748 résultats pour "divine"
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la philosophie
avoir coutume . Si l'on considère les mot composés de la racine ph\ il- , on trouve que les sens suivants peuvent apparaître en fonction du suffixe : ami, amitié, passion, \ plaisir, se plaire à, bienveilance (être amical), servir, accueillir (un étranger par exemple). D'autre par\ t, le verbe philosophein signifie chercher la culture, philosopher, être philosophe, étudier à fond, médit\ er. Et le mot philosophia signifie de même recherche de la culture , étude profonde . On attribue l'invention...
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Créatrice d'espace, informel, impalpable et pourtant si présent, la danse appartient à
toutes les civilisations.
les paupières, les yeux, le nez, les narines, la bouche, la langue, les lèvres. La pratique de ce vocabulaire, qui suppose un contrôle précoce et incessant de tous les muscles, permet au danseur d'exprimer les êtres, dieux, astres, animaux, fleurs, vent, feu. Ce langage ésotérique revêt diverses formes selon qu'il s'agit de Bali, du Cambodge ou du Japon. Dans l'ensemble de l'Extrême-Orient, les danses sont des représentations des actes divins : elles sont pour cette raison inséparables de...
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Fig. 55
Plan type du complexe funéraire.
Le temple d'accueil ou «
peut serendre compte —scènes relatant lesgrands événements durègne. Onyvoit ainsi letransport depuis Assouan descolonnes degranit quiornaient letemple, uneprocession denomes, lesbateaux revenant de l'expédition deByblos, descombats contrelesBédouins etdes représentations, uniquespourl'époque, de populations dudésert affamées, danslesquelles onavoulu voirdes signes avant-coureurs delafamine qui s'abattra surlepays... quatresiècles plustard! Le temple deculte, situéjusqu'à lafin de laIIIe dynastie...
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Bible - résumé.
l’« Ancienne Alliance » conclue par Dieu avec Israël et la « Nouvelle Alliance » instaurée à travers Jésus-Christ (voir par exemple Épître aux Hébreux, VIII, 7). Parce quel’Église primitive croyait en la continuité de l’histoire et de l’action divine, elle a inclus dans la Bible chrétienne les récits écrits de l’Ancienne et de la Nouvelle Alliance. 6.1 Les livres de l'Ancien Testament L’Ancien Testament peut être abordé selon de nombreuses perspectives différentes. Du point de vue des textes, l...
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?La Fontaine, « Les Animaux malades de la Peste », Fables, Livre
Les conséquences : En huit vers (7à 14) sont évoquées les conséquences de la peste. Ce tableau est à la fois dramatique et mis à distance par les allusions à d'autres fables. Le chiasme du vers 7 : « Ils ne mouraient pas tous, / mais tous étaient frappés » met en valeur le pronom « tous » et ce faisant, souligne l'universalité du mal. La symétrie entre "mourir" et "être frappés" souligne la morbidité de la peste : ceux qui lui survivent la subissent quand même. Les négations soulig...
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L’image de la nature chez Victor Hugo
l’image d’une vie qui touche à sa fin, le printemps symbolise la naissance ou la renaissance, la forêt semble être comme un temple dont les colonnes sont les arbres, le vent qui gémit et le roseau qui soupire symbolisent les émotions du poète lui-même. La Nature est aussi un lieu de repos, de refuge : en s'y promenant, on oublie la société, on oublie les bruits de la vie mondaine. Pour Rousseau la nature est tantôt verdoyante et rie...
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Égypte ancienne, art de l' - peinture.
Sous la III e dynastie, l’architecte Imhotep édifie la nécropole du souverain Djoser (régnant vers 2630-2611 av. J.-C.), le plus grand ensemble architectural de l’époque, sur le site de Saqqarah, non loin de Memphis. Ce complexe funéraire comporte une grande pyramide à degrés — bâtie sur d’anciennes galeries funéraires souterraines et surélevée à plusieurs reprises — et un groupe de chapelles et d'édifices associés. Haute de 60 m, la grande pyramide, dans laquelle est conservée la dépouille d...
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Égypte ancienne, art de l' - sculpture.
