1703 résultats pour "extrait"
- Genet, Journal du voleur (extrait).
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Kipling, le Livre de la jungle (extrait).
Source : Kipling (Rudyard), le Livre de la jungle, trad. par Louis Fabulet et Robert d’Humières, Paris, Gallimard, Folio, 1972. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
- Dos Passos, Manhattan Transfer (extrait).
- Mitterrand, le Coup d'État permanent (extrait).
- Carpentier, le Partage des eaux (extrait).
- Mme de Staël, De l'Allemagne (extrait).
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Shakespeare, Richard III (extrait).
LE ROI RICHARD . — L’es-tu réellement ? TYRREL . — Éprouvez-moi, mon gracieux lord. LE ROI RICHARD . — Oserais-tu te charger de tuer un ami à moi ? TYRREL . — Si cela vous plaisait ; mais j’aimerais mieux tuer deux de vos ennemis. LE ROI RICHARD . — Eh bien, tu as la chose ; deux profonds ennemis, deux adversaires de mon repos, qui troublent mon doux sommeil ; c’est sur eux que je voudrais te voir opérer. Tyrrel, je parle de ces bâtards de la Tour. TYRREL . — Donnez-moi les moyens d’arriver...
- Musil, l'Homme sans qualités (extrait).
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Claudel, Partage de midi (extrait).
MESA : Je sais que je ne vous plais point. YSÉ : Ce n’est point cela, mais je ne vous comprends pas, Qui vous êtes, qui ce que vous voulez, qui Ce qu’il faut être, comment il faut que je me fasse avec vous. Vous êtes singulier. Ne faites point de grimace ! Oui, je crois que vous avez raison, vous n’êtes pas Un homme qui serait fait pour une femme, Et en qui elle se sente bien et sûre. MESA : Cela est vrai. Il me faut rester seul. YSÉ : Il vaut mieux que nous arrivions et que nous ne restio...
- Poe, Histoires extraordinaires (extrait).
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Ibsen, la Maison de poupée (extrait).
HELMER . — t’aider si tu en as besoin. NORA . Non, te dis-je. Je n’accepte rien d’un étranger. HELMER . Nora, — ne pourrais-je pas un jour devenir autre chose qu’un étranger pour toi ? NORA (prenant son sac de voyage). Oh, Torvald, pour cela il faudrait le plus grand des miracles. HELMER . Quel miracle ? NORA . Il faudrait changer, tous les deux, de telle sorte que —. Oh, Torvald, je ne crois plus aux miracles. HELMER . Mais moi, je veux y croire. Parle ! Changer, tous les deux, de telle...
- Conrad, Lord Jim (extrait).
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Shakespeare, le Songe d'une nuit d'été (extrait).
TITANIA . — La musique ! holà ! une musique à enchanter le sommeil ! PUCK , enlevant la tête d’âne de Bottom. Quand tu t’éveilleras, vois avec tes yeux d’imbécile. OBÉRON . — Résonnez, musique ! (Une musique calme se fait entendre.) (A Titania.) Viens, ma reine, donne-moi la main, et remuons sous nos pas le berceau de ces dormeurs. Toi et moi, maintenant, nous sommes des nouveaux amis ; demain, à minuit, nous exécuterons solennellement des danses triomphales dans la maison du duc Thésée, e...
- Mercier, Tableau de Paris (extrait)
- Camus, l'Homme révolté (extrait).
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Molière, les Précieuses ridicules (extrait).
MAGDELON : Les madrigaux sont agréables, quand ils sont bien tournés. MASCARILLE : C’est mon talent particulier ; et je travaille à mettre en madrigaux toute l’histoire romaine. Source : Molière, les Précieuses ridicules, in Œuvres Complètes, Paris, Gallimard, Pléiade, 1971. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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Shakespeare, Henri IV (extrait).
LE PRINCE Tu juges déjà tout de travers. Je veux dire que tu auras la pendaison des voleurs, tu seras par excellence l’homme du gibet. FALSTAFF Bon, Hal, bon ; d’ailleurs cela va dans le sens de mon penchant, tout autant que de traiter à la cour, je puis vous le dire. LE PRINCE Pour avoir une charge ? FALSTAFF Tout juste, une charge d’habits, dont le bourreau n’a pas une mince garde-robe. Sangdieu ! Je suis aussi mélancolique qu’un matou, ou un ours aux arènes. LE PRINCE Ou un lion deve...
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Molière, le Malade imaginaire (extrait).
