1056 résultats pour "savez"
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L'Immortel
lord Palmerston,--on le cote très haut à l'Institut et au quai d'Orsay.
ABEL DE FREYDET. Tu penses qu'au milieu de ces aventures, j'ai oublié les graines, paillassons, arbustes, toutes mes emplettes; ce sera pour bientôt, je resterai ici quelque temps. Astier-Réhu m'a bien recommandé de ne rien dire, mais de fréquenter les milieux académiques. Me montrer, qu'on me voie, c'est plus important que tout. IV «Méfie-toi, mon Freydet.... Je connais ce coup-là, c'est le coup du racolage.... Au fond, ces gens se sentent finis, en train de moisir sous leur coupole.... L'Acadé...
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« J'ai le temps, pensait-il, je la tuerai sous un tunnel.
assoupi. Peut-être était-ilalléjusqu'à Auteuil, aveclesdeux femmes seulement, ilne se rappelait pasqu'elles yfussent descendues. Lui-mêmeavaitfinipar setrouver aubord dela Seine, sanss'expliquer comment. Ce dont ilgardait lasensation trèsnette, c'était d'avoir jeté,duhaut delaberge, lecouteau, resté danssamanche, àson poing. Puis,ilne savait plus,hébété, absentdeson être, d'où l'autre s'enétait alléaussi, aveclecouteau. Ildevait avoirmarché pendant desheures, parles rues etles places, auhasard...
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La rotisserie de la Reine Pedauque
--Comme je vous vois, répondit M.
d'État. Elle n'eut rien de si pressé que de jeter cette lettre au feu. Ainsi, ce gentilhomme fut sauvé par ses bons amis, le Sylphe et la maréchale. Sont-ce là, je vous prie, monsieur l'abbé, des moeurs de démons? Mais je vais vous rapporter un trait auquel vous serez plus sensible, et qui, j'en suis sûr, ira au coeur d'un savant homme tel que vous. Vous n'ignorez point que l'Académie de Dijon est fertile en beaux esprits. L'un d'eux, dont le nom ne vous est point inconnu, vivant au siècle dern...
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-- Et à quoi cela t'avançait-il ?
CHAPITRE VIC’était enfinarrivé. Lemessage attenduétaitvenu. Ilsemblait àWinston qu’ilavait toute savie attendu ce moment. Illongeait lecouloir duministère etilétait presque àl’endroit oùJulia luiavait glissé lemot dans lamain, quand ils’aperçut quequelqu’un pluscorpulent queluimarchait justederrière lui.Lapersonne, qu’il n’identifiait pasencore, fitentendre unepetite toux,prélude évidentdecequ’elle allaitdire.Winston s’arrêta brusquement etse retourna. C’étaitO’Brien. Ils étaient enfinfaceàface...
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Définition du terme:
CURIEUX, -EUSE, adjectif.
et/ou de posséder, notamment des choses rares. Il n'est plus de livres qu'un curieux ne se procure s'il en grille d'envie (JACQUES-ÉMILE BLANCHE, Mes Modèles, 1928, page 202 ). Confer également le titre de la revue L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Ø 3. Un curieux d'architecture trouvera dans le détail de ces constructions d'époques si différentes que sont les collèges et les chapelles, un objet de contemplations indéfinies. PAUL BOURGET, Études et portraits, Études anglaises, 1888,...
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Ressource gratuite : La connaissance scientifique progresse-t-elle par l'accumulation des faits ?
c'est ainsi que la cathédrale de la science s'édifie. De là apparaît une représentation du savoir scientifique pleine descertitudes accumulées par des générations de savants. Il nous faut revenir sur la notion de progrès, qui signifie plusqu'un simple changement. Car un changement est une modification neutre, tandis qu'un progrès est une modificationqui constitue par rapport à l'état précédent un véritable « plus », un « mieux », une amélioration. Il ne suffit pasqu'une tendance soit continue po...
