5414 résultats pour "liberté"
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La conscience est-elle source d'illusion ?
moi [cad la conscience] est pas le maître dans sa propre maison". Freud va être amené à concevoir que bon nombre de maladies, mais aussi d'actes quotidiens s'expliquent si l'on admetl'hypothèse de l'inconscient. Il y aurait en nous u « réservoir » de forces et de désirs (ou pulsions) dont nous n'aurions pas conscience,mais qui agiraient sur nous.. Pour le dire brutalement, en ce sens,l'homme n'agirait pas (ne choisirait pas ses actes e toute connaissancede cau...
- démocratie
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Faut-il combattre nos désirs ?
nouveau).A propos de l'esclavage de nos désirs, Spinoza dit :"On pense que l'esclave est celui qui agit par commandement et l'homme libre celui qui agit selon son bon plaisir.Cela cependant n'est pas absolument vrai, car en réalité être captif de son plaisir et incapable de rien voir ni fairequi nous soit vraiment utile, c'est le pire esclavage, et la liberté n'est qu'à celui qui de son entier consentement vitsous la seule conduite de la Raison" (spinoza Ethique IV). On pense que l'esclave e...
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Les Chansons des rues et des bois
" Et grandirait les héros.
" La jambe de bois est noire ; " La guerre est un dur sentier ; " Quant à ce qu'on nomme gloire, " La gloire, c'est d'être entier. " L'infirme adosse son râble, " En trébuchant, aux piliers ; " C'est une chose admirable, " Fils, que d'user deux souliers. " Fils, j'aimerais que mon prince, " En qui je mets mon orgueil, " Pût gagner une province " Sans me faire perdre un oeil. " Un discours de cette espèce " Sortant de mon hiatus, " Prouve que la langue épaisse " Ne fait pas l'espri...
- Pourquoi la passion annihile-t-elle ma volonté ?
- La passion est-elle involontaire ?
- Marianne
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Commentaire de texte : Texte de Kant sur les Lumières
invitent. Dans la troisième partie (« S’agissant […] conformément à sa dignité »), Kant montre qu’aucun régime politiquedigne de ce nom n’a intérêt à tenir le peuple sous tutelle, autrement dit à maintenir le peuple à l’état de minorité ; ilrenverse le préjugé selon lequel la libre pensée met en péril le régime politique.• Peut-être est-ce vrai si le régime en place est un régime totalitaire mais si régime en place = démocratie, l’Etat n’aaucun intérêt à tenir le peuple sous tutelle.• Ni dans...
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- Cours: LE POUVOIR (2 de 3)
- « Philosopher, c'est secouer le joug de l'autorité » En quoi cette définition éclaire-t-elle sur la littérature des lumières ?
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Y a t il des cas ou il est légitime de s'opposer a la loi ?
La loi peut être une injustice établieLa loi, en tant qu'instrument politique, peut représenter, non pas la défense de l'intérêt général, mais celled'intérêts particuliers. C'est ce que Marx a dénoncé sous le nom de «justice de classe». La loi, dit encoreRousseau, favorise ceux qui ont la propriété et défavorise ceux qui n'ont rien. Ainsi, le droit de vote n'a étéaccordé aux femmes que récemment et au prix de longues revendications. "On fait une distinction entre les "droits de l'homme" et les...
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CONSEILS DE MÉTHODE
CONSEILS PRATIQUES constituera la liste que le candidat présentera éventuellement au rattra page. Elle n'est donc pas à négliger en cours d'année: le temps de travail et de réflexion que vous y aurez consacré vous servira dès l'écrit et, sur tout, vous fera économiser un temps précieux et un stress inutile si vous passez l'oral. L'ÉPREUVE DE PHILOSOPHIE AUX BACCALAURÉATS STT, STI, STL, SMS et F11 Il s'agit d'une épreuve écrite d'une durée de q...
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Les règles de l'art d'E. KANT
avoir l'apparence de la nature, bien que l'on ait conscience qu'il est de l'art. Or, une production de l'art paraît naturelle à la condi tion que les règles, qui seules lui permettent d'être ce qu'elle doit être, aient été observées exactement, mais que cet accord ne soit pas acquis péniblement, qu'il ne laisse pas soupçonner que l'artiste avait la règle sous les yeux et les facultés de son âme entravées par elle. Emmanuel K...
