5414 résultats pour "liberté"
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Qu'est-ce que l'existentialisme ?
s'occupe des utilités. On se demande ce que ferait une philosophie si elle n'explorait l'existence et les existants.Cependant, on attache plus volontiers le nom d'existentialisme à un courant précis de la pensée moderne. En termestrès généraux, on pourrait caractériser cette pensée comme une réaction de la philosophie de l'homme contrel'excès de la philosophie des idées et de la philosophie des choses. Pour elle, non pas tant l'existence dans touteson extension, mais l'existence de l'homm...
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La tolérance suppose-t-elle que toutes les opinions se valent ?
• Développement. Deuxième partie : en quoi la tolérance peut-elle impliquer le relativisme ? Avant toute chose, une question primordiale : qui tolère quoi ? Est-ce une autorité bien définie, dont un homme, ouun groupe d'hommes, serait dépositaire ? Ou bien est-ce l'ensemble de la communauté humaine, comprise dans lesexigences qui la fondent ? L'étymologie stricte fait pencher vers la première acception, mais la seconde, largementretenue par la philosophie politique, est devenue assez habituelle....
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Mon droit dépend-il de ma force ? Ai-je autant de droit que j'ai de force ?
par l'effet de la coutume et notamment de l'imagination. Transition : Ainsi ma force crée mon droit dans le sens où il n'est qu'une extension de ma liberté sur toute chose. Ma liberté,mon emprise sur toutes les choses qui m'environnent ne trouvent sa limite que dans ma force d'appropriation. C'esten ce sens que se développe ce qu'on pourrait nommer un droit du plus fort. II – L'absurdité d'un droit du plus fort a) Il semble paradoxal de considérer une identité entre le droit et l...
- Vers une suppression du juge d'instruction?
- EXTRAITS DE LA PHILOSOPHIE DE ROUSSEAU ET DE TOCQUEVILLE
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YOURCENAR (Marguerite de Crayencour, dite Marguerite)
d'Hadrien pour AntinoOs en est le princi pal moteur ( « Le beau lévrier avide de caresses et d'ordres se coucha sur ma vie >>). Après les essais de Sous bénéfice d'inventaire (1962; repris et augmentés en 1978), nouveau coup d'éclat en 1968 : l'Œuvre au noir est au xvr• siècle européen ce que les Mémoires d'Hadrien étaient à la latinité ; on y voit, sans symbolisme ni discours, Zénon (ou l'Esprit) s'y détacher des préjugés, en un « Grand-Œuvre »...
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Biographie de LOCKE (John).
John Locke Philosophe anglais (1632-1704), fondateur de l'école empiriste. Locke est né à Wrington, un village duSomerset, le 29 août 1632. Il fait ses études à l'université d'Oxford où il enseignera le grec, la rhétorique et laphilosophie morale de 1661 à 1664. En 1667, Locke devient l'ami, le conseiller et le médecin de l'homme d'état AnthonyAshley Cooper, premier comte de Salisbury. Salisbury lui fait obtenir plusieurs fonctions mineures au gouvernement. En1669, dans l'exercice de l'un...
- Les modèles soviétique et américain dans les années 1950 et au début des années 1960 : entre attraction et rejet.
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Commentaire du texte de J-M DENQUIN: « La Monarchie aléatoire. Essai sur les constitutions de la 5ème République »
une loi par le fait où elle s’impose à tous… Ensuite, la constitution est fondamentale par le fait où elle est supérieure à toutes les règles de droit. En effet, ces règles doivent lui être conformes dans le cas où en cas de non-conformité à la constitution elles pourraient être annulées… La constitution encadre alors le pouvoir dans un cadre juridique contraignant. 2. La constitution : limitatrice du pouvoir « La constitution va donc être conçue comme un frein imposé à un pouvoir pré...
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Penser, est-ce dire "non" ?
On notera que penser est une activité psychique volontaire (par opposition, par exemple, à rêver). Dès que nousexerçons cette activité volontaire, en réalité, nous nous attaquons à une chose, nous la mettons en question, nousnions l'apparence selon laquelle elle se présente à nous. Ainsi, lorsque nous pensons, nous paraissons d'abord dire «non ». Cependant, nous avons reconnu l'existence de la chose à propos de laquelle nous pensons et, d'une certainemanière, nous l'affirmons. Ainsi, penser se r...
