1880 résultats pour "theories"
- La révolution microphysique
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Qu'est-ce que faire une expérience ?
donné qui comme tel se plie aux conditions que lui impose le sujet auquel il se donne. Pour Kant, on ne peut fairel'expérience que de ce qui peut être l'objet d'une intuition sensible dans l'espace et dans le temps, lesquels sont lesconditions de toute intuition possible. On ne peut faire l'expérience que des phénomènes, en tant qu'ils sonttoujours donnés à un sujet dans un cadre spatio-temporel. Ce qui ne se plie pas aux conditions que le sujet imposeau donné ne peut être l'objet d'aucu...
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Suffit-il d'être certain pour être dans le vrai ?
— Le rapport immédiat avec un objet passe d'abord par les sens. Je puis être certain de ce que je ressens — maisaussi bien la philosophie que l'histoire de la science m'avertissent que de cette certitude intime, il est dangereux deconclure qu'elle accompagne un jugement vrai sur l'objet. — Il existe en effet des erreurs de perception, ou de fausses perceptions (mirages, illusions des amputés) qui sontbien accompagnées de certitude. Dans de tels cas, la seule vérité que garantisse cette dernière...
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L'allégorie de la caverne, extrait de La République, Livre VII, Platon
Lefoul Virginie Tle S2 (explication 1ere partie) Au commencement de ce texte, Platon nous décrit des hommes enchainés au fond de la caverne. Ces hommes vivent dans le monde des apparences et des illusions. Effectivement, nous pouvons dire que la plupart du temps nous ne prenons pas en compte nos illusions et nous les prenons pour des réalités parallèlement aux hommes qui sont au fond de la caverne. " Des hommes dans une demeure souterraine, en form e de caverne, ayant sur...
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L'expérience et la pensée ?
L'expérience suppose la sensibilité. Dire que nos idées proviennent de l'expérience, comme le fait Locke (Essai surl'entendement humain), signifie qu'elles sont le résultat de ce que nous sentons ; mais c'est dire aussi que nous nepensons qu'en vertu de ce que l'expérience nous a permis d'observer. Notre pensée ne doit pas s'écarter des faits. Une solution consiste à affirmer que toutes les connaissances de l'homme, y compris les principes de la raison dérivent de l'expérience. C'est ainsi...
- La science
- pangermanisme
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La certitude d'avoir raison est-elle un indice suffisant de la vérité ?
L'essentiel pour atteindre la certitude d'avoir raison réside dans laméthode. « Méthode » est un mot qui vient du grec et qui signifie àl'origine « chemin » : c'est la voie qu'on emprunte pour mener sapensée, pour ne pas s'égarer. Si tous les hommes ont une raison égale,savent également marcher, il semble clair à Descartes que certainss'égarent, se perdent, dissipent leurs forces. Il y a une sorted'obsession cartésienne à ne pas se perdre. Pour un savant ou unphilosoph...
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- Grand cours: CONSCIENCE & INCONSCIENT (i de j)
- Article de presse: La mort d'Albert Einstein
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LE POINT DE VUE DYNAMIQUE EN PSYCHANALYSE)
83 Clefs pour la psychanalyse qu'aux environs de 1915, que ce sont les forces concourant à l'entretien de la vie qui entrent en conflit avec les pulsions sexuelles. A ces forces, il donne le nom de pulsions d'auto conservation, ou encore pulsions du moi, et celles-ci corres pondent, en nombre et en étendue, aux grandes fonctions organiques (nutrition, élimination, respiration, etc.). Nous laisserons de côté les questions qui...
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Les pensées de Platon dans «La Matrice»
sensible et le monde intelligible. En premier temps, il définit le monde sensible comme le monde où nous vivonsprésentement. Il explique que, selon lui, le corps animé, le vivant, est affecté par les objets sensibles représentésdans ce monde. Selon Platon, le monde sensible et devenir sont synonymes, donc il juge que si toute réalité est unmonde à en devenir, le monde se transforme et il est impossible d'y trouver une stabilité pour avoir uneconnaissance cohérente et certaine. Donc...
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LA CHIMIE (Sciences et Techniques)
chimie, beaucoup plus ancienne, qui ne concerne pas seulement la chimie appliquée, à laquelle nous avons fait allusion. Il existeaussi une histoire très ancienne de la chimie théorique, qui accompagne et, parfois, qui précède les études d'astronomie et demathématiques. Les premières théories chimiques sont une conséquence du « problème des origines », c'est-à-dire, de la tentative de donner uneexplication, rationnelle, à l'origine du monde. La plupart des peuples antiques s'aperçurent très...
