1763 résultats pour "rousseau"
- Etude du préambule des Confessions de Rousseau.
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Notice biographique sur Rousseau
8 Biographie Après une enfance heureuse à Genève et dans ses environs, l'adolescence de Rousseau le mène de ville en ville, de protecteur en protecteur. À la fin du livre IV, il finit par rejoindre Mme de Warens à Chambéry, dans sa maison de campagne, les Charmettes. Les Charmettes (1732-1742) C'est le temps du bonheur avec «Maman•> ; jusqu'à vingt-cinq ans, Rousseau ne songe qu'à mener une vie paisible et insouciante auprès d'une n...
- J.-J. Rousseau, Rêveries du promeneur solitaire: En étudiant cette page, vous montrerez en quoi la pratique de la botanique révèle les goûts et la personnalité de Rousseau et lui offre une occasion de montrer son talent d'écrivain
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ROUSSEAU: Croire et Savoir
La perception semble être la base de notre connaissance du réel À la lecture du texte de Rousseau, on peut penser que c'est uniquement la « physique expérimentale» de lajeunesse qui peut établir un savoir qui ne soit pas une croyance. La distinction entre savoir et croyance repose surl'idée de vérification : nous croyons ce que nous ne pouvons pas vérifier par nous-mêmes, nous savons ce dontnous pouvons apporter la démonstration ou présenter l'évidence. Ainsi, un savoir qui serait uniq...
- ÉMILE ou De l'éducation de J.-J. Rousseau
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« Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! Il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède. » Jean-Jacques Rousseau, Julie ou la Nouvelle Héloïse
IntroductionOn définit le désir comme étant avant tout une envie, très souvent associé à ce que l’on ne possède pas. Rousseau,en écrivant « Malheur à qui n’a plus rien à désirer » allie la question du désir à celle du bonheur. Il est doncprésupposé que ces deux notions sont indissociables. Mais si le désir résulte d’un manque, le bonheur peut-il être liéà ce que l’on ne possède pas ? Nous argumenterons le point de vue de Rousseau, avant d’étudier la nuisance dudésir. Enfin, nous nous dem...
- Mythe Du Bon Sauvage - Rousseau
- ROUSSEAU (Jean-Jacques)
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JEAN-JACQUES ROUSSEAU
VOIR AUSSI • Autrui (fiche 4) •La justice et le droit (fiche 18) • Le devoir (fiche 221 • Hobbes (fiche 29} • Locke (fiche 321 À RETENIR • La perfectibilité, source du bonheur et du mal •La volonté générale n'est pas la volonté de tous •Un peuple doit exercer sa souveraineté •La pitié, sentiment naturel à l'origine des vertus sociales TESTC2....-l/OV 5 A. En quoi y a-t-il contradiction de l'homme avec lui-même? B. Qu...
- Mme de Staël, disciple de Rousseau
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ROUSSEAU: langage et organes
des muets qui ,par le langage des signes, suppléent l'insuffisance naturelle de leur organes et assurent la fin de lacommunication. _ Rousseau bien concède que l'absence de ces organes permet d'acquérir moins d'idées, et sans doute pluslentement. Néanmoins la communication sera toujours possible : « donne à l'homme une organisation aussi grossièrequ'il vous plaira : sans doute il acquerra moins d'idées ; mais pourvu seulement qu'il y ait entre lui et ses semblablesquelque moyen de comm...
- Unité des oeuvres de Rousseau.
- Rousseau, les Confessions (extrait).
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LE PLATEAU DE BELLECROIX de ROUSSEAU Théodore
. " ' - LE PlATEAU DE BELLECROIX 183 7-184 7 Peintr e fran çais Biographie (2:; Théodore Rousseau naît à Paris le 15 avril1812 . n manifeste très vite des talents de peintre et entre dans l'atelier de J.-C. Rémond où apparaît sa prédilection pour le paysage. À la recherche de lieux préservés, il parcourt les environs de Paris , de la forêt de Compiègne à la vallée de Chevreuse. Il finit par s'installer en 1837 à Barbizon, un...
