284 résultats pour "bruyères"
- LA BRUYERE, Jean de (17 août 1645-10 mai 1696) Moraliste Après des études au collège des Oratoriens de Paris, Jean de La Bruyère obtient sa licence en droit à Orléans, en 1665.
- LA BRUYERE, Jean de (17 août 1645-10 mai 1696) Moraliste Après des études au collège des Oratoriens de Paris, Jean de La Bruyère obtient sa licence en droit à Orléans, en 1665.
- LA BRUYERE, Jean de
-
VIE INTIME DE LA BRUYERE
livres. A la dernière heure, par un codicille, il lui enlevait cette pauvre donation, pour se venger assurément dequelque parole déplaisante ou de quelque acte, à son avis désobligeant,Il fut peu regretté. Et c'est, incontestablement, son oraison funèbre que Jean III de La Bruyère plaça dans sonœuvre, sous la brève forme suivante :Les partisans nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre : l'on commence par le mépris à cause de leurobscurité ; on les envie ensuite, on les hait,...
- LA BRUYÈRE - LES CARACTÈRES
-
Définition:
BRUYÈRE, substantif féminin.
SAINTE-BEUVE, Volupt?, tome 2, 1834, page 261) : ? 4. Le soir approchait, le soleil d?clinait, le ciel ?tait magnifique. Je regardais les collines du bout de la plaine, qu'une immense bruy?re violette recouvrait ? moiti? comme un camail d'?v?que. VICTOR HUGO, Le Rhin, 1842, page 28. ? Coq* de bruy?re. ? En particulier. Terre de bruy?re. M?lange de sable et de d?bris organiques, (racines, feuilles, fleurs, etc.) utilis? pour la culture des plantes calcifuges. Ce terreau acide, humus inco...
- Biographie de Jean de La BRUYERE
- La Bruyère : sa vie ; l'homme.
-
-
ENFANCE ET ADOLESCENCE DE LA BRUYERE
Certains poètes, écrira-t-il plus tard, sont sujets, dans le dramatique, à de longues suites de vers pompeux quisemblent forts, élevés et remplis de grands sentiments. Le peuple écoute avidement, les yeux élevés et la boucheouverte, croit que cela lui plaît et, à mesure qu'il y comprend moins, l'admire davantage ; il n'a pas le temps derespirer, il a à peine celui de se récrier et d'applaudir. J'ai cru autrefois, et dans ma première jeunesse, que cesendroits étaient clairs et intelligibles pou...
- grand coq de Bruyère.
-
Commentez cette maxime de La Bruyère : « L'ON EST PLUS SOCIABLE ET D'UN MEILLEUR COMMERCE PAR LE CœUR QUE PAR L'ESPRIT» (les caractères, iv-78.)
Il vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même... Certes, il n'y a pas là de quoi alimenter de longues conversations. Mais, — du moins quand on est entre amis, —est-il toujours nécessaire de faire marcher la langue ? L'atmosphère de sympathie ne se suffit-elle pas à elle-même ?« Etre avec des gens qu'on aime, constate La Bruyère, cela suffit ; rêver, leur parler, ne leur parler point, penser àeux, penser à des choses plus indifférentes, mais auprès d'eux, tout est égal. » Au salon de C...
-
La Bruyère, dans le chapitre des ouvrages de l'esprit, prétend que les femmes sont généralement supérieures aux hommes dans la manière d’écrire des lettres. « Ce sexe va plus loin que le nôtre dans ce genre d’écrire. » En vous aidant des lettres de Mme de Sévigné que vous connaissez, voue, essaierez d'expliquer l'opinion de La Bruyère.
68 XVITe SIÈCLE ments imprévus, noter quelque ridicule, conter avec agrément, etc. Comparer sous ce rapport Mme de Sévigné et Voiture. Citer quelques anecdotes de la première : l'Archevêque de Reims, Mariage de la Grande Mademoiselle, l'Incendie, etc.' III. Légèreté. Passer rapidement d'un sujet à un autre, ne rien approfondir, effleurer seulement. Les femmes y sont plus propres que les hommes à cause de leur grande mobilité d'impression. (Cf. Sévigné.) Analyser une lettre...
