669 résultats pour "soir"
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Guy de Maupassant, Bel-Ami: Quand la caissière lui eut rendu la monnaie de sa pièce de cent sous, Georges Duroy sortit du restaurant.
question 1 Relevez, sous la forme d'un tableau, des expressions du texte relatives : à l'apparence du personnage principal Georges Duroy, à sa situation sociale et financière. Quelle idée vous faites-vous de ce personnage ? (2 points) Apparence dupersonnage Situationsociale et G. Duroy financière deG. Duroy - il portait beau - ancien sous-officier - cambra sa taille - un geste militaire - frisa sa moustache - il lui restait juste en pochetrois - regards de joli garçon francs quarante...
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La Legende des Siecles
Et son cou d'où sortait, dans un bruit de tempête,
Un flot rouge, un sanglot de pourpre, éclaboussant
Les convives, le trône et la table, de sang.
Sortant du frais bouton comme d'une urne ouverte, Charge la petitesse exquise de sa main; Quand l'enfant, allongeant ses lèvres de carmin, Fronce, en la respirant, sa riante narine, La magnifique fleur, royale et purpurine, Cache plus qu'à demi ce visage charmant, Si bien que l'oeil hésite, et qu'on ne sait comment Distinguer de la fleur ce bel enfant qui joue, Et si l'on voit la rose ou si l'on voit la joue. Ses yeux bleus sont plus beaux sous son pur sourcil brun. En elle t...
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La dame de Monsoreau v.
En ce moment un homme s'approcha du gentilhomme et declina ses qualites. C'etait le majordome. M. de Monsoreau repondit a son tour par l'enumeration de ses nom, prenoms et qualites. Le majordome salua respectueusement; le nom du grand veneur etait des longtemps connu dans la province. Monsieur, dit-il, veuillez entrer et prendre quelque repos. Il y a dix minutes a peine que monseigneur est sorti; Son Altesse ne rentrera pas avant huit heures du soir. Huit heures du soir! reprit Monsoreau en ro...
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avenir !
conditions pourlutter contre lafortune ! C’estunefemme, aprèstout,etelle aime lesgens qui sont capables deladominer ! – Elle nousatrahis, cependant ! – Bah !… Unsimple caprice !… Etson caprice passé,ellenous reviendra ! » Silas Toronthal nerépondit rien.Entendait-il mêmeceque luidisait Sarcany, tandisqueses yeux nequittaient paslafeuille ducarnet, surlequel ilavait tracé sesinutiles combinaisons ? « Que faisiez-vous donclà ?demanda Sarcany.Desmarches, desmartingales ?… Diable !…Vous me paraissez...
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Quelle est la part d'invention dans une oeuvre autobiographique ?
la vision d'un soleil de soir d'hiver, entrant dans notre logis clandestin d'Eyoub ? Ou bien une phrase dite par elle, qui me revient, avec les intonations de la langue turque et le son de sa jeune voix grave ? Ou tout simplementencore l'ombre de tel grand mur désolé, jetant sur un coin de rue solitaire l'oppression d'une mosquée voisine ? Ces sipetites choses, à peine saisissables, à peine existantes, à quoi donc sont-elles liées dans les tréfonds inconnus de l'âme humaine, à quoi d'antérieur v...
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APAISANT, -ANTE, participe présent et adjectif.
? 5. Voil? cependant qu'une femme m'explique sa conduite d'une fa?on qui me calme. Mon inqui?tude s'est dissip?e comme si mon coeur avait eu soif de ces paroles apaisantes. JOE BOUSQUET, Traduit du silence, 1935-36, page 46. B.? [En parlant de la nature silencieuse] : ? 6.... il [Patrick] ne pensait plus qu'? la jeune fille, avec une tendresse navr?e qui s'adoucit un peu quand sa voiture s'engagea, une fois Pringy et Chailly pass?s, entre les massifs s?culaires de la for?t tout d?nud?s par c...
