4320 résultats pour "conscience"
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Puis-Je Savoir Ce Que Je Fais ?
L'homme parfois exprime un désir de toujours vouloir mieux faire que ce qu'il fait , peut -être par manque de satisfaction personnelle. C'est face à certaines situations qu'il va prendre conscience qu'il peut encore progresser par rapport à ses capacités. On peut prendre l'exemple d'un éléve qui n'est pas satisfait d'avoir 12 en mathématiques et qui va chercher à avoir plus pour progresser par rapport à ce qu'il fait. Ainsi il cherchera à se rendre plus appliqué dans ce qu'il f...
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Bergson, l'énergie spirituelle: Peut-on savoir avec certitude qu'un être est conscient ?
inavouées de tout raisonnement. Cependant, si l'on prend en compte le fait que Bergson est un défendeur de l'intuition, on peut comprendre la fin dutexte d'une manière différente… En effet, dans quelle mesure le raisonnement par analogie qu'il finit par proposer neserait-il pas en fait la seule solution, bien que non certaine, qu'il donne à ce problème ? Réflexion philosophique/critique : Le problème que pose le texte est de savoir commenton peut prouver qu'un être est conscient alors que la con...
- Partagez-vous le jugement suivant de Flaubert (1853) : «Nous nous étonnons des bonshommes du siècle de Louis XIV, mais ils n'étaient pas des hommes d'énorme génie ; on n'a aucun de ces ébahissements, en les lisant, qui vous fassent croire en eux à une nature plus qu'humaine, comme à la lecture d'Homère, de Rabelais, de Shakespeare surtout, non ! Mais quelle conscience ! Comme ils se sont efforcés de trouver pour leurs pensées les expressions justes ! Quel travail ! Quelles natures ! Co
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Attente et attention. Comparez ces deux attitudes de la conscience.
tion est une concentration de l'esprit sur un objet de pensée. Cette concentration peut être obtenue de diverses manières : dans le cas de l'attention spontanée, elle se fait spontanément et sans effort; dans l'attention volontaire, au contraire, c'est par un effort de volonté que l'esprit concentre ses forces. Mais dans tous les cas d'attention, nous observons une concentration de l'esprit. C. Caractère essentiel. -Dans les états...
- En vous appuyant sur des exemples précis, expliquez et discutez cette opinion d'Albert Thibaudet dans ses Réflexions sur le roman (1938) : « Ou bien le roman fait découvrir au lecteur, dans la vie la plus humble, les mêmes puissances de noblesse et de tragique que dans les vies les plus illustres, les plus éclatantes, les plus dramatiques (...), ou bien il amène le lecteur à se dégonfler de ses illusions, à prendre conscience de sa misère, de son ridicule. D'un côté il découvre à l'ho
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La société a-t-elle besoin des philosophes ?
Les philosophes sont alors nécessaires ? Voire indispensables ? Pour quelles raisons ? Nous avons vu précédemment que l'image du philosophe était loin d'êtrevraiment positive. Pourtant, en regardant de plus près, on peut facilement nier tout ceci. Beaucoup, voire la plupart des philosophes ont été controversés à leurépoque. Pour reprendre l'exemple de Socrate, il a même été accusé de corrompre la jeunesse athénienne. Il a donc été confronté à une grave accusation. Mais c'estAthènes qui plus tard...
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Peut-on se connaître soi-même ?
« Imaginons que j'en sois venu, par jalousie, par intérêt, à coller mon oreillecontre une porte, à regarder par le trou d'une serrure. Je suis seul [...] Celasignifie d'abord qu'il n'y a pas de moi pour habiter ma conscience. Rien donc,à quoi je puisse rapporter mes actes pour les qualifier. Ils ne sont nullementconnus, mais je les suis et, de ce seul fait, ils portent en eux-mêmes leurtotale justification. Je suis pure conscience des choses [...]. Cela signifieque, derrière cette porte,...
