4175 résultats pour "esprit"
-
Analyse texte Berkeley
2 / 3 sensibles. (Pour le non-philosophe, la connaissance comprend 3 termes : 1) au dehors, l'objet R éel, existant en soi, R ce R m'envoie la signification de son existence, c'est 2) la P erception P ; cette perception, je la reçois en moi, 3) S ujet S. Par exemple : cette table (R), la perception que de cette table (P) j'ai, moi (S). R→ P→ S. Pour le philosophe Berkeley, R n'existe pas indépend...
-
Foi en la science CONDORCET
i t· r SCIENCES ET CIVILISATION comparaison suffit pour apprendre à se défier de ces dernières opi nions, pour faire sentir qu'on ne les croit réellement pas, lors même qu'on se vante de les croire, qu'on les professe avec la plus pure sincé rité. Or ce secret, une fois découvert, rend leur destruction prompte et 3 5 certaine. Enfin, cette marche des sciences physiques que l'intérêt et les pas sions ne viennent pas troubler, où l'on ne croit pas que...
-
L'inconscient rend-il possible la maitrise de soi ?
2BIDA Hamza TSD Le moi concentre la partie consciente de l’esprit, il est lié au surmoi qui représente une intériorisation des interdits parentaux. Freud disait : « Le moi n’est pas maitre dans sa propre maison ». Ainsi, la notion de libre arbitre est remise en cause puisque le moi ne détiens pas le contrôle. C’est le ça qui domine le moi et qui de ce fait nous empêche d’accéder à certaines informations sur nous-même. Le déterminisme psychique évoque la notion de désirs refoulés d...
-
Dissertation sur l'excentricité
Gymnase de Nyon Dissertation Français Ces-derniers, symbole de la décadence, adeptes de la promiscuité et souvent enclin à la violence sont des personnes qui n’ont pas eu la possibilité d’être éduquées dans un milieu favorable à la création d’une personnalité propre et solide. Les rituels d’appartenance à un groupe évoqués plus haut, sont manquant d’où une perte de repères. C’est alors que se crée une vo...
- Auteurs: HEGEL
-
Les animaux sont-ils comparables à des machines ?
Le problème de l'union de l'âme et du corps. a) La hiérarchie des âmes selon Aristote. Aristote distinguait, dans son Traitéde l'Ame :• L'âme végétative, principe de la nutrition et de la croissance des plantes;• L'âme sensitive, principe de la sensation et de la locomotion chez lesanimaux;• l'âme rationnelle (ou dianoétique), qui — chez l'homme — couronne les deuxprécédentes. b) Chose qui pense ou matière brute. Descartes rejette absolument cesdistinctions. « Il n'y a en nous, écrit...
- Hegel: anthologie complète
-
Explication de texte Epictete
corps. Cependant, l'homme a un besoin d'appartenance, de reconnaissance qui, selon moi, peut surpasser la recherche du bonheur. Le désir d'affection peut être considéré pour certains comme un désir qui n'est pas indispensable. En effet, suivant l'argument d'Epictète, l'Amour est source d'incertitude, c'est un sentiment indépendant de la volonté qui conduit à beaucoup d'insatisfactions. Selon moi, nous ne pouvons pas séparer malheur et bonheur car l'un sans l'autre n'existerait pas. Tou...
-
- Elevation
-
Peut-on douter de tout ?
ne sommes jamais totalement certains d’être dans le vrai. L’imagination, est un pouvoir sans règles, d’associations passées. En effet, l’imagination n’est pas créatrice, elle associe. Dès que nous mettons en relation, nous avons la possibilité d’éventuelles erreurs. La vérité, étant dans ce sens une relation, elle peut être fausse. Les couleurs, elles, comme perception ne sont pas fausses. Il existe également d’autres connaissances, cette fois p...
-
L'art exprime-t-il une époque ?
Le domaine de la mort en était la limite, c'est comme tel qu'il se révéla à l'esprit de cespremiers hommes: tout à coup la mort introduisait ce qui dément la valeur de l'activitéhumaine, ce qui bouscule le sentiment de capacité lié aux premières lueurs de l'intelligence.L'animal n'attend rien et la mort ne le surprend pas, la mort échappe en quelque sorte àl'animal. Mais l'homme, qui travaille, attend le résultat de son travail, et la mort détruit latranquille attente qui...
