4320 résultats pour "conscience"
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Définition: AFFRANCHISSANT, -ANTE, participe présent et adjectif.
Il les avait présents, savait leur nom, leur âge et l'heure de leur libération. JULES MICHELET, L'Oiseau, introduction, 1856, XXV. b) Plus généralement. Rendre quelqu'un indépendant, libérer (sa conscience, etc.). — [L'objet direct désigne une personne ou une collectivité] :
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KANT: le principe moral du devoir
en toute bonne foi, nous ne pouvons pas avoir conscience des «mobiles secrets» qui sont, dans les faits, le«moteur» de notre action. 3. La valeur morale d'une action n'est jamais assurée puisqu'elle réside dans l'intention qui estinconnaissable A. La morale n'est pas la prudenceEn effet, le mobile subjectif de nos actions n'est pas observable: «On ne le voit pas». On peut constater le résultatde notre action, on peut réfléchir aux moyens de la réaliser, on peut mesurer son effi...
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Le travail transforme-t-il la nature de l’homme ?
et parfois à des fins commerciales, seraient susceptible de produire un effet sur l’homme et donc d’envisager sa transformation, son évolution ? Et donc que le travail développe l’homme. Nous pouvons prendre comme exemple pour présenter notre argument que depuis le début de la vie des hommes nous ne faisons que d’évoluer en commençant par les outils dédier à la chasse crées par les hommes pour les aider à être plus rapides, puis nos avons créer des maisons, et pleins d’autres outils qui n...
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Sartre et l'héritage de Hegel et de Husserl
L'essence des phénomènes Par exemple, l'essence du triangle est l'ensemble de ses propriétés, sans lesquelles il ne serait pas. Cette essence est indépen dante des particularités (la couleur, la taille, etc.) et n'est accessible qu'à une pensée capable de s'en libérer. La méthode est descripti ve : elle ne vise pas ce qui doit être, mais ce qui est. Il y a une réalité vécue par la conscience, que cela concerne les raisonnements de la science ou la...
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Comment penser la condition humaine ?
Plan Introduction 1.- L'homme comme« partie du monde» II. -L'homme comme « conscience constituante du monde » III. -Comment penser la condition humaine ? Conclusion CORRIGÉ [Introduction] Comment penser l'homme dans le monde? Le problème n'est pas récent, il traverse même l'histoire de la philosophie dans son ensemble. Merleau-Ponty propose dans ce texte de résumer les différentes concep tions qui ont pu être formées en deux tendances principales : d...
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« Peut-on se connaître soi-même?
l'homme ne vivant et n'éprouvant la réalité qu'à partir de ses sensations, on peut dire que ces dernières constituent le fondement de la connaissance. On ne peut avoir l'idée d'une chose simplement parce qu'on en a connu un équivalent à travers nos sens. Dans cette optique, on peut dire que l'homme peut se connaître soi-même car la connaissance du monde, qui inclus la connaissance de soi, est le fruit de notre expérience sensible, qui nous est propre. Connaissance de soi et connaissance d...
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THÈME : Le temps
A Le temps vécu 1 . Le changement perpétuel transforme le } Irrationalité présent en passé. de ce changement 1 2 • Le temps vécu est irréversible : il est } Caractère 1 celui de la dégradation et de la mort. décevant de cette 1 irréversibilité 3 • Le temps vécu est celui de la conscience, se projetant en avant, vers l'avenir, avenir insaisissable et imprévisible. 4 • Il s'agit ici d'une durée concrète, s'offrant à mon intuition et d...
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Ordre public et ordre moral.
dans l'instauration d'un ordre moral. B/ Un contrôle de proportionnalité entre moralité publique et ordre moral. Les nécessités de l'ordre public obligent parfois les autorités de police administrative générale à porter atteinte à l'exercice d'une liberté publique voir l'interdire. Leconseil d'Etat l'admet difficilement, mais par la jurisprudence Benjamin de 1933, il autorise ces atteintes que dans la stricte mesure où elles sont nécessaire aumaintient de l'ordre. Le conseil d'Etat soumet à l'ad...