- Biographie brève, Jean de la Bruyère
- La Bruyère et l'éducation des femmes ?
-
Les Caractères de La Bruyère (Résumé & Analyse)
des moralistes du Grand Siècle, par son projet d'analyser la nature humaine, par sa verve satirique et par sonesthétique du fragment, qui rapproche les Caractères des Pensées * de Pascal et des Maximes* de LaRochefoucauld. Mais son goût du portrait cruel, le plus souvent à clefs, lui vaut auprès de ses contemporains unsuccès particulier, largement fondé sur le scandale. Les clefs ont disparu, l'art et la vérité du portrait sont restés. 2 • LE TEXTE Le pluriel du titre nous en av...
- La Bruyère, les Caractères (extrait).
-
-
LA BRUYÈRE GENTILHOMME DE M. LE DUC - LES « CARACTÈRES »
À la dernière minute, cependant, il décide de n'emporter que la traduction de Théophraste. Un carrosse le conduit àAuteuil où le satirique chemine sous la voûte embaumée de ses arbres, parmi ses parterres en broderie. «Maximilien,. écrit, le 19 mai 1687, Boileau à Racine, m'est venu voir à Auteuil et m'a lu quelque chose de sonThéophraste. » Maximilien, l'homme aux maximes, selon Destailleurs, c'est La Bruyère. Quel dommage que Boileau nenous ait rien rapporté de leur entretien ! L...
-
LA BRUYÈRE TRESORIER GENERAL DES FINANCES
perpétuelle de La Bruyère. Si celui-ci n'obtint pas l'autorisation, par arrêt du Conseil' d'État, de négliger sa tâchenormande, il subit certainement les persécutions du bureau caennais. Un passage des Caractères le laisse volontiersentendre. « Il y a, dit ce passage, dans l'Europe un endroit d'une province maritime d'un grand royaume où levillageois est doux et insinuant, le bourgeois au contraire et le magistrat grossiers, et dont la rusticité esthéréditaire. »Le bureau s'accoutum...
- Bibliographie commentée de La Bruyère, Les Caractères
-
« Arrias », de La Bruyère et le « Décisionnaire », de Montesquieu.
lantes, it n'est jamais a court. Cette « puissance trompeuse » le remplit d'une visible satisfaction et provoque son rire, un rire eclatant. Pareils traits n'ont pas leur equivalent chez Montesquieu. Il est des menteurs qui se demontent quand Rs se voient eventes. Arrias est imperturbable; la contradiction, loin de le troubler, augmente son impudence. Un interrupteur le convainc d'erreur ou de mensonge. II «prend feu » contre ce temeraire. Nous trouvons meme assurance, mais moins de fougue chez...
-
LA BRUYÈRE LES CARACTÈRES (analyse détaillée)
qui se retrouvent n est romancier ou poète : on veut plaire. Nicole lui-mfme (Essais de morale, 1671) nous ex pose les difficultés des livres méthodiques et la contradiction entre la •• liaison des pensées » et l'agrément. On renonce donc gépéralement à la méthode et à la liaison des pensées. On cherche, com!lle le demande Je chevalierd.ç Méré, 11ce �ue l'art et l'étude ont de plus ingénieux et çle plus sava11t >>. Et 1 on réduit comme lui son l...
-
La Bruyère, précurseur des « philosophes des Lumières » ?
particulier». II rêve d'une société où chacun reste à sa place, où la fonction répond à la con dition. Quand il écrit: « [les grands] ont le goût de dominer et de commander, et [les petits] sentent du plaisir et même de la vanité à les servir et à leur obéir» (DG, 5), il n'entre qu'une ironie de surface dans sa réflexion. La remarque 28 de « Du souverain ou de la république », qui critique hardiment l'absolutisme, renvoie à la conception traditi...