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Peut-on excuser un comportement humain en disant «c'est naturel» ?
dépendent pas de nos choix, de nos décisions. Ainsi, les lois naturelles de la digestion sont telles que des gazpeuvent se former. A cela je n'y peux rien. Seulement, la bienséance, la politesse me commande de masquer leurévacuation. Et seul ce dernier point de moi. c, Reste que la plupart e nos comportements, du moins les plus signifiants, sont des comportements choisis , descomportements culturellement déterminés, non explicables en se rapportant aux lois de la nature. La manière quenous avons...
- Fiche droit des contrats
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L'Etat est-il l'ami ou l'ennemi de l'individu ?
Un seul homme ne pourrait jamais asservir tout un peuple sans une chaîne d'intermédiaires grâce à laquelle « letyran asservit les sujets les uns par le moyen des autres ». Le secret de la domination réside en effet dans lacomplicité des « tyranneaux », ces « mange-peuples » qui soutiennent le tyran pour satisfaire leur ambition et leurcupidité. Chaque maillon de la chaîne accepte d'être tyrannisé pour pouvoir tyranniser à son tour, démultipliant ainsila relation de domination jusqu'à enserre...
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- « La démocratie est-elle nécessaire au développement économique? »
- « Philosopher, c’est secouer le joug de l’autorité » En quoi cette définition éclaire-t-elle sur la littérature des lumières ?
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Le Romantisme et les relations internationales au XIXème siècle en Europe
sentiments, et sert par la suite « de guide » durant les révolutions de 1848. Pour l'Europe de l'Est, l'évolution du romantisme se base davantage sur une envie dedéfense du peuple et de ses intérêts. Par exemple, dès vingt-sept ans, le poète Sandor Petofi, meurt durant la révolution de 1848, dans son combat pour la liberté etson amour pour son pays qu'il défendait notamment avec son poème Une pensée qui me tracasse, il était devenu très populaire. Une répression se met en place, faceaux poèmes n...
- Cours le liberalisme
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Les Bucoliques de Chénier
CHÉNIER: Les Bucoliques 1762-1794 André Chénier est né le 29 octobre 1762 à Constantinople (l'actuelle Istanbul) où son père occupait les fonctions deconsul. Sa mère s'enorgueillissait d'avoir du sang grec et influença profondément le goût de son fils pour les beautésde la Grèce antique. Ce penchant n'était pas véritablement original à une époque où l'on se passionnait à travers lesfouilles d'Herculanum et de Pompéi pour les héritages de l'antiquité gréco-romaine, et le jeune garçon en retrouv...
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Bourdieu, Le «goût de la réflexion» et le « goût des sens»
«résistance éthique» peut être définit comme le refus de se laisser submerger par ses sens en vue d’un respect de l’éthique, donc de ce qui «se fait», et celui de « neutralisation esthétique» comme l’équilibre et l’objectivité qu’apporte la connaissance de l’esthétique. Bourdieu définit la distance nécessaire au «goût de la réflexion» comme « la liberté proprement humaine de mettre en suspens l’adhésion immédiate, animale, au sensible et de refuser la soumission au pur affect, à la simple aisthe...
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Pour les actes accomplis par crainte
Toutes séries sauff11, F11' et STI Arts appliqués, Polynésie, septembre 2002 SUJET 12 • actions mixtes : cela signifie qu'elles comportent des éléments différents, ici, d du volontaire et de l'involontaire. 1 INTÉRÊT PHILOSOPHIQUE DU TEXTE L'intérêt du texte est le refus de se placer dans « l'absolu » pour définir une ~ action volontaire. Il propose une conception pragmatique de la liberté. Il permet 1 donc à l'homme d'ancrer sa réflexi...
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Les Chansons des rues et des bois
" Aux heures mystérieuses,
" Quand l'eau se change en miroir,
" Rôdes-tu sous les yeuses,
" L'esprit plongé dans le soir ?
