1037 résultats pour "mme"
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A propos de la notion du réalisme, un critique contemporain, Albert Béguin, nous livre cette réflexion : «Le liseur de romans applaudit: «C'est comme dans la vie. » Il prouve par là qu'il est étranger à toute forme d'art. Les personnages d'une œuvre ne ressemblent pas davantage à ceux de la réalité que les habitants des songes. La Clytemnestre d'Eschyle, don Quichotte, les frères Karamazov, Mme Bovary, le Grand Meaulnes sont « vrais » justement parce qu'ils ne sont pas comme nous autre
IIe partie : « Les personnages d'une œuvre ne ressemblent pas davantage à ceux de la réalité que leshabitants des songes ». • Cependant la transcription directe de l'observation de la réalité, — celle par exemple des Goncourt, qui peignentsouvent des héros ayant réellement vécu, des cas pathologiques ou psychologiques entre autres, — ne donne pasles résultats attendus. Leur œuvre ne rencontrant qu'un succès d'estime est finalement un échec. • En art la réalité sans transposition ni choix ne réus...
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Étudiez la dénonciation des dérives du pouvoir dans le roman et dans le film
12 8 le cinéaste en accroît la violence. John Malkovich exécute un mouvement circulaire autour de la pièce et, empoignant Mme de Tourvel par les cheveux, il la précipite à terre. L'âme humi liée Racontant à la Marquise ce qui lui est arrivé, Cécile mentionne « le rouge de la honte » (XCVII). En se rapprochant de Danceny alors qu'il est en train de dévoyer sa bien-aimée, Valmont bafoue les préceptes de l'amitié. Dans sa demande de répara tion, Danceny...
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GUYON, Jeanne-Marie Bouvier de La Motte : sa vie et son oeuvre
L'inspiration de M"'• Guy on s'exerça aussi dans le commentaire de l'Écriture. On ne s'étonne pas de la voir méditer d'abord sur les textes les plus énigmatiques. Le Cantique de Salomon, illferprété selon le sens mystique et la vraie représentation des états intérieurs est publié à Lyon en 1688. Suivront des explications sur le Livre de Job, sur l'Apocalypse, le grand Commentaire sur le Nouveau Testament (1713), et sur l'Ancien Testament ( 1714-1715)...
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marquise de SEVIGNE : Correspondance
Il y avait peu de journaux au XVII ' siècle. C'est pour quoi les lettres étaient attendues avec impatience, sur tout celles de Paris. Elles permettaient de se tenir au courant de l'actualité poli tique , littéraire, mon daine. Ces lettres étaient lues à l'en tourage. Elles pou vaient même cir culer si elles n'avaient pas un caractère trop intime. Le livre Une ép istolière assidue L es quelque mille cinq cents lettres qui nous sont p...
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La cantatrice chauve, Ionesco. Résumé par scène (notes de lecture)
Scène 7- Mme Martin inverse les rôles à propos du retard, M Smith est furieux. La conversation commence difficilement. Mme Martin est embarassée et timide. Il y a un vocabulaire familier (mme Smith) : « s’emmerde » ; (les Smith) : « dégoutante », « mufle ». Mme Smith raconte un fait « extraordinaire » qu’elle a vu ce matin : un monsieur de 50ans penché pour faire ses lacets (elle est interrompue plusieurs fois pendant son récit). La sonnerie de la maison sonne 3fois, personne. Les couples se dis...
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Le rôle des femmes dans l’ascension sociale de Bel-Ami.
Rachel la prostituée, l’union de George et Mme Forestier, Mme Walter et enfin le mariage entre George et Suzanne. A la fin du roman, Madame de Marelle restera la maitresse de George. Le 3eme rencontre importante de Duroy sera Virginie Walter, la femme de son patron, qui deviendra sa 2em maitresse. C’est une proie facile pour Bel-Ami malgré sa réputation de femme honnête qui ne trompe pas son mari. Elle sera la maîtresse acharnée, maladroite, fatigante et cependant s...
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Abécédaire de La Cantatrice chauve
d'intérêts mais ont un sens malgré tout, tandis qu'a la fin, les personnages semblent sous l'emprise de la folie et enchaînent les répliques sans queue ni tête comme :[pic 3] "M. SMITH Kakatoès, kakatoès, kakatoès, kakatoès, kakatoès, kakatoès, kakatoès, kakatoès, kakatoès, kakatoès. [pic 4] Mme. SMITH Quelle cacade, quelle cacade, quelle cacade, quelle cacade, quelle cacade, quelle cacade, quelle cacade, quelle cacade, quelle cacade." Hasard : Dans La Cantatrice Chauve, Ionesco instaure...