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l'autoroute qui n'a bientôt été qu'une ligne coupant une grande étendue de sable, Shlomo et
moi avons parlé.
ma mère avaiteuécho, ilyavait tantd'années : Ils avaient quatrefillesmagnifiques, ilsles ont toutes violées etils les ont tuées. Où avait-elle entenduça?avais-je l'habitude deme demander. Maislorsque j'avaisfinalement posélaquestion, mamère avaitdit,Jene me souviens plus,ilyavait tantd'histoires horribles,jefaisais descauchemars constamment. Donc, alors queShlomo etmoi arrivions àproximité deBeer Sheva, jelui aidemandé cequ'il pouvait savoir, cedont ilavait peut-être entenduparler.Personne enAus...
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PHYSIQUE CLASSIQUE
LE MONDE CLASSIQUE
L'IMPORTANCE DE LA SCIENCE GRECQUE
La civilisation et la culture de la Grèce classique sont le berceau de la civilisation et
de la culture occidentales modernes.
2 découverte de propriétés communes à plusieurs substances permettait de chercher quels étaient les éléments simples, les principes matériels dont toutes les choses étaient faites, les principes causals qui les faisaient changer et leurs caractéristiques essentielles communes ou distinctes. Cette tendance à la différenciation et à l’unification est typique de la science grecque, tout comme le fait de s’appuyer sur les différences et les analogies qualitatives. Mais les Grecs cultivèrent aussi l...
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Définition et usage du mot:
BAVE, substantif féminin.
312601 Forme dérivée du verbe "baver"baverBAVER, verbe.I.— Emploi intransitif.A.— [En parlant de personnes, d'animaux] Laisser couler de la bave par labouche; jeter de la bave, en sécréter. Les petits enfants ne font que baver(Dictionnaire de l'Académie Française); le chien enragé bave beaucoup (NouveauLarousse illustré) :Ø 1. Et l'escargot sans bruitRampe et bave;...MAURICE ROLLINAT, Les Névroses, 1883, page 142. Ø 2. Il [Gagou] s'est avancé sur la place, du côté des femmes, les bras ballants,...
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Définition:
AUTHENTIQUE, adjectif et substantif.
2. Vieux. Solennel?: ? 2. Ce fut vers ce temps-l? que le duc trouva enfin le loisir de prendre possession authentique de son duch?. Le 26 novembre 1364, il fit son entr?e solennelle dans sa ville capitale de Dijon, accompagn? de son fr?re le duc d'Anjou, de l'?v?que d'Autun, dont le dioc?se et les domaines comprenaient une grande part de la Bourgogne, des pr?lats, de la noblesse, des gens de justice, des gens des villes et communes. Il se rendit d'abord ? Saint-Benigne. PROSPER DE BARANTE, Hi...
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Les liasons dangereuses
12. Billet de Sophie [sic] Volanges à la marquise de Merteuil Cécile prévient la marquise de Merteuil et s'excuse de l'indisposition de sa mère et donc de son absence à leur rendez-vous. Elle fait dire à Danceny de lui apporter un recueil, dont il lui a parlé. 13. Réponse La marquise regrette leur absence et transmettra le message à Danceny. Elle propose ensuite, de leur rendre visite le lendemain avec Danceny et le chevalier Belleroche. 14. De Cécile Volanges à Sophie Carnay, aux Ursuline...
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QUENEAU Raymond : sa vie et son oeuvre
sionnelles ou paraprofessionnelles. Rapidement reconnu par ses pairs (Jean Paulhan ... ) puis, avec Exercices de sryle (qui paraît en 1947 et dont Yves Robert et les Frères Jacque s font, en 1949, un mémorable numéro de cabaret), par un large public, Queneau est élu en 1951 à l'académie Goncourt. Son « encyclopédisme » faisant de lui un directeur tout désigné pour l'« Encyclopédie de la Pléiade »que Gallimard lance en 1954 .. . Concurremment son hu...