- La Bruyère est à peu près le seul écrivain du siècle qui ait mêlé quelque satire sociale à la satire morale. Mais quelle est la véritable portée de cette critique ? Pour Taine, elle est grande et annonce les temps futurs. Que pensez-vous de ce jugement de Taine sur La Bruyère : « Nous avons vu dans La Bruyère un éloge du peuple, des réclamations en faveur des pauvres, une satire amère contre l'inégalité des conditions de fortune, bref les sentiments qu'on appelle aujourd'hui démocratiq
- Commentaire Littéraire La Bruyère, Les Caractères, « De la société », 9
-
- Commentaire du texte de Jean de La Bruyère, " De l'homme", Les Caractères
- Caractères, les [Jean de La Bruyère] - Fiche de lecture.
- La société vu par la Bruyère
- La Bruyère, les Caractères (extrait)
-
LA BRUYERE: section 8, « De la cour »
l. 12 : « étaler » nudité, coutume sauvage. « cheveux étrangers qu'ils préfèrent aux leurs » : fait penser aux peauxde bêtes, scalp (chapeau de plumes) : mœurs sauvages.hommes : durs, féroces, sans mœurs ni politesse : accumulation et gradation : longueur des termes de plus en plusimportante. Leur goût de l'alcool rappelle celui des indiens d'amérique, ce qui les rapproche encore une fois d'unepopulation sauvage.femmes : étalage de leur corps : (l. 10 à 15) accumulation hyperbolique qui nous don...
- de l'homme, La Bruyere
-
La bruyère: CL 2 – La Bruyère, Les Caractères, « De l’homme », Gnathon (1688-1696)
CL 2 – La Bruyère, Les Caractères, « De l’homme », Gnathon (1688-1696) Gnathon ne vit que pour soi, et tous les hommes ensemble sont à son égard comme s'ils n'étaient point. Non content de remplir à une table la première place, il occupe lui seul celle de deux autres ; il 5 oublie que le repas est pour lui et pour toute la compagnie ; il se rend maître du plat, et fait son propre1 de chaque service : il ne s'attache à aucun des mets, qu'il n'ait achevé d'essayer de tous ; il voudrait pou...
- Comparez La Bruyère auteur des Caractères à Montesquieu auteur des Lettres persanes. ?
-
-
De l'homme, La Bruyère: le portrait de Gnathon (Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle)
2 lit" qui montrent très précisément le caractère égocentrique et égoïste du protagoniste principal. Dans le texte, Gnathon se distingue des autres en permanence. En effet, souvent, lorsque La Bruyère utilise un pronom singulier, ce dernier s'oppose à des pronoms pluriels, aux "deux autres", aux "plusieurs", à "tous les hommes". Ce qui le met encore plus en relief. De plus, dès le début du texte, son égocentrisme est pointé du doigt : pour lui "tous les hommes ensemble sont à son égard comme s’...
-
«CARACTÈRE» DE LA BRUYÈRE
Vous expliquerez, sous forme de commentaire composé, ce texte de la Bruyère:
Je connais Mopse d'une...
«CARACTÈRE» DE LA BRUYÈRE Vous expliquerez, sous forme de commentaire composé, ce texte de la Bruyère: Je connais Mopse d'une visite qu'il m'a rendue sans me connaître; il prie des gens qu'il ne connaît point de le mener chez d'autres dont il n'est point connu; il écrit à des femmes qu'il connaît de vue. II s'insinue dans un cercle de personnes respectables, et qui ne savent quel il est, et là, sans attendre qu'on l'interroge, ni sans sentir qu'il interrompt, il parle, et souvent, et ridiculemen...
- Explication de texte : Les Caractères ou Les Moeurs de ce siècle, Jean de la Bruyère en 1688 (paragraphe 48 à 51)
-
LES GRANDS ÉCRIVAINS DE LA FIN DU SIÈCLE: LA BRUYÈRE, FÉNELON. LA QUERELLE DES ANCIENS ET DES MODERNES.
oontTôleur. général des rentes sur l'H&tel de ville. ll étudia, dit~on, chez les Oratoriens, prit ses licences en d .roit à l'Université d'Orléans et fut d'abord avocat au Parle meat de Paris; il quitta bientôt le barreau pour acheter une charge de trésorier dans la géné ralité de Caen (1674) ; mais il ne résidait pas en Nor mandie et il vivait à Paris des revenus de sa charge. En 1684, il la vendit et, sur la recommandatio...