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Roussel, Impressions d'Afrique (extrait).
La descente continua ainsi, lente et régulière. À chaque marche, le maître, consciencieusement, remuait la gerbe en tous sens avant d'y chercher, du bout des doigts, la désignation de tel son inattendu aussitôt gravé en caractères suffisamment lisibles. Les invités suivaient leur hôte pas à pas, vérifiant facilement la rectitude du travail par l'examen des faveurs diversement nuancées. Parfois, Corfield prenait la plume et la trempait dans l'encre avant de la rendre à l'aveugle. Au bout de dix m...
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Victor HUGO, Les Contemplations, « Mes deux filles ».
1. Dans le frais clair-obscur du soir charmant qui tombe,
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Victor HUGO, Les Contemplations, « Mes deux filles ». 1. Dans le frais clair-obscur du soir charmant qui tombe, 2. L'une pareille au cygne et l'autre à la colombe, 3. Belle, et toutes deux joyeuses, ô douceur ! 4. Voyez, la grande soeur et la petite soeur 5. Sont assises au seuil du jardin, et sur elles 6. Un bouquet d'oeillets blancs aux longues tiges frêles, 7. Dans une urne de marbre agité par le vent, 8. Se penche, et les regarde, immobile et vivant, 9. Et frissonne dans l'ombre, et semble,...
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Le Ventre de Paris
trouvait seul avec Logre et monsieur Lebigre, il se soulagea.
N'importe, disait-il en tapant sur les bras de Clemence, vous etes un homme, vous! Clemence avait trouve une nouvelle facon de faire le grog. Elle emplissait d'abord le verre d'eau chaude; puis, apres avoir sucre, elle versait, sur la tranche de citron qui nageait, le rhum goutte a goutte, de facon a ne pas le melanger avec l'eau; et elle l'allumait, le regardait bruler, tres-serieuse, fumant lentement, le visage verdi par la haute flamme de l'alcool. Mais c'etait la une consommation chere qu'e...
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La dame de Monsoreau v.
Toute cette cavalerie quitta la route de Fromenteau, prit a travers terre pour joindre Choisy, puis, passant la Seine au pont de Charenton, rentra par la porte Saint-Antoine pour aller se perdre, comme un essaim d'abeilles, dans l'hotel de Guise, qui semblait n'attendre que leur arrivee pour se refermer sur eux. Bon! dit Chicot en s'embusquant au coin de la rue des Quatre-Fils, il y a non-seulement du Mayenne, mais encore du Guise la-dessous. Jusqu'a present ce n'etait que curieux, mais cela va...
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Dictionnaire en ligne:
DISPENSER, verbe transitif.
Peste, 1947, page 1376 ). — Par euphémisme. Dispensez-moi (je vous dispense) de tout commentaire, de vos critiques et réflexions. Ne faites (je ne veux pas que vous fassiez) aucun commentaire. Synonymes : faire grâce (de), épargner. Schiller, (...) était sûr de rencontrer dans ses auditeurs assez de connaissances pour le dispenser de tout commentaire (BENJAMIN HENRI CONSTANT DE REBECQUE, Wallstein, 1809, page XVI. ). c) Par extension, littéraire. [Le sujet désigne une chose] Épargner, soustraire...
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Chapitre XLVI
Il arrive parfois qu'il pleuve en novembre dans la vallée de la Salinas.
Les Britanniques nousapprirent beaucoup dechoses, et,sinous lescopiâmes, c’est parce qu’ilsétaient devaleureux combattants. Leshommes commencèrent àporter leur mouchoir dansleurmanche, etcertains petitsgandins delieutenants nesepromenèrent plus sans unjonc àla main. Toutefois, ilest une mode àlaquelle nousrésistâmes longtemps : lamontre bracelet. C’étaitvraiment tropidiot. Nous avions aussinosennemis del’intérieur, etnous exercions unegrande vigilance. San José faisait lachasse auxespions etSali...
