5795 résultats pour "sociétés"
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Peut-On Espérer Une Société Sans Travail ?
valeur d'échange. Cette valeur d'échange constitue la base de l'interdépendance des relations sociétales. Un boulanger fabrique une baguette de pain, qu'il vendra à unfacteur qui la mangera pour se nourrir. Ce dernier livrera des lettres, ce qui lui permettra de gagner un salaire qui lui permettra d'acheter son pain, et des légumes.Les différents domaines dans lesquels s'exercent les hommes dans une société sont complémentaires et permettent une interdépendance de l'homme dans lasatisfaction de...
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l'homme ne vit-il en société que par intérêt ?
même, la vie de couple et de famille obéit aussi, au fond, à une exigence de confort et de sécurité. Lemariage ne permet-il pas aux deux partenaires d'avoir des rapports sexuels aussi souvent qu'ils le désirent ?! Mill: Une société d'êtres humains, si on excepte la relation de maître à esclave, est manifestement impossible si elle ne repose pas sur le principe que les intérêts de tous seront consultés. Une sociétéd'égaux ne peut exister s'il n'est pas bien entendu que les intérêts...
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Les hommes ne vivent-ils en société que par intérêt ?
d'égaux ne peut exister s'il n'est pas bien entendu que les intérêts de tous doivent être également prisen considération. Et puisque, dans tous les états de civilisation, chaque personne, à l'exception dumonarque absolu, a des égaux, chacun est obligé de vivre sur le pied d'égalité avec quelqu'un ; etchaque époque marque un progrès vers la réalisation d'un état de choses dans lequel il sera impossiblede vivre autrement, de façon permanente, avec qui que ce soit. De la sorte, les hom...
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Thomas HOBBES: Se l'origine des sociétés
il n'est pas possible de connaître ce sentiment sans fréquenter autrui. Nous voici donc en présence d'un candidatpossible pour expliquer le fondement de la société : la gloire, qui nous pousse à rechercher autrui, car sans autruinous ne pouvons éprouver ce plaisir de l'âme. Le second type de plaisir est celui qui correspond au corps : il s'agitpour Hobbes de tout ce qui est utile. En effet, toutes les choses utiles sont agréables à notre corps, car ellesparticipent à la préservation de notre...
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Faut-il dire que la société dénature l'homme ou qu'elle l'humanise ?
bien des ambiguïtés. On peut l'interpréter comme une condamnation radicale de toute société qui dépravant l'hommele rendrait malheureux. Et ce sera la postérité romantique de Rousseau qui exaltera l'individu incompris. Le Werther de Goethe appartient à cette lignée. Mais pour Rousseau , il ne faut pas l'entendre dans un sens aussi radical. La Société n'est pas corruptrice par essence, mais seulement un certain type de société. A vrai dire, toutes celles quireposent sur l'affirmation de l'inég...
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Rousseau - Nature-Famille-Société
habituellement suivi dans la comparaison traditionnelle, abondamment invoquée dans l'idée monarchique. Quand parait le mot aliénation, nous voyons s'articuler « nature « et « volonté « : c’est le thème du contrat. La famille et la société politique en relèvent. Enfin, le dernier alinéa est une réfutation des thèses qui invoquent le fait de l'esclavage, qui est indiscutablement une aliénation. Mais une aliénation rigoureusement opposée à cel...
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Quel plaisir peut-on trouver à vivre en société
Hume souligne que l’homme est un être dépourvu de qualités naturelles. Il a donc tout à la fois plus de besoins que les autres animaux (il lui faut des vêtements pour se protéger du froid par exemple), et moins de moyens pour les satisfaire, parce qu’il est faible. C’est donc pour pallier cette faiblesse naturelle que l’homme vit en société. Pour ainsi dire, la vie en commun permet aux individus de regrouper leurs forces pour se défendre contre les attaques et pour réaliser à plusieurs c...
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Peut-on concevoir une société sans mal ?
comme si, même dans les libres productions de l'esprit humain, le mal ne pouvait que poursuivre à s'imposer. II. Peut-on concevoir réellement une société sans mal ? a. Des tentatives concrètes pour concevoir des sociétés sans mal Cependant, comment répondrons-nous à la question posée si nous prenons le terme « concevoir », non dans sonpremier sens intellectuel, mais dans son second sens, celui de la réalisation d'une chose dans les faits ? Il sembleque certaines tentat...
