1894 résultats pour "regardèrent"
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Stendhal la chartreuse de parme
Nous étudions La Chartreuse de Parme écrit par Stendhal en 1839. Cette œuvre se déroule en Italie et raconte l'histoire de Fabrice del Dongo qui, après avoir tué un homme se retrouve emprisonné à Parme. Il tombe amoureux de Clélia, la fille du geôlier et s'abandonne à la contempler depuis sa cellule. Nous nous demanderons comment Stendhal met en scène l'intimité amoureuse de Fabrice et de Clélia. Nous y répondrons en deux parties, d'abord en étudiant le coup de foudre de Fabrice, puis la st...
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Commentaire composé: STENDHAL, Le Rouge et le Noir.
charmes de la belle maîtresse de maison? Le caractère énigmatique de Julien se marque même dans son vêtement,une chemise blanche, évoquant la pureté et l'innocence qui contraste nettement avec une veste... violette, couleurde la décadence et de la débauche, ou - plus ambigu encore, si l'on connaît le roman —, couleur de la robe d'unévêque.Madame de Rênal joue également, sans en avoir pleinement conscience, ce jeu de la duplicité. Elle est souvent enreprésentation, comme le montre cette première...
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Les Confessions de Rousseau - L'incident chez le comte de Gouvon - Livre troisième : "J'aimais à voir..." à "...blanc des yeux."
Une circulation harmonieuse des regards. L'échange des regards entre les protagonistes joue un rôle essentiel dansle récit. Le champ lexical du regard, très présent, permet de suivre une progression: le regard, plus que la parole,fait que des liens s'établissent entre les êtres. Il y a d'abord le regard isolé du valet qui cherche, sans succès, àrencontrer un autre regard (1. 3 à 9) ; puis le lien est établi (1. 10) ; il y a ensuite le regard plein de discernementdu vieux comte qui connaît les qu...
- Le recours à un regard extérieur pour argumenter vous semble-t-il intéressant ?
- Philosopher c'est regarder le monde comme si rien ne va de soi ?
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Scène II, acte 5 - Huis-clos de Sartre
Assieds-toi. Approche-toi. Encore. Regarde dans mes yeux : est-ce que tu t'y vois? ESTELLEJe suis toute petite. Je me vois très mal. INÈSJe te vois, moi. Tout entière. Pose-moi des questions. Aucun miroir ne sera plus fidèle.Estelle, gênée, se retourne vers Garcin comme pour l'appeler à l'aide. ESTELLEMonsieur! Monsieur! Nous ne vous ennuyons pas par notre bavardage?Garcin ne répond pas.Mais... (I, 5) Introduction et situation dans l'oeuvre Cette page se situe au début du deuxième mouvement de...
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Autrui et la liberté ?
Ma chute originelle, c'est l'existence de l'autre... Sur la question d'autrui, Sartre souligne que seul Hegel s'est vraimentintéressé à l'Autre, en tant qu'il est celui par lequel ma conscience devientconscience de soi. Son mérite est d'avoir montré que, dans mon êtreessentiel, je dépends d'autrui. Autrement dit, loin que l'on doive opposer monêtre pour moi-même à mon être pour autrui, « l'être-pour-autrui apparaîtcomme une condition nécessaire de mon être pour moi-même » : « L...
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L'enfer c'est les Autres: Vrai ou faux?
« L'enfer, c'est les Autres. » Jean-Paul Sartre (1905-1980), Huis c/0s18 Ce verdict, qui clôt la pièce de Sartre, semble confirmer l'un de nos pressentiments : tout serait tellement plus simple si les « autres » n'interféraient dans nos désirs, ligués, semble-t-il, pour nous rendre l'existence infernale. Faut-il en conclure que ce sont eux les responsables de nos malheurs ? La philosophie sartrienne affirme exactement l'inverse : rien ne nous permet d'accuser autrui de ce que nous vivons, car...