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Le sentiment de la nature dans La Fontaine et Mme de Sévigné.
aussi, toute fraiche et vierge, leur poesie penetrante. Its n'y sont point minutieusement dessines - le genre de la fable ne le permettait pas - mais en quelques coups de crayon, ebauches seulement. La Fontaine ne les peint pas pour l'unique plaisir de peindre; it subordonne ses croquis au recit, dont ils ne sont en somme qu'un accessoire. Et ainsi, outre leur beaute propre, les vers les plus pittoresques en empruntent une autre a la fonction qu'ils remplissent dans l'ensemble, fonction utile po...
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Corrigé
disponible
Émile Zola, La Curée, description de Sidonie Rougon.
Mme Sidonie avait trente-cinq ans ; mais elle s'habillait avec...
Corrigé disponible Émile Zola, La Curée, description de Sidonie Rougon. Mme Sidonie avait trente-cinq ans ; mais elle s'habillait avec une telle insouciance, elle était si peu femme dans ses allures qu'on l'eût jugée beaucoup plus vieille. À la vérité, elle n'avait pas d'âge. Elle portait une éternelle robe noire, limée aux plis, fripée et blanchie par l'usage, rappelant ces robes d'avocats usées sur la barre. Coiffée d'un chapeau noir qui lui descendait jusqu'au front et lui cachait les cheveu...
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lecture analytique
II) Une éducation hors de commun a) Une mère d’exception Madame de Chartres est décrite comme une mère d’exception qui concentre toutes les qualités, a l’exception de la jeunesse et de la beauté. Ses qualités morales sont énumérées, mis en valeur par l’adjectif hyperbolique » extraordinaire » , « le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaire ». Elle s’est retiré de la Cour pour se consacrer à l’éducation de sa fille, registre de l’éducation présent, AU XVIIème siècle les jeun...
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Bel-Ami de Guy de Maupassant
financières. L'idéal journalistique est bafoué au nom d'intérêts ou d'ambitions. Le roman dénonce aussi le colonialismefrançais de l'époque. 5. Bel-Ami ou la réussite par les femmes : présentez-les et indiquez leurs relations avec le héros. Mme de Marelle (Clotilde), maîtresse de Georges Duroy. Mariée à un homme presque toujours absent. Gaie, vive,intelligente, charmante. A loué un appartement rue de Constantinople pour abriter leurs amours. Elle sera samaîtresse presque tout a...
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Madame de Staël écrit en 1800 dans De la Littérature (Première Partie, chap.11) : «Ce que l'homme a fait de plus grand, il le doit au sentiment douloureux de l'incomplet de sa destinée. Les esprits médiocres sont, en général, assez satisfaits de la vie commune ; ils arrondissent, pour ainsi dire, leur existence, et suppléent à ce qui peut leur manquer encore par les illusions de la vanité ; mais le sublime de l'esprit, des sentiments et des actions doit son essor au besoin d'échapper a
action ne soit pas la médiocre réussite financière et sociale, et l'accent est très antibourgeois chez cette fille debanquier (Necker) : elle souffre certainement d'appartenir à cette classe qui va médiocrement dominer le XIXe siècleet, bien qu'elle ait été suspecte aux révolutionnaires et ne doive pas tarder à l'être à l'empereur, elle regarde avecnostalgie du côté des héros de la Révolution et des guerres de Bonaparte, toujours bondissant vers un inaccessibleidéal. 3 La naissance de la mélanco...
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ANALYSE TEXTUELLE : LIAISONS DANGEREUSES
Mme DE STAEL, Delphine→ roman ‘symphonique’ encore plus complexe qu’un roman polyphoniquecette complexité est due entre autres au fait qu’il s’agit d’une dialogue entre une voix transparente et une voix opaque Quelques éléments de narratologie La narratologie est l’étude de la narration.On peut discerner 2 types : 1) LA NARRATOLOGIE DU CONTENU = étude de l’organisation du contenu cfr. A. GREIMAS, Sémiotique narrative → ‘schéma actantiel’o part de l’idée que les personnages définissent l’actiono...