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Peut-on parvenir à d'authentiques certitudes ?
de ce que l'expérience ne lui montre pas de manière évidente, telle que l'origine. C'est de cette manière qu'ilconstruit les hypothèses, "idées préconçues" qui doivent guider l'individu dans son investigation vers le Vrai. Lacroyance se substitue ainsi au savoir, précise Kant, puisque l'homme se base sur la croyance en ses certitudes pourprogresser. En tant qu'hypothèses, les certitudes demeurent des vérités subordonnées à la condition del'expérimentation. Comment l'homme...
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Explication texte Descartes "nous rendre comme maitres et possesseurs de la nature"
la théorie sert-elle en pratique, loin d'être coupée d'elle, l'argent, le gain servant à attirer l'attention du vulgaire surcette théorie pas si inutile qu'il la jugeait.La tradition des techniciens - L'antiquité est pleine de petites anecdotes reliant théorie et pratique, où lesdécouvertes sont motivées par le souci de résoudre des problèmes pratiques (ainsi Archimède devant faire ladistinction entre une couronne d'or pur et une de même poid mais coupée à l'argent), ou dont les co...
- Que vaut une preuve contre un préjugé ?
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NAUSÉE (la). Roman de Jean-Paul Sartre (résumé de l'oeuvre & analyse détaillée)
(la). Roman de Jean-Paul Sartre (1905-1980), publié à Paris chez Gallimard en 1938. La plus célèbre des œuvres de Sartre, traduite en une trentaine de langues, est paradoxalement celle qui a le plus coûté à son auteur et qui doit le plus à l'influence d'autrui. Lorsqu'il rencontre Simone de Beauvoir en 1928, Sartre a déjà élaboré sa théorie de la « contingence», mais sa formulation lui demandera dix années de travail, puisque, comme le note sa compagne, « il ne se facilitait pas la t...
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Le Moi, Le Surmoi et le Ça d’après Freud
Mais bien entendu, un tel choix ne peut-être définitif. Il y a nécessairement des réveils de la libido, et la puberté, par exemple, viendra tout remettre en question. L'essence de la cure psychanalytique est la découverte des éléments inconscients et refoulés, à travers une exploration approfondie du passé du patient. Dans la théorie de la personnalité de Freud, l'être humain est régi par trois entités mentales distinctes, le ″ça″, le ″moi″ et le ″sur-moi″. Le ″ça″ se trouve dans l'i...
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Cours de Droit des Obligations II
du préjudice. Le juge a tendance à être plus généreux envers les victimes de ce dernier scénario. Autre distinction : la responsabilité civile contractuelle (RCC) et la responsabilité civile extracontractuelle. Lorsque le dommage résulte de l’inexécution du contrat , le mécanisme qui s’applique pour corriger le dommage est celui de la RCC . Dans un cas contraire, c’est la RCE qui s’applique. Trois conditions sont à valider pour appliquer la RCC : la victime doit être partie au...
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Commentaire de texte Auguste Comte « Les gouvernants voudraient faire admettre la maxime qu'eux seuls sont susceptibles de voir juste en politique »
prétention de quiconque à « s'ériger en législateur ». Ainsi renvoyés dos à dos, les deux partis, bien que pour des raisons différentes, devraient commencer par reconnaître que la poli tique est une affaire de spécialistes. Tout individu qui assume le pouvoir est tenté d'affirmer qu'il lui appartient de « voir juste en politique » : cette justesse ne paraît -elle pas être, par défini tion, la condition du pouvoir ? Mais en face,...
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DUMARSAIS (César Chesneau, sieur)
il me t au point une démarche (la décons troction de l'ordre des mots latins), qui devait être attaquée par Pluche et par Chompré, et qui devait influer considéra blement sur ses théories ultérieures concernant la syntaxe. Son œuvre de gr ammairi en témoigne de ses options philosophiques. Dans sa Grammaire générale (publiée par Beall2ée en 1767) comme dans ses articles de l'Encyclopé die 1 « Césure », « Citations », « Conju gaison)), >. La marque de...
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Le savoir exclut-il toute forme de croyance ?