Sous la III e dynastie, l’architecte Imhotep édifie la nécropole du souverain Djoser (régnant vers 2630-2611 av. J.-C.), le plus grand ensemble architectural de l’époque, sur le site de Saqqarah, non loin de Memphis. Ce complexe funéraire comporte une grande pyramide à degrés — bâtie sur d’anciennes galeries funéraires souterraines et surélevée à plusieurs reprises — et un groupe de chapelles et d'édifices associés. Haute de 60 m, la grande pyramide, dans laquelle est conservée la dépouille d...
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Les divinités des nomes la Moyenne-Égypte
Nome 16 , « L'Oryx », Théodosiopol is, Beni Hassan {Hebenou} L 'actuelle Beni Hassan vouait un culte à Horus et, dans la grotte sacrée, à la déesse lionne Pa khet, la re doutable fille de Rê, à la fois « Dame des sources » et« ca pable de trancher la mon tagne ». Les habitants du no me vénèrent également le dieu Khnoum et Hathor . Nome 17, « Le Chien noir », Cynopolis {Henou} ., L e dieu de la ville et du...
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romain, art - peinture.
2.3. 1 Les temples Les temples romains présentent des formes variées, dans lesquelles s’expriment les héritages étrusque et grec, mais aussi un goût original pour l’ampleur des volumes, la richesse du décor, la mise en scène. Les plus nombreux sont rectangulaires, mais il existe aussi des temples ronds. Le cœur du temple est la cella, salle qui abrite la statue de culte. Dans un temple courant, un vestibule (le pronaos) précède la cella ; des portiques bordent certaines faces ou entourent l...
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romain, art - sculpture.
2.3. 1 Les temples Les temples romains présentent des formes variées, dans lesquelles s’expriment les héritages étrusque et grec, mais aussi un goût original pour l’ampleur des volumes, la richesse du décor, la mise en scène. Les plus nombreux sont rectangulaires, mais il existe aussi des temples ronds. Le cœur du temple est la cella, salle qui abrite la statue de culte. Dans un temple courant, un vestibule (le pronaos) précède la cella ; des portiques bordent certaines faces ou entourent l...
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ECKHART : Le Livre de la consolation divine
Prédicateur. Gravure sur bois tirée de La Nef des fous de Sebastian Brandt , Allemagne, xve siècle EXTRAITS ----- - -- Les trois souffrances humaines Le grand maître saint Paul dit dans son épître : « Loué soit Di eu, père de Notre Seigneur Jésus-Christ, père de la miséri corde et Dieu de toute conso lation, qui nous c onsole dans toutes nos afflic tions » . Or, il y a trois sortes de tribulations qui assaillent l'homm e et le mettent dan...
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XVII' siècle et première période du xVDr siècle
Bonheur
Joie
Malheur
Douleur
Règles divines
Damnation
Condamnation
Mépris
A
Devoir
Règles...
XVII' siècle et première période du xVDr siècle Bonheur Joie Malheur Douleur Règles divines Damnation Condamnation Mépris A Devoir Règles civiles Injustice Droit Règles philosophiques Vice Vertu Salut Intégrité Respect Les règles morales Communauté de biens originaire � •- 41 Biens 1 l' naturels B Péché � L'apparition de la propriété privée Appropriation par le travail - proprièté limitée Accumulation de la possession par l'introduction de l'argent Comme notre savoir...
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MYTHOLOGIE: Le voyage des Argonautes
C'est sur cette île que se réfugièrent les oiseaux nuisibles qui avaient été chassés du lac Stymphale par Héraclès.Une pluie de plumes pointues comme des dards accueillit les Argonautes et les obligea à se protéger avec leurscasques et leurs boucliers. Des naufragés avaient également trouvé refuge sur l'île ; il s'agissait des fils de Phrixos,le jeune grec qui avait porté la Toison d'or en Colchide.Les Argonautes reprirent la mer. Arrivés presque au but de leur expédition, ils virent l'aigle de...