" Le scarabée ou la fleur, " Je ne vois point qu'il réclame " La lampe de l'émailleur. " L'homme peut se croire prêtre, " L'homme peut se dire roi, " Je lui laisse son peut-être, " Mais je doute, quant à moi, " Que Dieu, qui met mon image " Au lac où je prends mon bain, " Fasse faire l'étamage " Des étangs, à Saint-Gobain. " Quand Dieu pose sur l'eau sombre " L'arc-en-ciel comme un siphon, " Quand au tourbillon plein d'ombre " Il attelle le typhon, " Quand il maintient d'âge en âg...
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- Georg Wilhelm Friedrich Hegel
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La nature humaine conduit-elle chaque individu à la paix ou à la guerre ?
que dans la cité, c'est-à-dire dans une société organisée qui permet aux hommes d'entretenir des relations paisiblesqui lui permettront de mener la vie la meilleure possible. On s'aperçoit ici que non seulement la nature humainepréfère la paix qui est plus sécurisante, mais encore, que celle-ci seulement pourra permettre aux individus detendre vers une vie bonne. Seule la paix permet à la nature humaine de tendre vers un bien, et d'entrer avec autruidans des relations vertueuses dont le...
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Des artistes pour quoi faire ?
Éléments de réponse et de réflexion: Réflexions préalables:Dans sa vivacité polémique, la question semble refléter l'incompréhension, les malentendus dont la créationartistique et le statut de l'artiste dans une société -utilitariste et pragmatique- peuvent faire l'objet. Il convient dedégager la spécificité et l'originalité de la création d'art: émancipation, autonomie à l'égard de toutes normes,particularité de la contemplation esthétique, vision recréatrice de l'univers... En cel...
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Le vote selon Alain
Présenter l'ordre logique selon lequel s'articulent les idées en les expliquant. S'aider du tableau ci-dessous qui met en lumière le sens des ex pressions du texte : Le vote considéré comme droit de l'homme • choisir effectivement et pour ma part tel ou tel maître • votera une fois librement • mon vote est perdu ou non • droit fictif le vote considéré comme moyen • moyen de conserver tous ses biens • le résultat reche...
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Constitution
2 - la bonne gouvernance dans la conduite des affaire s publiques, grâce à la transparence dans la gestion et la responsabilisati on des dépositaires de la puissance publique ; - la séparation et l’équilibre des pouvoirs exercés à travers les procédés démocratiques ; - la mise en oeuvre de la décentralisation effectiv e, par l’octroi de la plus large autonomie aux collectivités décentralisées tant au niveau des compétences que des moyen...
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Est-ce un devoir de travailler ?
« Pour échapper à l'ennui, l'homme, ou bien travaille au-delà de ce qu'exigentses besoins normaux, ou bien il invente le jeu, c'est-à-dire le travail qui n'estplus destiné à satisfaire aucun autre besoin que celui du travail pour lui-même. » Nietzsche, Humain, trop humain , 1878. Un monde sans travail est impossible à imaginer, et des hommes sans travail se réduiraient à l'état debrutes réduites à la pulsion et au désir. L'exercice d'une activité suivie estune forme de la sublimation col...
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Pourquoi obéir aux lois ?
choses ou bien aux règles morales et politiques, n'est-ce pas cesser d'être libres ? La spontanéité humaine n'est-ellepas alors mise entre parenthèses ? Pour quelles raisons, dès lors, obéir aux lois ? La liberté idéale n'est-elle pas uneliberté sans contrainte ni obéissance ? D'où le problème fondamental : la liberté désigne-t-elle une autonomie oubien une spontanéité étrangère à toute contrainte, un pouvoir d'agir à sa guise ?L'enjeu apparaît ici décisif : selon la réponse à la question posée,...
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Droit public
Le Conseil Constitutionnel refuse, également, de pratiquer le contrôle de conventionnalité des lois. Néanmoins, il admet impl icitement cette prérogative aux juridictions ordinaires. Enfin, le contrôle à priori de constitutionnalité de la loi est limité dans le temps. Il ne peut s'effectuer qu'avant la promulgation de la loi. Cependant, cette dernière limite est, aujourd'hui, m ise à l'écart par le contrôle à posteriori de constitutionnalité de la loi. II. La question priorit...
