107 résultats pour "aveu"
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La Princesse de Clèves, Mme de Lafayette, Parcours : Individu, morale et société Texte 2 : L'AVEU
La Princesse de Clèves, Mme de Lafayette, Parcours : Individu, morale et société Texte 2 : Amorce : contexte d'écriture et biographie (comme d'habitude) Situation du passage Dans la troisième partie du roman. L'aveu intervient à un moment où la princesse s'est rendue compte qu'elle ne pouvait pas lutter contre l'amour qu'elle ressent pour Nemours. Submergée par la jalousie (l'épisode de la lettre) et la honte (le moment de plaisir partagé avec Nemours pendant l'écriture de la lettre), el...
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Marivaux, Les fausses confidences, 1737 Acte III, scène 12
Dorante décide de faire son aveu tardivement, mais il est courageux : « Il faut que vous soyez instruite » (L53) et « j'aime mieux votre haine que le remords d'avoir trompé ce que j'adore. » (L62). Son courage à ses limites, puisqu'il se décharge d'une partie de sa culpabilité sur Dubois qui lui a tout de même bien servi : « l'industrie d'un domestique qui savait mon amour. » (L58). 3) Le pardon d'Araminte : C'est de la réaction d'Araminte que dépend le dénouement heureux ou non de la pièce. Ell...
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Le Corricolo
Ma sincerite d'historien m'oblige a faire un aveu, quelque effort qu'il en coute a mon amitie.
sainte Anne. Dans l'exces de sa reconnaissance, il prend une eponge et commence a laver les nombreuses couches de poussiere qui lui cachent les traits de sa celeste protectrice. Tous les yeux sont fixes sur le tableau, toutes les levres repetent des prieres, lorsque sur la toile mise a nu on voit apparaitre tout a coup... Devinez qui, monsieur?... Le portrait d'un vieil avocat en robe noire! A dater de ce jour, on m'a laisse tranquille! Votre histoire est parfaite, mon cher maitre; mais, en ver...
- Et pendant qu'il parlait, pendant que la défense lui arrachait, lambeau par lambeau, l'aveu de son rêve extravagant la défense triomphait. Jean Jaurès, les Preuves
- Ce téméraire aveu, répliqua la dame, m'offenserait sans doute dans un autre temps, mais je le pardonne au trouble qui vous agite. Alain René Lesage, Gil Blas de Santillane
- La honte momentanée d'un aveu n'était rien en comparaison des regrets cuisants qu'elles se préparaient par un coupable silence. Jean Nicolas Bouilly, Contes à mes petites amies
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Commentaire de texte : Un aveu inouï - La princesse de Clèves
imaginer qu'elle veut retrouver dans le prince de Clèves le directeur de conscience qu'incarnait sa mère. Mais enrendant son mari témoin et confident du sacrifice de sa passion, elle le force à éprouver « estime » et « admiration» pour elle : l'aveu est donc aussi une façon qu'elle trouve pour restaurée l'image qu'elle a d'elle-même. Cela nousfait penser à une dénonce très fréquente chez les écrivains classiques : « l'aveuglement où chacun est pour soi ».La princesse veut se retirer de la cour p...
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Montesquieu a écrit: L'étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture n'ait dissipé. Que pensez-vous de cet aveu ? Vous semble-t-il caractéristique de l'esprit de Montesquieu ? Ce genre de diversion vous paraît-il s'appliquer à toute sorte de chagrins et résulter de n'importe quelle lecture ?
domestique : une femme ~ui s'efface; des enfants dociles. Il souhaite ne tenir sa fortune que des dieux; la fortune lui sourit, le voici bientôt indé pendant, honoré, illustre, à la .tête de 60.000 livres dç rente. On recherche sa société, il est ·entouré d'amis fidèles. Ses· richesses lui procurent la satisfaction de se montrer généreux. Il n'est point envieux : «Si on ne voulait qu'être heureux, cela serait bientôt fait; mais o...
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L'interrogation est-elle une force ou une faiblesse ?
peut très bien l'assimiler au doute. Et c'est par-là qu'action et connaissance se rejoignent. Carcomme si le doute, l'interrogation apparaît fondamentalement comme purement négative pourle sujet ainsi tiraillé : incapable de réfléchir, de dépasser son doute et ses propresinterrogations (existentielles par exemple), mais tout autant incapable d'agir ; le doute estalors signe de faiblesse absolue en cela qu'il empêche, fait obstacle à toute prise de position, àtout choix et donc a for...
