186 résultats pour "herbe"
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Corpus Rimbaud
C. Sensation Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l’herbe menue : Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais l’amour infini me montera dans l’âme, Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien, Par la Nature, — heureux comme avec une femme. Mars 1870. Problématique : Quel rôle joue la nature dans ces poèmes de Rimbaud ? Nous allons étudier trois poèmes. Tou...
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Règne animal: LE KANGOUROU
Le kango urou généralement en groupes d'une dizaine d'ani maux, qui constituent des associations tempo raires au sein desquelles ils n'établissent pas de liens étroits. Ils vivent de préférence dans les plaines herbeuses arides qui forment la sava ne, tout en resta nt à proximité d'une zone de végéta tion plus dense. Généralement nocturnes, il leur arrive d'être actifs le jour par temps froid. Lorsq ue les ress ources alimentaires sont abon dantes, l'aire...
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Jean de La Fontaine
Les animaux malades de la peste
Un mal qui répand la terreur,
Mal que le ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom),
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron,
Faisait aux animaux la guerre.
Que le plus coupable périsse. - Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse ; Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ? Non, non : vous leur fîtes, Seigneur, En les croquant beaucoup d'honneur ; Et quant au berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Etant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire. » Ainsi dit le renard, et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ou...
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Les Chansons des rues et des bois
Avec le bleuet dans les blés ;
Les halliers pleins de pâles lunes
Sont nos appartement meublés.
Le cheval de halage trempe Par moments sa corde dans l'eau. Sous la futaie où l'herbe est haute, Il est le maître du logis Autant que l'écureuil qui saute Dans les pins par l'aube rougis. Avec ses stances, il achète Au bon Dieu le nuage noir, L'astre, et le bruit de la clochette Mêlée aux feuillages le soir. Il achète le feu de forge, L'écume des écueils grondants, Le cou gonflé du rouge-gorge Et les hymnes qui sont dedans. Il achète le vent qui râle, Les lichens du cloître détrui...
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L'inquiétude d'une mère - Colette, La Maison de Claudine
d'inquiétude. 4 — L'inquiétude infinie • Gravité nouvelle du ton dans la deuxième partie. Le temps a passé, la mère a vieilli, deux enfants sont morts. • L'angoisse, la souffrance qui ronge ont remplacé les vives colères du début. C'est que les motifs d'inquiétude sontd'un autre poids; il ne s'agit plus d'escapades mais du bonheur de sa fille et de la vie de son fils. • Angoisse tellement liée à son âme que la mère l'emporte jusque dans la mort. Son tourment est fait de remords etde culpabilité...
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ALAIN-FOURNIER: Le Grand Meaulnes, 2e partie, chapitre 9.
T oute la matinée est à moi pour explorer la lisière du bois, l'endroit le plus frais et le plus caché du pays, tandis que mon grand frère aussi est parti à la découverte. C'est comme un ancien lit de ruisseau. Je passe sous les 5 basses branches d'arbres dont je ne sais pas le nom mais qui doivent être des aulnes. J'ai sauté tout à l'heure un échalier au bout de la sente, et je me suis trouvé dans cette grande voie d'herbe verte qui coule...
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Le vent froid de la nuit. « Poèmes Barbares » de Leconte de Lisle
a penser que la vie est de soi un mal, un mal atroce, et que les heureux, ce sont, non pas les vivants, mais les morts. Et comme it croit les entendre gemir sous les herbes froissees » : 0 molls, marts Fiienheureux, leur crie le poke, en des strophes omises dans le texte officiel, Souvenez-vous plutot ak la vice, et dormez. C'est-h-dire N'ayez point la folie de regretter la vie. 0 morts, c'est vous les heureux, non pas d'avoir trouve supra& de Dieu le bonheur infini, mais d'etre affranchis d'une...