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Andy Warhol Et Le Pop Art
Andy Warhol ne s’intéressa pas qu’à la peinture, il était aussi passionné par le cinéma et tourna de nombreux films m’étant en scène ses amis, ou des membres de la factory. Les premiers films de Warhol se concentraient sur des déroulements et des données élémentaires : Sleep (1963), son premier film de six heures, présente un homme endormi. La vraie longueur du film n’est que de 20 minutes car à la manière de ses toiles, la première séquence se répète plusieurs dizaines de fois. Warhol s’...
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XXIX - La place Saint-Jean-en-Grève
Il est sept heures du matin ; la foule attendait bruyante sur les places, dans les rues et sur les quais.
– Eh bien ? – Eh bien, ilme ditqu’il souffrirait tropdeme voir mourir lepremier. D’ailleurs, sije mourais lepremier, il n’aurait personne pourleporter surl’échafaud. – C’est bien, c’estbien, ditCaboche enessuyant unelarme avecledos desamain ; soyeztranquille, onfera ce que vous désirez. – Et d’un seulcoup, n’est-ce pas ?ditàvoix basse lePiémontais. – D’un seul. – C’est bien… sivous avezàvous reprendre, reprenez-vous surmoi. Letombereau s’arrêta,onétait arrivé. Coconnas mitson chapeau sursatête....
- Quel regard portez-vous sur vos lectures de jeunesse ?
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Eugenie Grandet
de La Bertelliere, y prit egalement un verre de cristal a six pans, une petite cuiller dedoree, un flacon antique
ou etaient graves des amours, et mit triomphalement le tout sur un coin de la cheminee.
faire diversion a l'ennui de votre sejour ici. Si vous restiez chez monsieur Grandet, que deviendriez-vous, bon Dieu! Votre oncle est un grigou qui ne pense qu'a ses provins, votre tante est une devote qui ne sait pas coudre deux idees, et votre cousine est une petite sotte, sans education, commune, sans dot, et qui passe sa vie a raccommoder des torchons. Elle est tres bien, cette femme, se dit en lui-meme Charles Grandet en repondant aux minauderies de madame des Grassins. Il me semble, ma f...
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Le Grand Meaulnes
Il y avait là une troupe de six grands gamins, où, seul, le traître Moucheboeuf avait l'air triomphant.
de pluie tomba sur un cahier; nous rentrâmes en hâte. Et de la grande salle obscurcie, par les larges fenêtres, nous regardions silencieusement dans le ciel gris la déroute des nuages. Alors Meaulnes, qui regardait comme nous, la main sur une poignée de croisée, ne put s'empêcher de dire, comme s'il eût été fâché de sentir monter en lui tant de regret: "Ah! ils filaient autrement que cela les nuages, lorsque j'étais sur la route, dans la voiture de la Belle-Etoile. \24Sur quelle route?" demanda...
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Maeterlinck, Pelléas et Mélisande (extrait).
MÉLISANDE Mais non, mais non ; je ne sais rien. PELLÉAS Tu ne sais pas pourquoi il faut que je m’éloigne ? Tu ne sais pas que c’est parce que… je t’aime. MÉLISANDE Je t’aime aussi. PELLÉAS Oh ! Qu’as-tu dit, Mélisande ! Je ne l’ai presque pas entendu. On a brisé la glace avec des fers rougis ! Tu dis cela d’une voix qui vient du bout du monde ! Je ne t’ai presque pas entendue… Tu m’aimes ? Tu m’aimes aussi ? Depuis quand m’aimes-tu ? MÉLISANDE Depuis toujours… depuis que je t’ai vu. PE...
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faux nom fait ça pour vous.
41 Ils étaient denouveau àBalboa Park:Tess, AlexetJulia, traversant nonchalamment laplace, entourés d’une fouledegens, profitant d’uneautresuperbe journéecalifornienne etcontemplant laprofusion d’attractions que leparc avait àleur offrir. Tess n’avait trouvéaucunpsychologue delarégion prénommé Jim.OuJames. Renonçant àchercher plus avant, elleavait décidé qu’Alex avaitbesoin d’uneautresortie, cettefoisaumusée del’Air etde l’Espace. Ils avaient laisséleFord Explorer deJulia auparking, derrièreleSt...