- Rousseau écrit dans une lettre du 4 novembre 1764 : « On ne peut être heureux sur la terre qu'à proportion qu'on s'éloigne des choses et qu'on se rapproche de soi. » Vous expliquerez et vous apprécierez, en prenant quelques appuis précis sur ses oeuvres, cette solution apportée par J.-J. Rousseau au problème du bonheur.
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Rousseau: la liberté ; le droit.
générale ».La question est donc la suivante : comment l'individu peut-il se reconnaître dans une volonté générale qui est parfois contraire à son « avis particulier » ? Autrement dit : comment l'individu soumis aux lois peut-il encore se sentir un citoyen libre? Nous sommes ici au cœur du rapport entre la « volonté de tous » et la « volonté générale ». ++++~++++++++++++++++++++ REPÉRER LE MOUVEMENT DU TEXTE Le texte est essenti...
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Rousseau et le premier de tous les biens
.... 1:1 "' "' 0 u 1 C 0 R R G É • Les clés du sujet PRÉSENTATION DU TEXTE ET ANALYSE DE SES ENJEUX Il> Dans ce texte, Rousseau (1712-1778) aborde la question de la liberté, et plus exactement celle du statut de la liberté en société. Si, pour l'auteur, la vie sociale est incompatible avec l'existence libre, ce n'est pas seulement parce qu'elle est source d'interdits et de limitations juri diques ou morales. C'est surtout...
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Les Confessions, Rousseau. Le Ruban volé.
TEXTE Jea n Jacques Rousseau, • Le vol du ruban "• Les Conf essions, Livre second (1765 -1770). [R ousseau raconte ici un épisode de sa vie alors qu'il a seize ans et qu'il est employé comme laquais chez Mad ame de Vercellis.} Il est bien difficile que la dissolution d'un ména ge n'en traîne un peu de conf usion dans la ma ison\ et qu'il ne s'égare bien des choses. Ce pendant, telle était la fidélité des domest iques et la vigilance de M. et Mme Lor enz...
- Les Confessions, de Rousseau (Livre II)
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J.-J. Rousseau, La Nouvelle Héloïse (1761), IVe partie, lettre 17
beauté. II. Les sentiments. 1. Le paysage répond aux goûts de Rousseau.Celui-ci est une de ces « âmes sensibles » auxquelles il est fait allusion au début du paysage. On sait à quel point lesentiment de la nature intervient dans La Nouvelle Héloïse, comme source et en même temps reflet des impressionshumaines. Dans ce texte, les adjectifs qui décrivent le paysage sont chargés d'une sorte d'affectivité (cf. sauvage,majestueux, riant). Rousseau ne peut trouver là que ce qui lui plaît : le goût de...
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JEAN-JACQUES ROUSSEAU, Les Confessions, Livre IV: La découverte de Paris
un argument en lui-même — que le narrateur parvient à se passer de preuves logiques : en fait, l'exagération est iciun argument de force. L'exemple sert alors la démonstration, en lui évitant de vaines justifications. Il semble bien que cette argumentation biaisée, comme l'exagération systématique du texte, soient à rapporter à un« je » omniprésent. On ne compte pas moins de douze apparitions du « je », auxquelles il faut adjoindre à treizereprises d'autres formes du pronom personnel de première...
- Personnages des Confessions de Rousseau
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Rousseau - Les Confessions: « Ce souvenir cruel me trouble quelquefois... » - Le ruban volé
Rousseau – Les Confessions « Ce souvenir cruel me trouble quel quefois... » Texte Le ruban volé Il est bien difficile que la dissolution d'un ménage n'entraîne un peu de confusion dans la maison, et qu'il ne s'égare bien des choses. Cepe ndant telle était la fidélité des domestiques, et la vigilance de M. et Mme Loren zi, que rien ne se trouva de manque sur l'inventaire. La seule Mlle Ponta perdit un petit ruban couleur de ro...
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Rousseau, Du contrat social (1762), Livre I, Chapitre 8 : « De l'état civil »
lui-même. Maintenant il prend des distances avec l'instinct et l'impulsion physique irrépressibles. Il consulte la raison, consultation qui vient se substituer au discours muet du penchant qu'il suffit d'écouter pour le suivre. 1 Dans l'état civil, l'homme peut actualiser sa perfectibilité Dans le commerce que les hommes entretiennent entre eux, leurs facultés se développent Les avantages dont l'homme naturel se prive, Rousseau ne les indique p...