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Peut-on librement interpréter une oeuvre d'art ?
conscience une chose qui pense. Descartes établissait une sorte de parallèle entre la « chose étendue », le corps, et la « chose qui pense », la conscience. Husserl reste attentif à une propriété remarquable de la conscience : « Toute conscience est conscience de quelque chose ». Chaque fois que je pense, je pense bien à quelque chose. Cela veut dire que le « Je », la conscience vise toujours autre chose qu'elle-même. La conscience, si l'on veut, n'est jamais enfermée en ell...
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Faut-il croire que l'inconscient peut être objet de science ?
Le texte de Freud est une réponse à des critiques nombreuses opposées à la notion de « psychique inconscient », plus simplement d'inconscient, compris comme une composante de l'appareil psychique. La formulation de la réponse de Freud est très ordonnée et commande les deux partie du texte : d'une part l'hypothèse est nécessaire ; d'autre part, elle est légitime. En même temps, la volonté d'une démarche scientifique est nettement affirmée : emploi de la notion d'inconscientcomme h...
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« Si les triangles faisaient un Dieu, ils lui donneraient trois côtés » Montesquieu ?
dans sa vie psychique ». La plupart des choses qui se passent dans l'âme échappent à la conscience. Pour Freud , o a surestimé le rôle de la conscience dans la vie de l'âme, et ainsi on s'est privé des moyens : ¨ De comprendre bon nombre de phénomènes comme les lapsus et les rêves ; ¨ De soigner un certain nombre de maladies, qui ne peuvent s'expliquer que par le conflit psychique qui agite lepatient. Adopter l'hypothèse de l'inconscient permet de comprendre et de guérir, c'est un...
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L'inconscient, mythe ou réalité?
L'hypothèse de l'inconscient est donc qu'une bonne partie de ce qui se passe en moi (dans mon âme, ma psyché) nem'est pas connu, m'échappe, et cependant influe sur moi. C'est ainsi qu'il faut comprendre notre passage : lapsychanalyse se propose de « montrer au moi qu'il n'est seulement pas maître dans sa propre maison, qu'il en estréduit à se contenter de renseignements vagues et fragmentaires sur ce qui se passe, en dehors de sa conscience,dans sa vie psychique ». La plupart des choses q...
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Pour être libre, faut-il être soi ?
La liberté ne consiste pas à s'affranchir du moi Ce n'est pas en niant le moi, mais en l'affirmant, que l'on réalise sa liberté. Le moi est libre. Il se détermine lui-même. Toute action qui émane de notre propre volonté est donc une action libre. L'acte émanant du moi est libre 1 n un mot, si l'on convient d'appe- ler libre tout acte qui émane du moi, et du moi seulement, l'acte qui porte la marque de notre «Nous sommes libres quand nos actes émanent de notre...
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La morale, la volonté, la personne, le devoir (cours de philo - TL)
Introduction 5 La valeur est ainsi l'idée qui guide et fonde mon choix ; mais l'action morale, qui n'est qu'une des modalités de l'agir en général, rend plus important encore le rôle de la notion de valeur puisqu'elle met en jeu la représentation que l'on se fait de la nature et de la fonction de l'homme. Il est facile de montrer, comme le fait l'analyse sociologique, la variation et l'hétérogénéité des valeurs en fonction des groupes sociaux. Un...
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Expliquez et discutez l'une des trois assertions suivantes : 1° la perception est une hallucination vraie (TAINE); 2° les enfants, n'étant pas capables de jugement, n'ont pas de véritable mémoire (ROUSSEAU); 3° en réalité, la conscience est une conséquence de la personnalité et nullement son constitutif (DALBIEZ). ?
assez satisfaisante à la question posée.Si la pensée de ROUSSEAU m'a fait tout d'abord l'impression d'un paradoxe difficilement intelligible, c'est peut-êtreque, comme il arrive souvent, je l'ai lue trop vite. J'y reviens. A vrai dire, ROUSSEAU refuse aux enfants, non pas lamémoire, ainsi qu'il m'avait semblé, mais la « véritable mémoire ». Il y a donc ce qu'on pourrait appeler des imitationsde mémoire. Et de fait je me rappelle des distinctions que j'ai apprises, et en particulier la distincti...
