107 résultats pour "funéraire"
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Grèce antique, art de la - beaux-arts.
Jusqu'aux environs de 320 av. J.-C., l'architecture, la peinture et la sculpture de grand format ont un caractère public, que leur destination soit religieuse ou civile. Toutefois, les monuments funéraires privés peuvent relever du grand art, et les arts décoratifs jouent un rôle important dans la sphère privée. Une famille ordinaire possède plusieurs vases de terre cuite peinte de belle facture ; les plus riches, de la vaisselle de bronze et des miroirs souvent décorés. Vases grecs Découvert...
- Borobudur ou B?r?budur, monument funéraire bouddhique (st?pa) élevé dans le centre de l'île de Java entre 750 et 830.
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Le complexe funéraire de Sésostris ler à Lat
mière est construite en bri ques crues et la seconde en pierre . A intervalles réguliers, des stèles en pierre imitant le décor en façade de palais et surmontées d'un faucon rap pellent que l'on se trouve en présence d'un monument royal. Une chaussée montante relie le complexe funéraire au temple de la vallée, dont il ne subsiste rien de nos jours sinon quelques traces des fondations. Cette chaussée, couverte en son centr...
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Les trois jugements du mort
JUGEMENT DES MORTS ET « MAÂ T » Que ce soit avant tout la communauté qui déclare un mort «juste de voix » est conforme à la maât, qui sous-tend toute la civilisation égyptienne. Le plus sûr garant du maintien de la société par la cohésion et la solidarité est la peur qu'a le mort d'être désapprouvé par ses pairs . Les défunts ne prirent-ils pas garde dès l'Ancien Empire à faire figurer à l'entrée de leur tombe une b...
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Égypte ancienne, art de l'.
Sous la III e dynastie, l’architecte Imhotep édifie la nécropole du souverain Djoser (régnant vers 2630-2611 av. J.-C.), le plus grand ensemble architectural de l’époque, sur le site de Saqqarah, non loin de Memphis. Ce complexe funéraire comporte une grande pyramide à degrés — bâtie sur d’anciennes galeries funéraires souterraines et surélevée à plusieurs reprises — et un groupe de chapelles et d'édifices associés. Haute de 60 m, la grande pyramide, dans laquelle est conservée la dépouille d...
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Grèce antique, art de la - peinture.
4 PÉRIODE ARCHAÏQUE (V. 625-480 AV. J.-C.) Après l'apprentissage des premiers temps, la période archaïque correspond à l'essor et à la maturation qui préparent l'accomplissement de l'époque classique. Les monuments se multiplient dans les grands sanctuaires de Grèce, mais également en Grèce de l'Est, où l'Ionie développe une civilisation brillante, et dans les prospères colonies occidentales. L'art d'Athènes reflète un certain luxe à l'époque du tyran Pisistrate, que dissipent l'instauration de...
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Grèce antique, art de la - sculpture.
4 PÉRIODE ARCHAÏQUE (V. 625-480 AV. J.-C.) Après l'apprentissage des premiers temps, la période archaïque correspond à l'essor et à la maturation qui préparent l'accomplissement de l'époque classique. Les monuments se multiplient dans les grands sanctuaires de Grèce, mais également en Grèce de l'Est, où l'Ionie développe une civilisation brillante, et dans les prospères colonies occidentales. L'art d'Athènes reflète un certain luxe à l'époque du tyran Pisistrate, que dissipent l'instauration...
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Les Chants du harpiste, une oeuvre étrange
« Fais sur terre les choses que ton coeur désire » D 'autres, au contraire, étonnent. Le plus célèbre d'entre eux est attribué à la tombe d'un Antef -plusieurs rois portent ce nom entre la XI• et la XVII" dynastie-, mais il n'est connu que par deux copies du Nouvel Empire, une sur papyrus, l'autre sur une paroi de la tombe d'un particulier. « Il est heureux le bon prince ! La mort est un doux destin ! Des généra...
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L'art dans l'Égypte antique (Exposé – Art & Littérature – Collège/Lycée)
nain et sa famille, l'artiste a placé les deux jeunes enfants au pied de leur père. Celui-ci étant assis à côté de sa femme , on a l'illusion qu'il est de la même taille. • La peinture affiche aussi une sophistication extrême comme le analogues (porteurs , offrandes , vie agricole, etc.). L e moyen d'expression est moins coûteux e t le résultat plus fruste mais souvent plus vivant. Cet art se perpétue jusque sous la Xli' dynastie . • La statuair e p...