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Hatshepsout
des époux. Mais c'est égale ment celle de personnes ayant un statut social ident i que. Aussi cette hypothèse est-elle rejetée . li paraît en effet peu probable que Thoutmosis Ill, alors pharaon à part entière, ait été relégué officiellement au rôle secondaire de compa gnon d'un pharaon . Amon, divin époux E n revanche , Bernard Ma thieu a mis en avant une seconde hypothèse , fort inté- ressante . li souligne q ue lors qu'e l le ét...
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Dom Juan de Molière (1665): les ambiguïtés de la pièce et sa dimension contestataire
* Il s’efforce de montrer qu’il est cultivé alors qu’il ne l’est pas vraiment. Il s’agit en vérité d’un homme superstitieux * On trouve le champ lexical de la religion : « pèlerin », « hérétique », « Ciel » et « diable ». * Il fait référence à un « loup-garou », élément de la superstition. Il veut ainsi impressionner Gusman. * Il se veut le porte-parole de la chrétienté, comme il le montre en employant le champ lexical du mariage : « mariage », « contracter », « épouser » ;...
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Thot et Séchat, les dieux de l'écriture
DES LETTRES ENVOYÉES À THOT Si les Égyptiens de la fin de l'Ancien Empire et du Moyen Empire écrivaient des lettres à leurs défunts pour leur réclamer soutien et protection, cette pratique, bien qu'attestée sous le Nouvel Empire (et même à une période plus tardive), semble toutefois s'essouffler au profit d'une correspondance avec les dieux. Sous le Nouve l Em pire ap p araissent en effet les premières lett res aux divinités. Bien...
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A quoi tient la force des religions ?
reconnaissent comme faisant partie d'une même famille, par leur soumission à la même Divinité ils développent desliens de parenté, de solidarité, qui sont favorable à la vie sociale et à sa bonne organisation. Bergson, dans Les deux sources de la morale et de la religion , souligne que la religion a pour fonction de maintenir les hommes dans l'espace social. La religion « renforce et discipline », à travers ses pratiques, ses rites etcérémonies, qui préservent ainsi l'ordre social. U...
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Romano Guardini affirme que le Prince Mychkine est « un symbole du Christ, mais où rien de divin ne se trouve mimé par le personnage ». Pour lui, « l'absence de ce côté parachève le symbole et lui donne tout son sens ». Ce jugement qui concerne l'Idiot de Dostoïevski peut-il être également appliqué à Nazarin de Galdos et au Christ recrucifié de Kazantzaki?
autrui il se montre faible aux yeux des autres personnages du roman. Il aime les gens avec une complète foi sansjamais les juger. Il tombe amoureux d'une jeune femme qui lui semble être sous le joug d'un homme qui ne la rendraitpas heureuse, le fait de voir Nasstassia Filipovna pleurer lui est insurmontable et il ne peut se résoudre à la laisserdans la douleur, alors même qu'elle semble se jouer de lui.Le Nazarin de Benito Perez Galdos est un roman qui offre lui aussi à voir un personnage en réf...
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Les croyances sont-elles une affaire d'Etat ?
« La religion est une réaction défensive de la nature contre lareprésentation, par l'intelligence, de l'inévitabilité de la mort. »Bergson, Les Deux Sources de la morale et de la religion . · Si l'on considère la croyance comme étant une réaction, comme le suggère Bergson, nous comprenons qu'elle continue de vivre,pleinement, dans l'Etat. Aussi, l'Etat voit-il dans les croyances unepuissance qui peut s'opposer à lui. · En ce sens, la croyance devient une aff...
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Qu'est-ce que la conscience morale et quelle est son origine ? Est-elle un instinct divin ?
VOCABULAIRE: ORIGINE (n. f.) 1. — Commencement réel d'un phénomène, d'une activité, d'une institution ; par ext., point d'où l'on convient de faire partir une mesure, un repère. 2. — Source ; ensemble des réalités et des processus à partirdesquels un phénomène a pris naissance : l'origine des espèces. 3. — Principe, raison d'être de quelque chose. 4. —Développement rationnel des étapes idéales par lesquelles une réalité quelconque se constitue et qui permet d'enexpliquer les propriétés actuell...