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La Chartreuse de Parme
entièrement remplie, mais de gens appartenant à la dernière classe et attirés apparemment par le spectacle de
l'illumination.
cette affectation à venir troubler sa rue solitaire, après l'avoir déjà chassée de son jardin. En parcourant les figures de femmes qui l'écoutaient, Fabrice remarquait depuis assez longtemps une petite figure brune fort jolie, et dont les veux jetaient des flammes. Ces yeux magnifiques étaient ordinairement baignés de larmes dès la huitième ou dixième phrase du sermon. Quand Fabrice était obligé de dire des choses longues et ennuyeuses pour lui-même, il reposait assez volontiers ses regards sur...
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Paul Verlaine - Romances sans paroles, Ariettes oubliées
sont avant tout auditives : une exclamation sur « le frêle et frais murmure », deux verbes en série, « gazouille et susurre », unecomparaison avec la douceur d'un cri, et une métaphore, « l'herbe agitée » qui « expire » ; le bruit que font les cailloux qui roulentest suggéré comme assourdi dans l'expression « le roulis sourd des cailloux », sorte de personnification à travers l'épithète « sourd». Mais c'est le troisième sizain qui opère explicitement l'unité entre l'état d'âme et le paysage : «...
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Définition:
AURORE, substantif féminin.
? 6. Comment cela s'appelle-t-il, quand le jour se l?ve, comme aujourd'hui, et que tout est g?ch?, que tout est saccag?, et que l'air pourtant se respire, et qu'on a tout perdu, que la ville br?le, que les innocents s'entretuent, mais que les coupables agonisent, dans un coin du jour qui se l?ve? ?LECTRE. ? Demande au mendiant. Il le sait. LE MENDIANT. ? Cela a un tr?s beau nom, femme Nars?s... Cela s'appelle l'aurore. JEAN GIRAUDOUX, ?lectre, 1937, II, 10, page 227. ? 7.... l'art v?nitie...
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morceau de viande
répéter sa phrase favorite : « Je suis une force », phrase qui devenait comique, quand on le voyait avec sa mince redingote noire, craqu ée aux épaules, et dont les manches lui remontaient audessus des poignets. Peu à peu, il s' était ainsi fait une religion de la force, ne voyant qu'elle dans le monde, convaincu que les forts sont quand m ême les victorieux. Selon lui, il suffisait de vouloir et de pouvoir. Le reste n'avait pas d'importance. Le ...
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Le nabab, tome II
trottoirs.
double clef,elle eut pourtant un soulagement de voir qu'il n'était pas rentré, qu'elle aurait le temps de calmer son émotion augmentée d'une longue marche inusitée à ses nonchalances de femme riche. Personne. Mais sur la table ce petit mot qu'il laissait toujours en sortant, pour que sa mère, dont les visites devenaient de plus en plus rares et courtes à cause de la tyrannie de Jenkins, pût savoir où il était, l'attendre facilement ou le rejoindre. Ces deux êtres n'avaient cessé de s'aimer tend...
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Mais pourquoi te raconter tout cela, ce fanatisme furieux se déchaînant contre moi-même, ce fanatisme si
ragiquement désespéré d'une enfant abandonnée ?
avec unecuriosité intéressée, jecompris aussitôtquetune m’avais pasreconnue. Tu neme reconnus pas,nialors, nijamais : jamaistune m’as reconnue. Commentpourrais-je, ômon bien- aimé, tedécrire ladésillusion decette seconde ? Cefut alors lapremière foisque jesubis cettefatalité dene pas être reconnue partoi,cette fatalité quim’a suivie pendant toutemavieetavec laquelle jemeurs : rester inconnue, resterencore toujours inconnue detoi. Comment pourrais-je teladécrire, cettedésillusion ? Carvois- tu, p...