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essayer.
renaissent ensuite de leurs cendres. Regarde... Harry vit alors un minuscule oisillon tout fripé sortir sa tête au milieu du tas de cendres. Il était tout aussi laid que le vieil oiseau. —C'est dommage que tu l'aies vu le jour de sa combustion, dit Dumbledore en s'asseyant derrière son bureau. La plupart du temps, il est très joli, avec un magnifique plumage rouge et or. Les phénix sont des créatures fascinantes. Ils peuvent transporter des charges très lourdes, leurs larmes ont de...
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reporté sa rage sur Corliss.
43 — Ouah, regardez celui-ci!hurla Alex,surexcité, enmontrant lesavions exposés devantlemusée del’Air et de l’Espace. Ils se tenaient sousleBlackbird deLockheed, quilesdominait duhaut deses trois supports métalliques, à l’entrée dumusée. — C’est leplus rapide detous, unevraie fusée !poursuivit Alex,s’extasiant devantl’avionespion noiret effilé quiavait volépour lapremière foisau-dessus deslacs delaZone 51,dans leNevada. Bourré d’énergie, ilpassa duBlackbird auConvair SeaDart, pluspetit, quiflanq...
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le point de vue
« Sara était en train de marcher sans aucun but. Elle allait d’un magasin à l’autre mais en ressortait les mains vides. Elle se rendit enfin, une demi-heure plus tard, dans un snack pour y manger. Une fois fini, une voiture arriva à sa hauteur, elle se baissa à hauteur de la vitre et, après avoir discuté avec le chauffeur, elle décida de rentrer. » Comme vous avez pu le constater, on n’a pas de renseignements s...
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La Curée
Céleste prit la chemise des mains du jeune homme.
\24 Tu es une fêlée, ma chère, il faut soigner ça. Il finit par demander curieusement: \24 Mais pourquoi M. de Saffré plutôt qu'un autre? \24 Il me fait la cour, dit Renée. Maxime retint une impertinence; il allait dire qu'elle s'était sans doute crue plus vieille d'un mois en avouant M. de Saffré pour amant. Il n'eut que le sourire mauvais de cette méchanceté, et, jetant son cigare dans le feu, il vint s'asseoir de l'autre côté de la cheminée. Là, il parla raison, il donna à entendre à...
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Camus, la Peste (extrait).
Le Noël de cette année-là fut plutôt la fête de l’Enfer que celle de l’Évangile. Les boutiques vides et privées de lumière, les chocolats factices ou les boîtes vides dans les vitrines, les tramways chargés de figures sombres, rien ne rappelait les Noëls passés. Dans cette fête où tout le monde, riche ou pauvre, se rejoignait jadis, il n’y avait plus de place que pour les quelques réjouissances solitaires et honteuses que des privilégiés se procuraient à prix d’or, au fond d’une arrière-boutique...
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Harry sentit alors un flot de sang tiède ruisseler sur sa manche et une douleur fulgurante lui
traversa le bras, juste au-dessus du coude.
Il regarda Harry dans les yeux. —Mais ça ne fait rien, reprit-il. En fait, je préfère qu'il en soit ainsi. Rien que toi et moi, Potter... Toi et moi... Jedusor brandit la baguette magique. Dans un bruissement d'ailes, Fumseck tournoya alors au-dessus de Harry et laissa tomber sur ses genoux... le journal intime. Pendant une fraction de seconde, Harry et Jedusor, la baguette toujours \ levée, regardèrent le petit livre noir. Puis, sans réfléchir, sans hésiter, comme s'il avai...
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entièrement vêtus de blanc ; et les cheveux de la Dame
« Sombre estl’eau duKheled-zâram etfroides lessources duKibil-nâla, etbelles étaient lessalles auxmille colonnes deKhazad-dûm auxJours Anciens, avantlachute desanciens roissous lapierre. » Elle regarda Gimli,quiétait assis, farouche ettriste, etelle sourit. EtleNain, entendant lesnoms donnés dans sapropre langueancienne, levalatête etson regard croisaceluideGaladriel ; etillui sembla que, regardant lecœur d’unennemi, ilyvoyait soudain amouretcompréhension. L’étonnementluimonta auvisage, et puis...