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Qu’est-ce que distingue le personnage principal d’un roman d’un véritable individu ?
particuliers susceptibles de suggérer des traits psychologiques. Par exemple Bianchon qui représente les médecins ou le marquis de Ronquerolles qui représente les impertinents dans La Comédie Humaine. D’autre part, les romanciers tentent de décrire précisément les personnages, des caractères qui sont donc complexes car personne n’est vraiment héroïque. N’être qu’héroïque est caricatural. Or les romanciers réalistes voulaient être justement « réalistes » et représenter l’ho...
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Connaissons-nous par la seule raison ?
pour l'objectif [...] ; et ainsi il en vient à prendre le phénomène pour l'expérience et à tomber par là dans l'erreur, comme en une faute de l'entendement, non comme en une faute des sens.KANT3.Remise en question de l'a priori selon lequel toute connaissance commence par l'expérience :Cependant, percevoir, est-ce savoir ? L'enfant qui voit la mer sait-il qu'elle est bleue ? Et, même, la voit-il bleue ? Il est possibled'avancer en effet l'hypothèse que l'enfant ne reconnaît à la mer la caractér...
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L'homme injuste peut- il heureux ?
a faite n'est pas bonne ». Cette tristesse que rappelle Descartes met en lumière le malheur de l' être injuste, de celui qui a conscience du tord caus é à autrui et à la soci été tout enti ère par le fait m ême d'avoir contrevenu aux lois. De ce fait, l' être injuste semble être condamn é au malheur, rong é par le remords. Et pourtant, l'acte qu'il a commis n' étaitil pas pr émédit é, ou tout du moins fond é ? En effet, consid érer l'Homme comme responsable de ses ...
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La pitié, sentiment altruiste ?
notre tour dans la situation où notre pitié s'exerce. D'ailleurs, qu'attendre, quand nous les assistons, du vagabond,du grand vieillard, de l'agonisant ? La pitié serait égoïste en ce sens plus profond que, communiant avec lasouffrance d'autrui, nous le soulageons pour ne plus souffrir nous-mêmes. Mais l'égoïste est précisément celui quireste fermé à la souffrance d'autrui et peut regarder d'un oeil froid un mal qui lui demeure étranger. B) LES CONSÉQUENCES EN SERAIENT FUNESTES. La pit...
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Baruch Spinoza : LETTRE LVIII À SCHULLER
Je passe maintenant à cette définition de la liberté que votre ami dit être la mienne 1. Je ne sais d'où il l'a tirée. J'appelle libre, quant à moi, une chose qui est et agit par la seule nécessité de sa nature ; contrainte, celle qui est déterminée par une autre à exister et à agir d'une certaine façon déterminée. Dieu, par exemple, existe librement bien que nécessairement parce qu'il existe par la seule nécessité de sa nature. De même aussi Dieu se connaît lui-même et connaît toutes chos...
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Ordre et désordre
• On peut comprendre de la même façon l'origine de l'homme : comme une suite d'erreurs et d'écarts qui mènentfinalement jusqu'à la constitution ordonnée qu'est l'homme. • Edgar Morin formule ainsi cette pensée : « Nous voyons que l'ordre biologique, c'est-à-dire les invariances, constances, règles, régularitéspropres aux phénomènes vivants, n'a pu se constituer qu'après une longue et marginale évolutionphysico-chimique, et dans des conditions d'existence temporaires, locales et précaires, qui s...
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Nier la Liberté est-ce retirer toute signification à la morale ?
De même, pour Kant, c'est l'impératif catégorique, la loi morale qui nous dit ceque nous devons faire, et nous avons juste à obéir à ses prescriptions. Selon Kant, la volonté n'obéit pas toujours naturellement à la raison. Dans cecas la raison exerce une contrainte sur la volonté. Cette contraintes'appelle un impératif. Les impératifs sont de deux sortes :— les impératifs hypothétiques expriment la nécessité pratique de certainesactions considérées non en elles-mêmes mais pour leurs résultats,...