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Peut-on dire qu'il existe des sociètés civilisées et d'autres pas ?
volonté de croire que nos normes culturelles valent, ou devraient valoir, pour tous, en tout lieu. Ceci tend à mettreen place une sorte d'universalisation de nos moeurs et surtout la volonté de les imposer, parce que considéréescomme meilleures, supérieures aux autres. L'ethnocentrisme rend donc subjectif et illégitime un quelconquejugement sur la qualité d'une civilisation. Les références culturelles données par certaines sociétés sont donc contestables car les différentes normes émisesp...
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Est-ce d'abord le lien économique qui fonde la société ?
cruauté contre l'homme par la quantité infinie de besoins et de nécessités dont elle l'a écrasé et parla faiblesse des moyens qu'elle lui accorde pr subvenir à ces nécessités. C'est par la société seule qu'ilest capable de subvenir à ces déficiences, de s'élever à l'égalité avec ses compagnons de création.La société compense toutes les infirmités. Quand chaque individu travaille isolément et seulementpour lui-même, ses forces sont trop faibles pr exécuter une œuvre importante. Or, l'union de...
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L'existence de la société exclut-elle l'autonomie de l'individu ?
l'homme, Kant emploie dans son Idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique , le terme d' « insociable sociabilité », « c'est à dire leur inclination à entrer en société,inclination qui est cependant doublée d'une répulsion générale à le faire,menaçant constamment de désagréger cette société. » Selon Kant, il y adans cette résistance à obéir passivement aux autres ce qui permet àl'homme de devenir plus fort. Il « se fraye ainsi une place parmi sescompagnons qu'il supporte de...
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Une connaissance objective de la société est-elle possible ?
CORRIGÉ [I ntroduction] Ce qui distingue les sciences humaines de la philosophie, c'est leur volonté de formuler des vérités scientifiques sur ce qu'elles entreprennent de connaître -vérités qui se distingueraient clairement des discours des philosophes, tout englués de postulats métaphysiques implicites et néces sairement intégrés dans des «systèmes » dont la qualité première n'est certainement pas la scientificité. Il est toutefois important de vérifier...
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Une société peut-elle demeurer elle-même en s'ouvrant à ce qu'elle n'est pas ?
l'universel se trouve parfois dans le singulier. Les anciens avaient le gout pour l'hospitalité. Nous l'avons remplacé par la tolérance. Car depuis Hobbes et Machiavelnous n'estimons pas que l'homme est un animal social, nous le tenons pour un "loup pour son semblable".Si l'homme est un loup pour son semblable, il ne faut donc pas lui offrir l'hospitalité, ni être hospitalier à son égard. La "tolérance"suffit. Et c'est ainsi peut-être quenous appelons l'ouverture. Pour les modernes, être ouvet,...
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Introduction
« L’expression de « société de consommation » est
parents désirent que leurs enfants ou eux-mêmes se sentent bien dans leur peau, nous vivons dans une société où l’apparence est importante, il leur faut acheter des biens, souvent de marque. Pour faire comme les autres et ne pas être rejetés par la société. Un autre problème recensé est l’endettement. Beaucoup de consommateurs achètent plus que ce qu’ils ne devraient et s’endettent au fur et à mesure afin de se procurer un confort qui celui-ci devient malsain car, ensuite, ils se soucient des...
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Sur quel fondement repose la société?
l'injustice. » Dans ce passage de La République, Glaucon, ami de Socrate prend la parole pour tenterde définir la justice. Contre Thrasymaque qui vient de soutenir que la justice estnaturelle et se confond avec la loi du plus fort, Glaucon pense, au contraire, que lajustice résulte d'une convention. « Glaucon : - Ecoute ce que je me suis chargé d'exposer d'abord, c'est-à-dire quelle estla nature et l'origine de la justice.On dit que, suivant la nature, commettre l'injustice est un bien...
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Y a-t-il une différence entre être membre d'une société et être citoyen ?
monarque qui dispose sur eux du droit de vie et de mort. - Le concept de citoyen se distingue donc déjà de celui du sujet en cela que les citoyens sont égaux devant la loi. - Mais le citoyen se distingue aussi de l'individu qui ne jouit pas de ses droits civiques car le citoyen peut et doit faire usage des libertés publiques. - Par le biais des libertés publiques, le citoyen est en mesure de donner son opinion et d'influencer la politique de sa société. -...