-
Les grands hommes font-ils l'histoire ou est-ce l'histoire qui fait les grands hommes ?
les fibres intérieures de son vouloir et concentre dans ce but ses forces et tous ses besoins. En ce sens, nousdevons dire que rien de grand ne s'est accompli dans le monde sans passion. » L'histoire est en apparence chaos et désordre. Tout semble voué à la disparition, rien ne demeure : « Qui acontemplé les ruines de Carthage, de Palmyre, Persépolis, Rome, sans réfléchir sur la caducité des empires et deshommes, sans porter le deuil de cette vie passée puissante et riche ? Ce n'est pas...
-
Les Soirées de Saint-Pétersbourg
Sta tues de Jose ph et Xavie r de Ma istre à C hambéry, Savoie ~-- ----- EXTRAITS -----------. En p renant exemple s ur les p saume s, l'auteur montre que, dan s le dout e, il ne faut jamai s accuser Dieu Ayant ainsi abjuré tous les sophismes de l'esprit, il [le Roi-Prophète] ne sait plus qu'aimer. Il s'écrie : Que puis-je dési rer dans le Ciel ? que puis-je aimer sur la terre excepté vous seul ? ma chair et mon sang se consument...
- Le mot "fortifier" dans l'oeuvre de DESCARTES
-
Spinoza: Morale et politique
Pour chaque être, naturellement, être libre c'est être indépendant, libre de toute entrave. La liberté estdonc le caprice ou la licence. II - UNE DÉMARCHE POSSIBLE. A - EXPLICATION DU TEXTE Spinoza affirme tout d'abord qu'on n'accepte l'autorité d'autrui que par impuissance. On n'obéit pas à l'autorité ; on se soumet à la force. D'ailleurs, chacun retrouve son indépendance dès que la menace d'autrui diminue. Spinoza souligne ainsi qu'on prouve sa liberté en " tenant tête à la force ", c'est-à-...
-
LA LITTÉRATURE EXPRESSION DE LA SOCIÉTÉ
Selon le mot de Bonald, la littérature est l'expression de la société. Ce mot ne s'applique-t-il pas tout particulièrement au XVIIIe siècle?
70 XVIII' SIÈCLE II. C'est une époque frivole et même corrompue. Il suffit d'évoquer la Régence et Louis XV, Mme de Pom. padour, Mine du Barry. Jamais les moeurs n'ont été aussi libres. Un ménage régulier et uni devient presque un ridicule. Les lettres, les comédies, les romans reflètent bien cet état d'esprit.... Le succès de la Pucelle.... Même Montesquieu se croit obligé de sacrifier au goût du public.... Le libertinage dans les Lettres Persanes et dans l'Esprit...
-
-
■ A. Huxley, Le plus sot animal, Editions de la Jeune Parque
l., / Exercices d'application 75 est un moyen en vue d'une fin. Le monde moderne semble le considé rer comme une fin en soi, comme un bien absolu. Quelque jour, peut être, le monde aura été transformé en un vaste lit de plume, sur lequel sommeillera le corps de l'homme, tandis que son esprit se trouvera dessous, comme Desdémone, étouffé. ■ A. Huxley, Le plus sot animal, Editions de la Jeune Parque, pp. 248 à 250. Questions 1 . Quel titre proposez-vo...
- Commentaire de david hume
-
Encyclopédie [Diderot et d'Alembert] - fiche de lecture.
seul durant sept années. En 1766 paraissent les dix derniers volumes de textes et, en 1772, un dernier volume de planches. Un supplément (4 volumes de textes, 1 volume de planches) et une table des matières analytique (2 volumes) voient le jour respectivement en 1776-1777 et 1780. Mais les volumes, à partir du tome VIII, font l’objet d’une censure de l’éditeur Le Breton, à l’insu de Diderot, qui laisse néanmoins paraître les volumes. 6 POSTÉRITÉ L’entreprise de Diderot et de ses collaborateurs...