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La mort, une autre forme de vie
Les Etapes de la mor t dans la tradition haïtienne La veillée, l’enterrement, le deuil, le cimetière et le tombeau, le sort de l’âme après la mort illustrent les étapes des rites funéraires haïtiens. Les morts sont la 3 e catégorie d’êtres surnaturels après les esprits (Loa), et les jumeaux à recevoir un culte. Les coutumes funéraires de la paysannerie haïtienne sont fort complexes. A coté d’usages et de rites emprunt...
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Fig. 14
Plaquette d'ivoire de Djer.
croissance (Peret), la troisième la récolte
commencé parune régence, celledeMerneïth, laquelleauraitfavorisé lepouvoir deshauts fonctionnaires — pouvoir queDen aurait limitéparlasuite. Cequi estsûr, c'est quelenouveau souverain aconduit unepolitique extérieure vigoureuse, detrès bonne heuretournée versleProche-Orient, puisqu'ilamené unecampagne « asiatique »dès sapremière annéederègne. Ilen aurait même ramené unharem deprisonnières, cequi ferait de luiun précurseur d'Amenhotep IIIen lamatière. Onpeut supposer quecette activité guerrière,...
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sous son règne.
Fig. 20 GénéalogiesommairedelaIVe dynastie :générations 1-6. concubine deHouni, maisriennepermet del'affirmer. Sitel aété lecas, sonfilsaépousé unedeses demi- sœurs, Hétephérès Ire ,la mère deChéops, elle-même filled'Houni, defaçon àconfirmer parlesang lalégitimité de son pouvoir. Cettefiliation donneleton delacomplexité desgénéalogies delaIVe dynastie, dontuneétude même sommaire montrelaprofonde implication delafamille royaledanslegouvernement dupays. Comme sesprédécesseurs delaIIIe dynastie Dj...
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Les inscriptions funéraires de l'Ancien Empire
fit que je me porte à juger seul, sans qu'il y eût aucun vi zir de l'État ( ... ), parce que j'étais capable et que j'avais l'estime de Sa Majesté». Ces deux aspects - intégratif, par la morale, et distinctif, par la relation de hauts faits - des biographies funéraires sont d'ailleurs à l'origine des deux plus grands genres de la littérature égyptienne : les sagesses et les contes. La par tie morale des biographies va...
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« Divinisation » et politique
peu après sa mort, ce sanc tuaire resta en fonction au moins jusqu'à la XVIII• dynas tie, soit près de mille ans plus tard ! Les stèles, tables d'of frandes et statues que l'on y a décou vertes atteste nt que le culte y était très vivant. La vénération d'Heqaib sem ble avoir été favorisée par la famille des nomarques qui gouvernaient la région sous le Moyen Empire . Le premier d'entre eux, Sarenpout I"', se fit d'ail...
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La propriété privée existait—elle en Egypte ?
tians juridiques qui entrent en ligne de compte. Le pha raon ne pouvant à l'évidence exploiter lui-même l'ensem ble du sol égyptien, celui-ci est confié -suivant des dispo sitions qui ont pu changer au fil du temps - à des particu liers ou à des institutions . Par le biais de la concession, le souverain délègue ainsi son autorité sur la terre à des bé néficiaires, qui, à leur tour, peuvent céder une partie de leurs droits...
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Les minarets, parure du Caire
Bilai, esclave noir affranchi par Mahomet, fut le premier muezzin de Médine, mais les historiens arabes ont égale ment gardé le nom du pre mier mue zzin d'Égypte: Abu Muslim al- Murad î, compa gnon du Prophète. Le muezzin doit être un homme adulte, pieux, de ha ute tenue morale, avoir une belle voix qui porte et de bonnes connaissances en théologie et en astronomie . Seul le muezzin était auto risé à gravir un minaret,...