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la société de consommation depuis 1945
d'achat des consommateurs. La majorité de la population est devenue salariée. Le t aux d'activité des femmes est en pleine expansion. L'assurance d'une rentré d'argent mensuelle, à considérablement impacté la consommation des ménages. Les ménages peuvent donc prévoir leur revenu et anticiper leurs dépenses afin d'accéder a de nombreux biens et services. Le niveau de vie de la population s’accroît d'années en années. Cette période économique est l'une des plus faste qu'on connu de nombr...
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La société peut-elle rendre l'homme meilleur ?
3. s'aliène dans le regard des autres, il cherche le conformisme pour être bien jugé, accepté par sa société. Lescyniques prônent un retour à la nature, un rejet de toutes les normes sociales qui aliènent l'individu. Pour eux lasociété n'améliore pas l'homme, au contraire, elle le rend servile, les normes sociales ne sont que du conformisme. III : L'homme peut-il rendre la société meilleure? Changer la société 1. Si ce n'est pas la société qui peut améliorer les hommes, les hommes peuve...
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société en participation [SEP] (cours de droit des affaires).
3.3 Dissolution de la société en participation La seule originalité en la matière est la suivante : si la société est à durée indéterminée, l’article 1872-2 précise que sa dissolution peut résulter à tout moment d’unenotification adressée par l’un des associés à tous les autres, pourvu que cette notification soit de bonne foi et non faite à contretemps. Ensuite, les opérations de partagerenvoient au droit commun des sociétés. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous...
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La vie en société constitue elle une limite ou une condition de notre liberté ?
comme une obligation. Au sens politique du terme la loi dit ce qui doit être, elle existe en tant que norme donc pournormé les faits. Mais ce qui est effectif ne peut très bien ne pas être normal. Exemple : il est obligatoire pour tout employeur de déclarer ses employé mais de fait cela ne peut ne pas être fait.Il y a des faits normaux et des faits anormaux. Normal voulant dire conforme a la norme, normal est différentd'habituel. L'habituel c'est ce qui est courant fréquent et généralement le ca...
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La société est-elle responsable de la corruption de l'homme ?
La société ne corrompt pas l'homme Il serait paradoxal de dire que la société corrompt l'homme alors qu'il est par nature un être social. Ce sont les individus sans moralité qui ont plutôt tendance à corrompre l'ensemble de la société. L'homme, seul, n'est rien D escartes, dans une lettre à la princesse Élisabeth datée du 15 septembre 1645, rappelle que l'individu dépend toujours d'un tout, que ce soit l'État, son pays ,...
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A quoi l'homme doit-il renoncer pour vivre en société ?
2) Mais cette liberté n'est peut-être pas la vraie liberté. a) La solitude et l'indépendance ne sont pas des libertés si elles ne sont pas complétées par une vie avec les autres : c'est rester dansl'instinct animal que de prétendre se suffire à soi-même. b) Ne pas vouloir renoncer à ses désirs particuliers est égoïsme, c'est-à-dire dépendance envers soi-même : on peut tomber dans lapassion qui par définition est passivité. c) Ce à quoi on renonce alors est une liberté illusoire, celle con...
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BERGSON: société cosmopolite et religion
certaine ouverture d’esprit (même si l’on peut noter la présence du verbe “communier”, à forte connotationreligieuse). On peut ainsi opposer les commandements divins à l’attitude réfléchie de la philosophie qui n’affirme pasautoritairement mais ouvre une brèche, permet une certaine prise de conscience.La religion affirme donc cette loi d’aimer son prochain alors que la philosophie nous montre l’humanité, le genrehumain, pour ensuite raisonner sur la personne humaine. Cependant, Bergs...
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Place de L'artiste dans la société
Partie 1 : Comment le XIXe siècle engendra une nouvelle fi gure de l’artiste La place de l’artiste dans le champ social n’est pas fi gée p. 6 La fi gure de l’artiste réinventée p. 8 Une représentation qui perdure au-delà du XIXe siècle p.10 Partie 2 – Peut-on parler de raisonnement artistique ? Comment travaille un artiste aujourd’hui ? p.14 L’artiste précurseur du mixage et du commentaire des connaissances p.16 Une fi gure multi facettes : touchant à l’art, aux sciences et aux idées...
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Dans quelle mesure la presse est elle indispensable à la bonne marche des sociétés ?
- les citoyens décidant du gouvernement de leur Etat, par les élections, ils doivent être au courant des événementsnationaux et internationaux - les différents discours politiques peuvent s'exprimer librement II – Dangers et limites de la presse * Mais la presse est également un excellent moyen de contrôle de la société. En effet, si elle est l'unique source del'information, et qu'elle est pour les individus une garantie de vérité, il est aisé de manipuler la population. * Toute information, q...