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Dépendre d'autrui, est-ce aliéner sa liberté ?
d'autrui ? L'aliénation de soi ne se situe pas nécessairement dans le fait de dépendre de quelqu'un. Mais le regard d'autrui merenvoie à moi-même : l'épisode sartrien de la honte, par exemple. Je fais une grimace dans une vitrine, par exempledans la rue des Trois Cailloux à Amiens, et là je croise le regard d'un autre que moi : tout à coup la honte m'envahit,mes joues rougissent…Le regard d'autrui m'interpelle, tel un coup de fouet, pour me remettre dans le droit chemin,pour nous renvoyer à nou...
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Dictionnaire en ligne:
DEVINER, verbe transitif.
j'ai perçu, deviné, flairé un brouhaha, un éclairage, une odeur de grande liesse commençante... LÉON FRAPIÉ, La Maternelle, 1904, page 217. — Par brachylogie. Deviner un fromage. Deviner la qualité d'un fromage. Tâter la croûte, mesurer l'élasticité de la pâte, deviner un fromage (GABRIELLE COLLETTE, DITE COLETTE, Paysages et portraits, 1954, page 175 ). — Emploi pronominal à sens passif. Les mots se devinaient plutôt qu'autre chose dans cette bouche sans dents (LOUIS ARAGON, Les Beaux quartie...
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En partant des textes du corpus, vous vous demanderez si la tâche du romancier, quand il crée des personnages, ne consiste qu'a imiter le réel. Vous vous appuierez aussi sur vos lectures personnelles et les oeuvre étudiées en classe
de forces physiques du personnage.Nous allons ensuite montrer que le personnage dégage une inquiétante étrangeté. En effet, lorsque le vieillard passedevant Nicolas, il peut dévisager son homologue. L'extrait est en focalisation interne. Le vieillard est vu, perçu par lejeune homme : « Le jeune homme devina », « il aperçut », « l'examina curieusement ». L'adverbe « Curieusement »montre l'intérêt de Nicolas Poussin pour cet inquiétant personnage. Il va de fait étudier avec soin ce personnage quis...
- Sommes-nous toujours prisonniers du regard des autres ?
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CHAPITRE QUATRE LE SIÈGE DE GONDOR
de Lorien, mais non à le porter en service. Il avait à présent sans le savoir l’aspect parfait de l’Ernil i Pheriannath , le Prince des Semi- Hommes, comme on l’avait appelé, mais il ne se sentait pas du tout à l’aise. Et l’obscuri té commençait à lui peser. Il fit sombre et terne toute la journée. De l’aube sans soleil jusqu’au soir, la lourde ombre s’était épaissie et tous les cœurs dans la Cité étaient oppressés. Loin en dessus, un grand nuage porté par un vent de guerre flottait le...
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Le mot "oeil" dans l'oeuvre de DESCARTES
Au reste, afin que ceux qui ne connaissent pas la force des démonstrations mathématiques, et ne sont pas accoutumés à distinguerles vraies raisons des vraisemblables, ne se hasardent pas de nier ceci sans l'examiner, je les veux avertir que ce mouvement, queje viens d'expliquer, suit aussi nécessairement de la seule disposition des organes qu'on peut voir à l'oeil dans le coeur, et de lachaleur qu'on y peut sentir avec les doigts, et de la nature du sang qu'on peut connaître par expérience, que...
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« Vous n’êtes certes pas ladre, Eomer, dit Aragorn, de donner ainsi au Gondor la plus belle chose de votre royaume ! »
se souviendront de nous, car il n’en réchappa que peu de vivants, et le Fleuve en a gardé la plupart. Mais ce fut heureux pour vous, car s’ils ne nous avaient pas rencontrés, le roi des prairies n’aurait pas été loin, et s’il l’avait fait, il n’aurait pas eu de pays où revenir. » « Nous le savons bien, dit Aragorn, et jamais ce ne sera oublié à Minas Tirith comme à Édoras. » «Jamais est un mot trop long même pour moi, dit Sylvebarbe. Tant que dureront vos royaumes, voulez -vous di...
