710 résultats pour "pouvons"
-
Bonheur et chance
thèse plus loin l’étymologie (heur signifie chance en vieux français). Par exemple, celui qui est rescapé d’un accident d’avion, même s’il a souffert, peut s’estimer heureux, car il a eu de la chance. On pourrait donc suggérer que « bonheur » ne signifie rien d’autre que « chance ». Concession apparente Mais il est assez évident que cela est faux : le bonheur désigne avant tout un état de bien-être, de satisfaction. La c...
-
Dans quelle mesure peut-on affirmer que la conscience n'est pas une donnée mais une tâche ?
pierre est "donnée" au sens où elle est simplement là, qu'elle s'impose à nouspar sa présence pure et simple. Dans le second, nous renvoyons plutôt auxdonnées mathématiques, par exemple elles correspondent à ce qu'on choisitd'admettre comme existant ("étant données deux droites parallèles, ...") pourétablir ensuite un raisonnement sur cette base. Comprise ainsi, la donnée n'apas besoin d'être démontrée ni découverte. En va4-il ainsi du cogito? Nousest-t-il accessible sans travail? Est-il donné à...
- La métamorphose de Narcisse A partir du XIX ème siècle, des artistes s'intéressèrent à de nouveaux aspects de l'esthétisme ; ils entreprennent des actions nouvelles ou expérimentales dans les arts.
-
explication lettre a mersennes
Le plaisir esthétique est une impression ou un sentiment, donc subjectif. Cette idée confirme l’opinion courante : “ à chacun ses goûts ”. René Descartes exprime cette idée en se basant l’extrême diversité des « jugements des hommes » : il suppose que la perception du beau est définie par notre personne et qu’elle est indépendante de l’avis général : en utilisant à nouveau l’image du parterre, Descartes affirm...
-
Peut-on penser le futur ?
devient alors mon allié, puisque je veux construire mon histoire et l'Histoire et que je me projette ainsi vers lespossibles, vers cette page blanche où je décide d'inscrire mon nom et mes valeurs. 2. Passage à la rationalisation de l'expérience. Ce passage sera la condition d'une certaine connaissancedu futur. Jusqu'à présent, nous en sommes restés au niveau du temps vécu et concret. Mais l'homme est également un êtred'abstraction, opérant par concepts et idées générales, séparant ce qui ne...
- Commentaire composé : La gorge coupée par Michel Leiris.
-
Y'a-t-il une vérité des apparences?
de constater que notre jugement des apparences est bien plus trompeur que les apparences elles-mêmes. A la question : « Y'a-t-il une vérité des apparences ? », il semble qu'il faille répondre par la négative car il semblerait que nous soyons nécessairement abusés par les apparences des choses. Par-delà la définition même de ce qu'est une apparence il semblerait que nous soyons éloignés de notre perpétuelle quête de vérité. En effet, nous avons ici deux définitions s'opposant complétement...
-
la dictature en corée du nord
chef de l’Etat et sa femme. L’homme tient dans sa main un livre avec un symbole dessus. Juste devant ce couple, il y a un pied de pose caméra ou appareil photo. Ensuite, à l’arri ère plan à gauche se trouve, les civils, ils sont heureux et parlent (bulle avec des phrases cor éenne dedans) et contre tout attente ils ne regardent pas en direction du couple, mais font ce qui leurs souhaite, comme si le ressentit qu’il voulait nous faire passer était le sentiment de libert é. Je trouve ...
-
- Question Corpus: Les différents registres
-
David HUME: Ce qu'on n'a jamais vu, ce dont on n'a jamais entendu parler
en fait lié à notre expérience : pour créer l'idée d'un cheval vertueux nous ne faisons qu'associer des imagesfamilières : le cheval (animal familier à l'époque de Hume) et le sentiment vertueux (dimension capitale de lavie psychique à l'époque de Hume). Toute l'étendue imaginable de la pensée peut donc trouver son originedans la sphère étroite de notre expérience. III : La nature de l'esprit. 1) Hume détermine ce qui « dépend de l'esprit et de la volonté ». L'esprit est actif dans l'org...