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La philosophie a-t-elle une place dans la société moderne ?
Dès lors, la philosophie n'est-elle pas devenue inutile dans une société moderne gouvernée par la règne de lascience, de l'expérimentation scientifique ? II) L'abolition de la philosophie au profit de la science dans la société moderne ? § La société moderne apparaît comme une société dominée par la science, par l'exigence depreuves, de vérification et d'expérimentation. C'est pourquoi la philosophie, si elle s'estmontrée dans un premier temps utile, comme...
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La place du risque dans les sociétés contemporaines
1. La saillance du risque : risques majeurs et société productrice de risque La société produit des risques majeurs capables de la détruire ou du moins de la transformer en profondeur. Ces risques apparaissent comme des dangers colossaux, pensant de manière plus ou moins diffuse sur les individus (Lagadec) : a. Les risques nucléaires, technologiques et sanitaires , nés du ou renouvelés par le progrès techniques : Le risque nucléaire, autrefois « confiné » au domaine militaire, de...
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La société représente-t-elle l'aliénation de l'individu ?
conservatisme mais c'est au final l'institution qui a tranché. Comment se libérer autrement qu'en s'autorisant d'uneloi ? S'épanouir contre semble impossible, à moins d'en payer le prix, d'être mis à l'index. III- Epanouissement et reconnaissance. Certains ont défendus cette idée que l'individu n'est qu'une abstraction, dans son Système de politique positive Auguste Comte écrit que la famille constitue l'unité sociale, l'individu isolé ne compte pour rien. Dans une certaine mesure...
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Marquage corporel et société moderne
LL es marquages corporels pratiqués dans les sociétés dites de la modernité ont tendance à être mis en opposition directe avec ceux rencontrés au sein des sociétés traditionnelles. La fonction esthétique et la caractère individuel semblent dominer dans les significations que l’on prête aux marques occidentales, considérées comme de simples ornements du corps, de volonté de se singulariser parfois. En revanche, dans...
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Qu'est-ce qui pousse les hommes à entrer en société ?
que « l'homme est un loup pour l'homme » ( Du citoyen , dédicace). A l'état naturel, l'humanité en est réduite à la guerre de tous contre tous et la compétition ainsi que la rivalité pour s'approprier toujours plus de pouvoir sontpoussées jusqu'à leur degré le plus extrême. Dès lors, ce n'est pas la concorde qui règne, mais une légitime peur duprochain.c) Toutefois, l'homme étant un être rationnel, il va chercher à s'élever au-dessus de cet état de nature. D'autrepart, il est mû en premier lieu...
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142 / Sociétés civiles et commerciales
Dans le langage commun, on entend souvent
parler de : S.
Sociétés civiles et commerciales / 143 • Groupements agricoles d'exploitation en commun (G.A.E.C.). Regroupement d'agricul teurs voisins (propriétaires ou fermiers) pour exploiter ensemble et sur une plus grande échelle de petites propriétés voisines. • Groupements forestiers. Regroupement de parcelles éparses; regroupement de capitaux pour l'acquisition et la gestion de forêts impor tantes, ou maintien d'un patrimoine. • Groupements pastoraux...
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La cohésion d'une société ne repose-t-elle que sur les échanges économiques ?
· Les communautés humaines sont tantôt directement naturelles (pour assurer la survie et la fonction dela reproduction, les hommes fondent des foyers), tantôt le produit d'un choix (les relations amicales,par exemple) ; la permanence qui caractérise la vie proprement civile parait justifiée par l'impossibilitépour chaque foyer de vivre en autarcie complète : des dépendances mutuelles compensent cesmanques par l'organisation des activités économiques. · Chacun en effet, pris ind...
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Existe-t-il des sociétés moins civilisées que d'autres ?
volonté de croire que nos normes culturelles valent, ou devraient valoir, pour tous, en tout lieu. Ceci tend à mettreen place une sorte d'universalisation de nos moeurs et surtout la volonté de les imposer, parce que considéréescomme meilleures, supérieures aux autres. L'ethnocentrisme rend donc subjectif et illégitime un quelconquejugement sur la qualité d'une civilisation. Les références culturelles données par certaines sociétés sont donc contestables car les différentes normes émisesp...
