5319 résultats pour "moral"
-
« L'homme n'est pas un empire dans un empire. » (Spinoza.)
Ces moralistes ont donc une conception erronée de la liberté. Parlant des passions, ils « semblent traiter non dechoses naturelles qui suivent les lois communes de la nature, mais de choses qui sont hors de la nature [...] Ilscroient en effet que l'homme [...] a sur ses actions un pouvoir absolu. » La religion et la tradition philosophique fontde l'homme une exception dans la nature en affirmant que sa volonté est libre, qu'il peut décider en toute autonomiede ses actes. Cette exception ne se ju...
-
Le meilleur des mondes versus le Discours de la Méthode
caractéristique qui explique le mieux pourquoi, d’après Descartes, l’organisation physique et scientifique des choses est harmonieuse pour une société. La seconde similitude réside dans l’adoption des lois. René Descartes est très clair à ce sujet. Sa première maxime de la morale dans le Discours de la méthode stipule clairement qu’il était de son devoir d’obéir et de suivre les lois et les coutumes de son pays peu importe l’endroit où il se trouve. Se transportant dans l’ œuvre de Huxley, il e...
-
Commentaire : L'Huître et les Plaideurs.
Plaideurs face à l’Huître est paradoxal. Face à ce comportement nous allons nous focaliser sur la nature humaine. La Fontaine fait une satire des hommes.Les deux pèlerins ne sont pas du tout des personnes matures, on pourrait même dire qu’ils sont loin d’êtreintelligents. Tout d’abord gâcher leur amitié juste pour manger une huître est totalement ridicule. Ils sont totalementsous l’emprise de l’huître, on le voit avec un chiasme au vers 3 qui met en relation un pronom personnel et un ver...
-
Le plaisir est-il le bonheur?
Pour tenter de réfuter Calliclès , Socrate lui montrera que son idéal de mode de vie ressemble bien à une « passoire ». L'intempérance consiste à accumuler des plaisirs qui n'ont aucune consistance, à ne pas savoir se mesurer, se satisfaire, mais au contraire à être habité par des désirs tels que pour les combler il faut« s'infliger les plus dures peines ». L'erreur fondamentale de Calliclès est de confondre l'agréable et le bon, de confondre la démesure des désirs déréglés et irration...
-
La raison conduit-elle toujours au bonheur ?
I/ La raison peut nous rendre dignes du bonheur Que nous apporte vraisemblablement la raison ? En effet, si nousdéfinissons l'homme comme un pur être de raison, alors quiconque sera enpossession de cette faculté sera reconnu comme un être raisonnable. Nouspouvons alors admettre la présence en nous, comme en tout homme, d'une loimorale qui se présente, de fait, comme un impératif catégorique. Or, si cetteloi se présente à nous, la raison n'a pas d'autre but que nous la fai...
-
La conscience est-elle la conséquence du renoncement aux pulsions (Freud) ?
- nous retrouvons une thèse qui fait écho à celle-ci dans la théorie de Schopenhauer, même si ce philosophe estantérieur à Freud. Schopenhauer considère l'avènement de la conscience par l'impossibilité qu'ont les hommes desubvenir à leur besoin sans rien faire. Ainsi, la plante par exemple n'a pas besoin de conscience, elle n'a qu'àattendre que la nature lui apporte ce qui lui faut. L'homme est un être plus complexe et il ne peut se contenterd'attendre. La conscience apparaît alors comm...
- Droit de la personne
-
Vie et oeuvre de Henri BERGSON
du Monde, mais nous sommes en majeure partie Habitudes c'est-à-dire détentes d'élan. Notre corps est un tissud'habitudes biologiques systématisées. L'intelligence est la plus récente invention biologique de l'élan vital. Ses lois sont les habitudes de notre actionefficace. Nous n'agissons efficacement qu'en localisant dans l'espace, et en attribuant aux corps ainsi localisés, despropriétés qui ne sont que l'objectivation de nos rapports possibles avec eux. L'intelligence jette sur le monde l...