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Maupassant, Farce Normande, Les Contes de la Bécasse — commentaire composé
Session de septembre 1990 Toutes les femmes avaient des châles lâchés dans le dos, et dont elles tenaient les bouts sur leurs bras avec cérémonie. Ils étaient rouges, bigarrés, flamboyants, ces châles ; et leur éclat semblait étonner les poules noires sur le fumier, les canards au bord de la mare, et les pigeons sur les toits de chaume. Tout le vert de la campagne, le ve1t de l'herbe et des arbres, semblait exaspéré a...
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Schinderhannes (1) - Apollinaire, Alcools (Rhénanes).
gaieté, qui a donné un titre à un autre poème d'Apollinaire ; les brigands mangent et boivent dans la forêt, doncdans une nature sauvage chère aux Romantiques ; le « clair bouillon d'herbe » souligne le côté naturel de leurboisson : on est loin de la pollution des villes et de la société industrielle. Le décor est remarquable par sa lumière :la scène vue « au clair des torches de résine » rappelle le clair-obscur de Rembrandt, mais aussi la vie sauvage desbrigands, et transforme cette réun...
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Jean de LA FONTAINE : Les Animaux malades de la peste
moutons en s'intéressant à eux. Enfin, le renard dont le mépris est lisible dans l'emploi de la particule « -là », chargele berger de tous les maux ; il fait du roi un héros vengeant la communauté d'un individu prétentieux, qui se croitsupérieur aux animaux (« un chimérique empire», y. 9).Brillant orateur, le renard prétend se référer à la morale en soi («péché »), qui réprouve le crime, mais, en fait, ilidentifie le droit du féodal au mépris de la personne humaine (les moutons sont des canaille...
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La tentation de Saint Antoine
Ils les ouvre.
Il y a juste aujourd'hui trois ans qu'est morte Domitilla. Elle fut lapidee au fond du bois de Proserpine. J'ai recueilli ses os qui brillaient comme des lucioles dans les herbes. La terre maintenant les recouvre! Il se jette sur un tombeau. O ma fiancee! ma fiancee! ET TOUS LES AUTRES par la plaine: O ma soeur! o mon frere! o ma fille! o ma mere! Ils sont a genoux, le front dans les mains, ou le corps tout a plat, les deux bras etendus;et les sanglots qu'ils retiennent soulevent leur poitrine...
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Le mot "humide" chez René DESCARTES
L'air de la respiration se mêlant aussi en quelque façon avec le sang, avant qu'il entre dans la concavité gauche du coeur, fait qu'ils'y embrase plus fort, et y produit des esprits plus vifs et plus agités en temps sec qu'en temps humide : LE MONDE OU TRAITÉ DE LA LUMIERE, CHAPITRE VI, Description d'un nouveau monde ; et des qualités de la matière dont il est composé. et, pour cet effet, supposons expressément qu'elle n'a point la forme de la terre, ni du feu, ni de l'air, ni aucune a...
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Définition:
AMBRE1, substantif masculin.
JEAN-ANTELME BRILLAT-SAVARIN, Physiologie du go?t ou M?ditations de gastronomie transcendante, 1825, page 342. ? 5.... il remarqua sur le mur oriental cette inscription en lettres d'or?: ? Le caou? des Arabes, autrement dit cav?, est une herbe qui croit en abondance dans l'Empire du Turc, et qu'on appelle dans l'Inde l'herbe miraculeuse (...). Les personnes de condition l'adoucissent avec le sucre et l'aromatisent avec l'ambre gris. VICTOR HUGO, Le Rhin, 1842, pages 214-215. 2. Parfum suave...
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La Terre
qui sort comme elle est entree, avec une chemise sur le cul!
Eh! oui, son maitre Hourdequin s'etait fait bien du mauvais sang avec les inventions nouvelles, n'avait pas tire grand'chose de bon des machines, des engrais, de toute cette science si mal employee encore. Puis, la Cognette etait venue l'achever; lui aussi dormait au cimetiere; et rien ne restait de la ferme, dont le vent emportait les cendres. Mais, qu'importait! les murs pouvaient bruler, on ne brulerait pas la terre. Toujours la terre, la nourrice, serait la, qui nourrirait ceux qui l'ensemen...