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La religion et la morale
Introduction La religion est un lien entre l’Homme et des puissances ou une divinité dont son existence ou son salut dépendent. Sous cette aspect, la religion semble se distinguer de la morale qui désigne les mœurs , les manières de vivre que partagent les membres d’une société qui relient les humains entre eux en vue d’un bonheur terrestre. Le lien religieux est vertical (l’Homme par sa foi, se rapporte à un être supérieur dont les paroles sont des ordres auxquels il doit s...
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Les mots des dieux - 2
popotame gravide et la tête d'un crocodile. Elle se dresse sur des pattes arrière de lion et dans ses pattes avant, en forme de mains humaines, elle tient le signe hiérogly phique signifiant « protec tion ». Symbole de fertilité, Thouéris veille sur les fem mes lors de l'accouchement et pendant la période de l'alla itement. Cette déesse est adorée avec une grande ferveur, et de nombreuses amulettes protectrices à so...
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Le grand temple d'Horus à Edfou
Au nord, cette cour monu mentale est séparée du pro naos, sur lequel veillent reli gieusement deux statues d'Horus, par une rangée de six colonnes reliées par des murs érigés à mi-hauteur. Au milieu de ces murs d'entreco lonnement s'ouvrent deux petites pièces : à gauche, la "chambre du matin"; à droi te, la "bibliothèque", où sont méticuleusement recensés, sur les parois, les titres des principaux ouvrages du temple d'...
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Les arguments déterministes
624 LA LIBERTÉ 1. Le point de vue théologique. -Dieu, disent les théolo giens, prévoit nécessairement et infailliblement, en vertu de son omniscience, non seulement tous les événements nécessaires, mais aussi tous les " futurs libres n, c'est-à-dire tous les événe ments qui dépendent du libre arbitre. -D'autre part, Dieu est source universelle de l'être et tout ce qui se produit dans l'univers ne peut exister que par l'influx dë la...
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Louxor : les constructions d'Aménophis III
raux actuellement en partie détruits, n'éta ient donc pas aussi visibles que de nos jours. Leurs chapiteaux sou t i ennent des abaques r ecta n gulai r es qui servent d'assise aux énormes architraves . La toiture de la colonnade a dis paru, mais l'étude des archi trave s permet d'affirmer qu'e lle était const i tuée à l'origine de près de cent cin qua n te dall es pesant chacu ne environ 14 tonnes . Les murs latéraux se pré...
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PHILOSOPHIE et RELIGION
"Le "Te Deum" célèbre tous les triomphes de la force. Et le pouvoir spirituel passe en d'autres mains. La religion condamne la religion. Ce n'est pas l'école qui est sans Dieu, c'est l'Eglise qui est sans Dieu." (Emile Chartier, dit Alain / 1868-1951 / Propos sur la religion, La vraie foi, 11 mars 1913) "La religion conduit à l'irréductible irréligion." (Emile Chartier, dit Alain / 1868-1951 / Propos de littérature / 1934) "La religion, avons-nous dit, c'est le premier réveil de l'humaine ra...
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L'inspiration en poésie ?
irresponsable et en même temps le poète acquière un statu quasi divin, il devient un être visité par les dieux. • Peu a peu la poésie s’est apparentée à la prophétie. Le poète fait peur car il semble posséder des pouvoirs mystérieux, entendre des choses inaudibles. Pour réutiliser Ronsard on peut dire que certes la poésie est un don, mais elle implique de celui qui l e possède un devoir de type moral ; la poésie se conçoit comme une mission, un sacerdoce : « Car Dieu ne communiq...
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Hathor
vanter les beautés de l'Égyp te, pays de son père Rê, la douceur du Nil qui serpente à travers le pays, la richesse bucolique de ses rives ver doyantes . Il promet à la bel- le, si elle accepte de les suivre, de lui construire des temples et de lui offrir à sa tiété la nourriture à laquelle elle est habituée . La danse, la musique et la joie de vivre ne cesseront d'être présentes pour la célébrer . Thot tend alors...