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LES CAFÉS Littéraires de 1900 à 1909 : Histoire
LES CAFÉS LITTÉRAIRES. Le Lapin agile, dont on voit ici l'imérieur, esr enrrl dans la légende de la bohème monrmarrroise. © Coll. J. Wamod LES CAFÉS L11TÉRAIRES. Picasso dessine Apollinaire, l'amateur des cafés de la rive gauche. ©Coll. J. \4�mod © SPADEM 1991 l'éphémère Festin d'Ésope. Pour bien manifester son indépen_dance à l'égard des anciens de la Plume, la jeune garde du Festin d'Esope se choisit un nouveau quartier général. C'est un modeste bis...
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Fiche de lecture: Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part, Anna Gavalda
les émascule avant de téléphoner à la police. Résumé de « Junior » :Alexandre Devermont, 20 ans, venant d'une famille aisée, rencontre un nouvel ami pendant les vacances, Franck.Une fête est organisée et les deux compères tiennent absolument à y aller pour s'amuser et voir des filles.Malheureusement, le hic c'est la vieille 104 garée dans la grange qui n'aide pas vraiment si l'on veut draguer...Franckva donc convaincre Alexandre très réticent à l'idée de voler la Jaguar de son pè...
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Albert CAMUS, Carnets
son ciel.» Curieuse approche de la ville en effet que celle qui entreprend de la définir d'abord par la présence de sonciel «nu et démesuré», alors que le regard habituel nous fait plutôt découvrir des gratte-ciel gigantesques quiobstruent le ciel. Curieuse ville en outre que celle-ci, qui ne semble exister que par ce ciel au-dessus de sa tête, quilui donne sa véritable dimension. L'amour de Camus pour la ville transparaît aussi très rapidement, à la fin même dela deuxième phrase lorsque...
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Définition:
ÉTOILE, substantif féminin.
éclipse (ERRY SCHATZMAN, L'Astrophysique, 1963, page 104 ). B.— Usuel, par extension. Tout astre brillant (étoile ou planète) autre que le soleil et la lune. Étoile(s) brillante(s); fourmillement d'étoiles. Elle n'avait aucune idée de ces distances vertigineuses, — et Tahaapaïru les comparait à celles qui séparaient Fataoua de la lune ou des étoiles (JULIEN VIAUD, DIT PIERRE LOTI, Le Mariage de Loti, 1882, page 72 ). On vit là-bas [dans ce pays lointain] comme dans un paradis. Jamais d'hiver, un...
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Le mot "vent" dans l'oeuvre de DESCARTES
Toute agitation d'air qui est sensible se nomme vent, et tout corps invisible et impalpable se nomme air. nonobstant que ces vents plus étendus qui règnent sur la surface de la mer et de la terre, ne soient ordinairement autre chose quele mouvement des vapeurs qui en se dilatant passent du lieu où elles sont en quelque autre où elles trouvent plus de commodité des'étendre, en même façon qu'on voit en ces boules nommées des éolipyles, qu'un peu d'eau s'exhalant en vapeur fait un vent assezgrand e...
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Commentaire Composé Sur La Nouvelle "Monseigneur" D'Anton Tchékhov
début du récit nous apprend que l'action se déroule au « début d'avril », et le narrateur mentionne à plusieurs reprises le « soleilprintanier » ou « l'air printanier ». Par ailleurs, le texte est semé d'indications temporelles précises. Le lecteur apprend ainsi qu'ilest « près d'onze heures » lorsque les vigiles s'achèvent, que l'évêque dîne « à une heure passée », que le service se termine à« minuit moins le quart » et que Monseigneur entre en agonie « vers huit heures ». A ce propos, il est r...