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La Conquete De Plassans
--Je vous demande pardon, mais je ne suis pas dévot, monsieur l'abbé.
Mouret leva les yeux. Comme toutes les après-midi, dit-il tranquillement: ce sont les intimes de monsieur Péqueur des Saulaies, notre sous-préfet.... L'été, ils se réunissent également le soir, autour du bassin que vous ne pouvez voir, à gauche.... Ah! monsieur de Condamin est de retour. Ce beau vieillard, l'air conservé, fort de teint; c'est notre conservateur des eaux et forêts, un gaillard qu'on rencontre toujours à cheval, ganté, les culottes collantes. Et menteur avec ça! Il n'est pas du p...
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Isolde et les passagères, il s'en était toujours senti séparé.
Ce courage, ill'avait eul'autre soir.Uneforte gifle,etensuite ils'était enfermé àclef dans sachambre, s'étaitentaillé la cuisse pourrétablir lajustice, Ofunèbre comique defrapper parbonté unedouce créature qu'ilchérissait. Parbonté, oui, pour luiôter deslèvres cetaimable sourired'unefemme bienélevée quinevoulait passavoir qu'elle s'ennuyait, qui croyait sansdoute àquelque tristesse sanscause. Parbonté, oui,pour luidonner delavie, pour l'empêcher devoir leur naufrage. Maisiln'avait paspusupporter...
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Voyage au bout de la nuit ; Louis Ferdinand Céline
qu'il connait que trop bien.C'est un grand couard. Il cherche à échapper à cette misère, saillante, turgescente, qui se présente devant lui.Pour s'échapper, il transforme les sentiments, les émotions de tristesse, de pitié qui devrait l'envahir par quelquechoses d'amusent. Il ne veut pas faire face à cette pauvreté : « faut prendre tout ce qu'il y a à regarder endistractions dans les environs » Bardamu détourne à sa façon ses yeux. Médecin est une corvée, une corvée qu'ils'afflige pour dieu...
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Jean Rousset, Forme et Signification
III. Le théâtre du double registre. Les personnages centraux, les amoureux, vont, aveugles. → « Nous sommes plus pressés d'aller, de jouir de nous que de nous voir. » (IX, p.573) Ce sont les personnages latéraux qui écopent de la faculté de « voir » , d'analyser et commenter les gestes des amoureux. → détiennent quelques pouvoirs de l'auteur : connaissance des mobiles secrets, aptitude à promouvoir l'act°, à régir la mise en scène des stratagèmes et comédies insérés dans la comédie,...
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Le mariage de Figaro acte III scène 16
pas d’éloquence. Il ne prend pas partie. Il a 3 répliques, sont rôle est symbolique. - Le Comte n’a que 3 répliques dont deux apartés ce qui permet de faire un lien avec l’audience. • Les réplique des hommes ont quelques points commun qui sont : les répliques brèves les phrases affirmatives déclaratives et nominales et les propos tenus. • L’impact de cette parole sur leur rôle et leur caractère : - sens de l’aparté : à priori ils sont comiques, le comte se sent seul, cela fait du spectateur...
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Dissertation gratuite: L'Oeuvre D'Art Doit-Elle Être Nécessairement Belle ?
l'artisan qui est plus soucieux de respecter les critères esthétiques qui régissent sa profession. Ainsi l'artisan produit en série maisson but est de plaire à la clientèle, alors que l'artiste laisse libre court à son imagination. L'artiste porte un regard différent sur leschoses et les retranscrit tel qu'il les perçoit lui –subjectivement- et de ce fait engendre une transfiguration du réel. L'artiste necherche pas à recréer le monde mais à s'en créer un qui lui est propre, de façon à nous fair...
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Regards sur l’étranger Blaise CENDRARS
VISAGES DE ~INCONNU 1 tatillonne, la police la plus soupçonneuse, qui les suspecte a priori de tous les vols et de tous les viols, bien que, parmi eux, le taux de crimi- 15 nalité soit légèrement inférieur, oui, inférieur à la moyenne nationale. Perdus dans un monde où les coutumes, les mœurs, et souvent la langue, leur sont étrangères, trop peu reçoivent une formation, une instruction, une initiation à notre langage, sauf pour les chanceux...
