1351 résultats pour "puisqu"
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Rousseau, extrait du chapitre 4, livre 1, Du contrat social.
Rousseau considère qu’un tel contrat ne serait que folie, que ce contrat ne serait pas aussi profitable à une partie qu’ à l’autre. En effet, il pr étend que la libert é est ce qu’il y a de plus pr écieux pour l’homme, puisqu’elle est son essence m ême. Pour ce faire, l’auteur expose dans un premier temps sa th èse, selon laquelle renoncer à sa libert é, implique un d épouillement grave pour l’homme. Il argumente ensuite autour de cette th èse, expliquant que l’homme sans lib...
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La liberté n'est elle qu'un idéal ?
Autrement dit, ici, l'essence précède l'existence. Chaque coupe-papier existant n'est qu'un exemplaire du conceptou de l'essence de coupe-papier.Dans la conception traditionnelle, l'homme est créé par Dieu, il est produit selon une définition de la naturehumaine. Ainsi chaque homme existant n'est qu'une réplique ou une version d'une nature humaine, d'une essenceunique, présente dans l'esprit divin. Sartre conclut que dans cette vision traditionnelle, à laquelle il s'oppose avec vigueur...
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Autrui est-elle une voie d'accès nécessaire vers moi-même ?
II/ Empiriquement, autrui apparaît comme une voie d'accès nécessairevers moi-même 1/ Contrairement à Descartes, Hegel, dans La phénoménologie de l'esprit , ne considère pas la solitude de la conscience comme le fait premier. C'est aucontraire le « conflit des consciences » qui est pour lui déterminant : uneconscience de soi-même n'est possible que par opposition aux autresconsciences : « La conscience de soi est essentiellement ce retour en soi-même à partir de l'être-autre. » Hegel,...
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Pour trouver le bonheur, doit-on le chercher ?
tout ce qui ne dépend pas de mon contrôle. Pour être heureux, il faut simplement vouloir que les choses arrivent comme elles arrivent et respecter cet ordre naturel des causes. Par exemple selon la philosophie Stoïcienne, la mort devrait être prise comme une étape naturel qui résulte du fait que la vie n’est plus capable de garder sa réorganisation de la matière, et de ne pas en avoir peur puisque lorsqu’elle sera là, je n’y serai plus. La mort est fait partie...
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Discours de la méthode - explication de texte
Margot Neveux TS1 d’un individu sont ses pensées. Selon Descartes, c’est la seule information dont l’homme peut être sur étant donné qu’il est un être de raison et pensant, « j’existe ». Nous pouvons donc douter de ce qui ne nous est pas propre mais pas ce dont à quoi nous pensons. La seule chose que sur laquelle l’homme possède donc un contrôle total est la pensée. Dans la Troisième partie du Discours de la méthode ,...
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Y a-t-il des vérités subjectives ?
a. Selon la théorie de la connaissance de Spinoza , les idées de l'esprit humain sont adéquates et vraies lorsqu'elles sont rapportées à Dieu. Toutes idées vraies est en Dieu, puisqueles idées sont des modes de l'attribut pensant de Dieu. Les idées vraies sontclaires et distinctes. Elles portent en elles-mêmes la certitude de leur vérité,puisque la vérité est à elle-même sa propre norme et n'a aucun critère endehors d'elle-même. C'est dans son Ethique (2 e partie, prop. XLIII) que...
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Mal agir, est-ce faire le mal ?
1ère partie : * Le sens immédiat d'une mauvaise action implique directement son auteur car mal agir ne suppose pas un erreurmais une faute, que la personne commet en connaissance de cause.* Celui qui agit mal doit constater la portée négative de son action* Ainsi, dans un 1er temps, il apparait normal de rapprocher la mauvaise action du mal. (une vision d'ensemble duproblème la ramènera toujours du coté du mal plutot que de celui du bien.) * Cela dit, l'aspect immédiat du sujet soulève un autre...
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La technique est-elle contre nature ?