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ARAGON Louis : sa vie et son oeuvre
C'est leur conception du temps qui les oppose le plus radicalement. Quand Breton met au point peu à peu la théorie du «hasard objectif» où le temps s'humanise dans des plages de désir pur, puis s'accélère comme dans une «conduite forcée», Aragon s'interroge to ujo urs sur le sens du temps et, par exemple, dans le titre le Mouve ment perpétuel, annul e par le mot de perpétuel ce qu'il y a d'humain dans le mouvement. Enfin, grâce à Breton, Aragon a trou...
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Analyse linéaire "Première soirée" d'Arthur Rimbaud
Première soirée Le poème « Première soirée », intitulé tout d’abord « Comédie en trois baisers » Problématique : Comment ce poème plein d’ambivalence et de légèreté fait-il référence à la comédie pour parler d’amours adolescentes ? 1° mvt : vers 1 à 2 = une scène charmante et intrigante 2 ° mvt : vers 3 à 4 = la mise en place d’une intrigue amoureuse ( = histoire d’amour) 3° mvt : 5 à 8 = le dénouement On constate de nombreux tirets, signes de ponctuation qui d'ordinaire dans les pièc...
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Texte du bac francais (EAF)
ADM Communication Baccalauréat de français Page 2 sur 174 Étude de quarante sonnets.............................................................................................................51 Vers dorés..................................................................................................................................51 Bataille navale...........................................................................................................................52 Midi............
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Rencontre amoureuse
2 Sujet d’invention MONGRELET GRUYELLE Antoine La célèbre ville de Cannes avait pour réputation d’organiser des soirées très animées et très célèbres. Ce soir-là Philippe et son meilleur ami devaient se rendre à l'inauguration d'un nouvel endroit très luxueux de la ville, un nouveau restaurant ayant pour carte principale la grande gastronomie chinoise. Philippe avait un goût certain pour s'habiller, après, quelques dizaines de minutes d...
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hunger games
épouse la forme de mes pieds. J'enfile un pantalon, une chemise, je fourre ma longue natte brune dans une casquette et j'attrape ma gibecière. Sur la table, sous un bol en bois qui le protège des rats affamés et des chats, m'attend un très joli petit fromage de chèvre, enveloppé dans des feuilles de basilic. C'est mon cadeau de la part de Prim pour le jour de la Moisson. Je le range dans ma poche en me glissant dehors. À cette heure de la matinée, notre quartier du district Douze, surno...
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I
Au retour, dans l'encombrement des voitures qui rentraient par le bord du lac, la calèche dut marcher au pas.
mondaines envoiture découverte, menaçaitdeseterminer parune soirée d’unefraîcheur aiguë. Un moment, lajeune femme restapelotonnée, retrouvantlachaleur deson coin, s’abandonnant aubercement voluptueux de toutes cesroues quitournaient devantelle.Puis, levant latête vers Maxime, dontlesregards déshabillaient tranquillement lesfemmes étaléesdanslescoupés etdans leslandaus voisins : – Vrai, demanda-t-elle, est-cequetulatrouves jolie,cette Laure d’Aurigny ? Vousenfaisiez unéloge, l’autre jour,lorsqu’o...
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Baudelaire les fleurs du mal
XXXVIII Un Fantôme XXXVIII I Les Ténèbres XXXVIII II Le Parfum XXXVIII III Le Cadre XXXVIII IV Le Portrait XXXIX XL Semper Eadem XLI Tout entière XLII XLIII Le Flambeau vivant XLIV Réversibilité XLV Confession XLVI L’Aube spirituelle XLVII Harmonie du Soir XLVIII Le Flacon XLIX Le Poison L Ciel brouillé LI Le Chat LII Le Beau Navire LIII L’Invitation au Voyage LIV L’Irréparable LV Causerie LVI Chant d’Automne LVII A une Madone LVIII Chanson d’Après-midi LIX Sisina LX Franciscae meae laudes LXI A...
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Résumés et
commentaires
CHAPITRE I : NUIT PERDUE
Prélude
Hti*iM◄
Le narrateur allait chaque soir au théâtre, car il était...