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Commentaire (Quatre poèmes à Hélène)
par le poète, bouleverse son univers. Finalement la rencontre de la femme aimée transforme terriblement l'univers du poète. Un espace sec et stérile est décrit: l'attente est une « sécheresse », ou le « blé » est rare, et « ne monte pas plus haut qu'une oreille dans l'herbe ». Cette sécheresse, métaphore du manque, se retrouve aussi à travers l'image du « pas brûlant ». La femme devient liquide : elle apparaît telle une « douce pluie qui ne sèche jamais »). La femme aimée bouleverse le mon...
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Environnement LES PRAIRIES
Les prairies Les méristèmes � sont les "nœuds • de croissance des herbes, à partir desquels se développent les pousses. Les méristèmes situés à la base sont protégés du broutement. Les orties (à droite) ont leurs méristèmes très exposés et dépérissent lors d'une pâture excessive. herbivores, ces derniers par les carnivores, et les cadavres par les insectes, les rapaces et les mam mifères charognards. Les insectes et autres invertébrés pullulen...
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Définition du terme:
CROÎTRE, verbe intransitif.
en intelligence (Lamennais, L'Avenir, 1831, page 209 ß ).) [Le substantif exprime le résultat d'une transformation] Les pelouses avaient crû en prairies; les bassins s'étaient élargis en étangs (PIERRE LOUÿS, Aphrodite, 1896, page 69 ). Verbe + croître. Aller croissant Le commencement des difficultés qui nous attendent, et qui vont toujours croissant à mesure que l'édifice de nos connaissances s'élève et s'agrandit (ANTOINE-LOUIS-CLAUDE DESTUTT DE TRACY. Élémens d'idéologie, 3. Logique, 1805, pa...
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Une vie
Elle continuait : " Il y a toujours un moment où il faut se séparer, parce que les vieux et les jeunes ne sont pas
faits pour rester ensemble.
La vue d'une marguerite blottie dans une touffe d'herbe, d'un rayon de soleil glissant entre les feuilles, d'une flaque d'eau dans une ornière où se mirait le bleu du ciel, la remuait, l'attendrissait, la bouleversait en lui redonnant des sensations lointaines, comme l'écho de ses émotions de jeune fille, quand elle rêvait par la campagne. Elle avait frémi des mêmes secousses, savouré cette douceur et cette griserie troublante des jours tièdes, quand elle attendait l'avenir. Elle retrouva...
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Les Animaux Malades de la Peste de La Fontaine
C'est une figure flatteuse par excellence « vous êtes trop bon Roi ». Il disculpe le Roi de son crime et l'honneur « Enles croquant beaucoup d'honneur ». Il fait d'un crime, une vertu « sotte espèce ». Ce qui montre que ce sont desanimaux inférieur qui donne pardon du crime. Cela est contraire à la justice qui est censés suppléer les inégalités deforce. Il renverse la logique par son art de l'éloquence. c) Le discours de l'Âne Il fait preuve de bonne volonté, car il fait l'effort de mémoire pour...
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Le Grand Meaulnes
"Vraiment, il me semble qu'en sortant du bois des Communaux, on ne doit pas être à plus de deux lieues de
ce que nous cherchons.
chercheraient à s'échapper de ce côté. Or dans le plan rectifié par le bohémien et que nous avions maintes fois étudié avec Meaulnes, il semblait qu'un chemin à un trait, un chemin de terre, partit de cette lisière du bois pour aller dans la direction du Domaine. Si j'allais le découvrir ce matin!... Je commençai à me persuader que, avant midi, je me trouverais sur le chemin du manoir perdu... La merveilleuse promenade!... Dès que nous eûmes passé le Glacis et contourné le Moulin, je quittai mes...
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ÉMILE ZOLA (1840-1902). Épisode de la bataille de Sedan. La Débâcle
La charge fut reprise, le 2e escadron s'avançait dans une furie grandissante, les hommes couchés sur l'encolure,tenant le sabre au genou, prêts à sabrer. Deux cents mètres encore furent franchis, au milieu de l'assourdissanteclameur de tempête. Mais, de nouveau, sous les balles, le centre se creusait, les hommes et les bêtes tombaient,arrêtaient la course de l'inextricable embarras de leurs cadavres. Et le 2e escadron fut ainsi fauché à son tour,anéanti, laissant la place à ceux qui le suivaien...
