toujours...
-
Corriger de disserte sur la technique
2) L A PERCEPTION "La perception, par exemple , pose son objet comme existant " : Jean -Paul Sartre "La perception dispose de l’espace dans l’exacte proporti on où l’action dispose du temps " : Henri Bergson « C'est la perception des rapports qui a donné l ieu à l'invention du terme beau » : Diderot "Toute conscience pose son objet, mais chacune à sa manière. La perception, par exemple , pose son objet comme existant " : Sartre "Autrui joue toujours...
-
Personne et société
234 PRINCIPES DE LA MORALE PERSONNELLE cher à transformer en moyen et instrument les autres personnes. Engagée dans une société, elle sert le bien commun, qui est en fin de compte le bien des personnes, c'est-à-dire un bien qui, finalisé, à titre intermédiaire, par la société, se distribue sur les personnes, fins de la société. Elle tient compte des per sonnes jusque dans leurs cqnditions psycho-physiologiques et matérielles, en travaillan...
- Introduction à la sociologie
-
-
LA MOTIVATION
Synthèse construite par Sylvain
sylvain.
- Facteur psychologique qui incite l’individu à agir de telle ou telle façon. Motiver : - Exposer les motifs d’une décision, action, opinion - Servir de motif à - Pousser à agir Motif : Raison intellectuelle qui pousse à agir III. Théoriciens de la motivation : a) La pyramide de Maslow : Maslow classe les besoins humains selon une typolog ie en cinq parties, qu’il insère dans une pyramide. A la base se trouvent les besoin s physiologiques p...
-
Les transformations historiques de la société contraignent-elles l'homme à changer les principes selon lesquels il doit diriger son action ?
I. L'histoire ne façonne pas notre morale car elle nous donne avant tout une leçon de relativismeUne morale variable en fonction des périodes historiquesa.Nous commencerons par dire que l'histoire ne façonne pas notre morale, car l'histoire ne produit nullement un discours univoque sur les règles de vie en société. Bien au contraire, l'histoire est bien plus un puissant moyen de produire ce que l'on nomme le relativisme moral. Par relativisme moral, on parle de la pluralité des...
- FAMILLE________________________________
-
Peut-on parler d'une loi du plus fort ?
fassent les lois, puisqu'ils sont, par définition, supérieurs aux autres, comme le dit Calliclès : « La justice consiste ence que le meilleur ait plus que le moins bon et le plus fort plus que le moins fort. Partout il en est ainsi, c'est ce quela nature enseigne, chez toutes espèces animales, chez toutes les races humaines et dans toutes les cités. ». Il faitici l'apologie de la loi du plus fort. C'est aussi la position de Thrasymaque dans La République, de Platon. Pour lui,tout gouvernement do...
-
Agir moralement, est-ce nécessairement lutter contre ses désirs ?
[Introduction] De l'homme qui cède à tous ses désirs, la philosophie et la littérature ont fréquemment dressé un portrait peuencourageant : il "se vautre" dans le plaisir, ne pense qu'à ses satisfactions personnelles immédiates, ne vit quepour lui. Dans une telle optique, le moins qu'on puisse lui reprocher, semble-t-il, est de ne guère se soucier de ceque peut moralement signifier sa conduite. Doit-on en déduire qu'il existe une contradiction insoluble entre les désirset l'action morale...
-
ENCYCLOPEDIE: Education
De 1 et dernière année du cycle d'enseignement du second degré, le /ych prépare au baccalauréat Ce diplôme de fin des études secondaires est également le premier diplôme de l'enseignement supérieur ou universitaire. Il existe des baccalauréats techniques et professionnels , mais le baccalauréat général lui-même présente, selon les filières , une dominante (littéraire , scientifique , etc.). générale qu'une aptitude professionnelle dans un métier préc...
-
Cours de science politique et sociale
en compte uniquement les avantages matériels.Ainsi le choix du candidat pour lequel on va voter est aussi basé sur les valeurs et non uniquement sur les avantages matériels qu'on espère en retirer. L'électorat degauche aussi bien que celui de droite est très large sur le plan économique. On trouve aussi bien des riches de gauche, même si la gauche veut augmenter les impôtset donc aller contre leurs intérêts économiques personnels, que des pauvres de droite, même si la droite veut baisser les imp...
-
La vérité est-elle tyrannique?