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MILTON
Il revint aux ambitions poétiques de sa jeunesse probablement après 1655, sans les avoir jamais oubliées pendant la période où il avait considéré comme de son devoir d'employer son génie au service politique et religieux de son pays. Il choisit donc relativement tard son grand sujet du Paradis perdu. Il écrivit cependant encore une série de pamphlets pour la défense des libertés religieuses et civiles entre 1659 et 1660 et en 1673. P...
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Le_MONT_Des_Oliviers-04_27_2015
Et la liberté, si elle fait entrer l'homme dans un temps humain qui lui permet l'action, le fait aussi entrer dans le temps de l'ignorance. Ainsi l'homme est prisonnier d'une nouvelle prison qui entraîne le mal. dans les vers qui suivent, Vigny change complètement le message christique pour en instaurer un autre que Jésus n'aurait tout simplement pas eu le temps de dire : Quand les Dieux veulent bien s'abattre sur les mondes, Ils n'y doivent laisser que des traces profondes; Et, si j'ai m...
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Les Chansons des rues et des bois
Aux papillons, grands et petits,
Tâchait de vendre des calices
Que l'églantier donnait gratis.
AU CHEVAL I Monstre, à présent reprends ton vol. Approche, que je te déboucle. Je te lâche, ôte ton licol, Rallume en tes yeux l'escarboucle. Quitte ces fleurs, quitte ce pré. Monstre, Tempé n'est point Capoue. Sur l'océan d'aube empourpré, Parfois l'ouragan calmé joue. Je t'ai quelque temps tenu là. Fuis !\24Devant toi les étendues, Que ton pied souvent viola, Tremblent, et s'ouvrent, éperdues. Redeviens ton maître, va-t'en ! Cabre-toi, piaffe, redéploie Tes farouches ailes, tit...
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Etre moral, est-ce contrarier ou suivre sa nature ?
« Nature » a deux sens en français, puisqu'on parle aussi de la « nature » d'une chose. En fait, ces deux sens ont lamême origine : nature vient du latin nascor , naître. La nature d'une chose, c'est ce qu'elle était en quelque sorte « à la naissance », avant toute modification. Aristote définit la nature comme ce qui est à l'origine de son propre mouvement : contrairement à l'horloge qu'ondoit remonter, la plante semble pousser « toute seule ». En ce sens, la nature s'oppose aussi bien à la te...
- le régime des mesures de polices administratives
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Les Chansons des rues et des bois
Sitôt levé, je me recouche ;
Et je suis comme si j'avais
De la terre au fond de la bouche ;
Je trouve le souffle mauvais.
III À un ami Sur l'effrayante falaise, Mur par la vague entrouvert, Roc sombre où fleurit à l'aise Un charmant petit pré vert, Ami, puisque tu me laisses Ta maison loin des vivants Entre ces deux allégresses, Les grands flots et les grands vents, Salut ! merci ! les fortunes Sont fragiles, et nos temps, Comme l'algue sous les dunes, Sont dans l'abîme, et flottants. Nos âmes sont des nuées Qu'un vent pousse, âpre ou béni, Et qui volent, dénouées, Du côté de l'infini. L'énorme bo...
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Commentaire de l'avis du Conseil d'Etat en date du 3 mai 2000, avis Mlle Marteaux : les agents publics et la manifestation des croyances religieuses
effet, les principes de fonctionnement du service public s'apprécient de la même façon selon la nature du service concerné, et notamment le principe de neutralité.Ensuite, le Conseil d'Etat, en répondant à la deuxième question, réaffirme l'interdiction pour les agents publics de manifester leurs croyances religieuses, dans le cadredu service public de l'enseignement, sans qu'il soit nécessaire de distinguer selon qu'ils exercent des fonctions éducatives ou des fonctions d'enseignement. De cettef...
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L’engagement
L’analyse
problématique
- le tableau intemporel.
la résistance. Il représente le massacre des occupants du village Guernica par les troupes de Franco. -- À l'époque de Guernica , pendant la guerre, à travers l'engagement politique qui suit la Libération, il a pu donner l'impression qu'il souhaitait exprimer les angoisses et les espérances de ses contemporains, être l'interprète “humaniste” d'une histoire, mais son œuvre “fanatiquement autobiographique” (D. Kahnweiler) n'est en fait que le miroir de lui-même. L'alternance entre la violence...