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perdre du temps en examens.
comme honoraires ? « – Douze milleflorins, payables parchèque, àAmsterdam. « Je… tremblai… jetremblai decolère et…aussi d’admiration. Elleavait toutcalculé, lasomme etlemode de paiement, quidevait m’obliger àpartir ; ellem’avait évaluéetacheté sansmeconnaître ; elleavait disposé de moi dans l’intuition desavolonté. J’avaisbienenvie delagifler… mais,comme jeme levais entremblant, –elle aussi s’était levée–et que précisément, jela regardais danslesyeux, jeme sentis soudain, envoyant cette bouche c...
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Kuhn la révolution scientifique
Cet ouvrage n’est paru pour la première fois (nous avons étudié la seconde et dernière édition) qu’à la fin de l’année 1962, mais l’auteur avait déjà, quinze ans auparavant, le conviction qu’un livre de ce type (concernant l’Histoire et le développement des sciences) devait être écrit : il était alors étudiant en doctorat et rédigeait sa thèse de physique. Peu de temps après, il quittait les sciences pour leur histoire en recevant une bourse de la Society of Fellows de l’université de Ha...
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était bien plus grand et il avait une manière de se redresser qui m'en imposait beaucoup.
XII Je n’étais pasfort rassuré surlecompte dujeune homme pâle.Plusjepensais aucombat, plusjeme rappelais les traits ensanglantés decejeune homme, plusjesentais qu’ildevait m’être faitquelque chosepourl’avoir misdans cet état. Lesang decejeune homme retomberait surma tête, etlaloi levengerait. Sansavoir uneidée bien positive dela peine quej’encourais, ilétait évident pourmoiquelesjeunes garsduvillage nedevaient pasaller dans lesenvirons ravager lesmaisons desgens bienposés etrosser lesjeunes gens...
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Le mot "parole" dans l'oeuvre de DESCARTES
LE MONDE OU TRAITÉ DE LA LUMIERE, CHAPITRE PREMIER, De la différence qui est entre nos sentiments et les choses qui les produisent. Vous savez bien que les paroles, n'ayant aucune ressemblance avec les choses qu'elles signifient, ne laissent pas de nous les faireconcevoir, et souvent même sans que nous prenions garde au son des mots, ni à leurs syllabes ; Mais vous direz, peut-être, que nos oreilles ne nous font véritablement sentir que le son des paroles, ni nos yeux que lacontenance de c...
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CORNEILLE Pierre : sa vie et son oeuvre
est avide de divertissements et de spectacles et favorise un essor du théâtre. Cet engouement, qui coïncide avec le succès de Corneille, se traduit par la création de théâtres (salles et troupes) nouveaux : ainsi, grâce à Mélite, la troupe de Lenoir-Mondory s'installe à Paris, où elle don nera naissance au théâtre du Marais, créant, avec l'Hôtel de Bourgogne Uusque-là en situation de monopole), une concurrence qui reflète et facilite la variété d...
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I
Au retour, dans l'encombrement des voitures qui rentraient par le bord du lac, la calèche dut marcher au pas.
mondaines envoiture découverte, menaçaitdeseterminer parune soirée d’unefraîcheur aiguë. Un moment, lajeune femme restapelotonnée, retrouvantlachaleur deson coin, s’abandonnant aubercement voluptueux de toutes cesroues quitournaient devantelle.Puis, levant latête vers Maxime, dontlesregards déshabillaient tranquillement lesfemmes étaléesdanslescoupés etdans leslandaus voisins : – Vrai, demanda-t-elle, est-cequetulatrouves jolie,cette Laure d’Aurigny ? Vousenfaisiez unéloge, l’autre jour,lorsqu’o...
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Réaliser une anthologie de 10 poèmes autour d'un thème particulier, organisés logiquement, ainsi que la préface de cette anthologie.
changements mais je savais que cela ne pouvait être que bénéfique pour moi. Grâce à Napoléon et Haussmann, mes rues sontdevenues plus larges, donc plus sûres, et plus propres. Les habitations étaient de meilleure qualité et les hivers paraissent moinsdangereux pour mes habitants. Alfred de Musset vante ma beauté en hiver dans « Que j'aime le premier frisson d'hiver… » Dansce poème, il me compare à une dame dont il est amoureux. Il cite par ailleurs le Louvre qui venait d'être rénové. Napoléon II...