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N'est-on moral que par intérêt?
- Du point de vue hobbesien, nous ne sommes donc moraux que par intérêt, pour parvenir à mettre en acte ces lois de nature qui nous guident, et qui n'ont pour objectif que nous-mêmes. Lefait que seul le pouvoir du souverain dans l'Etat civil garantisse la réalité concrète de ces loismorales en imposant la crainte du châtiment prouve bien que c'est le seul intérêt qui nous amèneà la morale. L'évidence du fait moral et du sens du devoir. 2. - On ne peut toutefois s'...
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Désobéir peut-il etre un devoir ?
[Si l'on désobéit, c'est par nécessité vitale. Le devoira une autre dimension; une dimension purement éthique.C'est m'obliger, en tant qu'être de raison, à respecter la loi, celle qui sert la cause de l'homme.] L'injustice est cause de désordreL'homme ne peut pas faire autrement que de désobéir, à partir du moment où l'autorité à laquelle il est soumis le dépossède de tous ses droits. Mais l'on ne peut pas dire qu'il agit par devoir. Il agit par instinct de survie. Le devoir a unedimension qui d...
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Le Devoir
• Les conflits de devoir : Kant ne résout pas tous les conflits et embarras de notre vie quotidienne → Aujourd'hui par exemple, les choix auxquels se trouvent parfois confrontés médecins et savants, compte tenu des développements récents de la recherche biomédicale, posent des problèmes que l'on peut difficilement résoudre a priori. Une approche utilitariste l'emportera sur une position de principe. Progrès de la science et des techniques → nouvelles responsabilités et devoirs. ...
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L'art : une perception étendue de BERGSON
les grands peintres nous en ont tracée? -C'est vrai dans une cer taine mesure; mais, s'il en était uniquement ainsi, pourquoi dirions nous de certaines œuvres -celles des maîtres -qu'elles sont vraies? Où serait la différence entre le grand art et la pure fantaisie? Approfondissons ce que nous éprouvons devant un Turner ou un Corot : nous trouverons que si nous les acceptons et les admirons, c'est que nous avions déjà perçu que...
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Vocabulaire:
COMPLEXITÉ, substantif féminin.
ANATOLE-FRAN?OIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Les Dieux ont soif, 1912, page 169. ? Par m?tonymie. ? Rare. Ensemble complexe de. Une complexit? de facteurs. ? Au pluriel. Ce qui est complexe?: ? 4. Ce code, si l'on en jugeait par l'ent?tement soudain qu'elle mettait ? ne pas vouloir faire certaines commissions que nous lui donnions, semblait avoir pr?vu des complexit?s sociales et des raffinements mondains tels que rien dans l'entourage de Fran?oise et dans sa vie de domestique de...
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L'homme a-t-il perdu le sens du sacré ?
- L'homme contemporain n'est pas totalement sorti de ~ 1 l'univers c du sacré ·~[•]~· Le sacré n'appartient pas au passé. S'il n'est plus directement attaché à la religion, il ressurgit sous d'autres formes. L'homme contemporain n'a pas toujours conscience d'agir comme le faisaient ses ancêtres. Les dates de l'his toire ne correspon dent pas à l'his toire des mentalités M ircea Eliade, pré sentant dans son livre les différent...
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Bergson, l'âme et le corps (1912), in l'Energie spirituelle
soumis à la loi de gravitation universelle notamment, tombant lorsqu'ils sont lâchés, ainsi qu'à toutesles lois concernant le mouvement, étant mis en mouvement par un choc avec un autre corps estcontinuant ce mouvement tant qu'aucun corps ne se met en travers de leur chemin. Tout corps semeut mécaniquement est ce fait cause du mouvement d'un autre corps ou effet d'une cause qui lemeut à son tour. § Aussi le corps est-il pure extériorité, ne se mouvant que par l'action et le choc d'autres corps...