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- Explication du Préambule des Confessions de Rousseau
- ROUSSEAU ET LE SENTIMENT DE LA NATURE ?
- Rousseau, Jean-Jacques - philosophie.
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Jean-Jacques Rousseau et les femmes
et une imagination toutes deux excessives. Il mentionne encore sa « première éruption, très involontaire » (L. Ill, p. 153). Rousseau n'a pas limité son analyse à un ou deux aspects convenables du sujet qu'il abordait. L'art de
- ROUSSEAU, Lettre à d’Alembert sur les spectacles
- Commentaire de texte - Rousseau - Emile
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La pitié est naturelle à l'homme - Rousseau
Sans la piété, la raison peut conduire à des monstruosités. L'amour de soi et la pitié sont des sentimentstellement naturels que, d'après Rousseau, les animaux manifestent parfois par leur comportement qu'ils les ressentent. (Cf. Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalitéparmi les hommes, « Les Intégrales de Philo », Nathan, pp. 62 à 66).La pitié est une forme de l'instinct de conservation au niveau de l'espèce.Rousseau distingue trois façons de s'aimer soi-même :— l'amour de soi i...
- Confessions de Rousseau: le ruban volé
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- Biographie de Jean-Jacques ROUSSEAU
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L'INFLUENCE GÉNÉRALE DE ROUSSEAU AVANT LA RÉVOLUTION
démonstration il la vivait, après son Héloïse et son Emile, dans ses Confessions et ses Rêveries. On le crut, dans unextraordinaire élan de ferveur et d'abandon. Il me suffit de renvoyer au troisième volume de la remarquable étude dePierre-Maurice Masson sur la Religion de Rousseau : Rousseau et la restauration religieuse.Un an après l'Emile on prêchait dans les églises de Paris contre Jean-Jacques plus encore qu'on n'avait prêchécontre Voltaire. On « l'anathématisait » dans les formes. Mais...
- Rousseau: Autrui; le désir.
- Commentaire: ROUSSEAU - La connaissance du moi est la sagesse
- Etude de « la fessée », dans Les Confessions de Rousseau
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FICHE DE LECTURE : L'Émile de Rousseau
d'indépendance et son horreur de toute direction. Ni il ne compte que l'enfant, sur une grande et forte idée qu'on luiaura donnée, se gouvernera lui-même, ni il ne veut que le précepteur pèse directement et immédiatement surl'enfant. Reste que le précepteur l'aide à être instruit par les choses.Ce système, qui est fort loin d'être méprisable, et nous reviendrons sur ce qu'il a d'infiniment judicieux, a desinconvénients qui sautent au regard. D'abord, et il faut bien y insister, q...
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ROUSSEAU: GENÈVE. LA JEUNESSE ET L'ADOLESCENCE
les citations et les « grièves censures » du Consistoire n'étaient pas toujours efficaces car Théodora Rousseau, uneautre tante, accouche huit jours après ses noces.Quant à Isaac Rousseau, père de Jean-Jacques !... Il occupe trois fois le Consistoire avec ses disputes. Marié en1704 avec Suzanne Bernard il avait été, comme tant d'autres genevois, horloger. L'horlogerie lui avait sans douteparu une occupation trop sédentaire : Il s'était donc mis maître de danse, dans une ville où la danse était i...
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ROUSSEAU: Contrat social et liberté
d'une nouvelle forme, plus haute, de liberté. Il y a bien, dans le contrat social, un renoncement de la part dechacun: renoncement à pouvoir tuer ou voler son prochain, et même l'acceptation d'un renoncement potentiel à sapropre vie, en cas de guerre, ou si l'on devient criminel: «c'est pour n'être pas la victime d'un assassin que l'onconsent à mourir si on le devient» dit Rousseau. Telle est la dure loi du contrat social. Mais ce renoncement à laliberté naturelle est l'avènement de la l...