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Canguilhem – Le Normal et le Pathologique - Fiche de lecture
croyances pour dire que la création de chaleur dans l'être vivant se fait selon certains mécanismes qui sont de même nature dans le cas pathologique et physiologiquemais à divers degrés d'où la différence en terme de quantité entre les deux cas. Mais le savant va encore plus loin en proposant une idée de continuité même hors ducontexte médical en admettant que les phénomènes dans l'organique et le minéral sont les mêmes et que ce sont l'organisation et les interactions de ces derniers quidiffére...
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Excerpt from Richard II - anthology.
He may surrender. So we shall proceedWithout suspicion. YORK. I will be his conduct.Exit BOLINGBROKE. Lords, you that here are under our arrest,Procure your sureties for your days of answer.Little are we beholding to your love,And little looked for at your helping hands. Enter Richard and York RICHARD. Alack, why am I sent for to a kingBefore I have shook off the regal thoughtsWherewith I reigned? I hardly yet have learnedTo insinuate, flatter, bow, and bend my knee.Give sorrow leave awhile to t...
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Ah, russe, a dit Meg, se taisant un instant.
J'ai été tellement surpris,dansunpremier temps,quejen'ai passuquoi dire. Chacun sesert comme ilveut, adit Meg, servez-vous, s'ilvous plaît . J'avais lesentiment qu'elleseréjouissait denous avoir surpris . Je me suis assis àcôté deM. Grossbard etj'ai mis enmarche monmagnétophone. Mon Dieu, adit Matt. Jen'ai pasvucette nourriture depuismonenfance ! Souvenez-vous, ai-jeditàMeg, moncerveau tournant àcent àl'heure, quenous étions de Bolechow, nousaussi, ilya bien longtemps. Bolechow, c'étaitunejolie...
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La science est-elle vraisemblable ?
nécessaire d'envisager la seconde catégorie, qui consiste en la généralisation de l'énoncé singulier, et dont lesénoncés, dits énoncés généraux, peuvent seuls prétendre appartenir à la science. Considérons l'exemple empruntéau domaine de la Chimie : « l'acide fait virer le papier de tournesol au rouge » On remarque ici, qu'à la différence desénoncés singuliers, les énoncés généraux contiennent des affirmations concernant les propriétés ou lecomportement d'un aspect de l'univers. Ils po...
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espagnole, littérature.
2.3. 2 Littérature érudite et chevaleresque La littérature satirique et historique s’épanouit particulièrement dans l’Espagne du XVe siècle. Les monarques Ferdinand V et Isabelle I re la Catholique encouragent durant leur règne (1474-1504) l’étude des humanités ; le savant le plus en vue de l’époque est d’ailleurs un grammairien et lexicographe, Antonio de Nebrija (ou Lebrija), qui rédige la Grammaire de la langue castillane (1492). C’est à cette époque également que le roman de chevalerie...
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chimie - chimie.
3.2. 1 La transmutation des métaux En Égypte, la théorie d’Aristote est admise par les artisans, en particulier à Alexandrie, qui devient, après 300 av. J.-C., le centre intellectuel du monde antique. Selon les artisans, les métaux terrestres tendraient à devenir de plus en plus parfaits et à être ainsi progressivement transformés en or ; en outre, ils pensent pouvoir effectuer plus rapidement cette opération dans leurs propres ateliers et transmuter ainsi les métaux courants en or, métal inalt...
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Le désir de comprendre de quoi est fait le monde qui les entoure a toujours excité la
curiosité des hommes.