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Le Jeu de l'Amour et du Hasard (III - 8)
« Mais moi, etc... » Désespoir anticipé pathétique. Les froideurs de Silvia s'expliquent par sa coquetterie, sesmanières de précieuse, et aussi par le complexe de la jeune fille qui fait de l'amour la grande affaire de la vie et quicraint d'être victime d'un séducteur. Termes pathétiques : « Si je m'en ressouviens » « s'il m'a frappée » ;interrogations véhémentes ; superlatif « tout ce qu'il y a de plus grand sur la terre ». Seul un amour profond et qui craint parce qu'il est...
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Vocabulaire:
CONFESSION, substantif féminin.
1. RELIGION CATHOLIQUE. Aveu de p?ch?s que le p?nitent fait au pr?tre ou ? Dieu seul. Confession auriculaire (par opposition ? la confession publique). Confer auriculaire I A. Confession g?n?rale; billet de confession (confer billet II E)?: ? 4. Je ne crois pas trop aux confessions sacril?ges en un tel moment [au moment de mourir] , car les mourantes dont je parle manifestaient une contrition sinc?re de leurs fautes. GEORGES BERNANOS, Journal d'un cur? de campagne, 1936, page 1088. ? Le sc...
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Mme de la Fayette, La Princesse de Clèves, « Troisième partie », la scène de l’aveu. De « - Eh bien, Monsieur, lui répondit-elle en se jetant à ses genoux… » à « … il faut plus de courage pour avouer cette vérité que pour entreprendre de la cacher. »
même par l’usage de deux négations : « je n’ai jamais donné nulle marque de faiblesse ». Elle se glorifie en outre de « l’innocence de [sa] conduite et de [ses] intentions » , ces deux termes évoquant respectivement le contrôle de son com portement en public et surtout, ce qui est plus difficile et donc plus héroïque, de ses pensées . C’est pourquoi elle fait preuve d’une telle assurance quant à son comportement à venir comme l’indique l’emploi du futur renforcé par l’adverbe « ja...
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acte 2 phedre
L’expression « feu fatal » Axe d’étude : effectivement, Racine semble reprendre les caractéristiques de la tragédie fixées par Aristote. Mais il adapte le genre de la tragédie aux mentalités de son siècle dominé par le mouvement Classique 1. Racine reprend l’idée de la catharsis. En regardant Phèdre, sa passion entraînant la folie, son amour contre nature, le spectateur peut ressentir de la crainte et même davantage. Phèdre, devient l’incarnation des pensées les plus inavouée...
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La parole tragique : modalités et fonctions
K· x··. P o s t s C H E S ment à Hippolyte par un jeu, elle représente son amour, son aveu est dramatique. La troisième fois, elle se confesse publiquement devant celui qui, par son seul être, a fondé la faute ( ... ), Phèdre peut mourir, la tragédie est épuisée. » La double fonction du récit Le récit a une double fonction dans la tragédie. Il est d'abord un moyen d'infor mer le spectateur sur les événements extérieurs à l'espace scénique...
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« M. de Nemours se jeta à ses pieds » - scène d'aveu et d'adieu - La Princesse de Clèves
Texte (8) Le texte proposé est un extrait de La princesse de Clèves, oeuvre romanesque célèbre, publiée par Mme LA FAYETTE en 1678. Ns sommes ici ds un mouvement religieux nommé le ''jansénisme" qui s'inscrit durant la période du 17 et 18 ème siècle. Ce dernier véhicule une vision pessimsite de l'être humain et souligne que personne ne peut trouver le salut sans la grâce de Dieu. Dans cette oeuvre l'amour est envisagé comme une force dévastatrice, signe de la défaite de la raison. Mme de...