- Grand cours: LE DROIT (8 de 16)
- LA PORTÉE DE LA CRITIQUE KANTIENNE (Préface de la 2e édition de la Critique de la Raison pure)
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Alain: L'idée d'un progrès régulier et inéluctable est une illusion dangereuse.
Éléments de philosophie, 1941.) QUESTION 3 : A quelles conditions l'idée de progrès est-elle acceptable ? 1. Progrès, processus, évolution • La notion de progrès chez les philosophes des Lumières : pour la première fois, l'histoire n'est plus celle d'uneProvidence. Elle prouve le caractère rationnel de la marche de l'humanité vers un « avenir radieux »Al n'est plusnécessaire d'invoquer un dieu pour concevoir le sens de l'histoire. L'homme évolue, il passe du bien au mieux. Il a dumal à échapper...
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Rousseau: C'est ma conscience qui agit et donne sens au monde.
QUESTION 3 (réponse rédigée) Puis-je être maître de mes sensations ?La question est classique : puis-je maîtriser mes émotions, tous ces états affectifs qui m'envahissentrégulièrement ?« Le moi est-il maître dans sa propre maison », comme le demande Freud ? Partons d'abord des sensations,c'est-à-dire des perceptions : nous entendons, nous voyons, nous touchons, nous sentons, nous goûtons. Ily a donc toujours entre moi et le monde, mon corps. Le corps est médiateur entre moi et le m...
- Est-on d'autant plus libre qu'on est indifférent au jugement d'autrui ?
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Pourquoi travaillons-nous?
QUESTIONS. 1 - Autour de quelle opposition le texte est-il bâti ? 2 - Vous expliquerez les expressions : • "ils vécurent libres, sains, bons et heureux autant qu'ils pouvaient l'être par leur nature". • "le travail devint nécessaire". 3 - Traitez la question suivante sous la forme d'un développement argumenté : en quoi l'esclavage et lamisère peuvent-ils accompagner l'accroissement des richesses ? I - QUELLE ANALYSE POUR CE SUJET ? Le thème de ce texte est l'origine du travail social dans sa for...
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Y a-t-il une loi du développement historique ?
Nous postulerons qu'il y a une autre légalité à l'œuvre dans l'histoire : ce que Hegel nomme la loi de la « raison dans l'histoire », expression qui donne son titre à un ouvrage de 1822 dont voici unextrait : « Dieu gouverne le monde, le contenu de son gouvernement, l'accomplissement de son plan est l'histoire universelle. Saisir ce plan, voilà latâche de la philosophie de l'histoire, et celle-ci présuppose que l'Idéal seréalise, que seul ce qui est conforme à l'Idée est réel. A la...
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Une philosophie de la vie - Jacques le fataliste de Diderot
Si tout est matière, d'où viennent dès lors la pensée et les idées, qui sont par nature impalpables et non mesurables? Jacques rejette la théorie des idées innées qui, selon Descartes découlent d'un prin cipe spirituel (Dieu) auteur de notre être pensant. Pour Jacques, les idées naissent toujours de la sensation, des informations que les sens nous transmettent. Tant que son maître ne souffre pas personnelle ment du genou, il ne...
- Cours: TEMPS & MEMOIRE (8 de 9)
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Etre libre, est-ce ne désirer que ce qui dépend de nous ?
aux lois et aux règles peut être considérer comme libre nous pouvons alors nous intéresser aux lois et aux règles qui font de nous des hommes libres. Nous pouvons prendre exemple sur nos choix l’homme libre a la capacité à choisir entre ceux qui lui semble bon et ceux qui lui semble mauvais tout en sachant les contraintes qui lui sont attribués et la répercussion qu’il en cour d’où le prisonnier n’est pas libre car sa notion de bon sens...
- DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HOMME (1948). L'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE PROCLAME : [...]
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Pourquoi obéir aux lois?