● La vérité : propriété d'un discours ou d'une pensée (ou idée) qui représente fidèlement la réalité, qui est enadéquation avec elle. La vérité peut être simplement formelle, lorsqu'elle respecte les règles de la logique.Une vérité matérielle suppose que soit donné un contenu dans une expérience de pensée. Ce contenu est ditvrai s'il existe dans la réalité. Enfin, la vérité peut être vue comme la norme de nos croyances (véritéthéorique) et de nos actions (pratique). ● La tyra...
-
-
LES TROUBLES DE LA MEMOIRE (Travaux Personnels Encadrés – Médecine & Santé – TS)
mer. Par conséquent, le sujet mémorise non seulement l'évé nement vécu, mais tout le contexte particulier de cet événement. C'est cette composante de la mémoire qui est le plus souvent touchée par les amnésies. De plus, la charge émotionnelle vécue par le sujet au moment des faits conditionne la qualité de la mémorisation épisodique. La mémoire sémantique La mémoire sémantique est le système par lequel l'individu stocke sa connaissance du monde . C...
-
La politique peut-elle aider le sujet à réaliser son bien ?
le bien des individus sans les opprimer? II./ Le bien n'est pas un concept politique ou juridique. A./ Le concept de la politique comme gouvernement d'une communauté afin de pacifier les rapports entre sesmembres implique-t-il qu'elle prenne en charge le bien de ces membres ou même leur bien commun? Non, il s'agituniquement pour la politique d'édicter des lois telles qu'elles permettent l'accord extérieur des conduites entre elles,c'est-à-dire que la liberté de chacun n'empiète pas sur la...
-
KNOCK (analyse du personnage)
236 • Knock n'a pas pu résister à l'offre , se pressent dans le cabinet de Knock . En quelques mots techniques et effr ayants, prononcés sur un ton à la fois neutre et définitif, celui-ci les convainc aisément qu'ils sont atteints d'aff ections graves ou bénignes mais qui, en tout cas, exigent un traitement immédiat et assi du. Sa clientèle ainsi constituée, Knock s'assure enfin la complicité de l'instituteur, brave jeune homme sensible et i...
-
Raymond BOUDON
remise en cause aujourd’hui. Il faut avoir à l’esprit, que la relation entre éducation et croissance économique est dépendante du système d’éducation. Une étude à démontrée, que les étudiants en Lettre, en Science et dans une moindre proportion en science humaine, se destinent à un métier au service de l'État. Et que les étudiants en Droit et en science économique se destinaient plutôt au système économique. (Nombres d’étudiants en L, S et SH > Nombres d’étudiants en droit et science éco...
-
La conscience morale n'est-elle que le résultat de l'éducation ?
enseignants, va développer une répugnance à l'égard des atteintes à la dignité d'autrui et une aptitude à sedéfendre contre les atteintes à sa propre dignité. Cette empathie, capacité à se mettre à la place d'autrui, qui luiaura été enseigné, va permettre à l'individu de développer une conscience morale mature. Après avoir reçu uneéducation, un savoir par ses parents et ses enseignants, l'enfant va alors mettre en place cette distinction entre lebien et le mal dans sa vie en société...
-
Kant : La liberté malgré le déterminisme
Emmanuel KANT écrit en 1781 son ouvrage « Critique de la raison pure » dans lequel figure l’extrait que nous allons tenter expliquer.
comit, ou cherchent-ils à s’assurer qu’ils peuvent partir de ce principe, donc y a-t-il une possibilité d’irresponsabilité voir d’inconscience dans l’acte commis? L’analyse de Kant consiste à montrer qu’il peut y avoir deux points de vue, tout deux de nature différente sur un unique et même délit: un point de vue scientifique et un point de vue moral. Or Kant nous dit que “bien que l’on croit que l’action soit déterminée par là, on n’en blâme pas moins l’auteur”, ce qui signifie que le p...
-
Spinoza et liberté étatique
-le gouvernement : un ensemble de personnes auxquelles la société civile a délégué directement ou indirectement le pouvoir de diriger l'État. • état de nature : situation fictive ou hypothétique de l'homme avant toute organisation sociale. • droit naturel : ensemble de règles qui résultent de la nature de l'homme, de son essence, indépendamment de tout droit positif. • droit positif : ensemble des règles écrites, promulguées et garanties, qu'on a...