-
MALEBRANCHE: Raison universelle et raisons particulières
3. La fin du texte (à partir de « Ainsi la Raison... ») précise ce que Malebranche entend par « Raison universelle», c'est-à-dire commune à tous, en tous temps et en tous lieux. Elle est essentiellement à distinguerde la raison particulière comprise comme motif de l'acte, et qui résulte le plus souvent d'un emportementpassionnel (cf question 2b).Le texte de Malebranche est donc parfaitement construit, en entonnoir : il part d'une thèse générale pourarriver à la sienne, particulière. Q...
-
Prendre conscience de soi, est-ce un mouvement sans fin ?
Ainsi, c'est de ma confrontation avec toutes les autres consciences que surgit une certaine image de moi. En effet, si je commets un actehonteux, dit Jean-Paul Sartre ( L'Être et le Néant ), je ne suis honteux que sous le regard (physique ou mental) d'autrui. Si je mange du chocolat àoutrance, je ne me blâme ni me juge en le faisant ; toutefois, j'en conçois desremords sitôt que je songe à autrui. Pour prendre conscience de moi, je dois donc passer par autrui. Celui- ci n'est p...
-
Une oeuvre d'art nous invite-t-elle à nous évader du monde ou à mieux le regarder ?
Idées ne sont pas des produits de notre intelligence, constitutives de cette dernière (rationalisme) ou formées aucontact de l'expérience (empirisme). Elles existent indépendamment de notre pensée. L'Etre est l'intelligible oumonde des Idées. Cette thèse rend compte et de la connaissance, la réalité est intelligible, objet d'uneconnaissance, et de l'ordre du monde. C'est parce que le monde est en lui-même intelligible que nous pouvons leconnaître. · La seconde, ensembl...
-
LA FONCTION CRITIQUE DE LA PHILOSOPHIE
sur laquelle réfléchir. La philosophie est une réflexion et la sagesse est la conséquence de cette réflexion. La philosophie aura donc pour but d'atteindre la sagesse. 30 Au départ de la réflexion nous pouvons poser l'éton nement : le philosophe sera celui qui se donnera le ridicule de s'étonner des choses concrètes et habi tuelles, d'où la citation de Jankelevitch: «philosopher c'est se comporter vis-à-vis de l'univers comme si rien...
-
La tempete de Shakespeare (fiche de lecture et analyse)
comédiens occupent ici tout l’espace avec un jeu dynamique, certains endroits comme le haut du mur sont réservé a quelques personnages seulement, l’espace scénique est quelquefois indicateur du statut ou du rôle du personnage (les esprits sont, par exemple, souvent en haut, observant le monde). Nous avons dit précédemment que les lumières jouent un rôle important dans la délimitation de l’espace, en effet ils constituent à elles seules un élément de décor essentiel dans la pièce. Dans c...
-
-
Encyclopédie [Diderot et d'Alembert] - fiche de lecture.
seul durant sept années. En 1766 paraissent les dix derniers volumes de textes et, en 1772, un dernier volume de planches. Un supplément (4 volumes de textes, 1 volume de planches) et une table des matières analytique (2 volumes) voient le jour respectivement en 1776-1777 et 1780. Mais les volumes, à partir du tome VIII, font l’objet d’une censure de l’éditeur Le Breton, à l’insu de Diderot, qui laisse néanmoins paraître les volumes. 6 POSTÉRITÉ L’entreprise de Diderot et de ses collaborateurs...
-
> Peut-on comparer l’histoire de l'humanité à l'histoire d’un homme ?
APPROCHE: On appelle " histoire " trois réalités : l'histoire c'est d'abord le passé d'un homme ou de l'humanité tout entière, c'est ensuite une science qui porte sur ce passé et c'est enfin le récit. Habituellement,l'historien néglige considérablement l'histoire individuelle, sauf lorsqu'il s'agit précisément des grands hommes ou deshéros. En effet ceux-ci, dans leur histoire, dans ce qui leur est arrivé, ont réalisé des actions qui ont marqué touteune partie de l'humanité. Par exempl...
-
Définition:
AUGUSTINIEN, -IENNE, adjectif et substantif.