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La société du spectacle de Guy DEBORD: les enjeux.
spectacle » et fut une synthèse des critiques de l’international situationnisme. En effet, Debord reprend certains concepts développés par Marx, notamment l’idéologie, la réification, l’aliénation, la séparation du travail, le fétichisme de la marchandise pour l’élaboration de sa thèse. Selon Debord, le capitalisme a aboutit et avait pour projet le spectacle. Il appartient à l’organisation de la marchandise, qui se renouvelle cycliquement. Le spectacle est consi...
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En quoi le personnage de roman reflète-t-il la société ?
main, les personnages sont décrits avec une telle acuité qu'on a l'impression qu'ils nous sont familiers. Honoré de Balzac accentue le trait en faisant de la pension un miroir de la hiérarchie sociale : plus on monte dans les étages, moins on est riche, moins on est considéré... On cherche à peindre toutes les couches de la société... George Sand s'intéresse au monde rustique et paysan, Balzac à la petite bourgeoisie provinciale et avant eux, Madame de La Fayette à l'aristocratie qui anime la c...
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Quel rôle l’école joue-t-elle dans une société démocratique
Aujourd'hui, dans les sociétés démocratiques, l'école, l'une des principales instances d'intégration, a pour but d'offrir un enseignement de qualité à tous les individus quelque soit leur origine sociale et culturelle en donnant à tous des chances égales de réussite. Ainsi nous allons voir quels sont les rôles de l'école dans nos sociétés. A la fin du XIX°siècle, Jules Ferry instaure l'école républicaine, soit un enseignement laïque, apolitique, accessible à tous, gratuit et obligatoire. L'éco...
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Qu'est-ce qui changerait dans une société sans argent ?
« Dans les économies et dans les droits qui ont précédé les nôtres, on ne constate pour ainsi dire jamaisde simples échanges de biens, de richesses et de produits au cours d'un marché passé entre les individus.D'abord, ce ne sont pas des individus, ce sont des collectivités, qui s'obligent mutuellement, échangent etcontractent ; les personnes présentes au contrat sont des personnes morales : clans, tribus, familles, quis'affrontent soit en groupes se faisant face sur le terrain même, soit par l'...
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Alain : l'origine de la société
«On serait tenté d'expliquer toute l'organisation sociale par le besoin de manger et de se vêtir,l'Économique dominant et expliquant alors tout le reste ; seulement il est probable que le besoind'organisation est antérieur au besoin de manger. On connaît des peuplades heureuses qui n'ont pointbesoin de vêtements et cueillent leur nourriture en étendant la main ; or elles ont des rois, desprêtres, des institutions, des lois, une police ; j'en conlus que l'homme est citoyen p...
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HUME: Société et individu
etc.), que jaillit la nécessité de l'action. On pourrait imaginer que l'indolence, composante du bonheur humain, s'épanouirait pleinement dans un monde de parfait équilibre entre les besoins et les biens; elleserait l'apanage d'un quelconque âge d'or. Mais dans les faits, c'est l'impuissance qui appelle la maîtrise, la nécessité de l'action sous la forme duprocès de transformation. La peine, le travail, apparaît dans les faits, en raison des contraintes auxquelles se trouve soumise la natur...
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La société comme fait anthropologique
membres d'une société sont organisées de telle manière qu'elles remplissent plusieurs fonctions: la rencontre entre jeunes hommes et jeunes femmes, les soins aux personnes âgées. La société doit être capable de rassembler ses membres en divers groupes de travail complé mentaires ou adaptés à l'environnement naturel. Enfin, l'un des aspects les plus importants de la survie d'une société réside dans sa capacité à assurer la transmis...
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Societe et Etat
II) L’état est-il un mal nécessaire ? A) La thèse de Hobbes Pour Hobbes, l’Homme est guidé par un désir de pouvoir. A l’état de nature, chacun désire dominer l’autre et c’est la guerre de tous contre tous. Il y a une rivalité permanente. Il faut donc instaurer un pacte par lequel chacun renonce à utiliser la force et la violence. “L’Homme est un loup pour l’Homme”, dans Le Léviathan Hobbes nous dit que l’état est nécessaire pour assurer la paix sociale. Chaque citoyen accepte de renoncer à sa...
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Cicéron: La societe et l'union entre les hommes se conserveront
Transition : Néanmoins, pour comprendre comment un tel sentiment est possible, c'est-à-dire comment l'émergence d'unesociété est possible malgré les dissensions et des tensions, puisqu'il s'agit de manifester sa bienveillance vers ceuxavec qui on a un « union plus étroite » (union familiale, d'intérêts etc.), est possible. Or il semble que ce lien socialrepose sur un lien premier qui serait naturel ce qui relève est trait caractéristique de la philosophie antique qui faitreposer le social...