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Lecture analytique : L'aveu indirect de Phèdre (Acte II Scène 5)
Axe 1 Phèdre confond Thésée et Hippolyte. Elle se désolidarise de Thésée en espérant qu'il ne reviendra plus et s'éprend d'Hippolyte en cachant ses sentiments par sa ressemblance avec son père. La gradation : « je languis, je brûle pour Thésée » (vers 634) contredit l'accumulation : « Il avait votre port, vos yeux, votre langage. » (vers 641). On peut penser que Phèdre est confrontée à la fatalité de la situation qu'elle ne maîtrise plus. Elle argumente son aveu, le champs...
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L'aveu final (v. 1617-1654) - Commentaire composé Phèdre de Racine
victime est confortée par l'hyperbole, au vers 1629, « abusant de ma faiblesseextrême ». L'aversion envers Oenone est exprimée par «un supplice trop doux », v.1632. Phèdre aurait voulu une punition plus sévère pour Oenone que le suicide. Afind'expliquer les fautes d'Oenone, Phèdre utilise le récit introduit par « : » au vers1625,puis elle utilise le passé composé : « a conduit », v. 1626, « a craint », v. 1627, « s'esthâtée », v. 1630 et « s'en est punie », v.1631. L'utilisation d...
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Acte III Scène 12 Fausses condidences de Marivaux: Ce dénouement vous paraît-il digne d’une comédie ?
2. Le déclanchement du portrait : Le portrait revient sur le devant de la scène, pour opérer la libération finale de la parole d’Araminte. Le portrait s’intègre d’abord dans la plainte de Dorante : « j’ai tout perdu. J’avais un portrait et je ne l’ai plus ». Araminte badine un peu en disant : « a quoi vous sert de l’avoir ? Vous savez peindre. » Cette remarque cache une motivation plus profonde : elle veut le garder comme souvenir de cet amour, et cherche un argument pour ne pas lu...
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Fiche de lecture: La princesse de Clèves de Madame de Lafayette
Mme de Chartres tombe malade. M. de Nemours, par tous les moyens, cherche à revoir la princesse, laquelle ne peut s'empêcher d'être charmée de sa vue. Mourante,Mme de Chartres adresse à sa fille des recommandations solennelles : elle a deviné sa passion, et l'adjure de ne pas y succomber. Mieux vaut à ses yeux un départhéroïque de la cour qu'une réputation perdue. A la mort d'une mère qui lui aurait été d'une grande aide, Mme de Clèves mesure son irrémédiable solitude. Elle partpour la campagne...
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Texte 3 : L’aveu : « Eh bien, monsieur , lui répondit-elle ( …) Quel chemin a-t-il trouvé pour aller à votre coeur ?»)
dans son cœur commis l'adultère avec elle. » L'a veu es t possible par ce que si le cœ ur est coupable ni la conduite ni les intentions ne le son t. Le vocabulaire du mérit e montre que l’ a veu es t la mar que d'un cert ain courage per çu comme nécessair e. « Il es t vrai que j'ai des r aisons de m'éloigner de la Cour » (l. 3) . « Il es t vr ai » mar que le début de l'a veu pr opr emen t dit, qui é tait annoncé « je v ais vous f aire un a veu » (l. 1). Il n'es t qu'une c on fir...
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Madame de LA FAYETTE : La Princesse de Clèves
Marguerirr de Nam rre. F. C louet "La vue de M. de Nemours acheva de lui donn er une rou geur qui ne dimi nuaiT pas sa beauté. Il s'assit v is-à-vis d. elle, avec celle craint e et ce lle timi diTé que donnent les véritab les passions." Le livre L'aveu des sentiment s se confond avec l'adult ère U n e jeune héritière sévèrement élevée par sa mère épouse sans l'aimer, mais avec la ferme intention de lui res ter fidèle, Je prince...
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Rhétorique et beau langage chez Camus
celle-ci s'y empêtre. Les canaux concentriques d'Amsterdam fournissent une image symbolique de la stratégie de Clamence. (Voir la carte d'Amsterdam, page 14) De la même stratégie participe en apparence un aveu similaire : «Voyez-vous, il ne suffit pas de s'accuser pour s'innocenter, ou sinon je serais un pur agneau. Il faut s'ac cuser d'une certaine manière, qu'il m'a fallu beaucoup de temps pour mettre au point[ ... ]» (p. 10...