-
Apprécier cette pensée de La Bruyère : « Tout est dit et l'on vient trop tard depuis sept mille ans qu'il y a des hommes et qui pensent. »
d'Euripide que Racine reproduit la verite dans la peinture des passions et jusqu'a cette inferiorite morale d'une ame condamnee par l'abdication de la volonte a n'etre plus que le jouet des mouvements desordonnes. Sur le tombeau de Moliere, La Fontaine peut ecrire : Ci-git Plante et Terence; et Boileau donne a ses arrets une forme empruntee d'Horace et de Juvenal. Cotin ne s'y trompe pas, quand it lui reproche de n'etre qu'un imitateur des anciens; mais Boileau s'en fait gloire et it flagelle le...
-
M. de Malézieu disait à La Bruyère à propos de ses Caractères : « Voilà de quoi vous attirer beaucoup de lecteurs et beaucoup d'ennemis. » Expliquer ces paroles.
LA BRUYÈRE ET LA rIOCHEFOUCAULD 65 peau (Pamphile), M. le Brancas (Ménalque), Fléchier (Théo dule), Santeul (Diphile et Thédae), Benserade (Théobalde). II. Beaucoup d'ennemis. Beaucoup, en effet, se sentaient atteints. 1. Dans leur personne. Ceux qui se reconnaissaient ou qu'on reconnaissait. 2. Dans leur caste. Les grands, les courtisans ne pouvaient pardonner à La Bruyère la hardiesse de sa satire. Et nul n'était épargné, les bourgeois, les fina...
-
Arrias, l'homme universel, de La Bruyère (Caractères, chap. V, n° 9), et le Décisionnaire des Lettres Persanes de Montesquieu (LXXII)
La Bruyère et Montesquieu nous renseignent aussi, en pas sant, sur les conversations à la mode. A la cour de Louis XIV et à la table d~s grands, on parle surtout, en 1694, des mœurs et des usages des pays étrangers, on est friand d'anecdotes curieuses, de petites histoires galantes ou frivoles (sens du mot historiette, d'après Furetière). Tous ces gens-là n'ont guère lu que Montaigne. Vingt-cinq ans plus tard, la curiosité s'est étendue, au moi...
-
La Bruyère : « J'ai voulu avertir et non mordre, être utile et non blessé.» - Comment divertir et instruire peuvent-ils se combiner ?
la passion est donc condamnée c'est une source de désordre et de souffrance .Ce roman permet, même s'il estfictif, de mieux comprendre la société du XVIIe siècle. Ce roman nous apprend comment aimer. La littérature a alorsune visée éducative grâce aux maximes, registre didactique dans le texte de La Bruyère. Ainsi l'apologue et lamoralité aussi permettent d'enseigner. En plus de cela, la littérature morale doit divertir pour être utile au lecteur.Tout d'abord le registre comique, renv...
-
-
Arrias, L'homme universel, de La Bruyère (Caractères, chap. v, n° 9), et le Décisionnaire des Lettres Persanes de Montesquieu (LXXII).
186 'TExTEs COMMENTÉ-.'S ET COMPARâS La Bruyère et Montesquieu nous renseignent aussi, en pas- sant, sur les conversations à la mode. A la cour de Louis XIV et à la table des grands, on parle surtout, en 1694, des moeurs et des usages des pays étrangers, on est friand d'anecdotes curieuses, de petites histoires galantes ou frivoles (sens du mot historiette, d'après Furetière). Tous ces gens-là n'ont guère lu que Montaigne. Vingt-cinq ans plus tard, la curiosité s'est étendue,...
-
Racine écrit, en 1893, à un membre de l'Académie française pour lui recommander la candidature de La Bruyère.
du livre calomniateur. Plusieurs fois il a été menacé de la bastonnade et c'est miracle qu'il y ait échappé. Pour moi, je ne découvre aucune raison plausible de ne pas croire l'au teur. Il affirme n'avoir point voulu représenter tel ou tel de ces contem porains en particulier, mais seulement des types généraux. Je me range volontiers à cet avis, après une sérieuse confrontation des portraits et des originaux qu'ils seraient censés...