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La tombe de Toutânkhamon la chambre du Trésor
Chambre ! 11111 du Trésor un coffre triangulaire servant d'écrin à l'arc de Toutânkha mon. Il est incrusté de mar queteries représentant le jeu ne roi sous la forme d'un sphinx, tandis que d'autres dessins relatent une partie de chasse dans le désert. Là, comme dans les autres pièces du tombeau, les pillards sont passés. Bien qu'ils n'aient pas eu le temps d'achever leur travail, Carter estime que les deux tiers des...
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Tombeau du juge Inty
texte funéraire particulier ap pelé « chant du harpiste ». Or, la poésie amoureuse n'est at testée dans l'écriture qu'à partir du Nouvel Empire, vers 1500 avant Jésus -Christ), et les chants du harpiste qu'on ren contre régulièrement dans les tombes de cette époque ne sont pas connus avant le Moyen Empire, soit quelques siècles après la construction du tombeau d'lnty ! L 'enjeu de ce texte est donc de taille, car il pour...
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Un nouveau grand musée pour l'Egypte ancienne
Un espace muséographique high-tech L e nouveau musée se pré sentera comme un com plexe de 86 000 m2 , compor tant les éléments muséogra phiques destinés à accueillir les 130 000 pièces prévues et les équipements aptes à déve lopper l'expérience des visi teurs par les techniques et les moyens interactifs appropriés . Un exemple : la présentation des armées de Pharaon pour ra faire l'objet de simulations par ord inateur. L'acc...
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Les chaussées montantes
Les chaussé es montantes encore visibles P ar rapport au nombre de pyramides connues, très peu de ces éléments ont été retrouvés, d'une part parce que ce sont les premiers mo numents que les carriers ont détruits pour en récupérer les pierres, d'autre part parce que bon nombre de com plexes funéraires sont restés inachevés . La chaussée de la pyramide de Snéfrou à Meï - doum (laquelle, ayant perdu son parement, ressemble...
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Les mystérieuses têtes de réserve
UNE MENTION DANS LES TEXTES ? Que les funérailles fussent composées de rites positifs et de rites négatifs, voilà une hypothèse intéressante, surtout quand on connaît l'ambiguïté de la pensée égyptienne, qui voyait le monde par couples d'objets antagonistes. L'absence de toute mention de ce rituel dans les textes funéraires n'est pas non plus un argument contre cette idée. Les Textes des Pyramides, les Textes des Sarcophages et le Livr...
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Le tombeau d'Horemheb à Saqqarah
réservées à l'élite des digni taires de l'État. Contrairement aux hypogées simples que l'on rencontre à Thèbes, les « tom bes-temples » présentent des structures plus visibles et re dondantes, directement inspi rées des temples div ins. Orienté est-ouest, le com plexe funéraire, dont les pa rois en briques crues sont partiellement recouvertes de dalles de calcaire gravées, s'ouvre à l'est par un pylône caractéristique des tem...
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Les sarcophages, demeures d'éternité
divinités furent épargnées, par superstition et par peur de la colère des dieux ! L' égyptomanie fait fureur D ès le xv · siècle, les pre miers Européens visitent l'Égypte et découvrent à leur tour cette civilisation fasci nante . Des touristes, guidés par des Égyptiens grasse ment payés, n'hésitent pas à profaner des sarcophages pour en extraire les momies, qu'ils dépouillent de leurs parures. Néanmoins, certains voya geurs...
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LES ETRUSQUES
Les Étrusques venir: celle des Romains. La rapide ascension de la civilisation étrusque trouve son origine dans plusieurs facteurs. Bénéficiant de richesses natu relles, les Étrusques ont créé l'une des plus puis santes industries métallurgiques de l'Antiquité, leur permettant notamment d'équiper leur armée. Outre une agriculture florissante, favori sée par de profondes connaissances techniques (notamment dans l'art de la division du sol et dans...
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Grand oral du bac : Société: LA MORT
·" 0.. x ;:: La mort le souverain sous des traits idéalisés est réalisé avant que son corps ne soit parfumé et entouré de bandelettes de lin tissé. Les Égyptiens considèrent la mort comme une étape vers un monde identique à celui qu'ils ont connu de leur vivant. En conséquence, le pharaon est enseveli avec son mobilier, ses armes et des «modèles>> (maquettes de navire, de maison, de bétail), qui constituent la panoplie usuelle du quo tidien dans...
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(1983), 43-46).