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Commentez cette pensée de Françoise Sagan : « LA CULTURE, C'EST CE QUI RESTE QUAND ON NE SAIT RIEN FAIRE ». ?
N'est-elle pas l'expression de l'intelligence elle-même qui jouit de sa propre clarté en bâtissant les « belles chaînesde raison » et vérifie son pouvoir dans les applications techniques ? Et comprenons qu'on ne se fait pas une idée agénérale » de telle ou telle science. Dans ce domaine, on ne connaît rien si on ne connaît pas le détail, si on ne suitle raisonnement en toutes ses articulations. Une équation ne se comprend pas « en gros ». Descartes déjà rejette lanotion littéraire et aristotélic...
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Parler est-ce penser ?
existence la plus haute et la plus vraie. » 1. La thèse est examinée en chacun de ses éléments. D'abord la pensée. Penser c'est avoir conscience depenser, ce qui implique un dédoublement. Si naïvement toute pensée, en tant que personnelle (« nos pensées »), est crue de l'ordre de notre intériorité (et strictement seulement de cet ordre), philosophiquement, elle est aussi de l'ordre de l'extériorité (et donc différenciée de l'intériorité). Penser est une activité (« donner »à nos pensé...
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La notion d'inconscient psychique est-elle contradictoire ?
Ce qui est en jeu, pour Alain, c'est un conflit sans cesse recommencé entre les passions (l'inconscient) et la raison(le conscient), ou, plus simplement encore, entre le corps et l'esprit. Les partisans de l'inconscient estiment sansdoute que les signes qui viennent du corps sont des pensées qui méritent d'être interprétées ; pour les tenants durationalisme, il n'y a de pensées véritables qu'en liaison avec une extrême attention. Une « pensée qui n'est pointformée en pleine attention » n'est pas...
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La parole en action aux xixe et xxe siècles
ne peut être surmontée seulement par des lois. C'est ce qu'expérimentait Montesquieu en faisant de la « vertu '' le principe de la république. Avec lui, Rousseau, Robespierre, Jaurès ont eu conscience de la nécessité de cet horizon spirituel de toute pensée et de toute action politique. C'est donc la marche et le jeu des classes sociales depuis 1789 que nous voudrions retracer à grands traits. Il est toujours un peu arbitraire de marquer des limites, d...
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Vérité et interprétation de H. G. GADAMER
expliquer par des lois que d'interpréter le sens des actions et des œuvres des hommes. C'est la tâche de /'herméneutique*, ou science de l'interprétation (du grec hermeneuein, "interpréter"). Les études qu'on va lire traitent du problème herméneuti que. Comprendre et interpréter correctement ce qui est com pris, ce phénomène ne constitue pas un problème spécialisé qui ne concernerait que la méthodologie des sciences humaines( ... )....
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l'Homme est-il naturellement artiste ?
Parmi toutes les productions humaines, l'art occupe une place singulière. S'il comporte une part de technique, il nese réduit pas à un artisanat puisque sa vocation n'est pas utilitaire. Il est le libre témoignage de l'esprit humain, deses interrogations, de ses croyances, de sa manière de déchiffrer le monde. L'art n'est donc pas naturel, ni au sensoù il aurait pour vocation d'imiter la nature, ni au sens où sa dynamique relèverait d'un élan inné, d'une spontanéitéétrangère à l'acquis culturel....
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Définition du mot:
APPRÉHENSION1, substantif féminin.
philosophie (ANDR? LALANDE))?: ? 3.... plus et mieux que bien des historiens post?rieurs, il a su apercevoir l'analogie qui apparente toutes les cr?ations de l'imagination humaine, reconna?tre dans les grands mythes collectifs, aussi bien que dans les visions des po?tes et dans les intuitions des songes, une seule et m?me appr?hension de l'univers par une conscience diff?rente de notre conscience diurne. ALBERT B?GUIN, L'?me romantique et le r?ve, 1939, page 113. ? 4. Au sujet des ? visions...