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L'inconscient psychique introduit-il la fatalité dans l'existence de l'Homme
Descartes, lui, pense que le sujet se défini surtout dans un premier temps par la conscience qu'il a de lui-même. Ainsi, nous sommes conscients de tout ce qui se produit en nous. De plus, dans sa critique adressée à Freud, Sartre fait remarquer que la conscience sait exactement ce qu'elle refoule. Mais alors, comment pourrait-on imaginé une conscience qui mépriserait ce qu'elle refoule? Si elle n’accepte pas une tendance ou un désir, ne fau...
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Sartre: Autrui représente-t-il une menace pour le sujet ?
Objet du texte Il s'agit de mettre au jour la nature de la relation à autrui et ses mécanisme à la fois complexes etparadoxaux. Mais, derrière la recherche de la nature de cette relation entre moi et autrui, c'est en réalité la manièredont je peux prendre une conscience objective de moi-même qui se joue dans ce texte. Autrui apparaît comme lemédiateur indispensable entre le moi purement subjectif qui attend la confirmation de son existence effective dansla relation à la fois réifiant...
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Des raisons de ne pas douter au redoublement du doute.
sur l'essence ultime des apparences ou autrement dit il engendre un esprit d'absence de conclusion. Car plus profondément encore, le doute à propos du doute étant encore une apparence, cette suspension du jugement ou cet esprit d'absence de conclusion se découvre comme arrière plan toujours déjà là de conscience ataraxique, c'est-à-dire de parfaite tranquillité et de totale équanimité quelles que soient les apparences. Les sceptiques authentiques sont donc parfaitement tranquilles même si dans l...
- « Qu'est-ce qu'un personnage de roman ? Si intense que soit sa figure, il n'existe tout de même pas comme une personne, avec une âme et un corps, hors du livre : c'est un état de la conscience de l'auteur, qui se prolonge, par un miracle de poésie, dans la sympathie d'innombrables lecteurs. Mais il serait puéril de penser qu'il a une autre vie que celle que nous lui donnons... En somme la parfaite autonomie des créatures est illusoire : elles naissent d'un dialogue ou d'un déchirement
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Suis-je le même en des temps différents ?
Ce texte est difficile. Il convient de relever les termes essentiels et de leur accorder un moment de réflexion."Posséder en je", c'est pouvoir se dédoubler ou plus précisément s'appréhender soi-même comme objet. "Lapersonne" signifie le sujet porteur de la loi morale qui, en tant que tel, a une valeur absolue, une dignité et nesaurait donc être traité comme un simple moyen mais toujours en même temps comme une fin en soi. "L'unité de laconscience" (aperception transcendanta...
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Qu'est-ce qui fait l'identité de chacun d'entre nous ?
de doute et de crise. En quête du vrai, c'est-à-dire d'une certitude inébranlable, Descartes cherche à discerner ce qui est indubitable et se propose pour cela de réévaluer les connaissances enleur principe même. - Il commence par considérer comme faux tout ce en quoi il pourrait imaginerle moindre doute. Le doute est le commencement obligé de la philosophie. Non plus le doute sceptique, passif, sans issue, mais le doute actif, méthodique , c'est-à-dire l'examen critique destiné à faire t...
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Puis-je ne pas savoir ce que je pense ?
choses qui se passent dans le sujet mais que ce dernier ne contrôle et n'a pas conscience. Si nous prenonsl'exemple des rêves, nous pouvons les prendre pour des pensées. Ils ont vie dans notre esprit et rien ne lesdistingue de mes rêves éveillés que je fais dans la journée. Nous savons que le sujet n'a qu'une faible conscience deses rêves. La plupart du temps, il les oublie. La maîtrise des pensées par le sujet est problématique dans le rêve, àtel point que la nature des rêv...