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Le rituel journalier dans les temples
Trois serv ices de culte sont rendus dans la journée : les cé rémonies du matin, les plus importantes, celles de midi et l'office du soir. Le réveil du dieu A vant d'approcher de la divinité, celui qui officie au nom du roi doit être pur . On purifie donc le prêtre, mais aussi le sanctuaire par des fumigations. C'est l'aube. Une petite procession arrive à proximité de la chapelle du dieu qui abrite le naos . Là,...
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Le religieux et l'antireligieux dans la pensée des Lumières françaises.
inaccessible (d'Alembert). En conséquence, le religieux déiste des Lumières s'inscrit dans le prolongement de la reconnaissance des limites de la raison humaine face à l'ordre dont la raison ne peut être atteinte. Toute religion couve ainsi un fondsdéiste comme expression de sa rationalité raisonnable. Et le déisme peut être fidéisme en tant que condition depossibilité de se référer à la totalité de l'extérieur comme ordonné en son principe. Le religieux rationnel etraisonnable, co...
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Qu’est-ce qu’être religieux ?
L'ex emple le plus représentatif est le sacrif ice demandé par Dieu à Abr aham de son fi ls Isaac. Juste pour « tester » sa foi, il lui demande de faire en quelque sorte un acte inhumain et antinatur el, de telle sorte qu'Abr aham doive choisir entre l'amour pate rnel et l'amour divin. Il en va de même pour les miracles : Dieu ne se contente pas de régler les lois natur elles, il peut aussi les inverser ou les tran sgresser . Il s'a git, encore une f...
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Examiner cette assertion d'un penseur contemporain : « Une morale qui croit fonder l'obligation sur des considérations purement rationnelles réintroduit toujours à son insu des forces d'un ordre différent. » ?
ou dix ans de peine, je serai sage et raisonnable en m'en abstenant, mais l'abstention ne sera pas obligatoire. Laraison ou le simple bon sens me dit, conditionnellement : si tu veux être heureux, observe la loi morale. Laconscience, au contraire, porte des ordres inconditionnels : observe la loi morale, même si cette observation devaitte rendre moins heureux. Suivant la formule de KANT, les impératifs de la conscience morale sont des impératifscatégoriques.Ce n'est donc pas en constat...
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BALLANCHE Pierre Simon : sa vie et son oeuvre
Ballanche intègre donc le temps dans la loi divine et voit dans la morale de la société présente celle du christianisme même. Apôtre de la modernité chrétienne, opposé aux excès ultras, il constitue la théologie du pro grès comme dogme d'un certain royalisme bourgeois. Pour cela, il lui faut étendre la doctrine à l'ensemble de l'évolution humaine, immense projet qui restera ina chevé, jalonné par la publication des Prolégomènes (1827), d'Orphée (1829...
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La religion est-elle le propre DE L'HOMME ?
capacités humaines est la source de craintes et d'espoirs (conscience du temps) ainsi que du conflit entre individu et société (différencia tion des individus au sein de l'espèce), l'être humain s'invente un W monde pour servir de «socle» à son existence. a: •La religion impose un système de valeurs qui ancre l'individu dans ::> 1-.J la vie sociale. Pour Auguste Comte (qui y voit un synonyme de syn- thèse), le terme de religion«...
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Les temples thébains de Montou :Karnak
agrandi sous Ramsès Il et Ta harqa, roi de la xxv · dynastie nubienne. L'entrée du temple, qui s'ou vre au nord, était encadrée par deux obélisques érigés sous Aménophis Ill et posés sur un socle en granit rouge. Une cour à portique menait à une salle hypostyle à quatre rangées de colonnes puis à la salle des barques et enfin aux sept sanctuaires . Par la suite, sous le règne de Taharqa, les obélisques de l'entrée fure...
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POSEIDON (Mythologie)
Athèna pour la possession d'Athènes et de Trézène. Dans le premier cas, un concours fut décidé : Athèna planta unolivier, mais tout ce que Poséidon put produire fut une source d'eau saumâtre qu'il fit jaillir en frappant le rocher del'Acropole de son trident. Les gens du pays jugèrent que le don d'Athèna était le plus utile des deux, aussi, pour lespunir de leur choix, Poséidon inonda la plaine de l'Attique. Zeus réconcilia plus tard le dieu avec les Athéniens qui,désormais, le tinrent particuli...