L'obéissance à soi-même peut se faire par une soumission à la loi, dans la mesure où la loi est redéfinie commeproduit de la volonté générale. Dans le Contrat social , Rousseau définit l'autorité souveraine comme autorité du peuple. La souveraineté, objet de soumission, permet donc de maintenir la liberté. Ce sont les mêmespersonnes qui sont individu et peuple, elles aliènent donc leur liberté à elles-mêmes, ce qui n'est donc pas unealiénation au sens propre. Cela se fait au travers de l'o...
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Faut-il dire que la société dénature l'homme ou qu'elle l'humanise ?
Introduction La société, fût-elle décriée et blâmée, a toujours résisté aux multiples assauts de ses détracteurs et persistedonc comme une entité indispensable aux hommes. Si bien qu'il est difficile voire impossible de dater précisémentson apparition au sein de l'humanité. Ce qui n'est pas le cas de l'Etat, aussi appelé société politique, qui est apparuponctuellement et successivement dans les différentes civilisations. Plusieurs questions se posent néanmoins quantaux conséquences que l...
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l'art a t il besoin de regle
2 Commencez à saisir votre devoir ci -dessous : L’art a-t-il besoin de règle ? L’art, qu’entendons -nous par le mot art ? l’art est un mot , mais un mot qui conti ent un grand nombre de signification . L’art peut être une œuvre qu ’elle soit physique ou non, l ’art peut être éphémère comme durer dans le temps. La sensation du besoin peut elle aussi être relativement compliquée à analyser . En effet, le « besoin » et « l’envie »...
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MONTESQUIEU ET LA PENSÉE POLITIQUE EUROPÉENNE
germanique, qui allait donc expliquer la complexité des lois pour aboutir à une véritable métaphysique de lajurisprudence, quand, par un illogique, mais salutaire revirement de la pensée, Montesquieu substitua soudain à lanotion psychologique du droit naturel, la notion expérimentale des rapports physiques et moraux (livre I, ch. 2).Si la pensée germanique ne put définitivement l'entraîner, c'est que la rumeur des controverses politiques enAngleterre l'avait ramené vivement vers l...
- Le mot "indifférence" dans l'oeuvre de René DESCARTES
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Y a t il des cas ou il légitime de s'opposer a la loi ?
La loi peut être une injustice établieLa loi, en tant qu'instrument politique, peut représenter, non pas la défense de l'intérêt général, mais celled'intérêts particuliers. C'est ce que Marx a dénoncé sous le nom de «justice de classe». La loi, dit encoreRousseau, favorise ceux qui ont la propriété et défavorise ceux qui n'ont rien. Ainsi, le droit de vote n'a étéaccordé aux femmes que récemment et au prix de longues revendications. "On fait une distinction entre les "droits de l'homme" et les...
- Grand cours: EXISTENCE & MORT (c de g)
- « Y a-t-il des conditions indispensables au bonheur ? »
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Dans une civilisation tout obsédée des exigences techniques et de rendement quelle peut être, selon vous, la fonction de l'art ?
possède l'homme sur la nature. Et donc en cela l'art nous offre une image de la liberté des hommes comme puissance detransformation de la matière.L'artiste incarne donc une forme dans la matière brute et vide initiale, il lui donne vie à la fois par son génie et également parson savoir-faire. On peut en effet louer un artiste pour son savoir-faire, mais cette reconnaissance technique n'implique pasnécessairement la reconnaissance d'un talent artistique. Celle-ci se fonde davantage sur l'émo...
- Hegel
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l'expérience de l'histoire - HEGEL, La Raison dans l’histoire.
Questions 1) Dég agez l'idée principale et l'a rgumentation du texte. 2) Expliquez : a ) > ; b) «les grands caractères sont précisément ceux qui, chaque fois, ont trouvé la solution appropriée >>. 3) Peut-on tirer des leçons de l'histoire ? Aut res notions abordées : la liberté. Le temps. La mém oire. Le pouvo ir. Avant de commencer Analyse du sujet Un texte célèbre, classiq ue, extrait de La Raison dans l'histoire, et qui nous montre les limites...