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Biographie de Marivaux
Au début de l'extrait Arlequin se met en évidence avec des apartés et des tentatives maladroites, il offre plusieurs clins d’œil au public qui signalent son masque mais qui lui permet de le garder : «Savez-vous ce que c'est qu'un louis d'or faux ? Eh bien je ressemble assez à cela» (l.2 à3). Leurs aveux sont des comme des confessions d’affections entre deux amoureux timides qui n’osent se révéler, Arlequin pense se trouver dénudé dès lors qu’il fera tomber son masque, à l’identique de L...
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cathares
vérifiées avant le procès en lui-même. Si la véracité des accusations étaient prouvées le suspect devait avouer son hérésie. Suite à un aveu de sa part ou devant des preuves la peine sera prononcés. L'obtention de l'aveu pouvaient passer par le biais de pressions psychologiques ou par la torture, qui contrairement au clichés sera peu utilisée ( les tribunaux religieux étaient plus clément que ceux séculiers!). Les peines peuvent aller des punitions religieuses (prières, pèlerinages,dons aux...
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Phèdre, un aveux involontaire
a) «Délivre l’univers d’un monstre qui t’irrite.» (v.35) à C’est un conseil qu’elle donne à Hippolyte comme si elle voulait qu’il la prenne par pitié. C.B. L’héroïne sait qu’elle est pathétique, mais son amour pour le fils de Thésée est incontrôlable. C.I. : On remarque que l’héroïne est prête à tout pour que son amour pour Hippolyte soit réciproque. [III] CONCLUSION • Confirmation : En se montrant passionné, même accro à l’âme désirée, Phèdre est l’évocation d’une vision fataliste de l’être hum...
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Alexandre Dumas Les trois mousquetaires: Milady
haine va alors s'accroître.Cette haine va la pousser à s'en prendre à Dieu à travers la question posée au discours indirect libre : « pourquoi donc le ciel s'est-il ainsi trompé en mettant cette âme virile dans ce corps frêle et délicat ? », ligne 16. Cela traduit son désir d'être un homme pour pouvoir sortir de prison. Elle exprime également sa volonté d'avoir la force d'un homme par des phrases hypothétiques et du conditionnel : « si elle était un homme, elle tenterait tout cela...
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COMMENTAIRE DE PHèdre acte 2 scène 5
son amour pour Hippolyte. L’extrait proposé succ ède à une longue tirade de Ph èdre dans laquelle elle avouait son amour pour Th ésée, sa fiert é, son courage. Aussit ôt apr ès, dans un premier renversement elle confie qu’elle aurait aim é être le guide de son fils, comme Ariane le fut de son p ère. Cet aveu à peine voil é de ses sentiments indigne le jeune homme dont la r éaction brutale surprend la princesse qui revient sur ses propos au nom de l’honneur, motif bien l éger com...
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PHEDRE DE RACINE - ACTE II SCÈNE 5, vers 671 à 711 - COMMENTAIRE
Ce passage de l'aveu de Phèdre condense quantité d'émotions : elle y exprime une passion dévorante, et qui sera, on le sait bien, dévastatrice. On verra alors combien le couple dolor/furor règne en maître absolu dans les pièces raciniennes, surtout dans Phèdre, où il s'accompagne d'une douloureuse prise de conscience : la jeune femme sent combien son amour est criminel et elle a honte de sa faute. L'influence janséniste est ici incontestable. 1er mouvement : un amour fatal (vers 671 à 683) L'...
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Les diaboliques - A un Dinée d'Athée
l'extrait. "Elle n'avait jamais aimé un autre homme." nous allons le découvrir plus tard, lorsqu'elle annonce le nom de son ancien amant, notre narrateur, que c'est à lui-même qu'elle a menti pour l'enfant, et que donc nous ne pouvons réellement savoir auquel des deux elle a menti et où se situe la vérité; dès lors,le narrateur ne peut plus affirmer avec précision quand elle ment, et donc ne peut plus affirmer si lui-même dit la vérité. Le lexique violent du combat ("coup","poignard","d...
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Stress
A moins de considérer le stress comme un moyen artificiel d'accélérer la sélection des espèces dans l'entreprise ! Alerte biologique et indicateur d'incohérence Le stress est d'origine animale : réflexe de survie en réponse à une menace externe, sur lequel nous n'avons aucune actionpossible, il induit des réactions de fuite, de lutte, ou de résignation. C'est le domaine du cerveau primitif, le cerveau reptilien. Au fil de son développement, l'homme a acquis une conscience (cerveau limbique) à ba...