Fig. 74 Plandelaville deKahoun. Fayoum, quin'était sousl'Ancien Empirequ'unezonemarécageuse quiservait delieu depêche etde chasse, avec pourcentre Crocodilopolis. Cettegrande oasis,située àenviron 80kilomètres ausud-ouest deMemphis, avait dequoi offrir denouvelles terres.Sésostris IIentreprit decanaliser leBahr Youssouf quisedéversait dans le futur lacQaroun enconstruisant unedigue àIllahoun eten luiadjoignant unsystème dedrainage etde canaux. Leprojet nesera achevé quesous Amenemhat III,mais ce...
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La sculpture grecque
CAWMAQUE ET AI.CAMtNE • Les Athéniens Callimaque et Alcamène ont travaillé dans le dernier quart du v• siècle. On peut attribuer au premier l'original de la Vénus Genitrix, représentée couverte d'une draperie d'aspect « mouillé » à travers laquelle transparaissent les formes du corps. • Le sens des proportions d'Alcamène et l'esprit dans lequel il travaille sont influencés par Polyclète, notamment dans la représentation des attitudes et de la musc...
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Fig. 65
Chapelle de Ti : chasse dans les marais.
Fig. 66
Ci-dessous.
ménagées leplus souvent danslafalaise quiborde lavallée, cequi amène l'adoption dumastaba «rupestre », comme, parexemple, dèslaIVe dynastie, danslanécropole deTehna. Celui-ci évoluerapidement versla tombe rupestre proprement dite.Lesnomarques delaprovince duLièvre ontdes tombeaux decetype à Cheikh Saïd,ausud deMellaoui :ceux deschefs dupalais delaVIe dynastie Mérou,OuaououAnkhtéti. Même choseàDeir el-Gebrawi, etsurtout àAssouan, dontlanécropole possèdeunetrentaine detombes dece genre. Fig. 67 Pl...
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parqués à l'extérieur du village.
Fig. 140 Deir El-Médineh :coupe d'unetombe-type delaXIX e dynastie. Autour s'étaient développés quelquessanctuaires, plusmodestes. SéthiIer leflanque d'unsanctuaire complet au nord, avecparvis, escalier, dallage,pylône,hypostyle etnaos. Ramsès IIyreconstruit surlesruines du temple delaXVIII e dynastie. Letemple estabandonné àla fin de laXX e dynastie. Àl'époque ptolémaïque, Ptolémée IVPhilopator rasel'ancien sanctuaire deRamsès IIet leremplace parune construction engrès. Il commence ladécoration...
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d'expulsion de la substance divine, si l'on en croit la légende d'Isis et de Rê.
quatre couples degrenouilles etde serpents quiassemblent leursforces pourcréer etdéposer unœuf surune butte émergeant horsdel'eau. Cescouples sontchacun composés d'unélément etde saparèdre :Noun et Naunet, l'océanprimordial qu'Héliopolis intègre,commenousl'avons vu,dans sonpropre système, Hehet Hehet, l'eauquicherche savoie, Kekou etKeket, l'obscurité, et,enfin, Amon, ledieu caché etsa parèdre Amaunet. Parlasuite, lorsque ledernier élément del'ogdoade, Amon,deviendra ledieu dynastique, leclergé...
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MYTHES DE MESOPOTAMIE: SEPULTURES, RITES ET ART FUNÉRAIRES
LEUR DERNIÈRE DEMEURE DISTINGUE LES PUISSANTS Si la p lupart des morts semblent avoir été inhumés dans des fosses communes, des tombes maçonnées en brique de terre ou en pierre abritaient les corps des hommes riches ; certaines d 'e ntr e elles [en Assyrie et en Ph énicie essentiellement). relativement vastes, sont couvertes par une voûte et l'on y accède en empruntant un couloir appelé dromo s. Quant aux découver tes faite s s ur le...
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Le banquet funéraire
LE CHAMP DES OFFRANDES Pour subvenir à ses be soins, le défunt cultive symboliquement un champ qui lui a été donné dans le paradis ouvert par Osiris, un champ miraculeux où le blé n'a jamais été aussi beau et que des servi teurs zélés s'empressent de moissonner. On retrouve ainsi des peintures plus vraies que nature qui mon trent une vie agraire idyl lique où nulle famine, nulle sécheresse ne vient angois ser le...