Résumés et commentaires CHAPITRE I : NUIT PERDUE Prélude Hti*iM◄ Le narrateur allait chaque soir au théâtre, car il était amoureux d'une actrice. Un parent l'avait mis en garde contre les comédiennes, contre leur absence; aussi n'avait t-il pas tenté de chercher la femme dans l'actrice aimée. D'ailleurs, à l'époque à laquelle il l'avait rencontrée, il était peu enclin aux plaisirs charnels. Après le théâtre, il se rendait dans un cercle. Un soir, on lui affirme que« son» actrice a déjà un ama...
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Commentaire complet: Soleils couchants de HUGO
L'idée que nous venons de dégager, d'apprécier et de compléter, est déveloP.pée par V .. Hugo n1;m .avec la logique ~u philosophe, m~i~ !lvec c~lle dtt poete, non l)loms admissible et tout ausst proche de la verlte. Au heu de ràîsonher de façon abstraite, il regarde, il se souvient, il scrute l'avenir, il compare, il médite et il conclut. Dans c~s diverses opérations il observe un ordre chronolo~ique qui contribue à l'unité du morce...
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Cauchemar dans la campagne anglaise
sont reclus dans leur ferme, placés en quarantaine après l'abattage de leur troupeau, ou trop soucieux d'attraper le virus pours'aventurer hors de leur propriété. Mais c'est pour eux, dit le pasteur, que sonneront désormais les cloches. Et c'est en leurhonneur que le choeur entonne avec ferveur l'hymne d'une communauté à genoux. « L'hymne des périodes de guerre », confieune vieille dame, les yeux pleins de larmes. C'est toute l'Eglise d'Angleterre qui est mobilisée. Les recettes de milliers d...
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Victor HUGO, Les Feuilles d'automne. SOLEILS COUCHANTS
Vous pourrez par exemple étudier le sentiment de la mort et de la fuite du temps, l'émotion personnelle du poète et l'art avec lequel il fait partager au lecteur cette émotion. Les poètes romantiques ont très souvent chanté la nature, en qui Us ont VI.! un refuge ou une consolation. Cependant, le spectacle de la nature confronte parfois l'homme avec la brièveté de sa propre vie. Ainsi, dans « Le lac •, Lamartine invoque la nature éternelle...
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voudrais bien que tu ne m'aies pas appris à appeler les valets des Jeannots, et je voudrais que mes mains fussent moins
rudes et mes souliers moins épais.
X Un oudeux jours après, unmatin enm’éveillant, ilme vint l’heureuse idéequelemeilleur moyenpourn’être plus commun étaitdetirer deBiddy toutcequ’elle pouvait savoirsurcepoint important. Enconséquence, jedéclarai à Biddy, unsoir que j’étais alléchez lagrand-tante deM. Wopsle, quej’avais desraisons particulières pourdésirer faire mon chemin encemonde, etque jelui serais trèsobligé sielle voulait bienm’enseigner toutcequ’elle savait.Biddy, qui était lafille laplus obligeante dumonde, merépondit imm...
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Article de presse: 27 jours qui ébranlèrent la France
Après quelques discours enflammés, on se disperse vers 13 heures. Au début de l'après-midi, les Nanterrois qui ne savent où aller sont toujours là et à nouveau les orateurs se succèdent. Le tonmonte. La psychose d'agression reparaît : les " fafs " vont attaquer. Dans la confusion, les fausses nouvelles, les bruits alarmistes,la foule étudiante grossit rapidement. Comme la veille à Nanterre, les autorités font fermer à clef les portes des amphithéâtres,puis encercler la Sorbonne par la police,...
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La prise de la Bastille : De l'approfondissement de la crise financière et politique aux journées insurrectionnelles
HISJOIRE DE LA FOmRESSE DE LA BASTIW • En 1370, Hugues Aubriot le prévôt de la ville , reconstruit la vieille porte fortifiée de Saint -Antoine en lui ajoutant deux tours massives hautes de 25 mètres . • Par la suite , il complète encore le dispositif défensif de la forteresse par quatre nouvelles '-s qui veillent sur l 'est de la capitale et ses faubourgs -perdant au fil du temps sa fonction militaire, celle-ci est convertie peu à peu en prison. •...