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Droit Civil : Droit des Sûretés - La preuve du cautionnement
par la caution. De même, cet acte doit permettre d'identifier le créancier, le débiteur, ainsi que l'objet de l'obligationde la caution. Suivant l'article 1326, tout acte sous seing privé constatant une obligation unilatérale de payer unesomme d'argent nécessite, quel qu'en soit le montant, la rédaction d'une mention, de la somme en chiffres et enlettres. La combinaison de ces deux textes aboutit à soumettre à la formalité probatoire dite de la mentionmanuscrite les cautionnements exc...
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la princesse de clèves-la scène de la rencontre
II. Le coup de foudre Dans l’espace clos où se déroule la rencontre, les regards et les points de vue déterminent la nature de la relation qui va lier le deux protagonistes. A. Le thème lexical du regard Souvenir de l’esthétique précieuse, le regard précède la parole dans le langage amoureux et révèle avant elle, et bien mieux, la puissance de l’amour. D’où les nombreuses occurrences du verbe voir (9) et yeux (2). Contrai...
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La structure narrative du roman d'apprentissage
E X P 0 S É S F C H E S policier. Avec le roman d'apprentissage, elle passe au second plan, au profit de l'évocation de la vie du héros. C'est l'évolution intellectuelle, morale et senti mentale de celui-ci qui passe au premier plan et tient lieu d'intrigue. Le roman déroule une série d'expériences ou d'épreuves qui modifient le personnage. L'accomplissement de cette dissolution de l'intrigue se produit avec L'Éduca tion sentimentale, puisque ce q...
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Dfinition: AGNAT, -ATE, substantif.
Ce n'tait pas la naissance, c'tait au culte seul que l'on reconnaissait les agnats. Le fils que l'mancipation avait dtach du culte, n'tait plus agnat de son pre. L'tranger qui avait t adopt, c'est--dire admis au culte, devenait l' agnat de l'adoptant et mme de toute sa famille. Tant il est vrai que c'tait la religion qui fixait la parent. NUMA-DENIS FUSTEL DE COULANGES, La Cit antique, 1864, page 66....
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Égarements du coeur et de L'ESPRIT (les) de Crébillon fils (analyse détaillée)
l'indifférence le soula ge d'abord, puis l'irrit e ju s qu'à l'i ndig natio n méprisante. Il décide de rest er pour lui dire son fait et joui r de sa confusion. Ma is l a c o nv ers ation ne toume évide mm ent pas à son avant age . et la tendre confes sion de Mme de Lurs ay le rend enfin au ssi co up abl e q u'il pouvait l'ê tre et aura it d O l'être dep uis longtemps. Sa « victoire » ne combl e p as le vid e de son ame. tendu e vers Hortense : et...
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Commentaire d'arrêt : Cour ' cassation, 1ère Civ., 20 janvier 2010.
'ux personnes en concubinage ont construit un pavillon, dans lequel ils vivent 'puis ' nombreuses années, grâce aux ressources communes et à un empruntbancaire ' Mme Z cautionné par son mari. Le problème qui se pose est ' savoir s'il y a eu une société créée ' fait entre Mme Z et son mari. La chambrecommerciale n'a pas admis que la participation financière à la réalisation d'un projet immobilier pouvait être considérée comme un apport car en l'espèceelle était déduite ' la volonté 's concubins '...
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Royaume-Uni (1985-1986):
La solitude de Mme Thatcher
Après la défaite des mineurs en mars 1985, l'année s'annonçait plutôt bonne pour...
Royaume-Uni (1985-1986): La solitude de Mme Thatcher Après la défaite des mineurs en mars 1985, l'année s'annonçait plutôt bonne pour Mme Thatcher. Au cours du premier semestre, la vigueur de l'investissement des entreprises privées et la forte croissance des exportations ouvraient des perspectives économiques favorables. Et en effet, selon le National Institute, le PIB s'est accru de 2,75% en 1985, le déficit de la balance commerciale des biens non pétroliers s'est légèrement réduit par rappor...
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La Princesse de Clèves: Fonction et positionnement des événements politiques, hasard ou fatalité ?
CANTILLON Alain, La Princesse de Clèves, Nathan, Paris, 1989 BIET Christian et RNZEAUD Pierre, Collection texte et contexte, La Princesse de Clèves, Paris, 1989 LEVILLAIN Henriette, La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette, Folio, 1995 NIDERST Alain, La Princesse de Clèves : le roman paradoxal, Paris, Larousse, 1983 Stéphane Lojkine, « L'invention de la scène de roman : La Princesse de Clèves », Aix-en-Provence, octobre 2008, cours sur La scène de roman, genèse et histoire,(http://galatea.u...