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La Courbe de tes Yeux, Paul Eluard
d’intimité. Marques de la première personne (mon, je) + marques de la deuxième personne (tes), emploi du présentd’énonciation. Il s’agit bien d’un poème d’amour : les yeux sont une synecdoque de la femme tout entière :en faisantl’éloge des yeux, le poète fait l’éloge de la femme pour elle-même (ce qui n’était pas le cas ds le poème deBaudelaire :attitude fétichiste). L’originalité du poème B- la récurrence du cercle chp lexical du cercle, courbe, tour, rond, auréole. Le terme monde conno...
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« Si c’est vraiment la dernière, je suis content, répliqua Saroumane : cela m’évitera la peine de la refuser encore. Tous mes espoirs sont ruinés, mais je ne désire pas partager les vôtres. Si vous en avez. »
pierre, en mémoire de choses oubliées, à présent perdues dans les régions dépeuplées. Car ils ne bougeaient ni ne parlaient oralement, se regardant d’esprit à esprit, et seuls leurs yeux remuaient et s’allu maient dans le va -et -vient de leurs pensées. Mais tout finit par être dit, et ils se séparèrent de nouveau pour quelque temps, jusqu’à ce que le moment fût venu pour les Trois Anneaux de cesser d’être. Disparaissant rapidement parmi les pierres et les ombr es, les gens de Lorien e...
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grande brute aux yeux louches qui ressemblait à un énorme orque. Puis il retira ses forces, enfermant le dernier reste des Hommes dans un grand cercle d’archers.
empestait, des ordures traînaient et le désordre régnait partout, l’endroit semblait inhabité depuis quelque temps déjà. « Où se cache ce misérable Lothon ? » dit Merry. Ils avaient fouillé toutes les pièces sans trouver d’autres créatures vivantes que des rats et d es souris. « Allons - nous nous tourner vers les autres pour fouiller les baraques ? » « C’est pire que le Mordor ! dit Sam. Bien pis, en un sens. Ça vous touche au vif, parce que c’est chez nous et qu’on s’en...
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La Conquete De Plassans
--Je vous en prie, monsieur, remettez-vous à table.
Le logement est meublé, n'est-ce pas? demanda-t-il. Du tout, il n'y a pas un meuble; nous ne l'avons jamais habité. Alors, le prêtre perdit son calme; une lueur passa dans ses yeux gris. Il s'écria avec une violence contenue: Comment! mais j'avais formellement recommandé dans ma lettre de louer un logement meublé. Je ne pouvais pas apporter des meubles dans ma malle, bien sûr. Hein! qu'est-ce que je disais? cria Mouret d'un ton plus haut. Ce Bourrette est incroyable.... Il est venu, monsieur...
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Alfred de VIGNY (1797-1863): La mort du loup
Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudreA poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois,Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuveNe l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;Mais son devoir était de les sauver, afinDe pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,A ne jamais entrer dans le pacte des villesQue l'homme a fait avec les animaux servilesQui chassent devant lui, pour avoir le coucher,Les premiers possesseurs du bois et...
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Le Rouge et le Noir etude de texte extrait
combats affreux suivirent cette découverte : tous ses sentiments étaient bouleversés. », ses sentiments avec « Julien faillit devenir fou en étant obligé de s'avouait qu'il aimait Mlle de la Mole », le futur « ces instants ne reviendront jamais ». Stendhal donne ensuite les pensées de Julien en utilisant le point de vue interne « je tuerais sa fille ! se dit-il, quelle horreur ! », « Certainement, pensa-t-il, elle va éclater de rire à la vue de ce mouvement de mélodrame ». Il utilise ensuite le...
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Le mot "juger" dans l'oeuvre de DESCARTES
nous le voyons ; DISCOURS DE LA METHODE, Cinquième partie. mais, à cause que pour cet effet il serait maintenant besoin que je parlasse de plusieurs questions qui sont en controverse entre lesdoctes, avec lesquels je ne désire point me brouiller, je crois qu'il sera mieux que je m'en abstienne, et que je dise seulement engénéral quelles elles sont, afin de laisser juger aux plus sages s'il serait utile que le public en fût plus particulièrement informé. puis, d'autant qu'on ne voit point d'a...