La lumière La lumière fut l'un des sujets les plus sensibles dans le développement de la physique, d'une part comme support de la vision, qui est le principal canal de notre connaissance du monde, et comme vecteur d'informations venant d'endroits inaccessibles (les étoiles), d'autre part comme champ d'expérience privilégié pour les diverses théories du rayonnement. Le premier des quatre textes qui suivent relate l'étape cruciale où l'on a pris conscience du rôle que joue la lumière dans la vi...
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traditionnelle, musique - musique du monde.
chanson traditionnelle anglaise, et le mode phrygien est fréquemment utilisé en Espagne. La gamme pentatonique, c’est-à-dire comportant cinq notes organisées comme les touches noires du piano, est également fréquente dans les musiques traditionnelles d’Europe, notamment dans la musique celtique (bretonne, irlandaise) et hongroise. On trouve des gammes plus simples, de trois ou quatre notes, dans les comptines et refrains pour enfants, ainsi que dans les chants issus des rites préchrétiens. Le ry...
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correction DROIT DES AFFAIRES
quand les commerçants font faillite en tout cas c'est le moyen-âge le droit commercial arrosez tu ces 3 caractéristiques que l'on retrouve encore aujourd'hui caractéristiques qui sont fondamentales qui définissent le droit des affaires à savoir un droit international un droit simple et rapide un droit rigoureux adroit rigoureux qui protège les créances d'accord et non de peur pas moi que jusqu'au 16e dix-septième siècle ce sont les commerçants qui élaborent leurs propres règles et puis à par...
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Que savez-vous et que pensez-vous du scepticisme ?
mesure, contre l'attitude pré-critique des doctrines antérieures. En ce sens, le Scepticisme a ouvert la voie, commeon le verra bientôt,- à des doctrines plus modernes. Mais il ne tient plus devant ce fait : l'avènement de laconnaissance scientifique. En constituant des méthodes de plus en plus précises d'élimination de l'erreur, en ralliantl'adhésion universelle des esprits, en faisant en quelque sorte la preuve de sa validité par les applications pratiquesqu'elle engendre, la science...
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L'Antiquité, siècles des lueurs
et philosophes du grand siècle d'Athènes, ne figure aucun physicien de valeur. Il existe bien des hommes de scienceà Athènes, mais leur production ressemble surtout à des jeux de l'esprit et à des exercices d'exposé. A quoi cela peut-il tenir ? Les savants d'alors, sans doute grisés par les premiers succès de la science, ontcertainement péché par excès d'ambition. Ils devaient être de doctes personnages, qui ne pouvaient faire moins quede donner une explication de tout. Nous sommes encor...
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Jeudi
62
-- Hé, ho, réveillez-vous.
62 — Hé, ho,réveillez-vous. S’ilvous plaît. Ces mots m’éveillèrent ensursaut. Il me fallut quelques secondes pouraccommoder monregard, maisjesavais déjàquejen’aimerais pasce que j’allais voir.J’avais latête cotonneuse. Çaneressemblait pasàune gueule debois, j’avais plutôt l’impression quemon crâne avaitétépris dans unétau qu’on n’avait desserré qued’un demi-tour. J’étais allongé surunlitde camp peuépais. Jeconstatai quejen’avais paslesmains liées.Jeme redressai enfaisant grincer lelit, vis que m...
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PHYSIQUE : Électrostatique
Franklin, en 1752. lance le cerf -volant qui lui permettra de décou vrir la nature 61actrlqua des 6clairs atmosphériques. (Photo Sodel) Dans son laboratoire , Franklin se penche sur las problimas da l'électricité statique . {Phot o Sodel) . Tous ces. phénomènes étaient jusque-là restés très mal compris et l'on imagine l'importance de ce savant qui pour la première fois donnait à toutes ces observa tions un caractère unifié et permettait enfin de...