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Le bulletin météoPage 1Plan de travail n°Pour rédiger un bulletin météorologique, il va te falloir maîtriser le présent et le futur de l'indicatif.
Version1.0 www.lebulletinpmev.com Page 2 Savoir conjuguer les verbes au présent 1. Conjugue au présent: « Jouer et parler » puis « finir » 2. Recopie les phrases en écrivant le verbe entre parenthèses au présent: Tous les soirs, la famille (regarder) ______ la télévision. Le matin, je (se réveiller) ______ de bonne heure. Tu (enfiler) ______ rapidement un pull et un pantalon. Puis nous (déjeuner) _______ dans la cuisine. Vous (se dépê- cher) ________ de partir pour l...
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Maeterlinck, Pelléas et Mélisande (extrait).
MÉLISANDE Mais non, mais non ; je ne sais rien. PELLÉAS Tu ne sais pas pourquoi il faut que je m’éloigne ? Tu ne sais pas que c’est parce que… je t’aime. MÉLISANDE Je t’aime aussi. PELLÉAS Oh ! Qu’as-tu dit, Mélisande ! Je ne l’ai presque pas entendu. On a brisé la glace avec des fers rougis ! Tu dis cela d’une voix qui vient du bout du monde ! Je ne t’ai presque pas entendue… Tu m’aimes ? Tu m’aimes aussi ? Depuis quand m’aimes-tu ? MÉLISANDE Depuis toujours… depuis que je t’ai vu. PE...
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Analyse strophe par strophe du poème "La Chanson du mal aimé", Guillaume Appollinaire
Caressant sa gazelle mâle 8 J'ai pensé à ces rois heureux Lorsque le faux amour et celle Dont je suis encore amoureux Heurtant leurs ombres infidèles Me rendirent si malheureux 9 Regrets sur quoi l'enfer se fonde Qu'un ciel d'oubli s'ouvre à mes voeux Pour son baiser les rois du monde Seraient morts les pauvres fameux Pour elle eussent vendu leur ombre 10 J'ai hiverné dans mon passé Revienne le soleil de Pâques Pour chauffer un coeur plus glacé Que les quarante de Sébaste Moins que ma vie mart...
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A L'Ombre Des Jeunes Filles en Fleur, Volume 3
dîneuse s'y attardait.
sentiment que nous ne pouvons pas le considérer pareillement. Ce même amour, nous le retrouvons bien, mais déplacé, ne pesant plus sur nous, satisfait de la sensation que lui accorde le présent et qui nous suffit, car de ce qui n'est pas actuel nous ne nous soucions pas. Malheureusement le coefficient qui change ainsi les valeurs ne les change que dans cette heure d'ivresse. Les personnes qui n'avaient plus d'importance et sur lesquelles nous soufflions comme sur des bulles de savon reprendront...
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WRIGHT OF DERBY (Joseph Wright, dit) : Une Caverne, le soir
WRIGHT OF DERBY (Joseph Wright, dit) Une Caverne, le soir Né à Derby, 1734 Mort à Derby, 1797 L'ensemble de l'œuvre de Wright est marqué par l'intérêt qu'il porte aux problèmes de la lumière, si bien qu'il fut surnommé le c Claude Lorrain anglais •. Il s'installa à Derby où, soutenu par les pionniers scientifiques et industriels de la région avec qui il était en relation étroite, il tenta maintes expériences concernant la lumière,...