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Définition du terme:
COUCHÉ, -ÉE, participe passé et adjectif.
... CHARLES-MARIE LECONTE DE LISLE, Poèmes tragiques, Les Érinnyes, 1886, page 181. b) Courber, incliner vers l'horizontale. Une pluie qui détachait les feuilles du faux automne parisien et couchait les pétunias (GABRIELLE COLLETTE, DITE COLETTE, La Fin de Chéri, 1926, page 89 ). L'herbe, couchée par l'ondée, se relevait peu à peu en séchant au soleil (JULIEN GREEN, L'Autre sommeil, 1931, page 183) : Ø 4. Mulrady et Wilson redressèrent plus d'une fois la barre au moment où quelque embardée all...
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Pippin s’en fut avec une demi-douzaine de gars sur des poneys.
voir. Le Patron et ce Sharcoux, dont ils ont parlé, ils pourraient faire quelque malheur là -bas avant le matin. » « Bon, Sam, dit Chaumine. Choisis un gars ou deux, et amène le chez moi. Tu n’auras pas besoin d’approcher du vieux village de H obbitebourg de l’autre côté de l’Eau. Mon Jolly, ici présent, te montrera. » Sam partit. Merry établit une surveillance autour du village et des gardes aux barrières pour la nuit. Après quoi, lui et Frodon s’en furent avec le Père Chaumine. Ils...
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Définition du terme:
COUCHÉE, substantif féminin.
le jeter à terre. Par extension. Le tuer. Coucher quelqu'un sur le carreau*. À peine les hommes étaient-ils sortis de la tranchée que le feu des mitrailleuses en coucha cinquante sur le sol (Dictionnaire de l'Académie française. 1932). Ah! le gueusard. J'ai tenu le père au bout de mon fusil en 1815, j'aurais bien mieux fait de le coucher (ALPHONSE DAUDET, Les Rois en exil, 1879, page 55 ). — Coucher quelque chose. L'abattre, le renverser : Ø 3. La ville injurieuse est conquise, dieux justes! Vou...
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TEXTES BAC DE FRANCAIS
Jean de La Fontaine. Livre VII La dent d'orAssurons-nous bien du fait, avant que de nous inquiéter de la cause. Il est vrai que cette méthode est bien lentepour la plupart des gens, qui courent naturellement à la cause, et passent par-dessus la vérité du fait, mais enfinnous éviterons le ridicule d'avoir trouvé la cause de ce qui n'est point.Ce malheur arriva si plaisamment sur la fin du siècle passé à quelques savants d'Allemagne, que je ne puism'empêcher d'en parler ici.En 1593, le bru...
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Dans le lointain à gauche
quelque chose qui montrera vite sa nocivité, eh bien, mieux vaut que ce soit m oi que vous, maître, vous comprenez ? » « Je comprends. Mais je crois que nous courrons notre chance ensemble, Sam, ou le bienfait. En tout cas, fais attention maintenant, si elle est très froide ! » L’eau était fraîche, mais non glacée, et elle avait un g oût désagréable, en même temps amer et huileux, du moins est ce ce qu’ils auraient dit chez eux. Ici, elle semblait au -dessus de tout éloge, et aus...
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LUCRÈCE ET LA MORALE ÉPICURIENNE
qu'est la vie ! Ne sais-tu pas ce que crie la nature ? Qu'elle ne veut pour le corps que l'absence de douleur, pourl'esprit que le sentiment de bien-être, sans inquiétude et sans angoisse ?Il faut peu de chose au corps : tout ce qui supprime la douleur peut aussi lui procurer bien des délices. La natureelle-même ne réclame alors rien de plus agréable : s'il n'y a pas dans les maisons des statues dorées de jeunes genstenant dans leurs mains droites des lampes allumées pour éclairer les orgies de...