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Un savant, invité à préciser l'influence que lui semblait pouvoir exercer sur le bonheur de l'humanité le progrès scientifique, formulait la réponse suivante : La science est aveugle elle est capable de servir tous les maîtres et de répondre à tous les appels, à ceux de la violence aussi bien qu'à ceux de la charité et de la justice; c'est une esclave sans âme, se prêtant à tontes les fins, travaillant indifféremment au malheur et au bonheur des hommes. Expliquez, commentez et au beso
34 I;>iTRODLCTION 2° La science permet de dfriger ces f on es et de les faire servir à la réalisation de nos fins ou de nos desseins - canalisées, les eaux du torrent, au lien de dévaster les champs qu'elles traversent, produisent le courant électrique qui fait tourner nos moteurs -; mais elle ne fixe pas de fins ou de buts : elle ne dit pas à quoi il faut employer le courant électrique ou l'énergie libérée par la désintégration de...
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le parachutage
2 des bêtises su r la politique. Et comme tu réclames des preuves je vais te les donner. Le gendarme jeta sur la table un paquet. Je lus : ''Le parachutage'' ; c‱était mon manuscrit que j‱avais envoyé aux Éditions CLE de Yaoundé, il y avait cinq mois de cela. Je voulus sav oir comment et pourquoi ''Le Parachutage'' était parvenu dans les mains de la gendarmerie. Mais je me rappelai ce que valaient les questions et me t...
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LE TRIOMPHE DES SCIENCES EXPÉRIMENTALES : BUFFON
d'honneur:; el de considération, malgré les tritiques que les autres savants ne lui ménageaient pas. • Savant, il condamne la recherche du " pourquoi " des choses et se propose, comme Diderot, d'étudier seulement le " comment", la façon dont jouent les lois de l'univers. Aussi, non sans noblesse, il sait confesser ses erreurs; réfute dans les Époques de la Nature ce qu'il a dit dans la Théorie de la Terre; accepte l'hypothèse du trans...
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qu'il était déjà deux heures et demie et que nous n'avions pas déjeuné.
la salle, unefemme auvisage sérieux, àla fois doux etdistant, m'aditenanglais, Jesuis désolée, nousallons fermer. Oh, ai-je dit.Bien évidemment, j'étaissoulagé. Ça n'a aucun senspour vous, a-t-elle continué, delouer unordinateur, vousallezpayer pour une heure etnous fermons àquatre heures, dansquelques minutesseulement. Par égard pourFroma, j'aiessayé deprendre unair déçu. J'aihoché latête tristement. La femme, quisouriait vaguement, m'aregardé avecunair unpeu maternel etadit, Vous venez deloin...
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L'humanisme
détestée par les humanistes, pratiquent un enseignement stu pide. Ils font lire au géant une multitude de commentaires, qui l'occupent " plus de dix huyt ans et unze moys ,, (chap. xiv, p. 144). Cette durée comique signifie que Gargantua perd son temps. L'un de ces livres s'intitule même le Supplementum -un commentaire (un " supplément ,, d'informations ajouté à un livre)-, dont on ne sait ce qu'il commente. Cela suggère que...
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de lois), mais s'il était découvert, il serait, sans aucun doute, puni de mort ou de vingt-cinq ans au moins de
ravaux forcés dans un camp.
mais àqui iln’avait jamaisparlé,entrèrent danslasalle àl’improviste. L’uneétaitunefille qu’il croisait souvent dans lescouloirs. Ilne savait passon nom, maisilsavait qu’elle travaillait auCommissariat auxRomans. Il l’avait parfois vueavec desmains huileuses ettenant uneclefanglaise. Elles’occupait probablement àquelque besogne mécanique surl’une desmachines àécrire desromans. C’étaitunefille d’aspect hardi,d’environ vingt- sept ans,auxépais cheveux noirs,auvisage couvert detaches derousseur, àl’...
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MOLIERE ET L'EDUCATION DES FEMMES
Sablé, curieuse plutôt de physique ; Mme de la Sablière " qu'estime, dira Boileau, Roberval et que Sauveur fréquente", chez qui viennent et dissertent, avec le physicien Roberval et le mathématicien Sauveur, l'orientaliste Herbe-lot,le voyageur Bernier, des médecins, des anatomistes. Puis toutes celles que passionne surtout la philosophie, quisont naturellement cartésiennes, qui discutent, avec La Fontaine, de " l'âme des bêtes ", Mme de Grignan, Mme deBonnevaut, Mile de la Vigne, Mlle Descarte...