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Le Rouge et Le Noir
larmes aux yeux, elle regardait vers les grands bois de la montagne.
qu'en 1816 vous avez contribué à certaines arrestations. Cet homme réfugié sur son toit'... \24Je songe que vous n'avez ni égards, ni amitié pour moi, s'écria M. de Rênal, avec toute l'amertume que réveillait un tel souvenir, et je n'ai pas été pair!... \24Je pense, mon ami, reprit en souriant Mme de Rênal, que je serai plus riche que vous, que je suis votre compagne depuis douze ans, et qu'à tous ces titres, je dois avoir voix au chapitre, et surtout dans l'affaire d'aujourd'hui. Si vous me pré...
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Confessions (les) de jean-Jacques Rousseau (résume et analyse complète)
sition ne sera finalement achevée qu' en 1770. Dès l'hive r 1770, Rou sseau co mmença , en une série de lectures publiq ues, à donner connaissance de so n manuscri t. En 1771, il en lut la seco nde partie chez la comte sse d'Egmont. Le scandale ne fut pas évité, e t Mme d'É pinay demanda à la polic e d'interdire ces lectures. Les Confessions ne sont pas de sim ples Mémoires. Leur lecteur, pris à té m oi n, es t invit...
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Dictionnaire en ligne:
ÉPRIS, -ISE, participe passé et adjectif.
peut à la fin avoir pour tout le musée une admiration qui n'est pas glaciale, car elle est faite d'amours successives... MARCEL PROUST, La Prisonnière, 1922, page 64. — En particulier. [Le complément désigne une personne généralement de sexe opposé] Qui est amoureux. (Être) épris l'un de l'autre. Quand elle avait cédé à Pierre Delobelle, l'été d'avant, elle avait pensé qu'elle en était éprise (LOUIS ARAGON, Les Beaux quartiers, 1936, page 300) : Ø 3. Maintenant, j'en suis sûre, je suis éprise...
- Un aveu de Lamartine.
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Extrait commenté - Livre I : «On ne put m'arracher l'aveu qu'on exigeait. [ ... ] Là fut le terme de la sérénité de ma vie enfantine. » - Confessions de Rousseau
sentais ... »). Cet imparfait s'oppose au passé simple de la narration rétrospective («On ne put m'arracher l'aveu[ ... ]. Je sortis»). Quand l'autobiographe revient à son point de vue d'adulte, il utilise le présent de l'indicatif(« Je déclare à la face du ciel [ ... ]. Je ne me sens pas capable [ ... ]. Quand je lis les cruautés d'un tyran ... »). La solidarité de l'adulte Elle s'exprime d'abord par l'absence de tout désaveu(« Ce que je...
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Article 1316 du Code civil: commentaire
II s'agit d'une preuve pre- constitude, menagee a l'avance et anterieurement a toute contestation. II peut s'agir d'actes sous seing prive, d'actes au- thentiques, de lettres, de livres de commerce, des registres et papiers do- mestiques, qu'ils soient ori- ginaux ou copies. Le temoignage : Le temoignage, ou preuve testimoniale, est une de- claration faite par une per- sonne sur des faits dont elle a eu connaissance par elle-merne. De meme, est admis le temoignage in- direct, consistant a rap- p...
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La confessio peccati
E X P 0 S É S F C H E S Quel lien entre ces deux fautes ? Le manque de solidarité, d'autant plus choquant que Clamence se prétendait bon et généreux, le goût du pouvoir. Lavé rité de sa nature est là, et sa vie publique n'était qu'hypocrisie. On a cherché bien des clés* à l'épisode de la noyée, et ses biographes, Herbert R. Lotmann ou Olivier Todd, l'ont expliqué par la vie personnelle de Camus et la dépression de sa femme. On peut aussi...