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LES SALONS. — L'ENCYCLOPÉDIE. — BUFFON
arriéré, et qu'il valait mieux en entreprendre un autre, tout nouveau. Il en chargea Diderot et d'Alembert. Ces deux derniers se partagèrent la besogne et cherchèrent des collaborateurs. En 1750,Diderot publia un prospectus. En 1751, parut le Discours préliminaire, dans lequeld'Alembert faisait un tableau des progrès de l'esprit humain et une classification généraledes sciences. Deux fois « suspendue » par le gouvernement, l'Encyclopédie put acheverde paraître grâce à un subterfuge : les...
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Éducation sentimentale (L'), histoire d'un jeune homme. (analyse détaillée) de Gustave Flaubert
Première partie. En 1840, le jeune bachelier Frédéric Moreau aperçoit, sur le bateau qui le mène à sa ville natale de Nogent-sur-Seine, la belle Mme Arnoux dont il tombe immédiate ment amoureux ; elle est la femme de jacques Arnoux, un petit bourgeois médiocre et débon naire (chap. 1 ). Frédéric retrouve bientôt Deslau riers, son ami de toujours, et les deux jeunes gens évoquent avec enthousiasme leurs projets d'ave nir (2). La première ann...
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Le système des couples dans Une partie de Campagne (Maupassant et Renoir)
vis-à-vis. On est ainsi en présence d'une structure triangu laire qui, symboliquemen t. rend visible le mode d'organisa tion du clan : la grand-mère Mme Dufour He nriette -- ------------- - Anatole Ce schéma, qui reproduit le plan du pique-nique, désigne M. et Mme Dufour, solidement installés au centre de l'espace, comme le couple principal : leur mariage est légi time, consommé, réel. À la base du triangle, plus éloignés l'un de l'autre et occupant u...
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ARMANCE ou Quelques Scènes d'un salon de Paris en 1827 de Stendhal (fiche de lecture)
1971, circulait sous forme manuscrite dans les salons ; le second, attribué à Hyacinthe de Latouche, venait de paraître sans nom d'auteur en 1826. Par jeu, dirait-on, Stendhal reprend à son compte ce sujet scabreux. Sorti à vingt ans de l'École polytechnique, Octave de Malivert inquiète ses parents par sa tristesse et sa misanthropie. Fêté dans le salon de la marquise de Bonnivet parce qu'on y tient pour acquis le vote de la loi qui fe...
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Fiche de lecture : De demain j'arrête de Gilles Legardinier
était trop épaisse pour passer par la porte du garage. Comme d’habitude Julie rendit visite à Mme Roudan et Julie eut une idée de génie pour faire sortir la voituremais c’était risqué car ils devaient démolir le mur pour passer à travers qui menait directement dans le parc. Et tout le monde jouaient le jeu et ils réussirent leurcoup. Quelques semaines plus tard Ricardo lui annonça qu’il partait pendant 5 à 6 jours sans dire où il allait qu’est ce qu’il comptait faire il ne lui dit rien. LorsqueR...
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francais
Dans le roman de Bel-Ami, Maupassant décrit un monde réaliste et lie les thèmes de l’argent et de la réussite sociale avec celui des femmes. Les relations amoureuses du personnage principal, Georges Duroy, vont lui permettre de réussir financièrement, socialement et politiquement. C’est un arriviste qui va utiliser et exploiter les femmes pour parvenir à son ascension. Ainsi, elles ne sont plus considérées comme des sujets mais comme des objets de désir et de réussite sociale, et leurs...
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Lecture analytique incipit Princesse de Clèves
III. Un modèle de première rencontre 1) Un récit dramatisé et théâtralisé 2) La première rencontre DEVELOPPEMENT. Le lieu et sa description sont polysémiques : ils dénotent de manière réaliste la cour de Louis XIV (que Mme de Lafayette fréquentait et connaissait donc bien) à travers celle d’Henri II (XVIème siècle), mais ils peuvent également connoter un lieu et un moment typiques du conte de fée. 1) Le...