Problématique : Pinocchio est vraisemblablement un des automates les plus célèbres de l'histoire des contes pour enfants. Ses attitudescomme ses rêves en font également l'image paradigmatique des doutes et des peurs infantiles, à tel point que nul nesongerait à le reléguer au rang des bouts de bois juxtaposés qui le construisent pourtant. Le nez de Pinocchio a faitoublier son inhumanité. Pourtant, la technique ne cesse d'être opposée à la nature, de Frankenstein à Terminator, en passant par M...
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Peut-on vivre sans passions ?
Ainsi, l'histoire du devenir des hommes coïncide avec l'histoire du devenir de Dieu. Etats, peuples, héros ou grandshommes, formes politiques et organisations économiques, arts et religions, passions et intérêts, figurent la réalité del'Esprit et constituent la vie même de l'absolu . « L'Esprit se répand ainsi dans l'histoire en une inépuisable multiplicité de formes où il jouit de lui-même. Mais sontravail intensifie son activité et de nouveau il se consume. Chaque création dans laquelle...
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David HUME: Méchanceté et Bonté
ainsi était justifiée l'autorité absolue de l'État.Hume part du même constat mais suit une démarche tout à fait différente. Dans un premier temps il procèdenégativement en énumérant les moyens inefficaces contre les effets néfastes de cette inclination. Toute ladifficulté consiste à trouver un mobile à la fois fort et bien orienté pour susciter un lien social. La peur de la mort,par exemple, peut être assez forte mais peut sembler mal orientée car elle crée la docilité face à l'aut...
- Molloy - Beckett Incipit, explication linéaire
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Ce qui appartient à l'histoire est-il, par là même, inactuel ?
jamais purement objectif. En effet, l'historien ne peut jamais être totalement objectif tout commeles témoignages du passé ne peuvent pas l'être non plus. Ce subjectivisme rend donc totalementinactuel, c'est-à-dire inopérant, l'histoire sur le présent, puisqu'elle est réalité biaiséeparticularisée et déformée par un regard particulier. II- L'histoire comme ce qui est la condition de possibilité de tout progrès possible · Pour autant, il ne faut pas minimiser le r...
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Comte - Définition de la science.
faire ce que l'on a dit, expliquer le passage proprement dit, 3) conclure la partie en disant ce que l'on a fait et cequ'il reste à faire. Préciser ce que l'on a dégagé de l'explication. I/ La définition de la science : C'est dans les lois des phénomènes que consiste réellement la science, à laquelle les faits proprement dits, quelqueexacts et nombreux qu'ils puissent être, ne fournissent jamais que d'indispensables matériaux. Or, en considérant ladestination constante de ces lois, on peut di...
- Le langage nous rapproche-t-il ou nous éloigne-t-il d'autrui ?
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Peut-on changer le monde ?
impossible ». l Ce qu'il convient, dès lors, de se demander, c'est ce qui dépend de nous dans nos actions sur le monde. Nos actions peuvent-elles nous permettre de changer le monde ? Dans la troisième partie du « Discours de la méthode », Descartes affirme qu'une de ses règles d'action est « de tâcher plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs plutôt que l'ordre du monde » (« Fortune » désigne ici le cours changeant de la nature). Pour comprendre cette m...
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Le bonheur est-il égoïste ?
une certaine cohérence dans nos actions, la mise en place d'unecertaine stratégie pour y parvenir. Si je conçois le bonheurcomme avoir dans la société une position sociale prestigieuse, jevais faire en sorte d'atteindre mon but, à moins bien sûr que jedemeure dans l'imagination présente d'un bonheur futur.Cependant, toute idée subjective du bonheur n'est pas levéritable bonheur, de plus, l'idée que chacun se formerait sapropre conception du bonheur est sans doute bien naïve puisq...
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Qu'est-ce qui fonde véritablement mes règles morales ?
La moralité ne saurait être fondée sur la rationalité en général, ou plutôt surl'usage théorique de cette rationalité : en effet, le domaine propre de cedernier, c'est celui de l'entendement, c'est-à-dire celui du déterminismeuniversel. Or, la moralité se caractérise essentiellement par sa liberté, grâce àlaquelle la faculté désirante de l'homme peut se déprendre de toutedétermination extérieure et sensible. Ainsi, c'est la raison pratique qui doitfonder la morale, mais seuleme...