-
« Le divertissement est-il l'unique visée du théâtre ? »
la vérité éclate, Jocaste se suicide et Œdipe se crève les yeux. Les personnages sont donc punis pour leurs actes impardonnables. Outre ce rôle de divertissement, le théâtre a une fonction de réflexion. En effet, le théâtre est un tremplin pour faire véhiculer des idées et il n’est pas rare de voir certains auteurs l’utiliser pour analyser les problèmes de la société sans être censurés. C’est pourquoi, quand on lit un texte de théâtre il faut veiller à bien comprendre le sens profond q...
-
« Faut-il être seul pour penser? »
involontaire et donc subie par l'individu? Et dans une telle option nous pouvons alors faire référence au personnage de Robinson Crusoe, apparaissant dans Vendredi ou les limbes du Pacifique de Michel Tournier, qui se retrouve seul sur une île, coupé du monde. La solitude involontaire de Robinson Crusoë est également appelée un solipsisme. Dans les deux cas de figure, il s'agit d'un éloignement, volontaire ou non, de la société et de ses opinions. Ainsi nous allons développé le premier cas que n...
- IMAGES D'ACTRICES DANS LA PEINTURE IMPRESSIONNISTE [NANA]
-
Faut-il inviter les cannibales à notre table ?
équité ». Celle-ci se serait imposée d'elle-même, enracinée (« plantée ») dans le coeur des hommes et dans leursÉtats, en tout lieu et en tout temps.Or, l'histoire nous montre une « relativité » des conceptions du juste et de l'injuste qui parle d'elle-même. Ce qui estjuste ici est considéré comme blâmable là et réciproquement. Ce qui est le bien en France (au-deçà des Pyrénées)est une erreur ou un vice en Espagne (au-delà des Pyrénées). Nous ne pouvons que nous moquer alors d'une justicequi « c...
- Critique à l'ombre de la vengeance
- Liberté et faire n'importe quoi
-
-
Certitude & Erreur
Chez Hume par exemple, on parle d'expérience scientifique : pourquoi on fait des exp ériences scientifiques ? On en fait pour confirmer ou affirmer une hypoth èse explicative. Il est int éressant de lire chez Spinoza car il nous renvoie de vivre dans la joie et de recueillir le maximum de connaissances « Les v érit és math ématiques sont des v érit és éternelles ». Cette citation prouve bien qu'un calcul math ématiques ou un raisonnement log...
-
Faut-il s'abstenir de penser pour être heureux ?
On peut ainsi se rendre compte que même en pensant nous ne sommes pas sûr d'atteindre le bonheur, c'est ce quenous confirme Kant dans les fondements de la métaphysique des moeurs, avec son impossibilité de déterminer le bonheur: « le bonheur est un concept si indéterminé ». Pour lui, pour êtrecertain d'atteindre le bonheur il faut détenir l'omniscience, ce qui est bien surchose impossible; si l'on détenais l'omniscience on pourrait ainsi comprendrece qui nous rendrait heureux à long terme, ca...
- Dans quelle mesure la littérature est libératrice du lecteur (et de l'auteur)?
-
Nait on libre ou le devient-on?
Ce serait donc plus par instinct que le nourrisson pleure parce qu’il a faim et baille parce qu’il a sommeil. La liberté ne semble donc pas être innée, même si elle est bien présente. Cependant, le propre de l’Homme est la parole, en effet celle-ci lui permet de s’exprimer, de partager ses pensées avec ses congénères, mais ne pourrions-nous pas envisager la possibilité que les pleurs d’un enfant ne soit pas simplement un caprice mais plutôt que l’on voit cela comme un moyen de communication...
-
La science peut-elle tenir lieu de philosophie ?
connaissances acquises, relativement aux différents ordres de phénomènes naturels ». (Cours de Phil. posit., t. I,Première leçon) Mais un « corps de doctrine homogène » ne se réduit pas à un résumé. Il constitue une synthèse,oeuvre d'une pensée créatrice qui fait intervenir des principes qui dépassent le donné des sciences particulières. Delà des philosophies différentes qui toutes prétendent bien tenir compte des acquisitions des diverses sciences.Ces oppositions restent irréductibles, car l'ex...
-
Y a-t-il, au point de vue psychologique, une différence entre l'homme passionné et le volontaire ?
L~ VOLO:'l'TÉ 171! 2. - LA VOLONTE DISSERTATION Y a-t-il, au point de vue psychologique, une différence entre l'homme passionné et le volontaire? (Paris, sept. 1946, Philo-Lettres.) INTRODUCTION. - Il est classique d'opposer la passion et la Yolonté. J~a passii.on se définit couramment comme une inclination dominante et exclusive : le passionné se porte par une impulsion aveugle vers l'objet qui le captive, indifférent à ses autres int...