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Il arriva bientôt à un espace découvert, où une petite
« Eh bien, il faut partir dès que possible, dit Eomer. Même ainsi, nous ne pouvons espérer arriver au secours de Gondor aujourd’hui. » Merry n’attendit pas d’en entendre plus long, mais il s’éloigna à pas de loup pour se prépa rer à l’ordre de marche. C’était la dernière étape avant la bataille. Il ne lui paraissait guère probable que beaucoup y survécussent. Mais il pensa à Pippin et aux flammes dans Minas Tirith, et il domina sa propre peur. Tout alla bien ce jour -là, et ils n ’eu...
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s'ornaient de vertes palmes, luttes commémoratives fidèles à la tradition
doute, iln’y avait plustrace deces villes-fortins, parl’établissement desquellesons’assurait jadislapossession d’une province etqui sont àl’origine detant devilles brésiliennes delacôte oudes fleuves : RiodeJaneiro, Vitoria, Florianopolis danssonîle,Bahia etFortaleza surlecap ; Manaus, Obidosaubord del’Amazone ; ouencore VillaBella de Mato Grosso dontlesruines périodiquement envahiesparlesIndiens Nambikwara subsistentprèsduGuaporé : jadis garnison fameused’un capitão demato – capitaine delabrous...
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Amérique centrale.
courant du Pérou, ou courant de Humboldt, longeant la côte péruvienne, rafraîchit l’air, l’empêchant ainsi d’absorber une grande quantité de vapeur d’eau et réduisant leséventuelles précipitations. Au contraire, la température élevée de la mer des Antilles permet une importante absorption de l’humidité par l’air, qui est ensuite acheminée parles vents d’est (alizés) qui soufflent en permanence. Une importante condensation se forme, provoquant des pluies, lorsque l’air acheminé par les vents pass...
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Amérique du Nord.
2.4 Climat Bien que les climats de l’Amérique du Nord soient extrêmement variés, on peut définir cinq principales régions climatiques. Les deux tiers septentrionaux du Canada et del’Alaska, ainsi que le Groenland, sont caractérisés par des climats arctiques et subarctiques, où la rigueur des longs hivers sombres alterne avec la douceur des courts étés.Ces régions, aux pluies relativement rares, sont recouvertes de neige et de glace pendant une grande partie de l’année. Une deuxième région clima...
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Amérique du Nord.
2.4 Climat Bien que les climats de l’Amérique du Nord soient extrêmement variés, on peut définir cinq principales régions climatiques. Les deux tiers septentrionaux du Canada et del’Alaska, ainsi que le Groenland, sont caractérisés par des climats arctiques et subarctiques, où la rigueur des longs hivers sombres alterne avec la douceur des courts étés.Ces régions, aux pluies relativement rares, sont recouvertes de neige et de glace pendant une grande partie de l’année. Une deuxième région clima...
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Amérique du Sud.
2.5 Climat Le climat de l'Amérique du Sud est relativement chaud. Une longue zone climatique humide et tropicale s'étire sur toute la largeur du continent à la hauteur de l'Équateur,se transformant graduellement vers le nord et vers le sud en de larges zones où la durée des saisons pluvieuses et les précipitations diminuent. Ces régions, aux étéshumides et aux hivers secs, sont soumises à des sécheresses prolongées. La sécheresse est un problème particulièrement grave dans le nord-est du Brésil...
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Classification - biology.
species based on the fewest number of shared changes that have occurred from generation to generation. IV HISTORY OF CLASSIFICATION SYSTEMS Classification is one of the oldest sciences, but despite its age it is still a vigorous field full of new discoveries and methods. Much like other fields of science, greatthinkers have shaped the course of classification. One of the earliest classification schemes was established by Greek philosopher Aristotle, who lived in the 300s BC. Aristotle believe...
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Native American Religions.
In the worldview of most of the indigenous peoples of North America, there were also spiritual beings to be avoided. Native Americans of the Southwest in particular,such as the Navajo and Apache, dreaded contact with ghosts, who were believed to resent the living. These peoples disposed of the bodies of deceased relativesimmediately and attempted to distance themselves from the spirits of the dead, avoiding their burial sites, never mentioning their names, and even abandoning thedwellings in whi...