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GOETHE EN FRANCE
dener; le Peintre de Salzbourg (1803), de Nodier; Ober man (1804), de Senancour; Eugénie de Rothelin (1808), de Mme de Souza; Adolphe ( 1816), de Constant; Joseph Delorme (1829), de Sainte-Beuve ... Condamné, réfuté, Werther demeure, jusqu'aux lendemains de 1830, un livre où se goûte la saveur amère du «mal du siècle», où se mire et se reconnaît, avec une complaisance maso chiste, une aspiration au bonheur vouée au désespoir. Auprès de ce werthérisme,...
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Thérèse RaQUIN, d'Émile Zola
COMMENTAIRE DU DÉBUT DU CHAPITRE 5 DE THÉRÈSE RAQUIN (1867) D'ÉMILE ZOLA : LA RENCONTRE ENTRE LAURENT ET THÉRÈSE TEXTE Un jeudi, en revenant de son bureau, Camille amena avec lui un grand gaillard, carré des épaules, qu'il poussa dans la boutique d'un geste familier. – Mère,demanda-t-il à Mme Raquin en le lui montrant, reconnais-tu ce monsieur-là ? La vieille mercière regarda le grand gaillard, chercha dans ses souvenirs et ne trouvarien. Thérèse suivait cette scène d'un air placide. – Comment !...
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Les Liaisons dangereuses : Etudiez les personnages secondaires
Merteuil à Valmont (2 et 5), elle tombe amoureuse du chevalier Danceny, jeune homme de dix-huit ans, tout aussi innocent et passionné qu'elle. • Instrument de la machination de la marquise, qu'elle prend pour amie et confidente, elle lutte d'abord contre elle-même et contre les tentations de l'amour, puis elle laisse -sur les conseils de Mme de Merteuil -libre cours à sa sensibilité amoureuse avec Danceny, et à sa sensualité avec Valmont. Après avoir é...
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STENDHAL : Le Rouge et le Noir (I, 6) : PREMIERS REGARDS, PREMIER BONHEUR
II. - UNE SCÉNE ANIMÉE D'UNE GRANDE FRAiCHEUR DE SENTIMENTS : 1. I.e prélude : les deux personnages O. 1-5) : Mme de Rênal : vivacité, grâce ; Julien Sorel : gaucherie, jeune paysan, presque encore enfant. 2. La conversation (1. 6-19) : Mme de Rênal : douceur dans les sentiments, l'attitude et les paroles; Julien : Timidité, crainte, tout honteux. 3. Les Impressions O. 20-25): Mme de Rênal : émotion contenue, puis exprimée...
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Jacques le Fataliste et son maître de Denis Diderot (résumé de l'oeuvre & analyse détaillée)
l'histoire de Mme de la Pommeraye ; le 7e jour, un client de l'auberge, le marquis des Arcis, raconte l'histoire de Richard et du Père Hudson. Le 9e jour, Jacques n'a toujours pas fini l'histoire des ses amours. Le temps de régler quelques ,affaires et les deux compagnons réapparaissent quinze jours plus tard. A la suite d'une rixe, Jacques est jeté en prison et Diderot invite le lecteur à terminer à son gré l'histoire de ses amours, lui-mê...
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LACLOS Pierre Ambroise Choderlos de : sa vie et son oeuvre
rie française de Naples, il meurt de la dysenterie à Tarente, cette même année. Depuis longtemps (cf. ses Observations du général Laclos sur le roman théâtral de M. Lacretelle aîné, 1803), il songeait à un nouveau roman qui, à l'image du Fils naturel de Louis Lacretelle ( 1802), eOt été. cette fois, «le roman des liaisons heureuses >> (L. Versini). Le roman par lui-même Au siècle de Clarisse Harlowe et de la Nouvelle Héloïse, le choix par Laclos...
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Princesse de cleves.
Remords, culpabilité, une certaine amertume de la Princesse de Clèves. Les sentiments ne meurent pas mais finissent par se subordonner à la raison. On remarque 2 parallèles dans ce texte, temps et passion / et raison et passion. Langage Le vocabulaire que Mme de La Fayette utilise est plutôt simple, très épuré pour exprimer des sentiments essentiels (classicisme). Elle raconte un thème classique c’est-à-dire le paradoxe entre passion ravageuse et la raison. IV- Le plan et mouvement du tex...