-
Faut-il croire en la science?
universel, jusqu'alors presque insignifiant, de l'assujettissement nécessaire de tous les phénomènes naturels à des lois invariables. »L'état métaphysique, qui désigne les encyclopédistes et les philosophes des Lumières. Comte leur reproche de raisonner à partir de supposition abstraite et métaphysique d'un contrat social établit par Rousseau, OEuvre qui a constitué un tournant décisif pour la modernité et s'est imposé comme un des textes majeurs de la philosophie politique, en affirmant le prin...
- Le bonheur consiste-t-il dans la satisfaction des désirs ?
-
-
La réflexion philosophique est-elle une nécessité ?
précises ne peuvent, en général, être connues comme conformes à la vérité, mais plutôt pour la valeur des questions elles-mêmes ; en effet, ces questions élargissent notre conception du possible,enrichissent notre imagination intellectuelle et diminuent l'assurance dogmatique qui ferme l'esprit àtoute spéculation; mais avant tout, grâce à la grandeur du monde que contemple la philosophie, notreesprit est lui aussi revêtu de grandeur et devient capable de réaliser cette union avec l'univer...
- Chapitre VI (6) De L'Assommoir D'Emile Zola
-
Commentaire Le rouge et le noir
En second lieu, cet extrait nous donne par l’intermédiaire de l’ascension Julien une porte ouverte sur ses sentiments, notamment celui de l’isolement voir presque du rejet. Pour commencer, Julien ressent le besoin de se mettre à l’ écart, il veut se recentrer sur lui-même « il avait besoin d’y voir clair dans son âme, et de donner audience à la foule de sentiments qui l’agitaient » l.9/10. La seule manière pour qu’il puisse le faire c’est de s’isoler et se mettre à l’ écart «loin du rega...
-
En quel sens peut-on parler d'une vie intérieure
Apprendre à se connaître est très difficile [...] et un très grand plaisir enmême temps (quel plaisir de se connaître !) ; mais nous ne pouvons pas nouscontempler nous-mêmes à partir de nous-mêmes : ce qui le prouve, ce sontles reproches que nous adressons à d'autres, sans nous rendre compte quenous commettons les mêmes erreurs, aveuglés que nous sommes, pourbeaucoup d'entre nous, par l'indulgence et la passion qui nous empêchent dejuger correctement. Par conséquent, à la façon dont n...
-
Peut-on changer le cours de l'histoire ?
Chez Hegel, la raison est plus qu'une faculté individuelle qui se trouveraittout entière en chacun, elle est absolue, c'est l'unité la plus haute del'Esprit, et à ce titre, elle est divine. Dieu est Raison qui modèle latotalité du réel. La Raison gouverne le monde, si bien que l'histoire, dansla totalité de son déroulement, est intégralement rationnelle. Elle est lapuissance infinie, à la fois matérielle et spirituelle de la vie. Elle estsubstance, ce par quoi et en quoi toute réalité trouve son...
-
Devoir maison de Philosophie
« Qu'est-ce que le moi?
le fait d'être le même individu dans le temps suite justement à cette mémoire qui nous permet de nous souvenir de nos apprentissages, de nos acquis, de notre passé et donc en conclusion de tout ce qui nous permet de construire notre identité et qui nous permet d'êtres nous-mêmes. Nous pouvons aussi alors utiliser la citation précédente de Kant pour permettre de définir la dernière partie de l'identité l'Unité. Comme le dit Kant l'Homme fait preuve d'Unité dans la conscience. Dans cette phra...
- Cette Fille-Là de Maïssa Bey
- Molloy - Beckett Incipit, explication linéaire
-
-
Toute croyance est-elle aveugle ?
possibles et aucune n'est à rejeter, car ce que l'on croit subjectivement est sans doute plus vrai qu'une certitudeprofonde. Les croyances sont nécessaires, car elles déterminent les actions des hommes et donc modifient lanature. Etant donné leur importance, elles ne peuvent être tout à fait aveugle. Nous dirons qu'elles sontdéterminées de manière réfléchie et raisonnable, sans pour autant être sure de leur issue ; elles fixent ainsi les butsdes actions et les idéaux des hommes....