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Mongolie (1983-1984)
En Mongolie, la poursuite de la politique d'"arrachage des mauvaises herbes",
inaugurée en décembre 1981, au sein du...
Mongolie (1983-1984) En Mongolie, la poursuite de la politique d'"arrachage des mauvaises herbes", inaugurée en décembre 1981, au sein du Parti révolutionnaire du peuple de Mongolie et des administrations du gouvernement, a commencé à porter ses fruits: beaucoup de dirigeants ont été éliminés ou transférés. Ce pays sous tutelle soviétique a accentué en 1983...
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Kl)E(aacov EEVLap.os >.axcivcov • ~ ♦Lllav acai xcipLv fi
wapci8EOLS p.C)OXCdV P.ETà ix8pas
Mieux vaut offrir l'hospitalité avec des herbes...
Kl)E(aacov EEVLap.os >.axcivcov • ~ ♦Lllav acai xcipLv fi wapci8EOLS p.C)OXCdV P.ETà ix8pas Mieux vaut offrir l'hospitalité avec des herbes et de l'affection que de l'offrir avec un veau gras et de l'inimitié Cette maxime qui redit l'importance, non de ce que l'on fait, mais de l'état d'esprit dans lequel on l'accomplit (cf. n.501, y compris pour une expression similaire chez Sénèque), dérive des Proverbes vétérotestamentaires ( 15, 17) ; la version de la Vulgate (Melius est vocare ad holera cum...
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VERLAINE (1844-1896) : CHARLEROI
Commentaire du texte --------------- Le lecteur de ce poème convient d'emblée qu'il se trouve devant un texte novateur et déconcertant, fait pour subvertir son horizon d'attente : il n'est pas question ici de satisfaction facile ou de joliesse. Le poète refu se à la fois les valeurs académiques et les moyens d'expression qui étaient jusqu'alors ceux de la poésie, pour nous engager dans d'autres voies ... Une atmosphère pesante Contrair...
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Charleroi de Paul Verlaine
CHARLEROI CHARLEROI Dans l'herbe noire Les Kobolds vont. Le vent profond 4 Pleure, on veut croire. Quoi donc se sent? L'avoine siffle. Un buisson gifle s L'œil au passant. Plutôt des bouges Que des maisons. Quels horizons 12 De forges rouges ! On sent donc quoi? Des gares tonnent, Les yeux s'étonnent, 1s Où Charleroi?
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Boris Vian, Poésies
La paillasse et le châlit La poussière de soleil J'aime le judas qui s'ouvre Les hommes qui sont entrés Qui s'avancent, qui m'emmènent Retrouver la vie du monde Et retrouver la couleur J'aime ces deux longs montants Ce couteau triangulaire Ces messieurs vêtus de noir C'est ma fête et je suis fier Je l'aime, je l'aime Ce panier rempli de son Où je vais poser ma tête Oh, je l'aime pour de bon Il suffit que j'aime Un petit brin d'herbe bleue Une goutté de rosée « Un amour d'oiseau peureux Ils casse...
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- désherbage - agriculture et agroalimentaire.
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Arthur Rimbaud, Le dormeur du val - Analyse
particulière, tr ès vive et active, comme le traduisent les nombreux verbes d'action utilis és («chante» renforc é par l'allit ération de consonnes dentales au vers 1, «accrochant», «mousse»...) qui contribuent à personnifier les diff érents éléments naturels: la «rivi ère», la «montagne», le «val». Cette impression de foisonnement et de complexit é est encore accentu ée par l'utilisation de subordonn ées («o ù chante...», «qui mousse...»), l'adverbe d'intensit é «follement», mais pas...
- Dictionnaire en ligne: ENHERBER, verbe transitif.