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Les Mayas du Mexique à travers les statuettes funéraires de l'ile de Jaïna
du monde et à la civilisation méditerranéenne, elle perd vite son originalité. La proximité des grandes civilisations de la Méditerranée et du Proche-Orient devait néces sairement marquer des populations qui eurent tôt l'occasion de commercer avec celles-ci, si non d'en subir la volonté de conquête. L'art thrace, comme il apparaît au Petit Palais, est souvent tributaire de Mycènes, dans ses for mes les plus anciennes, ou de l'Asie...
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Papyrus funéraire du Nouvel Empire.
Illustration d'un morceau du Livre des Morts : offrandes à Osiris.
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LITTÉRATURES CHAMITO-SÉMITIQUES
Le...
Papyrus funéraire du Nouvel Empire. Illustration d'un morceau du Livre des Morts : offrandes à Osiris. 892 LITTÉRATURES CHAMITO-SÉMITIQUES Le lecteur est prié de se reporter aux n °• 932, 933 et 934 consacrés à l'histoire des peuples de l'ancien Orient. 892.2 - DES HÉBREUX AUX ÉTHIOPIENS. A - Littératures hébraïque et juive et 892.1 - HIÉROGLYPHES, CARACTÈRES CUNÉIFORMES, ALPHABET. littératures apparentées. a) La littérature hébraïque et Juive. • Les Hébreux. lorsqu'ils arrivent en «Chal...
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L'homme et la mort
que nous possédions, il n'est rien par contre sur lequel nous détenions aussi peu de renseigne ments. Nous mourrons; mais nous ne savons ni quand, ni comment, ni pourquoi. Nous ne savons ce qui se passe au moment de la mort, nous ne savons ce qui se passe après elle. En dépit des tra vaux scientifiques de notre siècle, et ils n'ont pas peu contribué à changer l'idée que les hommes se font de la mort, le philosophe E.M. Corian souli gnait cepe...
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La mort de Toutânkhamon
\1YSTÉRIE US E ·ouvés dans le tombeau attes sont déroulées aux alentours · fait remonter le décès du roi e on le pense, les soixante-dix andent les rites d'embaume é respectés. Les circonstances -Je Toutânkhamon restent au r,core mystérieuses. Rien n'a ouvé qui raconte cette dispa- 1. Les spécialistes qui exami rèrent la momie après la dé- couverte du tombeau par ~ Howard Carter et Lord Car narvon ont seulement cons taté q...
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Les tombes de Hor et de Noubetepti-khered
Le tombeau d' Aouibrê-Hor 1e• L a tombe comportait deux pièces. La p remiè re, de petite taille, abritait le coffre à canopes . Quand ils y péné trèrent, les ouvriers découvri rent une statuette en bois dor é très abîmée gravée au nom d'Aou i brê -Hor . Un se cond cartouche comp létait la titulature , mais il était illi sible . Au milieu des déblais se trouvaient les restes de deu x vases canopes en albâtre identiques p...
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La tombe d'Ouserhat
la tombe, sur un long couloir pe rpendiculaire aboutissant à une chapelle intérieure (niche à statues ou fausse porte). Les deux salles en T renversé, qui peuvent être soutenues par des piliers, comportent un ri che programme décoratif à la thématique typique de la XVIII" dynastie. Il poursuivait un double but : célébrer la mémoire du mort par l'évoca tion de son existence terrestre et lui assurer les moyens de survivre dans l'au-...
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Les portraits du Fayoum : une vision syncrétique de la mort
privilégie également l'inten sité du regard . Les portraits du Fayoum s'inscrivent dans la trad ition picturale natura liste gréco-macédonienne, héritée du peintre Apelle, ami et portraitiste d'Alexan dre le Grand . Au , .. siècle après J.-C., l e Lat in Pline note que, grâce à la peinture de portraits, « les effigies les plus ressemb lantes possible de personnes défuntes se transmettent de génération en génération ». On sait...
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La nécropole de Touna el-Gebel
excellence, les autres -ceux de Basse-Égypte en particu- 1 ier - n'étant que des divini tés subalternes . A l'époque tardive, quand les habitants de la ville choisis sent Touna el-Gebe l pour y établir une nouvelle nécro pole, ils la développen t tout naturellement autour d'un vaste site funéraire consacré à ce dieu, où sont inhumés ibis et babouins, les deux es pèces dont il emprunte la forme . Ces offrandes d'ani mau x sont...