-
Exposé: Investir ou désinvestir le vote ?
I. Le citoyen donne du sens à son vote A. Une mise en place r éussie du scrutin universel 1. Un investissement du droit de vote bien accueilli Le droit de vote a peu à peu été investi à l’ensemble des citoyens (pour les hommes en 1848 et les femmes en 1944), c’est àdire qu’il leur a été officiellement conf éré selon la d éfinition exacte du verbe investir. Depuis la mise en place du scrutin universel masculin en 1848, nous pouvons consid érer cela comme un succ ès puisque depu...
-
Le beau est-il toujours surprenant ?
la première définition. En effet nous avons vu qu'être sensible à la beauté relève d'une sensibilité purifiée de laconvoitise, de la crainte, du désir, du confort ... bref de tous les intérêts particuliers. Ce plaisir éprouvé n'estdonc pas celui d'un sujet enfermé dans sa particularité et ce dernier peut à juste titre dire: « c'est beau », comme si la beauté était dans l'objet. Il peut légitimement s'attendre à ce que tout autre éprouve la mêmesatisfaction. Ø « sans concept »: «...
-
La force des choses
La force des choses renvoie à l’immanquable, à la fatalité, à tout ce qui se produit en dehors de la volonté humaine. Ainsi, les choses seraient dotées d’une force, d’une capacité à agir sur nous indépendamment de nous. Mais nous sommes ici face à un paradoxe. Si les choses possèdent une force, c’est bien qu’au préalable quelqu’un leur a fourni cette force. Or, ce n’est pas l’homme, puisque nous nous situons en dehors de sa volont...
- « Le théâtre est un champ de forces très petit, mais où se joue toute l'histoire de la société, et qui, malgré son exiguïté, sert de modèle à la vie des gens ».
-
Dissertation : Peut on tout échanger ?
Pla ton l’af f i r ma i t en disan t que l’échange est la p rem ière ra ison d’êt re de tou te société. On peu t supposer que les échanges don t nous par lons concernen t les p rodu i ts don t la valeu r est commensu rab le, c'est-à-di re suscept ib le d'êt re rappor tée à une mesu re commune, au t remen t di t qu'on pu isse déte rm i ner la valeu r de chacune des choses échangées l'une pa r rappor t à l'au t re. Cet te valeur, cer tes, est f l uct uan te et dépend...
-
Texte de Leibniz, extrait des « Eléments de droit naturel » (in Le Droit de la Raison)
- la justice comprend la recherche du bien d'autrui et celle du nôtre. La relation entre les deuxdoit être précisée. Le texte indique que de manière générale, il est injuste de faire du biend'autrui le moyen d'obtenir le nôtre (recherche intéressée). Un exemple vient illustrer etpréciser : on n'appelle pas juste celui qui ne secourt pas autrui pour la raison que la personne secourue ne lui donnera rien en échange ; on n'appelle pas juste celui qui ne secourt pas autruialors que cela ne...
-
La matière est-ce l'informe ?
conçus comme un mécanisme, certes très complexe. Seule la parole témoigne de la présence d'un principe différentde celui de la manière, absolument pas l'organisation et l'individualisation.- En effet, la matière n'est pas comparable à une masse informe et inerte. Elle est mue par des lois qui lui sontpropres: les lois physiques, c'est-à-dire à l'époque de Descartes: les lois mécaniques. Ces lois expliquent lesmouvements au sein de la matière, desquels résultent la composition de corps dé...
-
-
Commentaire D'Un Extrait De La "Métapsychologie" De Freud
répond : "l'hypothèse de l'inconscient est nécessaire et légitime, et ... nous possédons de multiples preuves de l'existence del'inconscient." Il va le démontrer. Il se contente pour l'instant d'exposer son argumentaire. Il démontrera tout d'abord que l'on nepeut pas se passer de cette hypothèse. Sans elle il serait impossible de comprendre bon nombre de nos comportements. Aussiest-elle on ne peut plus "nécessaire", au sens d'indispensable. Il montrera ensuite, dans la foulée, que l'on est en dr...
- Nouveau bond dans l'histoire de l'Homme et de son évolution
-
La tradition est-elle respectable ?