-
-
SÉNAC DE MEILHAN Gabriel : analyse et critique de l'oeuvre
meurt. Autour de cette in trigue, une gale rie de port ra its romp t heureusemen t le fil de ce tte insou tenab le tragédie en mont r ant les réac tions amusées des émig rés français devan t les pré jugés de la noblesse a llemande, en déc rivant les consé quences de la pauvreté sur le c o m por teme nt d es exi lés ai nsi que l es expédie nts qu' ils inventent po ur surv i vre tant bien que mal. Dans cet ensemble d'ouvrages, Sénac de Meilhan déve...
-
Faut-il vouloir se transformer soi-même ou faut-il vouloir transformer le monde ?
fait, il s'agit là d'une maxime d'inspiration stoïcienne, quasi directement recopiée d' Epictète , et qui nous invite à faire le départage entre : · d'une part ce qui dépend de nous, ce sur quoi nous avons un pouvoir ; · d'autre part ce qui ne dépend pas de nous, et dont nous devons nous exercer à ce qu'il ne nous touche en aucune façon. Le but que poursuivent les stoïciens, et Descartes ici, est de nous rendre les plus indépendants possibles des coups du sort, d'assur...
-
JEAN-JACQUES ROUSSEAU : SON CARACTÈRE.
pleins de beaux sentiments, ne veulent de lui que son affection ; s'apercevoir trop tard qu'ils exigent la soumissiondans l'école et la discipline dans le rang, et qu'ils sont très durs pour qui vit et pense d'une façon indépendante :voilà une de ses premières expériences.L'orgueil aidant, et l'imagination romanesque, il en vint très vite à détester cette société humaine pour laquelle, jene dirai point il n'était pas fait, mais, ce qui est bien pis, pour laquelle il était fait, au con...
- Bergson: extraits pour le bac
- BERGSON
-
L'Éthique à Nicomaque d'Aristote (fiche de lecture)
~RISTOTE Ethique à Nicomaque ~ Une seule hirondeUe ne fait pas le printemps. non plus qu'un seul beau jour. Or de la même manière, la félicité et le bonheur ne sont pas donnés non plus en un seul jour. ni même en peu de temps. • (1, 3) >Repères Au regard de la tripartition du savoir classique dans l'Antiquité (logique, physique et éthique), l'Éthique à Nicomaque constitue l'œuvre la plus aboutie de la partie éthique. En délimit...
-
La science implique-t-elle la sagesse ?
2. La science appelle la sagesse. — Il n'est pas question en retour de demander au savant de prendre des leçons de sagesse. On suppose bien, qu'il s'en préoccupe dans sa vie personnelle. Mais c'est tout de même lafonction du sage d'être le prophète de son temps, de rappeler, avec véhémence parfois, aux peuples et à leursdirigeants, qu'il y a une hiérarchie des valeurs à respecter, que la place de la sagesse est au-dessus de cellede la science. Car, ainsi que le dit PASCAL, « la science des cho...
-
Peut-on concevoir un droit sans un devoir correspondant ?
je veux dire celle qui consiste à aimer quelque chose indépendamment de toute considération d'utilité. […]Relativement à cette partie des créatures qui est vivante, quoique dépourvue de raison, traiter les animaux avecviolence, ainsi que cruauté, est intérieurement plus opposée au devoir de l'homme envers lui-même, parce que l'onémousse en l'homme ainsi le sentiment de sympathie qui concerne leurs souffrances et qu'une disposition naturelletrès favorable à la moralité dans les rapports a...