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- Grand cours: LE POUVOIR (f/g)
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Commentaire de l'arrêt de l'Assemblée plénière en date du 23 janvier 2004 (droit)
qu'une atteinte à la stabilité sociale. En l'occurrence, on parle d'une loi interprétative. Une loi interprétative vise à lever l'obscurité ou l'ambigüité d'un texte antérieur,sans créer des droits nouveaux. Elle se borne à interpréter un texte ancien, qu'une définition imparfaite a rendu susceptible de controverse. Ayant pour objet de mettrefin à une controverse sur le sens d'une loi antérieure, la loi interprétative tend à briser une interprétation jurisprudentielle. Se bornant à préciser le s...
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pénitentiaire, système (cours de droit pénal).
artistique sont à la disposition des détenus. La pratique d’un sport est autorisée dans une moyenne de deux à trois heures par semaine. De plus, l’administrationpénitentiaire rémunère des aumôniers et des ministres des principales religions de façon à permettre aux prisonniers de pratiquer leur culte. La santé des détenus, quicumulent fréquemment des handicaps sanitaires et sociaux, est prise en charge par les centres de détention, liés par protocole avec des hôpitaux publics. Il existe seizecen...
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Que penser de l'expression "chacun pense ce qu'il veut" ?
b) Il n'existe d'autre droit que celui définit par les lois positives Chacun est tenu de respecter le droitEn revanche, comme l'ont fait Epicure, Hobbes ou Spinoza, on peut refuser l'existence d'un tel droit idéal et ramenertout le droit au droit positif, en considérant qu'il n'existe aucun droit en dehors de ce droit, fondé sur le contratsocial. Certes, on parle parfois, comme nous l'avons fait plus haut à propos du droit de penser, d'un «droit naturel» ;mais dans l'état de nature chaque indi...
- La machine est-elle un instrument de libération ?
- l'état est-il au service de la volonté populaire ?
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La loi n'a-t-elle pour fin que la sécurité ?
Les éléments fondamentaux sont mis en place : · parce que l'homme est poussé par un insatiable appétit de domination et qu'il cherche aussi à se protéger contre les agressions d'autrui par des actions préventives, la situation (« état de nature ») qui précède la vie en société se ramène à une guerre perpétuelle ; · la paix entre les hommes ne peut être obtenue que si tout le monde se soumet à une autorité (« un pouvoir commun ») qui contraint (« les tient en respect ») l...
- La Moralité selon Kant
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L'inconscient peut-il être un alibi ?
Pour Freud , o a surestimé le rôle de la conscience dans la vie de l'âme, et ainsi on s'est privé des moyens : ¨ De comprendre bon nombre de phénomènes comme les lapsus et les rêves ; ¨ De soigner un certain nombre de maladies, qui ne peuvent s'expliquer que par le conflit psychique qui agite lepatient. Adopter l'hypothèse de l'inconscient permet de comprendre et de guérir, c'est un gain de sens et de pouvoir. Le butde la psychanalyse est alors de faire en sorte que l'individu,...
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De l’esprit des lois de Charles-Louis de Sécondat, baron de Montesquieu (analyse détaillée)
contre les abus persécutoires du christianisme, rouage utilisé par les poli tiques au même titre que les autres. • La liberté, conséquence des autres thèmes, est assurée par l'équilibre des pouvoirs, des lois justes et adaptées. Elle suscite le bonheur des individus. STYLE • Un style classique économe -concision et netteté : Il 11e peut plus y avoir de vertu dans la république. Le peuple veut faire les fonctions des magistrats i on ne les res...
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Commentaire d'arrêt de Droit pénal : cassation en date du 14 septembre 2004 (droit)
II°) La Cour de cassation : garante de l'interprétation stricte des lois En vertu de l'adage « Nullum crimen, nulla poena sine lege », la loi est source unique de droit pénal et elle est d'interprétation stricte comme le dispose l'article 111-4du code pénal. C'est d'ailleurs ce que rappelle la Cour de cassation dans cet arrêt du 14 septembre 2004 (A). Néanmoins cela ne peut-il entrainer une limite quand à laplace de l'interprétation de la loi pénale ? (B) A) Démonstration par la cour de l'interp...