Nous allons maintenant étudier la deuxième thèse où nous supposerons qu'il faille limiter les traditions. Il ne faut pas confondre une tradition avec une habitude. Une tradition est, contrairement à une habitude,vivante : transmise à travers les générations, elle évolue avec nous, contrairement à une habitude qui ne durejamais bien longtemps, et qui est propre à chaque personne, ou presque. On peut se demander la signification de « limiter ». Au sens général, « limiter »...
-
Le temps est-il en nous ou hors de nous ?
pas à l'espace parcouru. Le temps est quelque chose d'autre et quelque chose de plus que l'espace. La confusions'explique par l'attitude de notre intelligence dans l'acte de connaissance. Nous recherchons la stabilité, l'immobile,le vrai "pour toujours". Or l'essence même de la réalité c'est le mouvant, le changeant, le devenir, la temporalité.L'être de la réalité, c'est la durée. C'est mettre la réalité entre parenthèses que d'y supprimer le mouvant, en lespatialisant dans un système de coordo...
-
Une oeuvre d'art gagne-t-elle à être commentée ?
Référence : Bergson « L'influence du langage sur la sensation est plus profonde qu'on ne le pensegénéralement. Non seulement le langage nous fait croire à l'invariabilité de nossensations, mais il nous trompera parfois sur le caractère de la sensationéprouvée. Ainsi, quand je mange d'un mets réputés exquis, le nom qu'ils portent,gros de l'approbation qu'on lui donne, s'interpose entre ma sensation et maconscience ; je pourrais croire que la saveur me plaît, alors qu'un léger effortd'att...
-
Notre vie est-elle absurde ?
II) La mort comme ce qui vient ôter tout sens à la vie. § Schopenhauer, dans Le Monde comme volonté et comme Représentation, met en lumière l'idée selon laquelle toute existence est menacée, parce qu'elle s'inscrit dans le devenir et latemporalité et parce qu'elle est livrée au temps. Dès lors,l'existence rencontre la mort, comme son horizon. C'est parce quela mort est cet horizon que l'existence devient pour l'homme unproblème, qu'elle devient pour lui ce...
-
Être inconscient, est-ce ne pas être sois même ? Si Être inconscient revient à ne pas être nous même ?
automate, il n'a ni conscience ni mémoire, il agirait tous les matins de la même façon même si il se tape tous les matins contre le meuble posé à coté. Toutes ces réactions seront des réflexes et des non-actions réalisées grâce à son pré-conscience. Or, être un automate n'a aucune singularité. Donc être inconscient se résumerait à dire que nous sommes des corps matériels, et déterminé c'est-à-dire n'ayant aucune liberté puisque la liberté s'obtient grâce à la conscience et la mémoire....
-
Faut-il avoir peur de s'engager ?
de la paresse qui ne s'engage pas, qui ne commence pas : elle est indécision radicale. La peur de l'engagement vientde cette inconnue : de cette indétermination de l'avenir et de moi et cela compte tenu du fait que nous ne vivonspas un monde régit par la nécessité comme la nature peut l'être par les lois de la nature dont les sciencess'occupent. Liberté est donc responsabilité ; et cette responsabilité se marque non seulement envers moi et autruimais aussi envers l'humanité entière. Derriè...
-
-
L'Homme peut-il se passer des autres ?
clair que si nous le désirons nous pouvons très bien nous passer d'eux. Parfois, il nous arrive de nous isoler, nouséloigner des autres pour les empêcher de nuire a notre existence. C'est la que persiste l'idée de l'isolement de laconscience. D'après le raisonnement cartésien de Descartes, la vérité première c'est le cogito, le « Je pense, doncje suis ». Autrement dit, d'après cette situation, je ne suis assuré que de l'existence de ma conscience propre. Toutle reste, tous ce qui nous entoure, l...
-
Suis-je ce que j'ai choisi d'être ?
a. « L'existence précède l'essence » Malgré tout ce que nous avons défendu jusqu'ici, il faut voir à présent quenotre liberté a sans doute plus de puissance que nous ne lui en avons prêtée.Dans « L'existentialisme est un humanisme », Sartre écrit : « L'homme estcondamné à être libre. Condamné, parce qu'il ne s'est pas créé lui-même, etpar ailleurs cependant libre, parce qu'une fois jeté dans le monde, il estresponsable de tout ce qu'il fait ». Pour Sartre, c'est au sens le plus fort...