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babylonienne, mythologie - mythologie.
Babylone. La fête durait onze jours et incluait des rites de purification, de sacrifice, de propitiation, de pénitence et d'absolution, ainsi que des processions très colorées.L'apogée en était probablement la cérémonie du mariage sacré, union rituelle du roi (symbolisant Marduk) et d'une hiérodule (symbolisant l'épouse de Marduk) ; elle avaitlieu dans le sanctuaire qui couronnait la ziggourat. 4 CROYANCES Les documents babyloniens indiquent que les croyances éthiques et morales du peuple insis...
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La loi comme source du droit à Rome.
Au début du Vème siècle avant J-C, les lois de Rome sont orales, et leur application à l'appréciation des consuls. En 462 avant J-C, pour mettre fin à ce qu'ilconsidère comme un arbitraire dont pâtit la plèbe, le tribun Gaius émet un projet de loi, la Lex Terentilia, pour créer une commission de cinq membres qui définiraitpar écrit les pouvoirs consulaires, et empêcherait tout excès. Les patriciens s'opposent immédiatement à ce projet, repris année après année par les tribuns de la plèbe.Après u...
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Y a-t-il une violence légitime ?
A) La vérité du pouvoir n'est-elle pas, en définitive, la violence ? 1) Le pouvoir n'est-il pas simplement un masque sous lequel la violence se dissimule ? 2) L'émergence de l'État, loin d'avoir dissipé la violence, l'aurait légitimée et institutionnalisée. 3) Le droit serait alors une mystification à travers laquelle se perpétuerait l'oppression de certains hommes pard'autres hommes. B) La « violence légitime » serait alors une violence à laquelle il serait interdit de se dérober ou...
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Doit-on croire au hasard ou au destin ?
(heimarménê), enchaînement inflexible des causes, dominant le déroulement des événements, fondant leurcorrespondance, autorisant les techniques de la divination. Dans la connivence des corps parcourus par le souffledivin se manifeste la volonté d'un être intelligent et bon. Une providence anime le monde, grand animal raisonnablequi est la cité commune des animaux raisonnables, hommes et dieux, et où tout est fait pour eux. Le finalismesouvent intempérant des stoïciens rencontre ici le pr...
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Corneille, Polyeucte (extrait).
Que comme un obstacle à mon bien. Saintes douceurs du ciel, adorables idées, Vous remplissez un cœur qui vous peut recevoir : De vos sacrés attraits les âmes possédées Ne conçoivent plus rien qui les puisse émouvoir. Vous promettez beaucoup, et donnez davantage : Vos biens ne sont point inconstants, Et l'heureux trépas que j'attends Ne vous sert que d'un doux passage Pour nous introduire au partage Qui nous rend à jamais contents. C'est vous, ô feu divin que rien ne peut éteindre, Qui m'allez fa...
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Les Tragiques d’Aubigné (résumé & analyse)
mos embrassé d'un seul regard à la façon d'un atome. Par ce passage incessant de 1 'échelle humaine à 1' échelle divine, d'Aubigné retrouve, conformément au modèle biblique, ce réalisme « créature! », produit d'une indivi sion du sublime et du familier, où le critique E. Auerbach voyait la caractéristique principale des livres sacrés hébreux. La finesse délicate de certains traits-> du poète veuf. dont la foi ne saurait apaiser la douleur. «Extatique en (s...
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Un critique, Volker Kapp, parle des Aventures de Télémaque de Fénelon comme d'un "voyage dans l'univers des valeurs". Commentez et discutez cette formule à partir de votre propre lecture du livre de Fénelon.
offrir l'immortalité pour le garder. Mentor qui sent venir le danger construit un navire, mais celui-ci sera brûlé par les nymphes. A la vue des flammes, Mentor jette son protégé à la mer et ils nagent ensemble vers un navire phénicien qui les recueillera. Adoam, le capitaine du bateau que Télémaque a connu à Tyr lui raconte la mort de Pygmalion et de son épouse Astarbé. Adoam décide de le ramener à Ithaque mais Vénus toujours en colère obtient à nouveau une faveur des d...