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Peut-on être libre sans le savoir ?
« Que le vouloir apparaisse comme absolu, c'est un fait de la conscience ; chacun le trouvera en soi, et à celui qui ne le sait pas déjà, on ne peut pas l'introduire de l'extérieur. Toutefois, il n'en résulte pas qu'il soit interdit depousser plus loin l'explication de ce phénomène et de le déduire ; ce faisant, ce serait l'absoluité même de cephénomène qui serait expliquée, et elle cesserait donc d'être absoluité, et son phénomène se transformerait enapparence [...]. Sans do...
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La passion est-elle une erreur ? une faute ? un pêché ?
Dissertations 61 ou l'ambition pourraient être en eux-mêmes plus déraisonnables qu'une grippe, qui n'est pas une erreur mais un fait. C'est pourquoi il paraît nécessaire de se demander si la passion est vraiment une erreur. I - Passion et ignorance a) L'homme en proie à une passion est amené à se comporter partialement à l'égard de lui-même. Il ne prend en compte qu'une partie de ses désirs et sacrifie la plupart d'entre eux sur l'autel...
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Suis-je vraiment autre qu'autrui ?
a) Fondement anthropologique de la sympathie Selon le schéma à 4 termes mentionné précédemment, ma séparation avec l'autre repose sur un dualisme âme/corps. Ainsi, pour expliquer que je ne suis pas autre qu'autrui au sens où nous serions séparés, que nouspouvons donc communiquer, il faut concevoir qu'une médiation, par-delà nos corps, entre nos esprits est possible.Tel est ce que fait Hume en élaborant son concept de sympathie. La définition humienne de la sympathie repose...
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Les concepts de la philosophie de Sartre
Vocabulaire possible» (E.H., p. 47). Le désespoir ne nous mène pas en conséquence à l'inaction, mais à un engagement lucide et sans illusions, pour lequel il n'est rien qui soit certain a priori. Engagement : L'engagement découle de notre être-dans-le-monde et de la néces sité pour nous de choisir parmi les possibles que définit notre situation. Cet engagement n'est jamais seulement personnel mais par mon choix j'engage l'humanité entière car «...
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La croyance en l'inconscient relève-t-elle d'un acte religieux ?
Oui, cela est vrai de l'homme à qui vous avez instillé dès l'enfance le doux - ou doux et amer - poison. Maisde l'autre, qui a été élevé dans la sobriété ? Peut-être celui qui ne souffre d'aucune névrose n'a-t-il pasbesoin d'ivresse pour étourdir celle-ci.Sans aucun doute l'homme alors se trouvera dans une situation difficile ; il sera contraint de s'avouertoute sa détresse, sa petitesse dans l'ensemble de l'univers.Il ne sera plus le centre de la création, l'objet des tendres soins d'une provid...
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« Mon champ, dit Goethe, c'est le temps.
tout leursens qu'àlaconsidération deleurs contraires. Unsurnuméraire auxPostes estl'égal d'un conquérant sila conscience leurestcommune. Touteslesexpériences sontàcet égard indifférentes. Ilen est quiservent oudesservent l'homme.Ellesleservent s'ilest conscient. Sinon,celan'apas d'importance : lesdéfaites d'unhomme nejugent paslescirconstances, maislui-même. Je choisis seulement deshommes quinevisent qu'às'épuiser oudont j'aiconscience poureuxqu'ils s'épuisent. Celanevapas plus loin. Jeneveux pa...
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Cours sur l'inconscient
Par exemple, le livre perdu, offert par sa femme, au moment où les relations avec le mari étaient quelque peu houleuses (charge négative), mais retrouvé au moment ou leur relation s'arrange. C'est l'inconscient qui, dans certains cas, nous fait oublier. Le conscient serait visible dans la partie psychique alors que l'inconscient est invisible. Les rêves C'est la voie royale de l'accès à la conscience. L'inconscient se manifeste plus souvent, toutes les nuits, car chaque nuit, nous r...