TOINETTE : Ignorant. ARGAN : De la volaille. TOINETTE : Ignorant. ARGAN : Du veau. TOINETTE : Ignorant. ARGAN : Des bouillons. TOINETTE : Ignorant. ARGAN : Des œufs frais. TOINETTE : Ignorant. ARGAN : Et le soir de petits pruneaux pour lâcher le ventre. TOINETTE : Ignorant. ARGAN : Et surtout de boire mon vin fort trempé. TOINETTE : Ignorantus, ignoranta, ignorantum. Il faut boire votre vin pur ; et pour épaissir votre sang qui est trop subtil, il faut manger de bon gro...
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Stendhal, la Chartreuse de Parme (extrait).
Le maréchal s’arrêta, et regarda de nouveau avec sa lorgnette. Fabrice, cette fois, put le voir tout à son aise ; il le trouva très blond, avec une grosse tête rouge. Nous n’avons point des figures comme celle-là en Italie, se dit-il. Jamais, moi qui suis si pâle et qui ai des cheveux châtains, je ne serai comme ça, ajoutait-il avec tristesse. Pour lui ces paroles voulaient dire : Jamais je ne serai un héros. Il regarda les hussards ; à l’exception d’un seul, tous avaient des moustaches jaunes....
- Cohen, Belle du Seigneur (extrait).
- Flaubert, l'Éducation sentimentale (extrait).
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Boulgakov, le Maître et Marguerite (extrait).
— Tu ne ressembles pas à un évêque, Azazello, fit remarquer le chat en attirant à soi la casserole de saucisses. — C’est bien ce que je dis, nasilla le rouquin. (Puis, se tournant vers Woland, il ajouta avec respect :) Puis-je, messire, l’expédier aux cinq cents diables ? — Ouste ! cracha le chat en hérissant ses poils. La chambre se mit alors à tourner autour de Stepan. Sa tête heurta le chambranle et, perdant conscience, il pensa : « Je meurs… » Mais il ne mourut point. Entrouvrant les yeux, i...
- Faulkner, le Bruit et la Fureur (extrait).
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Diderot, le Neveu de Rameau (extrait).
[…] Source : Diderot (Denis), le Neveu de Rameau, 1890. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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Brecht, la Vie de Galilée (extrait).
peur, et ils se ruent pêle-mêle hors de chez eux, à se casser la jambe. Mais expose-leur une thèse raisonnable, démontre-la leur au moyen de sept preuves, et ils se borneront à te rire au nez. GALILÉE . — C’est entièrement faux. C’est une calomnie. Je ne comprends pas comment, si tu crois une chose pareille, tu peux aimer la science. Les morts seuls sont insensibles aux arguments de la raison. SAGREDO . — Comment peux-tu confondre avec la raison leur pitoyable ruse ! GALILÉE . — Je ne parle pa...
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Balzac, le Lys dans la vallée (extrait).
viendra la mort ont dû vous attester que cet âge finissait, et votre constant triomphe a été d’en prolonger les muettes délices. Un amour sans possession se soutient par l’exaspération même des désirs ; puis il vient un moment où tout est souffrance en nous, qui ne ressemblons en rien à vous. Nous possédons une puissance qui ne saurait être abdiquée, sous peine de ne plus être hommes. Privé de la nourriture qui le doit alimenter, le cœur se dévore lui-même, et sent un épuisement qui n’est pas la...
- Hugo, préface de Cromwell (extrait).
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Aristophane, l'Assemblée des femmes (extrait).
CINQUIÈME FEMME Et moi, une bien plus belle que celle d’Epicratès. PRAXAGORA Et vous, que dites-vous ? QUATRIÈME FEMME Elles font signe que oui, de la tête. PRAXAGORA Pour le reste certes, je vois que c’est fait. Vous avez des chaussures laconiennes, des bâtons, et les manteaux de vos maris comme nous l’avions dit. SIXIÈME FEMME Pour moi, j’ai dérobé à Lamias ce bâton-ci que j’ai emporté quand il dormait. PRAXAGORA C’est un de ces bâtons sur lesquels il s’appuie pour péter. SIXIÈME FEMME...
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Fielding, Tom Jones (extrait).
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Maeterlinck, Pelléas et Mélisande (extrait).
MÉLISANDE Mais non, mais non ; je ne sais rien. PELLÉAS Tu ne sais pas pourquoi il faut que je m’éloigne ? Tu ne sais pas que c’est parce que… je t’aime. MÉLISANDE Je t’aime aussi. PELLÉAS Oh ! Qu’as-tu dit, Mélisande ! Je ne l’ai presque pas entendu. On a brisé la glace avec des fers rougis ! Tu dis cela d’une voix qui vient du bout du monde ! Je ne t’ai presque pas entendue… Tu m’aimes ? Tu m’aimes aussi ? Depuis quand m’aimes-tu ? MÉLISANDE Depuis toujours… depuis que je t’ai vu. PE...