- °703 Philosophie : Faut-il s’efforcer de vivre au présent ?
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Les hommes doivent-ils penser pour vivre ?
pas pour cela ineffective. De ce point de vue, le pluriel de notre sujet « les hommes » justifie pleinement notredémarche, puisqu'il s'agit de comprendre, non pas si la pensée peut aider à vivre (question digne en soi, mais quin'est pas la nôtre présentement), mais que les hommes sont appelés à penser – ils le doivent, c'est leurresponsabilité – vis-à-vis des autres hommes. Vivre, c'est en ce sens vivre-avec, s'engager et prendre sesresponsabilités. Conclusion : Ainsi, nous avons...
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Éthique, I, Appendice (extrait). Aristote
Textes commentés 37 Ce texte explique la genèse et les conséquences de la croyance en un finalisme cosmologique. La suite de l'appendice rappellera la vraie nature de Dieu et montrera pourquoi nos valeurs ne sont que relatives. Spinoza procède toujours ainsi : d'abord rendre compte de l'origine d'une illusion, et ensuite saisir la vérité, qui indique en même temps ce qu'est le faux. Jamais, donc, de dénonciation sans explication ; non pas juger les homm...
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ARRÊT 8 décembre 2009 (commentaire)
d'une erreur sur la qualité substantielle de l'objet ? Tout d'abord, dans un premier temps, on verra si les conditions sine qua non de l'erreur, vice du consentement, sont réunies. Ensuite, dans un deuxième temps, on va se demander si l'existence de ladite erreur sur la qualité substantielle de la chose peut entraîner la nullité de la vente. I. Un consentement vicié : l'existence d'une erreur caractérisée Il est indispensable de voir tout d'abord que les caractères déterminants de l'erreur...
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Correction Commentaire de texte sur Boule de Suif, Maupassant
insiste sur l'idée que le regard des autres passagers est comme aimanté. C'est donc Boule de Suif qui est l'objet de l'observation. La description de l'héroine couvre la partie centrale de l'extrait. C'est une femme aux formes généreuses ce qui explique son surnom : « ronde de partout ». Cet embonpoint est ancien puisque le narrateur souligne qu'il est « précoce ». Elle est l'incarnation de la nourriture comme le soulignent les analogies suivantes : « grasse à lard, pareils à des chapelets de co...
- Aguet éthique : comparaison des valeurs de deux entreprises
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Le droit de punir est il encore un droit régalien ?
I) Le renforcement du rôle de la victime, corollaire de la privatisation du procès pénal Grâce à son pouvoir d’impulsion à tous les stades de la procédure pénale (A), la victime voit son rôle renforcé et subordonne ainsi la procédure à son attitude (B). A) Un pouvoir d’impulsion des victimes à tous les stades de la procédure pénale La privatisation du procès pénal est un phénomène caractérisé en droit par le renforcement du rôle des parties privées à tous les stades du procès pé...
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Peut-on se représenter la mort ?
Dès lors je peux vivre, agir et profiter de cette vie sans redouter aucune punition post-mortem. Et je sais que c'estici et maintenant qu'il me faut être heureux, en cette vie, car je n'en ai aucune autre. Mon bonheur dans la vie estune affaire sérieuse qui ne souffre aucun délai. Tel est l'enseignement de la sagesse matérialiste. "La pensée "je ne suis pas" ne peut absolument pas exister; car si je ne suis pas, je ne peux pas non plus êtreconscient que je ne suis pas."( Kant, Anthropologie du...
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Une culture peut elle etre porteuse de valeurs universelles ?
Proposition de plan : Le relativisme. 1. - Protagoras est resté dans l'histoire en affirmant que « L'homme est la mesure de toute chose » (on trouve cette phrase de Protagoras rapportée par Platon dans le Théétète , 152a) - Il voulait signifier par cela que tout jugement se ramène à celui qui l'énonce, c'est-à-dire qu'on ne peut jamais s'extirper du point de vue subjectif et posséder une connaissance objectivede quelque chose. - Cette doctrine a donné lieu à ce...