?TIENNE GILSON, L'Esprit de la philosophie m?di?vale, tome 1, 1931, page 12. B.? " Nom que prirent les jans?nistes parce qu'ils pr?tendaient ?tre les disciples de saint Augustin et enseigner ses doctrines sur la gr?ce " (Grand dictionnaire universel du XIXe. si?cle (Pierre Larousse)). Remarque?: 1. Attest? dans la plupart des dictionnaires g?n?raux du XIXe. si?cle et dans Grand Larousse encyclop?dique en dix volumes 2. On rencontre dans la documentation le n?ologisme augustiniennement, adve...
-
Quel est et rôle du questionnement dans l'exercice de la pensée ?
le terrain des généralisations plus complexes, il n'est plus que le conglomérat des préjugés d'une certaineclasse à une certaine époque. La simple crise du capitalisme le décontenance ; devant les catastrophestelles que les révolutions, les contre-révolutions et les guerres, le bon sens n'est plus qu'un imbécile toutrond ». L .Trotski . On peut généraliser en disant qu'un modèle social historique, tel que celui de la postmodernité par exemple, servirait de sens commun, pour juger presqu...
-
L'évidence peut-il être toujours tenu comme critère de la vérité ?
s'impose à l'esprit de telle sorte qu'on ne peut penser autrement ce qui est jugé c'est-à-dire quelque chose que l'on estspontanément porté à tenir pour vrai. L'évidence apparaît de façon tellement claire qu'elle n'a pas besoin d'être démontrée.De plus, l'évidence se définit par le fait que la représentation d'une idée s'accompagne d'un sentiment de certitude. Il existe,par ailleurs, deux types d'évidence: l'évidence sensible et l'évidence intellectuelle. L'évidence sensible est l'évidence perçu...
-
Les mythes peuvent-ils disparaître de notre culture ?
[psychisme humain est naturellement créateur de mythes.La pensée mythique, loin de s'opposer à la pensée rationnelle, est une autre facette de l'esprit. Le mythe a le pouvoir de rassurer l'homme.] Inconscient et mythesLa civilisation occidentale est définitivement sortie de l'univers mythique. Mais l'homme moderne continue deporter en lui, au moins dans son inconscient, toute l'expérience de l'humanité. Nombre de ses rêves, penseCari Gustav Jung, ont une dimension mythique. Le mythe survit dan...
-
Kierkegaard: le sérieux et la mort
1) Thèse centrale : La pensée de la mort nous fait prendre conscience de la valeur de la vie. 2) Trois degrés possibles dans cette prise de conscience. Elle peut conduire à- une exaltation de la sensualité chez l'homme superficiel, « l'homme charnel » ;- un sentiment d'impuissance, chez un esprit « plus profond » ;- une appréciation de toute la valeur et du sens de la vie chez le « sérieux 3) Conclusion : le sérieux avec lequel nous envisageons la mort nous fait prendre avec sérieux la vie. KIER...
- Les mots ressemblent-ils aux objets qu'ils représentent ?
-
-
Freud et la sexualité
sexualité sont tous, à de rares exceptions près, soumis à l'amnésie infantile, ce qui ne doit pas nous laisserindifférents. C'est en effet la constatation de cette amnésie qui nous a permis de nous faire une idée de l'étiologiedes névroses et d'établir notre technique de traitement analytique. Par ailleurs, l'étude des processus évolutifs aucours de l'enfance nous a aussi apporté des preuves à l'appui d'autres conclusions.Le premier organe qui se manifeste en tant que zone érogène et qu...
-
La science rend-elle la philosophie inutile ?
recherche se fait inductive (et complémentairement expérimentale), alors que la tradition aristotélicienne restaitentièrement déductive. La découverte des lois scientifiques obéit dès lors, dans tous les domaines, à la distinctionque thématisera Kant : on doit distinguer un monde phénoménal d'une réalité nouménale, et la loi concerne lepremier, même si elle n'apparaît pas directement dans les phénomènes eux-mêmes, tandis que l'univers nouménal (lefond du « réel ») nous reste inconnu...