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Les crises au sein d'une société sont-elles le signe de sa vitalité ?
remise en cause que produit la crise et la dépasser. Dès lors : « Le chômage, les faillites, les cataclysmes financiers,les turbulences bancaires ne sont pas les causes d'une économie déréglée qu'il suffirait de réguler à nouveau. Maisbien plutôt les symptômes d'un changement sociétal que notre paresse intellectuelle s'emploie à dénier ». Comme ille note dans une tribune : « La crise, dès lors, est l'indice d'un passage de la ligne. Celui du travail vers lacréation ».c) Bien plus, la c...
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Schopenhauer: accommodement réciproque et société
librement, totalement, sans limite, par opposition à un moi socialisé, aliéné, étouffé par les liens collectifs.- « toute société a pour compagne inséparable la contrainte » : une société est un ensemble d'individus unis parcertains liens ; ces liens sont définis par la coutume, la morale, la religion, le Droit de cette société, qui imposentdes règles à suivre, des devoirs, obligations, interdictions, donc des contraintes sans lesquelles les relations socialesdisparaîtraient. Ainsi, l'idée de so...
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En quoi le personnage du roman reflète t-il la société ?
d’une jeune fille prédestiné à un destin funeste avec un père handicapé par accident et devenu fou et une mère morte de désespoir et alcoolique. Elle vit dans la misère et le désespoir et se prostitue. Elle meurt jeune et pourtant détruite. Il est alors mis en avant la corruption et un des facteurs qui l’entraine : la misère. On s’est donc servie du personnage pour décrire ce coté mauvais de la société. Dans le Père Goriot de Balzac, on voit Vautrin un des personnages représenté comme une person...
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Suffit-il de vivre ensemble pour former une société ?
enseigne, l'on communique, l'on discute, l'on juge, ce qui rapproche les hommes les uns des autres et les unit dansune sorte de société naturelle ; rien ne les éloigne plus de la nature des bêtes, à qui nous attribuons souvent lecourage, aux chevaux par exemple ou aux lions, mais non pas la justice, l'équité ou la bonté ; c'est qu'elles nepossèdent ni raison ni langage. Cette société est largement ouverte ; elle est société des hommes avec leshommes, de tous avec tous ; en elle il faut...
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Le sport dans la société
Gosset Le sport dans la société 31/01 C'est une activité improductive , le jeu ne crée rien, il ne crée pas de liens, pas de richesse, pas d'éléments nouveaux par contre on peut avoir un déplacement de richesse au sein du cercle des joueurs (somme des gains = somme des pertes). Attention il ne crée pas de richesse proprement dit or il peut créer des richesses grâce au milieu extra-sportif. C'est une activité réglée c'est-à-dire qu'elle est soumise à des conventions qui pour la durée du je...
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Kardiner, L'Individu dans la société (fiche de lecture)
Dans ce texte l'auteur met en avant les différentes pratiques, normes et valeurs de cultures opposées afin détailler son analyse. Il nous explique et nous donneles bases structurelles de certaine tribu afin de mettre en avant un type précis d'économie et de faire ressortir la structure de la personnalité de base. 2,1 Les Chuckchees et les Esquimaux Il nous décrit dans un premier temps les Chuckchee et plus particulièrement les Chuckchee de l'intérieur ceux que l'on appel les Chuckchee-Rennes. Ce...
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Faut-il dire que la société dénature l'homme ou qu'elle l'humanise ?
Introduction La société, fût-elle décriée et blâmée, a toujours résisté aux multiples assauts de ses détracteurs et persistedonc comme une entité indispensable aux hommes. Si bien qu'il est difficile voire impossible de dater précisémentson apparition au sein de l'humanité. Ce qui n'est pas le cas de l'Etat, aussi appelé société politique, qui est apparuponctuellement et successivement dans les différentes civilisations. Plusieurs questions se posent néanmoins quantaux conséquences que l...
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multinationale, société & économie.
Mondialisation de l'économieÀ la faveur d'avancées technologiques spectaculaires dans les domaines du transport et des communications, l'économie est devenuemondiale. Dernier progrès technique en date, l'Internet a favorisé et accéléré cette internationalisation des échanges et desinformations. C'est ainsi qu'en théorie, au début du xxi e siècle, chaque pays est en mesure d'établir des relations commerciales etéconomiques avec le reste du monde : c'est la « globalisation ».Illustration de cette...