-
L'attention
1. Les temps de réaction sont diminués, la conscience devient plus suggestible et plus impulsive : témoin le coureurqui s'apprête à prendre le départ, ou le chasseur à l'affût ;2. L'attention oriente et organise les états psychiques : quand on attend quelqu'un à la gare on ne surveille que leflot des voyageurs qui s'écoule par la sortie et rendent leur billet ;3. Par l'attention, la discrimination sensible et la réflexion abstraite sont facilitées. Ceci résulte immédiatement de ladéfinition de l...
-
-
Quel est le sens du travail ?
Nietzsche s'interroge ici sur l'origine des déclarations sur la valeur morale du travail, y compris quand il s'agit d'unlabeur épuisant. Elles visent, selon lui, à en cacher la véritable fonction répressive.Le travail dont il est question ici, est celui qui n'a pour but que le gain d'argent et les plaisirs qu'on peut acheter («un but mesquin... »).La valorisation du travail gagne-pain a la même origine que les autres discours moraux : la dépréciation et la peur del'individu. Et de fait, ce tra...
-
Russel explication
l'étonnement. Du fait qu'on s'intérroge sur la chose la plus banale même, on fait donc de la philosophie. Donc Russell veut nous dire que vivre sans s'étonner, sans se questionner à propos de ce qui nous entoure, équivaut à croire tout ce qui nous vient du sens commun, idées qu'il qualifie de « préjugés » et que selon lui nous « emprissonent » comme si nous étions des victimes, mais aussi aux « croyances habituelles à son temps et à son pays ». Russell veut ainsi nous faire voire qu'il ne faut...
-
Sens et valeur du travail
interprétation du marxisme qui voit dans le travail I' « essence » de l'homme et attend de la société commu niste qu'elle assure la réconciliation entre les conditions sociales et cette essence humaine du travail. Travail et histoire Marx cependant suggère de distinguer le travail destiné à la satisfaction des besoins et la libre activité, qui devra per mettre la réalisation de soi (cf. texte 15). Certains (par exem ple Hannah...
-
Peut-on admettre l'existence de Dieu sans être religieux ?
s'appuie sur rien de concret, sur l'expérience. L'erreur de la raison lorsqu'elle projette ces idées, c'est de lesconsidérer comme des concepts à valeur objective alors même qu'elle quitte le sol de toute expérimentationpossible. Dès lors Dieu, comme les autres idées de la raison, ne peut faire l'objet d'une démonstration ou d'unepreuve. La croyance « rationnelle » qui s'attache à ces idées n'est, des mots même de l'auteur, qu'« illusiontranscendantale », erreur nat...
- LA VERITE MEDICALE Commentaires (2) Nous avons eu un problème d'enregistrement , il manque les quinze premières minutes de ce cours, nous vous prions de nous en excuser.
- L'unanimité est elle un critère de vérité ?
-
explication de texte Jean-Jacques ROUSSEAU
Dans un premier temps, Rousseau nous présente le thème du texte : le bonheur. Il le fait sous forme de deux questions, qui mettent en doute non seulement l’existence du bonheur (« s’il existe ») mais aussi sa connaissance (« Qui le sait ? »). Ces précautions oratoires lui permettent d’éviter de donner une définition précise du bonheur (il nous dit surtout ce qu’il n’est pas), de plus il rema...
-
« Un homme tirait au sort toutes ses décisions, il ne lui arriva pas plus de malheurs qu'à ceux qui réfléchissent. Paul Valery
Bonit Thibaut TS1 tirer au sort n’en fait alors plus une décision. Comment peuton alors affirmer «tirer au sort ses d écisions» ? Ce probl ème sera trait é en deux parties : nous devrons nous demander dans un premier temps qu’estce qui oppose ceux qui se doivent de r éfléchir pour s’assurer de prendre les meilleures d écisions que possible, à celui qui laisse le hasard d écider à sa place. On se posera alors la question de ...
-
-
Devenons-nous homme en accédant à la citoyenneté?
homme, donc faire preuve d’humanité, se caract érise par la capacit é de ressentir des sentiments nobles ? Dans ce casl à, une personne égo ïste serait inhumaine ? Cela induirait que nos qualit és comme nos d éfauts pourrait alt érer ou non notre humanit é ? Ainsi on peut se demander si l’homme a des limites ? Si nos limites se caract érisent par l’inhumanit é ? Et donc que nos limites se r ésumeraien...
- la société est-elle le propre de l'homme ?
}})