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inconscient - psychologie & psychanalyse.
choisi. 3.3 L’inconscient neuro-psychanalytique Depuis le début des années 1990, des neuroscientifiques et des psychanalystes tentent de croiser leurs approches pour comprendre différemment les phénomènespsychiques, et notamment leurs fondements neuronaux. Ils ont formalisé une nouvelle discipline, la neuropsychanalyse , qui s’appuie sur les découvertes du fonctionnement du cerveau, grâce aux recherches en imagerie cérébrale. Des études montrent notamment qu’un ensemble de structures cérébrales...
- Parlant du métier de romancier, François Mauriac écrit : « Les personnages fictifs et irréels nous aident à nous mieux connaître et à prendre conscience de nous-mêmes... Et c'est sans doute notre raison d'être, c'est ce qui légitime notre absurde et étrange métier que cette création d'un monde irréel grâce auquel les hommes vivants voient plus clair dans leur propre cœur et peuvent se témoigner les uns aux autres plus de compréhension et de pitié. » Expliquez, commentez et, si vous le
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Qui suis-je, moi qui sais que je suis ?
Je suis, moi en qui tout me paraît clair, sans dessous, mais pourquoi suis-je né, pourquoi suis-je là ? Sans conteste,je suis l'effet d'une union, celle de mes parents, et j'en résulte, comme une séparation. Certes, la conscience d'êtreun être distinct, autonome, n'est pas immédiate. On sait que l'enfant commence par parler de lui à la troisièmepersonne. Mais lorsqu'il commence à dire « je » dans l'opposition à autrui, il ne revient jamais à l'autre manière deparler « Auparavant il ne faisait...
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RELIGIEUSES ET AMÉRICAINES
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'ifrt�Riiîi(i� 'ô\1GiN.Es � 1,':1f ,:;,: f DE LA DÉCLARATION RELIGIEUSES ET AMÉRICAINES la liberté de conscience Dans son ouvrage Du Gouverne ment civil, Locke ne traite guère de la liberté de conscience. Mais cette liberté, qui est avant tout la liberté religieuse, est pour lui un droit fon damental et imprescriptible, un droit sacré qu'il défendit ferme ment dans son opuscule Sur la tolérance et qu'il fit passer avant tout autre dans la constitution poli tique qu'il établit pour la Car...
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Autrui: L'altérité de Dieu
La pensée est décrite ici en terme de mouvement, de dynamique, et non plus de « moite intimité ». Non seulement il n'y a pas de commune mesure entre les propriétés de la matière et celles de la pensée, mais il fautajouter que les choses et la conscience n'ont pas la même manière d'être. L'existence propre de la conscience estcette capacité de se transcender, de se projeter vers autre chose, de porter un rapport au monde auquel, par-làmême, elle est présente. Husserl tire deux autres conséquence...
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La foi
croyance, il y a toujours un consentement du sujet conscient de prendre un risque que ce soit le risque du chercheur ou le risque impliqué par toute vie humaine. C'est que la recherche de la vérité est un mouvement dans une région sans sentier, un cheminement. L'athée et le croyant reconnaîtront en ce sens que l'homme est le pèlerin de l'absolu qui chemine dans le relatif (vérité et croyance). Conclusion Bien distinguer la croyance vécue comme une passion de la croyance "action" reconnue par u...
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L'erreur est-elle la condition de la vérité ?
• Organisation du plan 1. La problématique de la vérité repose sur la distinction de l'être et du paraître : la vérité existe. Ce qui déjà nous interroge. Si la vérité existe, nous n'en prenons conscience qu'au travers d'er reurs, de tâtonnements. 2. L'erreur est-elle alors féconde ? L'expérience de la vie est indispen sable. CORRIGÉ [Dissertation rédigée] [Introduction] Parvenir à la vérité, c'est s'interroger sur les moyens d'y accéder. Est ce...