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Le contrat social est-il nécessaire pour avoir une société juste ?
l'on va constituer un état de nature. Chez Hobbes par exemple, le pouvoir absolu décrit dans le Léviathan est entièrement justifié par le fait que l'état de nature n'est rien d'autre que laguerre de tous contre tous. Cette guerre est inévitable, puisque par nature,« l'homme est un loup pour l'homme ». A cet égard, la priorité même de toutpouvoir est d'empêcher que les hommes ne retombent dans l'état de nature,et par là même, tous les pouvoirs sont confiés au Léviathan. La justice n'estdonc...
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Peut-on dire que la perception est une connaissance ?
demain. Or, rien ne certifie que cela aura lieu. J'ai déduit cette conséquence à partir de l'habitude, non d'uneconnaissance. Ce que l'on appelle connaissance n'est donc qu'un assemblage d'idées reçues, posées comme véritésà partir de mon expérience sensible perceptive. La seule réalité est dans les phénomènes, l'esprit n'étant rien d'autrequ'une « tabula rasa » sur laquelle s'impriment les données perceptives. 3.La connaissance naît de l'expérience, mais ne dérive pas toute de l'expér...
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L'art est-il un luxe?
2) Parce que l'art n'est qu'imitation . L'imitation de quoi ? Des apparences sensibles, de la réalité telle qu'elle se manifeste à nous par l'intermédiairede nos sens. C'est dans la juste mesure où le poète ne s'élève pas au dessus des apparences sensibles qu'ilreprésente les Dieux à l'image des hommes. L'art conforte les hommes dans leur erreur première : ce qui est,est ce qui apparaît. L'art n'est qu'illustration de l'opinion, représentation de la représentation subjective. 3) Parce que...
- CAR1, conjonction de coordination.
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La guerre empêche-t-elle le fonctionnement de la culture ou y contribue-t-elle ?
II/ La guerre permet les échanges et le progrès : Pourtant, la guerre se fait se rencontrer les peuples, et ces derniers échangent nécessairement, et de cefait s'enrichissent. Il est possible de prendre l'exemple de la conquête romaine de la Grèce : les Romains étaientsupérieur au niveau politique, et ont pu s'emparer de toute la Grèce. Lorsque Rome affirme son hégémonie, batHannibal et domine le monde méditerranéen, il s'agit d'une hégémonie militaire et économique, et non pas c...
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Peut-on tout échanger ?
donc celui qui résulte de la régulation opérée par des millions d'individus qui prennent des décisionsrationnelles en fonction de leur intérêt. Échanger c'est s'enrichirPuisque l'homme est un être de besoin et de désir, puisqu'il ne peut pas lui-même subvenir à l'ensemble de sesexigences, à la fois vitales, mais aussi affectives, intellectuelles, il tire de ses échanges avec autrui tout cequi lui manque. Il échange des mots, des choses, des sentiments, des services, et ainsi ne ces...
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Penser la mort, est-ce un moyen d'échapper à sa propre mort ?
« Habitue-toi en second lieu à penser que la mort n'est rien pour nous,puisque le bien et le mal n'existent que dans la sensation. D'où il suit qu'uneconnaissance exacte de ce fait que la mort n'est rien pour nous permet dejouir de cette vie mortelle, en nous évitant d'y ajouter une idée de duréeéternelle et en nous enlevant le regret de l'immortalité. Car il n'y a rien deredoutable dans la vie pour qui a compris qu'il n'y a rien de redoutable dans lefait de ne plus vivre. Celui qui...
- Platon et l'éducation
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(suite Pr.
confère tout son sens. Dans l'exemple du devoir filial, en principe les parents n'élèvent pas leur enfants pour assurer leur retraite, mais implicitement la société admet comme normal voire obligatoire que les enfants s'occupent de leur parents âgés. Le don a donc un DUPLICITE qui se dédouble en cadeau et en poison, et ceci se retrouve dans la langue anglaise: Gift = cadeau ou poison. Le don est un présent empoisonné qui indique responsabilité et obligation. Le don entraine toujours une DYSYM...