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L'Etat pharaonique sous la IIe dynastie
L'invention de l'écriture égyptienne est en général attribuée au deux premières dynasties, la naissance du système hiéroglyphique étant considérée comme un emprunt à la Mésopotamie. En réalité, ce système est le résultat d'une lente évolution amorcée bien avant les /'• et 11• dynastie. Dès 3800 avant J.-C. apparaissent des motifs décoratifs qui deviendront des hiéroglyphes. Juste avant l'apparition de la /'" dynastie, une trentaine de...
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Aménophis Ier et sa mère honorés tels des dieux
De nombreux sanctuaires étaient par ailleur s dédiés au grand roi à Thèbes -Ouest . Aménophis 1•• rend des oracles E n bon dieu, Aménophis 1• était également présent dans la vie quotidienne en rendant des oracles. Lors de certaines fêtes, ses statues étaient sorties en procession de ses chapelles. C'était l'oc casion pour la population de régler des différends . La ré ponse de l'oracle était prise très au sérieux, comme en t...
- Commentaire Sophocle Antigone
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Le mastaba : la maison des morts-vivants
la structure où sont placés le sarcophage ainsi que le ma tériel indispensable au mort. Après les funérailles, ce ca veau est muré avec des blocs de granit, et le puits est bou ché avec des débris . La face orientale des pre miers mastabas comportait une niche dans laquelle était placée une stèle imitant une porte fermée (stèle -faus se porte), sur laquelle étaient inscrits les noms et les titres du défunt . Devant cette stè...
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Un art rupestre du Sahara au Nil
sentant un personnage cou ché, les jambes repli ées, les bra s s ur la poitrine, vêt u d 'un pagn e et la tête repo san t s ur un appuie-tête a re lancé le débat. Ce type d'ob jet éta it en effet très utilisé dans l'Égypte ancie nn e dès les premières dynasties, et son usage s'est perpétué dans l'ai r e du Nil jusqu 'à no s jo ur s chez les nomades Bedja. Ce symbo lisme est d'autant plus frappant que, en Égypte mê me,...
- mort, histoire de la
- Égypte ancienne, art de l'
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Fig. 50
Coupe de la pyramide « rouge » de Snéfrou
À force d'être décrit, analysé etsondé, lebâtiment estbien connu :il est construit surune base de230 m, régulière à25 cm près, dontchaque côtéestorienté surunpoint cardinal; sapente estde51° 52', etilmesure 146,59 mde haut, auxquels ilfaut ajouter unpyramidion, probablement degranit, quidevait lecouronner. Les Égyptiens donnentpeudedétails surlestechniques deconstruction qu'ilsemployaient, maisl'onarrive quand mêmeàs'en faire uneidée d'après quelques représentations, lesvestiges archéologiques e...
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Fig. 17
Carte des nomes de Haute-Égypte.
les Égyptiens sepat, puis qâh
Fig. 18 Architecturecivileetmilitaire. On nesait rien del'organisation militairedupays, nide laconscription quin'est attestée queplus tard, mais on peut supposer quelesystème envigueur parlasuite estdéjà enplace. Quoiqu'ilensoit, onpeut sefaire une assez bonne idéedel'architecture d'aprèslesreprésentations deforteresses, leplan delaChounet ez-Zébib — la partie fortifiée d'Abydos —ou l'enceinte archaïque deHiérakonpolis. Pour l'architecture civile,onenest réduit essentiellement auxpions dejeux re...
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précolombiennes (civilisations).
orfèvrerie - Les techniques Les livres populaire (art) - tissu précolombien, page 4042, volume 8 précolombiennes (civilisations) - gants funéraires en or, page 4095, volume 8 précolombiennes (civilisations) - tissu de Chancay (Pérou), page 4096, volume 8 précolombiennes (civilisations) - urne cérémonielle représentant le dieu Chac (Mexique), page 4096, volume 8 Zapotèques, page 5662, volume 10 fécondité - figurine précolombienne en argile, page 1875, volume 4 Mayas - bas-reliefs de Cam...