- Un historien de la littérature française écrit : « La Bruyère, dans ses Caractères, imite bien les grands moralistes classiques, mais il innove par les raffinements et les nouveautés de son style, par le souci du détail concret, par les portraits et la peinture des moeurs contemporaines. » Illustrez et commentez, en donnant des exemples.
-
Tout l'esprit d'un auteur consiste à bien définir et à bien peindre. (La Bruyère.)
136 SUJETS GÉNÉRAUX ET PENSÉES point est faible et ne satisfait point un homme d'esprit qui veut se faire entendre. » Cette justesse et cette propriété dans l'expression sont souvent le fruit d'un long travail. (On peut prendre comme exemple le parallèle si étudié et si précis entre Corneille et Racine dans le premier chapitre des Caractères, éd. Hachette, p. 59.) 2. Bien peindre. C'est ne pas parler seulement à la raison, maisrendre sensible ce qu'on veut montrer, so...
-
Corneille peint les hommes comme ils devraient être, Racine les peint tels qu'ils sont. La Bruyère
manière de penser et de sentir, touche la sensibilité, excite fortement les passions en vertu de son «naturel»; Corneille se propose comme un modèle spirituel et moral, dans la mesure où, plus éloigné de la réalité commune, ilfait naître l'admiration, élève l'âme vers le Beau, le Noble, la Raisonnable : modèle de vertu, il mérite d'être imité, et« instruit» (édifie) par le déploiement de sa rhétorique (maximes, règles, préceptes) : « Corneille nous assujettit à ses caractères et à ses idée...
-
Étudier l'art de la composition, la malice de La Bruyère, le réalisme de son style en expliquant au passage les mots probants.
On ne le volt point : il est « enseveli » dans l'ombre de son cabinet. On sait seulement ce qu'il a fait toute sa vie et qui continue a l'absorber tout entier. Une accumulation de six verbes nous renseigne sur ses travaux. C'en est assez : l'image du benedictin Mabillon surgit dans notre memoire. L'effet obtenu est beaucoup plus saisissant que si le peintre avait voulu opposer trait pour trait ses deux personnages. Il a totalement neglige l'exterieur du second, qui importe peu, pour mettre exclu...
-
► Quelle image de la Cour présente La Bruyère à travers cette imitation du récit de voyage ?
� Premier axe : une imitation de récit de voyage • Analysez les procédés d'écriture qui font resse mbler ce texte à un récit de voyage (vocabulaire, désignation des personnages ... ). • Analysez la personnalité de celui qui décrit, son regard sur ce pays. � Deuxième axe : une satire féroce de la Cour de Louis XIV • Quelles sont en fait les " cibles , de La Bruyère ? • Quels griefs leur adresse-t -il ? PRÉ SENT ATION Introduction Le thème de la sat...
- La Bruyère (Jean de), 1645-1696, né à Paris, écrivain et moraliste français.
-
-
Résumé : "LES CARACTERES" (De la Cour - Des Grands) de LA BRUYERE
— 63 à 66. Les états d'âme du courtisan. Les chagrins cachés et les lueurs de sagesse.—67 à 77. De la province à la cour, la folie d'un étrange pays.— 78 à 83. Préceptes et réflexions sur l'influence de la parole dans tous ses états (ceux qui parlent mal ou trop,ceux qui se taisent).— 84 à 95. Le rôle de la ruse dans l'art de parvenir.—96 à 101. Seule alternative à la cour : finir par « tomber » ou renoncer à l'ambition. Chapitre IX, « Des grands » - 1 à 5. Les grands et les autres hommes.— 6 à...
-
La Bruyère : « La moquerie est souvent indigence d’esprit»
DE LA LITTÉ~A1URE A LA PHILOSOPHIE 3tl qui révèlent un vice plus profond affectant la pers·onnalité même du moqueur. Relevons en passant que LA BnuYÈRE, pln:; réservé que Mme DE LAMBEHT, ne prétend pas porter un jugement universel : ce n'est pas toujours, mais souvent, que la moquerie est indigence d'esprit; de piao:, l'extension de ce jugement reste assez imprécise, car si "souvent " peut signifier « dan·s la majorité des cas...