-
-
Y a-t-il un sens a parler de pratiques contre nature chez l'homme ?
comportements comme l'instinct peut le faire pour les animaux. La nature prend la forme de la raison, non del'instinct. Les pratiques humaines sont donc des pratiques ouvertes qui, en tant que telles, ne sont pas plusnaturelles que contre nature. [Partie II. Les pratiques moralement condamnables ne sont pas contre nature.] L'homme n'est que très peu régi par l'instinct. Celui-ci, au sens strict, désigne un modèle inné de comportement, unschéma de réaction qui se transmet héréditair...
-
LA COUR DU LION (La Fontaine)
II. Une mise en scène des animaux : Il s’agit d’un récit vivant. A. Les Animaux sont des stéréotypes traditionnels : - le Lion : évoque la puissance, l’autorité, le pouvoir, violence et tyrannie. Il est définit par des périphrases suggestives : « Majesté lionne », « prince », « le roi », « le monarque », « le sire ». La Fontaine multiplie les titres pour désigner le personnage du roi....
-
Kant, Idée d'une histoire universelle du point de vue cosmopolitique, Quatrième proposition
réflexion conduit l'homme au « discernement moral », c'est-à-dire d'abord une conceptualisation du Bien, du Juste, qui amène l'homme vers des « principes déterminés pratiques », et donc des règles de morale dans la société, des Lois. La société grâce à ce dépassement de l'homme s'établit donc en un « accord pathologiquement extorqué ». Cet accord est donc obtenu de chaque égoïsme à l'insu de sa volonté par la réalisation de ces trois grandes passions, car le « pathologi...
-
« Ce n'est pas le succès qui importe, mais l'effort. » (Th. Jouffroy)
tenant que : avantage rernporte, bon resultat, reussite. C'est dans ce der- lifer sons qtie l'entend Jouffroy. -Et quell succes bien viser ici? Sans doute, ce professeur songeait aux examens, aux contours couronnes par l'obtention de diplomes, Pentree dans une ecole superieure, on l'octroi d'une place. Taus les appeles ne sont pas des emus, tons les candidate ne deviennent pas des laureats. Queue consolation pour les vaincus, les evinces, de se dire : ce n'est pas le succes qui importe!... Peut-...
-
Doit-on discuter le droit ?
Le droit du plus fort est discutableLe problème à résoudre est le suivant : "le plus fort n'est jamais assezfort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit etl'obéissance en devoir". Existe-t-il réellement un droit du plus fort, et laforce est-elle un principe suffisant pour fonder le droit ? S'il est vrai quedans la nature règne la force, il n'est pas vrai que le plus fort restelongtemps le maître : les forces y sont perpétuellement en conflit, etl'issue est incertaine...
-
La Pluralité des Cultures fait elle obstacle à l'unité de l'Humanité ?
même : l'apparition de valeurs réglés et normes fédérant autour d'elles un groupe d'individus. Nietzsche précisaitdéjà la tendance communautaire qu'induisait la Culture : « La culture c'est avant tout une unité de style qui semanifeste dans toutes les activités d'une nation ». Ainsi naissent les fondements d'une culture distincte sur lesquelsune civilisation ou société particulière voit le jour et se réforme continuellement dans une certaine mesure enabsorbant progressivement les produ...
- D'après Rousseau : « « Tout est bien sortant des mains de l'Auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme. » Livre I de L'Emile ou de L'éducation. Vous réagirez à cette assertion à l'aune de la lecture que vous avez faite de La Profession de foi du Vicaire savoyard de J.J.Rousseau.
- Explication de texte Kelsen
-
-
Le bonheur n'est-il qu'un rêve ?
absolument, mais seulement comme moyen pour un autre but. »Mais il y a un impératif qui ne se propose pas comme condition un autre but à atteindre. Un impératif qui concerne «non la matière de l'action, ni ce qui doit en résulter, mais la forme et le principe ». Cet impératif est catégorique. «Cet impératif peut être nommé « l'impératif de la MORALITE. »Ainsi, selon KANT, y a-t-il à distinguer entre bonheur et moralité. Alors que la moralité est tout entière tournée versle rationnel et l'univers...