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Claudel, le Soulier de satin (extrait).
Ma destinée sans doute. Et de temps en temps il me favorise de quelque réflexion et annotation marginale. DOÑA ISABEL Vous ne m’aimez pas. LE SECRÉTAIRE , avec un cri aigu. Hi ! ma parole, vous allez me faire faire des fautes ! J’allais écrire : Vous ne m’aimez pas, sur l’enveloppe. Monsieur le Corregidor Ruiz Zeballos, à Vounemémépaz. Ce n’est pas un pays pour un corregidor. Je ne sais si Votre Altesse s’est aperçue à quel point cette dame ici présente est éprise de nous. Une complaisance de...
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Pirandello, les Géants de la montagne (extrait).
COTRONE : Je vous demande pardon, mais si dans ces pantins s’incorpore l’esprit des personnages, au point de les faire bouger et parler ? SPIZZI : Je serais curieux de voir ce miracle ! Source : Pirandello (Luigi), les Géants de la montagne, in Théâtre complet, trad. par Paul Renucci, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1985. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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Tourgueniev, Récits d'un chasseur (extrait).
— Ho-ho-ho ! continua tout doucement son ami. — Raisonnablement on ne devrait pas chasser en cette saison, lui dis-je en montrant l’avoine foulée. Source : Tourgueniev (Ivan), Mémoires d'un chasseur, trad. par Henri Mongault, Paris, Gallimard, 1953. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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Roussel, Impressions d'Afrique (extrait).
La descente continua ainsi, lente et régulière. À chaque marche, le maître, consciencieusement, remuait la gerbe en tous sens avant d'y chercher, du bout des doigts, la désignation de tel son inattendu aussitôt gravé en caractères suffisamment lisibles. Les invités suivaient leur hôte pas à pas, vérifiant facilement la rectitude du travail par l'examen des faveurs diversement nuancées. Parfois, Corfield prenait la plume et la trempait dans l'encre avant de la rendre à l'aveugle. Au bout de dix m...
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Dumas, les Trois Mousquetaires (extrait).
Source : Dumas (Alexandre), les Trois Mousquetaires, 1844. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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Wedekind, l'Éveil du printemps (extrait).
ans de plus que moi. Jeannot Rilow dit qu’il ne rêve encore que tartes à la crème et gelée d’abricots. MORITZ : Je te demande un peu : comment Jeannot Rilow peut-il en juger ? MELCHIOR : Il lui a demandé. MORITZ : Il lui a demandé ? Je ne m’y serais hasardé avec personne. MELCHIOR : Mais tu me l’as bien demandé, à moi. MORITZ : Dieu sait oui ! Peut-être que Jeannot avait déjà fait son testament auparavant. Un jeu étrange, vraiment, celui qu’on nous joue. Et il faut encore que nous rendi...
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Dickens, les Grandes Espérances (extrait).
— Je suis bien changée… Je m’étonne que tu me reconnaisses. » La fraîcheur de sa beauté était en effet partie, mais sa majesté si indescriptible et son charme indescriptible étaient restés. Ces attraits, je les connaissais. Ce que je n’avais pas encore vu, c’était le regard adouci, attristé de ses yeux autrefois si fiers ; ce que je n’avais pas encore vu, c’était la pression affectueuse de sa main autrefois insensible. Nous nous assîmes sur un banc près de là, et je dis : « Après tant d’années,...
- Candide, Chapitre III extrait
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Steinbeck, les Raisins de la colère (extrait).
— Ben ! c’est rudement gentil à vous. Et je vous remercie bien pour ce qui est du déjeuner. — Tout le plaisir était pour nous, dit le vieux. On tâchera de vous faire embaucher, si vous voulez. — Et comment que j’veux, bon Dieu ! dit Tom. Attendez-moi juste une seconde. Que j’prévienne la famille. Il courut à la tente des Joad et se pencha pour regarder à l’intérieur. Dans l’obscurité, sous la bâche, il vit par terre les contours noirs des dormeurs. Mais quelque chose remua légèrement parmi les c...
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Marivaux, la Vie de Marianne (extrait).
jour il vous laisserait dans une indigence, dans une misère dont vous auriez plus de peine à sortir que jamais : je dis une misère, parce qu’il s’agit de vous éclairer, et non pas d’adoucir les termes ; et c’est à tout cela que j’ai songé depuis que je vous ai quittée : voilà ce qui m’a fait sortir de si bonne heure de la maison où j’ai dîné ; car j’ai bien des choses à vous dire, Marianne ; je suis dans de bons sentiments pour vous ; vous vous en êtes sans doute aperçue ? — Oui, Monsieur, lui r...