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Lecture analytique la condition humaine malraux incipit
Malraux né en 1901 est un écrivain français. Aventurier dans l’âme, il part pour l’Indochine à vingt ans où il est emprisonné pour trafic d’objets d’art. Il s’engage alors contre le fascisme en Europe et dénonce l’arrivée d’Hitler au pouvoir en Allemagne. Durant sa vie il va être à la tête de mouvements contestataires comme lors de la guerre d’Espagne ou encore des résistants en France. Ayant beaucoup appris lors de son expérience en Asie, il fait de l’Extrême o...
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désirs
Il faut tout d’abord connaître pour pouvoir juger. L’anormalité s’établit par l’évaluation d’une chose ou d’une action en fonction de sa conformité à une norme morale. Mais la nature fournit-elle des normes pour accréditer le jugement ? Pour juger moralement, il faut nécessairement comparer « ce qui « est avec une représentation de ce qui « devrait être » . Porter un jugement moral sur le désir de quelqu’un, c’est présupposer qu’il aurait pu faire « autrement ». On condamn...
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Les Chansons des rues et des bois
Cent carrefours se partagent
Ce chercheur sans point d'appui ;
Tous les problèmes étagent
Leurs sombres voûtes sur lui.
Tous les anciens maux tenaces, Hurlant sous le ciel profond, Ne sont plus que des menaces De fantômes qui s'en vont. Le tonnerre au bruit difforme Gronde...\24on raille sans péril La marionnette énorme Que Franklin tient par un fil. Nemrod était une bête Chassant aux hommes, parmi La démence et la tempête De l'ancien monde ennemi. Dracon était un cerbère Qui grince encor sous le ciel Avec trois têtes : Tibère, Caïphe et Machiavel. Nemrod s'appelait la Force, Dracon s'appelait la...
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« Un homme tirait au sort toutes ses décisions, il ne lui arriva pas plus de malheurs qu'à ceux qui réfléchissent. Paul Valery
Bonit Thibaut TS1 tirer au sort n’en fait alors plus une décision. Comment peuton alors affirmer «tirer au sort ses d écisions» ? Ce probl ème sera trait é en deux parties : nous devrons nous demander dans un premier temps qu’estce qui oppose ceux qui se doivent de r éfléchir pour s’assurer de prendre les meilleures d écisions que possible, à celui qui laisse le hasard d écider à sa place. On se posera alors la question de ...
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Analysez sur un exemple précis l'acte volontaire. ?
Devant une situation donnée, l'homme délibère et décide et un pouvoir mystérieux se met alors en œuvre quitransforme cette décision — idée pure — en action, en fait. Il y a ce que les théoriciens de la volonté appellent un «fìat » qui semble être la meilleure garantie et la meilleure preuve de la liberté humaine. Dans l'exemple choisi lasituation politique est donnée comme complexe et incompréhensible. Les uns disent noir, les autres blanc, de quelavis serai-je ? Je balance un peu. D...
- L’existentialisme est-il un humanisme ? (jean Paul Sartre)
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Que serais-je sans toi ?
est au service de son maître, par le travail et les services qu'il lui rend. Mais le travail est précisément ce par quoi leserviteur va s'affranchir de son maître. Aliéné dans sa volonté et son désir, il réalise son propre soi par ses oeuvres :il élabore, façonne, transforme la réalité extérieure qui devient son produit, sa chose, son individualité même. Leserviteur gagne finalement son indépendance grâce et par devers le maître qui lui a aliéné l'inessentiel (le désirautonome et la volonté) p...
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Sans rapport à autrui, y aurait-il des passions ?
c'est donc l'intrusion du corps pris au milieu du monde dans la pensée. c) Ce corps passionné est donc pour la pensée le signe indubitable que le monde existe et qu'il résiste en moi. De lamême façon donc ce corps passionné et sensible donc, est le signe pour la pensée qu'à l'extérieur de moi existentdes semblables que je suis porté à aimer ou à haïr. Problème : Si certaines passions enveloppent bien autrui, il semble qu'elle l'objectivent bien souvent, voyant en luiun moyen ou un obstacle de...
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- Programme du Front populaire (préambule)
- Paul Eluard, Sept Poèmes d’amour en guerre