- La connaissance est-elle la condition du bonheur ?
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Analyse Acte III, scène V
morale ici que Figaro fait à son maître avec la formule générale : « Sait-on gré du superflu, à qui nous prive du nécessaire ? » dénonce le fait que le Comte délaisse sa femme puisqu’il n’agit que par le superflu. A partir de là la violence verbale va montrer crescendo avec une nouvelle attaque du Comte qui reproche à Figaro sa trahison, leur ancienne complicité est rompue : « autrefois tu me disais tout ». Ici...
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Wanda de Alfred de VIGNY - Recueil : "Les Destinées"
sont émouvants les stigmates d'une fatigue causée par une acclimatation atroce. En buvant ses larmes, Wanda seraidit devant la souffrance, car elle sait que la plainte déflore le sacrifice. Non seulement l'acceptation de celui-cicrée pour elle la seule qui soit possible, mais encore il lui fera connaître une âpre volupté qui transcendera la notiondu simple bonheur, et dans lequel l'âme de Wanda trouvera son expression la plus haute dans un crescendopathétique. « En ce temps-là ma sœur.,...
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Sur quoi est fondée la morale ?
III. La morale doit être certes fondée sur la raison, mais seulementdans son usage pratique (Kant). La moralité ne saurait être fondée sur la rationalité en général, ou plutôt surl'usage théorique de cette rationalité : en effet, le domaine propre de cedernier, c'est celui de l'entendement, c'est-à-dire celui du déterminismeuniversel. Or, la moralité se caractérise essentiellement par sa liberté, grâce àlaquelle la faculté désirante de l'homme peut se déprendre de toutedétermination...
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Si l'histoire n'a pas de sens, l'existence humaine peut-elle en avoir ?
Le danger de l'attribution de significations illusoires à l'existence, qui masquent l'absurde mais n'en donnentaucune solution. B. Alain, Propos sur le bonheur Tant que l'on n'a pas bien compris la liaison de toutes choses et l'enchaînement des causes et des effets, on estaccablé par l'avenir. Un rêve ou la parole d'un sorcier tuent nos espérances ; le présage est dans toutes lesavenues. Idée théologique. Chacun connaît la fable de ce poète à qui il avait été prédit qu'il mourrait d...
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A-t-on besoin d'un maître pour penser par soi-même ?
qui l'intronise à la place du maître. Le disciple doit aller chercher en lui les conditions de ce dépassement: cettedialectique lui donne la puissance de penser, et de penser mieux et autrement que le maître. La liberté n'en est doncpas affectée, au contraire puisqu'elle puise au cœur de cette relation les raisons de sa relance. Nietzsche: l'effronté 2. Qui peut-être mon maître? Est-ce celui qui débute ses phrases par « Tu dois », un « Tu dois » impératif qui commande mes actes, qui me...
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La liberté ou la mort de F. HEGEL
l'autre, cette présence assume, au regard de la liberté, valeur de réalité essentielle, c'est alors que s'établit entre elles, avec l'obli gation réciproque d'être reconnues dans la réalité effective et déter minée, la relation maîtrise-servitude, ou, absolument parlant, servitude-obéissance dans la mesure où cette différence d'autono mie est donnée par le rapport naturel immédiat. Puisqu'il est nécessaire que chacune des deux consciences...
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NIETZSCHE, Par-delà le bien et le mal
Par- delà le bien et le mal Par -delà le bien et le mal (1886 ; traduction G. Bianquis, Aubier Montaigne, 1978) suit immédiatement, dans l'oeuvre de Nietzsche, la publication d'Ainsi parlait Zarathoustra. Aux dires de Nietzsche, ce nouveau livre « dit les mêmes choses que le Zarathoustra, mais il les dit tout autrement ». Nietzsche y renoue, après les « discours » de Zarathoustra, avec la forme aphoristique déjà adoptée dans Le Gai Savoir et Humain, trop humain. L'aphorism...