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MOLIÈRE (Jean-Baptiste Poquelin, dit)
soutien du roi, qui consent à être le parrain du premier fils de Molière, celui-ci ose écrire Tartuffe. Mais la pièce est interdite. Il ose Dom Juan . Le roi honore la troupe de Molière du titre Troupe du roi, en dépit du scandale. Tartuffe ou l’Imposteur est enfin donnée le 5 février 1669. Le théâtre fait alors la plus étonnante recette qu’il ait jamais fait. Les succès s'enchaînent. C’est Le Misanthrope ,L’Avare , c’est Le Bourgeois Gentilhomme .... Ce sont Les Femmes savantes et, le 10 fév...
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De plus en plus nerveux, Torres attendait que le pharmacien ait fini de fourrager dans les médicaments,
derrière le comptoir.
L’homme semblaitamical.Comme s’ilvoulait l’aider. — Je l’ai été, répliqua Torresenfrissonnant. Pasmaintenant. Non,plusmaintenant. L’homme fitquelques pasvers lui,tenant labouteille commeungage depaix. — Mon frère étaitdans l’armée, fit-il.Ila été tué auKoweït, en1991. La bouteille étaitmaintenant àquelques centimètres delamain deTorres. — Tiens. Boisça.Tuasl’air d’en avoir besoin. Maisnefais plus demal àpersonne, fiston. Le regard sansexpression, Torresfixaitlabouteille. Aubout d’unlongmoment, i...
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En prenant l'I-95 pour se rendre à Mamaroneck, l'inspecteur Andy Perrini, de la brigade des stupéfiants, se
emandait pourquoi Octavio Guerra tenait tant à localiser l'archéologue qui s'était mise à écrire des romans à
'eau de rose.
— Bonjour, madame, lasalua-t-il duton qu’il réservait d’ordinaire àla mère deRachel etàl’épouse du capitaine deson district. Jesuis duService deprévention desincendies, deWeaver Street.Nousvérifions que tout lemonde abien lenuméro desamaison clairement visibledelarue, comme lestipule lerèglement municipal. Lafemme regarda immédiatement par-dessusl’épauledePerrini ledisque deporcelaine peintecolléàl’un des piquets desaclôture. Ilétait bien làet elle ramena surPerrini unregard interrogateur. Il lu...
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L'expédition d'Egypte au cinéma
Blessé lors du siège de Saint Jean-d' Acre, Caffarelli re trouve une dernière fois Aly avant de mourir. Regard personnel de Chahine sur la campagne d'Égypte, Adieu Bonaparte dresse un bi lan contrasté de l'occupation française : «Je n'aimais pas que l'on parle de Bonaparte comme d'un civilisateur:, en oubliant de mentionner les seules choses positives que nous avions gardées de lui en Égypte. Il avait amené avec lui des s...
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Pierre-Henri SIMON, Questions aux savants, 1969 (Résumé)
~ t 1 RÉSUMÉ/ANALYSE 11 devenue, une zone plus large y étant laissée aux senti ments et aux idées simples, au monde subjectif, à la sagesse naturelle et empirique ; et, d'autre part, la science demeurait plus proche de la vie, moins abstraite, moins séparée de la logique ordinaire. Sans remonter plus haut que deux ou trois cents ans, l'Encyclopédie pouvait être une entreprise où les écrivains collaboraient avec les physiciens et les m...
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ACTE II. EXPULSION DE MARTINE. LES FEMMES SAVANTES. Molière
Comme de l'adjectif avec le substantif,Nous enseigne les lois.MARTINE.J'ai, Madame, à vous direQue je ne connais point ces gens-là.PHILAMINTE.Quel martyre !BÉLISE.Ce sont les noms des mots : et l'on doit regarderEn quoi c'est qu'il les faut faire ensemble accorder.MARTINE.Qu'ils s'accord nt entre eux ou se gourment, qu'importe?PHILAMINTE, à Bélise.Eh ! mon Dieu ! finissez un discours de la sorte.(A Chrysale ) Vous ne voulez pas, vous, me la faire sortir?CHRYSALE, à part.Si fait. A son caprice il...