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HUGO, Victor – J'aime L'araignée Et J'aime L'ortie
et ce dès le premier vers (« J'aime l'araignée et j'aime l'ortie »), la répétition du verbe « aimer » marquant ici uneinsistance qui ne manque pas de surprendre le lecteur.Mais ce dernier n’a pas fini d’être surpris, car un paradoxe s’impose d’emblée dans le texte, mis en relief par uneantithèse entre les verbes « aimer » et « haïr » : « Parce qu'on les hait ; » (vers 2). Ainsi la justification du poèteserait donc de vouloir s’opposer à une perception péjorative trop convenue de l’araignée et de...
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« Le Dormeur du val » Poésies (1870) RIMBAUD
AXES DE LECTURE MÉTHODIQUE 1 INTRODUCTION · « Le Dormeur du val » est un sonnet dont la structure est très originale. Correspondant à son titre, il présente des lieux, le« val», puis un personnage, « le dormeur», en orientant le lecteur vers une interprétation poétique et pleine de charme. Celui-ci se laisse ainsi conduire jusqu'au dernier vers, où il découvre une réalité inattendue. Le choc ressenti l'oblige alors à une nouvelle lec...
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LE CREPUSCULE. La Maison du berger. Alfred de Vigny
demandent à la Nature de douces et d'enivrantes consolations. Cette tendre mère, dans le sein de laquelle lesautres vont chercher l'oubli, le calme du cœur, Vigny montre qu'elle est une tombe ; et il la craint et il la déteste, etil crie sa haine et son effroi.Or, le passage que j'ai sous les yeux est un hymne de pieuse adoration envers la Nature, bienfaitrice éternelle qui,dans le silence des soirs, apaise l'âme endolorie. Contradiction qu'il serait trop facile d'expliquer en rappelant...
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Poésie amoureuse
Dieu veut qu'on ait aimé. Vivez ! faites envie, Ô couples qui passez sous le vert coudrier7• 1s Tout ce que dans la tombe, en sortant de la vie, On emporta d'amour, on l'emploie à prier. Les mortes d'aujourd 'hui furent jadis les belles. Le ver luisant dans l'ombre erre avec son flambeau. Le vent fait tressaillir, au milieu des javellesH, 20 Le brin d'herbe, et Dieu fait tressaillir le tombeau. La forme d'un toit noir dessine une chaumière; On...
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Guy de MAUPASSANT: « Farce normande » (Contes de la bécasse)
en entrait toujours » (l. 26). La description des participants se fait par masses : « toutes les femmes » (l. 10) sansdistinction ; « les hommes » au second paragraphe sont répartis en trois groupes, sans pour autant que l'on puissedistinguer les individus. Maupassant ajoute au cortège bon nombre « de gamins et de pauvres » (l. 27-28) surgisdes fossés.L'importance de la fête est notée par le repas d'abord, signe symbolique de la noce de campagne ; tous convergentd'ailleurs vers ce lieu qui embau...
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Davis Miles Dewey, 1926-1991, né à Alton (Illinois), trompettiste et chef d'orchestre
américain.
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)\HDLN0000100128 \LINK0031800323PE_0756T \LINK0060200609PE_0215T \LINK0062300629PE_0437T Davis Miles Dewey Trompettiste et chef d'orchestre américain * 25.5.1926, Alton, Illinois + 28.9.1991, Santa Monica, Californie L'initiateur du modern jazz doit sa célébrité à ses talents de trompettiste virtuose. Après des études en 1944-1945 à la Juilliard School of Music de New York, il joue aux côtés de Charlie Parker et transforme le be-bop dans le sens du cool jazz. Il dé...
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Maupassant, Farce Normande, Les Contes de la Bécasse. Vous ferez de ce texte un commentaire composé que vous organiserez à votre gré.
Session de septembre 1990 Toutes les femmes avaient des châles lâchés dans le dos, et dont elles tenaient les bouts sur leurs bras avec cérémonie. Ils étaient rouges, bigarrés, flamboyants, ces châles ; et leur éclat semblait étonner les poules noires sur le fumier, les canards au bord de la mare, et les pigeons sur les toits de chaume. Tout le vert de la campagne, le ve1t de l'herbe et des arbres, semblait exaspéré a...