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Introduction à la psychanalyse de Sigmund Freud (Analyse et résumé)
nerveuses ou psychiques. Pour comprendre l'Introduction à la psychanalyse, il convient de rappeler comment Freud concevait l'appareil psychique à l'époque où il a fait ces cours. Selon Freud, l'appareil psychique est composé de trois systèmes allant du plus profond au plus superficiel :l'inconscient, le préconscient, le conscient. Ces « lieux » psychiques n'existent pas dans la réalité. Ce sont des outils théoriques qui ne servent qu'à mieuxcomprendre le fonctionnement de l'...
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L'existence de l'inconscient est-elle compatible avec la liberté ?
perspective, elle est la capacité qui permet d'intégrer ou d'assumer la réalité de son être. Elle vise toujours une« objectivité » comme le déclare Edmund Husserl : « Toute conscience est conscience de quelque chose ». Laconscience de soi permet ainsi de prendre du recul par rapport à soi-même mais aussi par rapport aux autres, et cedans le but de connaître ses qualités et ses défauts, ses états intérieurs (ses émotions, ses sentiments, sespassions, « ses goûts et ses couleurs », ses...
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L'hypothèse de l'inconscient
instinctive de l'homme, à sa face d'ombre que précisément Freud se propose d'interroger. La psychanalyse ne doitpas sa naissance à des préoccupations théoriques (comme par exemple l'étude du psychisme humain qui ne seréduit pas à la conscience et au moi) mais tout au contraire à des sources thérapeutiques, ce que montre aussi sondéveloppement qui repose sur des hypothèses heuristiques dont il faut évaluer les apports pratiques dans latechnique analytique. Freud, médecin de formation...
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L'hypothèse de l'inconscient rend elle l'homme irresponsable ?
L'hypothèse de l'inconscient rend-elle l'homme irresponsable ? Dans son Introduction à la psychanalyse , Freud raconte l'histoire d'un jeune homme qui ne parvient pas à retrouver un livre malgré tous ses efforts. Si, comme Freud l'énonce, il est soumis en cela à des déterminismes inconscients, il semble qu'il ne soit pas responsable de cet oubli. Pourtant c'est bien lui qui a placé le livre sans faire attention. Accepterions-nous aisément qu'un individu jugé pour délit ou pour crime soit purem...
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L'inconscient psychique introduit-il la fatalité dans l’existence de l'Homme ?
Descartes, lui, pense que le sujet se défini surtout dans un premier temps par la conscience qu'il a de lui-même. Ainsi, nous sommes conscients de tout ce qui se produit en nous. De plus, dans sa critique adressée à Freud, Sartre fait remarquer que la conscience sait exactement ce qu'elle refoule. Mais alors, comment pourrait-on imaginé une conscience qui mépriserait ce qu'elle refoule? Si elle n’accepte pas une tendance ou un désir, ne fau...
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Peut-on ne pas savoir ce que l'on fait?
de découvrir ce que l’on peut faire, ce dont on est capable, en faisant l’épreuve de la séparation entre ce qu’on veut et ce qu’on fait.). (2) On peut ne pas savoir ce que l’on fait car il n’y pas de science de l’action, c’est à dire qu’on ne peut jamais prévoir et maîtriser toutes les conséquences de nos actes: toute action portant sur le futur, agir c’est nécessairement être confrontés à l’incertitude, à u...
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Cours sur la notion de DEVOIR.
vienne d'une loi sociale ou d'un impératif de la raison. Le sentiment du devoir est inséparable de l'idée que nous nousfaisons du bien, de l'attrait que nous éprouvons pour le Bien; il est inséparable, par conséquent, de notre réflexionpersonnelle et de nos tendances, autrement dit de l'ensemble de notre conscience. L'action morale ne nous semble obligatoire que parce qu'elle nous semble bonne. Même dans les sociétésprimitives, ou chez les individus les plus soumis aux mots...