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ACTE I : L'exposition (Les Femmes Savantes de Molière) - Commentaire
Mon Dieu ! que votre esprit est d'un étage bas ! Que vous jouez au monde un petit personnage, De vousclaquemurer aux choses du ménage, Et de n'entrevoir point de plaisirs plus touchants Qu'un idole d'époux et desmarmots d'enfants ! Laissez aux gens grossiers, aux personnes vulgaires, Les bas amusements de ces sortesd'affaires... Vous avez notre mère en exemple à vos yeux, Que du nom de savante on honore en tous lieux :Tâchez, ainsi que moi, de vous montrer sa fille ;...
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Julie de Lespinasse écrit : « Savez vous pourquoi je vous écris ? C'est parce que cela me plait »....
Julie de Lespinasse écrit : « Savez vous pourquoi je vous écris ? C'est parce que cela me plait ». Pensez-vous que ce soit la seule motivation de l'auteur d'une lettre ? Pourquoi écrire une lettre ? Est-ce seulement par plaisir ? Le plaisir d'écrire est-il la seule motivation pour écrire une lettre ? I- La lettre, moyen privilégié d'expression de ses sentiments La lettre permet à une personne d'exprimer ses sentiments et cela est favorisé par son emploi particulier et ses conditions d'écriture...
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LA PESTE
J'ai toujours pensé que vous n'aviez pas assez de haine.
LA PESTE Qui vous demande dessecours ? LA SECRÉTAIRE Ceux quisont moins grands quelemalheur. C'est-à-dire presquetous.Avec eux,ilm'arrivait de travailler dansleconsentement, j'existaisàma manière. Aujourd'hui jeleur faisviolence ettous menient jusqu'à leurdernier souffle. C'estpeut-être pourquoij'aimaiscelui-ciquevous m'ordonnez detuer. Ilm'a choisie librement. Àsa manière, ilaeu pitié demoi. J'aime ceuxquime donnent rendez-vous. LA PESTE Craignez dem'irriter ! Nousn'avons pasbesoin dep...
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Explication de texte : Teuth et Thamous
Introduction: -Amorce (présenter les deux idées opposées qui vont annoncer la pbique du texte) -Problèmatique (pb implicite , quelle question s'est posée l'auteur) -Thème /-Thèse (ce que l'auteur en dit, thèse de l'auteur)/Présentation de l'auteur -Annonce du plan (isoler des para du texte et les etudier) -Annoncer les questions que le texte sucite (les enjeux du texte) Developpement: I)A) 1) Analyse/ Expliquer: Approfondir & Clarifier en 3NIV: - Analyser les concepts (Tts les mots ayant u...
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Au terme de l'Avant-propos placé en tête de son livre Matière et Lumière, Louis de Broglie écrit : « On peut légitimement aimer la science pour ses applications, pour les soulagements et les commodités qu'elle a apportés à la vie humaine, sans oublier toutefois que la vie humaine restera toujours, de par sa nature même, précaire et misérable. Mais on peut, pensons-nous, trouver une autre raison d'aimer l'effort scientifique, en appréciant la valeur de ce qu'il représente. En effet, com
même, précaire et misérable ». Malgré trois siècles d'efforts scientifiques admirables, l'analyse célèbre qui figuredans les Pensées reste valable. Connaître, être heureux : jamais ces deux désirs fondamentaux de l'homme neseront satisfaits. Sans doute, l'astronome et le microphysicien ont-ils, après le biologiste, partiellement détruit ladémonstration géométrique des deux infinis tentée par Pascal, mais « nous ne voyons jamais qu'un seul côté deschoses », formulait Hugo, et nous ne n...