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Les Chansons des rues et des bois
Vers Pampelune et Teruel
Le hausse-col du capitaine
Qui reparaissait dans le ciel.
" Règle-t-il l'onde et la brise, " Parce qu'il disséquera " De l'argile qu'il a prise " Près de Rio-Madera ? " Ôte Dieu ; puis imagine, " Essaie, invente ; épaissis " L'idéal subtil d'Égine " Par les dogmes d'Éleusis ; " Soude Orphée à Lamettrie ; " Joins, pour ne pas être à court, " L'école d'Alexandrie " À l'école d'Edimbourg ; " Va du conclave au concile, " D'Anaximandre à Destutt ; " Dans quelque cuve fossile " Exprime tout l'institut ; " Démaillote la momie ; " Presse dipe...
- Histoire (Partie 1) La Révolution Française Partie I 1774/1789 1774 : avènement de Louis 16 I) L'influence des révolutions d'atlantiques.
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Le savoir n'est-il facteur que de progrès ?
risques qu'il comporte. Le progrès est ici du à un savoir qui a été mal utilisé. Si par savoir, on entend chercher àévoluer dans sa pensée pour aller vers la liberté et la vérité, là le savoir est facteur de progrès mais si on entendseulement par savoir emmagasiner des informations, accepter les arguments d'autorité pour ne les retransmettreque dans un but de persuasion ou de manipulation, alors, le savoir en lui-même reste insuffisant au progrès.Les sophistes travaillaient dans ce sens insuffi...
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Les Chansons des rues et des bois
L'être insondable est sans frontière.
Sa gueule ressemble aux cavernes, Et sa crinière à la forêt. Il entrevoit des monts difformes, Des Ossas et des Pélions, À travers les songes énormes Que peuvent faire les lions. Tout se tait sur la roche plate Où ses pas tout à l'heure erraient. S'il remuait sa grosse patte, Que de mouches s'envoleraient ! IV NIVÔSE ------ I -- Va-t'en, me dit la bise. C'est mon tour de chanter.\24 Et, tremblante, surprise, N'osant pas résister, Fort décontenancée Devant un Quos ego, Ma chan...
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Les Chansons des rues et des bois
Et que, dans le champ funeste,
Les chacals et les oiseaux,
Hideux, iront voir s'il reste
De la chair après vos os !
Aurait approuvé son ventre Et vénéré sa gaieté. Il était beau de l'entendre. On voit, quand cet homme rit, Chacun des convives tendre Comme un verre son esprit. À travers les mille choses Qu'on dit parmi les chansons, Tandis qu'errent sous les roses Les filles et les garçons, On parla d'une bataille ; Deux peuples, russe et prussien, Sont hachés par la mitraille ; Les deux rois se portent bien. Chacun de ces deux bons princes (De là tous leurs différends) Trouve ses États trop mi...
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En quoi le siècle des Lumières fut-il ou non au service de l'homme ?
La critique des Lumières s'attaque aux aspects les plus insupportables de l'absolutisme monarchique, et en premier lieu à l'arbitraire et à la toute-puissance de la justice. Montesquieu, dans « l’esprit des lois », déclare que le régime politique doit séparer les 3 pouvoirs -Législatif, judiciaire, et exécutif- évitant ainsi la tyrannie. Rousseau, lui, soutient que la souveraineté revient au peuple. Les philosophes luttent également pour la fin des inégalités sociales comme par e...
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Baruch SPINOZA: la foi et la theologie
d'atteindre la vérité) appartient à la philosophie. Ce qui relève de la société appartient à la foi. Et la société, c'estce qui est soumis aux aléas de l'histoire, aux variations de l'interprétation (« la philologie »), aux textes de l'Ecrituresainte, aux dogmes (« de la révélation »). Autrement dit, à tout ce qui relève de l'humain (par opposition à nature)et du même coup, sans que Spinoza soit explicite là-dessus, à tout ce qui relève de la croyance (par opposition à lacertitude de la vérité)....