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l'ignorance est-elle un obstacle à la liberté ?
Mais descendons aux choses créées qui sont toutes déterminées par des causes extérieures àexister et à agir d'une certaine façon déterminée. Pour rendre cela clair et intelligible, concevonsune chose très simple : une pierre par exemple reçoit d'une cause extérieure qui la pousse, unecertaine quantité de mouvement et, l'impulsion de la cause extérieure venant à cesser, ellecontinuera à se mouvoir nécessairement. Cette persistance de la pierre dans le mouvement estune contrainte, non parce q...
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Puis-je connaître le point de vue d'autrui ?
je peux connaître l'autre en ce que lui et moi sommes également des êtres passionnels : « les passions sont si contagieuses qu'elles [...] produisent des mouvements correspondants dans tous les corps humains ». Le point devue de l'autre, la place qu'il occupe dans le monde peut devenir mienne et m'être connu pour autant que son pointde vue, au moyen des passions qu'il comprend, peut me « contaminer ». Mais comment ? b) la sympathie :Hume dit bien que le point de vue de l'autre n' est pas l...
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Sans rapport a autrui, y aurait-il des passions ?
comme les autres une altérité sans conscience, sans raison, sans fins propres. Transition : Le rapport passionnel à autrui ne se réduit-il pas au rapport à l'objet ? 2 . Les passions en tant qu'elles sont excessives, nient la particularité du rapport à autrui. a) Pour l'homme passionné, autrui n'est bien souvent que le moyen de l'assouvissement de sa passion. C'est évidentdans le cas du désir sexuel par exemple. Mais il en va également ainsi pour les autres passions dont la satisfactiondépend...
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Explication de texte: Henri Bergson, L’É.nergie spirituelle
Les clés pour réussir Bien comprendre le texte Plan du texte • La premi ère phrase affirme un écar t entre la vie et la ma tière brute. • Les deux phrases suivantes caractérisent l'univers matériel : il est sou mis à des « lois fata les» et à un déterm inisme global qui permet science et calcul, c'est-à-dire prévision de ce qui peut avoir lieu. • Au contrai re, l'ap parition de la vie sign ifie liberté (indétermi nation) et impr évisibili té. En...
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Comprend-on mieux ce dont on connaît l'histoire ?
I L'être est ce qui est en permanence Parménide: la réalité physique ne permet pas le changement. L'être est ce qu'il est permanence c'est à dire que d'unpoint de vue scientifique on tire une connaissance de la chose par expérience. Ce n'est qu'en observant un objetdans le temps, ses diverses réactions que l'on peut de mieux en mieux le connaître. Le temps est le meilleur allié dela science de la nature. "L'histoire, c'est cela: un moyen de comprendre et, par là même d'agir sur le cours des évén...
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développe dans Les lois de l'imitation (189o); La Logique sociale (1893); L'opposition universelle ( 897) ; L'opinion et la foule (i9ox), etc.
dont nous faisons partie conservent leurs souvenirs à l'intérieur de « cadres sociaux » qui leur sont propres. L'Essai sur la topographie légendaire des Evangiles en Terre Sain te ( 1 942) est une étude de la mémoire collective à propos d'un cas particulier. Dans la dernière partie de sa vie, Halbwachs a surtout été préoccupé par les problèmes de la morphologie et de la démographie sociales. La statistique appliquée à l'étude de la popu...
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Tout savoir sur Karl MARX…
1844) ; il ne se sent plus librement actif que dans des fonctions séparées de son activité proprement humaine (senourrir, boire, procréer etc.). Rien de différent dira-t-on, entre cette analyse et la dénonciation morale del'exploitation par les poètes et les romanciers (Victor Hugo, Dickens), voire la philosophie de Kant, qui reconnaît dansl'être raisonnable une fin en soi. Mais Marx entendit fonder scientifiquement cette critique de l'exploitation. Au lieud'éclairer les ombres du réel p...