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Joachim du Bellay - Les regrets - Sonnet IV (Analyse et commentaire)
l’anaphore et les rimes intérieures « feuilleter »/ « retracer » ) et accorde la structure du poème (mouvement descendant) à la forme sémantique (hiéra rchie de la négation : « moins » encore que les rejets des vv 1 et 2). La dernière étape de ce mouv ement descendant est la référence à Ronsard, celui des Hymnes, qui lui est contemporain. Les croyances dont s’affranchit Du Bellay restent au cœur des sonnets de Ronsard, duquel il refuse d’usurper « la voix » pour chanter des Regrets qui son...
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MYTHES DE MÉSOPOTAMIE: TIAMAT, L’ÉTENDUE D’EAU SALÉE
~ LA MER LÈVE UNE REDOUTABLE ARMÉE Les jeunes di eux sont allés trop loin . Décidée à les punir, Tiamat prend cette résolution : « Tout ce que nous avons fait nous le détruirons ; que leur route soit pleine de misères . » [L'Épopée de La Cr éati o n, tradu ction P. Dhorm e, 1907] Cependant, consciente du fait qu ' elle ne peut, seule , se mesurer à des divinités auss i énergiques, elle entreprend de s' entourer d'effroyables guerr...
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Pourquoi le progrès scientifique n'a-t-il pas fait disparaître les religions ?
Les croyances religieuses ont pour cause l'ignorance des hommes Les premières religieuses se sont constituées sur l'explication de la création du monde. En effet, les hommes,ignorants des causes présentent derrière chaque effet, en sont venus à imaginer des Dieux derrière chaque chose.Vico explique ainsi le début de la religion : les bestioni (ancêtres des hommes) ont été effrayés par la foudre qu'ils n'avaient jamais vu. Ils ont imaginé qu'une puissance supérieure se trouvait derr...
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Pandore
Opera, par Voltaire
Etext by Horvallis
Ars Magna Lucis Umbrae - Aesthetics of the Baroque Age in France
http://arsmagnalucis.
Scène 1. PROMETHEE, CHOEUR ; PANDORE, dans l'enfoncement, couchée sur une estrade. PROMETHEE. Prodige de mes mains, charmes que j'ai fait naître, Je vous appelle en vain, vous ne m'entendez pas : Pandore, tu ne peux connaître Ni mon amour ni tes appas. Quoi ! j'ai formé ton coeur, et tu n'es pas sensible ! Tes beaux yeux ne peuvent me voir ! Un impitoyable pouvoir Oppose à tous mes voeux un obstacle invincible ; Ta beauté fait mon désespoir. Quoi ! toute la nature autour de toi respire...
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Hobbes, Léviathan Chapitre 32, « Des principes de la POLITIQUE CHRÉTIENNE », 2-6
Dans ce premier temps de l’extrait (lignes 1 à 27: « …si on les rumine »), Hobbes nous parle de la raison nature lle comme étant le moyen le plus fiable pour connaitre la volonté de Dieu et pour l’ accomplir : une action est bonne si elle est utile, donc conforme au pragmatisme de la raison naturelle. L’auteur commence ce deuxième paragraphe du chapitre par « Pour aut ant », ce qui nous indique que le passage que nous allons étudier s’inscrit dans la suite du paragraphe précédent. Par...
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BOSSUET: SERM0N SUR LA MORT & ORAISON FUNÈBRE (analyse détaillée)
très vite, il cesse d'être un bel esprit qui quête les applaudisse ments pour n'être plus qu'un prêtre. Ses modèles ne sont plus des rhéteurs ou des demi-rhéteurs, mais ceux qui n'ont songé qu'à la parole divine et au salut des âmes. Plus de « cadences harmonieuses », de « vaines curiosités >>, de « vains ornements », mais « la simplicité ». Plus de rhétorique ni même de philosophie, Il lui suffit de l'esprit divin, d' « une certaine vertu plus qu'...