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L'aveu de La Pommeraye dans Jacques le Fataliste, Diderot
c)Une interruption posticheL'interruption de l'hôtesse par son mari est postiche dans la mesure où elle ne débouche sur rien. Elle sert à rompre l'illusion. Elle initie ainsi le lecteur à une lectureconsciente d'elle-même tout en le divertissant : en effet, elle permet l'irruption du comique au cœur même du pathétique.Le contraste né de la superposition des registres de langue à l'occasion de la superposition des discours débouche sur une scène burlesque : « On n'a pas un momentde repos dans cet...
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Madame du Deffand (1697-1780) CORRESPONDANCE « Je déteste la vie » - Lecture méthodique
reçois vos lettres, celui où j'y réponds me consolent, m'occupent et même m'encouragent. » Lecture méthodique PRÉSENTATION DU TEXTE L'extrait de lettre adressée par Mme du Deffand à Horace Walpole donne une image assez pessimi ste de la « comédie humaine », celle de la vie mondaine et du désarroi dans lequel se trouve la narratrice. Doutant de l'amitié, ennuyée jusqu'à la souffrance morale, elle en vient à s'interroger sur le sens même de...
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Lecture Analytique La Princesse de Clèves
personneétaient pleins de grâce et de charmes." Un portrait esquissé Le passage constitue la première apparition de l'héroïne éponyme du roman. Il revêt donc une importance capitale pour le lecteur qui attend un certain nombre d'informations sur le personnage principal ; le portrait physique, notamment, est un passage obligé. Pourtant, les attentes du lecteur sont partiellement comblées, puisque le portrait physique concentre seulement quelques lignes, à la fin de l'extrait. Le narrateur sembl...
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�es genres: modernité et tradition
Autant la nouvelle de Mme de Lafayette apporte à la littérature de son temps
....
�es genres: modernité et tradition Autant la nouvelle de Mme de Lafayette apporte à la littérature de son temps . le renouveau, autant son adaptation par Bertrand Tavernier relève d'un cinéma traditionnel. D Un récit «moderne» 1. Les nouveaux codes du Classicisme 1 En 1662, le mouvement du Classicisme s'impose peu à peu. Les longs romans d'aventures, aux rebondissements et aux personnages multiples, com mencent à lasser. 1 La nouvelle de Mme de Lafayette vient renouveler le genre romanesque: c...
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L'École des mères (résumé & analyse) de Marivaux
ment. Il garde l'idée de la rivalité fortuite du père et du fils, mais supprime les coups du hasard qui mettent les personnages en présence les uns des autres. Ce qui n'était qu'écriture rapide chez Dancourt devient, chez Mari vaux, une pièce traitant du problème de l'éducation des enfants, et en particulier de celle des filles. C'est un sujet auquel l'auteur tenait: nous en retrouvons des échos dans le Specuueur français. Pour Marivaux, la communi cat...
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PIERRE ET jEAN. Roman de Guy de Maupassant (résumé & analyse)
l'heur eux événemen t (3). Il sort en mer, mais la brume l'oblige à rentrer. Il co mmenc e alors une « enquê te minutieuse » pour découvri r la vérité. Un souv enir lui revien t : Maréchal « avait été blond, blond comme jean» (4). Pierre demande à sa mèr e le portrait de Mar échal. Une excursion à Trou ville, dont il atte nd une diversion, lui dév oile la « perversité féminine ». Le trouble de sa mèr e à propos du portr ait, ajouté à la ressem bla...
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salon.
De nombreux Salons firent leur apparition au lendemain de la Première Guerre mondiale : le Salon des Tuileries, fondé en 1923, où triompha la peinture réaliste des années trente (Brianchon, Dufresne, d'Espagnat, Laprade, Legueult, Cavaillès, Oudot, Utrillo, Vlaminck, etc.), et le Salon des surindépendants, fondé en 1929 (qui, d'abord expérimental, a perdu progressivement son intérêt), furent les plus importants, tandis qu'« Artistes français », « Nationale » et « Indépendan...
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fiche de français
Conclu sion : - c a dr e s p atio-tempor el pour rendr e plu s vrai. -valeur symboliqu e -Lien s av e c le mond e s e réduit av e c s a m aitre s s e -La foule l’étourdit -Comm e nt Zola rend compt e d e la ré alité Lecture a n alytiqu e 2 Le s liaison s d a ng er e u s e s , Laclo s 1752 Introduction : -Laclo s : 1741-1803, é crivais « s c a n d al e ux » du XVIII si ècle. Il e st is su d e la p etite noble s s e , c’e st un é crivain libertin, il e nt a...