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Exposé de EMC sur la Conscience démocratique et relations internationales : la défense des droits de l'Homme; le développement du droit pénal international (le droit applicable aux génocides, aux crimes de masse et aux violences extrêmes).
-> EMC : Conscience démocratique et relations internationales : la défense des droits de l'Homme; le développement du droit pénal international (le droit applicable aux génocides, aux crimes de masse et aux violences extrêmes). Introduction La conscience démocratique et les relations internationales sont étroitement liées lorsqu'il s'agit de défendre les droits de l'homme à l'échelle mondiale. La notion de conscience démocratique renvoie à la prise de conscience collective des valeurs...
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L'histoire comme réalisation de la liberté
La Raisongouverne lemonde. (LaRaison dansl'histoire) Selon Hegel, l'histoire est rationnelle. Certes l'histoireapparente nous montre le spectacle de la violence et dudésordre mais il faut se référer à l'histoire profonde quimanifeste la Raison. Celle-ci n'est pas un principepurement individuel mais une puissance spirituelleimmanente à l'Univers. Elle utilise comme instrument lespassions humaines. Hegel nomme cette utilisation "la ruse de la Raison" La scène du monde ne présente pa...
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Qu'est-ce que le moi ?
peut ébranler puisque douter c'est penser encore. Si je doute c'est que je pense et si je pense c'est que je suis,comme nous l'enseigne DESCARTES qui découvre le Cogito : « Ce moi c'est-à-dire l'âme. par laquelle je suis ce queje suis.Le je se distingue du moi comme le sujet observant du sujet observé à l'intérieur de soi, comme la conscienceréfléchissante de la conscience réfléchie, Mais ce je, lui-même, quel est-il?• On peut craindre que la réduction du moi au je n'aboutisse à une c...
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Pouvons-nous penser autrui autrement qu'à partir de nous-mêmes ?
§ 4. Examen de la théorie de la connaissance indirecte et présentation de la connaissance directe d'autrui Il n'est pas niable qu'il nous arrive de faire appel systématiquement au raisonnement par analogie pour expliquer la conduite d'autrui et que, même si ellen'atteint que le probable, cette connaissance indirecte peut être précieuse et souvent indispensable. C 'est, par exemple, une partie importante d'uneinvestigation judiciaire. M ais il s'agit de savoir si elle est le mode ordinaire d...
- «La conscience est la voix de l'âme. (les passions sont la voix du corps). La conscience ne trompe jamaizs; elle est le vrai guide de l'homme.» Rousseau. Commentez cette citation.
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Suis-je l'auteur de mon existence ?
forme d'une liberté et d'une responsabilité. ▪ Dans les Méditations métaphysiques, Descartes, ne met en lumière qu'une seule certitude, une fois la méthode du doute appliquée,l'existence du moi. La certitude 1 ère et immédiate du sujet est le je suis, j'existe, et plus particulièrement le fameux « je pense donc jesuis ». La conscience est donc la connaissance immédiate par le sujet deson existence. Autrement dit, selon Descartes, la conscience est cetopérateur...
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Suis-je le mieux placé pour me connaître ?
Du latin solus, "seul", ipse, "moi-même", le solipsisme est le point limite de l'idéalisme métaphysique : il définit une attitude du sujet pour lequel rien n'existe en dehors de sa conscience. Tout se passe dans la solitude dumoi : je suis seul dans ma tête et ne puis entrer dans la conscience d'autrui. Dans cette perspective, lesautres se réduisent à n'être que de pures fictions créées par mon esprit.Pour le solipsisme • Descartes , découvrant le cogito, aboutit à une unique certitude apr...
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Peut-on dire que le désir est spécifiquement humain ?
Pour Spinoza , « le désir est l'essence même de l'homme, en tant qu'elle est conçue comme déterminée, par une quelconque affection d'elle-même, à fairequelque chose ». Le désir est le terme générique englobant tous « les efforts,impulsions, appétits et volitions de l'homme ». Il constitue l'essence del'homme parce qu'il est le mouvement même par lequel ce dernier s'efforce depersévérer dans son être. Chacun désire ce qu'il juge utile à la conservationde son être et susceptible d'en accroître...