Il faut faire une grande différence entre croire et savoir, car certains croient savoir. A partir du moment où il n’y apas de preuve solide pour soutenir une théorie, plein de théories se mettent en place. La science ne peut pas apporter de réponses claires aux questions touchant au domaine de la métaphysique, etc’est d’ailleurs cela qui qualifie ces phénomènes de métaphysiques : s’ils étaient explicables ils seraientscientifiques. La science ne peut pas se substituer à la religion car e...
- Marx, Karl
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PHILOSOPHIE POLITIQUE ET MORALE CHEZ JOHN RAWLS
2 I) Dans ce premier moment du texte remet en place la vision de la philosophie politique contractualiste. Le contractualisme est un courant moderne de philosophie politique, que l’on peut trouvé chez des penseur comme Hobbes, Locke ou Rousseau, qui pense l'origine de la société et de l'État comme un contrat originaire entre les hommes, par lequel ceux-ci acceptent une limitation de leur liberté en échange de lois garantissant la perpétuation du corps social. Le contrat social présuppo...
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- OBJECTIVITE
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Les sciences construisent-elles leur objet ?
Transition : L'impossibilité d'invoquer un verdict absolu en matière scientifique et les multiples remises en cause des théories scientifiques réfutent-elles le réalisme scientifique ? La science considérée comme un outil. 2.a) L'histoire des sciences tend à infirmer le réalisme. Si l'on prend par exemple les systèmes astronomiques, nousconstatons que le système astronomique de Ptolémée, qui plaçait la Terre au centre de l'univers, était dans sesprévisions quasiment aussi efficace que celui de...
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Science et philosophie
La pensée théorique se constitue dans le prolongement des activités pratiques. Passage de la science à la philosophie La science s'oppose à l'art qui, comme le dit Platon, porte sur le contingent : en effet, selon lui, « toutes les opérations des divers arts sont poésie », « les artisans sont tous des poètes ». Poésie > poiein, faire, créer. Ainsi, si l'art se définit comme créateur, il porte sur ce qui peut aussi bien être que n'être pas, c'est-à-dire sur le contingent. La scienc...
- ARISTOTE (384-322 av. J.-C.): Organon, Livre III, Les Premiers Analytiques
- Klein (Melanie)
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LA PHYSIOLOGIE (Sciences et Techniques)
LA PHYSIOLOGIE GÉNÉRALE : CLAUDE BERNARD Dans sa tentative de rassembler en un corps unique de connaissances les manifestations communes des êtresvivants, le savant français Claude Bernard (1813-1878) fonde au XIX e siècle la physiologie générale. Du moment où il obtient son doctorat de médecine, en 1843, jusqu'à sa mort, Bernard étudia de très nombreuxproblèmes de physiologie, apportant chaque fois de nouvelles solutions. Mais c'est du point de vue de laméthodologie que la contributi...
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La science découvre-t-elle ou construit-elle son objet ?
Corrigé posté par: [email protected] [Introduction] On désigne la connaissance scientifique par le terme de «recherche». Si la science est ainsi l'affaire de chercheurs,c'est qu'elle n'invente pas les vérités qu'elle énonce. Celles-ci préexistent à leur découverte, elles sont inscritesdans la nature elle-même et le scientifique ne fait que dévoiler ce qui est depuis toujours. Inversement, le mot de«recherche» souligne le rôle actif joué par le sujet. Celui-ci n'attend pas que la nature l...
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La société et le droit - PHILOSOPHIE POLITIQUE
certains arguments aristotéliciens formulés dans La Politique concernant la priorité et la primauté de l'État. PourPlaton & Aristote la question des causes du pouvoir politique ne saurait se substituer à la question des fins dupouvoir politique à laquelle d'ailleurs est subordonnée toute réflexion sur la nature du pouvoir lui-même. Les philosophies politiques de Platon et Aristote ne sont ni assimilables ni proches mais elles se situent toutes deuxdans le même horizon d'interrogations politi...
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- traumatisme et psychanalyse
- Hutton, James.
- Tout ce qu'il faut savoir sur l'inconscient
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Maurice Merleau-Ponty
par Stéphanie Dupouy
La philosophie de Merleau-Ponty est un effort pour penser l'unité profonde
de la conscience et du corps, de l'esprit et de la matière, du sens et du
monde.
par Stéphanie Dupouy
- Lamarck, Jean-Baptiste - savants et scientifiques.
- Lamarck, Jean-Baptiste - Biologiste / Naturaliste.