-
Ma conscience est-elle le fondement de mon identité ?
reste, ce qui résiste en dernier appel, par delà toutes les destructions que l'on peut tenter. - En effet, une fois que j'ai douté de tout, y compris de moi-même, apparaît une première certitude : je peux douter de tout, mais je ne peux douter de la condition inhérente à l'acte même de douter; il faut bien que moi quime persuade que je rêve ou que je suis fou, moi qui veux douter, je pense et que je sois ou j'existe, justement pourpouvoir penser. Au moment où je doue, je pense et au moment o...
-
Que pensez-vous de cette remarque de Taine : « On relit le XVIIIe siècle : sous les moqueries légères, on trouve des idées profondes; sous l'ironie perpétuelle, on trouve la générosité habituelle; sous les ruines visibles, on trouve des bâtisses inaperçues. » Vous appuierez votre argumentation sur des exemples précis, empruntés aux textes et aux œuvres du XVIIIe siècle que vous avez lus ou étudiés.
et conventions, demandant de repenser les principales valeurs humaines sans jamais les rattacher à rien qui lesdépasse, refus des transcendances, bref : position négative et destructrice... Telle en est une autre présentation.Comme toutes les généralisations, toutes deux comportent leur part d'exactitude, mais aussi une certaine stylisationde « légende » qui les réduit et les fausse. [Mettons à part, bien sûr, toutes les prises de position de mauvaise foi,fréquentes à propos de ce siècle « eng...
-
Lexique de philosophie
->< Ill ..1 2. par extension, l'égalité désigne en politique le principe selon lequel tous les individus, quels que soient leurs sexe, âge, couleur de peau, niveau social, etc., doivent être traités de la même façon devant la loi. épistémologie : étude critique des principes, des hypothèses et des résultats de diverses sciences, en vue de déterminer leur origine, leur valeur et leur portée objective. essence : ce qui fait qu'une...
- Le mot "lecteur" dans l'oeuvre de DESCARTES
-
LEIBNIZ : NOUVEAUX ESSAIS SUR L'ENTENDEMENT HUMAIN (Résumé & Analyse)
que l'esprit découvre en lui-même (perception, volonté). Mais il existe aussi des idées simples qui procèdent àla fois des sensations et de la réflexion : le plaisir, la douleur, la puissance, l'existence.Locke classe plusieurs types de connaissances, suivant le rapport existant entre la réalité et la connaissanceque l'on en a. Dans la perception des idées simples, l'esprit est passif. Par contre, son activité intervient dansle cas des idées complexes qui sont élaborées à partir d'idées s...
-
Quelle connaissance la science nous donne-t-elle de la réalité ?
mathématicien est la seule qui satisfasse pleinement la raison. Aussi voit-on que le savant cherche toujours àconsidérer son objet sous un aspect mathématique, c'est-à-dire à substituer des déterminations quantitatives à desdonnées qualitatives. C'est ainsi qu'à des notions vagues et subjectives comme sont les notions de froid, de tièdeou de chaud on substitue des degrés mesurables, c'est-à-dire des notions précises et objectives. Les sensationsque nous éprouvons sont vagues et subjectives...
-
- Cours: FORMATION DES CONCEPTS SCIENTIFIQUES (1 de 2)
-
Résumé de la philosophie de HEGEL
En se proposant de construire un système complet du savoir, Hegel s'affirme comme un penseur encyclopédique.Paradoxalement, ce système, qui se veut exhaustif et objectif, a suscité les philosophies et les interprétations lesplus diverses : Hegel est ainsi lu tour à tour comme un athée, un théologien, un penseur tragique, un rationalisteabsolu. Il a tout dit, mais tout n'est pas dit sur lui, et Hegel garde tout son mystère. L'homme est né à Stuttgart en 1770. Fils d'un modeste fonctionnaire, il f...
-
Peut-on être sûr d'une vérité sans pouvoir la prouver ?
En fait, l'impression vécue de certitude n'est pas suffisante pour caractériser le jugement vrai. Car onpeut se croire dans le vrai et cependant se tromper. Je veux éprouver un sentiment très fort et trèssincère de certitude et pourtant être dans l'erreur. C'est une grave objection à la théorie del'évidence-vérité. Comment distinguer les fausses évidences et les vraies évidences, C'est ici qu'un critère seraitnécessaire. Descartes disait Leibniz , « a logé la vérité à l'hos...