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- Tolstoï, la Guerre et la Paix (extrait)
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Péguy, Cahiers de la quinzaine (extrait).
— Plus je vais, répondit gravement le docteur, moins je crois à l’efficacité d’une révolution sociale extraordinaire soudaine, improvisée merveilleuse, avec ou sans fusils et dictature impersonnelle — et plus je crois à l’efficacité d’un travail social modeste, lent, moléculaire, définitif. Mais je ne sais pas pourquoi vous abordez d’aussi grosses questions, que vous avez vous-même réservées, quand je vous demande seulement des renseignements sur les raisons et sur les sentiments que vous avez...
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Giono, le Hussard sur le toit (extrait).
Source : Giono (Jean), Œuvres complètes, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1977. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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Malherbe, Commentaire sur Desportes (extrait).
Chevilles. On doute de ces deux la meilleure aventure, De cil qui pour les voir (les yeux de sa maîtresse) à la mort s’aventure, Oui qui, ne les voyant, évite son trépas. Phrase extravagante. — Cil ne vaut rien — De cil qui s’aventure à la mort ou qui évite son trépas, cette division est mal faite. Il devoit répéter cil ou celui, car on dit : « il n’y a point de différence de celui qui tient et de celui qui écorche. » Ainsi faut-il répéter celui ; car qui diroit : autant fait celu...
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Gide, les Faux-monnayeurs (extrait).
— Il n’en a pas, repartit Édouard brusquement ; et c’est là ce qu’il y a de plus étonnant peut-être. Mon roman n’a pas de sujet. Oui, je sais bien ; ça a l’air stupide ce que je dis là. Mettons si vous préférez qu’il n’y aura pas un sujet… “Une tranche de vie”, disait l’école naturaliste. Le grand défaut de cette école, c’est de couper sa tranche toujours dans le même sens ; dans le sens du temps, en longueur. Pourquoi pas en largeur ? ou en profondeur ? Pour moi, je voudrais ne pas couper du...
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Sue, les Mystères de Paris (extrait).
que vous vouliez. « Ton argent et ta vie !… » et vous l’avez frappé d’un coup de poignard. — Tel a été le récit de M. Murph lorsque je lui ai donné les premiers secours, dit le docteur. — C’est faux, il a menti. — Murph ne ment jamais, dit froidement Rodolphe. Vos crimes demandent une réparation éclatante. Vous vous êtes introduit à main armée dans ce jardin, vous avez poignardé un homme pour le voler. Vous avez commis un autre meurtre… Vous allez mourir ici… Par pitié pour votre femme et pour v...
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Proust, le Temps retrouvé (extrait).
compatible avec le bonheur, avec la santé, ne l’est pas toujours avec la vie. Le chagrin finit par tuer. A chaque nouvelle peine trop forte, nous sentons une veine de plus qui saillit, développe sa sinuosité mortelle au long de notre tempe, sous nos yeux. Et c’est ainsi que peu à peu se font ces terribles figures ravagées, du vieux Rembrandt, du vieux Beethoven, de qui tout le monde se moquait. Et ce ne serait rien que les poches des yeux et les rides du front, s’il n’y avait la souffrance du cœ...
- EXTRAITS DE LA PHILOSOPHIE DE ROUSSEAU ET DE TOCQUEVILLE
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EXTRAITS STOÏCISME ANTHOLOGIE PHILOSOPHIQUE
72 j ÉPICURIENS ET STOÏCIENS L'une, en effet, s'enchaîne à l'autre, à cause du mouvement ordonné, du soufRe commun et de l'unité de la substance. Accommode-toi aux choses que t'assigna le sort ; et les hommes, que le destin te donna pour compagnons, aime les, mais du fond du cœur. Un instrument, un outil, un ustensile quelconque, s'il se prête à l'usage pour lequel il a été fabriqué, est de bon emploi et cela bien que le fabricat...
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Don Giovanni de Mozart et da Ponte
Fin de l'écriture par da Ponte au printemps 1787 Composition par Mozart du printemps jusqu'en octobre 1787 Première le 29 octobre 1787 Je vais vous faire une courte biographie de Mozart et de da Ponte sans trop m'y attarder : - Joannes Chrysostomus Wolfgangus Theophilus Mozart, ou plus simplement Wolfgang Mozart est né le 27 janvier 1756 à Salzbourg . Lui et sa sœur Maria-Anna, beaucoup moins connu, sont des enfants prodiges de la musique, encore jeunes quand leur père exhibe leurs talents...