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Le monde dans la guerre froide : Un monde bipolaire ?
international). Peu de temps après, en 1973 le Premier choc pétrolier voit le jour suite à la 4eme Guerre israélo-arabe opposant l’Egypte et la Syrie à l’Israël, laproduction du pétrole est diminuée entrainant l’augmentation du cout du baril. C’est le surenchérissement du cout de l’énergie. Les conséquences sont terribles,puisque cette crise entraine faillite, chômage (donc baisse de la consommation) l’alimentant. A l’Ouest on ressent un même essoufflement du régime en place,Khroutchtchev tente...
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Les devoirs sont-ils seulement des contraintes?
nous ne trouverons aucun homme d'une trempe assez forte pour rester fidèle à la justice et résister à la tentationde s'emparer du bien d'autrui, alors qu'il pourrait impunément prendre au marché ce qu'il voudrait, entrer dans lesmaisons pour s'accoupler à qui lui plairait, tuer les uns, briser les fers des autres, en un mot être maître de tout fairecomme un dieu parmi les hommes. En cela, rien ne le distinguerait du méchant et ils tendraient tous deux au mêmebut et l'on pourrait voir là une gra...
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Faut-il admettre toutes les opinions ?
-Pour Descartes, la seule certitude première et indubitable est « cogito ergosum » (en latin : « je pense donc je suis »). Ce n'est donc que sur cettecertitude que l'homme peut se prononcer en toute légitimité. Il faut faire tablerase et refuser toutes les opinions ou certitudes passées car il se pourrait quetout ce que l'on pense être vrai ne soit que l'œuvre d'un malin génie qui nousferait passer pour vrai ce qui n'est qu'illusion (ex : je peux croire avoir uncorps alors que je n'en ai pa...
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Pourquoi revenir sur le passé ?
[III. Et l'avenir ?] À la fin du XIX siècle, Nietzsche réagit vigoureusement contre la fascinationpour le passé, l'histoire et les avertissements que l'on croit pouvoir endéduire. « Le roc : ce fut » ne risque-t-il pas en effet de stériliser laconscience, en lui montrant les risques de toute entreprise, de tout passageà l'acte ? Comment l'homme pourrait-il se construire un avenir, c'est-à-diretout simplement vivre, s'il doit désormais, avant de se lancer dans quelqueaction que...
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Le pouvoir des images contrarie-t-il ma liberté de penser ?
sélectionné par d'autres personnes. • sélection à l'intérieur de l'image elle-même. Une photographie par exemple implique un cadrage particulier, le choixd'un angle de vu, la décision d'exclure du cadre tel ou tel élément, ou au contraire de mettre en valeur tel autre.C'est donc déjà une pensée, celle de celui qui l'a produite, une interprétation du monde. Et notre propre pensée estorientée par cette interprétation du monde qu'est l'image. 3) L'image comme caution de vérité • Cepen...
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Exemple De Dissertation Rédigée Niveau Terminale
donnerait à la vie toute sa signification. Il compare ainsi l’homme à un « condamné à mort qui se prépare bravement au dernier supplice, qui met tous ses soins à faire belle figure sur l’échafaud, et qui entre temps est enlevé par une grippe espagnole». ( L’être et le néant ). L’imprévisibilité de la mort participe ainsi de son absurdité, remettant en question la nécessité de la réflexion sur son sens....
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Peut-on dire que la nature est bonne ?
L'attitude du sage ne se confond pas avec une fuite hors du monde ; il doit au contraire consentir à son cours,participer par son acquiescement à l'oeuvre de Dieu, en identifiant sa volonté à la volonté divine. Il y a deux moments dans la démarche stoïcienne : se concentrer en soi d'abord, pour mieux communier ensuite,librement, avec le Tout. La liberté ne consiste pas à se retirer du monde, mais à s'y retrouver chez soi, parce quel'on intériorise et fait sienne la volonté du Tout. Non pas conf...
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