-
LES QUESTIONS DE MÉTHODES GÉNÉRALES
1 Le programme Le prograrrnne de philosophie comprend des notions, des auteurs et des repères : 23 notions regroupées en cinq cha pitres : le sujet, la culture, la raison et le réel, la politique, la morale. Une liste de repères définit le vocabulaire technique de la philosophie, par couples d'opposés, comme absolu/ relatif ou objectif/subjectif. Une liste d'auteurs classiques court de l'Antiquité au xxe siècle, de Platon à Michel Fou c...
-
Avons-nous seulement des préjugés ?
aussi venir quand nous dormons, sans qu'il y en ait aucune, pour lors, qui soit vraie, je me résolus de feindre quetoutes les choses qui m'étaient jamais entrées en l'esprit, n'étaient non plus vraies que les illusions de mes songes."On voit bien ici que le préjugé est un problème de connaissance, puisque Descartes affirme que cela ne pose pas deproblème dans la vie courante. Transition : Mais si nous n'avions que des préjugés, que nous serait-il possible de connaître ? Ne faut-il pas au moins...
-
Les médias font-ils l’opinion publique ?
Sommaire Introduction Page 3 I - Comment le pouvoir énorme des médias agit-il sur l’opinion publique ? Page 4 A) Une influence considérable B) Les médias et la politique, un lien étroit : qui contrôle qui ? II – Peut-on alors se forger sa propre opinion ? Page 8 A) Le pluralisme médiatique B) Se servir de son esprit critique III – Etude de cas : L’affaire D’outreau...
-
Sören KIERKEGAARD (1813-1855): le sérieux de la mort
sérieux tend l'énergie. Alors le sérieux s'empare de l'actuel aujourd'hui même ; il ne dédaigne aucune tâchecomme insignifiante ; il n'écarte aucun moment comme trop court. » KIERKEGAARD Ordre des idées 1) Thèse centrale : La pensée de la mort nous fait prendre conscience de la valeur de la vie. 2) Trois degrés possibles dans cette prise de conscience. Elle peut conduire à- une exaltation de la sensualité chez l'homme superficiel, « l'homme charnel » ;- un sentiment d'impuissance, chez un espr...
-
Toute croyance est-elle contraire à la raison ? En savoir plus sur http://www.intellego.fr/soutien-scolaire-terminale-l/aide-scolaire-philosophie/corrige-gratuit-dissertation-bac-l-2012-philosophie-toute-croyance-est-elle-contraire-a-la-raison-/54995#gYTVQZMFbhsYSeHJ.99
Ici Hume définit la croyance qui est la propension de l’esprit à affirmer ce qu’il conçoit (lorsque je sais que 2 et 2 font 4 je dois aussi y croire). Il ajoute que ce caractère essentiel des croyances fait qu’elles ont un lien essentiel avec nos actions . La croyance produit une effectivité du comportement que la raison seule ne pourrait pas produir II.3 Enfin au cœur de tout savoir constitué comme science il y a des croyances qui la fondent et sans lesquelles les sciences ne puer...
-
-
Friedrich Nietzsche, Le Crépuscule des idoles, « La morale en tant que manifestation contre nature »
17~ .. COMMENTAIRE DE TEXTE correspondent en outre à des moments différents : dans le second moment, les passions ne disparaissent pas, mais s'expriment d'une nouvelle manière, dans le domaine de l'esprit et de l'intelligence. B. Puisque la passion a été à l'origine associée de manière nuisible à la bêtise, elle a été tenue pour une ennemie : la morale, c'esi:-à-dire les prescriptions nor matives devant régler nos vies, est l'expres...
-
Le travail fait-il l'essence de l'homme ?
prolongement de l'action du moi. Il n'est mû que par la volonté et les efforts d'un sujet. La machine, quant à elle,est un ensemble de mécanismes. Lorsqu'elle est un automate, elle se « meut de soi-même », selon les termes deDescartes. Elle diffère profondément d'un simple instrument. Elle est un outil « autonomisé ». Elle est capable d'«autoactivité ». La substitution d'un tel dispositif à l'outil traditionnel est déterminante. D'abord, le machinismeengendre une division accrue du travail...
}})