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Le personnage de bel ami Maupassant incipit
Bel-Ami (1885) de Guy de Maupassant ESTHER JEEVAN KUMAR L. A n°2 1ere ES 3 19/09/17 soif dicte ce quasi obsession de se nourrir tout en respectant ses contraintes financières s’il mange deux fois il ne peut pas permettre de se nourrir le soir. 3) Dans cet incipit, on remarque que c’est un jeu...
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Le désir de comprendre de quoi est fait le monde qui les entoure a toujours excité la
curiosité des hommes.
La lumière La lumière fut l'un des sujets les plus sensibles dans le développement de la physique, d'une part comme support de la vision, qui est le principal canal de notre connaissance du monde, et comme vecteur d'informations venant d'endroits inaccessibles (les étoiles), d'autre part comme champ d'expérience privilégié pour les diverses théories du rayonnement. Le premier des quatre textes qui suivent relate l'étape cruciale où l'on a pris conscience du rôle que joue la lumière dans la vi...
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MUSSET, On ne badine pas avec l'amour, Acte III scène 3, commentaire.
l'entende ». Ce sont surtout, à l'intérieur même du discours, les comparaisons entre Rosette et Camille qui dévoilentles intentions du jeune homme : si Rosette, simple paysanne, ne comprend pas forcément toutes les allusions ouleur portée, Camille devine qu'elle est bien la destinataire des paroles de Perdican. Celui-ci, sur deux sujets, dénoncele comportement de sa cousine : tout d'abord, il considère que Rosette « seule » n'a « rien oublié de [leurs] beauxjours passés » et se « souvien[t] de l...
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L'homme Qui Rit
Mais, seigneur docteur, le cap à l'ouest.
\24Non. \24La mort s'appelle l'est. \24Je gouvernerai à l'ouest. Le docteur cette fois regarda le patron, et le regarda avec ce regard qui appuie comme pour enfoncer une pensée dans un cerveau. Il s'était tourné tout entier vers le patron et il prononça ces paroles lentement, syllabe à syllabe: \24Si cette nuit, quand nous serons au milieu de la mer, nous entendons le son d'une cloche, le navire est perdu. Le patron le considéra, stupéfait. \24Que voulez-vous dire? Le docteur ne répondit pas. So...
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Existe-t-il une beauté universelle ?
purement et simplement subjectif. Cf le proverbe : « les goûts et les couleurs ne se discutent pas » Néanmoins çapose problème car ceci remettrait en question la critique d'art. Quel est l'intérêt de la critique d'art si elle ne reposesur rien. Une des réponses serait la suivante : le beau serait fonction d'un contexte historique déterminé.c. Le relativisme historiqueA chaque période historique correspondrait une culture artistique, et donc une définition du beau. Ainsi il y a le beauselon les...
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La Comédie humaine : Fiche de lecture
perdues, est montré « l'âge des passions, des calculs, des intérêts et de l'ambition >>. Les « Scènes de la vie parisienne », principalement l'Histoire des Treize et Splendeurs et misères des courti sanes, donnent le . Les Etudes philosophiques, qui comptent des romans et des contes auxquels Balzac accordait une importance capitale pour la compréhension de son œuvre, comme le Chef-d'œuvre .inconnu, Balthazar Claës ou la Recherche de l'absolu, Louis Lam...
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Automne malade
Salut, derniers beaux jours ! Le deuil de la nature Convient à la douleur et plaît à mes regards ! Je suis d’un pas rêveur le sentier solitaire, […] Oui, dans ces jours d’automne où la nature expire, A ses regards voilés, je trouve plus d’attraits, C’est l’adieu d’un ami, c’est le dernier sourire Des lèvres que la mort va fermer pour jamais ! Ainsi, prêt à quitter l’horizon de la vie, Pleurant de mes longs jours l’espoir évanoui, Je me retourne encore, et d’un regard d’envie Je contemple ses bi...