- Phère scène 5 acte II
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La Princesse de Clèves
1) A la vision d’une société paradoxale. La société impose des règles strictes de bienséance qui favorise le mariage et les écarts (passion). - C’est une société tourné vers la galanterie et qui favorise les transgressions. Le Duc de Nemours en est un parfait représentant. - La femme mariée a quant à elle un certain rôle. « On » présent gnomique, de vérité générale. 2) Une vision négative de la passion. - répétition du mot « malheur ». Réactivation de l’étymologie du mot « passion...
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Texte 3, Marivaux, Les Fausses Confidences, Acte 3, scène 12
Texte 3, Marivaux, Les Fausses Confidences, Acte 3, scène 12 ARAMINTE- Vous donner mon portrait ! Songez-vous que ce serait avouez que je vous aime ? DORANTE- Que vous m’aimez, Madame ! Quelle idée! Qui pourrait se l’imaginer ? ARAMINTE, d’un ton vif et naïf.- Et voilà pourtant ce qui m’arrive. DORANTE, se jetant à ses genoux- Je me meurs ! ARAMINTE- Je ne sais plus où je suis. Modérez votre joie; levez-vous, Dorante. DORANTE, se lève et tendrement.- Je ne la mérite pas ; cette joie me...
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- La charge de la preuve
- phedre sece 7 acte 5 commentaire
- Phèdre, Acte I scène 3, analyse
- PHEDRE DE RACINE - ACTE II SCÈNE 5, vers 671 à 711 - COMMENTAIRE
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Phèdre, les fureurs de la passion tragique
Ce 1er argument qui critique la notion de fidélité, une notion respectée par ses contemporains qui montre bien laposition de libertinage. Etude détaillée du 2ème axe : 2ème argument qui montre que Don Juan est sensible surtout à la beauté physique des femmes. Champ lexical de labeauté prépondérant : « une belle », « beau visage », « beauté ». Beauté = principale responsable de sa positiond'infidèle « pour moi la beauté me ravit partout où je la trouve ».Il assume sa position même s'il continue q...
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Lecture analytique: Phedre
première " où on trouve une métaphore de la vie ou de l'espoir, ou encore l'hyperbole " mille chemins ouverts y conduisaient toujours " et la périphrase 'et ma juste douleur choisira les plus courts " qui désignent le suicide. OEnone évoque la foi et la fidélité et les reproches par rapport à ce qu'elle a fait pour elle dans le passé souligné par le chantage d'arguments affectifs "mon pays, mes enfants, pour vous j'ai tout quitté". Elle expose également des reproches par rapport à l'attente q...
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Lettres portugaises traduites en français de Gabriel-Joseph de La Vergne, comte de Guilleragues
quatrième lettre commence par rappe ler les transports dont le genti lhomme sembla it animé lorsqu 'il l'a séduite, avant de brosser le tableau de son état (et les réactions des religieuses qui l'entourent) : la passion est réaffirmée avec force, presque au rebours des lettres précédentes. et une poin te de jalousie à l'égard de que lque riva le lui fait souha iter jusqu'à l'aveu d'une infidél ité. La cinquième lettre est celle de la déc...
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Phedre, Acte 1 Scène 3
«ennemi(cœur)/idolâtre(raison)» ; «j'adorais/j'offrais/Dieu» : fusion amour/vœux vs Vénus, antith contre -nat/relig // entre Hippo et Ph : mm situation, périssent d'un mal qu'ils taisent ; se taire=mourir mais parler=mouri r II- Une Scène d'aveu sous le signe du tragiqu e 1) Les révélatio ns de Phèdr e -- mutisme à logorrhée finale : au déb dial piétine(ponctu expr, diff, stichomythies), prénom Hippo renverse rythme(lg récit ) => acmé scène : v.261 « j'aime », pt bascule vers la chute...
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Article de presse: Les cent fleurs
difficultés économiques. Mais dans le domaine intellectuel les nouveautés ne vont pas loin. Les critiques elles-mêmes finissent par être stéréotypées.L'aspect général de la presse ne change pas. Quand vient le VIII e congrès, elle est envahie par les lourds comptes rendus, et l'on en revient aux journaux ennuyeux et officiels de toujours. Le congrès lui-même n'insiste pas sur le thème des cent fleurs. Une tendance libérale semble sans doute s'affirmer dans l'article3 de la nouvelle constit...
- Etude de « la fessée », dans Les Confessions de Rousseau