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- Rousseau: vie et oeuvre
- Rousseau Henri, dit le Douanier Rousseau Peintre français
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ROUSSEAU: La législation doit supprimer l'individualisme
L'avantage de la société- Pourtant, cette entrée dans la société n'est pas mauvaise, même si elle semble réduire l'homme en « esclavage ».Il ne s'agit pas d'asservir l'homme, loin de là mais de lui permettre de s'épanouir. Rousseau dit bien d'altérer l'hommemais pour renforcer sa constitution. L'auteur dans un autre texte parle d'un « échange avantageux ». Nous l'avonsdit dans l'état de nature, l'homme possède seulement la raison en puissance et ne l'utilise pas. Or, celle-ci fait partiede l'hom...
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Autobiographie et vérité dans les Confessions de Rousseau
~Il -LA VÉRACITÉ DES CONFESSIONS La difficulté de reconstituer le passé Rappelant dans la « Quatrième Promenade » la devise qu'il s'était choisie, « consacrer sa vie à la vérité », Rousseau mène une autocritique des Confessions. Il reconnaît y avoir menti sous l'effet du« délire d'imagination», sinon volontaire ment : sa mémoire lui a souvent manqué et il a comblé les lacunes en faisant appel à son imagination ou en embellissant les moments...
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ROUSSEAU: la volonté générale est toujours droite
puisque l'intérêt commun appartient effectivement aux individus, toute sommation partielle, ne rassemblant pas enune seule et même opération toutes les différences,produirait moins d'annulation de ces différences et masqueraitl'identité de la volonté générale.Rousseau retrouve ainsi en conclusion un thème déjà développé dans l'article « Économie politique' ». Le Contratsocial, qui ne doit plus rien à la volonté générale telle que Diderot l'expose dans l'article « Droit naturel » del'En...
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ROUSSEAU: Association et contrat social
validité du contrat. Mais, si nous regardons de plus près, il apparaît très vite que ce contrat est d'une natureexceptionnelle et ne saurait être aligné sur le modèle des contrats juridiques ordinaires. En effet, l'originalité ducontrat proposé par Rousseau réside en ce que l'échange ne se fait pas entre deux parties distinctes et extérieuresl'une à l'autre. Dans et par ce contrat, les individus séparés deviennent citoyens et le peuple se constitue commepeuple à partir des sujets par...
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ROUSSEAU: Ce passage de l'état de nature à l'état civil
l'ensemble de la vie mentale, y compris les « sentiments » qu'il faut ici comprendre au sens noble comme actes de laconsciences.Rousseau considère donc l'ensemble de la vie mentale, jusqu'au plus haut degré de son évolution. Malgré tout, lepremier paragraphe ne conclut pas définitivement à l'avantage de l'état civil, et met en balance différentsavantages. Certes, la nature humaine enveloppant une dimension évolutive, la balance penche dès la fin du premierparagraphe vers l'état civil. Mai...
- Jean-Jacques Rousseau - Politik.
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JEAN-JACQUES ROUSSEAU : SON CARACTÈRE.
pleins de beaux sentiments, ne veulent de lui que son affection ; s'apercevoir trop tard qu'ils exigent la soumissiondans l'école et la discipline dans le rang, et qu'ils sont très durs pour qui vit et pense d'une façon indépendante :voilà une de ses premières expériences.L'orgueil aidant, et l'imagination romanesque, il en vint très vite à détester cette société humaine pour laquelle, jene dirai point il n'était pas fait, mais, ce qui est bien pis, pour laquelle il était fait, au con...
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ROUSSEAU: la pitié est un sentiment naturel
A chaque fois, la pitié est un sentiment immédiat (« sans réflexion »), à l'opposé de ce que serait une raisonnaissante qui pèserait le pour et le contre, les avantages et les inconvénients. La pitié s'oppose même à l'instinct.En effet, elle est même capable de nous « détourner » du mouvement instinctuel qui nous ferait prendre ce qui est àportée de main (« c'est elle [la pitié] qui détournera tout sauvage robuste d'enlever à un faible enfant… »), instinctpar lequel le fort est tenté d'op...