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La coordination dans la communication
quelqu’un et si ce dernier les a bien compris, c'est-à-dire s’il y a correspondance entre ce qui est dit et ce qui est fait. Selon Searle et Austin : prononcer une phrase, c'est accomplir simultanément trois sortes d'actes : un acte locutoire (articuler et combiner des mots), un acte illocutoire (Instaurer un certain rapport avec des interlocuteurs, qui ne se réalise que si certaines conditions d'ordre social sont rassemblées), et un acte...
- L'hypothèse de l'inconscient est nécessaire, légitime et prouvée
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Qu'est-ce que la lumière ?
trant, à l'inverse de son prédécesseur, que la lumière pou vait être considérée comme une onde. Cette théorie ondu latoire, Huygens put l'utiliser pour expliquer de nom breuses propriétés de la lumière, mais, comme la théorie corpusculaire de Newton, ce système comportait certains points faibles. En particulier, Huygens ne put jamais ex pliquer pour quelle raison la lumière se propageait tou jours d'une manière parfaitement rectiligne. Les deux thé...
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Niels Bohr (Sciences & Technique)
de toutes les parties du monde. Les congrès qu'il organisa périodiquement contribuèrent efficacement à abolir lesbarrières d'autrefois entre la science des divers grands pays. Au moyen de ces réunions et des conférences qu'ildonna dans les grands laboratoires du monde, Bohr fit progresser la notion de l'unité de la science. En même temps,il répandit l'influence des nouvelles méthodes quantiques, qui pendant ce temps continuaient à se montrer de plusen plus utiles. Dans son travail initial Bohr d...
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Vérité et utilité ?
nouvelles découvertes aux anciennes et n'auraient jamais à remanier leurs principes, leurs concepts et leursméthodes. Or, elles ne progressent au contraire qu'en réfutant ou en rectifiant sans cesse leurs acquis antérieurs.Ainsi, les vérité: scientifiques d'aujourd'hui déclassent ou refondent celles d'hier et seront les «erreurs» de demain :on sait que les théories d'Einstein n'ont pas réfuté la physique de Newton, mais, pour une part l'ont complétée, pourune autre, l'ont rectifiée et rela...
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L'expérience scientifique doit-elle rompre avec l'expérience immédiate ?
avec l'empirisme, que c'est en observant la nature qu'on peut en dégager les lois et les vérifier. Contre cette idée,Kant veut mettre en évidence le rôle actif de la raison dans la construction scientifique du monde. S'il ne peut yavoir véritablement de rupture avec l'expérience immédiate c'est bien parce tout notre savoir ne commence qu'avecl'expérience. Toutefois, l'expérience en elle-même ne suffit pas à nous faire connaître quoi que ce soit. L'empirisme atrop insisté sur l'aspect passif du...
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L'expérience est-elle la seule source de nos connaissances ?
lorsque, grâce à un doute totalitaire, nous avons réussi à « détacher l'esprit des sens » et à lui rendre sa pureté native. A l'opposé de l'empirisme, le rationalisme dogmatique affirme que l'esprit humain possède en lui-mêmetoutes les conditions de son savoir a priori, cad antérieurement à toute expérience. Une première solution consiste à affirmer que la raison est une donnée première qui ne doit rien à l'expérience et quel'homme en possède congénitalement les principes. Toute u...
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Philosophie
II. Une discipline à la portée de tous ? 1) Le degré zéro de la philosophie N’importe qui est capable, avec des efforts, d’apprendre des dates marquantes de l’histoire de la pensée. Répondre par des préjugés, des clichés, des évidences. Les choses sont toujours beaucoup plus compliquées, nuancées, surprenantes, qu’on ne croit. Omettre ces nuances, ces facultés, cette complexité, revient à se cantonner dans le connu, l’habituel, les fausses certitudes détruites par Popper mais si confort...
- HYSTÉRIE (psychanalyse)
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La connaissance commune est-elle, pour la connaissance scientifique, un point d'appui ou un obstacle ?
[III - La connaissance commune comme obstacle épistémologique] Comparer les principaux caractères des deux connaissances, c'est constater sans attendre qu'elles s'opposent l'uneà l'autre. Ainsi peut-on considérer que, pour la connaissance scientifique, la version commune de la connaissance nepeut jamais proposer un point d'appui, mais qu'elle constitue bien un obstacle. « ... Devant le réel le plus complexe, si nous étionslivrés à nous-mêmes c'est du côté du pittoresque, dupouvoir évocateur...
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- droit civil
- En quoi Candide est un conte philosophique ?