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Fiche de lecture sur Les Faux-monnayeurs d'André Gide
• Mme Sophroniska : psychanalyste, mère de Bronja la meilleure (et seule) ami de Boris, qui mourra de maladie, précipitant lamort de ce dernier. Résumés des chapitres : Partie I : Paris Chapitre 1 : Bernard Profitendieu trouve une lettre dans un secrétaire et découvre que M. Profitendieu n'est pas son père puisretrouve des amis avant de partir. Chapitre 2 : Retour de M. Profitendieu qui annonce à sa famille le départ de Bernard et discussion avec sa femme à ce sujet. Chapitre...
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talons.
– Écoutez-moi, Copperfield,ditSteerforth, vousmelesraconterez. Jene peux pasm’endormir debonne heurele soir, etjeme réveille généralement degrand matin. Nouslesprendrons lesuns après lesautres. Cesera juste comme dans les Mille etune Nuits . » Cet arrangement flattasingulièrement mavanité, etlesoir même, nouscommençâmes àle mettre àexécution. Je ne saurais dire,etjen’ai nulle envie delesavoir, comment j’interprétai lesœuvres demes auteurs favoris ; maisj’avais en eux une foiprofonde, etjeraconta...
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Albert Camus, L'Etranger
entretient », et qu'il a frappé parce qu'il s'est aperçu « qu'il y avait de la tromperie ». Il souhaite se venger en luiécrivant une lettre pour la faire revenir, puis en l'humiliant. Il demande à Meursault de rédiger la fameuse lettre, etcelui-ci accepte. Raymond, reconnaissant, le considère alors comme un « copain ». Puis il rentre chez lui.- Chapitre 4 :Meursault a « bien travaillé toute la semaine ». Le samedi, il retrouve Marie, et ensemble, ils vont se baigner sur uneplage près D'Alger, pu...
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Dictionnaire en ligne:
DONNER, verbe.
son coeur à quelqu'un. Donne toute ta tendresse à ton oncle Dufour, il en est digne (RENÉ-CHARLES GUILBERT DE PIXÉRÉCOURT. Coelina ou l'Enfant du mystère, 1801, I, 2, page 7 ). Je serais bien attrapé si elle me prenait au mot et me donnait son coeur (HENRI BEYLE, DIT STENDHAL, Lucien Leuwen, tome 3, 1835, page 284) : Ø 3. Elle pourrait m'abandonner tout son être et même me donner son coeur sans m'arracher à ce désespoir qui grandit à mesure que je l'approche. JOE BOUSQUET, Traduit du silence,...
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Lettre d'un instituteur pour recommander à l'un de ses élèves de suivre les cours du soir, après sa journée d'apprentissage
qu'en effet tu es entré dans ta nouvelle condition; mais je ne t'ai plus revu et j'en ai été affligé, parce que je n'ai pas encore terminé mon œuvre avec toi et que ce qu'il me reste à faire est le plus important, peut-être, et pour ton intelligence et pour ton cœur. Je compte donc te voir encore, et je t'attends le soir à mes cours d'adultes. Tu en as assez appris, mon cher ami, pour savoir j que tu as encore grand besoin d'étudier, non-se...
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anthologie poème épistolaire pour des muses
Et revis mon passé blotti dans tes genoux. Car à quoi bon chercher tes beautés langoureuses Ailleurs qu'en ton cher corps et qu'en ton cœur si doux ? Je sais l'art d'évoquer les minutes heureuses ! Ces serments, ces parfums, ces baisers infinis, Renaîtront-ils d'un gouffre interdit à nos sondes, Comme montent au ciel les soleils rajeunis Après s'être lavés au fond des mers profondes ? - Ô serments ! ô parfums ! ô baisers infinis ! Charles beaudelaire 1857 Tes yeux sont si profonds qu'en me pen...
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PRIÈRE DU SOIR DANS LE SAHARA de GUILLAUMET
PRIÈRE DU SOIR DANS LE SAHARA 1 863 Pe int re françai s XIXe siècle Huile sur toile 135 x 282 cm -----------------------------A--------------------~ Biographie