-
Dire d'autrui qu'il est mon semblable , est-ce dire qu'il me ressemble ?
Reprenons le concept. Nous avons vu que le ressemblant, par définition, n'est pas l'identique. Le ressemblantrapproche des êtres irréductiblement singuliers. Or le lien moral peut-il se fonder autrement que sur lareconnaissance de l'identité?La morale n'a de sens qu'universelle. Jankélévitch nous le rappelle, soulignant que le relativisme moral, qui valorise ladifférence, s'appuie sur une exigence d'universalité, celle de la valeur de la différence: "dans toutes les négations dela...
- Peut-on partager des intérêts ?
-
rechercher son bonheur est ce necessairement immoral
d'autre qu'un faux jugement, qu'une impulsion non rationnelle. En cela, elle s'oppose à la volonté qui vise le bien. Il ne s'agit donc pas pour les stoïciens de détruire les impulsions mais de les redresser, de les faire participer à la recherche d'une vie conforme à la nature (qui n'est que le prolongement de cette appropriation première des êtres à leur nature propre). Ajoutons que cette conformité exige une connaissance de l'ordre naturel par laquelle l'homme comprend la place qu'il occupe da...
- « Peut-on se passer de religion ? »
- Peut-on vivre sans conscience ?
-
Promettre, est-ce renoncer a sa liberté ?
après Baumgarten), philosophie de la connaissance, et philosophie morale. C'est à ce dernier versant de sa penséequ'appartient ce texte. L'enjeu est de savoir à quoi se référer en cas de dilemme moral : quel repère adopter ? Sonbut est clairement d'interdire le mensonge, d'après une méthode qui sous-tend en permanence le concept d'impératifcatégorique. Dans un premier mouvement, l'auteur explicite un exemple opposant le besoin d'une situation etl'immoralité à laquelle ce besoin nous contr...
- Diderot, Le Neuveu de Rameau
-
- « La raison du plus fort est toujours la meilleure »
-
Un être libre est-il un être imprévisible ?
cause, et même si nous ne pouvons anticiper la « logique » de cette cause, cela n'empêche que ce qui arrive estson effet. Il ne s'agit pas pour être libre de changer de cap à chaque instant, mais de s'en donner un et d'enassurer la responsabilité. C'est ce que souligne Sartre en associant la liberté et la notion de projet. Un être libren'est pas absolument imprévisible. Pour autant, une action imprévisible est-elle totalement arbitraire ?L'imprévisibilité n'est pas seulement ce qui...
-
Existe-t-il un privilège de la beauté?
que ce qui est beau a la marque du divin ici-bas. Le beau doit donc nous renvoyer vers le monde des idées, c'est-à-dire nous amener à une conversion du regard, à une « époché ». De même, une femme sera dite belle si elleparticipe de la beauté c'est-à-dire si elle manifeste de l'harmonie. c) Ainsi comme on le voit à travers le Phèdre de Platon , si l'on peut parler d'un privilège du beau c'est parce que la Beauté peut, mieux que d'autres, par la réminiscence qu'il déclenche, nous attir...
- Texte analytique
-
Faut-il avoir peur de ses désirs?
Selon le cas, il conviendra à ma raison de juger de l'intérêt de ce désir. Donc la peur des désirs ne constitue pas uneattitude raisonnable. Il nous faut considérer nos désirs, mais il ne faut ni les satisfaire systématiquement (c'est ce à quoi tendaitl'application de la philosophie épicurienne, souvent mal interprétée, à partir de la célèbre formule du « Carpe diem »)ni les réprimer systématiquement (c'était plutôt la doctrine stoïcienne qui voulait se garder d'une trop grande...