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Puis-je savoir ce que je suis ?
conscientes et inconscientes. Deux amis d'enfance se retrouvant après plusieurs années risquent de ne plus sereconnaître, voire de ne plus prendre plaisir en compagnie de l'autre, tandis que si leurs voies ne s'étaient passéparées, leur amitié serait peut-être restée intacte. La connaissance de soi ne peut donc être à la fois totale etdéfinitive : l'évolution de ce que nous sommes, conditionnée par l'évolution du monde autour de nous, est unprocessus continu, qui ne connaît de fin...
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La rétention comme phénomène de la durée chez E. HUSSERL
mêmes et indivisible en phases qui pourraient être par elles mêmes. [ ... ]Si nous allons le long de la continuité concrète, nous avançons dans les modifications perpétuelles, et le mode d'écou lement, c'est-à-dire la continuité de l'écoulement, y change conti nuellement. E. HUSSERL, Leçons pour une phénoménologie de la co11scie11ce intime du temps, trad. H. Dussort, P.U.F, 1964, pp. 37-43. POUR MIEUX CQMPRENDRE LE TEXTE À chaque représe...
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[L’histoire est la réalisation de l’idée de liberté.] Hegel
i Histoire / 243 événements, les guerres, etc. sont gouvernés par la nécessité. « De l'itude de l'histoire universelle même doit résulter que tout s'y est passé rationnellement, qu'elle a été la marche rationnelle, nécessaire de l'esprit universel. » Cette nécessité est pour Hegel le développement de la conscience de la liberté et sa réalisation au sein de l'Etat. «L'histoire universelle est le progrès dans la conscience de la liberté,...
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L'histoire est celle des rapports matériels de K. MARX
POUR MIEUX ÇOMPRENDRE LE TEXTE. Ce texte est très caractéristique du matérialisme de Marx. Auguste Comte définissait le matérialisme comme une explication du supérieur par l'inférieur. Or, il s'agit bien ici pour Marx d'inverser la démarche de Hegel et des hégé liens en allant de la terre (les hommes réellement actifs et leurs processus de vie réelle} au ciel (les formations bru meuses, les sublimations}. Il faut remarquer qu...
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L'inconscient est-il l'inconnaissable ?
perceptions présentes, nous les laissons passer sans réflexion et même sans être remarquées ; mais si quelqu'unnous en avertit incontinent après et nous fait remarquer par exemple, quelque bruit qu'on vient d'entendre, nousnous en souvenons et nous nous apercevons d'en avoir eu tantôt quelque sentiment (...). Et pour juger encoremieux des petites perceptions que nous ne saurions distinguer dans la foule, j'ai coutume de me servir de l'exempledu mugissement ou du bruit de la mer dont on est frapp...
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inconscient.
entretient avec le système perception-conscience des rapports analogues, explique Freud, à ceux d'un cheval (l'inconscient) imposant à son cavalier (le moi) la direction de la trajectoire et l'énergie motrice. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats analyse - 3.PSYCHANALYSE ça condensation - 3.PSYCHANALYSE conscience Freud Sigmund Lacan Jacques Marie lapsus métaphore métonymie moi névrose plaisir (principe de) psychanalyse psychiatrie psychologie psychop...
- Parlant du métier de romancier, François Mauriac écrit : « Les personnages fictifs et irréels nous aident à nous mieux connaître et à prendre conscience de nous-mêmes... Et c'est sans doute notre raison d'être, c'est ce qui légitime notre absurde et étrange métier que cette création d'un monde irréel grâce auquel les hommes vivants voient plus clair dans leur propre coeur et peuvent se témoigner les uns aux autres plus de compréhension et de pitié. » Expliquez, commentez et, si vous le