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Le pouvoir des mots : mythe ou réalité ?
Problématisation Le pouvoir des mots : mythe ou réalité ? Cette question est moins question qu'alternative. Il nous invite à nousinterroger sur le caractère réel ou fictif du pouvoir des mots. En effet en ces temps de campagne électorale, on atendance à se dire que le pouvoir des mots semble et bien exister tout du moins dans la rhétorique politique oupoliticienne. Semble dès lors qu'il ne semble pas omnipotent dès lors que dans son pouvoir premier qui serait celui designifier, de rendre, semble...
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Sur quoi se fonde le sentiment d'identité
de l'unité de l'objet, c'est à dire de sa substance, laquelle est une certaine force qui maintient unifiée sespropriétés. · Transition : cependant, cela présuppose un univers dans lequel nous postulons des substances derrières les apparences, lesquelles pourtant ne nous donnent jamais cette unité substantielle. Nos sensn'ont pas d'accès à l'identité cachée des choses. 2. Mais cela suppose une théorie de l'individuation contestable. · Ainsi, on peut...
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Kant: La raison est-elle facteur de liberté ?
2 - Le manque de volonté pour raisonner par soi-même.3 - Ce pouvoir leur est volontairement délégué par ceux qui leur obéissent. [1] "Les Lumières sont la sortie de l'homme de la minorité où il est par sa propre faute. La minorité estl'incapacité de se servir de son entendement sans la direction d'autrui. Cette minorité, nous la devons ànotre propre faute lorsqu'elle n'a pas pour cause un manque d'entendement, mais un manque de décisionet de courage pour se servir de son entendement sans la dir...
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L'humorisme dans Feu Mattia Pascal de Pirandello
I. L'humorisme Il y a deux éléments nécessaire à l'humorisme : le sentiment du contraire, et le processus de création artistique qui doivent être mis en relation. (les images inconscientes) A. Substance et définition Dans une situation, le comique est la constatation du contraire, alors que l'humorisme est le sentiment du contraire. C'est à dire les sentiments provoqués par la réalisation du contraire de la situation. A la page 288, on a l’occurrence du rire énorme. Ce rire est la consé...
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L'art a-t-il plus de valeur que la vérité ?
SOCRATE: Et maintenant en tout cas, ce sont bien ces opinions-là qui ont été, à la manière d'un rêve, suscitées en lui;puis, s'il arrive qu'on l'interroge à plusieurs reprises sur les mêmes sujets, et de plusieurs façons, tu peux être certain qu'ilfinira par avoir sur ces sujets-là une connaissance aussi exacte que personne.MÉNON: C'est vraisemblable.SOCRATE : En ce cas, sans que personne ne lui ait donné d'enseignement, mais parce qu'on l'a interrogé, il en arrivera àconnaître, ayant recouvré l...
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connaissance de soi
identité dans son essence propre, c'est à dire sa spécificité, ce qui fait que je suis moi et pas un autre. Descartes nous indique les outils additionnels nécessaires à cette connaissance dans son arbre de la connaissance (Discours de la méthode II) : « les racines font la métaphysique, le tronc est la physique et les branches (.) sont toutes les autres sciences qui se réduisent à trois principales, à savoir la médecine, la mécanique, et la morale » Si l'on adhère à la pensée cartésienne, les s...
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La liberté de l'esprit a t-elle pour condition le travail ou le loisir ?
industriel, le travailleur perd la maîtrise de l'ensemble du processus et de l'ensemble des moyens techniques :devenu parcellaire, son travail ne maîtrise plus la machine mais au contraire se trouve maîtrisé par elle : « Dans lamanufacture et le métier, l'ouvrier se sert de son outil ; dans la fabrique il sert la machine », ajoute Marx.Dans le travail social, la technique prive l'homme de la jouissance de la communication et du choc en retour, caddes moyens de sa libération. Pourtant, la...