-
Autrui peut-il être autre chose pour moi qu'un moyen ou un obstacle ?
d'entrevoir ses limites ou d'apercevoir sa raison d'être.Première thèse implicite : Le solipsisme pratiqueComposé du latin solus (seul) et ipse (moi-même), le solipsisme est la doctrine réputée sans partisan particulier decelui qui dit : « Il n'y a que moi ».Le solipsisme se fonde sur le fait que l'autre est le Moi qui n'est pas Moi pour considérer cette négation commeétant constitutive de l'être de l'Autre.Sa négation est corrélative de la séparation ontologique présumée entre autrui et moi-mêm...
-
La liberté peut-elle faire peur ?
- Kant commence par énoncer une idée générale: L'éducation est fondamentale, car c'est par elle que l'hommedevient réellement homme. (L'homme est donc essentiellement un être culturel.)- Il en tire une conséquence: Puisque ce qu'est l'homme dépend largement de son éducation, l'homme apparaîtcomme perfectible.–Il pose un problème: «Quelle est la limite de cette perfectibilité»? (En d'autres termes, quelles sont les limitesimposées à l'homme par sa nature – par ses «dispositions naturelles»?)...
- Origine du droit
-
- Ce qui est inutile est-il pour autant sans intérêt ?
- Est-il toujours dans notre intérêt d'etre juste ?
-
Rousseau, Du contrat social (1762), Livre I, Chapitre 8 : « De l'état civil »
lui-même. Maintenant il prend des distances avec l'instinct et l'impulsion physique irrépressibles. Il consulte la raison, consultation qui vient se substituer au discours muet du penchant qu'il suffit d'écouter pour le suivre. 1 Dans l'état civil, l'homme peut actualiser sa perfectibilité Dans le commerce que les hommes entretiennent entre eux, leurs facultés se développent Les avantages dont l'homme naturel se prive, Rousseau ne les indique p...
- Faut-il marcher droit ?
-
Sénèque
de bon disciple, les raisons de sa permanence sont ailleurs. Il a voulu dire aux hommes de son temps comment il fallait vivre et il l'a dit avec tant de chaleur, tant de vérité et tant d'esprit que les hommes de tous les temps relisent cette éternelle leçon. Sur certains points sans doute les sectes se séparent-elles :l'épicurisme préconise l'éloignement des affaires publiques (et par là s'explique l'astucieuse abstention d'un Attic...
-
Le savoir rend-t-il heureux ?
être." 3. TRANSITION Le savoir nous aide à saisir la nature de nos désirs, il est rationnel en nous et éclaire ce qui est resté confus etdans l'obscurité. Or le bonheur ne saurait être conditionné ou dépendant d'un savoir. N'est-il pas une forme del'inconditionnel? III. le bonheur est vu comme un inconditionnel voire un impossible Le bonheur n'est pas une somme de satisfactions subjectives indéfinies, d'ordre sensible, une sorte de bien-êtreindividuel parfait. Dans ces conditions, le bonhe...
-
Le "je" sans le moi
vérité. « Cogito, ergo sum » : Je pense, donc je suis » est la première vérité, ou évidence, qui nous est accessible par introspection qui est la réflexion intérieure que le sujet mène sur lui-même. Puisque je pense, je suis, et rien ne peut remettre en cause ce savoir de mon existence en tant que substance pensante. La conscience désigne l'esprit, pure transparence : toute pensée est consciente. Pour Kant, la conscience n'est pas une substance, elle est un acte, par lequel s'opè...
-
Rousseau, L'Émile ou de l'éducation, L. II, Pléiade, p. 311. Commentaire.
modèle ou de paradigme que joue l’ordre naturel à l’égard de l’ordre social : la loi naturelle eu égard à la loi civile, faite par les hommes. Dans un premier mouvement en effet, Rousseau définit corrélativement deux sortes de dépendance : la « dépendance des choses » et la « dépendance des hommes ». Il insiste dans une seconde phase sur la nécessité d’ériger la loi naturelle en modèle pour enfin décr...
-
- LA SCIENCE ET LA FOI. Ernest RENAN.
- Plutarque - littérature.