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Thérèse Raquin de Zola - Résumé par chapitre
Thérèse Raquin portrait pourtant raté. Alors que Thérèse et Laurent se retrouve seuls dans une pièce, Laurent, qui se sent attiré par la femme de son ami, oublie toutes bonnes manières et accomplit l'acte sexuel avec elle, qualifié de « silencieux et brutal ». Chapitre n°7 : Laurent commence à revoir Thérèse av ec un stratagème qui fut celui de rentrer par la fenêtre . Une fois lavée , Laurent se rend compte que Thérèse n’est pas une amante comme les autres et se met à l’aim...
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Le roman et ses personnages
années 1688 et 1689', qui ne seront publiés qu'après sa mort. Femme à la plume acérée, les œuvres de Madame de Lafayette annoncent le roman moderne . Princesse de Clèves Le roman La princesse de Clèves est écrit en 1678 par Madame de La Fayette, cependant il est d’abord publié anonymement, ce qui entraine de nombreux questionnements sur l’identité de l’auteur. Ce roman est considéré comme le premier roman moderne. En effet l’auteur explore la psychologie de ses protagonistes...
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Fiche de lecture Bel-Ami
Suzanne Walter : Fille de Mme Walter, c’est une adolescente passionnée de romantisme. Elle épouse Bel -Ami. Rival : Chroniqueur. Norbert de Varenne : Poète solitaire et pessimiste aux tendances suicidaires. Laurine : Fille de Mme Marelle, elle est à l’origine du surnom de Bel -Ami. Rachel : Prostituée amoureuse de Georges, ce dernier la rencontre aux Folies Bergères, elle ne le fai t pas payer. Louis Langremont : Journaliste au journal La Plume , concurrent d...
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Rousseau - Les Confessions: « Ce souvenir cruel me trouble quelquefois... » - Le ruban volé
Rousseau – Les Confessions « Ce souvenir cruel me trouble quel quefois... » Texte Le ruban volé Il est bien difficile que la dissolution d'un ménage n'entraîne un peu de confusion dans la maison, et qu'il ne s'égare bien des choses. Cepe ndant telle était la fidélité des domestiques, et la vigilance de M. et Mme Loren zi, que rien ne se trouva de manque sur l'inventaire. La seule Mlle Ponta perdit un petit ruban couleur de ro...
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Le Mauvais Genie
Les gendarmes se retirerent et temoignerent a Bonard tout leur interet et leurs regrets.
M. GEORGEY.Vous pas comprendre? C'est etonnant! Vous rien savoir. Un magpie, c'etait une grosse oison qui avait des plumets blanc et noir, qui parlait beaucoup toujours. On disait de femmes: elle parlait comme une magpie. CAROLINE.Ah! Monsieur veut dire une pie! M. GEORGEY.Tres justement! Une pie! C'etait ca tout justement; comme vous, Caroline. M. Georgey, fatigue de sa journee de la veille et de sa matinee, voulut rester chez lui pendant quelque temps a travailler a ses plans et a ses mode...
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''Par leurs deux personnages significatifs, les liaisons dangereuses sont une mythologie de la volonté ; et leur mélange permanent de volonté et de sexualité est leur plus puissant moyen d'action. '' Préface d'André Malraux, 1939. Vous vous demanderez si ce n'est pas ce ''mélange permanent de volonté et de sexualité'' qui fait des liaisons un roman libertin.
Enfin, dans cette troisième et dernière partie, nous allons voir que la volonté est en fait le concept même du romanlibertin.Tout d'abord, nous allons voir que le libertin a pour seul volonté son plaisir. Égoïste, le libertin ne cherche riend'autre son propre plaisir même si cela peut faire du mal au autres.La volonté est la définition même du roman libertin.Au XVIIIe siècle, la religion est remise en cause et les mœurs changent.Les morales sont discutées par les plusgrand philosophe de...
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Jacques le Fataliste et son maître. Roman de Denis Diderot (analyse détaillée)
présence du chevalier, qu'il tue en duel. Ainsi s'achève l'histoire du martre. Celle de Jacques n'aura pas de fin bien déter minée, puisque l'éditeur nous en propose trois versions. La première présente Jacques en train de quémander les faveurs de Denise. La deuxième décrit le sensuel massage de son genou par la jeune fille. La troisième montre Jac ques jeté en prison après le meurtre du chevalier, puis délivré avec des brigands par...